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Liste des 313 prophètes islam pdf

Want more? Advanced embedding details, examples, and help! Adam (en arabe ‫ )آد َم( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬Idriss (en arabe ‫ )إ ِد ْرِﻳﺲ( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬Nouh (en arabe ‫ )ﻧ ُﻮح( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬Houd (en arabe ‫ )ﻫُﻮد( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬Salih (en arabe ‫ﺻﺎﻟ ِﺢ( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬ َ ) Ibrahim (en arabe ‫ )إ ِﺑ َْﺮاﻫ ِﻴﻢ( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬Lot (en arabe ‫ )ﻟ ُﻮط( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬Ismaël (en arabe ‫ﻋﻴﻞ( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬ ِ ‫ﻤﺎ‬َ ‫ﺳ‬ْ ِ ‫ )إ‬Ishaq (en arabe ‫ﺤﺎق( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬
َ ‫ﺳ‬
ْ ِ ‫ )إ‬Yaqoub (en arabe ‫ﻘﻮب( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬ُ ْ‫ )ﻳ َﻌ‬Youssou
Ayoub (en arabe ‫ )أ َﻳﻮب( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬Chou3ayb (en arabe ‫ﺷﻌَﻴ ْﺐ( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬ ُ ) Moussa (en arabe ‫ﺳﻰ( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬
َ ‫ﻣﻮ‬ ْ ِ ‫ )ذ ُو اﻟﻜ‬Daawoud (en arabe ‫ )د َاوُد( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬Souleyman (en arabe ‫ﻤﺎن( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬
ُ ) Haroun (en arabe ‫ )ﻫَﺎُرون( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬Dhûl-Kifl (en arabe ‫ﻔﻞ( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬ َ ْ ‫ﺳﻠ َﻴ‬
ُ ) Ilyess (en arabe ‫ )إ ِﻟ ْﻴ َﺎس( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬Elysée (en arabe ‫ﺴﻊ( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬َ َ ‫ )اﻟﻴ‬Younous (en arabe ‫ )ﻳ ُﻮﻧ ُﺲ( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬Zakaria (en arabe ‫ )َزﻛ َﺮِﻳﺎ( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬Yahya (e
(en arabe ‫ﺴﻰ( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺴﻼم‬ َ ‫ﻋﻴ‬
ِ ) Mohamed (en arabe ‫ﺤﻤﺪ( )ﻋﻠﻴﻪ اﻟﺼﻼة واﻟﺴﻼم‬ َ ‫ﻣ‬ُ ) Want more? Advanced embedding details, examples, and help! Voulez-vous savoir comment est structuré l’arbre généalogique des prophètes et messagers? Dans cet article, nous allons expliquer et vous pourrez voir visuellement une image du résumé de la généalogie des prophètes de l’Islam (‫)ﺷﺠﺮة اﻻﻧﺒﻴﺎء‬. Images de l’arbre généalogique
prophètes et messagers Nous vous montrons 2 images des arbres généalogiques des prophètes et messagers. Dans cette première image se trouve l’arbre complet, où les noms jaunes sont les prophètes: Si vous le souhaitez, vous pouvez télécharger l’arbre généalogique des prophètes de l’islam en pdf ainsi que l’arbre généalogique de Mohamed dans le même fichier. Dans l’image suivante, vous pouvez
voir un petit arbre généalogique des prophètes de l’islam. Cet arbre est un résumé des connexions de l’histoire des prophètes car il montre chronologiquement les grandes lignes de l’arrivée des prophètes. Arbre généalogique du prophète Mohammed Selon la tradition prophétique islamique, Muhammad descend d’Adnan. Il y a 21 générations entre la généalogie d’Adnan et celle de Muhammad. Dans
l’image ci-dessus, vous avez vu une représentation de l’arbre généalogique de l’islam. Si vous souhaitez en créer un vous-même, vous pouvez télécharger un modèle d’arbre généalogique. Date cronologiche di quelle dei profeti e dei messaggeri À titre d’information, nous pouvons signaler que, selon le Coran, Allah dit qu’il a créé les cieux et la terre en six jours. Cependant, il existe différentes
interprétations de la durée de ces six jours par rapport à notre forme actuelle du temps. Dans un verset, l’ancien savant avait proposé que ces six jours ne soient pas de 24 heures, mais en citant mamadou mbaye, il explique que chacun de ces six jours aurait duré des millions. Six mille ans avant Jésus à l’islam, selon les sources bibliques, Adam était le premier homme sur terre. Il est également le premier
prophète et, selon Abdallah, il aurait précédé Adam de 2000 ans.
