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CH. 1 - Généralités
1) Position du Problème
1") Sur l'environnement, les biens et installations diverses ainsi que les habitants à
l'aval et à l'amont de l'ouvrage doivent être préservés.
Ce qui peut eritrainer l'ensablement des canaux et il sera par suite difficile de
tirer le débit maximum quand la demande augmentera.
Conséquences :
- aspersion :
* asperseurs peuvent être bouchés, de même que les canalisations lors des
faibles débits.
On doit absolument libérer les appareils de toute influence due aux transports
solides.
2- 1 Conditions hydrauliques
* En cas de crue
- Ne pas aggraver les submersions des propriétés riveraines
3. Données fondamentales
Le nombre soit des paramètres naturels auxquels l’ouvrage doit s’adapter, soit
des paramètres propres des éléments constitutifs est considérable.
3- 1 Paramètres naturels
a) TransDorts solides
* Pas de loi bien définie entre débit solide et débit liquide. Apport limité de la
théorie surtout sur la concentration (suspension)
* attention aux formules empiriques. Elles ont été établies dans des conditions
bien définies.
* Mesures étendues ?
Le coût sera-t-il compensé par l’économie qui résulterait d’une meilleure
connaissance. 11 faut donc aborder le chariage avec des paramètres réduits faciles
d’accès : pente, profil en travers, granulométrie des matériaux du fond du cours d’eau.
b) Corps flottants
c) faunes aquatiques
Consulter un spécialiste
3-2. Paramètres propres aux ouvrages
La " garantie de service " d'une prise doit être élevée (voir les enjeux d'un
disfonctionnement) :
- le captage doit être assuré quels que soient les débits de crue et la quantité du
transport solide
- Position dans le temps des hautes eaux et des basses eaux (courbe hauteur
3") sous-sol
4") Topographe
Les débits à restituer à l'aval de l'aménagement pour ne pas gêner les activités
avant l'aménagement.
CaAPrrREn TYPOLOGIE DES PRISES D'EAU
La prise peut être située sur le fond de la rivière, au milieu de celle-ci ou sur les berges
avec ou sans sur élévation du niveau par un seuil.
-
1.1 Prise sur le fond
Ce mode de captage convient au cours d'eau ni trop lent (éviter le colmatage) &trop
rapide (éviter les érosions).
Exploitation Nettoyage
V1 et V2 ouvertes v1 et v2 fennées
v 3 fermée V3 ouverte
Pompes pompes
9
a) Critères de dimensionnement
* pour le NBE, la vitesse doit être supérieure à 0,6 m/s pour éviter les dépôts
* pour le NHE,la vitesse doit être inférieure à 1,5 m/s.
0)Puits d'eau brute
* emplacement en plan tel que le NHE ne noie pas le puits
* prévoir au moins 2 compartiments pour des problèmes de maintenance
* le puits doit être assez large pour qu'on puisse y entrer pour le nettoyer (temps
de séjour > 20 mm)
* JJ doit être assez lourd pour ne pas être soulevé par les sous-pressions Les
murs latéraux doivent résister à la poussée des terres (épaisseur minimale 20
cm)
Le sol doit pouvoir le supporter
* Le puits doit être étanche
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-
;,, y&%'\
\*:\A
L'ouvrage doit être protégé contre les éléments flottants soit par sa forme et sa
constitution .- ,
c-
<-
c
soit par une estacage située à l'amont (rangée de piles arrêtant les corps flottants)
Calcul identique au 1- 1.
Si à l'étiage le niveau est bas, on peut être &mené à construire un seuil qui aura pour
effet de relever le niveau des eaux.
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FIG. 102 b*- Groupement de la prise sur berge et de quelques installations annexes,
PRISE D'EAU DE SURFACE /,
COUPE NO1
(Suivant l'axe du torrenf)
COUPE N o 2
(Cou p e t ranhve rsa le ovoi )
charse'I
Posserelk
- -
COUPE N ? 3
Fu;. 4-01. (Coupe longitudinale)
La chasse est située contre la prise à I'avd immédiat de celle-ci. Son rôle est d'évacuer
les dépôts qui auront tendance à s'accumuler devant la prise avec la barrage qui a été évigé.
La cote du seuil de prise C'LS doit être nettement supérieure à celie du radier de la
chasse.
Les @es grossières retiennent les corps flottants et on doit prévoir un système de
nettoyage mécanique ou manuelle. 1
Le voile sert à limiter la hauteur des griiies et des varmes lorsque le NHE est très
élevé.
