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Objectifs suivants :
– recentrage et dynamisation des écoulements ;
– diversification des substrats ;
– diversification des hauteurs d’eau ;
– création de caches et abris pour la faune piscicole.
B. Mise en Œuvre
Apports solides moyens à forts : On pourra dans ce cas se « contenter
» de créer des structures de blocages des alluvions en transit de type «
série d’épis ».
Apports solides faibles : Si les apports naturels d’alluvions ne sont pas
envisageables, il sera nécessaire de créer artificiellement des
structures ressemblant aux bancs alternés naturels.
La propagation des bouffées
turbulentes et la création des
bancs alternés. Expérimentations
(Malavoi and Bravard, 2010)
5. Reconstitution du matelas alluvial
A. Contexte d’application et principes généraux
L’incision généralisée des lits fluviaux, observée sur de nombreux cours d’eau
à fond mobile, est généralement due à une surexploitation de leurs alluvions
(extractions en lit mineur par le passé).
Cette incision, outre les dysfonctionnements ecomorphologiques, on note
aussi la pollution de la nappe aquifère
B. Mise en Œuvre
La réinjection des sédiments peut se faire de diverses façons :
simple dépôt des matériaux le long de la berge et attente de leur reprise
par le cours d’eau ou déversement en vrac dans le cours d’eau ;
répartition des alluvions en couche homogène sur l’ensemble de la zone
à restaurer, sur une épaisseur compatible avec la capacité d’écoulement
nécessaire au transit des crues « de projet » (calcul de section capable) ;
création d’une morphologie de bancs alluviaux Alternés.
II.TECHNIQUES DE RESTAURATION DES COURS D’EAU
5. Reconstitution du matelas alluvial
Cas de la réhabilitation de la
Ntahangwa
6°. Seuil et rampes
B. Mise en Œuvre
hauteur de chute inférieure à ~ 20 cm, et si la dénivellation de
l’ouvrage doit être supérieure (rampe
Mise en place de structures rugueuses, facilitant la progression du
poisson et limitant les effets d’accélération des courants hydrauliques
développement d’ouvrages (rampes) à faible pente
ancrage suffisamment profond,
forme légèrement incurvée ou cintrée de l’ouvrage en son centre,
pour éviter un étalement de la lame d’eau lors de l’étiage.
7°. Reconnexion d’annexes hydrauliques
A. Contexte d’application et
principes généraux
B. Mise en Œuvre
Restauration de frayères à brochet Restauration de connexions
assurer la continuité hydraulique permanentes
araser les zones d’alluvionnements Restauration fonctionnelle
dans l’annexe globale: C’est ce type de
ouvrir le milieu (élimination de la restauration que nous
végétation arbustive et arborée en préconisons ici.
excès)
II.TECHNIQUES DE RESTAURATION DES COURS D’EAU
B. Mise en Œuvre
L’ancien tracé du cours d’eau s’étant souvent partiellement ou totalement
comblé avec les sédiments provenant de l’amont, des travaux de
terrassement et de remise en forme de ces matériaux de l’ancienne retenue
seront souvent souhaitables
8°. Arasement/dérasement de seuils
9°. Suppression des contraintes latérales
A. Contexte d’application et principes généraux
Le principe sous-tendant la démarche de suppression des contraintes
latérales se situe donc dans la logique de mise en œuvre du concept
d’instauration ou de restauration de l’espace de mobilité des cours d’eau
B. Mise en Œuvre
L’unique préoccupation
sera de lui fixer un espace
de mobilité aux limites
duquel pourront
éventuellement être
réalisées de nouvelles
protections.
10°. Reméandrage ou recréation de cours d’eau
A. Contexte d’application et principes généraux
La technique du reméandrage est adaptée aux cours naturellement
sinueux dont les sinuosités ont été artificiellement rescindées sur de
longues distances.
Le reméandrage consiste à remettre le cours d’eau dans ses anciens
méandres.
B. Mise en Œuvre
Si forte incision du lit mineur: Si le cours d’eau s’est fortement incisé suite aux
rescindements et que des seuils de stabilisation ont été construits pour limiter
l’incision, il sera nécessaire de procéder par étapes et plutôt de l’aval vers
l’amont.
