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DEDICACE
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☺ A nos amis,
MERCI A TOUS
REMERCIEMENTS
SOMMAIRE
Dédicace………………………………………………………………………………………………………………………...2
Remerciement…………………………………………………………………………………………………………….3
Introduction générale……………………………………………………………………………………….……..7
4.3 Installation……………………………………………………… 35
4.3.1 Implantation de la machine…………………………35
4.3.2 Raccordement et câblages…………………………35
Travaux effectués…………………………………………………………………………………………………88
Conclusion…………………………………………………………………………………………………….…………93
INTRODUCTION
Coca-cola a fait son apparition pour la 1ére fois au Maroc en 1947 grâce a un
contingent de l’armée américaine qui était basé à Tanger à l’époque.
Une année plus tard, le 1ér embouteilleur a été mis en place à Tanger par JIM
HALL avec un capital totalement américain.
En 1952 la mise en place de la CBGN : embouteilleur franchisé de la compagnie
Coca-cola, elle a été implantée à la place de l’actuel hôtel SOFIA.
En 1971, une nouvelle unité construite au quartier industriel SIDI BRAHIM.
De 1952à 1987, la compagnie des boissons gazeuses du nord (CBGN) ne
fabriquait que Coca-cola et Fanta Orange ; Mais après et pour augmenter sa part de
marché, La compagnie a décidé la diversification de ses produits.
Elle a commencé à produire Fanta Florida, Fanta Lemon, Bonaqua, Hawaï
Ananas, Hawaï Tropical et Sprite, elle a lancé en 1992 les bouteilles en plastique PET.
Elle a même acheté une nouvelle machine d’une grande capacité, rapide et effectuant
plusieurs tâches en même temps.
En 1997, elle acquit la SIM (Société Industrielle Marocaine) principal concurrent
lui permettant ainsi d’augmenter sa capacité de production et d’élargir sa gamme de
produits.
En 2002, la CBGN devient filiale de l’Equatorial Coca-cola Bottling Company
(ECCBC), qui elle aussi filiale du groupe COBEGA à 70%, de The Coca-Cola Holding à
30%.
La CBGN reste parmi les anciens embouteilleurs dont sept filière qui existe
actuellement au Maroc tel que :
1.1.1 CBGN
Sigle : CBGN.
Raison Sociale : Compagnie des boissons gazeuses du nord.
Siège social : Quartier industriel Sidi Brahim.
Téléphone : 055641136/ 055641070/ 055641187.
Fax : 055644244/ 055641181.
Boite postale : 2284.
Capitale : 3 720 000 DH.
Superficie : Environ 1 ha.
Forme juridique : Société Anonyme.
Nombre de personnel : 240 permanent (350 saisonniers selon les saisons)
5% 3%
7%
11%
51%
23%
La CBGN est dotée, d’une seule usine. Elle fabrique la totalité de la gamme de
production écoulée au niveau local, s’adressant aux mêmes clients ou vendue dans
les mêmes types de point de vente, toutefois, toutes les marques n’ont pas la même
force. Certaines sont mal acceptées, alors que d’autres sont préférées ; elles sont
choisies avant tout autre ; et cela dépend de l’image que retient le consommateur à
travers la publicité. Il y en a d’autre qui engendre un comportement de fidélité dans
le temps. Le meilleur test est Coca-cola ; imaginer qu’un client ne trouvera pas son
Coca cola dans un magasin. Est-ce qu’il changera de produit ou cherchera-t-il un
produit concurrent ?
Les dirigeants de la compagnie mère considèrent que la marque est bien gérée
à une vie illimitée comme en témoigne la pérennité de nom : Coca-cola déjà leader
de son marché il y a plus de soixante-dix ans. Mais cela n’a pas affaibli la volonté des
managers de la compagnie d’entreprendre de nouvelles stratégies qui consistent à
Département administratif:
Service informatique;
Service comptabilité;
Service financie;
Service achats;
Service cumul.
Département technique:
Direction commerciale:
Service opérations;
Administration des ventes;
Magasin et article publicitaire.
Service paie;
Service personnel;
Service formation.
.
- La ligne verre N°1 : une capacité nominale de 1500 C/h, produit tous les
produits de 1l ,35cl et 20 cl.
- La ligne verre N°2 : une capacité nominale de 1000 C/h, produit tous les
produits de1L, 35cl et 20 cl.
Les deux premières lignes contiennent presque les mêmes éléments, avec
l’existence de quelques exceptions.
- La ligne PET N°3 & N°4 : dans cette ligne les bouteilles sont en plastiques
(polyéthylène tétra phalat).la capacité nominale est de 6000 bouteilles par
heure, et produit tous les produits en plastique dont les volumes
½,2/2,3/2,4/2.
L’eau potable distribuée par la RADEEF est utilisée par le service de traitement
des eaux qui s’occupe de le traiter avant d’être utilisé par la siroperie, la production
et le rinçage des bouteilles soufflés.
