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J’apprends les CP

maths
Fichier de l’élève

Sous la direction de
RÉMI BRISSIAUD
Maitre de conférences de psychologie expérimentale

ANDRÉ OUZOULIAS
Professeur agrégé

FLORENCE SUIRE PIERRE CLERC


Professeur des écoles Instituteur

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Une démarche pédagogique qui
On sait aujourd’hui que les élèves en difficulté grave et durable échouent dans leurs apprentissages
numériques parce qu’ils font un usage systématique de ce qu’on appelle un comptage-numérotage.
Lorsqu’ils comptent, chaque mot de la comptine est un numéro qu’ils associent à 1 élément et 1 seul :
le un, le deux, le trois, le quatre… L’entrainement de cette forme de comptage permet aux élèves
les plus faibles de résoudre de nombreux problèmes, ce qui laisse espérer des progrès futurs, alors
qu’en réalité ils vont s’enfermer dans cette façon de faire et échoueront en calcul mental.
C’est pourquoi le programme pour la maternelle de 2015 fait la recommandation suivante : « Les acti-
vités de dénombrement doivent éviter le comptage-numérotage et faire apparaitre, lors de l’énuméra-
tion de la collection, que chacun des noms de nombres désigne la quantité qui vient d’être formée. »
J’apprends les maths CP est le premier ouvrage à avoir proposé une alternative à l’enseignement du
comptage-numérotage. Celui-ci n’y est jamais favorisé. Même l’écureuil, le personnage qui incarne
l’usage du comptage, utilise un comptage-dénombrement. Il dit : « un plus 1, deux ; plus 1, trois ; plus
1, quatre ; plus 1… » Il calcule pour compter, même s’il s’agit de calculs rudimentaires (+ 1 successifs).

Une progression organisée autour Apprendre le calcul mental à l’aide


de la distinction entre comptage- des repères 3, 5 et 10
numérotage et calcul Dès la première édition, nous avons choisi de favoriser un
Présentons cette distinction en considérant le problème sui- autre mode d’apprentissage où l’enfant apprend à repré-
vant : « J’ai 4 jetons dans ma poche gauche et 3 jetons dans senter les nombres à l’aide des repères 5 et 10. Pour 7, par
la droite. Je vais les mettre sur la table. Combien y aura-t-il exemple, on utilise les trois représentations suivantes :
de jetons ? »
■ Pour résoudre ce problème, certains enfants comptent
4 doigts sur une main, comptent 3 doigts sur l’autre, puis c’est-à-dire des configurations de points sous la forme 5 + 2
recomptent un à un ces 7 doigts. et un cadre matériel de 10 (une « boite de Picbille* ») dans
■ D’autres enfants énoncent directement que 4 et 3 est égal à lequel 7 apparaitre comme 5 jetons dans un compartiment
7, ou trouvent le résultat sous la forme 4 + 1 + 2 : ils calculent. dont le couvercle est fermé et 2 jetons dans l’autre.
Apprendre à calculer est évidemment un objectif essentiel Et pour 12, par exemple :
dès le CP. Mais il est moins évident de répondre à la ques-
Dès lors, des sommes telles que 5 + 2 et 10 + 2 sont connues
tion suivante : comment favoriser l’apprentissage du calcul ?
précocement et ce sont leurs résultats mémorisés que l’en-
Ce n’est pas à force de compter-numéroter que l’enfant fant utilise dans les autres calculs. Ainsi :
apprend à calculer. Certains enfants peuvent même s’enfer- 4 + 3 est pensé comme 4 + 1 + 2 (cf. sq 30 et 34) ;
mer très longtemps dans cette forme de comptage. Tous 5 + 7 est pensé comme 5 + 5 + 2 (cf. sq 58), etc.
les professeurs de cycle 3 savent que leurs élèves en diffi- C’est ce qu’on appelle souvent le « calcul réfléchi ».
culté sont des « enfants compteurs ». Rappelons que dans
Dans J’apprends les maths CP avec Picbille, les élèves uti-
J’apprends les maths CP avec Picbille, l’usage du comptage-
lisent également une schématisation de la main qui fait
numérotage n’est jamais valorisé.
apparaitrere 5 sous la forme 2 + 1 + 2. Les nombres 5, 7 et
Ce n’est pas non plus à force de répéter les résultats 10, par exemple, sont représentés ainsi :
de la table d’addition (ce qu’on appelle l’apprentissage
« par cœur ») que les enfants apprennent à calculer. Les
recherches montrent que ce qui est possible au CE avec la 5 7 10
table de multiplication, parce que les enfants ont déjà une En cohérence avec ce choix pédagogique, on repère d’une
bonne connaissance des nombres, ne l’est pas avec la table croix les jetons correspondants dans la représentation des
d’addition. nombres « comme Picbille » :
C’est donc un nouveau repère que nous introduisons : le
repère 3. La raison de ce choix est triple : a) Notre repré-
sentation mentale des nombres est linéaire ; b) Lorsque des
unités sont alignées, on n’en reconnaît immédiatement le
Cet ouvrage suit l’orthographe recommandée nombre exact que jusqu’à 3 (cf. la notion de subitizing ) ;
par les rectifications de 1990 et les programmes c) Un enfant qui ne ne sait pas utiliser le repère 3 ne peut ni
scolaires. Voir le site utiliser le repère 5 pour calculer, ni utiliser la dizaine pour se
http://www.orthographe-recommandee.info
et son miniguide d’information représenter les grands nombres !