Problème des collecteurs de drains: Si l’on fait reméandrer, on réduit la pente
du lit mineur et on relève la cote du fond et de la ligne d’eau
Augmentation de la fréquence des débordements: Du fait de la réduction de
la pente et de l’augmentation de la perte de charge liées aux sinuosités
10°. Reméandrage ou recréation de cours d’eau
favorisé
Imposé
2. TECHNIQUES DE RESTAURATION DES SITES DES CARRIERES
• Pour maîtriser l'impact des sites des carrières sur
l'environnement et le cadre de vie des riverains, les
exploitants de carrières mettent en œuvre des solutions
techniques adaptées à chaque situation incluant d’une
manière et d’une autre les points suivants :
- La gestion et qualité de l’eau (Préserver la qualité de l'eau)
- La réduction des émissions de poussières
- L'intégration paysagère
- La réduction du bruit
- La maîtrise des vibrations
- Le transport des matériaux (Moyens de transport alternatif)
- Plates-formes multimodale
-La préservation de la biodiversité
-lutte contre l’érosion, …..
Techniques de restauration des carrières
- TECHNIQUES DE TERRASSEMENT
*Pour le régalage des inutiles de découverte, puis des terres végétales
* Pour la création d’un îlot : En laissant en place du matériau ou en
profitant d’une remontée du substratum
*Renforcement de berges et déplacement de méandres pour les rivières
• Chaque fois, revégétaliser le plus rapidement possible et privilégier le
fascinage par fagots et les plantes à racines maillantes
• Bien anticiper la pente de la berge en fonction de sa vocation et des
conditions climatiques, hydrauliques et géotechniques (par exemple, en
Guyane, il vaut mieux prévoir des pentes verticales dans la latérite et la
saponite pour limiter l’érosion pluviale et l’apparition de ravines)
• Bien choisir une orientation plutôt vers le Sud d’un talus bien drainé
pour reconstituer une pelouse sèche
-TECHNIQUES DE REVEGETALISATION
A. SEMIS :
1) Analyse préalable physico-chimique du substratum
2) Détermination des semences
3) Réfléchir à la pose préalable d’une « armature »
4) Semis à la volée ou Hydroseeding
5) Penser à contracter une garantie sur le résultat avec le
sous-traitant
-TECHNIQUES DE REVEGETALISATION
B. PLANTATIONS :
1) Détermination des essences à planter
2) Détermination de l’âge idéal des plants
3) Choix de la technique de plantation :
a. en godets ou pote
b. en racines nues
c. en motte
4) Détermination de la maille de plantation
5) Prévoir les protections des plants
6) Penser à contracter une garantie de reprise avec le sous-traitant ou le
fournisseur
Bref des étapes de la végétalisation:
• la préparation du substrat
• Végétalisation naturelle
• Végétalisation par transfert de graines ou de foin
• Végétalisation par transplantation
• Il faut aussi faire le suivi de la végétalisation
Végétalisation par
transplantation
-TECHNIQUES DE GENIE ECOLOGIQUE
-Ecologique
-Industriel
-Géologique
-Paléontologique,….
Excavateurs et machines pour pulvériser la pierre dans une carrière
-TECHNIQUES SPECIFIQUES A UN BUT SPORTIF PRECIS PAR
EXEMPLE(terrains, piscines,…)
La population de
Kanyosha en échange
avec les agents de
l’OBM sur l’extraction
des carrières dans la
rivière
Kanyosh(Source: visite
par OBM, Aout,2019)
3. Techniques de restauration des écosystèmes terrestres
1.La reconstitution des milieux à partir de
la régénération naturelle
• Le broyage d’entretien est nécessaire au bout de 4 à 5 ans pour éliminer les repousses souvent
vigoureuses du maquis tout en conservant les jeunes brins des espèces forestières
• Les objectifs de cette opération sont les suivants :
• Eviter la repousse de la broussaille pour limiter les risques de propagation d’incendie, favoriser
la régénération et réduire la concurrence vis-à-vis de l’espèce que l’on souhaite favoriser.
• Favoriser les espèces herbacées.
