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• Ds la religion il y a une croyance métaphysique = Idée que au-delà de la réalité physique, il existe
autre chose ( puiss sup ) avec lequel on peut être en lien + permet de donner du sens à ce qui est.
• Ds ttes religion, il y a une conscience religieuse chez les hommes. Cette conscience implique
valeurs + style d’existence auxquels on est fidèle.
2 aspects :
FREUD RECAP
- Pr lui la religion a pr fonction d’intérioriser une crtne forme de censure ds notre esprit, car ca ns
conduit a respecter des interdits sociaux. Aux temps préhistorique la loi était intérioriser et
s’exercer a l’interieur de notre esprit le surmoi = si on ne respecte pas la loi du grp dieu va ns
punir. On va ressentir de la culpabilité a chaque fois que nous devions de cette loi. Ce n’est pas pr
lui de vouloir supprimer la censure, sans surmoi, il y aurait aucune culpabilité.
- Freud remarque que la religion renforce de manière excessive ce sentiment de culpabilité a
chaque fois que l’individu éprouve du désir. ( surtout sexuel ) la religion favoruse les maladies
mentales ( nevrose obsessionnelle / TOC les troubles obsessionnels compulsifs). L’individu se
punit lui meme par des comportements etranges et obsessionnels qui rappellent des rituels
religieux.
- Selon Freud la religion est une illusion réconfortante mais qui finit par produire de la ´névrose.
2 caracteristiques de l’illusion :
- Elle est produite par le désir, on voit les choses non pas comme elles sont, mais comme on
désireraient qu’elles soient
- On est ds le déni de la réalité.
MARX RECAP
Marx : « la religion est l’opium du peuple » = comparer religion a de la drogue pr faire comprendre
que la religion permet de cacher nos problèmes, et de garder espoir.
SPINOZA
La superstition vient de 2 choses d’après lui
- La conscience de l’avenir, mais on ne sait pas de quoi il sera fait
- Le désir « des biens incertain de fortune » = il n’est pas sûr que ce soit des biens car c’est peut-
être le désir qui fait apparaître des biens. Ils st aussi incertain car on n’est pas sûr de les obtenir
+ de les garder.
= On se rend dépendant de ses désirs.
= On sera tjrs instable, ça nous rend crédule
• Cette crédulité favorise travail de l’imaginat°, on periçoit donc les choses enf onctions de nos
désirs : craintes.
• Le superstitieux = celui qui explique tt par les causes finales. Et dès qu’il voit qlq chose
d’inhabituel, il le voit par le recourd à la divinité.
• Si l’église a le pouvoir temporel, elle va presque se servir de la superstit° pour gouverner car c’est
efficace. C’est un excellent moyen d’obtenir l’obéissance.
• Pr Spinoza, on y perd de ts les côtés. D’un point de vue pol = perte de la lib de conscience + et la
lib politique.
CSQ :
- Il faut séparer l’église et l’État
- Si on veut comprendre la relig°, il faut distinguer la foi + superstit°
RAISON ET FOI :
• Ce n’est pas parce que l’on ne peut pas faire une expérience physique de qlq chose que c’est qlq
chose n’existe pas.
• Ces critiques ont un gros défaut, elle n’examine jamais le pouv de la raison + ses éventuelles
limites.
RAISON : une faculté humaine qui ns permet de raisonner =enchaîner des logiques qui permettent
la connaissance.
FOI ; intuit° d’un sens qui répondrait à nos inquiétudes provoquée par le caractère absurde et
tragique
PASCAL RECAP
CONCLUSION :
On peut aller encore plus loin que la cohabitat° pacifique (entre raison et foi) en réfléchissant
à la possibilité d’une interact° entre la vie spirituelle et la vie intellectuelle. Plrs pistes.
1ere piste :
La question de l’interprétat° des textes religieux + le problème de la violence religieuse. Spinoza
dénonce les dangers d’une mauvaise lecture des textes religieux qui doivent d’ailleurs être soumis à
une enquête historique. Les dangers st tjrs les mêmes, justifier par la parole divine des invent°
proprement humaines, justifier ainsi des préjugés, par ex la soumiss° de la femme, la guerre sainte
qui justifie les massacres, l’illus° des causes finales qui conduit à tt expliquer par la volonté de Dieu,
« cet asile de l’ignorance » comme le dit Spinoza. etc…
2e piste
Que l’on voit encore chez Spinoza. La relat° entre le théologique et le pol. La raison ns persuade que
la laïcité est un principe politique fondamental, qu’il est nécessaire de garantir la lib de conscience,
de séparer le politique et le religieux pour le bien des deux.
3e piste
Cette fois ce sont plutôt nos croyances, nos convict° ou encore le pari positif que l’on fait sur
l’avenir ou sur l’homme lui-même, qui viennent éclairer nos pratiques.