* Une version de ce matériel est disponible en fin de fichier grâce aux couvercles
© Retz, 2016 autocollants repositionnables. Le matériel collectif appelé « Boite de Picbille »
ISBN : 978-2-7256-3471-5 est édité chez Retz.

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avait anticipé les programmes 2016
On lit dans le programme de 2016 pour le cycle 2 que les élèves doivent « comprendre que le successeur
d’un nombre entier c’est "ce nombre plus un", décomposer / recomposer les nombres additivement,
multiplicativement… ». En fait, le calcul se fonde toujours sur l’usage de stratégies de décomposition-
recomposition. C’est pourquoi, dans J’apprends les maths CP, celui-ci est systématiquement favorisé.
La mise en avant des décompositions explique que la file numérique soit introduite sous la forme d’une
file structurée de blocs de 10 cases vides, les boites de Picbille (voir sq 44). Pour un élève, la suite des
écritures chiffrées n’est pas une authentique file numérique tant que le numéro d’une case n’évoque pas les
décompositions du nombre correspondant grâce aux repères 5, 10, 15, 20… Quand c’est le cas, la présence
des numéros est inutile, et même néfaste car incitant au comptage-numérotage.
Concernant la résolution de problèmes, le programme 2016 recommande de demander aux élèves de « pré-
voir des résultats d’actions portant sur des collections ou des grandeurs ». Depuis sa 1re édition, J’apprends
les maths CP a constamment utilisé et perfectionné ce type d’activités, essentiel pour que les élèves donnent
du sens à leurs apprentissages numériques. Sa forme la plus achevée est sans conteste celle que nous avons
appelée la simulation mentale d’une action que l’enseignant réalise de manière masquée (voir ci-dessous).

Apprendre le calcul mental Apprendre à calculer en simulant


dans des situations d’anticipation mentalement l’action du maitre
Donnons d’abord un exemple de situation d’anticipation : Mais les situations d’anticipation utilisées dans J’apprends
les maths CP favorisent l’apprentissage du calcul mental
pour une autre raison, plus fondamentale encore. Consi-
Il y a 7 jetons dans la boite. dérons par exemple la situation utilisée pour enseigner le
Imaginez ce que je vois. « passage de la dizaine » : 8 + 4 = (8 + 2) + 2.
Combien y a-t-il de cases vides ?
Écrivez.
Il y a 8 jetons Je remplis la boite.
dans la boite Imaginez ce que
et j’ai 4 jetons je fais.
dans la main. Écrivez : 8 + 4 égale…

Phase d’anticipation. Phase de validation :


l’enseignant bascule la boite*. Combien y a-t-il
de cases vides ?