1.3.Le recépage
• Le recépage consiste à couper au ras du sol, à l’aide d’une tronçonneuse, les arbres considérés
comme morts ou devant mourir dans les prochains mois
• Ces arbres doivent être préalablement repérés et marqués à la peinture par des techniciens
• Après la coupe des arbres, leur houppier doit être démantelé grossièrement et dispersé sur le
sol
• Il peut également être utilisé pour constituer des fascines (Grognou, 2004)
• La technique de fascinage est mise en œuvre principalement dans les secteurs où l’on craint
une forte érosion (Marsol, 2004), c’est justement le cas des milieux incendiés
• L’objectif de cette opération est de favoriser la pousse de rejets à partir de la souche et de
drageons à partir des racines encore vivantes
• De plus, cette opération peut être bénéfique d’un point de vue phytosanitaire, car les arbres
moribonds peuvent être la cible d’attaques parasitaires, qui vont ensuite pouvoir se propager à
des arbres sains (Grognou, 2004).
1.4.Le dessouchage
• Le mot reboisement est réservé aux travaux ayant en vue de reconstituer une forêt plus ou moins disparue ou
d’en créer de nouvelles en terrains nus (Boudy, 1952).
Le reboisement suit les phases suivantes :
1) Elimination de la végétation brûlée par coupe et enlèvement ou par broyage. La préparation du sol varie selon le
degré de destruction des peuplements et le risque d’érosion de la parcelle à reboiser (terrassements en banquettes,
sur les pentes, si absence de rochers).
2) Préparation du terrain, avec la réalisation de trous (Grognou, 2004).
3) Choix des espèces à planter : lors des interventions de restauration telles que les reboisements ou le
remplacement des essences, il est souhaitable, si possible, d’utiliser des essences autochtones ou ayant une grande
valeur écologique. Le choix des essences à planter résulte de l’analyse du milieu (conditions stationnelles et aspect
paysager) et des objectifs à atteindre (Grognou, 2004
4.La restauration par brûlis contrôlés
• Parmi les végétaux qui recolonisent rapidement les milieux , nous avons les
légumineuses et les cistes.
• La reprise rapide des légumineuses est accomplie par la germination massive
des graines durant les toutes premières années de la succession post incendie
par exemple, à partir de leur banque de semences du sol dont la levée de la
dormance est assurée soit par le choc thermique (Auld & O'Connell, 1991.,
Keeley & Bond, 1997., Hanley & Fenner, 1998., Herranz et al., 1998), soit par
l’insolation forte des milieux dénudés (Bazzaz, 1998) ou encore par la fumée
produite par la combustion de la végétation (Crosti et al., 2006; Dayamba et
al., 2008).
Lutte contre les incendies
La lutte contre les incendies de forêt implique plusieurs types d'activités pour protéger la ressource:
· La prévention : vise d'une part les hommes (campagnes d'information) et d'autre part la réduction
de l'inflammabilité des ressources forestières (via des techniques sylvicoles pour réduire l'action
éventuelle des combustibles forestiers).
· L'anticipation : comporte toutes les activités à entreprendre en cas d'incendie qui sont conçues de
façon à assurer son extinction: surveillance, mise au point de techniques d'extinction (par exemple,
l'usage à bon escient de contre-feux), etc.
· L'extinction en elle-même doit avoir un coût minimum et doit être conforme aux objectifs
d'aménagement de la terre et de la ressource.
· La restauration des forêts, activité faisant suite aux incendies, est un élément vital de
l'aménagement forestier durable.
Dans chacun de ces quatre domaines, il est nécessaire de renforcer le cadre institutionnel, la
recherche et l'éducation du public, d'adopter une technologie appropriée et d'inciter à la
participation des populations locales.
