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PHYSIQUE
MERCREDI 7 FÉVRIER 2024
CALCULATRICES AUTORISÉES
Les 5 exercices ont été entièrement rédigés suivant les attendus du concours.
Utilisez cette correction dans un but de travail en autonomie productif afin de progres-
ser. Faites les exercices du sujet dans les conditions, puis aidez-vous de la correction pour
obtenir des indications sur les questions que vous n’avez pas réussies, sans la lire inté-
gralement, mais en cherchant à vous servir des indications pour faire le reste de la question
seul.
Enfin, et seulement après avoir effectué tout ce travail, corrigez-vous en lisant la cor-
rection et en comparant vos résultat et surtout la rédaction avec celle de la correction,
afin de vous rapprocher de la rédaction idéale.
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(e) La hauteur d’un son est la fréquence fondamentale du signal sonore associé.
Le timbre d’un son est lié à sa composition spectrale : il désigne les caractéristiques
spécifiques à un son (nombre et amplitude des harmoniques).
2. Le domaine du visible comprend des longueurs d’onde entre 400 et 800 nm. Comme λ >
800 nm, alors ces ondes électromagnétiques appartiennent au domaine infrarouge .
3. La diffraction de l’un des faiseaux a lieu lorsque le faiseau en question passe dans une
ouverture de rayon a tel que λ ≈ a. Donc en réduisant au maximum la longueur d’onde,
on s’assure au mieux que les faiseaux ne rencontrent pas d’ouverture de taille de l’ordre
de leur longueur d’onde.
fD c
vr =
2f0
2
2. Le laser possède une fréquence ν bien définie, donc comme c = Tλ = λν, alors le laser
possède une unique longueur d’onde bien définie. Donc le laser est monochromatique .
3. Il est beaucoup plus facile d’obtenir les cohérences spatiale et temporelle nécessaires
pour réaliser des interférences lorsque l’on a une lumière monochromatique. En effet,
une lumière polychromatique multiplie les possibilités de brouillages.
4. Le domaine visible comprend les longueurs d’onde entre 400 et 800 nm.
5. D’après la relation,
c = λν
Puis on en déduit :
c
λ=
ν
AN λ = 532 nm.
Il s’agit d’une longueur d’onde du visible , qui correspond à la couleur verte.
6. (a) En applicant les formules de trigonométrie dans le triangle rectangle avec θ comme
angle au sommet, on trouve :
L
2 L
tan(θ) = =
D 2D
Or θ est petit, donc on peut faire l’approximation tan(θ) ≃ θ, ce qui donne :
L
θ=
2D
Enfin, la relation fondamentale de la diffraction (à connaître absolument par
cœur) donne :
λ
θ=
d
On en conclut :
2λD
d=
L
(b) AN d = 82 µm.
(c) D’après la relation fondamentale de la diffraction,
λ
θ=
d
Donc une augmentation de λ entraîne une augmentation de θ. On en déduit que
les taches de diffraction vont s’écarter .
3
2. D’après la relation,
hc
∆E = hν =
λ
hc
λ3 =
∆E3
Rappel : 1 eV = 1, 60 · 10−19 J.
Erreur dans le sujet : h = 6, 63 · 10−34 J · s.
AN λ3 = 2, 6 µm.
4. En faisant les calculs idoines, on trouve λ1 = 6200 nm, λ2 = 2800 nm et λ3 = 2600 nm.
Ces trois longueurs d’ondes appartiennent au domaine de l’infrarouge .
Ep = +M gz
2. En considérant les frottements nuls, l’expression du travail fourni par le poids W est
donnée par :
W = +M g∆z
Où ∆z = zf − zi = h. On en conclut :
W = M gh
3. Les énergies mises en jeu sont le travail W et l’énergie cinétique des molécules d’éther.
Au niveau macroscopique, l’énoncé déclare que tout le travail mécanique est converti
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en chaleur, donc tout le travail est converti en énergie cinétique des molécules du gaz.
Au niveau microscopique, l’augmentation de l’énergie cinétique des molécules du gaz
entraîne une augmentation des chocs intermoléculaires, ce qui est la définition micro-
scopique de l’augmentation de la température.
4. Bilan d’énergie du système {éther} :
• Le système reçoit un travail mécanique W converti en chaleur
• Il n’y a aucun transfert thermique Qth entre le système et l’extérieur, car l’enceinte
est parfaitement calorifugée.
On applique le Premier Pincipe de la thermodynamique :
∆U = W + Qth = W
On en conclut :
∆U = M gh
5. D’après l’énoncé, on a Q = W car tout le travail mécanique est transformé en chaleur.
On en déduit Q = ∆U , or l’éther est un fluide qui est incompressible et indilatable,
donc ∆U = mC∆T = mC(Tf − Ti ), où m = ρV est la masse d’éther. On en conclut :
Q = ρV C(Tf − Ti )
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(b) On projette la relation vectorielle de la question précéndente sur (Ox) et (Oy) :
ax = 0
ay = −g
(d) La position est l’intégrale par rapport au temps de la vitesse, donc on intègre les
équations précédentes avec les conditions initiales x(0) = 0 et y(0) = 0 :
x(t) = v0 cos(ψ)t
y(t) = − 21 gt2 + v0 sin(ψ)t
(e) La position est l’intégrale par rapport au temps de la vitesse, donc on intègre les
équations précédentes avec les conditions initiales x(0) = xD et y(0) = h :
x(t) = xD
y(t) = − 12 gt2 + h
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(b) On trouve :
xR = 30, 03 m
yR = 19, 04 m
FIN DU SUJET