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III
 Si toute peine mérite salaire, il est des cas où, en l’absence de peine, et en
présence de pertes, la rémunération du dirigeant n’est autre qu’une manière de
vider l’actif de la société.

V. C. LABROUSSE, A. BEAUQUIER, F. GAUDILLIÈRE et A. VERCKEN,

La responsabilité pénale des dirigeants, Vie pratique, 1996, p. 368.

IV
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Principales abréviations en langue française

al. s. Alinéa s
A.M.F. Autorité des marchés financiers
A.N.S.A. Association nationale française des
sociétés par actions
Ann. Fac. SÉGC. Annales de la faculté des sciences économiques, des
sciences de gestion et des sciences commerciales
art. s. Article s
B.C.F.E. Bulletin comptable et financier, Entreprises
B.R.D.A. Bulletin rapide de droit des affaires
Bull. civ. Bulletin des arrêts de la Cour française de cassation,
chambre civile
Bull. COB. Bulletin de la Commission des opérations de bourse
Bull. inf. fisc. Bulletin d’information fiscale
Bull. Joly soc. Bulletin mensuel Joly d’information des sociétés
Cah. Dr. entrep. Cahier droit de l’entreprise
C. civ. fr. Code civil français
C. com. fr. Code de commerce français
C.E. Conseil d’État français
C. G.I. fr. Code général des impôts français
Ch. réun. Chambres réunies
Civ Chambre civile de la Cour française de cassation
C. mon. fin. fr. Code monétaire et financier français
Com. Chambre commerciale de la Cour française de cassation
V
Comp. Comparer
Concl. Conclusions
CREAD Centre de recherche en économie appliquée pour le
développement
Crim. Chambre criminelle de la Cour française de cassation
C. séc. soc. fr. Code de sécurité sociale français
C. trav. fr. Code du travail français
D. Recueil Dalloz
Déb. Ass. nat. Débat Assemblée nationale
Décr. Décret
Dr. aff. Droit des affaires
Dr. écon. Droit économique
Dr. fisc Droit fiscal
Dr. soc. Droit des sociétés
éd. Édition
Edik. Édition et diffusion Ibn khaldoun
Enal Entreprise nationale du livre
Encyc. Encyclopédie
E.U.R.L. Entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée
Fasc. Fascicule
Gaz. Pal. Gazette du Palais
Ibid. Idem, ibidem
IR. Informations rapides du recueil Dalloz
J.C.P. Jurisclasseur périodique semaine juridique
J.C.P. éd. E. Jurisclasseur périodique, édition entreprise
J.C.P. éd. E.A. Jurisclasseur périodique, édition entreprise et affaire
J.C.P. éd. G. Jurisclasseur périodique, édition générale
J.O.R.A. Journal officiel de la République algérienne.
J.O.R.F. Journal officiel de la République française
Journ. not. Journal des notaires
Juriscl. soc. Jurisclasseur des sociétés
L. Loi
Lamy. soc. com. Lamy sociétés commerciales
L.G.D.J. Librairie générale de droit et de jurisprudence
Litec Librairies techniques
Mél. Mélanges
mod. Modifier
n°, n°s Numéro s
N.R.E. Loi française n°2001-420 du 15 mai 2001, relative aux
Nouvelles régulations économiques
obs. Observations
op. cit. Option citée
VI
p. pp. Page s
P.A. Petites affiches
préc. précitée e, s, és
R. Réglementation
Rép. Défrénois Répertoire du notariat Défrénois
Rép. min Réponse ministérielle
Rev. alg. Revue algérienne des sciences juridiques, politiques
et économiques
Rev. écon. manag Revue économie et management
Rev. entrepr. com Revue entreprise et commerce
Rev. fid. Revue fiduciaire
Rev. proc. col. Revue des procédures collectives
Rev. soc. Revue des sociétés
R.F.C. Revue française de comptabilité
R.J.C. Revue de jurisprudence commerciale
R.J.F. Revue de jurisprudence fiscale
R.J.S. Revue de jurisprudence sociale
R.T.D. com. Revue trimestrielle de droit commercial
R.T.D. com et écon. Revue trimestrielle de droit commercial et économique
s. Suite ; suivant s ; suivante s
S.A. Société anonyme
S.A.R.L. Société à responsabilité limitée
S.N.C. Société en nom collectif
Soc. Chambre sociale de la Cour française de cassation
spéc. Spécialement
T. Tome
th. Thèse
Trib. civ. Tribunal civil
. Voir

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contrat d’affecter à une entreprise des biens ou leur industrie en vue de partager le bénéfice ou
l’économie qui pourrait en résulter.
Elle peut être instituée dans les cas prévus par la loi par l’acte de volonté d’une seule personne.
Les associés s’engagent à contribuer aux pertes.
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M. SALAH, L’entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée de droit algérien : hérésie ou
nécessité d’une institution, in Pérégrination en droit algérien des sociétés commerciales, Edik, éd.
2002, p. 112, spéc. n°5, p. 125.
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M. COZIAN, A. VIANDIER et F. DEBOISSY, Droit des sociétés, Litec, 14 éd., 2003 , n°220,
p. 83.
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S. ASENCIO, Le dirigeant de société un mandataire « spécial» d’intérêt commun, Rev. soc. 2000,
n°4, p. 682.
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Art. L. 225-92 C. com. fr : Les membres du directoire et du conseil de surveillance, ainsi que toute
personne appelée à assister aux réunions de ces organes, sont tenus à la discrétion à l’égard des
informations présentant un caractère confidentiel et données comme telles par le président.
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H. LE NABASQUE, Le développement du devoir de loyauté en droit des sociétés, R.T.D. com. 1999,
n°52, pp. 282 et 283.
4
H. LE NABASQUE, Le développement du devoir de loyauté en droit des sociétés,op. cit., n°52,
p. 283 : Cette approche, incontestablement plus spéciale au droit des sociétés, permet de tenter une
première définition du devoir de loyauté en doit des sociétés qui peut se définir comme l’obligation,
pour les dirigeants de sociétés…de ne pas utiliser leurs pouvoirs ou les informations dont ils sont
titulaires dans un intérêt strictement personnel et, préjudice oblige, contrairement à l’intérêt de la
société ou à celui des associés.

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Le Petit Larousse illustré, Paris, 2001, p. 877.
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société en commandite simple, Edik, éd. 2005, n°88, pp. 60 à 62.
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1
A. TOUZEAU, La rémunération des organes de gestion dans les sociétés anonymes et les sociétés à
responsabilité limitée, th. Rennes, 1969, p. 1 : ..le dirigeant bénévole est un simple amateur et n’est
pas un vrai professionnel.
2
Concernant une S.A.R.L., v. Com., 21 avril 1992, J.C.P éd. G. 1992, II, n° 21975, p. 463, note B.
PETIT et Com., 21 février 1995, Dr. soc. 1995-1996, n°103, p. 12.

19
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donné, sauf clause contraire, à l’unanimité.

20
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collectif, société en commandite simple, société en participation, Delmas, 10ème éd., 1999, n°926,
p. 109 et F. DAVID, S.A.R.L., J.C.P. 1969, n°3, p. 1.

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1
L. AMIEL-COSME, Rémunération des dirigeants sociaux, D. 2004, n°106, p. 18.
2
F. DAVID, op. cit., n°s 6 et 7, p. 2.
3
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p. 249. et D. GIBIRILA, Société à responsabilité limitée, Encyc. D. avril 2004, n°s368 à 371, pp. 43 et
44.

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M. SALAH, op. cit., n° 482, p. 281 : La loi ne détermine pas les modalités de convocation des
assemblées générales : auteur de la convocation, formes de la convocation, ni même l’obligation de
rédaction de procès-verbaux. Ces modalités sont le plus souvent fixées par les associés dans les
statuts.

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M. SALAH, op. cit., n°609, pp. 346 et 347 : L’introduction… de l’article 563 bis 4 complique
inutilement la situation… les dispositions de l’alinéa 1er …n’éclairent pas sur le point de savoir si elles
se réfèrent à la fois aux conditions de majorité et à la forme des délibérations des associés, ou si elles
ne concernent que ce dernier point. Dans le premier cas, les conditions de majorité ressortiraient des
statuts, les dispositions de l’article 563 bis 8 étant spécialement réservés aux décisions extraordinaires.
Telle serait la solution si l’on considère la généralité des termes de l’alinéa 1er de l’article 563 bis 4.
Cependant, une lecture attentive des dispositions de ce texte indique que les conditions visées à
l’alinéa 1 er ne concernent que la forme des décisions prises par les associés….Dès lors, on est obligé
de conclure au silence de la réglementation de la S.C.S. en ce qui concerne les conditions de majorité
des décisions ordinaires. Aussi, faudrat-il admettre, en application de la règle de renvoi aux
dispositions relatives à la S.N.C., que ces décisions-ordinaires- doivent répondre aux dispositions de
l’article 556 alinéa 1er du code de commerce, et ainsi ne peuvent être adoptées qu’à l’unanimité des
associés, sauf aux statuts de prévoir que certaines décisions seront prises à la majorité qu’ils fixent

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3
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2007, n°48360, p. 797.
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1
Art. L. 223-19 C. com. fr.
2
Y. BALENSI, Les conventions entre les sociétés commerciales et leurs dirigeants, th. Paris 2, 1973,
n°56, p. 38.
3
J. HÉMARD, F. TERRÉ et P. MABILAT, Sociétés commerciales, T. 2, Dalloz, 1974, n°1332,
p. 1050.
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J.-F. BULLE, Le mémento du dirigeant S.A.R.L et S.A, Groupe revue fiduciaire, 3 éd., 1999, n° 575
et 576, pp. 251 et 252 et D. GIBIRILA, op. cit., n°s334 à 336, pp. 271 à 274.

