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J~I ~~~
~Or~~ Ecole Nationale des Sciences Appliquées (ENSA)
...~ -
V Oujda
~ ' 1) A quelle distance du centre de la lentille L1 doit-on placer la deuxième lentille L2 de centre
~ Oi et de distance focale f~ = 5 cm pour avoir une image finale à l'infini? (1 point)
2) Dessiner grossièrement la marche des rayons lumineux envoyés par l'objet AB. (2 points)
1
définie par P = AaB où a' est l'angle sous lequel on voit l'image finale (à l'infini) de
l'objet AB à travers l'instrument :
a) Exprimer P en fonction de Po et IYL 1
1 (Grandissement transversal de l'objectif
Oentille L1)) puis en fonction de IYL 1
1 et f2 . Calculer P en dioptries. (3 points)
1
----------
Bonne chance
Ecole Nationale des S . " , .
Cit:nce~ Appliqut:cs (ENSA)
Oujda
o~J
Con trole d, opticiu, , . .
D ., t; geometnque 2013 ), Filière STPJ. 1r rc année
( janvier
wee lH45 (auczm doc, , . , . . . •
i.meut n est autonse, aucune rndzcnon ne sera donn ee)
3) Calculer CF 1 , CF 2 , CF~, CF; et les vergences V 1 et V2 de ces deux dioptres pour n=l,5; N=l ;
-------------------------------~----------------------·---------------------
lJonne chan::e
Contrôle de janvit>r 2011
Durée 1H30 (aucun document n'est autorisé)
2) On associe les deux dioptres pour former une lentille mince (c'est à dire S1 et S2
sont confondus avec le centre optique 0), en exploitant le résultat de la question
précédent/! montrer que la ;-elation de conjugaison de position pour cette lentille, dans
Ie cas où "t'.1 = N' = 1, en fon ction de n, R, == s 1 c 1 et R2 = S2C 2 , s 'écrit:
-· =-L-=- , ::::_~--'-'- (n - l) l( -_!___ - -~_/,
OA. 0/ : R : n. : )
3) f:n dt duirc !(;:, positions de::. fo yers princi paux (objet et image).
H) On combint ,:-.ettc 1-;nt dl e rnincc (L l) d'.~ œntr;;; 0 1 et de di stance focale f\ ~ 20cm, avec une
aucre le.:1tillc di verg-ente (L2) de cc1Jl:t;: C:, r•our former l' image A 1B 1 d'une tour .&_D de 30 m
h-· m1. s1·rt1e' e ~. une d1· c::ran c'.•'· uJ•"' ·:t k ip .,;. ,. i ,. 7cr1't il! '"' fL I)
r....i ;......., _ , ·- _ _..... .. . . ..... . .. . ._.. \.- •• .. ,.. - ' ..... '- .... ,. . . -~ ' 1,, \ · •
?
Université Mohammed Premier
Ecole N atîonale des Sciences Appliquées
Oujda
8) On fait varier l'angle d'incidence ii de dii, monter que cette variation provoque une variation
(dL') du trajet supplémentaire L' (calculé en 5) qu'on exprimera en fonction de Dt, T et dii.
(1 pt)
9) Calculer, dans l'approximation de Gauss la distance AA' entre un objet ponctuel A et son
image A' à travers la lame. (1 pt)
10) En déduire la nouvelle expression du décalage latéral T'. (1 pt)
Calculer T' : on donne e = 30 mm; n 1 = 1 ; n2 = 1,5; h = 12°.
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Université Mohammed Premier JiilJ..oa,.o~~ •
Ecole Nationale des Sciences Appliquées 41ë1_,hïU ~.JlLU ~_,JI L..,.J.l.&l\
Oujda
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Do
Bom,e chance
L'N/1 'ERS/7'/;' MOI/ 11'1,\/U> l'/Uït// '/~
- . , .. · ·· : ' ,•l1111< 1e l/11'1-cn llair,• !fJ/7/ 2/JIX
Fe ou~1\-. 11 w ,v II c nt-s ,·n,..vc .,.,. 1,.,,, ,,,,L ,, .1 .,. , .. .. · · ·
Ol '.ln. 1 , . .• . ., : ., . . '.'. '. : . , . ,,,,,,.(. Sch-111·,,, 1.'I 11•c h11iq11t!,\ Pour 1llf.(l'llll!llf
Dur'-\ -' l li.JO. ( 'ulc11lur1·in· u11turi1t :<' . A uc1111 doc11111e11/ 11 'est outorisé.