Entre adam et noah (Nouh) il y a un écart de 10 siècles où vient la venue de nouri à l’islam. Il n’est pas seulement un prophète mais aussi un message de l’âme et il viendra transmettre ce message à son peuple. Environ 1800 avant Jésus-Christ, abraham l’illustre prophète donnera naissance à ismaël et isaac. Isaac donnera naissance à Jacob. Il aura 12 fils, qui seront les douze tribus d’Israël. 1600 avant
Jésus-Christ, ce Joseph. Bien que certains des prophètes soient d’origine hébraïque et qu’ils aient été soumis au dieu unique, tous les prophètes musulmans et les autres avaient le même message: le message de l’islam. Pour conclure ce résumé, le dernier prophète est le prophète Mohamed pour toute l’humanité. Si vous avez aimé cet article, vous pourriez également être intéressé: Pour les articles
homonymes, voir Prophète (homonymie) et Prophète de l'islam. Dans l'islam, les prophètes (ou nabi ; arabe : ‫ﻧﺒﯽ‬, nabī ; hébreu : ‫נביא‬, nâbîy ; grec : προφήτης, prophētēs) sont des hommes chargés de transmettre le message de l'unicité divine et d'un monothéisme adamique pur. Le premier des prophètes de l'islam est chronologiquement Adam, et le dernier est Mahomet, d'où son titre de « sceau des
prophètes » (Coran, sourate XXXIII, verset 40). Adam et quatre prophètes, manuscrit islamique, XVIIe siècle, Metropolitan Museum L'islam a intégré les prophètes bibliques ainsi que d'autres personnalités comme Alexandre le Grand[1]. Néanmoins, la prophétologie coranique se distingue de la prophétologie biblique, et elle a été influencée par des mouvements comme le manichéisme. Les prophètes
occupent une place importante dans l'islam, place qui évolue avec le temps. Le dogme de l'impeccabilité des prophètes, ceux-ci étant censés ne jamais avoir péché, se développe ainsi à partir du IXe siècle, en contradiction avec le texte coranique même qui évoque de tels péchés. Prophétologie musulmane Le concept de prophète est important pour l'islam.
Dans la chahada, si l'unicité de Dieu est première, l'affirmation du statut prophétique de Mahomet suit immédiatement. A plusieurs reprises dans le Coran, les prophètes sont désignés comme faisant partie des objets de foi[2]. Néanmoins, l'approche historique de l'archéologie permet de nuancer une approche trop essentialiste. Ainsi, les plus anciennes inscriptions sur stèles funéraires montrent que la
première shahada contenait seulement la première partie. La mise en avant de l'aspect prophétique de Mahomet a permis au pouvoir de se différencier des populations soumises au pouvoir musulman. Les premières sources non-arabe contemporaine des débuts de l'islam montrent que Mahomet n'est encore considéré que comme un « chef de guerre »[2]. Le Coran propose une histoire construite sur le
principe qu'Adam aurait possédé l'intégralité du message divin mais que celui-ci se serait altéré au fur et à mesure des générations. Ces altérations ont été accompagnées de reprises par les prophètes appelant un retour au monothéisme originel.
Ce schéma est devenu systématique chez les hérésiographes[2]. Prophétologie coranique - prophétologie biblique La prophétologie musulmane doit être distinguée de la prophétologie biblique. En effet, si la Bible met en garde contre la multiplication des prophètes[réf. souhaitée], pour l'islam, tout personnage ayant joué un rôle important dans l'histoire coranique est considéré comme un prophète. Ce
principe rapproche l'islam du manichéisme. Un autre point commun est la notion de « sceau de la prophétie », titre qui est attribué par l'islam à Mahomet, et par le manichéisme à Mani[2]. À la différence des prophètes bibliques, les prophètes coraniques ne prédisent pas l'avenir. Pour Mahomet, les prophéties qui lui sont parfois attribuées, à l'exception de la victoire finale de l'islam, sont des
« rattachements a posteriori d'événements à des formules vagues ». La prophétie coranique est avant tout la seule transmission d'une révélation[2]. Pour Dye, « On a souvent affaire, dans le Coran, à la même histoire qui se répète : 1) envoi d’un prophète ou d’un messager, qui appelle un peuple à reconnaître le dieu unique, 2) incrédulité du peuple, 3) punition divine, qui anéantit le peuple. [...]. Il semble
que la présentation de ces histoires soit adaptée à l’image qui veut être donnée de la carrière prophétique de Mahomet. »[3] La rédaction du Coran, parfois peu précise sur les récits concernant les prophètes, « constitue naturellement un argument ex silentio en faveur de la notoriété de l’histoire biblique de Jonas auprès de l’auditoire des révélations coraniques. ». Cela montre l'importation des récits
bibliques, juifs et chrétiens, dans le contexte de naissance du Coran. Cette influence directe se retrouve aussi bien dans les récits que dans certains détails[4]. Ainsi, le récit coranique d'Ibrahim est à l'intersection de plusieurs sources. L'influence biblique est plutôt indirecte et se retrouve par l'influence de textes midrashiques ou intertestamentaires. De même, les traditions anciennes font référence au
Testament d'Abraham, à l'Apocalypse d'Abraham, au Livre des Jubilés[5]. Distinction entre Messager et Prophète Article détaillé : Messagers de l'islam. L'islam est une religion qui s'inscrit dans un modèle d'histoire « d’annonces successives transmises par des prophètes à des peuples qui restent globalement sourds à l’invitation qui leur est faite de reconnaître leur Seigneur et de se laisser guider par
Lui. »[6] Le premier terme utilisé pour les désigner, Nabî, est un emprunt à l’araméen et désigne un prophète. Le second terme est celui de Rasûl, « messager »[6]. Une distinction peut être faite entre le nabî qui a pour mission de proclamer un message divin et le rasûl qui apporte une législation[2]. Cette polarisation dans les rôles des prophètes existe déjà dans le monde chrétien. Pour Rémi Chéno,
« une piste pourrait s’ouvrir si on voulait rapprocher l’arabe nabî et rasûl du grec chrétien correspondant, prophètès et apostolos. »[7],[8] Signes de la prophétie À l'époque de Mahomet, d'autres orateurs prêchaient un enseignement (souvent proche de celui du Coran).
