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e dernier jour dd'un condamné: 250 questions

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Questions générales :

1. Quel est le genre de cet œuvre ?: roman autobiographique – roman à thèse –


roman policier.

2. Quelle est sa date de parution ?: 1282 – 1829 – 1830.


3. Quelle est la thèse défendue ?: l’application de la peine capitale – l’abolition d
la peine capitale – la défense de la peine capitale.
4. Quelle est la visée des textes de ce roman ?: visée argumentative – visée
narrative – visée informative.
5. Quelle est l’heure de l’exécution ?: deux heures – trois heures – quatre heures.
6. Le narrateur est : un força – un galérien – un condamné à mort.
7. Quel est le premier lieu dé séjour du narrateur ?: la conciergerie – Bicêtre –
l’hôtel de ville.
8. A partir de quel chapitre annonce-t-on le dernier jour ?: à partir du chapitre 13
– à partir du chapitre 18 – à partir du chapitre 48.
9. Comment le narrateur a-t-il décrit les spectateurs ?: gentils – malheureux –
avides de sang.
10. Pourquoi l’auteur n’a pas cité le prénom du condamné ?: pour rendre son
roman universel – pour attirer la pitié du lecteur.
11. Quel est le lieu de l’exécution ?: le palais royal – la place de grève – la tour
notre Dame.
12. Quel est son amour d’enfance ?: Pepa – Marie – Mery.
13. Quelles sont les personnes que le narrateur a laissé derrière lui ?: deux filles et
une mère- un garçon, une fille et une épouse – une fille, une femme et une
mère.
14. Quel est le nombre des chapitres ?: 47 – 48 – 49.
15. Quelle est la date de naissance de l’auteur ?: 1815 – 1810 – 1802.
16. Quelle est la date du décès de l’auteur ?: 1885 – 1887 – 1889.
17. Où se trouve le narrateur ?: dans un cabinet – dans un cachot – dans un
cabaret.
18. A quelle peine est-il condamné ?: les galères – les travaux forcés – la mort.
19. Par quelle machine sera-t-il exécuté ?: la guillotine – la chaise électrique – la
potence.
20. Qui va l’exécuter ?: un geôlier – un guichetier – un bourreau.
21. Quelle est la situation familiale du condamné ?: veuf – marié – célibataire.
22. Par quoi se caractérise la cellule du condamné ?: elle est meublée – elle est
accueillante – elle est repoussante.
23. Quel est le premier chapitre rédigé à la conciergerie ?: chapitre 18 – chapitre
20 – chapitre 22.
24. Quel est le premier chapitre rédigé à l’hôtel de vile ?: chapitre 44 – chapitre 46
– chapitre 48.
25. Quelle est l’heure de l’annonce du dernier jour ?: six heures – six heures et
demie - sept heures.
26. Quel est le spectacle qu’a vu le narrateur dans la cour de la prison (chapitre
13) ?: l’exécution des forçats – le ferrage des forçats – la fête des forçats.
27. Pourquoi le narrateur est-il emmené à l’infirmerie ?: car il a de la fièvre – car il
a mal au ventre – car il s’est évanoui.
28. Qu’est-ce qu’il a entendu à l’infirmerie ?: la voix d’un oiseau – la femme d’un
condamné – une jeune fille de 15 ans.
29. Quel est l’âge de sa mère ?: 62 ans – 64 ans – 66 ans.
30. Quelle était la durée de son procès ?: trois jours – cinq jours – six jours.
31. Qui est l’un des condamnés qui ont laissé des traces dans la même cellule du
condamné ?: Charles 10 – papavoine – pepita.
32. Quel est l’âge du condamné qu’a rencontré le narrateur à la conciergerie ?: 50
ans – 55 ans – 60 ans.
33. Qu’est-ce que le vieux condamné a pris au narrateur ?: une montre – une
redingote – une chemise.
34. Quelle est l’image qui fait peur au narrateur ?: l’image de la potence – l’image
