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I- HISTOIRE DU BOGOLAN
Autrefois le peuple Sénoufo s'habillait avait les peaux de certains animaux
tels que celle de la gazelle qui était la mieux adaptée. À l'époque seul les
chefs de villages, chefs de familles et propriétaire terriens qui pouvaient en
faire de costume, quant aux autres en avait juste pour la couverture de
l'intimité généralement n'excédant pas le genou, et la chemise était fait de la
plus simple manière comme nos habits traditionnels mais pour en avoir une
bonne tenue ils fallait associé peaux plusieurs animaux.
Certains partaient plus loin dans des village voisins afin d'apporter une beauté
esthétique a leurs vêtements ( en exemple de FAKAHA ) pour en faire de la
teinture ou voir des dessins sur sa tenue réservée pour les cérémonies.
Après la découverte du coton( l'ancien coton), tout le monde était unanime
que les tenue fait en la matière était l'idéal mais le cotton se faisait très rare
et tout d'abord il fallait faire la filature ( Gouôdjanni) communément fait par
des vieilles femmes ensuite aux tissages par des hommes appelé tisserands
( Kpêlêtchimbéli). Les différents chefs d'alors et propriétaires terriens étant
les fortunés du temps jadis se sont toujours procurer des costumes en cotton.
Vu que le cotton était très rare alors chacun ne pouvait une tenue comme
c'était avec les peaux d'animaux. Face à cette difficulté les chefs d'alors
faisaient confectionner une ou deux tenues vestimentaires pour tous, qui
seront porter par ceux que le chef designéra pour des commissions dans les
contrés voisins ou lorsque l'un des protégés du chef décide d'aller rendre
visite à sa belle famille. Ce port à tour de rôle par des occasions
exceptionnelles de la tenue fait à base du cotton va perdurer jusqu'à ce que
l'obtention des ténues à base du cotton soit accessible à tous.
CONCLUSION
La richesse culturelle du peuple mandingue est variée et multiple. Le
« bogolan » est aussi un symbole et un ambassadeur de cette culture
ces derniers temps. Mais il existe aussi d’autres moyens de valoriser