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NOM : …………………………… Prénom : ……………………………..

GI FA 21 Test de Thermodynamique, le 9 mars 2023


• Durée 2 heures.


Documents non autorisés.
Calculatrice non programmable autorisée.
/20
• Rendre l’énoncé avec le diagramme R134a annoté (p.4) !

Ce test comporte 3 exercices indépendants et en annexe : un formulaire, un diagramme de Moody et un


diagramme enthalpique R134a.

Exercice 1 : Etude d’un climatiseur de voiture


La quasi-totalité des véhicules neufs sont aujourd’hui équipés d’une climatisation. Pour refroidir l’air intérieur
du véhicule, un fluide frigorigène, l’hydrofluorocarbone HFC désigné par le code R134a, effectue en continu
des transferts énergétiques entre l’intérieur, l’extérieur du véhicule et le compresseur (voir schéma ci-dessous)

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式G ト( うに/2り
ーc 巳い 、
取ノ )、
e今 い9 。 つ( 。 戸 ・ にな。
0・ っ0/ チ
C an-v
( 3いル) のな=丐5 ルル今>b
のヤ ユ
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にイ0ー

> 0ル /

/引) Clew
6 /中 ー
イ軒 第5
=2ツ の = 丿= ツ
与e2 ,声) 0, 厖 レ
? 髭B を ) + 95 切 鍰ッ0 挈レ曜
ア) グ=ィ5ル
5 c 0
ゴ0り
+当デ

こ 取一S ん ぐ

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9引 宅を 0 々・

02

ワ5 ル。
Partie A : Caractéristique d’un climatiseur ditherme réversible
Un fluide réfrigérant décrit un cycle ditherme réversible entre une source chaude de température T c et une
source froide de température Tf . On note Qc et Qf les transferts thermiques algébriques reçus par le fluide,
pendant un cycle, respectivement de la part des sources chaude et froide et W le travail reçu par le fluide
pendant un cycle.

1) Dans le cas d’une machine frigorifique, quel milieu (extérieur ou intérieur du réfrigérateur) constitue
la source chaude ? La source froide ? 0,25pts
Intérieur : Source froide
Extérieur : Source chaude
2) Donner, en le justifiant pour une telle machine, les signes de Qc , Qf et W . 0,25 pts
QC  0 Chaleur rejetée par le fluide vers l’extérieur lors du passage dans le condenseur
Qf  0 Chaleur absorbée par le fluide lors du passage dans l’évaporateur
W  0 Travail mécanique fournit par le compresseur au fluide
3) À partir du premier principe de la thermodynamique, exprimer la relation entre Qc , Qf et W. 0,5pts
Ucycle = QC + Qf + W = 0
4) Définir l’efficacité e de la machine frigorifique puis l’exprimer en fonction de Qc et Qf. 0,5 pts
e = Qf / W = Qf /( - QC – Qf )
5) À partir du deuxième principe de la thermodynamique, établir la relation entre Qc, Qf , Tc et Tf pour le
cycle réversible du réfrigérateur . 0,5 pts
Cycle réversible : QC/TC + Qf / Tf = 0
6) En déduire que, pour le réfrigérateur réversible, l’efficacité e s’écrit : e = Tf /(Tc−Tf ) 1 pts
e = Qf / W = Qf /( - QC – Qf ) = 1 / ( - QC/Qf – 1 )
Deuxième Principe : QC/Qf = - TC/Tf
e = 1 / ( TC/Tf – 1 ) = Tf /( TC – Tf )

Partie B : Etude d’un climatiseur réel

7) Les chlorofluorocarbures ou CFC, comme le fréon, sont des fluides frigorigènes qui ont été très
longtemps utilisés. Pourquoi ces fluides ont-ils été abandonnés ? 0,25 pts
Les fréons ont été abandonnés car ce sont des gaz à effet de serre et que sous l’effet du
rayonnement UV, ils se décomposent en éléments susceptibles de détériorer la couche d’ozone.