Le traitement des eaux est nécessaire pour:
- Diminuer l’alcalinité.
- Éliminer les impuretés susceptibles d’affecter le goût ou l’aspect du
produit.
- Éliminer les matières en suspension pouvant être présentes dans l’eau de
ville.
Bassin de Stockage
Bassin de Stockage n°1 Chloration de 6 à 8 n°2
Chloration de 1 à3 ppm
Filtre à Filtre à
charbon charbon
Filtre Filtre
taillé
Filtre
à sable à sable Filtres polisseurs
à sable
Décarbonateur
Vers la siroperie
et la production
Résine RCO2
L’eau est mise dans un bassin de stockage à laquelle on ajoute grâce à une
pompe doseuse une dose de chlore comprise entre 1 et 3 ppm.
Cette eau est conduite après vers 3 filtres à sable, à l’entrée de ces 3 filtres il y
a injection du sulfate d’aluminium qui joue le rôle d’un aimant pour rassembler les
matières en suspension qui sont très fines afin qu’elles deviennent grandes ce qui
facilite leurs élimination dans les autres filtres.
L’eau ainsi filtrée passe par le décarbonateur qui élimine le calcaire, puis mise
dans un deuxième bassin de stockage auquel on ajoute une dose de chlore (entre 6
et 8 ppm). L’élimination des traces de chlore se fait à l’intermédiaire d’un filtre à
charbon qui donne à sa sortie l’eau sans chlore mais qui contient des grains de
charbon qu’on doit éliminer par des polisseurs.
L’eau traitée est conduite selon la demande vers les autres services.
Un 3ème bassin qu’on remplie par de l’eau de ville passée par un adoucisseur
permet l’élimination de Mg²+ et Ca²+ afin de ne pas avoir de dépôts de calcaire dans
les machines, cette eau appelée «eau adoucie» sert à nettoyer les bouteilles dans la
laveuse et à alimenter les chaudières
2.2.2 La siroperie
Dans la siroperie on prépare le sirop fini qui est la base des besoins gazeuses.
Pour préparer ce sirop on utilise du sucre granulé de haute qualité, contrôlé à
la réception ce dernier est transporté par un moteur à vice sans fin vers un réservoir
qu’on appelle silos à sucre.
Un autre moteur à vice sans fin amène le sucre à la cuve de dissolution, le
sucre est mélangé avec de l’eau traitée est chauffée à 60°C (Température de
dissolution de sucre) par un échangeur de chaleur, le liquide formé passe par trois
filtres, un filtre horizontal et deux filtres verticaux pour enlever les grains de sucre non
dissous et les transporter vers le fondoir de nouveau.
Le liquide passe par un visiobrix qui permet de mesurer le pourcentage du
sucre dans l’eau (Le Brix) qui doit être compris entre 62% et 64% pour veiller à ce qui
reste ainsi. Un système de régulation comprenant une électrovanne contrôle le débit
d’eau alimentant le fondoir ainsi qu’un moteur menant le sucre.
Le sirop simple passe dans un pasteurisateur à une température comprise
entre 80°C et 85°C grâce à un échangeur de chaleur. La température ne doit pas sortir
de cette plage, d’une part pour éliminer les microbes et d’autre part pour ne pas
brûler le sucre et le transformer en caramel.
Une partie de ce liquide est envoyé vers la cuve de charbon actif qui a pour
rôle d’éliminer les mauvaises odeurs et de donner au sirop simple un bon goût et une
meilleure clarté. Le sirop est mis dans la cuve de réaction à laquelle on ajoute l’autre
partie du sirop simple et laisse les deux parties du sirop se mélanger pendant 1/2h
pour que la totalité du liquide bénéficie des caractéristiques du charbon actif.
Le liquide obtenu passe par un filtre à plaque pour éliminer le charbon ainsi
que les matières en suspension, c’est une grande cuve contenant des plaques
horizontales à travers lesquelles on fait circuler de l’eau mélangé avec de la célite
diatomite, celle-ci se dépose petit à petit sur les plaque en formant ce qu’on appelle
un gâteau. Ce dernier joue le rôle d’un filtre éliminant les traces de charbon dans le
sirop pasteurisé qu’on fait circuler après.
Le sirop simple est encore chaud à cette étape, il passe par un turbidimètre (un
instrument qui permet de détecter toute matière en suspension présente dans le
sirop) puis par un filtre à poche pour s’assurer que le sirop est bien filtré, on fait
passer le sirop par la suite par un échangeur de chaleur pour le refroidir.
Le refroidissement du sirop passe par trois étapes pour éviter le choc
thermique:
- refroidissement par de l’eau traitée (20°C).
- refroidissement avec de l’eau adoucie.
- refroidissement avec de l’eau glycolé à une faible température.
L’eau glycolé est utilisée pour ne pas geler sur les parois des conduites.