Lutte contre les incendies(suite)
Fixation
biologique de
l’azote
4. Les techniques de restauration des zones urbanisées
1. Les corridors écologiques
Quelques exemples de Corridors écologiques
2. les toits verts
3. Végétalisation des murs et des façades
Cas de la ville de Bujumbura
A la Mairie de
bujumbura
Clôture en haut du Boulevard 28
Novembre
Régie des œuvres universitaires
Au campus Mutanga
A Nyakabiga
4. Végétalisation des espaces artificialisés
Plantule d’arbre à
cote du nouveau
bâtiment de la
Mairie de
Bujumbura
Arbre planté au milieu de la
surface imperméabilisée
devant l’OTB
5. Stabilisation et Végétalisation des berges des rivières traversant les
zones urbanisées
Association maïs
(Zea mays- Crotalaria
junceae)
Plantation d’arbres qui permet Haie vive défensive (Jatropha curcas) Plantation de Acacias senegal
de récupérer les terres nues jouant également le rôle de brise-vents
Gestion Intégrée de la Fertilité des Sols (GIFS), dont
l'utilisation des résidus de récolte, l’amendement
organique et humique (composte, engrais brun et
vert), la gestion intégrée des éléments nutritifs du sol
et des techniques agricoles respectueuses de
l’environnement Incorporation des résidus de récolte
dans le sol pour améliorer la fertilité
au Malawi
Utilisation du biochar
(Comparaison)
L’utilisation des fertilisants minéraux : Les engrais permettent d’améliorer le niveau de disponibilité des
éléments nutritifs et compenser les points faibles des amendements organiques. La technique actuelle de
placement profond des engrais est une méthode qui permet aux cultures de mieux valoriser les engrais en
évitant la pollution de l’environnement
Le chaulage : Il permet de corriger la toxicité aluminique et l’acidité des sols par utilisation de la chaux ou du
calcaire broyé
L’utilisation des variétés améliorées : permettent de valoriser les nutriments apportés est essentielle pour la
réussite de la gestion intégrée de la fertilité des sols
Sacs de graines d’herbes en Les graines d’herbe ont été semées dans
conservation les raies du sous solage
Techniques de collecte de l'eau pour la recharge des eaux
souterraines ou une gestion améliorée de l'eau de pluie grâce
à des techniques telles que le zaï (tassa), la demi-lune, les
cordons pierreux, le sous-solage, la mise en place de bande
herbeuse, la réhabilitation des terres abandonnées avec des
rigoles et des techniques de drainage
Dispositifs en arêtes
de poissons
Sous solage qui permet de
casser la croute du sol
Cordons pierreux recueillant l’eau de
Ouvrage en gabions posé dans le ravin Série de seuils en maçonnerie ruissellement et les sédiments fertiles
pour freiner les ondes de crue et arrêter du sol ( Niger)
l’érosion par ravinement aux abords
immédiats de la digue
Aménagement avec seuils en pierres
sèches permettant d’éviter le
creusement du sol et
l’agrandissement des ravines et
rigoles de petites dimensions
aboutissant à des ravins et rigoles de
grandes dimensions (50 cm de large Fermiers fabriquant un cordon de
et 20 à 30 cm de profondeur) pierres (Burkina Faso )
Techniques de restauration (suite)
Même zone
restaurée
Zone dégradée à
croûte superficielle
limite l’infiltration de
l’eau
Demi-lunes, 3 à 4 ans
après leur réalisation
(trois Acacia senagal)
Ex: Restauration après une dégradation, Restauration après des perturbations et des
dérèglements naturels, Contrôle des espèces exotiques envahissantes (EEE)
c) Concentrer les efforts sur une gestion des espèces exotiques nuisibles (ex. celles qui sont
en compétition avec des espèces indigènes importantes au point de vue écologique ou qui
modifient des processus écologiques).
f) S’il faut un contrôle, utiliser autant que possible des méthodes qui
reproduisent les processus naturels, ex. gérer la pression totale du
pâturage, couvrir d’ombre les espèces invasives ou protéger leurs
prédateurs naturels en tenant compte des interactions entre les
nombreuses espèces.
24/04/2021 Bangirinama Frédéric 2010 101
g) Des contrôles plus actifs peuvent être mécaniques (arrachage physique
des espèces envahissantes), chimiques ou biologiques. Si l’on estime que
des contrôles chimiques ou biologiques sont essentiels, s’assurer que les
pratiques sont inoffensives pour la santé humaine et éviter les effets
secondaires environnementaux sur des espèces non visées.
Pour faire face a ce défis, les populations riveraines ont mise en place des associations
militant pour la protection des espèces indigènes en cours de disparition.
Sarclage de plants de Prunus africana, une espèce
autochtone, dans une pépinière mise en place par les
membres de l’Association femme et environnement au
Burundi (AFEB) à Bugarama, Province Muramvya.
