Noémie DUCHESNE-PERRON

Didactique des arts au préscolaire-primaire

3EAR136-03

Participation active

Travail présenté à

Patrice BAILLARGEON

Département des sciences de l’éducation

Université de Chicoutimi

16 décembre 2022
Pour commencer, ma vision des arts a beaucoup évolué tout au long de la session. Au départ,
je croyais que l’art au primaire consistait seulement à effectuer différentes œuvres avec de la
peinture, des crayons. Je me suis vite rendu compte que l’art était beaucoup plus que cela.
L’art consiste également à effectuer des appréciations qui peuvent permettre aux élèves d’en
apprendre beaucoup sur eux-mêmes. Il est également important de comprendre les œuvres
que nous voyons et comprendre l’impact que l’artiste a voulu faire ressortir en la créant. Ma
vision des arts est maintenant beaucoup plus ouverte maintenant qu’au début de la session.
Mon GIF montrait un cerveau avec plusieurs couleurs qui représentaient la créativité. Cette
vision est restée la même, la créativité est au centre de l’art selon moi. La créativité est
différente pour chacun des apprenants et c’est ce qui fait que l’art varie d’une personne à une
autre. Ma vision de l’art était beaucoup plus axée sur le résultat que sur le processus.
Maintenant c’est tout le contraire, le processus est beaucoup plus important que le résultat.
De plus, ma conception de l’enseignement des arts a beaucoup changé. Au départ, je croyais
qu’il suffisait de présenter un projet aux élèves pour que par la suite, il effectue ce projet. Il
est important de pousser les élèves dans une réflexion créative, pour que par la suite, les
élèves développent l’habileté des arts. J’ai également compris que l’art n’était pas seulement
manuel, mais bien beaucoup plus mental qu’autre chose. Je crois en tant que futur enseignant,
qu’il est de notre devoir de faire comprendre aux élèves que même si tu n'es pas
nécessairement habile avec les arts, tu peux quand même être doué. De plus, lors de mes
différents stages ou durant mes journées de remplacement, il suffisait d’effectuer une
création. Grâce au cours que j’ai suivi, j’ai compris que l’art n’était pas seulement une
création et qu’il fallait passer par plusieurs étapes pour faire de nouveaux apprentissages.
Pour ce qui est d’une situation d’apprentissage de création artistique que j’ai aimée et dans
laquelle j’ai le plus appris est clairement la première que nous avons faite avec la grenouille.
J’ai appris que l’important ce n’est pas le résultat, mais bien le processus. Cette création m’a
fait comprendre que l’art n’est pas seulement basé sur le talent. Il est important de faire
comprendre cela à nos élèves avant de commencer. J’ai remarqué à plusieurs reprises que les
enfants étaient souvent découragés de ce qu’ils effectuaient. Il est alors de notre devoir d’axer
l’art sur le processus et non juste sur le résultat. Lors de la création de la grenouille, j’ai
également appris la différence entre les tons et les teintes. En appréciation, j’ai appris que
chaque personne à une vision totalement différente d’une œuvre. Les émotions qui nous
envahissent lorsque nous contemplons une œuvre diffèrent d’une personne à une autre selon
nos expériences et nos vécues. Dans un autre ordre d’idée, l’interdisciplinarité a pris une
grande importance pour ma future carrière. J’ai compris qu’elle permettait de combiner
plusieurs disciplines et permettait également de faire de nombreux apprentissages dans
différentes matières. Je croyais que l’art était difficile à combiner au départ, mais maintenant
je crois qu’il est très facile de faire différents projets interdisciplinaires en arts.

Équipe 2:

Les personnes de l’équipe: Catherine, Sarah-Maude et Stéphanie

La thématique abordée: La pollution

La/le/les artistes: Haseltine Pozzi

Le titre d’une création: A, Lidia le phoque

Ce que je vois ? Un phoque dans les tons de blanc et gris. Plusieurs couleurs chaudes sont
utilisées pour effectuer le rocher sur lequel il se trouve. Le phoque semble très triste sur la
sculpture. Dans la structure du phoque, il est facile d’observer différents déchets que nous
pouvons retrouver dans les océans.

Ce que je sens ? Je ressens une grande tristesse en regardant cette œuvre. Il est facile de
comprendre que l’artiste fait une référence à la pollution dans nos océans. L'œuvre permet de
comprendre qu’il y a une grande problématique et que si nous ne faisons rien, l’océan mourra
petit peu par petit peu.

Ce que je pense ? Je crois que le phoque est pris dans la pollution créée par les humains. Cela
me désole énormément. Je crois que l’artiste veut choquer le public en effectuant des œuvres
qui démontrent une grande problématique. Je pense également qu’il faut absolument
diminuer notre consommation de plastique.
Équipe 8

Les personnes de l’équipe: Noémie Lajoie, Amély Morin, Marie-Kim Brisson

La thématique abordée: L’art qui disparaît (les animaux)

La/le/les artistes: Tim flach

Le titre d’une création: Golden snub Nosed Monkey

Ce que je vois? Je vois un jeune singe qui semble triste. Nous pouvons bien voir le détail du
poil du singe. Le fond est complètement noir. Le singe est de couleur roux et blond. Le singe
est également placé de côté et il regarde par en bas.

Ce que je sens? Je ressens une grande tristesse quand je vois ce petit singe parce qu’il semble
si triste. Cette image vient me chercher au plus profond de moi, car j’adore les animaux.

Ce que je pense? Je pense que ce petit singe est très triste puisqu’il est élevé en captivité et
qu’il a peut-être perdu toute sa famille. Je pense également que nous devrions arrêter
d’encourager des endroits où les animaux sont en cage.