Pour préparer le sirop fini on ajoute au sirop simple préparé avant de l’acide
phosphorique qui joue le rôle du conservateur puis les colorants et les arômes
convenable pour chaque limonade.
Compresseur
(Vapeur)
Évaporateur Condensateur
(Liquide)
Détendeur
2.2.5 L’embouteillage
Embouteillage est une étape primordiale dans le processus de la production du
boisson gazeuse
♣ Dépalettiseur
♣ Décaisseuse
Elle se trouve après le dépalettiseur, elle reçoit 4cassiers à la fois. L’arrivée des cassiers
pleines active un détecteur qui donne l’ordre à un vérin de sortir pour freiner les 4 caissiers,
à ce moment là des têtes venteuses équivalents a chaque caissiers portant les bouteilles sur
une table d’accumulation a fin de les transportés vers la laveuse Blles.
Principe de fonctionnement
♣ Laveuse de bouteilles
Les bouteilles rendues du marché doivent être traité minutieusement par un lavage et
nettoyage, ces bouteilles sont introduites d’un côté de la machine par un chargement
automatique. La laveuse se compose de deux parties, une pour le lavage des bouteilles et
l’autre pour le rinçage, les bouteilles se lavent a l’intérieur et a l’extérieur avec l’eau
chaud(70°C) et la soude, pour le rinçage il passe par deux étapes dont la première on utilise
l’eau de recyclage(l’eau de lavage traité et filtré) et la deuxième étape on utilise l’eau adoucie.
L’entretien quotidien de cette machine consiste à :
Nettoyer les plaques collectrices
Vidange des réservoirs de prérinçage
Vidange des bains
♣ Inspectrice
Après la sortie de la laveuse, les bouteilles passent par 2 mireurs ou l opérateur élimine
les bouteilles qui ne sont pas bien lavées, les autres bouteilles passent par l inspectrice qui
est équipée d une camera vidéo, un écran, un système pneumatique et un système de
plaques électronique afin d exécuter plusieurs test de control sur le bouteilles (bouchons
pliés, liquide, résiduel, corps étrangers …..) si l un des test est positif , un éjecteur équipé des
doigts fait éjecter les bouteilles sur un autre convoyeur de récupération .
Le réglage de cette machine consiste a contrôler ses compteurs et a régler avec
précision la sensibilité de chaque test suivant le degré de la lumière projetée sur l’endroit
ainsi que la vitesse de la chaîne du convoyeur et sa position.
♣ Soutireuse
Principe de fonctionnement
Les bouteilles qui doivent être remplies sont amenées par le transporteur vers la
soutireuse, la vitesse du convoyeur est adaptée à la vitesse de rotation de la
soutireuse.
Au passage de la vis sans fin d entrée les bouteilles sont dirigées de façon
précise dans les alvéoles de l étoile d entrée correspondante .l étoile d entrée mène
les bouteilles le long de la courbe de guidage sur les assiettes porte-bouteilles des
cylindres support bouteilles abaissées .
Après le remplissage des bouteilles, elles se dirigent vers le système visseuse qui
consiste a visser les bouchons venants d’une trémie par ventilateur injectant des
bouchons dans un entonnoir équipé d’un moteur qui entraîne une tourelle, cette
dernière fait la distribution des bouchons jusqu’à ce qu’ils trouvent le chemin
adéquat vers les bouchons des bouteilles.
Si le bouchon à couronne passe a travers le calibre (no go) le bouchon est trop
serré, on règle la capsuleuse, et s’il ne passe pas a travers le calibre (go) on a un
bouchon qui n’est pas assez serré.
♣ Etiqueteuse
Son rôle est de coller les étiquettes sur toutes les bouteilles sauf celles de Coca-
Cola.
Principe de fonctionnement
a. L’étoile d’arrêt
Interrompt et libère l’entrée des bouteilles dans la machine .elle est commandé
automatiquement avec le système de régulation de débit.
b. La vis sans fin
Transfert les bouteilles dans l étoile d’entrée.
c. La table support bouteilles
Propulse les bouteilles pour effectuer l’ étiquetage et le lissage , les bouteilles
sont orientées en conséquence par le porte-bouteilles tournant pour être étiquetés
et pour permettre le lissage des étiquettes .
Ils sont commandés par l’intermédiaire de galets roulants dans une came, et des
organes d’entraînements pour réduire l’usure des différents composants, on a
installé un système de lubrification par circulation d’huile de la table des bouteilles.
d. Le poste d’étiquetage
L’étiqueteuse applique les étiquettes sur les bouteilles par l’intermédiaire des :
Rouleau encolleur et règle a colle
Carrousel de segments et segments de collage
Chariot d’étiquettes et magasin à étiquettes *
Cylindre de transfert
♣ Dateur
♣ Encaisseuse
♣ Palettiseur
Ce système consiste a mettre les caissiers sur les palettes d’une façon bien
organisé sous forme de parallélogramme a l’aide des barrières motorisé par des
vérins pneumatiques .elle exécute le contre travail du dépalettiseur.