29
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Versailles, 31 octobre 2002, J.C.P éd. E. 2003, n°3, p. 110 et Dr. soc. 2003, n° 108, p. 22, note J.
MONNET : Il a été jugé que la décision de modifier ou supprimer la rémunération d’un gérant peut
être prise sans figurer à l’ordre du jour de l’assemblée dès lors qu’elle résulte implicitement de
l’examen des comptes annuels, des résultats au demeurant non approuvés et de la nomination d’un
cogérant.
2
Colmar, 13 novembre 2003, B.R.D.A. 15 janvier 2004, n° 2, p. 2.

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En ce sens et concernant l’interprétation de l’article 59 de la loi du 24 juillet 1966, devenu art. L. 223-
19 C. com.fr, v. Douai, 9 février 1973, D. 1973, p. 152 : Rien dans le texte de l’article 59 de la loi
n’indique que le législateur ait voulu lui donner un caractère impératif ; cette constatation, permet de
conclure qu’une disposition statutaire exigeant une majorité plus élevée que celle de l’article ne serait
pas illicite, la liberté ….étant d’ailleurs prévue par l’alinéa 2 du même article
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V. M. COZIAN, A. VIANDIER et F. DEBOISSY , op. cit., n°440, p. 165 et Aix-en-provence, 30 juin
2000, Dr. soc. 1999-2000, n°141, p. 19, note D. VIDAL
4
Rép. min., J.O. déb. Ass. nat. 4 avril 1969, p. 869 et 4 août 1980, p. 3310.
5
Actuellement, art. L. 223- 19 al. 1 C.com. fr : Le gérant ou, s’il en existe un, le commissaire aux
comptes, présente à l’assemblée ou joint aux documents communiqués aux associés, en cas de
consultation écrite, un rapport sur les conventions intervenues directement ou par personnes
interposées entre la société et l’un de ses gérants ou associés. L’assemblée statue sur ce rapport. Le
gérant ou l’associé intéressé ne peut prendre part au vote et ses parts ne sont pas prises en compte pour
le calcul du quorum et de la majorité

33
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V. Paris, 3 juillet 1976, Rev.soc. 1977, p. 465, note D. SCHMIDT.
3
X.-C. DE SAINT- CYR, La fixation de la rémunération du gérant de S.A.R.L , P.A. 10 septembre
1986, n°109, p. 9 et concernant le président directeur général de S.A., Paris, 29 novembre 1961, J.C.P.
1962, II, n°12810, note D. Bastian et Com., 17 octobre 1967, Gaz. Pal. 1968, I, p.6.
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M. SALAH, Pour une perfectibilité du fonctionnement des sociétés commerciales, Rev. alg. 1991, 1,
p. 141, spéc. pp. 145 et 146.
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V. Versailles, 27 octobre 1988, J.C.P. éd. E. 1988, II, n°18 et Bull. Joly soc. 1989, p. 313.
J. F. BULLE, op. cit., p. 235 et F. LEFEBVRE, Participation d’un gérant de SARL à la décision
fixant sa rémunération, B.R.D.A. 15 avril 2007, n°3, p.3.
3
B. SAINTOURENS, L’entreprise à responsabilité limitée, Dalloz, 1994, n°701, p. 215.
4
Paris, 6 décembre 2007, B.R.D.A. avril 2007, n°2, p.2.
5
X.- C. DE SAINT-CYR, op. cit., n°109, p. 10 : Le formalisme résultant de la procédure de l’article
50 n’a guère de raison d’être en la matière si l’on considère que les tribunaux ont à leur disposition
deux moyens principaux en vue de résoudre les éventuels litiges à naître sur ce problème. D’une part,
sur le plan civil, existe la faculté de recourir à la notion classique d’abus de majorité. En seconde part,
peut intervenir sur le terrain pénal la théorie de l’abus de biens sociaux
Actuellement, art. L. 223-20 C. com. fr : Les dispositions de l’article L. 223-19 ne sont pas
applicables aux conventions portant sur des opérations courantes et conclues à des conditions
normales

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1
Rép. min., J.O. déb. Ass. nat. 4 avril 1969, p. 870 : Il s’agit des opérations courantes qui sont
effectuées par la société d’une manière habituelle dans le cadre de son activité.
2
V. H. LE NABASQUE, Commentaire des principales dispositions de la loi n°2003-706 du 1er août
2003, sur la sécurité financière intéressant le droit des sociétés, Bull. Joly soc. août-septembre 2003,
n°185, p. 859 : La loi n°2003-706 du 1er août 2003, sur la sécurité financière a créé la nouvelle
autorité des marchés financiers AMF qui naît de la fusion de la COB et du CME.
3
Bull. COB. juin 1981, p. 6.
4
X.-C. DE SAINT-CYR, préc.
5
Rép. min, 4 avril 1969, préc. : Pour déterminer si une convention a été conclue dans des conditions
normales, il convient, semble-t-il, de tenir compte des conditions dans lesquelles sont habituellement
conclues les conventions semblables non seulement dans la société en cause mais encore dans les
autres du même secteur d’activité.
6
J. DELGA, Le droit des sociétés, Dalloz, 1998, n°3, p. 237, M. COZIAN, A. VIANDIER et F.
DEBOISSY, op. cit., n° 727, p. 195 et C. MALECKI, Conventions réglementées, Encyc. D. 2002,
n°64, p.14.

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1
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2
Concernant une S.A, v. Versailles, 15 mai 1985, Bull. Joly soc. 1985, n° 381, p. 1193.
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4
Art. L. 223- 19 al. 4 C. com. fr ; Caen, 23 janvier 2007, B.R.D.A. 2008, n°1, p. 2 et Dr. soc. mars
2008, n°57, p. 28, note J. MONNET.
M. BERGERES et Ph. DUPRAT, Les dirigeants de sociétés, statuts juridique, fiscal, social, Delmas,
1ère éd., 1987-1994, p. 76.
6
X.- C. DE SAINT-CYR , préc.

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Rép. min., J. O. déb. Ass. nat. 19 avril 1968, p. 1166 : En tous cas, la nomination aux fonctions de
gérant étant décidée par l’assemblée des associés qui fixe également la rémunération correspondante,
les dispositions de l’article 50 de la loi du 24 juillet 1966 ne trouvent pas application en cette
matière .
2
Com., 30 mai 1989, Bull. Joly soc. 1989 , n°258, p. 715, note P. LE CANNU et Rev. soc. 1989,
p. 641.
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M. SALAH, L’expertise de gestion : une institution utile en droit des sociétés commerciales, Rev.
entrep. com., n°1, 2005, p. 11, spéc. n°7, p. 17.

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23.
2
B. SAINTOURENS, op. cit., n°701, p. 216 ; F. LEMEUNIER , Société a responsabilité limitée,
S.A.R.L, création- gestion, Dalloz, 29ème éd., 1999, n°1146, p. 154 ; F. LEFEBVRE, Participation d’un
gérant de SARL à la décision fixant sa rémunération, préc. et Com., 30 mai 1989, préc.
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P. SERLOOTEN, Entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL), Encyc. D. février 2001,
n°105, p. 15 et F. LEFEBVRE, éd. 2006-2007, op. cit., n°48100, p. 778.
2
Rev. fid., S.A.R.L et E.U.R.L, Groupe revue fiduciaire, Villeguérin, éd. 1998, n°1032, p. 374.
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3
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commerciales : la réunion des assemblées générales des entreprises unipersonnelles à responsabilité
limitée, in Pérégrinations en droit algérien des sociétés commerciales, Edik, éd. 2002, p. 91, spéc.
n°6, pp.°s 96 à 101.
4
M. SALAH et F. ZÉRAOUI, Une pratique contestable de plus en droit algérien des sociétés
commerciales : la réunion des assemblées générales des entreprises unipersonnelles à responsabilité
limitée, op. cit., n°8, pp. 102 et 103.
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Com., 14 novembre 2006, Bull. Joly soc. 2007, n°84, p. 369, note A. LECOURT et Dr. soc. 2006-
2007, n°52, p. 25, note J. MONNET : Les juges ne peuvent pas se substituer à l’assemblée générale,
statutairement compétente mais défaillante, pour déterminer la rémunération du gérant
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V. Y. DEREU, Rémunération du gérant, S.N.C, Juriscl. soc. 2001, fasc 55-10, n°27.
5
Paris, 17 février 1965, Gaz. Pal. 1965, I, p. 305, note CABARAC ; H.-E BARRAULT et J. LABIC,
S.N.C, J.C.P. 1911, pp. 16 et 17 et F. LEFEBVRE, éd. 2006-2007, op. cit., n°48300, p. 792.