Dans ce cas, il s’agit d’anticiper le nombre de cases vides


d’un cadre matériel de 10 cases lorsque 7 d’entre elles sont
remplies. Ou encore : il s’agit d’anticiper le nombre de jetons Phase d’anticipation (début). Phase d’anticipation (fin).
qu’il faudrait ajouter pour qu’il y en ait 10.
Les élèves sont conduits à simuler mentalement l’action que
Les élèves prennent conscience de la différence entre ce l’enseignant réalise de façon masquée. Or les recherches
type de tâche et la devinette : contrairement à la devinette, en neuropsychologie montrent que l’apprentissage repose
l’élève qui raisonne correctement réussit systématiquement. grandement sur ce type de processus mentaux. Au-delà des
Par ailleurs, la situation est autocorrective : comme l’enjeu du travaux scientifiques, on en comprend bien les raisons en
raisonnement arithmétique est d’anticiper le résultat d’ac- considérant la phase de validation :
tions avant qu’elles ne soient effectivement réalisées, il suffit
de procéder à ces actions (ici, ajouter 3 jetons et observer Phase de validation : l’enseignant reconstitue
que la boite est pleine) pour valider ou non l’anticipation. la situation initiale tout en basculant la boite
et en ouvrant la main.
Les enfants prennent ainsi conscience que l’enjeu des tâches Il peut ensuite réaliser l’action de manière visible
en la commentant : « Il y a 8 jetons dans la boite,
arithmétiques se situe dans les transactions avec le monde donc 2 cases vides. Les 4 jetons que j’ajoute,
c’est 2 jetons pour les cases vides et encore…
des objets. Il ne s’agit pas seulement de deviner la réponse 2 jetons qui restent dans la main. Le résultat est 12. »
verbale qui ferait plaisir à l’enseignant.
De même, la résolution de problèmes prend du sens pour Lorsque les élèves sont seulement confrontés à une situation
les élèves. Il est important que les situations d’anticipation comme celle qui est utilisée ici pour la validation, c’est-à-dire
soient privilégiées au CP parce que c’est l’une des une situation où le complément à 8 est visible, où la collec-
classes où les enfants construisent leur rapport à l’activité tion ajoutée est visible et donc facilement décomposable,
mathématique. la plupart d’entre eux se trouvent en grande difficulté dès
que le matériel n’est plus présent.
Simuler mentalement l’action que l’enseignant a réalisée
de manière masquée oblige à reconstituer mentalement les
* Remarquons que l’enseignant tient la boite de façon que les élèves voient les données correspondant aux différentes étapes de la procé-
nombres croissant de gauche à droite lors de la phase de validation et qu’ils les
imaginent ainsi lors de la phase d’anticipation ; c’est en effet le sens de leur « file dure et à enchaîner ces étapes : devenir capable de le faire
numérique mentale » et il doit être privilégié. rend autonome dans la mise en œuvre de cette procédure.