Bonde rouleuse
ETUDE DU MIXEUR
3.1.1 Objectif
La maintenance est l’ensemble des activités destinées à maintenir ou à rétablir
un bien dans un état ou dans des condition données de sûreté de fonctionnement,
pour accomplir une fonction requise.
Ces activités sont une combinaison d’activités techniques, administratives et de
management.
Déterminer les préparatifs préliminaires pour effectuer une opération de
maintenance.
SIEGE
NABC
SITE
DIRECTEUR D’EXPLOITATION
RESPONSABLE MAINTENANCE
Administration maintenance
Remarque :
L’utilité: c’est le service qui présente une partie essentielle dans la CBGN elle
comprend :
La salle des compresseurs froids :
Elle est munie de 3 compresseurs basse pression a vis, ont la même marque,
avec des puissances différentes :
Les chaudières :
L’atelier de maintenance :
C’est un atelier qui regroupe deux équipes : électrique et mécanique qui ont
pour mission principale de maintenir en bon état de conservation.
- les installations : bâtiments, hangars, parcs ;
- Les aménagements : canalisations de distribution des fluides, les lignes
électriques puissances et éclairages, et lignes de chauffage et climatisation … ;
- Les équipements : les machines assurant la production propre de la société et
le matériel de production et de transformation de l énergie (chaudière,
compresseurs).
Organisation de la Maintenance ;
Objectif de la création d’une cellule de le maintenance
préventive ;
Composition de l’équipe de la maintenance préventive ;
Processus Maintenance Préventive ;
Etat d’avancement ;
Synthèse.
MAINTENIR
AMELIORER
Mécanicien; 3;
Utilités; 2; 11% 17%
Electricien/Instr
umentiste; 5; Aide
28% Mécanicien; 5;
Equipe MP; 3; 27%
17%
e) Maintenance préventive
Maîtriser au lieu de Subir
♣ Efficacité des interventions
♣ L’assurance de la réalisation de toutes les tâches du plan annuel des
opérations du de maintenance préventive
♣ Suivi régulier – Amélioration de l’ordonnancement
♣ Amélioration de la productivité
♣ Régulariser la charge de travail
♣ Amélioration de la sécurité
Déclenchement Programme
journalier préventif
Réalisation des
Synthèse tâches /
Relevé des
journalière
À réaliser
♣ Contrôle et analyse vibratoire des organes de machine ;
♣ Mises à jours des fréquences selon comportement des machines ;
Les meilleures boissons gazeuses sont des produits agréables, pétillants et dotés
d'un goût sucré original. À cet égard, les producteurs de boissons gazeuses sont tout
particulièrement attentifs aux critères industriels suivants :
Description de la machine
4.1.1 Description générale
- Souplesse d'utilisation
Refroidissement de l'eau et de la boisson par le biais d'échangeurs de chaleur
au glycol ou à l'ammoniaque.
Commande à distance et téléassistance.
- Structure de la machine
Système de débitmètres ultramoderne pour le mélange et la carbonation.
Vannes de modulation d'une grande rapidité.
Gestion complète des recettes de produit.
Mesure automatique du flux de produit.
Interface opérateur facile à utiliser (ordinateur avec écran tactile).
♣ Données techniques
4.1.2 Macrofonctionnement
♣ Mélangeur/mixeur
♣ Avantages
Économies considérables ;
Produit de qualité élevée quelles que soient les conditions de
fonctionnement ;
Excellentes performances technologiques assurées par une technologie débit
métrique de pointe pour le mélange et la carbonatation ;
Machine ergonomique qui augmente la sécurité de la production ;
Gestion complète des recettes de produit.
13. Bouton d’activation des tensions auxiliaires (bouton –poussoir vert): Il fournit
les tensions auxiliaires à la machine.
14. Bouton d’arrêt de la machine (bouton poussoir rouge)
15. Bouton de marche de la machine (bouton poussoir lumineux vert)
16. bouton de remise à zéro de la sirène (bouton poussoir jaune): Il arrête la
sirène au cas où elle se serait mise en fonction à cause d’une alarme.
17. bouton de remise à zéro des alarmes (bouton poussoir lumineux rouge): Il
remet à zéro les éventuelles alarmes présentes sur le mélangeur.
♣ Produits
☺ Boissons gazeuses ;
☺ Boissons non gazeuses.
♣ Produits de base
☺ Eau ;
☺ Sirop sucré ;
☺ Sirop diététique ;
☺ Anhydride carbonique ;
☺ Réservoirs en pression essayés selon les normes PED ;
☺ Pression de projet 7 bars ;
☺ Pression d’essai hydraulique 10,5 bars ;
☺ Pression du réservoir obtenue avec gaz ;
☺ CO2 ;
☺ N2 .
♣ Dispositifs optionnels
☺ NEP automatique ;
☺ Conductivimétre ;
☺ Enregistreur de température;
☺ Enregistreur de conductibilité;
☺ Système de monitorage BRIX et CO2:
☼ Enregistreur BRIX et CO2;
☼ Réglages.
