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La recherche faite

Par les étudiants de L1 THEOLOGIE PASTORALE

1. ISE MALIYABO MATHE 11221


2. KASEREKA KASUMBA DAVID 221
3. KAKULE SIVIRI PATIENT 12021

TRAVAIL PRATIQUE DE LA PHILOSOPHIE AFRICAINE

Sujet : Donnez ce qui renforce le garanties de résistances contre la foudre, l’agriculture, la


pèche, l’élevage et la chasse

1. INTRODUCTION
Les Africains (bantoues), appelé par les Occidentaux les primitifs, n’étaient de
primitifs purs ; car ils avaient leurs cultures (pratiques, religions, croyances à un être
suprême, forces …) et leur hiérarchie. Cela prouve que les bantoues avaient une
philosophie c’est-à-dire une pensée. Dans ce travail nous voulons parler un peu de
quelques pratiques de la force sur la résistance contre la foudre, l’agriculture,
l’élevage, la pèche, la chasse.

2. LE CORPS DU TRAVAIL

A. LA FOUDRE

Dans notre culture et notre entourage la manière dont les hommes arrêtent la foudre est
que ; dans la nature il y a des plantes qui ont la force pour arrêter la foudre entre autre :

 ‘’Le kidouha’’ en swahili appeler communément antis foudre, cette plante se trouve
dans plusieurs parcelle de ceux-là qui ont dé couvèrent cette puissance contenant
dans cette dernière.
 ‘’MAHOLE SUMU’’ cette plante semblable au taro mais non cosmétique, une fois le
consommé cela conduit à une mort subite mais cette plante est utile d’après les
nandes ‘’la plante arrête la foudre’’

B. la chasse
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Dans la culture nande nous avons l’esprit du dieu de la chasse nommé ‘’KALISHA’’ qui est
symbolisé par le chien.

Mais aussi il y a plusieurs autres pratiques entre autre : pour la chasse des oiseaux ont place
une plume sur la lasse pierre, mais aussi pour la chasse de gibiers ou animaux on place une
particule de la peau de l’animal tué sur la lasse ou sur la flèche. D’autres lient cette peau
d’animal sur le bras gauche. Cela a une influence sur l’activité de chasse et plusieurs autres
pratiques.

C. PECHE

Dans la culture nande pour le cas de la pêché il y a plusieurs pratiques pour attraper les
poissons entre autre :

 L’usage des feuilles d’une plante nommé LULU

Usage : nous prenons les feuilles nous pillons ensuite les mélangeons avec le pima et le jeter
dans une rivière et là le résultat est que les poissons s’enivrent et nous ne faisons que les
ramasser sur la surface des eaux. Ou bien, quand on utilise le ver de terre, vous allez à la
rivière sans citer le nom de ce ver de terre.

 Nous avons aussi les plantes comme « BAPI », « TILIGHBA », « VUSEWE », et


« MUVIRIRI » ce mélange facilite la pèche. Pour ces plantes on prend les
feuilles mais pour le TILIGHBA on prend les racines.

D. ELEVAGE

Ici nous avons plusieurs techniques pour la protection des béatilles ;

 Pour la meilleur production de poussin : nous faisions ce qui suit lorsque la poule est
à la période couveuse des œufs, il est conseillé de placé le couton tout près de
l’adroit ou la couve ses œufs et là même si la poule avait 30 œufs il sera le même
nombre de poussin.
 Cas de la protection des poussins : nous prenions les poussins et nous les plaçons sur
le van ensuite nous les vannons en citant le nom du péruvien. Et cela censure la
protection du poussin contre le péruvien.
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 Le cas des cobayes : il nous a été conseillé dans cet élevage de chaque fois utilisé le
couton en trouvant les herbes pour ses derniers et là les cobayes vont se multiplier.

E. agriculture

 Pour mieux produire il faut d’abord conserver la semence dans une cruche ancestrale
jusqu’à ce que la saison soit à terme, ensuite on pouvait envoyer une personne chez
les ancêtres pour converser avec eux et là ont fait une expérience de semé et récolter
le même jour « VUHERE » puis il revient au village pour annoncer la saison c’est après
l’annonces que la population pouvaient semer leurs semence et après la grande
récolte chacun pouvait apporter une part chez les sacrificateurs. (Les propriétaires
des vouheres)
 Le cas de la protection du champ des padus (riz) contre les oiseaux :
On fait tout le moyen possible de trouver une partie d’habit d’un fou et puis vous
prenez les feuilles d’ananas et de banne mure avec l’huile de russe, vous les enterez
dans le champ. Cela provoque le non visibilité de ces plantes par les oiseaux.
 Le cas de courge, on le plante en état en genou et quand vous voulez donner la
semence à quelqu’un, vous les mettez par terre.
 Il y a beaucoup d’autres pratiques qui demandent le « KINGYAPOLI » pour les
expliquer.
3. CONCLUSION
Nous avons constaté que Dieu a créé certaines plantes avec une puissance. Et si les
bantoues respectent leurs valeurs, ils conserveront leurs forces. Et aussi les bantoues
avaient la croyance à la prémisse quand ils amenaient la partie du récolte au gardien
de coutumes. Puis que le fait d’amener il y aura une production à la prochaine saison.

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