de Bicêtre – l’image de l’échafaud.
35. Pourquoi un sous-Architect est arrivé dans la cellule du condamné ?: pour
prendre des notes – pour prendre des mesures – pour interroger le narrateur.
36. Comment le narrateur a-t-il caractérisé l’idée de la mort ?: elle est heureuse –
elle est malheureuse – elle est jalouse.
37. Combien de temps le narrateur a-t-il passé à Bicêtre ?: environ 4 semaines –
environ 6 semaines – environ 8 semaines.
38. Comment le narrateur a-t-il décrit Bicêtre ?: comme une masure – come une
chaumière – comme une maison.
39. Qu’a-t-il appris en prison ?: le jeux aux cartes – l’espagnole – l’argot.
40. Que désigne l’expression « épouser la veuve » ?: être guillotiné – être pendu –
être tué.
41. Quelle faveur a-t-on accordé au narrateur ?: des papiers et une plume – des
romans et des revus – des chemises et des pantalons.
42. A quel moment ont commencé les préparatifs du départ des forçats à Toulon ?:
le matin – à midi – l’après-midi.
43. Par quoi ces préparatifs ont-ils commencé ?: par l’entrée d’une charrette – par
l’entrée du directeur – par l’entrée des galériens.
44. Qu’est-ce qui s’est passé au narrateur après avoir vu le spectacle du départ des
forçats ?: il est tombé malade – il a mal à la tête – il s’est évanoui.
45. Quelle est la durée du voyage des forçats ?: 23 jours – 25 jours – 27 jours.
46. Qu’est-ce que le narrateur aurait dû faire lorsqu’il était à l’infirmerie ?: se
suicider – se cacher – s’évader.
47. Quelle est la première personne qui a visité le narrateur dans son dernier
jour ?: un directeur – un prêtre – un guichetier.
48. Comment le guichetier s’est comporté avec le narrateur ?: d’une manière
agressive – d’une manière méprisante – d’une manière respectueuse.
49. Quelle est la troisième personne qui a visité le narrateur dans son dernier
jour ?: le directeur – le prêtre – l’huissier.
50. Qui a annoncé au narrateur le rejet de son pourvoi ?: le directeur – le prêtre –
l’huissier.
51. Quel est le deuxième lieu de séjour du narrateur ?: la conciergerie – Bicêtre –
l’hôtel de ville.
52. A quel âge le friauche a-t-il emprisonné pour la première fois ?: 6 ans – 9 ans
– 17 ans.
53. Le narrateur a accepté d’échanger sa redingote contre la veste du vieil
homme : par peur – par charité – par insouciance.
54. Qui était avec le narrateur dans sa cellule à la conciergerie ?: un bourreau – un
gendarme – un guichetier.
55. De qui le narrateur pense-t-il obtenir une grâce ?: du procureur général – du
directeur – du roi.
56. Comment le narrateur a-t-il considéré l’aumônier de la prison ?: un prêtre qui
répète un discours sans âme – un prêtre qui donne de la consolation – un prêtre
qui a marqué le condamné par son éloquence.
57. Quel genre de prêtre réclame le narrateur ?: un prêtre menteur – un prêtre
crédible – un prêtre malheureux.
58. Avant d’emmener le narrateur à l’hôtel de ville : ils lui ont coupé les oreilles –
ils lui ont coupé les mains – ils lui ont coupé les cheveux.
59. Comment s’appelle le bourreau qui exécuterait le narrateur ?: Samson – Mardi
– Mercredi.
60. Comment le narrateur a-t-il considéré sa cellule à Bicêtre ?: une boîte de
conserve – une boîte à merveilles – une boîte de pierre.
61. Quel jeu le nouveau gendarme de la conciergerie joue-t-il ? Il joue aux cartes –
il joue à la loterie – il joue au tiercé.
62. Quel est l’âge de sa petite file marie ? 2 ans – 3 ans – 4 ans.
63. Qu’est-ce qu’ils lui ont donné une fois arrivé à Bicêtre ?: une chemise – un
pantalon – une camisole de force.