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Apprendre, dès le CP, Comme dans le cas de l’addition, les élèves apprennent
d’abord à calculer les soustractions en dessinant des points
le calcul mental d’une soustraction « comme Picbille » avant de barrer ceux qui doivent être ôtés.
Rappelons qu’entre 1970 et 1990 la soustraction n’était plus Cependant, très vite, l’enseignant favorise une mentalisation
enseignée au CP, seule l’« addition à trou » l’était. J’apprends de ce calcul en proposant une situation d’anticipation qui
les maths CP avec Picbille a été le premier manuel à réintro- conduit les enfants à simuler mentalement un retrait que
duire cet enseignement dès le CP. Aujourd’hui, cela ne fait l’enseignant effectue de manière masquée.
plus vraiment débat. En revanche, la progression abordée ici
reste originale du fait que, dès le CP, les élèves apprennent
différentes stratégies de calcul mental d’une soustraction.
Un adulte n’utilise pas la même stratégie de calcul mental
pour déterminer 102 – 6 et 102 – 94. Pour calculer 102 – 6,
les adultes procèdent généralement par retraits successifs,
c’est-à-dire en reculant sur leur file numérique mentale ; ils
font : (102 – 2) – 4 = 96. En revanche, pour calculer 102 – 94,
ils calculent par compléments successifs, c’est-à-dire en
avançant sur leur file numérique mentale : à partir de 94, il Pour enseigner le calcul mental de 8 – 2, par exemple
faut 6 pour aller à 100 ; et encore 2 pour aller à 102, il faut (sq 41), il prend un carton avec 8 doigts dessinés et il masque
8 en tout. 2 doigts « à la fin », c’est-à-dire sur sa gauche. Pour enseigner
celui de 8 – 6 (sq 55), il cache 6 doigts « au début », c’est-à-
Dès le CP, il est donc crucial d’enseigner que 9 – 2 ne se
dire sur sa droite.
calcule pas de la même manière que 9 – 7. L’adulte qui a
automatisé ces calculs ne s’en rend plus compte mais, à son Dans tous les cas, la validation se fait en basculant le car-
insu, son activité mentale reste différente. Le mode de repré- ton contenant les 8 points et en effectuant le masquage de
sentation des nombres comme Picbille est particulièrement façon visible.
bien adapté pour cet enseignement. Là encore, les nombres apparaissent à l’enseignant comme
Le calcul de 9 – 2, par exemple, est enseigné de la manière croissant de droite à gauche : l’important est que les élèves
suivante (cf. sq 39) : les imaginent derrière le carton comme croissant de gauche
à droite, c’est-à-dire dans le sens de leur ligne numérique
mentale. Ces cartons sont fournis avec le Livre du maitre et
téléchargeables sur japprendslesmaths.fr.

Favoriser les généralisations


Nous avons été particulièrement attentifs à J’apprends
les maths CP avec Picbille favorise les généralisations. Les
exemples sont nombreux, donnons-en quelques-uns :
■ La notion de différence est étudiée dès le début de l’année
dans un contexte simple : la différence, c’est ce qu’il faut
En revanche, le calcul de 9 – 7 l’est ainsi (cf. sq 53) :
ajouter au petit nombre pour avoir le grand nombre (sq 7).
Elle n’est mise en relation avec la soustraction que plus tard
dans l’année (sq 74). Ainsi, dès le CP, les élèves ont la possibi-
lité de comprendre que la soustraction permet de résoudre
d’autres types de problèmes que ceux où l’on perd, où l’on
retire, etc.
■ La file des écritures chiffrées est mise en relation avec le
remplissage d’une file de boites de Picbille (sq 44).
■ La compréhension de la notion de dizaine est facilitée
parce que les élèves ont à comparer des « nombres comme
Dédé » et des « nombres comme Picbille » alors que la
dizaine de Dédé est constituée d’un groupe de 10 points
Dès le CP, donc, les élèves commencent à s’approprier les visibles et celle de Picbille d’un groupe de 10 jetons mas-
deux grandes stratégies de calcul d’une soustraction : en qués. De plus, la généralisation est explicitement appliquée
reculant (ou encore : en « barrant à la fin ») lorsque le nombre aux paquets de 10 gâteaux, aux bouquets de 10 fleurs, aux
retiré est petit et en avançant (ou encore : en « barrant au équipes de 10 enfants…
début ») lorsqu’il est grand. ■ La compréhension de la notion de dizaine est également
Lorsqu’on retarde cet enseignement, les élèves privilégient facilitée du fait que les élèves étudient plus généralement
la stratégie en reculant ; les plus fragiles d’entre eux s’en- la notion de groupement, et notamment ceux par 2 et par
ferment dans cette stratégie et ne développeront pas de 5, avant d’étudier la numération décimale qui, elle, se fonde
bonnes compétences en calcul mental d’une soustraction. sur un groupement par 10.
Diverses recherches mettent en évidence que cela aura des Les auteurs
répercussions négatives en résolution de problèmes.

