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Exercice 1 : Exercice 7 :

{ }
Soit E = (x, x2 + 1) ∈ R2 | x∈R . A, B et C trois parties d’un ensemble E.
√ 1 Les propositions suivantes sont-elles vraies ?
1 Montrer que ∀y ∈ [1, +∞[: ( y − 1, y) ∈ E.
{√ }
2 Montrer que E = ( y − 1, y) ∈ R2 | y ∈ [1, +∞[ . a A∩B ⊂A∩C ⇒B ⊂C
b A∪B ⊂A∪C ⇒B ⊂C
{
Exercice 2 : A∪B ⊂A∪C
2 Établir que =⇒ B ⊂ C
A∩B ⊂A∩C
{ }
2k − 1 3 Si A ∪ B = B ∩ C que peut-on dire pour l’inclusion
Soit A = {1 + 2k | k ∈ Z}, et B = |k ∈Z .
3 de A, B, C ?
Montrer que A ⊂ B.

Exercice 8 :
Exercice 3 :
{ } Soient A et B deux parties d’un ensemble E. Montrer
2x2 +1
Soit A = x2 −1 ∈ R/x > 1 . que :
1 Montrer que A ⊂ [2, +∞[. 1 A⊂B⇔B⊂A
2x2 +1 2 A⊂B ⇒A∪B =E
2 Montrer que ∀y ∈ [2, +∞[, ∃x ∈]1, +∞[: x2 −1 = y.
3 A⊂B ⇒A∩B =∅
3 Que peut-on conclure ?

Exercice 9 :
Exercice 4 :
Simplifier :
Soit A et B deux parties d’un ensemble E.
A ∩ (Ā ∪ B)
1 Donner la valeur de vérité de la proposition sui-
vante : A ̸⊂ B ⇒ B ⊂ A. (Ā ∩ B) ∪ (Ā ∩ B̄) ∪ (A ∩ B)
2 Montrer que : (A − B) − (A ∩ B)
A ̸⊂ B ⇔ (∃x ∈ E : x ∈ A et x ∈
/ B).
Exercice 10 :
Exercice 5 :
A, B, C et D sont quatre parties d’un ensemble E. Mon-
{ } { } trer que :
A = (n, n ) ∈ N /n ∈ N ; B = (2n, n) ∈ N /n ∈ N .
2 2 2

Déterminer A ∩ B. 1 (A − B) − C = A − (B ∪ C).
2 (A − B) ∩ (C − D) = (A ∩ C) − (B ∪ D).
Exercice 6 : 3 (A − C) − (B − C) = (A − B) − C = A − (B ∪ C).

Montrer les equivalences suivantes :


1 A = A ∩ B ⇔ A ⊂ B. Exercice 11 :
2 A = A ∪ B ⇔ B ⊂ A.
1 Déterminer A∆A et A∆∅
3 ∀x ∈ E :
2 Montrer que A∆B = (A ∪ B) − (A ∩ B)
a x ∈ A ∪ B ⇔ (x ∈
/ A ⇒ x ∈ B)
3 Montrer que A∆B = Ā∆B̄
b x∈
/ A ∪ B ⇔ (x ∈
/ A et x ∈
/ B)
4 Montrer les équivalences suivantes :
c x∈
/ A ∩ B ⇔ (x ∈
/ A ou x ∈
/ B)
a A∆B = ∅ ⇔ A = B
b A∆B = A ∩ B ⇔ A = ∅ ou B = ∅
Exercice 12 : Exercice 18 :

1 Soit A une partie de E, B une partie de F , montrer N2 → N


Soit f l’application définie par f: .
que A × B ⊂ E × F . (x, y) → x+y
2 Montrer que toute partie G de E × F n’est pas né- 1 Justifier que ∀(x, y) ∈ N2 : f (x, y) = f (y, x).
cessairement le produit cartésien A × B avec A une 2 f est-elle injective ?
partie de E et B une partie de F .
3 Justifier que ∀n ∈ N : f (n, 0) = n, en déduire que f
est surjective.
Exercice 13 :

Exercice 19 :
Soient A, B, C trois parties d’un ensemble E.
1 Montrer que A = B =⇒ A × C = B × C.
Z × N∗ → Q
2 Á quelle condition sur C on aura A×C = B×C =⇒ Soit f l’application définie par f : .
(p, q) → p + 1q
A=B?
1 Montrer que f est injective.
2 Résoudre dans Z × N∗ l’équation f (p, q) = 7
2
Exercice 14 :
3 f est-elle surjective ?
R→ Z
On considère l’application f: .
x→ E(x) Exercice 20 :
1 Résoudre dans R l’équation f (x) = 0.
2 f est-elle injective ? R \ {− 12 } → R \ {− 12 }
Soit l’application f: .
x → x+1
3 Soit k ∈ Z, résoudre dans R l’équation f (x) = k en 2x+1

déduire que f est surjective. 1 Montrer que f est bijective et donner sa bijection
réciproque f −1 .

Exercice 15 :
Exercice 21 :
R \ {−1} → R
On considère l’application f : x2 +2x . [4, +∞[ → √[0, +∞[
x → (x+1)2 Soit f l’application f: .
x → x2 − 4x
1 a Montrer que ∀x ∈ R \ {−1} : f (x) < 1.
1 Montrer que f est bijective et donner sa bijection
b f est-elle surjective ? réciproque f −1 .
2 Montrer que ∀x ∈ R \ {−1} : f (x) = f (−x − 2)
3 Déduire que f est non injective.
Exercice 22 :

Exercice 16 : Z × [0, 1[ → R
Soit f l’application f: .
(p, r) → p+r
R \ {1} → R 1 Montrer que f est injective et surjective.
On considère l’application : f: .
x → 2x+5
x−1 2 Déduire que f est bijective et donner sa bijection
1 Montrer que f est injective. réciproque.