L'islam les considère comme de faux prophètes, et les oulémas ont établi des critères permettant de distinguer un vrai prophète d'un faux.

Il y a consensus autour de certains signes, comme l'état d'absence, pendant lequel le prophète semble endormi étant absorbé dans le divin. D'autres signes comme l’impeccabilité, l'ascendance noble, les miracles sont rajoutés[2]... Les traditions populaires ont aussi ajouté d'autres signes. Certains annoncent la naissance du prophète tandis que d'autres permettent de le reconnaître. Ainsi, Mahomet est
censé porter une marque physique sur les épaules[2]. Pour al-Ashari, le prophète est un homme comme les autres, il n'est ni une femme (en raison, pour cet auteur, d'une intelligence moindre que celle d'un homme), ni un esclave. Il ne peut pas non plus avoir une infirmité[2].

La notion de « sceau des prophètes » L'expression « sceau des prophètes » est utilisée une fois dans le Coran (sourate XXXIII, verset 40) pour désigner Mahomet en réaction envers ceux qui critiquaient le fait qu'il n'avait pas de descendance. On peut voir dans ce titre à la fois l'idée de clôture mais aussi celui de « confirmation d'identité », déjà présente dans une expression évangélique proche (Jean
6.27[9])[10].Inscription en style coufique Muḥammad messager d'Allah relative à Mahomet, gravée sur le fût d'une colonne de la Grande Mosquée de Kairouan.Cette expression apparaît en premier chez Tertullien (apr. 220) pour désigner Jésus et annoncer que sa venue clôt la lignée prophétique, non pas comme étant le dernier prophète mais comme étant celui vers qui dirigent tous les prophètes de
l'Ancien Testament. Pour Tertullien, Jean-Baptiste est le dernier prophète.

À l'inverse, pour l'islam, le terme appliqué à Mahomet signifie qu'il est le dernier prophète[10]. Ce sens est lié à une influence du manichéisme, Mani se déclarant « sceau des prophètes ». Il déclarait que son enseignement était le dernier éclairage sur le christianisme et le zoroastrisme, et proposait d'en corriger les erreurs. Ce mouvement est aussi le premier à développer l'idée de falsification des
écritures, dans la forme qui sera diffusée par l'islam[10]. Selon Gilliot, pour le premier islam, l'expression « sceau des prophètes » n'avait pas le sens de dernier prophète mais celui de « témoins des prophètes ». Cette notion pourrait provenir du christianisme ou du judéo-christianisme.

En effet, il était admis que la capacité prophétique pouvait être héréditaire. Les traditions anciennes évoquent la possible transmission prophétique au fils de Mahomet (si celui-ci n'était pas mort) ou à son fils adoptif. Pour l'auteur, la nouvelle interprétation a prévalu pour des raisons théologiques et a été à l'origine de modifications des principes de l'adoption ou, même, du texte coranique[11]. Les
commentateurs musulmans mystiques ont apporté quelques nuances. Pour eux, si Mahomet a obtenu l'intégralité de la Prophétie, celle-ci ne s'est pourtant pas éteinte avec lui[10]. Dogme de l'impeccabilité des prophètes Article détaillé : Infaillibilité (Islam).

Pour Olivier Hanne, « Les quatorze siècles de l’islam ont construit autour de lui une doctrine cohérente que l’historien perce difficilement. »[12]. La vie de Mahomet racontée par les traditions est donc « une image idéalisée du Prophète à travers le regard des musulmans des VIIIe – Xe siècles »[12]. C'est ainsi, par exemple, que se met en place la doctrine de l’impeccabilité de Mahomet et des prophètes,
absente des premières générations de musulmans et contraire, pour ceux-ci, à la formule coranique disant que Mahomet est un « homme comme les autres ». Les écrits plus anciens associent à certains prophètes des « fautes graves »[13]. De même, le Coran évoque des fautes commises par plusieurs prophètes, dont Adam, Moïse, David et Mahomet, lui-même[14]. Cette mise en place a impliqué de
« négliger les textes litigieux » et de s'estimer « libre dans l'interprétation »[13]. Le Coran ne défend donc en rien le dogme de l'impeccabilité des Prophètes.
La Sunna, elle-même, n'en contient que quelques traces[14]. Cette doctrine est énoncée, pour la première fois clairement, par Ibn Hanbal (855)[13]. Ce dogme entraînera des conflits d’interprétation lorsque la vieille exégèse (y compris dans les écrits attribués à Mahomet) heurtait ce principe d’impeccabilité[15]. Cette notion aurait été importée dans l'islam par le biais de l'islam chiite, à partir de
l'influence des croyances orientales et a connu dans la pensée sunnite des évolutions et une mise en place longue[16]. La définition de ce dogme pour l'islam sunnite se construit en réaction à la doctrine de l'impeccabilité appliquée par les chiites aux Imams et, probablement aussi, par comparaison avec le statut de Jésus chez les chrétiens. Hormis certaines positions modernes, c'est l'avis d'Ibn Taymiyya
(1328) qui est, aujourd'hui, le plus suivi[13]. Critique de l'idée de prophète La place centrale des prophètes pour l'islam a été la cause de critiques sur le concept même de prophète. Entre le IIe et le IVe siècle, un certain nombre de penseurs, considérés comme hérétiques, ont défendu qu'un prophète était sa propre justification, que conforme à la raison, il serait inutile et que contraire à celle-ci, il serait
nuisible. Un des principaux tenants de cette thèse est Ibn al-Muqaffa. Celui-ci a écrit un pastiche du Coran et défendait que la lecture de son ouvrage (suffisamment longue pour créer une habituation) le rendrait au niveau du Coran, réputé inimitable par les musulmans[2].