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L‘organisation en 5 périodes
Périodes Nombres et calculs Géométrie et mesures Pages

rouge 8 à 35

Calcul jusqu’à 5
1 décompositions, additions et soustractions
Tracés à la règle
Les 10 premiers nombres
5 + 1 = 6 ; 5 + 2 = 7 ; 5 + 3 = 8, etc.

jaune 36 à 67

Calcul jusqu’à 10
2 décompositions, additions et soustractions
Tracés à la règle (suite)
Les 20 premiers nombres
comprendre 14 comme 10 et 4; groupes de 2 et 5

verte 68 à 95

Calcul jusqu’à 20
3 additions ( ajouter 5 ; les doubles) ; soustractions Tableaux cartésiens ;
Numération décimale jusqu’à 59 repérage et tracés sur quadrillage
les nombres jusqu’à 59 ; groupes de 2, 5 et 10
96 à 123
bleue
Calcul et numération jusqu’à 79
4 la soustraction pour calculer une différence ;
additions du type 9 + 7 (passage de la dizaine) ;
Mesure des longueurs ;
le centimètre.
du type 35 + 27 en dessinant puis sans dessiner ;
comparer des nombres

124 à 155
violette
Calcul et numération jusqu’à 100
5 calcul d’additions à partir des écritures chiffrées
Solides ; figures simples ;
heures et demi-heures ; masses (le kg) ;
(addition naturelle puis addition en colonnes);
décrire un trajet (gauche, droite)
soustractions avec des nombres de 2 chiffres

49 ; 57 ; 65 ; 75 ; 85 ; 105 ; 113 ; 129 ; 145 ; 153

Problèmes pour apprendre à chercher

Un code de couleurs pour savoir si une activité Exemple dans une page de 1re période
est un moment de :
• découverte Cadre à la couleur forte :
• d’appropriation découverte d’une nouvelle notion
• d’entretien ou d’un nouvel outil.
Dans les activités de découverte (cadre de couleur forte),
l’enseignant doit s’assurer de la compréhension de la situation
et de la consigne. De plus, il doit organiser l’échange entre Cadre à la couleur légère :
les élèves afin que ce qui est nouveau dans les savoirs ou activité d’appropriation de
savoir-faire utilisés émerge clairement. ces nouveautés.
Dans les activités d’entretien (cadre grisé), les élèves
travaillent de manière beaucoup plus autonome.
Cadre grisé :
Du point de vue de l’autonomie des élèves, les activités activité d’entretien des notions ou des outils
d’appropriation (cadre à la couleur légère) sont intermédiaires. introduits dans des pages antérieures.

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Sommaire
■ Nombres et calculs ■ Espace et géométrie ■ Grandeurs et mesures
■ Problèmes pour apprendre à chercher

