Nina bedel Monsieur Frederic DEJULLE

45, résidence les fleurs 53, rue des italiens

Lyon , France Paris , France

Objet : Réaction au sujet « vivement que les robots remplacent les humains »

Monsieur le rédacteur en chef ,

Fidèle lectrice de vos publications et Suite à votre article paru le 26 janvier, dans lequel vous déclariez
que les robots pouvaient remplacer les humains au travail, je voudrais apporter quelques réflexions à ce
sujet.

Certes, comme l’a écrit votre journaliste, guillaume Dubois la robotisation et la digitalisation des
processus au travail permet une utilisation plus optimale de données, et se montrent plus efficaces que
l’humain dans plusieurs domaines. Toutefois ces robots ne peuvent guère remplacer l’intervention de
l’homme dans l’entreprise ni d’éliminer sa contribution.

En effet, les robots et les machines d’automatisation de processus de travail, restent tributaires de
l’intervention de l’homme non seulement dans leurs programmations mais également dans leurs mises
en place et l’alimentation de bases de données par les utilisateurs.

En outre, les robots dits intelligents ne font que reproduire et traiter les données déjà existantes,
ajoutant à cela qu’ils ne disposent pas l’habilité d’être créatifs dans le travail, autrement dit ne peuvent
pas imaginer et résoudre les problèmes d’ordre complexe comme le fait l’homme.

Enfin, le cout de mettre en place les robots et de digitaliser reste exorbitent, par exemple, l’achat de
licence, faire appel à des cabinets de consulting spécialisés en digitalisation, le stockage de données
restent des charges lourdes a supporter par les organisations, qui peuvent facilement dépassé la charge
de masse salariale.

Pour conclure, si on admet que les robots vont garantir la disparition de 50 % des métiers de l’homme
d’ici 2025, est ce que nos générations futures ont les compétences numériques nécessaires pour faire
face à ces changements du mode de travail ?

Veuillez agréer, Monsieur le rédacteur en chef, mes salutations les plus distinguées .

Nina Bendel