Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Glandieres Louis
Habre Karl
TP2
Introduction :
Lors de ce TP, nous allons étudier l’asservissement d’un moteur à courant continu. Pour ce faire,
nous allons nous servir du logiciel MATLAB, Simulink qui permettra de contrôler le moteur et de
récupérer les données renvoyées en sortie. Nous allons jouer sur le paramétrage de l’entrée vers le
moteur et d’un régulateur PI pour observer l’influence de chacun de ces paramètres sur la régulation
en vitesse du moteur.
Cette entrée nous donne en tension représentant la vitesse de sortie le graphe suivant :
Ensuite, grâce aux instructions écrites dans Matlab, on trace le graphe suivant :
On a ensuite le rapport k de la valeur maximum en sortie divisée par la valeur maximum en entrée
.
k = 10.5/2.35 ≈ 4.47 Ce qui nous donne une expression du gain G = =
× ×
On trace sous Simulink la courbe représentant la valeur théorique censée être obtenue à partir des
valeurs trouvées :
On voit ici les différences entre la courbe théorique à gauche et celle obtenue en pratique à droite.
Tout d’abord on remarque quand même une certaine similitude au niveau de l’apparence générale
des deux courbes. Cependant En théorie La vitesse augmente plus progressivement qu’en théorie et
de même pour la décroissance de la vitesse qui se fait beaucoup plus brusquement en réalité
(sûrement dû aux frottements et autres pertes d’énergie)
El Mariky Salim
Glandieres Louis
Habre Karl
Effet de la charge :
Suite au branchement de l’entrée I-Generator vers la sortie AO1 du boîtier, on parvient à afficher le
résultat suivant :
1 T
k (1 + T p) T ( + p) 1
T T
=k ( ) = k T (1 + )
p p T p
1 1
k (1 + ) = k T (1 + ) ⇔ k = k T et T = T
Tp T p
El Mariky Salim
Glandieres Louis
Habre Karl
Cependant nous pouvons parvenir à certaines conclusions à partir du travail déjà réalisé en td et en
cours, en plus des rapides observations que nous avons pu faire :
Nous savons, grâce à nos connaissances, qu’un proportionnel sert à accélérer le système mais
n’influence pas la correction de l’erreur, c’est pourquoi on s’attend à observer une certaine erreur
finale d’ordre 0.
Ce qui nous indique que seuls les intégrateurs permettent de corriger les erreurs, ce qui nous
conforte dans notre idée et que nous verrons dans la prochaine partie.
El Mariky Salim
Glandieres Louis
Habre Karl
( ) ( )
² ²
= ²
⇔ α = 2ξω et β = ω ²
√
Or, on sait que : ξ = et T = = 5% ⇔ ω = =√ = 60√2 ≈ 84.85
×
√
Donc on a : α = 2ξω = 2 60√2 = 120 et β = ω ² = (60√2) = 7200
( ) ( ) ( )
Ce qui nous donne l’équation : ( )
= ²
= ²
Conclusion :
Lors de ce TP, nous avons pu expérimenter l’effet d’un régulateur P puis d’un régulateur PI sur un
moteur à courant continu. Malgré le fait que nous n’avons pas eu le temps de tout faire, nous avons
tout de même grâce à nos connaissances en la matière, réussi à retrouver les résultats attendus. Les
observations rapides que nous avons pu faire sur le système réel ont aussi confirmé ce à quoi nous
nous attendions. Ce fut donc un bon exemple d’application pratique de ce que nous apprenons de
façon plus théorique en cours.