28 Écriture littérale des 5 premiers nombres . . . . . . . . . . . . . . 42


1re période 29 Les compléments à 10 (1 ≤ n ≤ 9) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43
30 Calculer une addition (sommes ≤ 10) :
1 5, c’est 2 et encore 1 et encore 2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 utilisation du repère 5 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44
2 Tracer à la règle (1) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 31 La commutativité de l’addition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45
3 Les 5 premiers nombres dans la boite de Picbille . . . 12 32 Décompositions additives explicites : 6, c’est 1 plus… 46
4 Reconnaitre 2 et 3 par leurs décompositions . . . . . . . . . 14 33 Les nombres après 10 sur les doigts (de 11 à 16) . . . . 47
5 Reconnaitre 3 et 4 par leurs décompositions . . . . . . . . . 15 34 Additions (sommes ≤ 10) :
6 Tracer à la règle (2) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16 simulation mentale de l’ajout . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48
7 La différence (n ≤ 5) : 35 Problèmes pour apprendre à chercher. . . . . . . . . . . . . . . . . . 49
combien faut-il donner à Minibille ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 36 Les nombres après 10 sur les doigts (de 17 à 20) . . . . 50
8 La différence (n ≤ 5) : imaginer les collections . . . . . . . . 19 37 Les moitiés et les doubles (jusqu’à 5 + 5) . . . . . . . . . . . . . . 51
9 Introduction du signe « + » 38 Les nombres après 10 « comme Dédé » . . . . . . . . . . . . . . . . 52
dans une situation d’ajout . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
39 Calcul réfléchi de la soustraction :
10 L’addition dans une situation de réunion . . . . . . . . . . . . . . . 21 retirer un petit nombre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53
11 Écrire l’égalité qui correspond à une addition . . . . . . . . 22 40 Tracer à la règle (5) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 54
12 Les nombres 6 et 7 définis comme 5 + 1 et 5 + 2 . . . . 23 41 Retirer un petit nombre :
13 Addition (sommes ≤ 5) : calculer mentalement . . . . . . . 24 simulation mentale du retrait . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56
14 Comparaison de 1 + 4 et 4 + 1, de 1 + 3 et 3 + 1 . . . . 25 42 Problèmes pour apprendre à chercher. . . . . . . . . . . . . . . . . . 57
15 Addition de 3 nombres et introduction 43 Décompositions additives explicites :
du nombre zéro . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26 8, c’est 1 plus… . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58
16 Décompositions de 4 et de 5 : 44 Situer un nombre sur la file numérique :
écrire toutes les égalités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 les repères 5, 10, 15…. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59
17 Le nombre 10 défini comme 5 + 5. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28 45 Écriture littérale des premiers nombres jusqu’à 10 . . 60
18 Introduction du signe « – » dans une situation 46 Décompositions additives explicites :
de retrait . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29 10, c’est 1 plus… . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61
19 Tracer à la règle (3) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 30 47 Groupement par 2, 3… ; n fois 2, n fois 3… . . . . . . . . . . . 62
20 Soustraction (n ≤ 5) : calculer mentalement. . . . . . . . . . . . 32 48 La monnaie (1) : sommes ≤ 10 € . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64
21 Décompositions additives explicites : 49 Problèmes pour apprendre à chercher. . . . . . . . . . . . . . . . . . 65
4, c’est 1 plus… . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 33 50 La monnaie (2) : sommes ≤ 20 € . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66
22 Décompositions additives explicites : 51 Bilan terminal de la 2e période . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 67
5, c’est 1 plus… . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34
23 Bilan terminal de la 1re période . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35

3e période
2e période 52 10 jetons, c’est 1 groupe de dix et 0 jeton ;
11 jetons, c’est… . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68
24 Les nombres 6, 7, 8, 9 et 10 53 Calcul réfléchi de la soustraction :
dans le contexte de la boite . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36 retirer un grand nombre (1). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72
25 Tracer à la règle (4) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38 54 Décompositions additives explicites :
26 Dessiner des collections avec le repère 5 7, c’est 1 plus… . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 73
(« comme Dédé ») . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40 55 Soustractions (retirer un grand nombre) :
27 Dessiner des collections avec le repère 5 calculer mentalement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74
(« comme Picbille ») . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41