Il ser,1 tenu t.' 0 111/Jft ' <f, , ln /Jl'l'se11rutio11 de lu rn;1ie et de la clarté des répunses.
l ) Ec rire-. dans les co11ditio11s (k Ga uss. les relati ons de cn nju gé1i so ns (positi on et gra ndi ssement)
J)ûur cc dioplr1.· en prenant co mm e origine le ce ntre C de ce di optre. (Le point obj et, sur l'axe
principa l du di optre , es t noté A, le point image es t noté A 1) .
8) faire une constructi on so ignée à l' échelle ½ (toutes les distances et grandeurs seront divisées
par 2),des différentes images données par ce système.
9) Montrer que ce système est équivalent ù un miroir sphérique concave de sommet confondu
avec Cet de rayon de co urbure R' qu 'o n exprimera en fonction den et de R. Calculer R' .
10) Fa ire, sur papi er millimétré et à l'éc helle, une co nstructio n géométrique so ignée de l'image
A' B' de l'obj et AB donn ée par ce miroir.
Bonne chan ce
Ecole Nationale des Sciences Appliquées (ENSA)
Ou_jda
Contrôle d'optique géométri4ue Uanvier 2013), Filière STPI,
Durée I fl.15 (aucun document n'est autorisé, aucune indiction ne sera donnée) ✓
Partie I : Etude d'un S)'Stèmc dioptrique (12 points)
On considère un système optique formé de deux dioptres sphériques D, et D2 de même
sommet S, de centres C, et C 2, de rayons R1 = SC 1 cl R 2 = SC 2 (voir figure 1). Ce système
d'indice n est placl! clans un milieu d'indice 1.
1) Ecrire, dans les conditions de Gauss, les relations de conjugaison (position
et grandissement) pour ces deux di optres en prenant comme origine le sommet S.
2) En déduire les positions des foyers objets SF 1 , SF 2 et images SF~ , SF; pour ces
3) Calculer SFi,SF 2 , SF~ , SF; et les vergences V 1 et V 2 de ces deux dioptres pour n=l,5;
pour ce système.
2) Montrer que ce système est équivalent à un miroir dont on précisera son rayon R' Figure 2
en fonction den , et R 2 (R 1 = -Rz) et sa nature. Calculer R' (avec les mêmes données J-5).
3) Déterminer la position du foyer de ce miroir.
4) Faire sur papier millimétré et à l' échelle une construction soignée, en précisant les rayons
lumineux, de l'image A'B' d' un objet AB=lcm, perpendiculaire à l'axe, placé à 6 cm du centre
de ce miroir.
S) Déduire de cene construction le grandi ssement Î\'I de ce miroir.
-----------·-···-···-·-·--·----------
Bonne chanc.:
Ecole N ationale des ScienceJ Appliquée.\· (ENSA)
Oujda
Exercice 1
Un vase dont le fond est horizontal contient trois couches liquides non miscibles d' indices
n1 = i, n2 = i et n3 =~et d'épaisseur respecti ve e1 = 15 cm, e2 = 12 cm et e3 = 12 cm
(voir le schéma ci-dessous). Un poisson décoratif, AB sur le schéma, se trouve à 3 cm du fond
du vase. Un observateur regardant Je poisson du haut du vase, se place ainsi dans les
conditions de Gauss.
1. Tracer, sous une même incidence i, la marche d'un rayon lumineux issu de A et d'un autre
rayon issu de B.