Chapitre 1 :

64. Dans ce chapitre le narrateur fait une comparaison entre : le passé et le future –
le passé et le présent – le présent et le futur.
65. Le passé est symbole de : l’obscurité et une seule idée – la liberté et plusieurs
idées – l’emprisonnement et une seule idée.
66. Les deux marqueurs temporels employés sont : autrefois et maintenant – hier
et aujourd’hui – autrefois et actuellement.
67. « Sous les larges bras des marronniers » est : une métaphore – une antiphrase –
une personnification.
68. L’idée qui obsède le narrateur est : l’idée de la mort – l’idée de la liberté –
l’idée de la prison.
69. L’idée de la mort reparait dans les rêves du narrateur sous-forme : d’une lame
– d’une épée – d’un couteau.
70. Dans ce chapitre le narrateur se trouve : dans un cabinet à Bicêtre – dans un
cabinet à la conciergerie – dans une cellule à Bicêtre.

Chapitre 2 :

71. Quand le narrateur a-t-il condamné ?: le mois d’avril – le mois de novembre –


le mois d’août.
72. Les spectateurs sont décrits comme : des corbeaux – des chacals – des
vampires.
73. La durée de la condamnation est : 1 jour – 3 jours – 5 jours.
74. Où le narrateur dort-il ?: sur un lit – sur un grabat – sur de la paille.
75. Durant les premières nuits, le narrateur n’a pas pu dormir à cause : du bonheur
et de la gaieté – du bonheur et de la fatigue – d’inquiétude et de terreur.
76. La troisième nuit le narrateur a dormi : d’ennui et de fatigue – d’ennui et de
terreur – d’ennui et de bonheur.
77. Avant la proclamation du verdict, le narrateur était sûr : qu’il va être
condamné à mort – qu’il va être condamné aux galères – qu’il va être libéré.
78. La lumière était symbole de : la chaleur – la liberté – la mort.
79. L’avocat a pensé que le narrateur sera : libéré – condamné à mort – condamné
aux travaux forcés.
80. Le narrateur a préféré : les galères à la mort – la mort aux galères – la mort à la
liberté.
81. La voiture qui l’attendait au bas de l’escalier était : blanche, propre et belle –
bleue, salle et grillée – noire, sale et grillée.
82. Après la proclamation du verdit, tout est devenu blanc. Cette couleur évoque :
le bonheur – la sécheresse – le linceul.
Chapitre 3 :

83. Dans ce chapitre le narrateur pense que : tous les hommes seront exécutés à la
grève – tous les hommes sont condamnés à mort – tous les hommes seront
guillotinés.
84. Le narrateur regrette : d’être maltraité et battu – d’être respecté – d’être
vénéré.
85. Qu’est-ce qu’on donne au condamné dans sa cellule ?: du pain noir et un
bouillon délicieux – du pain noir et un bouillon maigre – du pain gris et un
bouillon maigre.
86. Le narrateur était : éduqué – rebelle – méchant.

Chapitre 4 :

87. Où le narrateur a-t-il été transféré après sa condamnation : à Bicêtre – au


tribunal – à la conciergerie.
88. Bicêtre, vu de loin, parait comme : une masure – un palis royal – un tombeau.
89. Bicêtre, vu de près, parait comme : une masure – un palis royal – un tombeau.
90. « On dirait que les murs ont une lèpre » est : une comparaison – une
métaphore – une hyperbole.

