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Chapitre 1 :
64. Dans ce chapitre le narrateur fait une comparaison entre : le passé et le future –
le passé et le présent – le présent et le futur.
65. Le passé est symbole de : l’obscurité et une seule idée – la liberté et plusieurs
idées – l’emprisonnement et une seule idée.
66. Les deux marqueurs temporels employés sont : autrefois et maintenant – hier
et aujourd’hui – autrefois et actuellement.
67. « Sous les larges bras des marronniers » est : une métaphore – une antiphrase –
une personnification.
68. L’idée qui obsède le narrateur est : l’idée de la mort – l’idée de la liberté –
l’idée de la prison.
69. L’idée de la mort reparait dans les rêves du narrateur sous-forme : d’une lame
– d’une épée – d’un couteau.
70. Dans ce chapitre le narrateur se trouve : dans un cabinet à Bicêtre – dans un
cabinet à la conciergerie – dans une cellule à Bicêtre.
Chapitre 2 :
83. Dans ce chapitre le narrateur pense que : tous les hommes seront exécutés à la
grève – tous les hommes sont condamnés à mort – tous les hommes seront
guillotinés.
84. Le narrateur regrette : d’être maltraité et battu – d’être respecté – d’être
vénéré.
85. Qu’est-ce qu’on donne au condamné dans sa cellule ?: du pain noir et un
bouillon délicieux – du pain noir et un bouillon maigre – du pain gris et un
bouillon maigre.
86. Le narrateur était : éduqué – rebelle – méchant.
Chapitre 4 :
Chapitre 5 :
91. Une fois arrivé à Bicêtre, ils lui ont donné : un couteau – une camisole de
force – une fourchette pour ses repas.
92. Les premiers jours, les geôliers et les guichetiers ont traité le narrateur : avec
cruauté – avec inattention – avec respect.
93. Le respect des guichetiers sent : l’échafaud – le bonheur – la liberté.
94. Le narrateur est : jeune et rebelle – vieux et docile – jeune et obéissant.
95. Le narrateur sortit avec les autres prisonniers : une fois par semaine – deux
fois par semaine – trois fois par semaine.
96. Le narrateur parle aussi : en Anglais – en Latin – en Arabe.
97. Le préau désigne : le café d’une prison – la cellule d’une prison – la cour
d’une prison.
98. Parmi les faveurs accordées au narrateur, on trouve : l’encre, des papiers, des
plumes et un lit – l’encre, du papier un stylo et un bureau – l’encre, des
papiers, une plume et une lampe.
99. Qui signifie l’expression « rouscailler bigorne » ?: se moquer des guichetiers –
perdre du temps – parler en argot.
100. Le narrateur a considéré le langage argotique comme : une excroissance – la
mort – la prison.
101. Que désigne en argot le mot « menteuse » : l’œil – la main – la langue.
Chapitre 6 :
Chapitre 7 :
106. Le narrateur a décidé d’écrire pour : sauver d’autres têtes – sauver sa tête –
sauver le juge prêt à juger.
Chapitre 8 :
107. Dans ce chapitre, le narrateur : regrette d’avoir laissé une fille sans père et
sans protection – décrit son cachot – compte ce qui lui reste.
Chapitre 9 :
108. Quel est l’âge et le prénom de sa fille ?: marie, deux ans – Pepa, 3 ans –
marie, 3 ans.
109. Quel est l’âge de sa mère ?: 60 ans – 62 ans - 64 ans.
110. Sa file était : douce, brune et frêle – douce, brune et grosse – douce, rose et
frêle.
111. Qu’est-ce qui inquiète le narrateur ?: sa fille Marie – sa femme – sa mère.
Chapitre 10 :
112. Quelle est la superficie de son cachot ?: 4 pieds carrés – 6 pieds carrés – 8
pieds carrés.
113. Le lit du condamné est sous-forme : d’un grabat – d’une bote de paille –
d’un banc.
114. Il y a au centre de la porte, vers le haut, une ouverture de : 7 pouces carrés –
8 pouces carrés – 9 pouces carrés.
115. Le narrateur est considéré par les curieux qui venaient le voir comme : un
être humain – un bourgeois – une bête.
Chapitre 11 :
116. Dans ce chapitre, le narrateur : écrit son histoire – décrit les galériens – lit les
inscriptions écrites sur les murs de sa cellule.
117. Parmi les images qui étaient dessinées, laquelle a-t-elle fait peur au
narrateur ? la figure de Papavoine – la figure d’un chapeau à trois cornes – la
figure de l’échafaud.
Chapitre 12 :
118. Dans ce chapitre, le narrateur : écrit son histoire – décrit les galériens – lit les
inscriptions écrites sur les murs de sa cellule.
119.Jean Martin est le criminel : qui a assassiné sa femme – qui a assassiné sa
mère – qui a assassiné des enfants.
120.Où le narrateur sera-t-il enterré ?: au cimetière de Clamart – au cimetière de
Notre-Dame – au cimetière de Sidi Ali Boughaleb.
Chapitre 13 :
Chapitre 14 :
Chapitre 15 :
Chapitre 16 :
Chapitre 17 :
Chapitre 18 :
Chapitre 19 :
Chapitre 20 :
161. Le narrateur pense que : la prison est une espèce d’être complet et indivisible
– tout autour de lui est prison – la prison est sous toutes les formes.
Chapitre 21 :
162. Le prêtre est : un jeune homme à tête noire – un vieillard à tête blanche – un
jeune homme à tête blanche.