De son côté, al-Nazzam considère que la perfection coranique ne vaut que pour un arabophone.
Enfin, al-Razzi considère que le prophétisme est contraire à l'idée d'égalité des hommes et étudie l'aspect psychologique du Coran. Celui-ci le considère comme un « enfonceur du cerveau ». Ce courant disparaitra au Xe siècle avec la canonisation du dogme de l'inimitabilité du Coran[2]. Une réponse a été apportée par la falsafa.
Al-Farabi a intégré le prophétisme dans sa doctrine générale. Celle-ci sera reprise par Avicenne puis al-Ghazali[2]. Liste des prophètes Le Coran cite plusieurs séries de messagers (rasoul) et de prophètes (nabî), certains sont connus de la Bible comme patriarches et non comme prophètes. Dans les sourates XXI (Les prophètes[17]), IV (Les femmes[18]), et III (ʿImran[19]) un certain nombre sont cités dans
une liste de « justes »[20]. Il y a aussi les prophètes inconnus de la Bible[21].
Selon Tabari, il y a eu environ 124 000 prophètes et 313 ont été rasûl (messagers) [21]. Adam[22]‫آدم‬, ādam Énoch[23]‫إدرﻳﺲ‬, idrīsIdrîs Noé[24]‫ﻧﻮح‬, nūḥNuh Abraham[25]‫إﺑﺮاﻫﻴﻢ‬, ibrāhīmIbrâhîm Ismaël[26] ‫إﺳﻤﺎﻋﻴﻞ‬, ismāʿīlIsmâʿîl Loth[27]‫ﻟﻮط‬, lūṭLût Isaac[28]‫إﺳﺤﺎق‬, isḥāqIshâq Jacob[26]‫ﻳﻌﻘﻮب‬, yaʿqūbYaʿqûb(surnommé Israël) Joseph[29]‫ﻳﻮﺳﻒ‬, yūsufYûsuf(fils de Jacob) Shelah[30]prophète des Thamud‫ﺻﺎﻟﺢ‬, ṣāliḥ
Eber[31]prophète des ʿAd‫ﻫﻮد‬, hūdHûd(dénommé Abir) Aaron[26]‫ﻫﺎرون‬, hārūnHârûn Moïse[32]‫ﺳﻰ‬ َ ‫ﻣﻮ‬ ُ , šuʿayb,Chuʿayb Job[26]‫أ َﻳ ّﻮب‬, ayyūbAyyûb Jonas[34]‫ﻳﻮﻧﺲ‬, yūnousYûnous David[26]‫داوود‬, dāwūdDâwûd Salomon[26]‫ﺳﻠ َﻴ ْﻤﺎن‬
ُ , mūsāMûsâ Jethro[33]prophète des Madianites‫ﺷﻌَﻴ ْﺐ‬ ُ , sulaymānSulaymân Élie[35]‫إ ِﻟ ْﻴ َﺎس‬, ilyāsIlyâs Élisée[36]‫اﻟﻴﺴﻊ‬, al yassarAl Yassa' Ézéchiel[23]‫ﻔﻞ‬
ْ ِ ‫ذ َو اﻟﻜ‬, ḏū'l-kiflDhû'l-Kifl Zacharie[37]‫َزﻛ َﺮِﻳﺎ‬,
zakarīyā" Jean le Baptiste[38]‫ﺤﻴﻰ‬ ْ ‫ﻳ‬, yaḥyāYahyâ Jésus[39]‫ﻋﻴﺴﻰ‬ ِ , ʿīsāʿIsâ Mahomet‫ )ﻣﺤﻤﺪ )ﺻﻠﻰ اﻟﻠﻪ ﻋﻠﻴﻪ وﺳﻠﻢ‬Notes et références ↑ Aboubakr Chraïbi, {{|"Cinq super-héros de l’islam ou le rêve de science et d’éternité}}, Diogène 2017/1 (n° 257), p 67-88 ↑ a b c d e f g h i j k et l Marie-Thérèse Urvoy, « Prophétes, prophétologie » dans Dictionnaire du Coran, Paris, Laffont, coll. « Bouquins », 2007, p. 703 - 706. ↑ G
Dye, in Azaiez Mehdi, Reynolds Gabriel S., Tesei Tommaso, Zafer M. Hamza (Eds), The Qur'an Seminar Commentary - A Collaborative Study of 50 Qur'anic Passages, QS 14 Q 11:25–99 ↑ Ida Zilio-Grandi, « Jonas, un prophète biblique dans l’islam », Revue de l’histoire des religions, no 3,​ 1er septembre 2006, p. 283–318 (ISSN 0035-1423, lire en ligne, consulté le 6 novembre 2019) ↑ Lory P., "Abraham"