Le projet a restauré 500
ha de forêt, établissant 58
pépinières pour produire et
propager quelque 100
espèces de plantes
indigènes.
Haies antiérosives
Haies antiérosives/discontinues
Courbe de niveau
/Physique
Haie antiérosive
Fosse compostière
Culture en bandes/
alternée
Cultures associées
Markhamia lutea
Grevilléa
Culture en billon/billonnage
Maïs
Tomates
/Physique et biologique
Bandes herbacées intercalées entre haies arborées
/Biologique et chimique
Agriculture de conservation/±zéro labour
Tournesol
Tournesol
/Biologique et chimique
Cultures en bandes/cultures associées Cultures en bandes/cultures associées
Soja Desmodium
/Biologique et chimique
Jachère améliorée et rôle des micro-organismes dans la fixation de l’azote
Fixation biologique de l’azote
Calliandra calothyrsus
(www.alcoa.com.au/environmen
t/bib_internet.pdf)
(http://www.fao.org/3/y2795f03.htm)
Ecroulements de masses
mises en surplomb par
érosion ou dislocation de
couches tendres sous-
jacentes
Ecroulement par fluage ou
glissement d'une couche
sous-jacente
2.Les coulées et les laves torrentielles
Ce sont des mouvements fluides de suspensions de matériaux de
granulométrie variables. Les mouvements se produisent lorsque la matrice
fine atteint une teneur en eau très élevée qui la liquéfie.
Figure3:glissement rotationnels
4.Les glissements plans
Ils se manifestent lorsqu’il existe une surface topographique pouvant guider
une rupture plane : tel qu’une couche de caractéristiques médiocres, un
contact manteau d'altération substratum
Les différentes solutions envisageables doivent être examinées dans un ordre progressif
croissant des moyens mis en œuvre, des solutions réparatrices aux solutions
curatives , en allant des solutions les plus simples aux plus complexes.
Cette technique est plus adaptée en zones avec des assises de moindre portance et
pour des emprises réduites en terrain accidenté notamment en hauts ravins.
Généralement plus économique, plus légère et auto-stabilisante, cette technique
consiste en une construction de murs gabions en cascade, ancrés dans un remblai
qui est à monter par couches successives de 25cm, compactés au-dessus de nappes
des treillis métalliques des gabions étalés en prolongement des éléments des
gabions.
En présence d’un éboulement qui parait probable à brève échéance et qui menace
les habitations où des voies de communication, trois situations peuvent être
envisagées :
Figure 17: stabilisation des masses rocheuses par filet et mur cloué
b Implanter des dispositifs de protection
Ce sont des dispositifs qui permettent d’arrêter les blocs avant qu’ils n’atteignent la
zone à Protéger.
Barrière dynamique
Figure17:dispositif de protection
Barrières dynamiques
Butée
Glissement Nord
Il a été procédé à l’arrêt du terrassement
pour conserver une partie du déblai qui
servira de butée du déblai au niveau du
joint argileux, à l’éloignement de la trace
pour gagner sur la largeur du piège a
cailloux et aux travaux de délestage en
crête du déblai. Cette solution était
accompagnée par l’installation des
inclinomètres pour suivre le mouvement du
talus et confirmer la nécessite ou non des
ancrages.
Glissement Sud
Pour ce cas, on a dû procédé à
l’enlèvement des matériaux glissés et à
la construction d’un mur en gabionnages
d’un piège à cailloux et à l’installation de
barrières dynamiques.
C ROCKMAT
Natte de contrôle de l’érosion renforcée par un grillage métallique
Avantages :
• Renforcement élevé et biodégradabilité totale : idéale protection de berges
• Protection des pentes jusqu’à 1/1
• Protection optimale de la natte : couverture totale des surfaces
• Produit également disponible pré-ensemencé
• Solution respectueuse de l’environnement : pas de résidus
Protection de fossé de collecte des eaux de pluies
Avantages :
• Efficace sans nécessiter de paillage supplémentaire ou de traitement chimique.
• Une structure unique (double film) faisant l’objet d’un brevet déposé.
• Réduit les besoins en arrosage en limitant l’évapotranspiration.
• Améliore et accélère le développement des plantes.
• Facile de mise en œuvre : souple, découpe facile.
• Une version 100% biodégradable : Mulchmat Type 10