L'avant canal sert de bassin de dessablage. Remarquer le déversoir de réglage (de
sécurité) qui sert à évacuer le débit =&entaire qW rentre dans la prise. Son radier en pente
permet d'évacuer les dépots DU la rieole de purge lorsque la vanne V est fmée et la vanne
A
V" ouverte.
Dimensionnement des d e s
Qmax dencable
Vtesse moyenBe bmie =
S d c e totale de ia gnUe
La longueur ne doit pas être trop élevée à cause des dépôts ayant tendance à s'accumuler
à l'aval. Elle est fonction du débit disponible pour la chasse (voir figure).
i t- - -.
L!
4
P-
.- -
Espacement des barreaux
L'ouvrage de prise peut être regroupé avec l'ouvrage de vidange sauf lorsque la prise
se fait par siphonnaae par dessus le barrage ou par pompage.
Dans certains cas, il peut être intéressant de pouvoir prélever l'eau à différentes
profondeurs en fonction de la T" notamment. On y parvient au moyen d'une prise flottante ou
d'une tour de prise munie de pertuis vannés à différentes profondeurs.
La partie amont du siphon peut être réalisé en éléments mobile afin de suivre les
variations du plan d'eau.
Elle peut consister en un simple piquage sur la conduite de vidange (figure IIL 2 5 ) à
l'extrémité aval de celle-ci.
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1:ipure 111.25. - Conduiic de vidange et de prise en charge
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Le diamètre de la conduite est calculée en fonction du débit à évacuer.
Pour les grands ouvrages, on adopte de grands diamètres pour que la conduite puisse
être visitable (4 800 et plus).
Dans certaines dispositions, la conduite de prise est noyée dans le béton du dalot en
prévoyant un dispositif permettant sa fnction au niveau des joints des éléments du dalot.
Un dispositif de dissipation d'énergie par impact ou par ressaut doit être prévu à l'aval
pour réduire les vitesses à la sortie.
Une passerelle reliant la crête de la digue et la tour doit être prévu pour la manoeuvre
des vannes de la prise.
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Eléments constitutifs
Problèmes :
I + l
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J Y l / Af Y I. '
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LA PRISE D'EAU SUR LA COMOE
Cette prise contribue par adduction gravitaire à la couverture des besoins en eau de
l'usine et du périmètre irrigué de la SOSUCO d'une part et de la ville de Banfora d'autre part.
Ces besoins sont de l'ordre :
Les installations visitées comprennent essentiellement une prise d'eau survie d'un canal
adducteur en trois tronçons, et différents dispositifs de protection, de sécurité, d'entretien et de
Suivi.
Elle capte une partie de l'eau recueillie sur un bassin versant de 130 km2. C'est un
ouvrage en béton armé réalisé, sous forme d'un "V"largement ouvert sur l'amont (1 80"), dans
le lit rocheux de la Comoé. Les deux branches longues chacune de 75 m environ et hautes de
1-05 à 1,50 m servent de seuil permettant de rehausser le plan de l'eau, ou de la retenir et de la
canaliser vers la prise proprement dite placée au sommet du "V".
Cette prise est protégée à son entrée de 2,30 x 2,30 m, par une grille primaire de 7 3
cm d'espacement des barreaux, qui est nettoyée manuellement à l'aide d'un râteau. Juste avant
la @e des rainures à batardeau sont prévues, avec après un vannage d'éventuels isolements
ou de réglage de la prise d'eau. A 4 m environ de l'entrée de la prise, il existe côté amont, un
limnigraphe et un limnimètre. Juste près de l'entrée est disposée, &té avai, une vanne& de
chasse des dépôts solides. De cette vanne- part un by-pass de 4 700 pour le bassin de
décantation primaire.
/
r Le dégrillage primaire est suivi d'un canal damend de l'eau dans un bassin de
dissipation d'énergie. Le canal, entièrement fermé côté amont, est muni sur le côté aval d'un
\ déversoir latéral de sécuritd Juste après le bassin de dissipation, il est prévu un dessableur
primaire qui, d'un côté raccorde au canal adduction pour un arrondi concave. Il est muni sur
l'autre côté presque rectiligne d'un siphon de trop plein et d'une vannette de chasse des dépôts
solides et de vidange.
Il comuorte :
.- .............
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.. . .
.....
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CHAPITRE 3 : LE TRANSPORT SOLIDE
1. INTRODUCTION
'+Li -L
si la rivière coule sur le rocher (cas rare) et si l'eau est ''claire", il n'y a
pas de problème.
2. LE CHARFUAGE
Il existe deux approches dans l'étude du transport par charriage : une approche
par les vitesses et une autre basée SUT les forces tractrices.