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juin 2014, p. 44 (ISSN 1628-2329, DOI 10.4000/lettre-cdf.1856, lire en ligne, consulté le 12 septembre 2019) ↑ « (...) c'est lui [Jésus] que le Père, qui est Dieu, a marqué de son sceau. » (Traduction de la TOB) ↑ a b c et d Geneviève Gobillot, « Sceau des prophètes » dans Dictionnaire du Coran, Paris, Laffont, coll. « Bouqins », 2007, p. 795-796. ↑ Cl. Gilliot, « Nochmals: Hieß der Prophet Muḥammad? »
dans Gross M., Ohlig K.H., Die Entstehung einer Weltreligion II, (Inârah), Schiler & Mücke, 6, 2012, p.53-95. ↑ a et b Hanne O. Mahomet, une biographie à plusieurs lectures, Moyen-Orient, 2014, p. 86-91. ↑ a b c et d Urvoy M.-T., Impeccabilité, dans Dictionnaire du Coran, 2007, Paris, p. 416-417. ↑ a et b Pisani E., "Les lectures nouvelles du Coran et leurs implications théologiques - À propos de
quelques livres récents", Revue d'éthique et de théologie morale 2009/1 (no 253), p. 29 à 50 ↑ Mohammed Hocine Benkheira, « Histoire et anthropologie du droit musulman », Annuaire de l'École pratique des hautes études (EPHE), Section des sciences religieuses. Résumé des conférences et travaux, no 119,​ 1er octobre 2012, p. 101–102 (ISSN 0183-7478, lire en ligne, consulté le 6 novembre 2019) ↑
Nadjet Zouggar, « L’impeccabilité du Prophète Muḥammad dans le credo sunnite. D’al-Ašʿarī (m.
324/935) à Ibn Taymiyya (m. 728/1328) », Bulletin d’études orientales, no Tome LX,​ 1er mai 2012, p. 73–89 (ISSN 0253-1623, DOI 10.4000/beo.296, lire en ligne, consulté le 15 juin 2019) ↑ Le Coran, « Les Prophètes », XXI, (ar) ‫ ↑ اﻷﻧﺒﻴﺎء‬Le Coran, « Les Femmes », IV, (ar) ‫ ↑ اﻟﻨﺴﺎء‬Le Coran, « La Famille d’Imran », III, (ar) ‫ ↑ آل ﻋﻤﺮان‬Les justes, en arabe : aṣ-ṣāliḥīn ‫ﺤﻴﻦ‬ ِ ِ ‫ ↑ اﻟﺼﺎﻟ‬a et b Malek Chebel, Dictionnaire de
musulmans, Editions Albin Michel, p. 352 ↑ Le Coran, « La Famille d’Imran », III, 33, (ar) ‫ ↑ آل ﻋﻤﺮان‬a et b Le Coran, « Les Prophètes », XXI, 85, (ar) ‫ ↑ اﻷﻧﺒﻴﺎء‬Le Coran, « El-Araf », VII, 61, (ar) ‫ ↑ اﻷﻋﺮاف‬Le Coran, « Marie », XIX, 41, (ar) ‫ ↑ ﻣﺮﻳﻢ‬a b c d e et f Le Coran, « Les Femmes », IV, 163, (ar) ‫ ↑ اﻟﻨﺴﺎء‬Le Coran, « Les Poètes », XXVI, 162, (ar) ‫ ↑ اﻟﺸﻌﺮاء‬Le Coran, « Les Rangs », XXXVII, 112, (ar) ‫ ↑ اﻟﺼﺎﻓﺎت‬Le C
Coran, « El-Araf », VII, 73, (ar) ‫ ↑ اﻷﻋﺮاف‬Le Coran, « El-Araf », VII, 67, (ar) ‫ ↑ اﻷﻋﺮاف‬Le Coran, « El-Araf », VII, 104, (ar) ‫ ↑ اﻷﻋﺮاف‬Le Coran, « El-Araf », VII, 85, (ar) ‫ ↑ اﻷﻋﺮاف‬Le Coran, « Les Rangs », XXXVII, 139, (ar) ‫ ↑ اﻟﺼﺎﻓﺎت‬Le Coran, « Les Rangs », XXXVII, 123, (ar) ‫ ↑ اﻟﺼﺎﻓﺎت‬Le Coran, « Le Bétail », VI, 86, (ar) ‫ ↑ اﻷﻧﻌﺎم‬Le Coran, « Les Prophètes », XXI, 89, (ar) ‫ ↑ اﻷﻧﺒﻴﺎء‬Le Coran, « La Famille d’Imran », III, 3
III, 49, (ar) ‫ آل ﻋﻤﺮان‬Bibliographie "Prophétes, prophétologie" dans Dictionnaire du Coran, 2007, Paris, p. 704 et suiv. Rémi Chéno, "Prophétie biblique et prophétie coranique" dans Nouvelle revue théologique 2010/3 (Tome 132), p. 434-447.
Van Reeth, "Le Prophète musulman en tant que nâshir Allâh et ces antécédents", OLA 23, 1992, p. 251-274.