2. En déduire l' image A 3B3 du poisson AB après la réfraction à travers les trois dioptres.
3. Donner la relation de conjugaison de chaque dioptre.
4. Calculer le grandissement.
5. Calculer la distance objet-image AA 3 • De quelle distance ce poisson parait-il rapproché ou
éloigné pour l' observateur?
H3 no
H2 n3
Hl n2
B A
- - nl
~
Exercice 2
Un dioptre sphérique sépare deux milieux transparents et homogènes d' indices différents n 1 et
n2. Les deux points A 1 et A2 représentent les points de Weierstrass. Compléter le dessin en
précisant la direction des rayons réfractés en Jet K. Justifier votre réponse.
111
Exercice 3
Un prisme de verr~ de section principale ABC rectangle en B et dont l'angle A vaut 75° est
placé dans l'air. Un rayon lumineux monochromatique pour lequel Je verre employé a pour
indice n = 1,6328. arri ve en I sur la face AB sous l'incidence i au-dessous de la nonnale.
Nous étudions, par la suite, le cas où le rayon, une fois arrivée sur la face AC, émerge avec
l' angle de réfraction i'. La réfraction sur la face AC se fait au point J.
p
D
B C
Exercice 1.
On considère la série de fonctions [ u11 (x), définies sur IR+ par:
e-llX
u,, (x) = - -2 , 11 E N
l+n
1. Montrer que la série I: u (x) converge normalement sur
11 IR+.
2. Soit S sa somme. Montrer que la fonction S est continue sur IR+·
3. Montrer que la série [, u:, (x) converge normalement sur tout intervalle [a, +oo[, a > O.
, 4. En déduire que S est dérivable sur IR~, puis donner S'(x) pour tout x E R~.
Exercice 2.
Exercice 3.
Soit J : lR ----+ JR, la fonction 2n-périodique et impaire, définie par:
rr- t
J(t) =- 2
- pour t E JO, n].
3. Déterminer la série de Fourier de/, puis exprimer la somme de cette série en fonction de f.
(On justifiera le résultat).
Exercice 1.
On considère la série numérique [ 1t 11 de terme général :
1
u,, = 11 (11 2 - l)
Il 22
Exercice 2.
Etudier la nature des séries numériques de terme généraux suivants:
11
2
+5 ein0
(-1)")
J ,1 7 + 311 4 + 8
Vn = vn, 0 E 1R Wn = .
l - sm
2 + 71
( 'TT:
Exercice 3.
Etudier la nature de la série de terme général
(-1)'2
u,, n22
Il + (-1) 11 01
(-1)11
(Indication : mettre en facteur, puis utiliser w1 développement limité convenable).
n
Exercice 4.
On considère la suite de fonctions / 11 : 1R ~ 1R définies par
n2x2
J,,(x) = 1 + n2x2 n EN
1. Montrer que (/11 ) converge simplement sur IR vers une fonction f que l'on précisera.
2. Montrer que la convergence est aussi uniforme sur les intervalles [a, +oo[ où n > O.
3 n 2x1
't:/11 E N ; /,, =
1
1
- - - -2 d
1 + n x2
x
UNNERSrŒ MOHAMMED PREMIER Année .?_Ql7.t2018 .·
Ecole Nationale des Sciences Appliquées 2ème année STPI
Oujda
Exercice 1.
Soit la série de foncti ons [ u, 1 (x), défi.nies sur IR par
X
ll11 (X ) = .J,Ï( ) , 'vn > 1
11 1 + nr2
2. Calculer u;, (7n). La série [ u;, (i). converge-t-elle normalement sur lR+?
JR, on a Ju;, (x) J ~
1
3. M ontrer qu e, po ur tout x E
·
/n(
n 1 + nx2
).
-1. Soit alors a > O. Montrer que [ u;, (x) converge normalement sur [a, +oo[.
S. Montrer que la somme 5 ( x) de la série [ u,, (x) est de classe C1 sur JO, +oo[.
Exe rcice 2.
( 1)''+1
l. Déterminer le rayon de convergence R de la série entière E -
n~I 11(2,i + 1)
,r2n+l
.