☺ Système de monitorage BRIX :
☼ Enregistreur BRIX ;
☼ Réglage automatique BRIX.
☺ Système de monitorage CO2:
☼ Enregistreur CO2;
☼ Réglage automatique CO2.
☺ système de refroidissement avec échangeur à plaque :
☼ Contrôle automatique de la température.
☺ pompe a vide ;
☺ produit ou optionnel non traité ou non présent ;
☺ produit ou optionnel traité ou présent.
4.2.3 Performances
4.3 INSTALATION
♣ Branchement électriques
mise à terre correspond à des caractéristiques précises qui son définies par la norme
CEI 17-13/1 et la norme CEI 44/5.
Les normes prévoient que toute installation utilisateur, la mise à terre de
protection de toutes les parties de l’installation et toutes les mises à terre de
fonctionnement des circuits et des appareils utilisateurs doivent être réalisées en
raccordant toutes les parties intéressées à une installation centrale de mise à terre.
Il faut vérifier que les matériaux utilisés pour l’installation de mise à terre aient
une robustesse appropriée ou une protection mécanique adéquate.
Le raccordement à la terre doit être le plus court possible. Il faut s’assurer que
les conducteur de terre ne soient pas soumis à des efforts mécaniques et à la
corrosion.
1) Alimentation en eau ;
2) Alimentation en sirop ;
3) Alimentation en air comprimé ;
4) Alimentation en CO2 ;
5) Sortie produit soutireuse ;
6) Alimentation en vapeur (en option);
7) Evacuation fluides ;
8) Evacuation stérilisation (en option);
9) Alimentation solution stérilisante (en alternative la solution stérilisante peut
arriver à la machine par les raccordements reportant les numéros 1 ou 2) ;
10) Alimentation fluide réfrigérant (en option);
11) Sortie fluide réfrigérant (en option) ;
12) Alimentation N2 (en option) ;
13) Evacuation condensation (en option) ;
14) Retour solution stérilisante de la soutireuse avec N.E.P interne (en option) ;
15) Alimentation solutions stérilisantes avec N.E.P interne (en option).
4.4 FONCTIONNEMENT
☺ Production.
☺ Stérilisation.
20) Soupape de réglage du vide (en option) : elle sert à régler la phase de
vide à la pression désirée.
21) Vannes d’arrêt automatiques : elle sont commandées à partir du
programme lors de la mise en marche.
22) Vannes d’arrêt automatiques avec soupape d’étranglement : elle
sont commandées à partir du programme lors de la phase de NEP.
23) Echangeur de chaleur à plaques : c’est un dispositif apte au transfert
d’énergie thermique d’un fluide à l’autre.
24) NEP automatique (en option) : option qui permet à la machine de
préparer les solutions stérilisantes et d’effectuée les cycles de lavage NEP, qui
sont programmables.
25) Système de montage CO2/BRIX (en option) : instrument de mesure
de brix et du gazage qui permet d’arrêter la machine si les valeurs de brix
et/ou de CO2 sortent d’une plage fixée dans la recette. La mesure du brix peut
être utilisée pour la correction automatique du brix boisson.
a) Fonctionnement en production
Par production on entend un état de fonctionnement de la machine dans laquelle est
préparé le produit en partant des composants de base (Eau, sirop et CO 2).
- Désaération de l’eau.
- Mélange eau-sirop.
- Carbonatation du produit
DESAERATION DE L’EAU
Le rapport eau-sirop (défini dans la recette) est les rapport entre les litres d’eau
et les litres de sirop nécessaires à la composition correcte de la boisson.
Le mélange d’eau et sirop est réalisé en mesurant les débits instantanés de l’eau
et du sirop à l’aide des deux mesureurs M1 et M2.
Le débitmètre de l’eau M1 est un mesureur basé sur le principe de
fonctionnement magnétique et comme tel il donne une mesure volumétrique
(mesureur volumétrique) de l’eau.
Le débimètre du sirop M2 est un mesureur basé sur le principe de Coriolis et
comme tel il donne une mesure du débit en masse (mesureur massique) du sirop. De
la valeur de l’instrument M2 on devra donc obtenir le débit volumique du sirop
(Poids/Poids spécifique = Volume).
Le réglage du rapport volumique se fait en réglant les débits du produit et du
sirop à l’aide des vannes de réglage VM1 et VM2.
CARBONITATION DU PRODUIT
La carbonation du produit est le procédé qui permet CO2 dans le produit afin
d’obtenir une boisoson gazeuse.
La méthode de carbonation utilisé dans ce mixeur est celle de l’injection directe
(Figure 28).
Cette méthode consiste a injecter le CO2 (dont le débit est contrôlé par le
mesureur et la vanne de réglage directement à l’intérieur du produit).