Voir aussi Articles connexes Liste des personnages du Coran Prophète Rasul Prophétie (islam chiite) David dans l'Islam Portail de l’islam Portail de la théologie Ce document provient de « . Prophètes ou al-Anbîyâ' (en arabe : ‫)اﻷﻧﺒﻴﺎء‬, sont ceux qui par lesquels Dieu invite l'homme à Lui-même. Dieu communique avec les prophètes par al-Wahy (la Révélation). L'infaillibilité, la connaissance de l'invisible, les
miracles et la réception de la révélation sont les caractéristiques des prophètes. Le Coran mentionne certains des miracles des prophètes, tels que le refroidissement du feu sur Ibrâhîm (a), la transformation du bâton de Moïse (a) en dragon, la résurrection des morts par Jésus (a) et le Saint Coran. Le Saint Coran met l'accent sur la supériorité de certains prophètes sur d'autres prophètes. En plus du statut
de la prophétie (an-Nubuwwat), certains prophètes avaient également le statut de la mission (ar-Risâlat) et certains avaient le statut de l’Imamat. Selon les hadiths, les prophètes Ulu al-'Azm (Noé (a), Abraham (a), Moïse (a), Jésus (a) et Muhammad (s)) sont supérieurs aux autres prophètes et le Prophète de l'Islam (s)), sont supérieurs à tous. Et aussi, parmi les prophètes, Seth (a), Idris (a), Moïse (a),
David (a), Jésus (a) et Muhammad (s) sont considérés comme ayant un livre céleste, et les prophètes Ulu al-Azm sont considérés comme ayant la charia. Selon l'opinion courante, le nombre de prophètes est de 124 000 dont 26 sont mentionnés dans le Coran. Le premier prophète est le Prophète Adam (a) et le dernier prophète est le Prophète Muhammad (s).
Les savants chiites ont étudié l'histoire des prophètes dans leurs ouvrages et ont écrit des livres indépendants sur le sujet, tels que : an-Nûr al-Mubîn fi Qisas al-Anbîyâ’ wa al-Mursalîn écrit par Sayyid Ni’mat Allah Jazâ’irî, Qisas al-Anbîyâ de Râwanî, Tanzîh al-Anbîyâ’ de Sayyid al-Murtadâ et Hayât al-Qulûb d’al-Allâma al-Majlisî. Prophète Un prophète est une personne qui a une relation spéciale avec Dieu
sans intermédiaire des êtres humains; il est l'intermédiaire entre Dieu et les créatures et invite les créatures à Dieu. Recevoir la révélation, la Science occulte et l'infaillibilité sont les caractéristiques des prophètes. La plupart des théologiens musulmans croient que les prophètes sont infaillibles et purs de tout péché et de toute erreur, et cela dans tous les domaines et toutes les étapes de la vie. C'est pour
cette raison que, les cas dans lesquels le Coran mentionne le repentir des prophètes et le pardon de Dieu, comme le meurtre d'un égyptien par le prophète Moïse (a), l'abandon de la mission par le prophète Yunus (a) et la consommation de fruit interdit par le Prophète Adam (a), ont été interprétés comme Tark Awlâ (Abandonner le meilleur). D'un autre côté, certains théologiens considèrent que
l'infaillibilité des prophètes n'est nécessaire que dans les questions liées à la prophétie, et dans les affaires courantes de la vie, ils disent que le prophète fait Sahw (probabilité de faute ou d'oublie dans les affaires quotidiennes). Nombre et les noms Il existe diverses narrations sur le nombre des prophètes.
Selon un hadith célèbre, 'Allâma Tabâtabâ’î a cité le chiffre 124 000 comme le nombre des prophètes. Selon ce hadith, 313 des prophètes sont ar-Rasûl (les messagers), 600 prophètes sont des Bani Israël et quatre autres prophètes (Hood (a), Saleh (a), Shoaib (a) et Muhammad (s)) sont des Arabes. Dans d'autres hadiths, le nombre des prophètes est mentionné comme 8 mille, 320 mille, et 144 mille.
Al-’Allâma al-Majlisî estime que le nombre 8 000 appartient aux grands prophètes. Le premier prophète était le prophète Adam (a) et le dernier était le Prophète de l’islam (s). Le Coran mentionne le nom de certains des prophètes. Adam (a), Noé (a), Idris (a), Houd (a), Sâlih (a), Abraham (a), Loth (a), Ismaël (a), Élisée (a), Dhul Kifl (a), Élie (a), Jonas (a), Isaac (a), Jacob (a), Joseph (a), Shu'ayb (a), Moïse
(a), Aaron (a), David (a), Salomon (a), Job (a), Zacharie (a), Yahya (a), Jésus (a), Muhammad (s) sont les prophètes dont les noms sont mentionnés dans le Coran. Certains commentateurs du Coran pensent que le nom d'Ismaël ibn Ezéchiel est également mentionné dans le Coran. Certains croient que le Coran mentionne les attributs de certains prophètes, tels que Jérémie (a) et Samuel (a), mais ne
mentionne pas leurs noms. Dans le Coran, il y a une sourate nommé al-Anbîyâ’ (des prophètes) et un certain nombre de sourates portent le nom d'un prophète, comme Yunus, Houd, Yusuf, Ibrahim, Muhammad et Noé. Dans les hadiths, Seth (a), Ézéchiel (a), Habacuc (a), Daniel (a), George (a), Uzair (a), Hanzalah (a) et Jérémie (a) sont mentionnés comme prophètes. Or il y a une divergence au sujet de la
prophétie de personnes comme Khidr (a), Khalid b. Sinan (a) et Dhû Al-Qarnayn (a). Selon les versets du Coran, certains prophètes vivaient ensemble et en même temps ; parmi eux sont Moïse (a) avec Aaron (a) et Abraham (a) avec Loth (a). Position des prophètes Selon le verset (parmi les prophètes, Nous avons donné à certains plus de faveurs qu'à d'autres.) la position des prophètes n'est pas la même
et certains d'entre eux sont supérieurs à d'autres.