On note par S(x) sa somme définie sur J - R, R[ ..
2. Quelle est la nature de la série pour x = -R et pour x = R ?
3. a) Rappeler le développement en série entière de la fonction ln{l + x) .
b) Exprimer alors la somme de la série dérivée S'(r) au moyen de la fonction logarithme.
Exercice 3.
Soit f : lR --+ lR, la fonction impaire et 2n-périodique, définie par:
J(t) = t(n- t) pour t E [0, n].
3. Déterminer J.1 série de Fourier de/, puis exprimer la somme de cette série en fonction de J.
(On ius tifie ra le rés ult,1 1).
(-1)11
•l Ju ~tifier la conver:_;en( e de la séri è num ~rique L . ,. . . .
11 ~ 0 (211 + 1)3
.___ et donner sa somme.
. , - ~='1NIVERSfŒ MOHAMMED P.REMDiR AifNe,201*2018v ··. ~ -· ,;.
Ecole Nationale des Sciences Appliquées 2èmé année STPI
Oujda
Exercice 1.
1. Déterminer la nature des séries numériques de terme généraux suivants:
Un = n (1 -
1-)) cos(- Vn = _.!.. (n+1)n
2
11.fii 3n n
2. Discuter suivant les valeurs du réel a: > 0, la nature de la série de terme général
22n a:-2n
u,, = n
Exercice 2.
1
Soit la série numérique [ Un définie par: Un= ln(l - ) \ln~ 2.
112
k -1
11 2 n+l
2. Vérifier que I1 -
,
k
2
= --, puis en déduire la somme de la série _E un.
k=2 211
Exercice 3.
Etudier la nâhue de la série de terme général
(-})Il
(Indication : mettre r.; en facteur, puis faire un développement limité).
V 11
Exercice 4.
On considère la suite de fonctions fn : [O, 1] -t IR telles que
1. Montrer que Un) converge simplement sur [O;J J-vers-.une fonction f.-quë:lton précisera.,
DEVOIRSURVEILLEDEMECANIOUE
DU SOLIDE . - (!
Durée : lh 30mn
Exercice 1
-
Soit R(O,x,y,i) un repère orthonormé direct. On considère le point M de coordonnées (x,y,z)..
. H le champ de vecteu13défini au point M par :
et soit
H(M) =
-(.()[(y - Yo) cos 8+ z sin
w(x - x 0 ) cos 8 ,
8]) où.x 0 ,y0 , lJJ, 8 etµ sont des cons~antes.
( w(x -x0 )sin 0 + _.E.._
cos 8
Ill
~@1
UNIVERSITE MOHAMED PREMIER Année Vnivenitaire 2017-2018· - '.
ECOLE NATIO ALE DES SCIENCES APPLIQUEES
Exercice 2 Î
L'espace étant rapporté à un repère R(O,x,y,z), on considère les deux vecteurs:
A = zx - 3y + z ; B = x + y + z .
et lè système :
x +Y=A · XAY= B
'
1°) Déterminer l'ens~rïJ bl e des vectew-s unitaires perpendiculaires à ÏÏ et B
:2°) A quelles cond itions peut-on résoudre le .système en X ~t enY? .
3°) Quelles sont alors les solutlons?
4°) Peut-on trorr deux solutions orthogonales?
Exercice 3 /
1 /"\
~ Exercice 4 + ....,·,,,.-.'. i;r:-,-,, e - - ' ., , . .
A
x
Exercice 5
Soit un cube ABCD A'B'C'D', d'arête a.
a) Déterminer l'axe central du torseur constitué des vecteurs : AB, B'C', D'D .
b) Calculer le momeq{ft au centre du cube.
c)
Exercice6
-
Calculer l'automoment du torse~r. -
3°) Déterminer l'axe central du torseur /TJ et tracer le pour (xo = Y o = 1, z 0 = o. w = µ = 1 et 8 = n')
2/2
UNIVERSITE MOHAMED PREMIER Année universitaire 2018-2019
ECOLE NATIONALE DES SCIENCES APPLIQUEES
---------------------------------------------------------------------------------------------------------
Oujda, le 08 Novembre 2019
Devoir Surveillé de Mécanique du Solide
Durée J!,30nm
Questions de cours
- Enoncer les définitions des quatre liaisons (glissière, pivot, verrou et rotule) vues dans le
cours et donner un schéma pour chacune d'elles ?