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1
Versailles, 20 septembre 1990, Rev. soc. 1991, p. 80, note C. ROCA : Considérant qu’en l’absence
d’une décision relative à la rémunération du gérant, et en raison de la situation de blocage constatée à
l’occasion de plusieurs réunions de l’assemblée générale, il appartient aux tribunaux de fixer une
rémunération en raison du travail effectué et des responsabilités encourues
2
C. ROCA, note sous Versailles, 20 septembre 1990, préc.
3
Com., 11 janvier 1972, D. 1972, p. 559, note C. ORENGO : Attendu qu’en statuant ainsi …les juges
ne pouvaient substituer leur décision à celle des associés dès lors qu’il n’était pas établi que celle-ci fût
irrégulière ou abusive.
4
V. art. 1134 C. civ. fr : Les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont
faites.
Elles ne peuvent être révoquées que de leur consentement mutuel, ou pour les causes que la loi
autorise.
Elles doivent être exécutées de bonne foi.
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V. C. ORENGO, note sous Com., 11 janvier 1972, préc.
C. ROCA, note sous Versailles, 20 septembre 1990, préc.
Angers, 27 mai 1964, J.C.P éd. G.1964, II, p. 13836, note R. RODIERE et R.T.D. com. 1964,
p. 792.
4
Civ., 29 janvier 1867, D. 1867, I, p. 53.

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V. C. ORENGO, note sous Com., 11 janvier 1972, préc.
2
Com., 31 mars 2009, D. 2009, n°16, p. 1087.
3
A. MOREAU, La société anonyme, T. 1, 2ème éd., 1955, n°105, p. 158.
4
Com.,12 janvier 1970, R.T.D. com. 1970, n°7, p. 415 cité par Ph. MERLE et E. CHEVALLIER-
MERLE , L’application jurisprudentielle de la loi du 24-07-1966 sur les sociétés commerciales,
Dalloz, éd. 1975, n°298, p. 332.
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1
F. LEMEUNIER, Société en nom collectif, société en commandite simple, société en participation,
op. cit., n°926, p. 109, et A. TOUZEAU, th. préc., p. 64.
2
F. DAVID, S.A.R.L , op. cit., n°9, p. 2.
3
J. MESTRE et D. VELARDOCCHIO, Lamy. Soc. com., éd . 2006, n°2884, p. 1279.
4
Rev. fid., S.A.R.L et E.U.R.L, op. cit., n°350, p. 158.

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1
F. DAVID, préc.
2
A. TOUZEAU, th. préc., p. 64.
3
F. LEFEBVRE, S.A.R.L, éd. 2002, n°34370, p. 430 : Certaines sociétés fixent la rémunération à x
fois celle attribuée dans la profession à un salarié de tel niveau hiérarchique.
4
F. DAVID, op. cit., n°10, p. 2 : Au point de vue purement juridique, par ailleurs, le gérant n’est pas
lié à la société par un contrat de louage de services, mais par un contrat de mandat. Par suite, les
majorations légales de traitement décidées en faveur des salariés ne s’appliquent pas de plein droit,
sauf convention contraire.
5
Concernant une S.A.R.L, v. Com., 21 avril 1992, préc.

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1
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2
Versailles, 20 septembre 1990, préc.
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4
Concernant une S.A.R.L, v. Com., 21 février 1995, préc.
5
B. PETIT, note sous Com., 21 avril 1992 , préc.
6
A. TOUZEAU, th. préc., p. 65.

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2
Ch. réun., 11 mars 1914, D. 1914, 1, p. 257, note L. SARRUT : Dans son arrêt du 11 mars 1914, la
Cour de cassation a jugé que la caisse de Manigod était une association et non une société. Pour cela,
elle a défini le bénéfice comme étant un gain pécuniaire ou un gain matériél qui ajouterait à la fortune
des associés.
3
M. SALAH, Les sociétés commerciales, op. cit., n°98, p. 67 : Le gain pécuniaire correspond à un
enrichissement en argent qui se concrétise sous la forme de dividendes distribués, alors que le gain
matériel correspond à la distribution de produits fabriqués ou pas par la société ou à une distribution
d’actions.

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3
F. DAVID, S.A.R.L, op. cit.,n°s 13 à 20, pp. 2 et 3.
4
Art. L. 223-21 al. 1er C. com.fr : A peine de nullité du contrat, il est interdit aux gérants ou associés
autres que les personnes morales de contracter, sous quelque forme que ce soit, des emprunts auprès
de la société, de se faire consentir par elle un découvert, en compte courant ou autrement, ainsi que de
faire cautionner ou avaliser par elle leurs engagements envers les tiers. Cette interdiction s’applique
aux personnes morales associées……

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2
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4
V. art. 107 al. 2, loi n°75-1347 du 31 décembre 1975 relative aux tantièmes, J. O. R.F. 4 janvier
1976, p. 187.
5
A. TOUZEAU, th. préc., p. 67.
6
Rev. fid., S.A.R.L et E.U.R.L, op. cit., n°351, p. 158.

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1
A. TOUZEAU, th. préc., pp. 67 à 69.
2
V. art. 352 de la loi n° 66-537 du 24 juillet 1966 sur les sociétés commerciales, J.O.R.F du 26 juillet
1966, n°171, p. 6402, devenu art.L. 232-19 C.com.fr.
3
Concernant une S.A.R.L, v. Douai, 9 février 1973, cité in Ph. MERLE et E. CHEVALIER MERLE,
op. cit., n°120, p. 133 : Attendu qu’il faut constater que d’une part les articles 351, 352, 353 de la loi
du 24 juillet 1966 sont placés dans un chapitre applicable à toutes les sociétés commerciales dotées de
la personnalité morale, et qu’ils sont relatifs à la rémunération des dirigeants de ces sociétés, d’autre
part qu’il n’existe pas….d’autre disposition concernant le même objet…
4
Ph. MERLE et E. CHEVALIER MERLE, op. cit., n°120, p. 134.
5
J. HÉMARD, F. TERRÉ et P. MABILAT, op. cit., n°1331, p. 1049.

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dont les tantièmes doivent être calculés après les prélèvements destinés à la constitution de réserves
facultatives, à ne pas proposer aux associés la formation de pareilles réserves alors même que celles-ci
seraient utiles ou nécessaires au développement des affaires sociales.
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1
F. DAVID, op. cit., n°s32 et 33, p. 4.
2
Rev. fid., préc.

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2
F. DAVID, op. cit., n°s36 et 37, p. 4.
3
J.-P CASIMIR et M. GERMAIN, Dirigeants de sociétés, statuts juridique, fiscal, social, Groupe
revue fiduciaire, Paris, 2006, n°776, p. 207.

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1
A. TOUZEAU, th. préc., pp. 64 et 65.
2
Art. 1999 C. civ. fr : Le mandant doit rembourser au mandataire les avances et frais que celui-ci a
faits pour l’exécution du mandat, et lui payer ses salaires lorsqu’il en a été promis.
S’il n’y a aucune faute imputable au mandataire, le mandant ne peut se dispenser de faire ces
remboursement et payement, lors même que l’affaire n’aurait pas réussi, ni faire réduire le montant
des frais et avances sous le prétexte qu’ils pouvaient être moindres.
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3
M. BERGERES et Ph. DUPRAT, op. cit., pp. 69 et 70 : Rien n’interdit que le gérant perçoive le
remboursement des frais réellement exposés pour le compte de la société à l’occasion de l’exercice de
ses fonctions…le gérant d’une SARL ou d’une société en nom collectif est un mandataire social..
4
J.-P. CASIMIR et M. GERMAIN, op. cit., n°779, p. 208.
5
Rev. fid., op. cit., n° 352, p. 159 et F. DAVID, n°s38 et 39, pp. 4 et 5.

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1
M. BERGERES et Ph. DUPRAT, op. cit., p. 75 : De la même manière, l’assemblée générale
pourrait allouer au gérant une prime dite « prime de bilan ». Là encore il serait indispensable de définir
les critères d’établissement de la prime ainsi que les modalités de paiement.
2
J. HONORAT, Attribution d’une retraite à un ancien dirigeant, B.R.D.A. 1987, n°12, pp. 6 et 7.
3
M. BERGERES et Ph. DUPRAT, op. cit., p. 75 et J. MESTRE et D. VELARDOCCHIO, Lamy. Soc.
com., op. cit., n°2884, p. 1280.
4
F. LEFEBVRE, S.A.R.L, op. cit., n°34452, p. 431 et J. MESTRE et D. VELARDOCCHIO, Lamy.
Soc. com., préc.

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1
F. LEFEBVRE, S.A.R.L, préc.

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1
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dirigeants : approche pluridisciplinaire et comparée, Rev. soc. 2004, p.18, spéc. n°2, p. 20 et n°8,
pp. 24 à 26.
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V. M. SALAH et F. ZÉRAOUI, De quelques pratiques contestables en droit algérien des sociétés
commerciales, in Pérégrinations en droit algérien des sociétés commerciales, Edik, éd. 2002, p. 35,
spéc. n°21, p. 65.
3
F. DERRIDA, Gérant, J.C.P. 1970, n°56, p. 5 : enfin, en pratique, il atténue grandement le principe
de libre révocation, les associés pouvant reculer devant les incidences pécuniaires de leur décision.
4
Concernant le droit français, v. art. L. 223-25 al. 1 C. com. fr : Le gérant peut être révoqué par
décision des associés dans les conditions de l’article L. 223-29, à moins que les statuts prévoient une
majorité plus forte. Si la révocation est décidée sans juste motif, elle peut donner lieu à des dommages
et intérêts….
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5
Concernant le droit français, v. art. 1382 C. civ. fr : Tout fait quelconque de l’homme qui cause à
autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé, à le réparer.