Chapitre 5 :

91. Une fois arrivé à Bicêtre, ils lui ont donné : un couteau – une camisole de
force – une fourchette pour ses repas.
92. Les premiers jours, les geôliers et les guichetiers ont traité le narrateur : avec
cruauté – avec inattention – avec respect.
93. Le respect des guichetiers sent : l’échafaud – le bonheur – la liberté.
94. Le narrateur est : jeune et rebelle – vieux et docile – jeune et obéissant.
95. Le narrateur sortit avec les autres prisonniers : une fois par semaine – deux
fois par semaine – trois fois par semaine.
96. Le narrateur parle aussi : en Anglais – en Latin – en Arabe.
97. Le préau désigne : le café d’une prison – la cellule d’une prison – la cour
d’une prison.
98. Parmi les faveurs accordées au narrateur, on trouve : l’encre, des papiers, des
plumes et un lit – l’encre, du papier un stylo et un bureau – l’encre, des
papiers, une plume et une lampe.
99. Qui signifie l’expression « rouscailler bigorne » ?: se moquer des guichetiers –
perdre du temps – parler en argot.
100. Le narrateur a considéré le langage argotique comme : une excroissance – la
mort – la prison.
101. Que désigne en argot le mot « menteuse » : l’œil – la main – la langue.

Chapitre 6 :

102. Le narrateur a décidé d’écrire : son autobiographie – son journal de


souffrance – ses souvenirs d’enfance.
103. Pourquoi il a décidé d’écrire ?: pour que sa fille ne le déteste pas – pour
moins souffrir – pour donner une leçon à ceux qui condamnent.
104. Le narrateur insiste sur : les souffrances du corps – les souffrances de l’esprit
– les souffrances de Marie.
105. Le type de récit employé dans ce chapitre est : récit rétrospectif –
monologue.

Chapitre 7 :

106. Le narrateur a décidé d’écrire pour : sauver d’autres têtes – sauver sa tête –
sauver le juge prêt à juger.

Chapitre 8 :

107. Dans ce chapitre, le narrateur : regrette d’avoir laissé une fille sans père et
sans protection – décrit son cachot – compte ce qui lui reste.

Chapitre 9 :

108. Quel est l’âge et le prénom de sa fille ?: marie, deux ans – Pepa, 3 ans –
marie, 3 ans.
109. Quel est l’âge de sa mère ?: 60 ans – 62 ans - 64 ans.
110. Sa file était : douce, brune et frêle – douce, brune et grosse – douce, rose et
frêle.
111. Qu’est-ce qui inquiète le narrateur ?: sa fille Marie – sa femme – sa mère.

Chapitre 10 :

112. Quelle est la superficie de son cachot ?: 4 pieds carrés – 6 pieds carrés – 8
pieds carrés.
113. Le lit du condamné est sous-forme : d’un grabat – d’une bote de paille –
d’un banc.
114. Il y a au centre de la porte, vers le haut, une ouverture de : 7 pouces carrés –
8 pouces carrés – 9 pouces carrés.
115. Le narrateur est considéré par les curieux qui venaient le voir comme : un
être humain – un bourgeois – une bête.

Chapitre 11 :

116. Dans ce chapitre, le narrateur : écrit son histoire – décrit les galériens – lit les
inscriptions écrites sur les murs de sa cellule.
117. Parmi les images qui étaient dessinées, laquelle a-t-elle fait peur au
narrateur ? la figure de Papavoine – la figure d’un chapeau à trois cornes – la
figure de l’échafaud.

Chapitre 12 :

118. Dans ce chapitre, le narrateur : écrit son histoire – décrit les galériens – lit les
inscriptions écrites sur les murs de sa cellule.
119.Jean Martin est le criminel : qui a assassiné sa femme – qui a assassiné sa
mère – qui a assassiné des enfants.
120.Où le narrateur sera-t-il enterré ?: au cimetière de Clamart – au cimetière de
Notre-Dame – au cimetière de Sidi Ali Boughaleb.