- En l'absence de tout contact extérieur combien de degrés de liberté possède un solide?
citer-les.
- Donner la définition des liaisons unilatérales et bilatérales et faire un schéma pour chaque
liaison?
- Lorsqu'un solide est en équilibre sous l'action de trois forces ((A, 7\), (B, F2 ) et (G, P)) ces
trois forces sont :
❖ Situées dans le même plan
❖ Concourantes où parallèles dans ce même plan.
En appliquant le PFS à ce solide, démonter ces deux situations ?
Exercice 1
Dans un repère R{O, x, y, z}, on se donne un plan (P ={oxy}) et un torseur T défini au point
Opar:
[T] :f~+ ~
o Lx+My +Ni
+Zz
rn.,(lAJ
1°) Calculer a, projection sur la droite D du moment au point A. Calculer de même b,
projection sur la droite D du moment au point B. Que peut-on dire de ces deux quantités?
2°) A quelle condition, a peut-il être nul ? Comment sont les droites correspondantes ?
Exercice 3
L'espace étant rapporté à un repère R { 0, x, y, z}, un torseur Test défini par :
ïi = -2x-y
[
[TJo: M(O) = 1sax + 30y - sz
1°) Déterminer l'équation de l'axe central.
2°) Quel est le moment d'un point appartenant à l'axe central.
J 0 ) Pour quelle condition ce torseur est un glisseur.
Notes:
- Il sera tenu compte de la présentation des copies et de la clarté du raisonnement et des
instructions lors de la correction. ·
Utiliser des commentaires avant chaque bloc d 'instructions.
Exercice 1
1) Quels résultats fournit l'exécution du programme suivant?
#inc1ude <stdio.h>
main ()
{
int n = 10, p = 5, q = 15, r;
r = n == (p != q) ;
printf ( "A : n = ¾d et r = ¾d \n", n, r); \t -:=. Â 0 r-==- o
q = n < p ? n++ : p++ ;
pri ntf (" B: n = ¾d, p = ¾d et q = ¾d \n", n,p, q); Yl =... /10
q = n > p? n++ : p++ ;
printf ("C : n = ¾d, p = ¾d et q = %d \n", n, p, q); Vl -:::= /]/1
}
Exercice 2
Soit T un tableau de N éléments de type réel (double). Ecrire un programme qui range les
éléments du tableau T dans l'ordre croissant. Le programme doit afficher le tableau résultant.
Exercice 3
Soit T un tableau de N éléments de type entier (int). Ecrire un programme qui range les
éléments pairs de T dans un tableau Tp, les éléments impairs de T dans un tableau Timp et les
élémc11ts nuls de T dans un tableau To. Le programme doit afficher les trois tableaux T P, T;mp
et To.
r;: xercicc 4
Soit T un tableau de N éléments de type réel (jloat). Ee:rire un programme qui ra nge Jcs
d éments du tabl eau T dans l'ordre inverse sans utiliser un tableau d'aide. Le programme doit
n(li cher le tablc,rn résultnnt.
Notes:
Il sera tenu compte de la présentation des copies et de la clarté du raisonnement el des instruclions lors
de la correction.
Utiliser des commentaires avan/ chaque bloc d'instruclions.
Exercice 1
1) Soient les déclarations suivantes :
int n = 15, p = 4, q = 8, k ;
float x = 3.75;
Exercice 2
Soient un réel X (float) et un tableau A de réels (float). Ecrire un programme qui élimine toutes les
occurrences de X dans A en tassant les éléments restants. Le programme complet doit faire toutes les
déclarations nécessaires, le remplissage et l'affichage du tableau A ainsi que la partie du traitement. Le
programme doit aussi afficher le résultat final avec la nouvelle dimension de A.