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1
Rev. fid., S.A.R.L et E.U.R.L, op. cit., n°230, p.79.
0/1/ 2

3
Concernant le droit français, v. art. L. 225- 44 C. com. fr : Sous réserve des dispositions de l’article
L. 225-22 et de l’article L. 225-27, les administrateurs ne peuvent recevoir de la société aucune
rémunération, permanente ou non, autre que celles prévues aux articles L. 225-45, L. 225-46,
L. 225-47 et L. 225-53.
Toute clause statutaire contraire est réputée non écrite et toute décision contraire est nulle.
/0/1/ !
Concernant le droit français, v. art. L. 225-25 C. com. fr.

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Concernant les jetons de présence,v. en droit français, art. L. 225-45 C. com. fr : L’assemblée
générale peut allouer aux administrateurs en rémunération de leur activité, à titre de jetons de
présence, une somme fixe annuelle que cette assemblée détermine sans être liée par des dispositions
statutaires ou des décisions antérieures. Le montant de celle- ci est porté aux charges d’exploitation.(L.
n° 2001-420 du 15 mai 2001) « Sa répartition entre les administrateurs est déterminée par le conseil
d’administration »
2
D. GIBIRILA, Le dirigeant de société, statut juridique, social et fiscal, Litec, éd. 1995, n°144,
p. 107.
3
Art. 107 al. 2 loi n°1347-75 du 31 décembre 1975, préc.
/0/1/ 4

Concernant les rémunérations exceptionnelles, v. en droit français, art. L. 225-46 C. com. fr. et pour le
remboursement des frais, v. art. R. 225-33 C. com. fr .
/0/1/ !
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V. art. L. 225- 47 al. 1 C. com.fr : Le conseil d’administration élit parmi ses membres un président
qui est, à peine de nullité de la nomination, une personne physique. Il détermine sa rémunération.
Art. L. 225- 53 al. 3 C. com. fr : Le conseil d’administration détermine la rémunération du directeur
général et des directeurs généraux délégués.
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V. art. L. 225-83 C. com. fr.
/0/1/ !
V. art. L. 225-84 C. com. fr
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7
Art. L.225-81 al. 1 C. com. fr : Le conseil de surveillance élit en son sein un président et un vice-
président qui sont chargés de convoquer le conseil et d’en diriger les débats. Il détermine, s’il l’entend,
leur rémunération.
8
Art. L.225-85 al. 1 C. com.fr : Les membres du conseil de surveillance ne peuvent recevoir de la
société aucune rémunération, permanente ou non, autre que celles qui sont prévues aux articles
L. 225-81, L. 225-83 et L. 225-84 et, le cas échéant, celles dues au titre d’un contrat de travail
correspondant à un emploi effectif.
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3
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éd.,1990, n°325, pp. 339 et 340.
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M. SALAH et F. ZÉRAOUI, De quelques pratiques contestables en droit algérien des sociétés
commerciales, op. cit., p. 35, spéc. n°s 32 et 33, pp. 81 et 82.
0/1/ !
V. art. L. 225-21 al. 1 C. com. fr : Une personne physique ne peut exercer simultanément plus de cinq
mandats d’administrateur de sociétés anonymes ayant leur siège sur le territoire français.

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V. A. MOREAU, op. cit., n°105, p. 158 et P. LE CANNU, Rémunération des dirigeants de société
anonyme et contrôle des conventions, Bull. Joly soc. 1996, n°203, p. 567, spéc. n°11, p. 571.
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1
P. NUGER, La rémunération des administrateurs des sociétés anonymes, th. Paris, 1949, p. :
Les jetons de présence dans une société anonyme ne sont pas l’apanage exclusif des
administrateurs…en effet, un jeton de présence, minime, sans doute, est attribué à chaque actionnaire
au prorota des actions représentées lors des assemblées….pour lutter contre « l’absentéisme des
actionnaires »…la distribution faite dans ce cas aux actionnaires se présente comme un remède et
paliatif et ces jetons prennent plus précisément le caractère d’une prime d’assiduité.
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Ph. REIGNE, note sous Paris, 28 septembre 1990, R.F.C. mars 1991, p. 63.
2
J.-P. CASIMIR et M. GERMAIN, op. cit., n°733, p. 193 et J.-F. BULLE, op. cit., n°507, p. 222.
3
G. RIPERT par R. ROBLOT, Traité de droit commercial, L.G.D.J, T. 1, 12ème éd., 1986, n°1275,
pp. 917 et 918 ; Y. GUYON, préc. et A. TOUZEAU, th. préc., p. 36.
4
M. BERGERES et Ph. DUPRAT, op. cit., pp. 66 et 67.
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V. D. GIBIRILA, op. cit., n°145, p. 188 et J.-F. BULLE, op. cit., n°512, p. 224.
6
J.-P. CASIMIR et M. GERMAIN, op. cit., n°737, p. 194 : La rémunération allouée à titre de jetons
de présence est une somme fixe annuelle. Cette précision exclut la possibilité de déterminer les jetons
de présence en fonction de paramètres variables tels que chiffre d’affaires, résultat…les jetons de
présence ne paraissent pas pouvoir être payés en actions.

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1
Rev. fid., Société anonyme et société par actions simplifiée, Groupe revue fiduciaire SA, éd. 1999,
n°532, p. 165.
2
F. LEFEBVRE, éd. 2006-2007, op. cit., n°48195, p. 785
3
P. NUGER, th. préc., pp. 12 et 13.
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4
Art.L. 225-107 C. com. fr : I- Tout actionnaire peut voter par correspondance, au moyen d’un
formulaire dont les mentions sont fixées par décret en Conseil d’État …II- Si les statuts le prévoient,
sont réputés présents pour le calcul du quorum et de la majorité les actionnaires qui participent à
l’assemblée par visioconférence ou par des moyens de télécommunication permettant leur
identification et dont la nature et les conditions d’application sont déterminées par décret en Conseil
d’État.

75
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25.
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Art. L. 225-123 C. com.fr.
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A. VIANDIER, La notion d’associé, L.G.D.J, 1978, n°184, p.176.
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4
J. HAMEL, G. LAGARDE et A. JAUFFRET , Droit commercial, T. 1, Sociétés, groupements
d’intérêt économique, entreprises publiques, par G. LAGARDE, Dalloz, 2ème éd., 1980, n°646, p. 381.
1
Y. GUYON, op. cit., n°325, p. 340 : Pendant longtemps, leur montant a été assez faible : on parlait
de jetons de consolation. Mais une évolution est en train de s’opérer sous l’influence du droit fiscal..ils
constituent pour la société des charges d’exploitation. Ils sont donc déductibles des bases de l’impôt
sur les sociétés…
2
Art. L. 225-45 C. com. fr : L’assemblée générale peut allouer aux administrateurs en rémunération
de leur activité, à titre de jeton de présence, une somme fixe annuelle…Sa répartition entre les
administrateurs est déterminée par le conseil d’administration et art. R. 225-33 C. com. fr : Le

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conseil d’administration répartit librement entre ses membres les sommes globales allouées aux
administrateurs sous forme de jetons de présence…
1
Rép. min., J.O. déb. Ass. nat. 27 avril 2000, p. 3465 : Les comités de rémunération délibèrent trop
souvent dans le secret et les conseils d’administration n’interviennent pas suffisamment pour donner
leur avis et le détail des jetons de présence.
2
Paris, 28 septembre 1990, D. 1990, IR, p. 269.
3
J. MESTRE et D. VELARDOCCHIO, Lamy. Soc. com., op. cit., n°3370, pp. 1466 et 1467.
4
F. LEFEBVRE, éd. 2006-2007, op. cit., n° 482003, p. 786 : Cette décision a été rendue sous le
régime antérieur à la loi n°2001-420 du 15 mai 2001 qui a introduit la compétence du conseil
d’administration dans le texte de l’article L. 225-45. Mais elle paraît conserver sa valeur car cette
compétence était déjà prévue dans le décret du 23 mars 1967 sur les sociétés commerciales .
5
Actuellement art. R. 225-33 C. com. fr.

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V. arts. L. 225-37 et R. 225-21 C. com. fr.
2
P. NUGER, th. préc., p. 20.
3
J. HONORAT, Possibilité d’une répartition inégale des jetons de présence entre les administrateurs,
Rép. Défrénois 1986, n°4, p. 604.

80
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2
F. LEFEBVRE, éd. 2006-2007, op. cit., n°48202, p. 786 et D. GIBIRILA, op. cit., n°147, pp. 110 et
111.
3
J.-P. CASIMIR et M. GERMAIN, op. cit., n°739, p. 195 : D’autres considèrent que l’inégalité ne
peut trouver sa source dans l’arbitraire du conseil, mais seulement dans une inégalité de charges, de
responsabilités et de compétence.
4
F. LEFEBVRE, éd. 2006-2007, préc.
5
J. HONORAT, op. cit., n°4, p. 607 : Il demeure toutefois que les seules personnes qui ont intérêt à
soulever une nullité de cet ordre sont les autres administrateurs. S’ils s’en abstiennent, soit parce qu’ils
se satisfont de leur portion congrue, soit parce qu’ils craignent simplement de ne pas être reconduits
dans leurs fonctions, en se brouillant avec un collègue influent dans les assemblées d’actionnaires, la
solution n’a que bien peu de chance de déboucher sur un procès.