Chapitre 13 :

121. Dans ce chapitre, le narrateur : est transféré à la conciergerie – décrit le


prêtre – décrit les préparatifs au départ des forçats.
122. Le narrateur a pensé qu’il s’agit : du ferrage des forçats – de la fête des
forçats – de l’exécution des forçats.
123. La cellule où est mis le narrateur est : meublée – démeublée – sans fenêtre.
124.Les argousins ont été accueillis : avec des acclamations railleuses – avec des
vœux – avec des applaudissements.
125. Les galériens seraient transférés : à Toulon – à la conciergerie – à Bicêtre.
126. Les galériens sont sortis après l’ordre de : monsieur le directeur – monsieur
l’inspecteur – monsieur le procureur du roi.
127. Les prisonniers-spectateurs ont accueilli les galériens : avec acclamations et
applaudissements – avec menaces – avec insultes et imprécations.
128. Le jeune galérien de 17 ans fait la roue sur lui-même avec agilité : d’un tigre
– d’une gazelle – d’un serpent.
129. La plupart des galériens avaient des chapeaux en : paille – cuir – tissu.
130.La première scène de ce spectacle était : le ferrage – le repas – la visite des
médecins.
131.Parmi les excuses sanitaires que donnent les galériens : oreille mutilée –
main mutilée – pied mutilé.
132. Au moment où les galériens commencent à se déshabiller : un galérien est
décédé – une pluie commence à tomber – les argousins les battent avec
violence.
133. Qui s’occupe du ferrage des forçats ?: le directeur de la prison – les
argousins supérieurs – les forgerons de la chiourme.
134. Les deux forgerons étaient armés : de chaînes – de cordes – d’enclumes.
135. Après leur ferrage, les forçats commencent à : pleurer – chanter – se
lamenter.
136. La dernière scène de ce spectacle est : le repas – la visite des médecins – la
visite des geôliers.
137. Le narrateur s’est évanoui car il lui a semblé : que les forçats ont assailli sa
cellule – qu’il était avec les forçats dans la cour – qu’il était ferré.

Chapitre 14 :

138. Le condamné a été transporté : à la conciergerie – à la place de grève – à


l’infirmerie.
139. Le narrateur étant dans un lit d’hôpital, sentait : une sensation de froid – une
sensation de chaleur – un sentiment de dégoût.
140. Ce qui a éveillé le narrateur c’était : la chanson d’une jeune fille – les
infirmiers pressés autour de son chevet – le bruit des charrettes qui
transportaient les galériens.
141. Le nombre des charrettes, chargés des forçats, est : 3 charrettes – 5 charrettes
– 7 charrettes.
142. Ce jour-là, il y avait : de la pluie – du soleil splendide – de la neige.
143.Un horrible dialogue s’est établi entre les forçats et : les argousins – les
postillons – la foule.
144. Dans la 6ème charrette, il y a : le directeur, l’inspecteur et les argousins – des
enclumes et des marteaux – des chaudières, des gamelles et des chaînes.
145. Le narrateur a préféré : le couteau de la guillotine au carcan de la chiourme –
les galères à la mort – les galères à la potence.

Chapitre 15 :

146. Le narrateur a une maladie : contagieuse – bénigne – mortelle.


147. Quelle est l’idée qui torture le narrateur après avoir quitté l’infirmerie ?: il
aurait dû se cacher – il aurait dû s’évader - il aurait dû se suicider.
148. « le pourvoi, est une corde qui vous tient suspendu qu-dessus de l’abîme »
est : une comparaison – une hyperbole – une métaphore.
149. Le narrateur est sûr : qu’il serait libéré – qu’il serait gracié – que son pourvoi
serait rejeté.
150. Les trois pas qu’il va faire sont : Bicêtre, la conciergerie et l’hôtel de ville –
Bicêtre, l’hôtel de ville et la place de grève - Bicêtre, le tribunal et l’hôtel de
ville.

Chapitre 16 :

151. Lorsque le narrateur était à l’infirmerie, il a entendu : une jeune fille – un


oiseau – une infirmière.
152. La chanson était en langage : soutenu – argotique – courant.
153. La chanson parlait : d’un assassin condamné à mort – d’un assassin
condamné aux galères – d’un voleur qui était libéré.
154. La jeune fille avait : 14 ans – 15 ans – 16 ans.