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56 Problèmes pour apprendre à chercher. . . . . . . . . . . . . . . . . . 75 93 Organiser le répertoire additif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 122
57 43, c’est 4 groupes de dix et 3 unités isolées ; 94 Bilan terminal de la 4e période . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 123
57, c’est… . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76
58 Calcul réfléchi de n + 5
en « regroupant les 5 dans la tête ». . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78
59 La planche des nombres comme Picbille. . . . . . . . . . . . . . . 79
5e période
60 Comparaison des nombres comme Dédé
95 Addition de 2 nombres à 2 chiffres :
et comme Picbille . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80
l’addition « naturelle » (1) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124
61 Écriture littérale des nombres à 2 chiffres (1) . . . . . . . . . . 82
96 Les solides (1) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 126
62 Calcul réfléchi de la soustraction : choisir la stratégie 83
97 Calcul réfléchi de la soustraction :
63 Calcul réfléchi de l’addition : les « grands doubles »84 cas du type 12 – 3 ; 14 – 6 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 127
64 Problèmes pour apprendre à chercher. . . . . . . . . . . . . . . . . . 85 98 Soustractions du type 11 – 3 : calculer mentalement 128
65 Décompositions additives explicites : 99 Problèmes pour apprendre à chercher. . . . . . . . . . . . . . . . 129
9, c’est 1 plus… . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 86
100 Addition de 2 nombres à 2 chiffres :
66 Comparaison de longueurs : approche intuitive . . . . . 87 l’addition « naturelle » (2) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 130
67 Grouper par 10 pour dénombrer une collection . . . . . 88 101 Groupes de 2, 5 et 10 : combien en tout ? . . . . . . . . . . . 131
68 Groupes de 2, 5 et 10 (paquets de gâteaux) . . . . . . . . . . 90 102 Les triangles et les rectangles
69 La monnaie (3) : former une somme avec des billets (quelconques et « réguliers ») . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 132
et des pièces . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 91 103 Les nombres de 80 à 100 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 133
70 Reproduire une figure sur un quadrillage . . . . . . . . . . . . . . 92 104 Ordonner les nombres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 134
71 Groupes de 2, 5 et 10 (contexte général). . . . . . . . . . . . . . . 94 105 Calcul réfléchi de la soustraction :
72 Bilan terminal de la 3e période . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 95 cas du type 12 – 9 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 135
106 Soustractions du type 13 – 9 :
calculer mentalement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 136

4 période
e 107 Les solides (2) : les pavés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 137
108 Tracés géométriques à l’aide de « formographes » (1) 138
73 Addition de 2 nombres à 2 chiffres (1) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 96 109 Écriture littérale des nombres de 70 à 99. . . . . . . . . . . . . 140
74 La soustraction pour calculer une différence . . . . . . . . . . 98 110 Soustraire un nombre à 1 chiffre d’un nombre
à 2 chiffres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 141
75 Vers les passages de la dizaine du type 9 + n . . . . . . . 100
111 L’addition en colonnes (1) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 142
76 Calcul réfléchi de l’addition :
le passage de la dizaine (1) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 101 112 L’addition en colonnes (2) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 143
77 Passage de la dizaine et commutativité de l’addition 102 113 Heures et demi-heures : la grande aiguille . . . . . . . . . . 144
78 Écriture littérale des nombres à 2 chiffres (2) . . . . . . . . 104 114 Problèmes pour apprendre à chercher . . . . . . . . . . . . . . . 145
79 Problèmes pour apprendre à chercher. . . . . . . . . . . . . . . . 105 115 Tracés géométriques à l’aide de « formographes » (2)146
80 Vers les passages de la dizaine du type 8 + n . . . . . . . 106 116 La soustraction des nombres à 2 chiffres . . . . . . . . . . . . . 147
81 Calcul réfléchi de l’addition : 117 Comparaison de masses (1) : « plus lourd que » . . . 148
le passage de la dizaine (2) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 107 118 Repérage dans l’espace :
82 Mesure de longueurs (1) : décrire un trajet (gauche, droite) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 150
reporter un étalon quelconque . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 108 119 Les moitiés de 10, 20, 30, 40 et 50 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 152
83 Calculs du type 7 + n, 8 + n et 9 + n : 120 Problèmes pour apprendre à chercher . . . . . . . . . . . . . . . 153
calculer mentalement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109 121 Comparaison de masses (2) : le kg . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 154
84 Décompositions des nombres 11, 12, 13… . . . . . . . . . . 110 122 Bilan terminal de la 5e période . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 155
85 Les nombres de 60 à 79 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 111
86 Addition de 2 nombres à 2 chiffres (2) . . . . . . . . . . . . . . . . . 112
Les problèmes avec cache. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 156
87 Problèmes pour apprendre à chercher. . . . . . . . . . . . . . . . 113
Activités avec la planche des nombres
88 Ajouter 10, retrancher 10 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 114 comme Picbille . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 157
89 Addition d’un nombre à 2 chiffres Le répertoire additif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 162
et d’un nombre à 1 chiffre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 115
90 Les moitiés (cas des nombres jusqu’à 20) . . . . . . . . . . . . 116
91 Plus grand que, plus petit que, égal à. . . . . . . . . . . . . . . . . 118 Progression par domaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 163