81
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B. OPPETIT, Le représentant permanent d’une personne morale administrateur d’une société
anonyme, J.C.P. 1969, I, 85269, p. 157, spéc. n°26, p. 164 et M. GERMAIN, R. FOY et S. DE
VENDEUIL, Le représentant permanent d’une personne morale administrateur, Actes pratiques
février 1998, n°37, p.4, spéc. pp.7 et 8.
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V. art. 2277 al. 1 C. civ. fr : Se prescrivent par cinq ans les actions en paiement : des salaires ; des
arrérages des rentes perpétuelles et viagères et de ceux des pensions alimentaires ; des loyers des
fermages et des charges locatives ; des intérêts des sommes prêtées ; et généralement de tout ce qui est
payable par année ou à des termes périodiques plus courts.
4
Art. L. 225-45 C. com. fr.
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V. art. L. 225- 21C. com. fr.
3
Art. 107 al. 2, loi n°75-1347 du 31 décembre 1975, préc.

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I.-G. JULIEN PIERRE, Les rémunérations des dirigeants de sociétés anonymes, régimes juridique et
fiscal, th. Paris, 1971, p. 15.
2
J. VERNIN, Les tantièmes des administrateurs et directeurs, th. Paris, 1926, p. 9 et P. NUGER, th.
préc., p. 96 : Dans un premier système, l’administrateur serait un apporteur d’industrie rémunéré au
même titre qu’un apporteur en nature ou en numéraire. L’administrateur, dit-on fait apport à la société
de son travail, de son activité, de ses connaissances, de ses relations, de son influence industrielle ; il
prête son nom ….
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2
F. TERRÉ, La disparition des tantièmes, commentaire de la loi n°75-1347 du 31 décembre 1975,
Rev. soc. 1976, p. 237, spéc. n°4, pp. 239 et 240.
3
J. VERNIN, op. cit., pp. 13 et 14 : …Il faudrait donc reconnaître aux administrateurs des voix en
leur qualité d’administrateurs. Ils pourraient voter aux assemblées annuelles de fin d’exercice non
seulement avec les voix qu’ils possèdent déjà en tant qu’actionnaires ….mais encore avec des voix
qu’ils tiendraient de leur qualité propre d’administrateurs. Or, cette assemblée annuelle a précisément
pour but d’apprécier la gestion des administrateurs…c’est même un non-sens : …les administrateurs
seraient juges et parties en même temps et dans leur propre cause.
4
J. VERNIN, op. cit., pp. 1 et 1 .
5
P. LESCOT, Les tantièmes des administrateurs de sociétés anonymes, Rev. soc. 1921, p. 289, spéc.
n°15, p. 305.

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2
P. LESCOT, Les tantièmes des administrateurs de sociétés anonymes, op. cit., p. 337, spéc. n°20,
p. 312 et n°24, p. 316.
3
P. NUGER, op. cit., pp. 101 et 102.
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5
F. TERRÉ, op. cit., n°4, p. 240.
6
J. HÉMARD, F. TERRÉ et P. MABILAT, Sociétés commerciales, T.3, Dalloz, 1978, n°539, p. 410.

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1
F. TERRÉ, op. cit., n° 4, p. 240 : A vrai dire, l’intérêt pratique du débat s’est progressivement
atténué, surtout dans la mesure où le régime juridique des tantièmes a été précisé…qu’il est devenu
inutile de pousser d’avantage l’analyse.
2
M. SALAH et F. ZÉRAOUI, De quelques pratiques contestables en droit algérien des sociétés
commerciales, in Pérégrinations en droit algérien des sociétés commerciales, op. cit., p. 35, spéc.
n°32, pp. 81 et 82.
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J. HÉMARD, F. TERRÉ et P. MABILAT, T.3, op. cit., n°541, p. 411.

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5
Art. L. 232-11 al. C. com. fr. : Le bénéfice distribuable est constitué par le bénéfice de l’exercice,
diminué des pertes antérieures, ainsi que des sommes à porter en réserve en application de la loi ou
des statuts, et augmenté du report bénéficiaire.

88
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n°26, p. 5.
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Art. L. 232-10 C. com. fr : A peine de nullité de toute délibération contraire,…il est fait sur le
bénéfice de l’exercice, diminué, le cas échéant, des pertes antérieures, un prélèvement d’un vingtième
au moins affecté à la formation d’un fonds de réserve dit « réserve légale .»
Ce prélèvement cesse d’être obligatoire, lorsque la réserve atteint le dixième du capital social
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3
D. GIBIRILA, op. cit., n°123, p. 91 : Cependant l’assemblée générale peut légitimement ne pas
procéder à une répartition des bénéfices, dès lors que sa décision, prenant appui sur l’intérêt social,
n’est pas entachée d’abus de droit, si tel n’est pas le cas, notamment lorsque pareilles décisions
interviennent d’une façon systématique, sans prendre en compte l’intérêt de tous, elles doivent être
annulées pour abus de majorité.
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2
V. art. 352 (abrogé) de la loi n°66-537 de la loi du 24 juillet 1966, préc.
3
F. TERRÉ, op. cit., n°11, p. 245 : Le législateur ne visait pas seulement les réserves dites
facultatives et constituées assez librement par l’assemblée générale ordinaire, mais aussi les réserves
statutaires que cette assemblée peut être obligée de constituer en application d’une clause statutaire.

92
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A. MOREAU, op. cit., p. 162 et D. GIBIRILA, n° 123, p. 92.

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F. TERRÉ, préc.
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Art. L. 225-128 C. com.fr.

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J. -F. ARTZ, Action, Encyc. D. juin 2002, n°155, p. 23 et 24.
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G. NAFFAH, La prime d’émission, th. Paris. 2, 16 janvier 1986, p. 24.
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V. en droit français, P. NUGER, op. cit., p. 36 et M. COZIAN, A. VIANDIER et F. DEBOISSY, op.

cit., p. 351.
7
P. NUGER, op. cit., p. 37 : On a beaucoup discuté sur la nature des primes d’émission, les
considérant tantôt comme une charge du droit de souscription, tantôt comme un élément sui
generis…
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P. DIDIER et M. MARTEAU-PETIT, Prime d’émission, Encyc. D. janvier 1993, n°3, p.3.

1
G. RIPERT et R. ROBLOT par M. GERMAIN, Traité de droit commercial, T. 1, Les sociétés
commerciales, L.G.D.J, 18ème éd., 2002, n°1614, p. 387 ; J. HÉMARD, F. TERRÉ et P. MABILAT,
op. cit., n°408, pp. 352 et 353 et R. CASTELL, Réserves, Encyc. D. mars 1998, n°35, p.5.
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F. ZÉRAOUI SALAH, Le régime juridique des parts sociales de société à responsabilité limitée en
droit français et en droit algérien, th. 1984, T. 1, p. 25.
3
V. en droit français, G. NAFFAH, th. préc. p. 287 et J. HÉMARD, F. TERRÉ et P. MABILAT,
préc.
4
G. NAFFAH, th. préc. p. 308 : Melle Vandame après avoir écarté l’assimilation de la prime
d’émission à un apport ainsi qu’à un bénéfice, rejette la théorie de l’apport supplémentaire. Pour elle,
la prime d’émission résulte d’une convention synallagmatique extérieure- bien qu’accessoire- au
contrat de société qui demeure le contrat principal.
/0/1/ ! - ! 5

V. art. L. 232- 9 al. 2 C. com.fr.

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1
A. MOREAU, op. cit., n°109, p. 167.
/0/1/ ! 2

3
P. NUGER, op. cit., rejet n°1, p. 81 : On peut se demander cependant si l’unanimité ne vise pas
simplement le cas où la répartition inégale résulte de la prise en considération de la simple
personnalité de l’administrateur et si la majorité ne suffirait pas, lorsque l’inégalité provient d’une
attribution accordée par le conseil sur ses émoluments, pour un mandat spécial ou des fonctions
particulières.
4
F. TERRÉ, op.cit., n°15, p. 248 : Il a été, en ce sens, traditionnellement admis que les
administrateurs dont les fonctions avaient pris fin au cours d’un exercice avaient droit, normalement à
une part de tantièmes correspondant à leur période d’activité pendant cet exercice…on pouvait le
penser notamment en cas d’attribution de tantièmes calculés sur les réserves, ces tantièmes étant,
comme les autres, alloués aux administrateurs en fonction lors de la répartition, et non à ceux qui , en
fonction lors de la constitution des réserves, avaient, depuis cette date cessés de l’être.

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F. TERRÉ, op. cit., n°16, pp. 248 et 249.
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V. art. L.232-13 C. com.fr : Les modalités de mise en paiement des dividendes votés par l’assemblée
générale sont fixées par elle ou, à défaut, par le conseil d’administration, le directoire ou les gérants,
selon le cas.
Toutefois, la mise en paiement des dividendes doit avoir lieu dans un délai maximal de neuf mois
après la clôture de l’exercice. La prolongation de ce délai peut être accordée par décision de justice.

97
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J. HEMARD, F. TERRÉ et P. MABILAT, T.3, op. cit., n°551, p. 418.
7
F. TERRÉ, op. cit., n°17, pp. 249 et 250.