Exercice 3
On considère un tableau A contenant N entiers. On souhaite rechercher dans le tableau A une valeur
V AL entrée au clavier et afficher sa position si elle se trouve dans le tableau, sinon afficher un
message correspondant (par exemple: la valeur Val ne se trouve pas dans le tableau A). La variable
POS qui est utilisée pour mémoriser la position de la valeur dans le tableau, aura la valeur -1 aussi
longtemps que VAL n'a pas été trouvée. Ecrire un programme complet qui doit :
Exercice 4
Soient deux tableau.'<. d"entiers A et B (de dimensions respectives N et M), déjà triés par ordre
croissant. Ecrire un programme qui fusionne les éléments de A et B dans un troisième tableau C de
telle façon que ce dernier soit trié par ordre croissant. Le programme doit afficher le tableau final C.
Soit l'extrait ci-après de« Le jour où j'ai appris à vivre» de Laurent Gounelle :
De jour en jour, son euphorie allait croissant. La rancœur et la déprime qui l'avaient un temps
habité disparaissaient totalement. Progressivement, la marche l'emplissait d'un sentiment de
gratitude tout à fait nouveau pour lui. Gratitude envers la beauté du monde, envers la vie qui
lui offrait enfin une joie et une quiétude jusque-là insoupçonnées. Lui qui avait l'habitude de
râler contre tous les problèmes de son existence avait maintenant envie de dire merci, sans
savoir à qui destiner ses remerciements. Un merci envoyé dans l'univers comme certains
lancent des bouteilles à la mer. Merci d'être vivant, merci de respirer, merci de voir, de sortir,
d'entendre. Les prédictions de mort des bohémiennes ne comptaient plus. Il était en vie, à cet
instant, et cela seul comptait.
Tatie Margie avait son idée sur la question, qu'elle partagea un soir dans son jardin? Ils étaient
installés dans de jolis fauteuils en rotin avec des coussins moelleux. Elle avait comme souvent
préparé une théière fumante dans laquelle elle avait versé une cuillerée de miel et ... une
larme de vodka.
- La nature nous rend ce que la société nous a confisqué.
- Quoi?
- Notre complétude .
- Euh ... tu peux préciser, s'il te plait ?
- Nous sommes des êtres complets et la nature nous amène à le ressentir profondément, alors
que la société crée en nous le manque. Elle sait nous faire croire et nous faire ressentir qu'il
nous manque quelque chose pour être heureux. Elle nous interdit d'être satisfaits de ce que
nous avons, de ce que nous sommes? Elle ne cesse de nous faire croire que nous sommes
incomplets.
Travail à faire :
D'après votre lecture de l'œuvre et à la lumière du texte ci-dessus, situez le passage dans
l'œuvre, Proposer une brève analyse pour le second paragraphe, expliquez comment la société
crée en nous le manque et sait nous faire croire et nous faire ressentir qu ' il nous manque quelque
chose pour être heureux . Illustrez votre réponse par un exemple (maximum une page).
Université Mohamm ed Pre mier Niveau : CP 2
Ecol e Nation ale des Scien ces Appliquée s Professeu r: Mme S. MELHAOUI
Oujda
S oit l'extrait ci-après de« Les hommes vie1111ent de Jt1ars les femmes viennent de
Venus »:
À la suite de leur rencontre, les Martiens et les Vénusiennes se trouvèrent confrontés à bon
nombre de problèmes que nous rencontrons souvent aujourd'hui encore dans nos relations .
Mais, comme ils connaissaient leurs différences, ils purent les régler rapidement. C'est
toujours vrai : une bonne communication est l'un des secrets d'un couple heureux.
