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Etude ordonnée :
1- Explication du texte :
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comprenons aisément qu’un homme qui ne travaille pas est
malheureux et ne réalise pas son essence. Il nous fait alors
comprendre qu’en travaillant l’homme cherche à atteindre son but,
ce qui l’éloigne de l’ennuie, de l’oisiveté, car, il est tenu par ce
qu’il veut atteindre et réaliser.
Texte 2 : Freud
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Thème : le progrès
Question implicite : Peut-on vraiment parle du progrès humain ?
Thèse : l’homme a progressé sur les plans scientifiques et technique,
mais pas sur les plans moral et sociétal.
Question problème : Aux regards du comportement immorale et
inhumain que l’homme affiche de nos jours, la pensée de Freud n’est-
elle pas justifiée ?
Etude ordonnée :
1-Explication du texte : Freud, nous montre dans ce texte que
l’homme a fait d’énormes progrès dans les sciences de la nature
(physique, chimie, mécanique …), mais, dans la gestion des affaires
humaines, dans la vie sociétale, il est demeuré presqu’animal. Il n’a
fait aucun progrès. Le progrès scientifique et technique ne
s’accompagne pas du progrès moral psychologie. Autrement dit,
l’homme n’est pas capable de faire des progrès sur le plan moral et
psychologique. En effet, malgré notre souhait d’avoir une humanité
sans conflits, sans violence, nos instincts animaux vont toujours
s’exprimer. Nous n’aurons jamais une humanité dans laquelle, tous les
hommes seront heureux.
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2-Intérêt philosophique :
Comme le dit Freud, l’homme a effectivement fait des grands progrès
sur le plan scientifique et technique. Car, nous pouvons observer
aujourd’hui des inventions technique telles que le train, l’avion, le
bateau etc. qui permettent à l’homme de se déplacer d’un point du
monde à un autre. Tout comme sur le plan scientifique, nous pouvons
assister à des transplantations du cœur, du rein etc. De même, sur le
plan architectural l’homme est passé de la crotte au gratte-ciel. Tandis
que, dans le domaine moral, le même progrès n’est pas visible parce
que l’homme est toujours barbares : il est toujours auteur de violence
(agression, meurtre, assassinat, viole,) ; vicieux ; égoïste. Au regard de
ce qui précède, Freud, semble avoir raison.
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Texte 3 : Kant
Thème : La religion, la différence entre religion et la croyance
Question implicite : Existe-t-il une multiplicité de religion ? Doit-on
confondre religion et croyance ?
Thèse : La religion est différente de la croyance. La religion n’est pas
à confondre à la croyance.
Question problème : Toutefois, Kant n’a-t-il pas une vision étroite de
la notion de religion ?
Etude ordonnée :
1-Explication du texte : Pour asseoir sa thèse selon laquelle la
religion est différente de la croyance, Kant nous fait d’abord
comprendre que la religion est unique et les croyances sont diverses.
C’est-à-dire qu’il n’y a qu’une religion, mais une multiplicité de
croyances. Il précise qu’entre plusieurs églises qui s’opposent, en
réalité la religion est la même, mais les croyances sont diverses.
Mieux, c’est donc une erreur de dire d’une personne qui prie,
fréquente l’église catholique, ou luthérienne est de religion catholique
ou luthérienne. Selon Kant, il n’y a pas de religion catholique, juive,
musulmane, luthérienne car, tout ceci ne renvoie qu’à des croyances.
Pour lui, même dans les différents enseignements, l’utilisation du mot
religion est inappropriée, car, il sera nécessairement mal compris.
Chacun va se référer à sa croyance à sa foi.
Emmanuel Kant, entend par religion ici, tout ce qui : « se cache
intérieurement et dépend d’intentions morales ». Autrement dit, la
religion relève de la conscience morale que l’on retrouve chez tous les
hommes et non des idées et comportements extérieurs. En réalité, tous
ceux qu’on considère comme adeptes de religions ne le sont pas, mais
bien au contraire, ils sont adeptes des croyances.
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L’auteur souligne que toutes les querelles que le monde a connu au
tour de l’idée de religion, se faisait en réalité autour des croyances, de
la foi. Si bien que, les gens qui étaient victimes de l’oppression
(religieuse) n’étaient pas touché au niveau de leur religion car, celle-ci
étant intérieure est donc inattaquable.
Transition : En excluant la croyance de la religion, Kant n’a-t-il pas
une notion étroite de celle-ci ? Kant, n’a-t-il pas commis une erreur en
limitant la religion qu’a son seul aspect intérieur ?
2-Intérêt philosophique :
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TEXTE 4 : TOWA
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présent d’acquérir les mêmes moyens. On voit immédiatement l’utilité
du passé dans le présent.