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V. J. GUYÉNOT, Nouveau régime fiscal des jetons de présence et suppression des tantièmes, Gaz.
Pal. 1976, p. 421, spéc. n°25, p. 423.
2
Art. 3 de la loi n°75-1347 du 31 décembre 1975 qui stipulait : Les membres du conseil
d’administration ou de surveillance des sociétés commerciales peuvent prévoir des tantièmes au titre
des exercices clos en 1975, 1976 et 1977 conformément aux dispositions législatives et statutaires
antérieurement en vigueur.
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1
F. TERRÉ, op. cit., n°22, pp. 252 et 253 .
2
Article 108 al. 2 abrogé, de la loi n°66-537 du 24 juillet 1966 : Les statuts peuvent prévoir que des
tantièmes seront alloués au conseil d’administration dans les conditions prévues à l’article 352.
3
F. TERRÉ, op. cit., n°2 , pp. 25 et 25 : En premier lieu l’on a fait valoir que le système mis en
cause était trop rigide, puisqu’il dépendait de l’existence d’une disposition statutaire dont la
modification relevait de la compétence de la seule assemblée générale extraordinaire ; en deuxième
lieu, l’on a observé que la seule fixation par rapport au bénéfice distribuable…pouvait aboutir à des
rémunérations inadaptées, compte tenu de la diversité des secteurs de l’économie et des entreprises
concernées et que..il pouvait être préférable de recourir à un mode de rémunération tenant compte de
la participation effective de l’administrateur à la conduite de l’entreprise.
4
E. DU PONTAVICE, La fixation de la rémunération des organes de direction et de surveillance de
la société anonyme, Mél. Bastian, 1974, T. 1, p. 177, spéc. p. 187 : ..non seulement, comme nous
l’avons vu, les administrateurs des sociétés anonymes sont normalement peu enclins à proposer
l’incorporation des réserves au capital puisqu’ils sont rémunérés par des tantièmes, ..mais d’autre part ,
et voici le second inconvénient, les administrateurs rémunérés par des tantièmes ont intérêt à gonfller
indûment le bénéfice net .

101
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1
Concernant le droit français, v. Art. L. 225-46 C. com. fr : Il peut être alloué, par le conseil
d’administration, des rémunérations exceptionnelles pour les missions ou mandats confiés à des
administrateurs. Dans ce cas, ces rémunérations, portées aux charges d’exploitation sont soumises aux
dispositions des articles L. 225-38 à L. 225-42.
2
Com., 9 novembre 1986, Rev. soc. 1986, p. 393 ; M. BERGERES et Ph. DUPRAT, op. cit., p. 67 et
J.-F. BULLE, op. cit., n° 517, p. 226.
3
Alençon, 22 juillet 1981, B. R.D.A. 1981, n°22, p. 13 cité in F. LEFEBVRE, éd. 2006-2007, op. cit.,
n°48230, p. 7890 : c’est ainsi, qu’a été annulée l’attribution à un administrateur non salarié d’une
rémunération régulière mensuelle et forfaitaire en contrepartie d’une activité de conseiller commercial,
au lieu d’une indemnisation ponctuelle correspondant à des missions bien définies.
4
D. GIBIRILA, op. cit., n° 156, pp. 115 et 116.

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Art. L. 225-38 al. l. C. com.fr et P. LE CANNU, Les conventions réglementées après la loi
n°2001-420 du 15 mai 2001, Bull. Joly soc. juillet. 2001, n°8, p.723.
4
P. SERLOOTEN, Conventions réglementées, Bull. Joly soc. 2009, n°3, p. 3.
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v. Loi n° 62-157 du 31 décembre 1962 tendant à la reconduction jusqu'à nouvel ordre de la législation
en vigueur au 31 décembre 1962, J. O. R. A. du 11 janvier 1963, n°2, p. 18. v. M. SALAH et F.
ZÉRAOUI, De l’influence de la législation commerciale française en ALGÉRIE, in Bicentenaire du
Code de commerce, 1807-2007, éd. Dalloz, 2008, p. 639.
2
Paris, 23 novembre 1955, Gaz. Pal. 1956, 1, p. 41 : Le législateur en substituant au contrôle de
l’assemblée générale, mal informée, celui du conseil d’administration mieux informé a voulu établir
un contrôle effectif et sérieux.
3
Ph. DELEBECQUE et F.-J. PANSIER, Administrateur, Encyc. D. janvier. 2003, n°206, p. 27.
4
L’article de la loi de 1867 a été abrogé et remplacé par les articles 101 à 106 de la loi n°66-537 du
24 juillet 1966, devenus arts L. 225-38 et s.

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1
R. ZERGUINE, Les conventions entre les sociétés et leurs dirigeants en droit positif algérien, Rev.
alg. 1979, 2, p.199.
2
M. SALAH, Pour une perfectibilité du fonctionnement des sociétés commerciales, op. cit., pp. 146 et
147.
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Y. BALENSI, op. cit., n°206, p. 152.
2
E. DU PONTAVICE, Le commissaire aux comptes et la rémunération des dirigeants de sociétés
anonymes, Rev. soc. 1968, p. 30, spéc. pp. 37 à 39.
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d’administration peut autoriser le remboursement des frais de voyage et de déplacement et des
dépenses engagées par les administrateurs dans l’intérêt de la société.
3
Comp. art. 1999 C. civ. fr.
$# + ! + ,& + + = @ 4

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L. AMIEL-COSME, Rémunération des dirigeants, op. cit., n°21, p. 4.
5
D. GIBIRILA, op. cit., n°161, p. 119.

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1
M. BERGERES et Ph. DUPRAT, op. cit., p. 69 et J.-F. BULLE, op. cit., n°551, p. 241.
2
A. MOREAU, op. cit., n°111, p. 170.
3
D. GIBIRILA, op. cit., n°161, p. 120.
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Art. L. 225-44 C. com. fr.

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1
M. BERGERES et Ph. DUPRAT, op. cit., p. 70.
2
Rép. min. J.O. déb. Sénat 24 août 1979, n° 30539, p. 2737 : Il semble… que les avantages en nature
concédés à un administrateur ne doivent s’analyser en une convention conclue entre la société et cet
administrateur que dans la mesure où ces avantages ne sont pas compris dans les rémunérations
normales perçues par l’administrateur, soit au titre des salaires s’il est salarié de la société, soit au titre
de jetons de présence, s’il ne l’est pas.
3
Rép. min. J.O déb. Sénat 3 décembre 1979, n°31477, p. 5425 cité in JURIS-COMPACT, Le
dirigeant de société : risques et responsabilités, Groupe lexis-nexis, 2002, n°57-09, p. 696.
4
J. MESTRE et D. VELARDOCCHIO, Lamy. Soc. com, op. cit., n°3373, p. 1468.
5
M. BERGERES et Ph. DUPRAT, op. cit., p. 71 et J.-P. CASIMIR et M. GERMAIN, op.cit., n°776,
p. 207.

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1
En ce sens, v. art. L. 225-63 C.com.fr : L’acte de nomination fixe le mode et le montant de la
rémunération de chacun des membres du directoire .
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Art. L. 225-59 C.com.fr

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Com., 16 juillet 1985, D. 1986, IR, p. 84 et Com., 12 décembre 1995, Bull Joly soc. 1996, n°68,
p. 207, note P. LE CANNU/
4
H. LECOMPTE, La société anonyme avec directoire, R.T.D. com. 1968, p. 243 cité par E. DU
PONTAVICE, La fixation de la rémunération des organes de direction et de surveillance de la société
anonyme, op. cit., p. 208.
5
H. LABORD, Directoire et conseil de surveillance, Collection la vie de l’entreprise, Dunod, 1969,
p. 41.
6
J.-P. CASIMIR et M. GERMAIN, op. cit., n°757, p. 201.
/0/1/ ! 7

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Arts. L. 225-75 al. 2 et L. 225- 83 C.com.fr.

6
P. LE CANNU, Rémunération des dirigeants de société anonyme et contrôle des conventions,
op. cit., n°3, p. 568.
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1
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4
J.-J. CAUSSAIN, Le directoire et le conseil de surveillance, Litec, Paris, 2002, n°111, p. 67 et
Com., 26 mars 2008, Bull Joly soc 2008, n°145, p. 674, note P. LE CANNU.
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P. LE CANNU, note sous Com., 26 mars 2008, op. cit., rejet n°7, p. 677.
6
Art . R. 225-56 C. com.fr
7
Com., 12 décembre 1995, op.cit., p. 207.
8
Com., 11 janvier 1972, préc.
9
Angers, 27 mai 1964, R.T.D. com. 1964, p. 792 et Paris, 17 février 1965, préc.

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2
J.-J. DAIGRE, Réflexions sur le statut individuel des dirigeants des sociétés anonymes, Rev. soc.
1981, p. 497, spéc. n°s53 et 54, pp. 517 et 518.
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Art. L. 225-240 al. 2 C. com. fr.