Dans les hadiths, la position du Prophète de l’islam (s) est considérée comme supérieure aux autres prophètes. Selon les Juifs, les prophètes d'Israël sont supérieurs aux autres prophètes, et parmi eux, le prophète Moïse (a) est supérieur aux autres. Ulu al-’Azm Article connexe : Ulu al-’Azm. Selon Allâma Tabâtabâ'î, la signification d'al-'Azm au verset 35 de la sourate al-Ahqâf est la charia et la signification
d'Ulu al-'Azm est les prophètes qui ont la charia. Selon lui, les cinq prophètes qui ont la charia (Noé (a), Abraham (a), Moïse (a), Jésus (a) et Muhammad (s)) sont les prophètes Ulu al-’Azm. D'autres pensent qu'Ulu al-’Azm ne se limite pas aux prophètes qui ont la charia. Selon un hadith, les prophètes Ulu al-’Azm sont supérieurs aux autres prophètes. Position d’ar-Risâlat (messager) Selon l'opinion
populaire, un prophète est un concept plus général qu'un Rasûl (messager), chaque Rasûl est un prophète, mais tous les prophètes ne sont pas ar-Rasûl. Selon un hadith, 313 des prophètes étaient ar-Rasûl. Certaines des différences entre un prophète et un messager sont : Ar-Rasûl reçoit la révélation dans le sommeil et l'éveil, mais le prophète seulement dans le sommeil. La révélation à ar-Rasûl est
transmise par l’ange Gabriel, mais la révélation au prophète est donnée par d'autres anges, soit par cœur, soit par un rêve sincère. En plus de la position de la prophétie, un Rasûl est également responsable de la mission de compléter l'argument. Le messager est celui qui a la charia et établi les préceptes, mais le prophète est le gardien de la charia des autres. At-Tabrisî attrubua ce point de vue à Jâhiz.
Mais, certains commentateurs du Coran, comme at-Tabirsî, considèrent le prophète et le messager (ar-Rasûl) comme synonymes. Position de l’Imamat Article connexe : Imamat. Selon le verset de l'épreuve d'Abraham (a), certains prophètes avaient également la position d'Imamat. Dans certains hadiths, la position de l'Imamat est considérée comme supérieure à la position d’an-Nubuwwat, car cette
position a été donnée à Ibrâhîm (a) à la fin de sa vie et après sa prophétie. Dans la sourate al-Anbîyâ’, Ibrâhîm (a), Is’hâq (a), Ya’qûb (a) et Lût (a) sont présentés comme Imams. Dans un hadith de l'Imam as-Sâdiq (a), tous les prophètes Ulu al-’Azm sont considérés comme ayant la position de l'Imamat. Selon Cheikh al-Mufîd, les Imamites et les gens de Hadiths sunnites considèrent la position des prophètes
comme supérieure aux anges. Mais la plupart des Mu'tazilites des sunnites croient en la supériorité des anges sur les prophètes. Dans certains hadiths, la position du Prophète de l’islam (s) et des douze Imams chiites (a) est considérée comme supérieure à celle des anges. Livres et la charia Un certain nombre des prophètes avaient un livre céleste ; selon les versets du Coran, les Psaumes étaient le livre
du prophète David (a), la Torah était le livre du prophète Moïse (a), la Bible était le livre de Jésus (a) et le Coran était le livre du Prophète Muhammad (s). Le Coran ne mentionne pas de livre pour Ibrâhîm (a) et utilise l'expression "Suhuf" (se réfère à tout ouvrage écrit contenant des enseignements, des décisions et des signes divins.) pour lui. De plus, selon un hadith, Dieu a envoyé 50 Suhuf à Seth (a), 30
Suhuf à Idris (a) et 20 Suhuf à Ibrâhîm (a). Les commentateurs du Coran basant sur le verset 13 de la sourate ash-Shûrâ ont considéré le prophète Noé (a), Abraham (a), Moïse (a), Jésus (a) et Muhammad (s) comme ayant la charia.
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que Nous t'avons révélé, ainsi que ce que Nous avons enjoint à Abraham, à Moïse et à Jésus...; Le Coran, sourate ash-Shûrâ, verset 13 Dans certains hadiths, avoir la charia est considérée comme la raison de présenter ces prophètes sous le titre d'Ulu al-'Azm. Allâma Tabâtabâ'î a dit que chacun des
prophètes Ulu al-'Azm avait un livre et la charia.
Et que des prophètes comme David (a), Seth (a) et Idris (a) qui n'étaient pas les prophètes Ulu al-'Azm, mais ils avaient des livres, ne sont pas en conflit avec le fait que les prophètes Ulu al-'Azm avaient des livres. Parce que le livre des prophètes qui ne sont pas Ulu al-'Azm ne contenait pas de règles et de charia.