92 Mesure de longueurs (2) : le cm . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 120

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Progression par domaine
Les couleurs des numéros de séquences correspondent aux couleurs des périodes.

Nombres et calculs
■ Représenter les nombres
Les 5 premiers nombres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 1, 3, 4, 5, 28
Le nombre 10 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 17, 24, 26
Les nombres 6, 7, 8, 9 et 10 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 12, 14, 17, 24
Organiser pour dessiner des collections . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 26, 27, 38, 60
Les compléments à 10 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 29
Les nombres entre 10 et 20 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 33, 36, 38, 44, 52
Les nombres jusqu’à 59 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 52, 57, 59, 60, 67
Les nombres de 60 à 79 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 85
Les nombres de 80 à 100 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 103
Situer un nombre sur la file numérique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 44, 52, 85, 103
Écriture littérale des nombres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 45, 61, 78, 109
Comparer des nombres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 91
Ordonner les nombres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 104
■ Le calcul mental
Addition (somme ≤ 10) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 9, 10, 11, 12, 13, 15, 30, 31, 34
Addition (10 ≤ somme ≤ 20) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 50, 58, 63, 73, 75, 76, 77, 80, 81, 83
Stratégie d’appui sur 5 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 58, 63
Stratégie de passage de la dizaine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 75, 76, 77, 80, 81, 83
Addition (20 ≤ somme ≤ 99) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 59, 63, 73, 86, 89, 93, 95, 100
Décomposition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 16, 21, 22, 32, 43, 46, 54, 65, 84
Différence informelle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 7, 8, 60, 66
Soustraction (retrait) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 18, 20, 39, 41, 53, 55, 62, 97, 98, 105, 106, 110, 116
Soustraction (différence) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 74
Les doubles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 37, 63
Les moitiés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 37, 90, 119
Groupement par 2, 5 et 10 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 47, 57, 67, 68, 71, 101
De 10 en 10 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 88
■ Les techniques en colonnes
L’addition en colonnes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 111, 112

Problèmes pour apprendre à chercher


Dénombrement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 42, 64, 79, 87
Décompositions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 42, 87, 99, 114, 120
Problèmes additifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 49, 64, 79
Problèmes soustractifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 35, 49, 79, 99, 120
Groupement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 35, 49, 56, 99
Partage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 35, 87, 114
Repérage de cases . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 56, 64

Espace et géométrie Grandeurs et mesures


Tracer à la règle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 2, 6, 19, 25, 40 La monnaie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 48, 50, 69
Reproduire une figure sur un quadrillage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 70 Longueurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 82, 92
Solides . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 95, 107 Heure, durée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 113
Décrire un trajet (gauche, droite). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 118 Comparaison de masses . . . . . . . . Sq 117, 120
Triangles et rectangles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 102
Tracés à l’aide de « formographes » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sq 108, 115
163

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