5
J.-J. DAIGRE, op. cit., n°57, p. 519.
6
Paris, 1er décembre 2000, Dr. soc. avril 2001, n°66, p. 18, note F.-X. LUCAS.
7
J.-J. CAUSSAIN, op. cit., n°107, pp. 65 et 66.
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P. LE CANNU, note sous Com., 26 mars 2008, op. cit., n°9, p. 678.
1
G. RIPERT et R. ROBLOT, op. cit., n°1316, p. 956 ; D. GIBIRILA, op.cit., n°191, p. 140 et A.-G.
TAITHE, Procédure de fixation de la rémunération des membres du directoire, Bull. Joly soc. 1981,
p. 105.
2
Paris, 26 décembre 2004, R.T.D. com. et dr. écon., avril-juin 2004, n°4, p. 768, note P. LE CANNU :
Alors que le mode de calcul de la prime d’intéressement produisait des effets exclusivement
avantageux pour l’intéressé, le refus de celui-ci d’accepter sa modification constitue un juste motif de
révocation.
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4
J.-J. DAIGRE, op.cit., n°s49 et 50, pp. 516 et 517.
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1
P. LE CANNU, Les sociétés anonymes à directoire vingt ans après, Rev. soc. 1986, p. 565, spéc.
n°13, p. 575 et P. LE CANNU, note sous, Com., 12 décembre 1995, op. cit., p. 68.
2
P. LE CANNU, Rémunération des dirigeants de sociétés anonymes et contrôle des conventions, op.
cit., n°3, p. 568.
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Art. L. 225-59 C.com.fr

2
P. LE CANNU, Droit des sociétés, Montchrestien, 2ème éd., 2003, n°767, p. 487 ; D. GIBIRILA,
n°191, p.140, et Dictionnaire permanent, Droit des affaires, op. cit., n°97, p. 3780- 4.
3
A. ASTAIX, La rémunération des dirigeants des entreprises aidées sous surveillance, D. 2009, n°14,
p. 935.
4
Décr. n° 2009-348 du 30 mars 2009 relatif aux conditions de rémunération des dirigeants des
entreprises aidées par l’État ou bénéficiant du soutien de l’État du fait de la crise économique et des
responsables des entreprises publiques, J.O.R.F du 31 mars 2009, p. 5622. Ce décret, selon l’article 1,
concerne les six banques auxquelles l’État a apporté des fonds propres via la société de prise de
participation de l’État (SPE)- c'est-à-dire la BNP, la Banque populaire, la Caisse d’épargne, le Crédit
agricole, le Crédit mutuel, la Société générale- et la Banque DEXIA, ainsi que les quatre constructeurs
automobiles qui ont reçu des prêts de l’État dans le cadre du plan automobile-Renault, SPA, Renault
trucks, Iveco France-. Selon le même article, les conventions conclues avec l’entreprise bénéficiaire
avant l’entrée en vigueur du décret sont modifiées par avenant afin d’assurer leur conformité au
décret.
5
Décr. n°2009-349 du 30 mars 2009 relatif à l’information et à la consultation du comité d’entreprise
sur les interventions publiques directes en faveur de l’entreprise, J.O.R.F du 31 mars 2009, p. 5624.
art. R. 2323-7-1.
6
F. ROME, Stop-options, D. 2009, n°13, p. 857.
7
C. MALECKI, Rémunérations encadrées : un simple au revoir aux bonus, stock-options et
parachutes dorés ? blog Dalloz http// : blog. Dalloz. fr, 8 avril 2009.

117
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1
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développement économique et social, J.O.R.F du 22 avril 2009, p. 6987.
2
J.-J. CAUSSAIN, Le directoire et le conseil de surveillance, op. cit., n°107, p. 65 et H. LABORD,
op. cit., p. 40.
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Alger, 5ème éd., 1990, p. 252.
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2
Art. L. 225-185 C. com. fr.
3
Art. L. 225-180 C. com.fr et Juris-compact, op. cit., n°11-04, pp. 128 et 129
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Art. L. 225-206 C. com. fr et Juris-compact, op. cit., n°11-07, p. 130 .
5
G. RIPERT et R. ROBLOT par M. GERMAIN, op. cit., n° 1968, pp. 640 et 641 et O. CALLIES, Les
stock-options et la redistribution du capital, R. J. C. 1985, p. 121

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1
G. AUZERO, Attribution individuelle des stock-options et licenciement injustifié du bénéficiaire : le
recours salutaire au droit des obligations, Bull. Joly soc. 2005, n°34, p. 177, spéc. pp. 179 à 183.
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J.-F. AMADIEU, Gouvernement d’entreprise et rémunération des dirigeants en France : variation sur
la transparence et la performance, Les cahiers du Cergors, n°2, 2005, p. 7.

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1
R. VATINET, Le clair obscur des stock-options à la française, Rev. soc. 1997, p. 31, spéc. n° 13,
p. 38, spéc. n°3, p. 33 et Juris-compact, op.cit., n°57-10, p. 696 et S. SCHILLER, A.-S. KERFANT et
J.-P. MANDELBAUM, Stock-options et actions gratuites, comparaison des régimes juridiques,
fiscaux, sociaux et comptables, Actes pratiques mars- avril 2008, p.5, spéc. n°3, p. 6.
2
Art. L. 225-177 C. com. fr.
3
Arts. L. 225-177 et L. 225-179 C. com. fr.
4
Art. L. 225-183 C. com. fr.
5
Art . L. 225- 177 C com. fr.
6
Art. L. 225-178 al. 1 C. com. fr.

122
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1
Art. L. 225-177 al. 2 C. com. fr
2
Juris-compact, op.cit., n°11-10, p. 131.
3
Art. L. 225-177 C. com.fr.
4
Art. L. 225-181 C. com.fr.
5
R. VATINET, op.cit., n°17, pp.39 et 40.
6
Art. L. 225- 181 C. com. fr et Juris-compact, op.cit., n°11-13, p. 132.

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1
F. FOY, op. cit., n°48, p.11.
2
Paris, 23 septembre 1999, Rev. soc. 1999, p. 872.
3
Juris-compact, op.cit., n°11-14, p. 132.
4
Art. L. 225- 183 als. 2 et 3 C. com. fr.
5
Art. L. 225- 178 al. 2 C. com.fr.

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1
Art. L. 225- 184 C. com.fr.
2
R. LEBLANC, Ph. MANIÈRE, Ph. PORTIER et R. VATINER, La rémunération des dirigeants,
Cah. dr. entrep, n° 5, 2008, p.11.
3
Ph. PORTIER, Commentaires sur les recommandations du MEDEF et de l’AFEP «sur les
parachutes dorés», J.C.P. éd. E.A. 6 novembre 2008, n°s3 à 5, pp. 25 et 26.
4
I. TCHOTOURIAN, Rémunérations des dirigeants : l’initiative de l’AFEP et du MEDEF confrontée
aux positions récemment adoptées Outre-Atlantique, D. 2008, n°39, p. 2708.

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1
F. LEFEBVRE, Rémunération des dirigeants de sociétés cotées, B.R.D.A. 2008, n°26, pp. 14 et 15.

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1
A. LIENHARD, Rémunération des dirigeants : recommandations AFEP-MEDEF, D. 2008, n°36,
p. 2493.
2
J.-F. AMADIEU, op. cit., pp. 8 et 9 ; S. CASTAGNE, L’abécédaire des stock-options, Dr. soc.
février 2001, n°2, p. 8, spéc. p. 9 et F.-M. LAPRADE, La rémunération des dirigeants sociaux au
travers d’instruments financiers, Bull. Joly soc. 2008, n°117, p.543.
3
Loi de finance rectificative pour 2009, J.O.R.F. 22 avril 2009, p. 6872.

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1
L. n°2004- 1484 du 30 décembre 2004, L. finances pour 2005, art. 83-1, J.O.R.F. 31 décembre 2004,
p. 22459.
2
N. GAUDIN, Cadres-dirigeants : après les stock- options, la mode des actions gratuites, Option
finance 22 décembre 2003, n°764-765, p.61.
3
Art. L. 225-197-1 C. com. fr.
4
N. GAUDIN, op. cit., p. 60.
5
J.-F. ADOM, L’attribution gratuite d’actions, Bull. Joly soc. 2005, n°35, p. 188, spéc. n°4, pp. 189 et
190.

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2
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2
J.-F. ADOM, op. cit., n°s 26 à 30, p. 196 à 198.
3
Art. L. 225-197-1-I C. com.fr.
4
J.-F. ADOM, op. cit., n°35, p. 199
5
Art. L. 225-197-1-1 al. 7 C. com.fr.
6
S. SCHILLER, A.-S. KERFANT et J.-P. MANDELBAUM, op. cit., p. 7.

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2
Arts. L. 197-4 et L. 197-5 C.com.fr.
3
J.-J. CAUSSAIN, op. cit., n°109, p. 66.

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1
J.-J. DAIGRE, op. cit., n°64, p. 522.
2
P. LE CANNU, Rémunération des dirigeants de société anonyme et contrôle des conventions, op.
cit., n°17, p. 374.
3
M. FAHIM, Le directoire dans les sociétés anonymes soumises aux articles 118 à 150 de la loi du 24
juillet 1966, Rev. soc. 1969, p. 55, spéc. n°s 17 et 18, p. 64.
4
P. LE CANNU, note sous Com., 12 décembre 1995, op.cit., p. 68.

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3
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/0/1/ ! - ! 3

Art. L. 225-47 al. 1 C. com. fr.

Art. L. 225-51 C. com. fr.
/0/1/ ! 4

Art. L. 225-50 C. com. fr.

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1
Art. L. 225-53 al. 3 C.com.fr : Le conseil d’administration détermine la rémunération du directeur
général et des directeur généraux délégués.
2
Art. R. 225-34 C.com.fr : Le conseil d’administration détermine la rémunération de la personne
déléguée temporairement dans les fonctions du président pendant la durée de la délégation ….
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V. A. PICAND- LAMEZEC, L’autorémunération du président du conseil d’administration, Bull. Joly
soc. 1988, p. 319, spéc. p. 322.
4
Art. R. 225-29 C. com.fr.
5
F. ZÉRAOUI, La répartition des pouvoirs généraux entre le conseil d’administration et son
président : quelle solution ?,Rev. entrep. com. 2005, n°1, p. 29 et 30 ; N. DAOUIBY, La répartition
des pouvoirs du conseil d’administration et du président dans la société anonyme de type classique

137
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depuis la loi du 24 juillet 1966, th. Toulouse, 1986, p. 213 et Com., 11 octobre 2005, D. 2005, n° ,
p. 2743, obs. A. LIENHARD.
1
Com., 4 juillet 1995, Rev. soc. 1995, p. 504, note P. LE CANNU ; Bull. Joly soc. 1995,n°350,
p. 968, note J.-F. BARBIÉRIE ; J.C.P éd. E. 1995, n° 750, p. 239, note Y. GUYON ; R.J.D.A. août-
septembre 1995, n°994, p. 785 ; R.T.D. com. janvier-mars 1996, p. 69 et Versailles, 31 janvier 2002,
Rev. soc. 2002, n°1508, p. 573, note Y. GUYON
2
Com., 27 février 2001, Bull. Joly soc. 2001, n°159, p. 631, note M. STORCK et Dr. soc. 2001,
n°85,p. 21, note D. VIDAL : La rémunération allouée au président doit faire l’objet d’une délibération
du conseil d’administration sur son montant et ses modalités. Doit être cassé l’arrêt qui déduit la
notification implicite par le conseil d’administration…
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4
J.-P. CASIMIR et M. GERMAIN, préc.
5
Com., 4 juillet 1995, préc.
/0/1/ ! - ! 6

Art. L. 235-1 al.2 C. com. fr.