8) Quel doit être le cycle thermodynamique suivi par le fluide pour que l’efficacité du climatiseur soit
maximale ? 0,25 pts
Cycle de Carnot

On étudie dans la suite l’évolution du fluide frigorigène au cours d’un cycle réel en régime permanent. Le
débit massique vaut Qm = 0,1 kg.s−1. On néglige les variations d’énergie cinétique et de pesanteur.

La puissance thermique Pth , reçue par le fluide dans l’évaporateur permet la vaporisation isobare complète du
fluide venant de (4) et conduit au point (1) à de la vapeur à température T1 = 5 °C et pression P1 = 3 bar.
Aucune puissance mécanique n’est fournie au fluide dans l’évaporateur.

2
N.B. : Pour la suite des questions, les mesures seront faites sur le diagramme

enthalpique avec une précision de  5 kJ.kg-1 pour l’enthalpie massique, de  0.05

pour le titre en vapeur xv, de  5°C pour la température.


9) Placer le point (1) sur le diagramme enthalpique du R134a page 4. Relever la valeur de l’enthalpie
massique h1 du fluide au point (1). 0,5 pts
h1 = 405 kJ/kg

Le compresseur aspire la vapeur (1) et la comprime de façon adiabatique et isentropique avec un taux de
compression : r = P2/P1 = 6.

10) Déterminer P2. Placer le point (2) sur le diagramme. Relever la valeur de la température T2 et celle de
l’enthalpie massique h2 en sortie du compresseur. 0,5 pts
P2 = 18 bar ; T2 = 72°C ; h2 = 440kJ

11) Déterminer la valeur de la puissance mécanique Pcompresseur (ou Pm), reçue par le fluide lors de son
passage dans le compresseur. Commenter le signe de Pm. 1 pts
Appliquons le premier principe de la thermodynamique :
Qm [ h + ½ V² + gz ] = e + Pu
➢ Les effets cinétiques et potentiels sont négligés
➢ Transformation adiabatique : e= 0
Pcomp= Qm [ h ] = Qm*(h2 – h1 )
A.N. : Pcomp = 0,1*( 440 – 405) = 3,5kW

12) Retrouver les 2 résultats précédents (température T2 et puissance mécanique Pm) sans lecture
graphique en considérant γ=Cp/Cv=1,12 et une capacité calorifique massique Cp=0,79 kJ.kg-1.K-1.
Retrouve-t-on les mêmes résultats ? En cas de différence significative, pourriez-vous proposer des
explications ? On conservera les valeurs trouvées en 10) et 11) pour la suite de l’exercice. 1 pts

Calcul de T2 ? Loi de Laplace : P1(1-) . T1 = P2(1-) . T2 d’où T2 = T1*(P1/P2) (1-)/

AN : T2 = 278*(1/6)^(-0,12/1,12) = 337K soit 64°C

Pm = Qm.Cp (T2 – T1) = 0,1*790*(64-5)= 4,7kW

Cette différence est dûe à la précisions des valeurs de Cp ,  et Qm.

Le fluide sortant du compresseur entre dans le condenseur dans lequel il est refroidi de manière isobare jusqu’à
la température T3 = 60 °C.

3
13) Placer le point (3) sur le diagramme. Relever la valeur de l’enthalpie massique h3 en sortie du
condenseur. 0,5 pts
T3 = 60°C ; h3 = 290kJ/kg
Le fluide sortant du condenseur est détendu dans le détendeur supposé adiabatique jusqu’à la pression de
l’évaporateur P1, ce qui constitue l’état (4). Un détendeur ne contient pas de parties mobiles, si bien que le
fluide n’y reçoit aucun travail mécanique.
14) Montrer que la transformation dans le détendeur est isenthalpique. 1 pts
Dans le détendeur, le fluide ne reçoit pas de transfert thermique, ni de travail autre que celui des
forces de pression. Le premier principe pour un fluide en écoulement stationnaire s’écrit donc :
Qm [ h + ½ V² + gz ] = e + Pu
➢ Les effets cinétiques et potentiels sont négligés
➢ Transformation adiabatique : e = 0
➢ Pas de turbomachine dans le détendeur : Pu = 0
Donc Qm*h = 0 d’où h = 0 Finalement h3 = h4
L’enthalpie reste constante donc c’est une transformation isenthalpique