Les flux sont maintenus à rapport constant par les vannes servocommandées
(VM1) et (VM2), en rétroactionnant le procédé avec les débitmètres (M1) et
(M2).
Les différents dispositifs de sécurité prévus sur la machine sont identifiés dans le
tableau suivant :
Sonde niveau minimum réservoir Elle relève le niveau minimum dans le réservoir de
de stockage. stockage en fin de production.
de projet.
4.5.3 Synoptique
Dans la figure précédente est reporté la page écran du synoptique de production
elle montre toute les informations utiles pour contrôler le fonctionnement de la
machine : flux, vannes modulantes, soupapes ON /OFF, pompes et valeurs
analogiques.
Les flux, de sirop de produit et de CO2 ont été associé chacun à une couleur
précise :
Bleu représente le flux de l’eau ; rouge le flux du sirop ; orange le flux du produit
et jaune le CO2.
Les tuyauteries à pompes arrêtées et sans liquide apparaissent blanches, tandis
qu’en présence de celui-ci et avec les pompes en marche elles se colorent de la
couleur correspondante.
Sur le synoptique se trouvent les composants suivants :
POMPES
- Pompe à eau P1
- Pompe à eau 2 P5/1 (en option)
- Pompe à sirop P2
- Pompe de surpression P3
- Pompe à vide P4 (en option)
Vannes pneumatiques
- Entrée de l’eau dans le désaérateur VEP2
- Entrée de l’eau dans le désaérateur 2 VEP2/1
- Entrée du sirop dans le réservoir du sirop VEP3
- Entrée CO2 dans le réservoir du produit VEP1
- Réglage de la température du produit VR19 et VR19/1 ( en option)
Mesureurs de débit
- Mesureur de débit de l’eau
- Mesureur de débit du sirop
- Mesureur de débit CO2
Niveaux minimums
- Réservoir de désaération
- Réservoir du sirop
- Réservoir du produit
Aux fins de la sécurité la machine est dotée d’un bouton d’urgence placé sur le
tableau de commande qui désactive la marche des auxiliaires et arrête la machine.
l’urgence arrête toutes les pompes ,ferme toutes les électrovalves du
STARBLEND PLUS et la vanne d’introduction de CO 2 dans le réservoir de stockage.
le PC reste toujours activé et donne l’indiction « auxiliaires non activés ».
a) Sélection de la recette
De la barre de navigation principale sélectionner la fonction d’accès à la page
du menu déroulant il est possible de sélectionner les recettes déjà existantes dans le
b) Rinçage de la machine
il est conseillé d’effectuer un rinçage d’au moins 10, si possible froid (quand
l’échangeur est présent) afin de refroidir aussi bien le mélangeur que la soutireuse
immédiatement avant de commencer la production.
les boutons qui activent la fonction de rinçage se trouvent dans la page des
procédures et sont validé si l’opérateur est enregistré comme « Inspector ».
La fin du drainage est fixé par l’opérateur qui visuellement devra vérifier que
dans les réservoirs susmentionnés et dans le tuyau du produit de raccordement avec
la soutireuse , il n’y ait pas de résidus d’eau.
d) Préparation de la ligne et du
réservoir
Il possible de distinguer deux cas principaux :
été achevées sinon il les active automatiquement. La machine maintenant prête pour
l’exécution de la procédure e début de production .
L’arrêt de la production peut être effectué à tout moment sans avoir aucun effet
sur la boisson produite.
En pressant la touche « arrêt machine » la machine exécute les opérations
suivantes :
♣ Les Set Point des flux d’eau , du sirop et de CO 2 sont réduits en suivant la
« rampe d’inclinaison maximale » ;
♣ Les pompes de l’eau et du sirop sont éteintes ;
♣ Les vannes modulantes ( eau , sirop et CO2) sont complètement fermées.
CHANGEMENT DE PRODUIT
LAVAGE EXTERIEUR
Pour obtenir des bons résultats, il faut utiliser un détergent vendu normalement
dans le commerce. Ces détergents contiennent un agent de surface actif et parfois de
chlore.
Il faut mélanger la solution avec de l’eau chaude (40°C).
Il ne faut jamais mouiller directement le tableau de commande, les boîtiers de
connexion, les moteurs, les capteurs, les interrupteurs et les composants électriques
en général.
POMPES
Les joints rotatifs des pompes doivent être périodiquement contrôlés pour
vérifier leur degré d’usure et la nécessité d’éventuels remplacements. Des précautions
opportunes doivent être prises pour l’exécution de ces opérations pour éviter
d’endommager les parties rodées du joint. Si cela devait se produire, les pièces
doivent être ré usinées ou remplacées. Il est recommandé d’avoir en stock des joints
rotatifs de rechange pour pouvoir effectuer le remplacement si nécessaire.