Curieusement, le fait qu'ils parlent des langages différents les a plutôt aidés, car dès qu'une
difficulté se présentait, ils avaient recours à un dictionnaire ou même à un interprète . Ils ne
s'attendaient pas à se comprendre facilement. Pourtant, les mots utilisés par les Martiens et
les Vénusiennes étaient les mêmes mais, par leur façon de les utiliser, ils leur donnaient des
sens différents. Leurs expressions aussi étaient similaires, mais ils leur donnaient des
connotations différentes, ou une charge émotionnelle qui en faisait varier la signification. Il
était très facile de se méprendre. Aussi, dès qu'un malentendu surgissait, ils le mettaient sur
le compte d'une des mille petites méprises linguistiques qui émaillaient leurs conversations .
(John GRAY )
Travail à faire :
D' après votre lecture de l'œuvre et à la lumi ère du texte ci-dessus, situez le passage dans
l'œuvre, ex pliquez la différence dans la mani ère de s'exprimer des ma.i1iens et des
vé nu siennes et comment ce tte difl~n:nce es t, dans la plupart des cas, à l' ori gine de
malentendus entre les cieux sexes. Illu sLrèZ vo tre r~ ponse par des exe mples (20 li gnes) .
_,,,,,,. ✓
.,- ENSA SCHOOL- UNIV. MOHAMED 1, OUJDA MIO-TERM EXAM/FALL, 2018
9. The rnmpanies _ much money; things are not so bad this year.
A. is B. being C. is being
A. a rc U1C're B. th e re is C. is the re
14. ft _ __sr i<'n li ~tc; )'CJ. r,; to t' \j• !.1i n 21nd inter ~"' rPt '>l ) l11 ë sc ientifil.. th en ri es .
.\. Tht' \' h.1,·e tn B. Did thl.'\ ' h a\'f, to C. D o Uw,· h,1v(' to
16. Look'· That' s, my e ngmeer
. .
fnend; he _ él
.
bndge to connec t· t1 ,e two rivers' bands.
A. Were those e n g ineers reconstructing B. Were those engineers reconstruct C. Those engineers
reconstructing
18 - Tom is looking for the machine to fobrirntc th e crnft, but in vain. He_ it.
A . Have the engineer-students finalized B. are the engineer-students finalizing C. the engineer-
sh1dents finalize
20. The team project coach_ the building height and width for the last few days.
A. Has the engineer-student been working B. The engineer-student has been working C. Has the
engineer-student worked
22. The man sitting next to you was a civi1-engineer, but he _ interested in computing studies prior to that as
a student.
A. has been 1ooking for B. had been looking for C. had looked
24. The engineering company boss is tired. He_ a taxi back home.
2S. By 2020, most Moroccan ENSA schools _ the stream of GC in their official affiliations.
33. The project was accomplished. The engineer in charge_ on it anew. It was not necessary.
A. can' t have "vorked B. should not have worked C. need not have worked
34. The communily development engineers _ the program in such hard circumstances.
39. The English alphabets [ A--to--Z] generate the same number of phonetic sounds
® No B. rnay-be C. yes
A. [ 5 ] ® [z ] C. [3 ]
41 . The sound underlined in 'furni!tJ.re' is
A. [ (:,] B. [s]
42. The sound underlined in 'generous' is
© [ tJ]
A. [ J] ® [ d3J C. [j ]
43. The sound underlined in 'thunder' is
A. [ ?f]
® [eJ C. [dJ
44. The sound underlined in ,going' is
® [ ~] B. [ n] C. [ rn]
45. The sound underlined in 'bird' is
A. (3: J [ i J C. [ i: ]
46. The sound underlined in 'seat' is
A. [ e. J B. [ i: ] C.
47. Th12 sound underlined in ' cough' is
3/[
A. [ ~] B. C. [ /\]
A. [ V ] B. [ Fl C. l el
49. "I have finished the project today''
50. "How many weeks did it take you to finish the project?"
A. The boss asked him how many weeks it took him to finish the project.
B. The boss asked him how many weeks it took him and finish the report.
C. The boss asked him how many weeks it had taken him to finish the report
A. He requested him not to stop working on the project the following year.