163. La deuxième personne qui est entrée après le prêtre est : l’huissier –
l’inspecteur – le procureur du roi.
164. Cette dernière personne a annoncé au narrateur : qu’il serait libéré – qu’il
était condamné aux galères – qu’il serait exécuté ce jour-là.
Chapitre 22 :
Chapitre 23 :
172. Le narrateur a été mis dans : une cellule – dans un cachot – dans un cabinet.
173.Qui était avec le narrateur dans le même cabinet ?: un friauche – un forçat –
un fou.
174. Le nouveau condamné avait : 55 ans – 53 – 51 ans.
175. Le nouveau condamné était : ridé, jeune et maigre – jeune, gros et grisonnant
– ridé, voûté et grisonnant.
176. A quel âge le nouveau condamné était-il déjà sans parents ?: à 6 ans – à 7
ans – à 9 ans.
177. A quel âge le friauche a-t-il été emprisonné pour la première fois ?: de 15
ans jusqu’à 32 ans – de 17 ans jusqu’à 30 ans – de 17 ans jusqu’à 32 ans.
178. Lorsque le friauche a été libéré, ils lui ont donné : 65 francs – 66 francs – 67
francs.
179. Ils lui ont donné également : un passeport jaune – un passeport rouge – un
passeport vert.
180.Qu’est-ce que le friauche a-t-il volé pour mériter les galères à perpétuité ?:
une montre – un manteau – du pain.
181. Après avoir été condamné aux galères à perpétuité, le friauche : s’est suicidé
– s’est gracié – s’est évadé.
182. Quelle est la dernière peine laquelle le friauche est-il condamné ?: la mort –
les galères – la prison de 50 ans.
183.Le friauche a demandé au narrateur sa redingote : parce qu’il fait froid –
pour la donner aux geôliers – pour la vendre et acheter du tabac.
Chapitre 24 :
Chapitre 25 :
186.Où ont-ils amené le narrateur ?: dans une cellule – dans un cabinet – dans
une chambre très vaste.
187. A partir du chapitre 24, où le friauche a-t-il été conduit ?: à une autre cellule
– à la grève – à Bicêtre.
188. Un gendarme s’est installé dans la même cellule du narrateur : de peur que
ce dernier s’évade – de peur que ce dernier écrive un placet au roi – de peur
que ce dernier se suicide.
Chapitre 26 :
Chapitre 27 :
193. La chose dont le narrateur parle et qui est effroyable est : la mort – la place
de grève – la guillotine.
Chapitre 28 :
Chapitre 30 :
197.La personne qui est entrée dans la cellule du narrateur est : le directeur – un
guichetier – le prêtre.
198. Comment le narrateur a-t-il considéré le narrateur ?: come un croyant
pratiquant – comme un véritable croyant – comme un impie.
199. Le narrateur a trouvé les paroles du prêtre : sans influence – sincères –
consolantes.
200.Le narrateur réclame : un prêtre menteur – un prêtre sincère – un prêtre
méchant.
201.« C’est lui qui est bon et moi qui suis mauvais » est : une hyperbole – une
métaphore – une antithèse.
202. On lui a apporté de la nourriture. Il s’agit : d’un poulet et autre chose – de la
viande et autre chose – d’un ragoût et autre chose.
203. Le narrateur n’a pas pu manger car : la nourriture lui a paru fétide – il pense
à la mort – il n’avait pas faim.
Chapitre 31 :
204.La personne qui est entré dans sa cellule est : un prêtre – un sous-architecte –
un gendarme.
205. Une personne est entrée dans la cellule du condamné pour : demander sa
redingote – le surveiller – prendre des mesures.
Chapitre 32 :
Chapitre 33 :
Chapitre 34 :
Chapitre 35 :
215.Le narrateur imagine : les tortures qui se trouvent autour de lui – la liberté
qui se trouve autour de lui – les prisonniers qui se trouvent autour de lui.
Chapitre 36 :
Chapitre 37 :
Chapitre 38 :
Chapitre 39 :
220.Qu’est-ce que les autres pensent ?: que la mort de cette façon est simple –
que la mort de cette façon est douloureuse – que la guillotine cause de la
douleur.
221.Parmi ceux qui étaient guillotinés, le narrateur a cité : Charles 10 et
Papavoine – Robespierre et Louis 16 – Casting et Modespierre.
Chapitre 40 :
Chapitre 41 :
Chapitre 42 :
Chapitre 43 :
231. Pourquoi la mère n’est pas venue avec sa fille ?: car elle n’a pas voulu voir
son mari – car elle déteste son mari – car elle était malade.
232. Le registre employé dans ce chapitre est : pathétique – comique – lyrique.
233. Marie a appelé son père : papa – mon père – monsieur.
234. Marie pense que : son père est au travail – son père est déjà mort – son père
est à la maison.
235. La fille du narrateur lisait : une feuille qui contient des fables – la sentence
de mort de son père – une page du « dernier jour d’un condamné ».
Chapitre 44 :
236. «…à la foule sur le pont, à la foule sur le quai, à la foule aux fenêtres… »
est : une métaphore – une hyperbole – une anaphore.
237. Combien de temps reste-t-il à l’exécution ?: 1 heure – 2 heures – 3 heures.
Chapitre 45 :
Chapitre 46 :
Chapitre 48 :
Chapitre 49 :
248. Le narrateur demande : la mort – le soutien moral – la grâce.
249. Le narrateur est présenté dans une attitude : suppliante – de courage –
d’insouciance.