4.8.1 Généralité
SURETE
DE
FONCTIONNEMENT
MAINTENABILI
Pas d ’événe
Remise en TE Critique o
Service Catastrophi
Figure 17 : organigramme de sureté de fonctionnement
2009
50 Fluctuation du brix
6 Branchement d’eau
10 Déconnection de brix
15 Déclanchement de mixeur
5 Branchement d’eau
10 Perturbation de brix/réglage
10 Défaut de désaérateur
6 Défaut de désaérateur
8 Blocage de mixeur
6 Défaut de désaérateur
5 Branchement de sirop
3 Manque de sirop
0 Manque de sirop
4 Branchement d’eau
4 Branchement d’eau
10 Manque d’eau
6 Défaut de désaérateur
6 Défaut de désaérateur
5 Branchement sirop
8 Branchement de sirop
6 Réglage de pression
6 Branchement d’eau
8 Réglage du brix
8 Réglage du brix
8 Fluctuation du brix
31 Branchement d’eau
4 Branchement d’eau
5 Branchement d’eau
5 Branchement d’eau
4 Branchement d’eau
20 Fluctuation de brix
5 Branchement d’eau
15 Défaut électrique
8 Réglage de brix
5 Branchement de sirop
10 Branchement d’eau
6 Branchement d’eau
7 Branchement de sirop
30 Manque de sirop
15 Déclanchement de mixeur
10 Correction du brix
30 Défaut électrique
15 Réglage brix
30 Défaut de refroidissement
10 Fluctuation du brix
4 Branchement d’eau
7 Réglage du brix
10 Correction du brix
20 Réglage de brix
15 Correction de brix
15 Défaut de l’autocorrection
1 Fluctuation de brix
10 Fluctuation de brix
10 Blocage de clavier
90 Manque de sirop
35 Blocage de mixeur
15 Défaut de l’autocorrection
20 Fluctuation du brix
15 Blocage de mixeur
10 Défaut de l’autocorrection
8 Défaut de refroidissement
15 Défaut de l’autocorrection
30 Défaut de désaérateur
6 Défaut électrique
30 Brix instable
9 Changeur de PC
7 Manque d’air
15 Manque d’eau
22 Perturbation du brix
17 Défaut électrique
85 Manque de sirop
35 Défaut d’autocorrection
10 Défaut de saturation
15 Défaut d’autocorrection
10 Manque de sirop
7 Blocage de mixeur
12 Défaut d’autocorrection
2010
12 Défaut d’auto correction ( correction de brix)
15 Défaut de l’autocorrection
mixeur+réglage)
12 Défaut d’autocorrection
12 Eteindre de mixeur
10 Fluctuation de brix
15 Défaut électrique
10 Défaut de désaérateur
5 Blocage de mixeur
10 Réglage de brix
14 Eteindre le mixeur
14 Défaut de glissière
∑ TA 2870 min 1223 min 207 min 875 min 1073 min 62 min 6372 min ∑∑TA
∑ NP 108 42 9 11 61 5 241 ∑∑ NP
b) Etude de la fiabilité
FIABILITE
120
100
80
60
∑NB
40
20
0
Bloc Bloc sirop Bloc Bloc Bloc Bloc
eau+CO2 produit échangeur visiobrix commande
fini
FIABILITE
Bloc eau+CO2
Bloc sirop
Bloc produit fini
Bloc échangeur
Bloc visiobrix
Bloc commande
On remarque que le bloc qui entraine le plus de panne est le bloc eau + CO2
avec 108 pannes ce qui représente 45,76% de pannes, suivi par le bloc visiobrix avec
61 pannes qui représente 25,84% de pannes et puis le bloc sirop avec 42 pannes ce
qui représente 17,79% de pannes.
☺ Interprétation
Le bloc qui contient le plus d’élément est bien sur le bloc eau + CO2, donc c’est
logique qu’il entraine le plus de nombre de pannes. Néanmoins à ce niveau, il faut
apporté des actions sur les vannes modulantes de CO 2 et aussi sur le désaérateur.
Mais en ce qui concerne le bloc de visiobrix qui ce classe en seconde position au
niveau de nombre de pannes et qui ne contient qu’un seul élément, donc c’est au
niveau des fluctuations de brix et CO2 qu’il faut concentrer nos efforts.
Courbe de Pareto
☺ Données
☺ Tableau de pareto
1 2 4 7 5 9 3 13 11 12 10 6 8 14 Réf
100
80
60
DIAGRAMME
40 PARETO
ZONE ZONE ZONE
20 A B C
0 élément
0 26 17 17 12 6 4 4 3 3 2 2 2 2 1 (%)
Composants
(réf)
Zone zone des priorités : 35% des éléments présentent 1;2;4;5;7
A 77% de la totalité des pannes.
Zone zone des priorités moyennes : 35% des éléments 3 ; 9 ; 11 ; 12 ;13
B présentent 16% de la totalité des pannes.
Zone zone des priorités négligeables : 30% des 6 ; 8 ; 10 ;14
C éléments présentent 7% de la totalité des pannes
Tableau 7 : Analyse du diagramme de Pareto
☺ Interprétation
Les types des défauts qui demandent des remèdes urgents sont les défauts de
référence 1, 2, 3, 4, 5, 7.