15) Placer le point (4) sur le diagramme et tracer le cycle complet. Relever la valeur de la température T4
puis déterminer le titre en vapeur x4 en sortie du détendeur par la méthode de votre choix. 0,5 pts
le point (4) se trouve à l’intersection de l’isenthalpe (verticale) passant par le point (3) et de
l’isobare 3 bar. Le point (4) est pratiquement sur l’isotherme 0°C donc T4 = 0°C.
On trouve x4=0.45 soit 45% de vapeur.
16) Calculer la puissance thermique Pth , échangée par le fluide lors de son passage à travers l’évaporateur

entre (4) et (1). L’air intérieur de la voiture est-il refroidi ? 1 pts


En appliquant le premier principe entre l’entrée et la sortie de l’évaporateur :
Qm [ h + ½ V² + gz ] = e + Pu
➢ Les effets cinétiques et potentiels sont négligés
➢ Pas de turbomachine dans l’évaporateur
Pth = Qm [ h ] = Qm*(h1 – h4 )
A.N. : Pth = 0,1*( 405 – 290 ) = 11,5 kW
Pth > 0 donc l’air de la voiture est bien refroidi
17) Définir l’efficacité e, ou coefficient de performance, du climatiseur. Calculer sa valeur. 0,5 pts
l’efficacité du climatiseur est le rapport de la puissance utile Pth divisée par l’énergie coûteuse Pm
soit e =Pth/Pm=11,5/3,5 = 3,29

4
18) Comparer cette valeur à celle d’un climatiseur de Carnot fonctionnant entre la température de
l’évaporateur T4 et la température T3 de liquéfaction du fluide sous la pression P2. Commenter le
résultat obtenu. 0,5 pts bonus
l’efficacité d’un climatiseur réversible fonctionnant entre la température de l’évaporateur T4 et
la température d’équilibre liquide-vapeur pour 18 bar (soit environ T3) serait :
erev=T4/(T3-T4)=273/(60-0)=4.6. Elle est plus grande que l’efficacité de la machine réelle. C’est le
signe de la machine réelle n’est pas réversible.

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Exercice 2 : amélioration des performances énergétiques d’une habitation
6 points
Le diagnostic de performance énergétique (DPE) d’une habitation construite en 1962 a évalué sa
consommation de chauffage à 270 kWh.m–2.an–1. Il s’agit d’une habitation de surface habitable de 120
m2. Les calculs ont été menés en tenant compte des températures moyennes relevées par Météo France
depuis 1962 dans la région où se trouve la maison, ce qui donne un écart de température entre l’air
intérieur et l’air extérieur de 10,0 °C.

1. En utilisant les indications ci-dessous, par quelle lettre ce logement est-il repéré ?
Les valeurs numériques sont exprimées en kWh.m–2.an–1. 0,25 point

Classe E : 270 est compris dans l'intervalle 231 - 330 kWh.m–2.an–1.

2. Quelle est, en kWh, l’énergie annuelle dépensée en chauffage de cette habitation ? 0,25 point

270*120 =3,24 104 kWh an-1

3. Calculer le flux thermique  perdu par l’habitation pendant la période de chauffage en considérant
que celle-ci comporte 270 jours pendant lesquels le chauffage fonctionne 24 heures sur 24. 0,5 point
Le chauffage permet de compenser les pertes thermiques : 3,24 104 /(270*24)= 5,00 kW.