Chapitre 17 :

155. Le narrateur imagine : le sommeil – le retour à son enfance – l’évasion.


156.Qu’est-ce qui a empêché de réaliser son rêve ?: un gendarme – la rivière – le
mur épais.

Chapitre 18 :

157. La personne qui a visité le condamné est : Le directeur – le guichetier – le


prêtre.
158. Le visiteur a traité le narrateur avec : respect – raillerie – inattention.
159. Quel est le sentiment du narrateur ?: le bonheur – la peur – la tristesse.

Chapitre 19 :

160.Quelle est la deuxième personne qui a visité le narrateur ? le directeur – le


guichetier – le prêtre.

Chapitre 20 :

161. Le narrateur pense que : la prison est une espèce d’être complet et indivisible
– tout autour de lui est prison – la prison est sous toutes les formes.

Chapitre 21 :

162. Le prêtre est : un jeune homme à tête noire – un vieillard à tête blanche – un
jeune homme à tête blanche.
163. La deuxième personne qui est entrée après le prêtre est : l’huissier –
l’inspecteur – le procureur du roi.
164. Cette dernière personne a annoncé au narrateur : qu’il serait libéré – qu’il
était condamné aux galères – qu’il serait exécuté ce jour-là.

Chapitre 22 :

165.A quelle heure le narrateur a-t-il été transféré à la conciergerie ?: à 06:30 – à


07:30 – à 08:30.
166. Combien de personnes ont-ils accompagné le narrateur ?: 6 – 7 – 8
personnes.
167. Ce jour-là, il y avait : de la neige – du soleil – de la pluie.
168. Dans le compartiment de devant, sont montés : le prêtre et un gendarme –
l’huissier et un gendarme – deux gendarmes.
169. L’inscription qui est gravée au-dessus de la porte de Bicêtre est : hôpital de
fous – palais de Bicêtre – hospice de la vieillesse.
170. L’huissier a perdu : son tabac – son chapeau – sa montre.
171.A quelle heure sont-ils arrivés à la conciergerie ?: à 08:30 – à 09:30 – à
10:30.

Chapitre 23 :

172. Le narrateur a été mis dans : une cellule – dans un cachot – dans un cabinet.
173.Qui était avec le narrateur dans le même cabinet ?: un friauche – un forçat –
un fou.
174. Le nouveau condamné avait : 55 ans – 53 – 51 ans.
175. Le nouveau condamné était : ridé, jeune et maigre – jeune, gros et grisonnant
– ridé, voûté et grisonnant.
176. A quel âge le nouveau condamné était-il déjà sans parents ?: à 6 ans – à 7
ans – à 9 ans.
177. A quel âge le friauche a-t-il été emprisonné pour la première fois ?: de 15
ans jusqu’à 32 ans – de 17 ans jusqu’à 30 ans – de 17 ans jusqu’à 32 ans.
178. Lorsque le friauche a été libéré, ils lui ont donné : 65 francs – 66 francs – 67
francs.
179. Ils lui ont donné également : un passeport jaune – un passeport rouge – un
passeport vert.
180.Qu’est-ce que le friauche a-t-il volé pour mériter les galères à perpétuité ?:
une montre – un manteau – du pain.
181. Après avoir été condamné aux galères à perpétuité, le friauche : s’est suicidé
– s’est gracié – s’est évadé.
182. Quelle est la dernière peine laquelle le friauche est-il condamné ?: la mort –
les galères – la prison de 50 ans.
183.Le friauche a demandé au narrateur sa redingote : parce qu’il fait froid –
pour la donner aux geôliers – pour la vendre et acheter du tabac.

Chapitre 24 :

184. Le narrateur a donné sa redingote au narrateur : par insouciance – par charité


– par peur.
185. Le narrateur avoue qu’il est devenu : méchant – gentil – respectueux.