C'est-à-dire le montage Fluctuation de brix et CO2, Défaut de vanne modulante
de CO2, Défaut de la pompe doseuse d’eau, Défaut de désaérateur, Défaut de la
vanne de désaérateur et Défaut de la pompe de sirop.
☺ Action à engager
c) Etude de la maintenabilité
MAINTENABILITE
3000
2500
2000
1500
∑ TA (min)
1000
500
0
Bloc Bloc sirop Bloc Bloc Bloc Bloc
eau+CO2 produit fini échangeur visiobrix commande
MAINTENABILITE
Bloc eau+CO2
Bloc sirop
Bloc produit fini
Bloc échangeur
Bloc visiobrix
Bloc commande
On remarque que le bloc qui entraine le plus de panne est le bloc eau + CO2
avec 2870 min de temps d’arrêt ce qui représente 45,48% de l’ensemble des temps
d’arrêts, suivi par le bloc sirop avec 1223 min de temps d’arrêt qui représente 19,38%
de pannes et puis le bloc visiobrix avec 1093 min de temps d’arrêt ce qui représente
17,32% de pannes.
☺ Interprétation
Le bloc qui contient le plus d’élément est bien sur le bloc eau + CO 2, donc c’est
logique qu’il entraine le plus de temps d’arrêt. Néanmoins à ce niveau, il faut apporté
des actions sur la pompe doseuse d’eau. Mais le fait que le bloc de sirop entraine
plus de temps d’arrêt que le bloc de visiobrix est du que le premier bloc contient plus
d’élément, néanmoins le brix et CO2 entraine, en seconde position le plus de temps
d’arrêt, ce qui affirme et s’accorde avec les éléments critiques au niveau de la fiabilité.
Diagramme de Pareto
☺ Données
☺ Tableau de pareto
COURBE DE PARETO
120
100
80
60
COURBE DE
40 PARETO
Composants
(réf)
Zone A zone des priorités : 35% des éléments 1 ; 2 ; 3 ; 7 ; 11
présentent 74% de la totalité du temps
d’arrêt.
Zone B zone des priorités moyennes : 30% des 4 ; 5 ; 9 ; 14
éléments présentent 20% de la totalité du
temps d’arrêt.
Zone C zone des priorités négligeables : 35% des 6 ; 8 ; 10 ; 12 ;13
éléments présentent 6% de la totalité du
temps d’arrêt.
Tableau 10 : Analyse du diagramme de Pareto
☺ Interprétation
Les types des défauts qui demandent des remèdes urgents sont les défauts de
référence 1, 2, 3, 7, 11.
C'est-à-dire le montage fluctuation de brix et CO2, défaut de vanne modulante de
CO2, défaut de la pompe doseuse d’eau, défaut de désaérateur, défaut de la vanne de
désaérateur et fuite d’eau glycolé.
☺ Action à engager
Pour les fluctuation de brix et de CO2, il ne s’agit que d’un simple réglage à faire
sur le mixeur via la commande. Ce problème surgit essentiellement lors du
démarrage du mixeur, c.-à-d., après la sanitation, dû aux résidus de sirop mélangé à
l’eau, ce qui d’ordre naturel et inévitable.
Pour la vanne modulante de CO2, c’est au niveau des courroies de cette vanne
qu’on constate le plus de défaut, ce qui est dû au travail répétitif, qui les conduits au
déchirures donc ils doivent être changés à peut prêt tout les ans. Un problème aussi
ce trouve au niveau des joints toriques qui doivent être changés tout les 6 mois.
Pour la pompe doseuse d’eau, le problème le plus fréquent est au niveau des
garnitures qui ne sont pas remplacer par celles d’origine (voir action à engager de la
fiabilité sur la qualité des PDR). C’est garniture sont remplacées tout les 6mois, mais si
on avait les garnitures d’origine on pourrait augmenter le temps entre les
changements. Tout les deux ans, à peut près, on réalise un entretien générale où on
peut effectuer plusieurs changement comme les changements des roulements…
Organisation et communication :
Le service maintenance est bien organisé par équipes (3 équipes) qui sont
réparties comme suite : de 6h00 à 14h00 équipe 1, de 14h00 à 22h00 équipe 2 et de
22h00 à 6h00 équipe 3. Ces équipes se permutent chaque semaine pour qu’il y ait un
équilibre en tous.
La communication entre les mainteniciens ce fait d’une manière direct selon le
besoin et selon la disponibilité du personnel.
La communication entre la production et les différentes équipes de fait grâce à
une alarme qui est activé par le chef d’équipe (une sonnette pour appeler un chef
d’équipe, 2 sonnettes pour appeler un électricien, 3 pour appeler un mécanicien et 4
pour appeler un agent de lubrification).
Planification et programmation des interventions (voir page 91)
TRAVAUX EFFECTUES