Les éléments de déperdition de l’énergie sont :


• les murs (M) de surface totale SM = 150 m2,
• la toiture (T) de surface totale ST = 66 m2,
• les fenêtres (F) de surface totale SF = 15 m2,
• le sol (S) de surface SS = 50 m2.

Dans la suite du problème on ne tiendra pas compte des déperditions par convection et par
rayonnement. Seules les pertes par conduction thermique sont prises en compte.
6
Soient λ la conductivité thermique exprimée en W.m–1.K–1, e l’épaisseur d’un matériau, S la surface
du matériau en contact avec l’extérieur et Δ la différence de température entre l’intérieur de la maison
et l’extérieur.
4. Calculer les flux thermiques T, F et S dissipés à travers le toit, les fenêtres et le sol. 3*0,5 point
e
Données : On pose r = λ . On a rT = rF = 3,0 K.m2.W–1 et rS = 1,0 K.m2.W–1

T =Δ / rT ST=10 /3,0*66= 2,2 102 W.


F =Δ / rF SF=10 /3,0*15= 50 W.
S=Δ / rS SS=10 /1,0*50= 5,0 102 W.

5. En déduire le flux thermique M perdu au travers des murs, à l’aide d’un bilan sur les différents flux.
0,5 point
M=5,00 103-2,2 102 -50-5,0 102 =4,2 103 W.

6. Les murs ont une conductivité thermique λM = 0,70 W.m–1.K–1 et une épaisseur eM = 0,25 m. Afin
d’améliorer les performances thermiques de cette maison individuelle, il est préconisé d’effectuer un
doublage thermique par l’extérieur. Celui-ci est constitué d’un isolant et d’un crépi. L’ensemble a une
conductivité thermique λisol = 0,075 W.m–1.K–1 pour une épaisseur eisol = 0,12 m.

Montrer que le nouveau flux thermique à travers les murs vaut ’M = 0,76 kW. 2*0,5 point
rM =eM /λM+eisol / λisol =0,25/0,70 +0,12 /0,075 =0,357 +1,6 = 1,957 W-1.m2.K
'M =Δ / rM SM=10/1,957*150=766 W ~0,77 kW.

7. En déduire le flux thermique ’ de la maison ainsi isolée. 0, 5 point


' = 'M +T +F +S=766+2,2 102+50+5,0 102 =1536 W ~1,5 kW.
8. Quelle sera la nouvelle valeur du diagnostic des performances énergétiques (D.P.E.’) en kWh/m2/an?
Quel sera le nouveau classement de cette habitation si les travaux d’isolation préconisés sont réalisés ?
2*0, 5 point
DPE' = 1,536*365*24/120=1,1 102 kWh m-2 an-1.
Classe C : 1,1 102 étant compris entre 91 et 150 kWh m-2 an-1.

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Exercice 3 : Calcul des pertes de charges dans un serpentin (4 points)

Un liquide de refroidissement circule dans un radiateur en forme de serpentin.

Le serpentin comprend les éléments suivants :

• 12 tubes rectilignes de diamètre d=10 mm et de longueur 1 m chacun.


• 11 coudes à 1800 ayant chacun un coefficient de perte de charge s = 0,4,

La conduite transporte un débit volumique q v=0,25 l/s. La pression en entrée est P1= 3 bars. On donne
les caractéristiques du fluide de refroidissement :
• viscosité dynamique :  =10-3 Pa.s.
• masse volumique :  =1000 kg/m3.