Chapitre 25 :

186.Où ont-ils amené le narrateur ?: dans une cellule – dans un cabinet – dans
une chambre très vaste.
187. A partir du chapitre 24, où le friauche a-t-il été conduit ?: à une autre cellule
– à la grève – à Bicêtre.
188. Un gendarme s’est installé dans la même cellule du narrateur : de peur que
ce dernier s’évade – de peur que ce dernier écrive un placet au roi – de peur
que ce dernier se suicide.

Chapitre 26 :

189. Où le narrateur sera-t-il enterré ?: à Bicêtre – à Clamart – à la place de grève.


190. Combien lui reste-t-il pour la mort ?: 4 heures – 6 heures – 8 heures.
191. A qui le narrateur adresse-t-il ses paroles ?: à sa fille Marie – au directeur de
la prison – au roi.
192. Le narrateur décrit sa fille Marie (description physique) : de façon favorable
– de façon valorisante – de façons dévalorisante.

Chapitre 27 :

193. La chose dont le narrateur parle et qui est effroyable est : la mort – la place
de grève – la guillotine.

Chapitre 28 :

194. Un jour, le narrateur a vu l’échafaud, c’était vers : 10 heures – 10 heures et


demie – 11 heures.
Chapitre 29 :

195. Le narrateur espère : la grâce – la prison de 25 ans – l’évasion.


196. Le narrateur préfère : la guillotine aux galères – les galères à la liberté – les
galères à la mort.

Chapitre 30 :

197.La personne qui est entrée dans la cellule du narrateur est : le directeur – un
guichetier – le prêtre.
198. Comment le narrateur a-t-il considéré le narrateur ?: come un croyant
pratiquant – comme un véritable croyant – comme un impie.
199. Le narrateur a trouvé les paroles du prêtre : sans influence – sincères –
consolantes.
200.Le narrateur réclame : un prêtre menteur – un prêtre sincère – un prêtre
méchant.
201.« C’est lui qui est bon et moi qui suis mauvais » est : une hyperbole – une
métaphore – une antithèse.
202. On lui a apporté de la nourriture. Il s’agit : d’un poulet et autre chose – de la
viande et autre chose – d’un ragoût et autre chose.
203. Le narrateur n’a pas pu manger car : la nourriture lui a paru fétide – il pense
à la mort – il n’avait pas faim.

Chapitre 31 :

204.La personne qui est entré dans sa cellule est : un prêtre – un sous-architecte –
un gendarme.
205. Une personne est entrée dans la cellule du condamné pour : demander sa
redingote – le surveiller – prendre des mesures.

Chapitre 32 :

206. Le registre employé dans ce chapitre est : comique – lyrique – tragique.


207. Le nouveau gendarme joue : aux cartes – au tiercé – à la loterie.
208.Le nouveau gendarme a demandé au narrateur : 3 numéros – 4 numéros – 5
numéros.
209.Le narrateur a promis au nouveau gendarme : 3 numéros – 4 numéros – 5
numéros.
210. Quelle était la condition du narrateur ?: le gendarme doit payer une somme
d’argent – le gendarme doit le libérer – le gendarme doit changer d’habits avec
lui.

Chapitre 33 :

211. Le ton employé dans ce chapitre est : comique – lyrique – tragique.


212. Son amoureuse d’enfance s’appelait : Sophie – Pepa – Marie.

Chapitre 34 :

213. Le narrateur veut : se libérer – se cacher – se repentir.


214. « Ma belle jeunesse ! Étoffe dorée dont l’extrémité est sanglante » est : une
comparaison – une périphrase – une métaphore.

Chapitre 35 :

215.Le narrateur imagine : les tortures qui se trouvent autour de lui – la liberté
qui se trouve autour de lui – les prisonniers qui se trouvent autour de lui.

Chapitre 36 :

216. Le narrateur évoque le souvenir : de sa fille Marie – des trois jours de


condamnation – du bourdon de Notre-Dame.