2 Montrer que f est non surjective.


Exercice 23 :

Exercice 17 :
Posons E =]0, +∞[2 .
E → E
R∗ → R Soit f l’application définie par f :
(x, y) → (xy, xy )
.
On considère l’application f: |x|+1 .
x → x
1 Montrer que f est injective et surjective.
1 Montrer que f est injective.
2 Déduire que f est bijective et donner sa bijection
2 Résoudre dans R l’équation f (x) = 0 en déduire que réciproque.
f est non surjective.
Exercice 24 : Exercice 30 :

[3, +∞[ → [0, +∞[ Soit E un ensemble non vide, pour (A, B) ∈ P(E)2 on
Soit f l’application f: x → √ x
. P(E) → P(A) X P(B)
x−3+1 note f : .
X → (X ∩ A, X ∩ B)
1 Résoudre dans [3, +∞[ l’équation
f (x) = 23 . 1 Montrer que f est injective si et seulement si A ∪ B = E.
2 f est-elle injective ? 2 Montrer que f est surjective si et seulement si A ∩ B = ∅.
3 Montrer qye ∀x ∈ [3, +∞[: f (x) ≥ 2 3 On suppose que B = Ā, montrer que f est bijective et
donner sa bijection réciproque.
4 f est-elle surjective ?
5 Soit g la réstriction de f á [4, +∞[, montrer que g
est une bijection de [4, +∞[ vers [2, +∞[ et donner Exercice 31 :
g −1 .
Soit E un ensemble non vide, pour A ∈ P(E) on note f
P(E) → P(E)
Exercice 25 : l’application .
X → X∆A
Montrer que f ◦ f = id en déduire que f est bijective et
Soit f l’application de R dans R telle que : donner sa bijection réciproque.
∀(x, y) ∈ R2 : f (x).f (y) = f (xy) + x + y.
1 Donner les valeurs possible de f (0).
Exercice 32 :
2 Montrer par l’absurde que f (0) = 1.
3 Déduire l’expression de f . Soit E un ensemble non vide, pour A ∈ P(E) on note f
P(E) → P(E)
l’application .
X → X −A
Exercice 26 :
1 Calculer f (A) et f (∅). Que peut-on déduire ?
R → ] − 1, 1[ 2 f est-elle surjective ?
Soit f: .
x → x
1+|x| 3 Soit (X, Y ) ∈ P(E)2 : calculer f (X ∪Y ) et f (X ∩Y )
1 Justifier que f est une application. en fonction de X et Y .
2 Montrer que f est une bijection et détérminer f −1 . 4 Détérminer l’application f ◦ f .

Exercice 27 : Exercice 33 :

Soit f : E → F et g : F → G
] − 1, 1[ → R
Soit f : . 1 Montrer que si g◦f est injective alors f est injective.
x → x
1−x2
1 Montrer que f est une bijection et détérminer f −1 . 2 Montrer que si g ◦ f est surjective alors g est surjec-
tive.
3 Déduire alors que si g ◦ f est surjective et g est in-
Exercice 28 : jective alors f est surjective.

R \ {−2} → R \ {−3}
Soit f l’application f: . Exercice 34 :
x → 3x+1
x+2
1 Montrer que f est injective. Soit p une application de E dans E telle que p ◦ p = p.
2 Montrer que f est surjective. Montrer que (p est injective ou surjective)⇔ p = idE .
3 Déduire que f est bijective et donner sa bijection
réciproque.
Exercice 35 :

Exercice 29 : Soit p une application de E dans E telle que p ◦ p ◦ p = p.


Montrer que p est injective ⇔ p est surjective.
Soit E un ensemble non vide, pour A ∈ P(E) on note Φ
P(E) → P(E)
l’application .
X → X ∩A
1 Calculer Φ(A) et Φ(E) et déduire que Φ est injective
si et seulement si A = E.
Exercice 36 : Exercice 37 :

Soit f une application de N dans R telle que f (0) = 1 et Soit A une partie d’un ensemble E.On { définit l’applica-
∀n ∈ N : f (n + 1) = f (n) + E(f (n)). 1 si x ∈ A
tion 1A , de E vers {0, 1} par : 1A (x) =
1 Montrer par récurrence que 0 si x ∈
/A
∀n ∈ N : f (n) ∈ N
1 Montrer que A → 1A est une bijection de P(E) sur
2 Déduire que ∀n ∈ N : f (n + 1) = 2f (n). l’ensemble F(E, {0, 1}) (l’ensemble des applications
3 Montrer que ∀n ∈ N : f (n) = 2n . de E vers {0, 1}).
4 Montrer que f est injective. 2 Montrer que 1A∩B = 1A .1B et 1A∪B = 1A + 1B −
5 f est-elle surjective ? 1A∩B .
3 Donner une expression de 1Ā , 1A−B et 1A∆B .

Exercice 38 :

R → Z
Soit n ∈ N∗ , on définit fn : .
x → E( nx )
1 Calculer fn ( n2 ) et fn ( n3 ), en déduire que f est non
injective.
2 Montrer que fn est surjective.
3 M.q ∀(n, m) ∈ Z2 : fn ◦ fm = fn.m .

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