Vous êtes sur la page 1sur 3

Ruben Dieudonné 204

L’Évolution de la biodiversité de l’escargot des dunes

Allèle B : bande claire


Allèle N : bande sombre

En 1960 il y a pour 100 escargots des dunes dans la zone à oyats :


18 escargots ont un génotype B/B ;
30 escargots ont un génotype N/B ;
52 escargots ont un génotype N/N.

18+30=48
Cela correspond aux escargots possédant au moins un allèle de type B

30+52=82
Cela correspond aux escargots possédant au moins un allèle de type N

Sur 100 individus qui possèdent chacun deux allèles fait au total
200 allèles.

(18x2)+30=66
(66:200)x100=33%

Il y a 33% d’allèles B dans les génotypes des escargots présent dans


les zones à oyats en 1960.

(52x2)+30=134
(134:200)x100=67

Il y a 67% d’allèles A dans les génotypes des escargots présent dans


les zones à oyats escargots en 1960.

En 2007 il y a pour 100 escargots des dunes dans la zone à oyats :


18 escargots ont un génotype B/B ;
30 escargots ont un génotype N/B ;
52 escargots ont un génotype N/N.

18+30=48
Cela correspond aux escargots possédant au moins un allèle de type B

30+52=82
Cela correspond aux escargots possédant au moins un allèle de type N
Sur 100 individus qui possèdent chacun deux allèles fait au total
200 allèles.

(18x2)+30=66
(66:200)x100=33%

Il y a 33% d’allèles B dans les génotypes des escargots présent dans


les zones à oyats en 2007.

(52x2)+30=134
(134:200)x100=67

Il y a 67% d’allèles A dans les génotypes des escargots présent dans


les zones à oyats escargots en 2007.

On remarque que la fréquence allélique des escargots dans les dunes


à oyats sont identiques à celles 47 ans plus tôt.

En 2007 il y a pour 100 escargots des dunes dans la zone à plage :


69 escargots ont un génotype B/B ;
23 escargots ont un génotype N/B ;
08 escargots ont un génotype N/N.

69+23=92
Cela correspond aux escargots possédant au moins un allèle de type B

23+8=31
Cela correspond aux escargots possédant au moins un allèle de type N

Sur 100 individus qui possèdent chacun deux allèles fait au total
200 allèles.

(69x2)+23=161
(161:200)x100=80,5

Il y a 80,5% d’allèles B dans les génotypes des escargots présents


sur les plages en 2007.

(8x2)+23=39
(39:200)x100=19,5

Il y a 19,5% d’allèles N dans les génotypes des escargots présents


sur les plages en 2007.
Depuis l’aménagement de la plage sur la dune, des nouveaux escargots
possédants des génotypes différents que les escargots à oyats sont
apparus.
Il y a 44% moins d’escargot avec des coquilles à bandes foncés, 7%
moins d’escargot avec de coquilles à bande peu marqués et 51% plus
d’escargot avec une coque unie claire dans la zone plage que dans la
zone à oyats.

Nous avons une explication à cela, les grives présentent sur la


plage mangent 58% d’escargot à coquilles sombres qui expliquent
l’écart car uniquement 13% d’escargot possédant le même génotype
sont mangés par les grives dans la zone à oyats.

De plus les grives mangent 38% d’escargot à coquilles à bandes peu


marquées sur la plage alors que 32% en sont dans la zone à oyats.

Enfin les grives mangent seulement 4% d’escargots à coquilles unie


claire sur la plage contre 55% d’escargot identiques mangés dans la
zone à oyats.

La dune est faite de sable foncés qui camoufle les escargots à


coquilles fonces et met en avant les escargots à coquilles claires
cela aide les grives à chasser. Quant à la plage, elle est faite de
sable claire qui camoufle les escargots à coquilles claires et
exposent les escargots à coquilles sombres. Entre les deux se place
les escargots à coquilles mi sombre mi claire.

Voilà qui explique la différence de la population des escargots dans


la zone à oyats et sur la plage.

Vous aimerez peut-être aussi