Chapitre 37 :

217. L’hôtel de ville se trouve de plain-pied avec : la conciergerie – la place de


grève – le palais de justice.

Chapitre 38 :

218.Le narrateur a : des tressaillements convulsifs – mal au ventre – une main


mutilée.
219. Combien lui reste-t-il pour la mort : deux heures – deus heures et demie –
deux heures et 45 minutes.

Chapitre 39 :
220.Qu’est-ce que les autres pensent ?: que la mort de cette façon est simple –
que la mort de cette façon est douloureuse – que la guillotine cause de la
douleur.
221.Parmi ceux qui étaient guillotinés, le narrateur a cité : Charles 10 et
Papavoine – Robespierre et Louis 16 – Casting et Modespierre.

Chapitre 40 :

222. Le narrateur espère la grâce : du directeur – du prêtre – du roi.


223. Le narrateur espère la grâce de : Louis 16 – Charles 10 – Robespierre.
224. « Avec cette différence qu’il est aussi haut que tu es bas » est : une antithèse
– une antiphrase – un oxymore.

Chapitre 41 :

225. Le narrateur imagine : l’échafaud entouré par la foule – ce qui se passera


après sa mort – la guillotine et ses valets.

Chapitre 42 :

226.« Je l’ai prié de me laisser dormir », « l’ » remplace : le directeur – le


guichetier – le prêtre.
227. Le narrateur a fait : du sport – le ménage – un rêve.
228. Combien le narrateur a-t-il dormi ?: une heure – deux heures – trois heures.
229.Au moment où le narrateur s’est réveillé, l’aumônier : lisait un livre – lisait
un journal – lisait des prières.
230.Dans son rêve, qu’est-ce que le narrateur a mis sous le menton de la vieille ?:
une lampe – un couteau – une bougie.

Chapitre 43 :

231. Pourquoi la mère n’est pas venue avec sa fille ?: car elle n’a pas voulu voir
son mari – car elle déteste son mari – car elle était malade.
232. Le registre employé dans ce chapitre est : pathétique – comique – lyrique.
233. Marie a appelé son père : papa – mon père – monsieur.
234. Marie pense que : son père est au travail – son père est déjà mort – son père
est à la maison.
235. La fille du narrateur lisait : une feuille qui contient des fables – la sentence
de mort de son père – une page du « dernier jour d’un condamné ».

Chapitre 44 :

236. «…à la foule sur le pont, à la foule sur le quai, à la foule aux fenêtres… »
est : une métaphore – une hyperbole – une anaphore.
237. Combien de temps reste-t-il à l’exécution ?: 1 heure – 2 heures – 3 heures.

Chapitre 45 :

238. Le narrateur pense qu’il y a sur un certain point de la grève : un piège – un


clochet – une pendule.

Chapitre 46 :

239. Le narrateur pense : au roi Charles 10 – au roi Charles 11 – à sa fille Marie.


240. Le narrateur a décidé d’écrire : un placet au roi – son histoire à sa fille – son
journal de souffrance.

Chapitre 48 :

241. Ce chapitre est rédigé : à l’hôtel de ville – à la conciergerie – au palais de


justice.
242. « l’horrible peuple qui aboie » est : une métaphore – une hyperbole – une
personnification.
243. Le bourreau a : 2 valets – 3 valets – 4 valets.
244. Le valet du bourreau s’appelle : lundi – mardi – mercredi.
245. Le narrateur a décrit les spectateurs comme : cruel et avides – gentils et
respectueux – triste et en colère.
246. « Cet atroce éloge » est : une métaphore – antithèse – oxymore.
247. « La place a éclaté en brui »t est : métaphore – oxymore – métonymie.

Chapitre 49 :
248. Le narrateur demande : la mort – le soutien moral – la grâce.
249. Le narrateur est présenté dans une attitude : suppliante – de courage –
d’insouciance.

250. Le bourreau rappelle au juge : le nom du narrateur – le caractère urgent de


l’exécution – le lieu où le condamné sera enterré

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