Miracles Article connexe : Miracle. Les miracles sont l'un des moyens par lesquels on peut reconnus les prophètes vrais de ceux qui faux prétendants à la prophétie. Le miracle est un acte extraordinaire de la part de Dieu et accomplie par les prophètes qui s'accompagne d'une revendication de la prophétie et de défi.
Le Coran mentionne certains des miracles des prophètes. Chameau de Salih (a), le refroidissement du feu sur Ibrâhîm (a), la résurrection des quatre oiseaux par Ibrâhîm (a), les neuf miracles de Moïse (a), tels que la transformation du bâton en dragon, l'écoulement de douze sources de l'eau pour les tribus d'Israël, la division de la mer et l'ouverture du chemin du salut pour les Bani Israël, main brillante,
les miracles de Jésus (a) tels que la guérison des malades, ressusciter les morts, transformer la boue en oiseau et les miracles du Prophète de l’islam (s) comme le Saint Coran et Shaq al-Qamar, c'est l'un des miracles connus des prophètes qui sont mentionnés dans le Coran. Ibn al-Jawzî a mentionné des sources qui ont raconté 1 000 miracles pour le Prophète Muhammad (s). La différence entre les
miracles est due à la différence d'informations et aux besoins des personnes à des moments différents. La sagesse divine nécessité le miracle de chaque prophète, être selon les besoins de son auditoire. Par exemple, à l'époque du prophète Moïse (a), la magie et la sorcellerie étaient répandues. Dieu a fait du miracle de Moïse (a) un bâton pour que les sorciers ne puissent pas apporter comme lui et devenir
une preuve pour les autres. Irhâsât Les événements qui ont eu lieu avant la Mission des prophètes (Bi’that) et dans le but de préparer le peuple à accepter sa prochaine revendication sont connus sous le nom d'Irhâs par les théologiens. La sauve du prophète Moïse (a) du Nil, le discours du prophète Jésus (a) dans le berceau, l'assèchement du lac Saveh, le tremblement de l'arc de Kasra, l'extinction du
temple du feu de pers et d'autres événements survenus l'année de la naissance sont Irhâs des prophètes. Bibliographie Les narrateurs de hadiths, les commentateurs du Coran et les théologiens islamiques ont écrit sur les prophètes dans leurs œuvres. Al-Allâma al-Majlisî a consacré quatre volumes du livre Bihâr al-Anwâr aux hadiths liés aux prophètes et neuf volumes à l'histoire du Prophète de l’islam
(s). Des livres sur les prophètes ont également été écrits de manière indépendante, principalement sous le titre «Les histoires des prophètes», dans ces ouvrages, une plus grande attention a été accordée aux biographies des prophètes et parfois aux questions doctrinales qui leur sont liées. Certains de ces oeuvres sont : An-Nûr al-Mubîn fî Qisas Anbîyâ’ al-Mursalîn écrit par Sayyid Ni’mat Allah Jazâ’irî
(1050 H- 1112 H).
Ce livre contient des vies des prophètes qui ses noms mentionnés dans les hadiths chiites. L’auteur dans l’introduction du livre, traite de questions telles que le nombre de prophètes, leurs points communs, les prophètes Ulu al-’Azm et la différence entre un prophète et un Imam. Ce livre est écrit en arabe et a été traduit en persan sous le titre "Histoires de prophètes ou histoires du Coran d'Adam à
Khatam". Qisas al-Anbîyâ’ de Râwandî, écrit par Qutb ad-Dîn ar-Râwandî. Dans ce livre, l'auteur donne les biographies des prophètes dans l'ordre chronologique. Tanzîh al-Anbîyâ’ wa al-A’imma de Sayyid al-Murtadâ (355 H-436 H). Il l'a écrit en arabe pour prouver l'infaillibilité des prophètes.
Dans ce livre, l'auteur protège les prophètes de toute erreur, péché mineur ou majeur.
Waqâyi’ as-Sunan wa al-A’wâm écrit par Sayyid Abd al-Husayn Khâtûn Âbâdî (mort 1105 H). Le livre comprend trois sections. La première partie est liée à l'histoire des prophètes, dans cette partie l'auteur mentionne les noms, la longévité et certaines circonstances d'un certain nombre de prophètes. Dans les deux autres parties, il parle des événements liés à l'époque du Prophète (s). Ce livre écrit en
persan. Latâ’if Qisas al-Anbîyâ’ Alayhim as-Salâm écrit par Sahl b. Abd Allah at-Tustarî (mort 238 H). Ce livre traite de la vie des prophètes à l'aide de versets du Coran et de hadiths. Hayât al-Qulûb d’al-’Allâma al-Majlisî (mort 1110 H). Ce livre contient de l'histoire des prophètes et leurs successeurs. Dans ce livre, al-Majlisi parle également de la prophétie publique, du califat de l'Imam Ali (a), de la
nécessité de l'existence de l'Imam, de sa nomination et de l'infaillibilité.
Les livres de Qisas al-Anbîyâ’ al-Musamma ‘Arâ’is al-Majâlis écrit par Ahmad b. Muhammad ath-Tha’labî, Qisas al-Anbîyâ’ d’Ibn Kathîr et Qisas al-Anbîyâ’ d’Abu Is’hâq an-Nayshâbûrî sont parmi les oeuvres qui écrivirent par les savants sunnites sur les prophètes. Voir aussi Références Sources

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