2.1.1. Approche par les vitesses (à la base de la formule de EINSTEIN sur le débit solide
QS).
On considère un grain isolé, au repos sur un lit de matériaux sans cohésion.
L'écoulement exerce une force destabilisatrice Fd proportionnelle a u2 d2. Le grain résiste
par son poids et le frottement proportionnelle à d3. Le début du mouvement correspond à
l'équilibre entre ces deux forces d'où u'cr sera proportionnel à d. La vitesse u peut être
rapportée à la vitesse moyenne U ou à la force de frottement 7
D'où
avec
force tractrice 70
-
où
26
K, =-
d l6
Ce qui donne
ou
traduit que la rugosité est définie surtout par les matériaux les plus gros.
Compte tenu de la précision qu'on peut demander, l'écart entre ces deux
valeurs est insignifiant et on pourra retenir :
g, = 25011 -0,08d)'2
où y = tirant d'eau (en m)
d = diamètre "significatif" des matériaux de densité 2,7 (en m)
gs = débit-solide (en tonne par mètre de largeur pesée sous l'eau).
1. Qu'à chaque tirant d'au (donc à chaque débit) est associé un débit solide.
2. Il existe une "fonction de transport solide" Gs(Q) entièrement définie par les
paramètres de la rivière (I,l, d, etc.).
a) la nasse :
C'est une cage grillagée que l'on pose sur le fond de la rivière pour la relever
de temps en temps lorsqu'elle est plus ou moins pleine. Les résultats sont aléatoires et
leur prix élevé :
La plupart des formules ont été établies daprès des résultats obtenus en labo
donc dans des conditions d'alimentation bien définie. Elles ne reflètent donc que les
conditions dans lesquelles elles ont été établies. Les paramètres ont des valeurs limites
et elles sont toutes basées sur une méthode consistante à remplacer la courbe
granulométrique par LUI seul diamètre alors que la dispersion autour de la valeur
moyenne doit jouer.
- Forme complète
Forme simplifiée
3'
g, =25 (yr J - 0,08d,,,)~z
La courbe 4 = f($) est donnée. Elle peut être approximée par la formule de
Einstein-Brown.
Ir
On pourra alors définir un débit solide moyen annuel 2
T
P*
V, ailrait fonction croissante de la pente 1 de la rivière si on pouvait
modifier 1 (70proportionnel à 1 ",7).
Si 1 n'a pas varié sur une longue période, c'est que le débit solide transporté a été
compensé par les apports V', du bassin versant.
D'où la loi de l'équilibre suivante :
En tout point dune rivière, l'alimentation en débit solide V', est définie par
les caractéristiques géologiques et morphologiques du bassin versant. Les
caractéristiques de la rivière elle-même (pente, largeur, etc.) se modèlent alors à travers
les siècles pour lui donner une capacité de transport Vs correspondant à l'alimentation
en matériaux solides qu'elle reçoit de son bassin versant.
/ p O, est
= - appelé "degré d'équipement" de la rivière. Plus fi est grand, plus on
OVl,,
aura théoriquement de problèmes car on aura que rarement des débits disponibles pour
la chasse.
Conclusions
ETAT NATUREL
FIG. 11.3
3.3. Pavage des lits des rivières :
Pour une vitesse moyenne U donnée, les grains les plus petits seront
déplacés tandis que les plus gros, arrangés en couche d'une épaisseur réduite
protégeront les couches inférieures de sédiments.
tr
cIci=_IiI-.s
2) Tous les matériaux qui peuvent être charriés par U ont été
transportés. Le débit solide cessera faute de matériaux à
transporter. Il n'y aura pas de saturation et le "pavage" est
achevé.
Le débit critique de charriage des matériaux pris n'a plus de
signification quantitative : rien ne sera transporté jusqu'à une
crue importante ne vienne rompte le pavage.
r, = T~~ entraine
d90''2 690'2
q = 1221 7= 1200 7
7.6 1 6
où
1 = pente de la rivière en o/oo.
d90 = en mètre
q en m3/s/m
3.4. Phénomènes annexes
Dans les coudes, les courants de fond ne sont pas soumis à Ia même force
centrifuge que les autres du fait de leur vitesse plus réduite. Ils sont alors entrainés par la
surélévation de niveau extérieur (sens des flèches des figures).