Travail demandé :

1. Calculer la vitesse V d’écoulement du fluide dans la conduite en (m/s). 0, 5 point

V=qv/(πd²/4), A.N. V=0,25.10-3/(π.0,01²/4)=3,18 m/s

2. Calculer le nombre de Reynolds Re. Préciser la nature de l’écoulement. 0, 5 point

Re=Dvρ/μ, A.N. Re=31800 >>2000 -> régime turbulent


3. Déterminer le coefficient de perte de charges linéaire f. À toute fin utile, on vous indique que la
surface interne du serpentin possède une rugosité relative de 1,5.10-4 : cette valeur vous semble-t-
elle pertinente ?
Re>>2000 → on va donc utiliser le diagramme de Moody pour calculer f,
La rugosité relative indiquée correspond à la rugosité absolue de tubes étirés (drawn tubes)
divisée par le diamètre du tube, à savoir 0,0015/10=1,4.10-4. Ce qui est cohérent avec le
serpentin étudié, 0, 5 point

8
On lit alors f=0,024 (entre 0,023 et 0,024…) 0, 5 point

4. Calculer la perte de charges globale ΔP* entre les points 1 et 2.

Pertes de charge linéaire : 0, 5 point

𝐟 𝐋 𝛒𝐯 𝟐
ΔP*L= → A.N. ΔP*L=0 ,024*12*1000*3,18²/(2*0,01)=1,46.105 Pa
𝟐𝐃

Pertes de charge singulières : 0, 5 point

𝛒𝐯 𝟐
P*S = g avec ξg=11*0,4 (11 coudes) → A.N. P*S = 11*0,4*1000*3,18²/2 = 2,22.104 Pa
𝟐

D’où une perte de charge globale : P*S =1,46.105+2,22.104=1,68.105 Pa = 1,68 bar 0, 5 point

5. Déterminer finalement la pression de sortie P2. 0, 5 point

P*=P1-P2 + ½.ρ.(v12- v22)+g(z2-z1)= P1-P2 d’où P2=P1-P* → A.N. P2=3-1,68=1,32 bar

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Formulaire

Thermodynamique

• Température du 0 absolu : 0 K = - 273°C


• Relation de Mayer : Cp – Cv = R
𝐶𝑝
• Coefficient caractéristique d’un gaz :  = 𝐶
𝑣

• γ
Lois de Laplace : PV = constante ; P (1 - )
Tγ = constante
𝐐𝟏 𝐐𝟐
• Inégalité de Clausius pour une machine ditherme : + ≤0
𝐓𝟏 𝐓𝟐
• 1er principe : Qm [ Δh + Δv2/2 + Δgz ] = e + Pu

Echanges thermiques

• Flux thermique : th = T/ Rth


• Résistance thermique en conduction: Rth = e/(S)
• Résistance thermique en convection: Rth = 1/(hS)
• Echangeur thermique
o Méthode 1 : échangeur simplifié avec 𝜙 = ℎ. 𝑆. 𝛥𝑇
où h est le coefficient global de transfert d’un échangeur tubulaire simple dont la paroi de
séparation est comprise entre r1 et r2 :

o Méthode 2 : Méthode MLDT avec 𝜙 = 𝑈. 𝑆. 𝛥𝑇𝑚𝑙


𝛥𝑇1 −𝛥𝑇2 𝛥𝑇1 = 𝑇𝑐1 − 𝑇𝑓1 (extrémité 1 ou extrémité gauche)
avec 𝛥𝑇𝑚𝑙 = 𝑙𝑛(𝛥𝑇 et {
1 ⁄𝛥𝑇2 ) 𝛥𝑇2 = 𝑇𝑐1 − 𝑇𝑓1 (extrémité 2 ou extrémité droite)

Mécanique des fluides


v2
• Equation de Bernoulli : ρ + P + ρ g z = cste
2
Dρv
• Nombre de Reynolds : Re = μ
• Pertes de charge :
f L ρv2
- régulière : P* = où f est le coefficient de frottement.
2D
64
f = Re si laminaire sinon il faut utiliser le diagramme de Moody
ρv2
- singulière : P* = g où  g est le coefficient de perte de charge géométrique.
2

• Le produit d’une pression par un débit volumique est une puissance.

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Diagramme de Moody

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