4. LE TRANSPORT EN SUSPENSION
J = X - u2
- 1
2g 4RH
U2 26
J = avec K, =- et % =y
KS RH‘’? ($6
donne
FIG. 11.5. - Lcs coüïili1Is d s foiid qui nc W I I ~ p 5 houmis i la rncme force ccnirifuge que
;iutrcs d u fait d c icur vitcssc p l u 3 ii.duiic w i i l c i i i r i i i n t 5 p a r in surkitvation d e niveau extcricur
(da115 Ic XI15 l l c s rlcctics).
courants secondaires
- _ -
-+P
,
',"
\
'
Affouillement
' \\'
Lirni t e
I'affoui
o ires
Vue dc l a p i l e ep p l a n
On n'a pas de difficulté donc à calculer u* avec les équations (5) et ( .
La vitesse de frottement u* est une grandeur caractéristique de l'écoulement,
a;
indépendant de tout transport solide.
et
dC
y =-Oc- où Dc est un coefficient de diffusion
dY
dZ
W Z +Oc- = O
dY
Oc =K.y(l --Y-) U.
Y0
Pour des valeurs de z petites (la vitesse de chute faible par rapport à la
vitesse de frottement), la concentration restera uniforme (C tend vers consthte). Pour
des valeurs de z assez grandes, la concentration est plus élevée au fond que vers le
haut. Donc la notion de turbulence et de dimension de grains est relative.
4.2. Limite de la théorie
4.3.1.Mesures directes
5. APPLICATIONS
ou
60à 70
où 1 est en o/oo.
176
L ~.. .-
!
5.2. Les dessableurs
Soit w la vitesse de chute des grains de sable qu'on veut éliminer quand la vitesse
de l'eau est v, on doit avoir :
u
Le volume utile du dessableur
V = L SZF-O Q h
W
v I h -Q
W
1") Plus h est réduit, plus est réduite la hauteur d'eau disponible pour les
chasses qui seront efficaces.
En pratique :
0.06
O 06
SO
so 0.04
O04
0.02
O O2
O
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( 2 ) Oiitict iiiisiibiiicrgctl
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i,ti iiesse ii'eiiiiee ire ù u i i 1'4s ~ ~ ' . L J ~ I > > JC ~i i t t s , t . i i t . c i i s i i i c i i i l i t . i c i
\
cviicliiite 1)eiii a1lt.i' jiiscjii'à 1,KO m.Ckttr! sti'iic,ture ii'ttxige pas d'enrodieiireiit
de protection en aval.
Oii 21 6galeriitJiit utilisé la iiiêiiic st ructiirc: sans les blocs (fig. 6.42). 1)uris
ce cas, la sti'iic'tiii'e exige un tapis d'enrochement de prolectiori en aval. La
diinension des eni'ociieiiients, d,, est, dans ce cas, fonction t l i i diamètre de la
OII a: T,,,,,, = 3,% in. conduite, donné par la table 153b.
Si l'on adopte ( ~ ) i r i i i i erayon di1 '%iic.ket", r , la valeur c:orrrspontIant à r,,,,",et conil~ie
i;ii)aqiic, 154) :
A',,,,,, ~. __
NI,,;,, ~.
- 12,ï et - 18,O (cas II)
/( 1 '1 1
il c ~ résiilre
i :
qii~ A', ,,,,, = ï , ( i i i i et N,,,,, = 10,8ni
Si la hauteiii- d'eau en ai-al, rnesiirc'e par rapport aii fond d i i bwsiri, est iiiférieiire au
.VI,,,,,O U çrip6riciirr a11 N,,,,* c h i c m i , i l faiidra ;iiigiiic~ritrI1;i v;ileur tiii niyon et refaire le cal-
ciil, jiiscjii'à ce que cette coiiditioii soit satisfiiite.
Une fois fixée la valeur de ?' à adopter, il faut vérifier le coniporteiiient du "bucket"
pour des débits inferieiirs au maiciniuiii.
La géuriiétric fiiialc3 du "bucket"est fixée eri foiic:tiori de la figure ü.40.
I SECTION
Fiy. 6.42
L-Z-Z
I- - L'épaisseur d u tapis doit être, au inoiiis, égale à 1,5d,,, ; la loiigueur aura
la niême valeur que la largeur du bassin, 1.
Ce type de bassin est représenté sur la figure 6 4 1 , avec les dimensions
coi-respoiidantes. La largeur, 1, dépend de la valeur du nombre de Froude et
PIAN du diamètre de la conduite, D, par la relation :
0.58 1
----+ 1 1
- = 3 F,k%
D
Les autres diniensioiis sont les suivait es :
L = 1,331 ; . f = 0,17 1 ; c = 0,08 1 ; a = 0,s 1 ; O = 0,317 1 ; g 3 0,081
133 I
W ' 6 . 4 1 - Macroriigosiî6s
*l