/0/1/ .% ! 7

Arts. L. 242-6-3 et L. 248-1 C.com.fr.

8
Com., 15 décembre 1987, Bull. Joly soc. 1988, n°15, p. 80 et Com., 30 novembre 2004, Dr. soc.
2005-2006, n°50, p. 21, note H.H ; Rev. soc. 2005, n°3, p. 631, note J.-F. BARBIÉRIE ; R.T.D. com
et dr. écon., janvier-mars 2005, n°3, p. 113.

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1
Paris, 30 juin 1977, R.J.C. 1978, n°843, p. 269, note Y. CHARTIER.
/ 7 A A 4+ A A - &N L + :& .& 8 79 $ 2

3
A. PICAND- LAMERZEC, op. cit., p. 322.
4
Paris, 30 mars 1977, Rev. soc. 1977, p. 470, note J. HÉMARD.
5
G. LYON-CAEN, Encore la rémunération des PDG! , D. 1996, n°6, p. 162, spéc. n°4, p. 163.
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P. LE CANNU, note sous Com., 10 février 1998, Bull. Joly soc. 1998, n°521, pp. 525 et 526.
2
Paris, 19 mai 1998, Bull. Joly soc. 1998, n°357, p. 1164, note M. STORCK et J.C.P. éd. E.A. 1998,
II, n°45-46, p. 1787, note A. COURET.
3
Paris, 31 mai 1996, Bull. Joly soc. 1996, p. 932, note P. LE CANNU.
4
Paris, 7 juin 2000, R.T.D. com. octobre- décembre 2000, p. 961 ; Rev. soc. 2000, p. 763, note
Y. GUYON et Bull. Joly soc. 2000, p. 957, note P. SCHOLER.

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1
P. LE CANNU, note sous Com., 10 février 1998, préc.
2
Com., 24 octobre 2000, J.C.P éd. E.A. juillet 2000, n°2, p. 1731 ; Rev. soc. 2001, p. 95, note P. LE
CANNU et Bull. Joly soc. 2001, n°17, p. 54, note M. STORCK.
3
D. GIBIRILA, op. cit., n°185, p. 136 ; M. STORCK, La rétroactivité des décisions sociales, Rev.
soc. 1985, p. 72 et Juris-compact, op. cit., n°57-22, p. 699.
4
Paris, 30 mars 1977, préc : Lorsque le président du conseil d’administration, dans son seul intérêt et
sans égard à l’intérêt de la société, …a fait décider l’augmentation rétroactive de sa rémunération cette
délibération doit être considérée comme abusive et être annulée….
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2
P. LE CANNU, Rémunération des dirigeants de société anonyme et contrôle des conventions,
op. cit., n°9, p. 203.

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2
M. COZIAN, A. VIANDIER et F. DEBOISSY, op. cit., n°640, p. 221.
3
Arts. L. 225-37 et L. 225-82 C.com.fr et J. BEGUIN et G. NOTTE, Loi n°2005-842 pour la
confiance et la modernisation de l’économie Loi BRETON , J.C .P. éd. E.A., 2005, n° 1640, p. 1639.
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1
G. LYON-CAEN, op. cit., n°4, p. 163 et P. LE CANNU, Rémunération des dirigeants de société
anonyme et contrôle des conventions, préc.
1
F. TERRÉ, La fixation de la rémunération du président du conseil d’administration : convention
soumise à la procédure d’approbation, Bull. Joly soc. 1985, p. 1085, spéc. p. 1087.
2
Trib. civ. Béthune, 14 décembre 1955, D. 1956, p. 670, note G. GORÉ et Montpellier, 28 novembre
1963, D. 1964, p. 483, note L. MAZEAUD.
3
Rép. min., J.O. déb. Ass. nat. 3 avril 1969, p. 868 ; Rép. min., J.O. déb. Sénat 16 janvier 1973, p.
23 ; R. LACAN et P. DIDIER, La réforme de l’article 40, Rémunération du président, D. 1967, pp. 9
et 10 et N. DAOUIBY, th. préc. p. 215.
/0/1/ ! - ! 4

Art. L. 225-115 al. 4 C. com.fr.

5
J.-P. CASIMIR et M. GERMAIN, op. cit., n°755, p. 200 ; D. GIBIRILA, op. cit., n°527, pp. 231 et
232 et J.-F. BULLE, op. cit., n°527, p.231.
/0/1/ ! 6

Art. L. 225-46 C. com. fr.

7
P. LE CANNU, Rémunération des dirigeants de société anonyme et contrôle des conventions, op.cit.,
n°13, p.572.

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1
Paris, 26 mars 1976, R.J.C. 1976, n°813, p. 413, note Y. CHARTIER et Paris, 27 juin 1980, D. 1981,
p. 634, note J.-C. BOUSQUET.
2
Com., 2 mai 1983, Rev. soc. 1984, p. 775, note P. DIDIER ; Versailles, 15 mai 1985, Bull. Joly soc.
1986, n°11, p. 90, obs. P. LE CANNU et D. 1987, p. 404, note M. BOIZARD.
3
P. LE CANNU, Rémunération des dirigeants de société anonyme et contrôle des conventions, op.cit.,
n°15, pp. 572 et 573.
4
Com., 3 mars 1987, Gaz. Pal. 1987, p. 264, note B. HATOUX et Rev. soc. 1987, p. 266, note Y.
GUYON.
5
I. BARRIÈRE-BROUSSE, L’après mandat social, P.A. 16 septembre 1991, p. 21.
6
Art. L. 225-39 al. 1 C. com. fr : Les dispositions de l’article L. 225-38 ne sont pas applicables aux
conventions portant sur des opérations courantes conclues à des conditions normales.
7
J.-P. LEGROS, note sous, Com., 22 janvier 1991, Rev. soc. 1992, n°10, p.66.

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3
Com., 4 juillet 1995, préc.
4
P. LE CANNU, Droit des sociétés, op. cit., n°733, p. 459.
0/1/ ! 5

Art. L. 235-13 C. com.fr.

6
J.-P. CASIMIR et M. GERMAIN, op. cit., n°751, p. 199.
7
P. LE CANNU, Droit des sociétés, op.cit., n°733, p. 459.

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évidentes, in Pérégrinations en droit algérien des sociétés commerciales, Edik, 2002, p. 219, spéc.
n°34, pp. 249 et 250.
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Arts. L. 225-59 al. 1 et L. 225-66 als. 1 et 2 C.com.fr.

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A. KOUDRI, La rémunération des cadres dirigeants des entreprises : qu’en savons nous ? qu’avons-
nous à apprendre ?, Les cahiers du CREAD, n°64, 2003, p. 92 et Journal EL WATAN, Système de
rémunération dans les entreprises algériennes, les salaires hors marché des patrons, édition du 12
février 2007.
1
G. RIPERT et R. ROBLOT, par M. GERMAIN, op.cit., n°1683, p. 449.
2
D. GIBIRILA, op.cit., n°187, p. 137 et Paris, 25 mars 1993, Bull. Joly soc. 1993, n°216, p. 744, note
A. VIANDIER.
3
A. VIANDIER, note sous Paris, 25 mars 1993, op.cit., p. 746.
4
F. TERRÉ, La fixation de la rémunération du président du conseil d’administration : convention
soumise à la procédure d’approbation, op.cit., p. 1087.

148
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1
M. COZIAN, A. VIANDIER et F. DEBOISSY, op.cit., n°673, p. 234.
2
Juris-compact, op.cit., n°57-08, p.696.
3
Paris, 7 juin 2000, préc.
4
Arts. L. 225-42-1 et L. 225-90-1 C. com. fr.
5
Arts. L. 225-177, L. 225-179 et L. 225-185 C. com. fr.

149
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1
Art. L. 225-197-1 C. com. fr.
2
Art. L. 225-102-1 C. com. fr.
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4
B. DONDERO, Les golden hellos : le salut impossible ?, Bull. Joly soc. juin 2008, n°113, pp. 516 et
517.

150
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1
B. DONDERO, op. cit., p. 518.
2
Arts. L. 225-43 et L. 225-91 C. com. fr.
3
B. ROMAN, Les «GOLDEN HELLOS» nouvel eldorado des dirigeants, J.C.P. éd. E.A 2004, n° 925,
pp. 996 et s.
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Arts. L. 225-83, L. 225-84 et L. 225-85 C. com.fr.

1
J.-P. CASIMIR et M. GERMAIN, op. cit., n°780, pp. 208 et 209.
2
J.-P. LEGROS, note sous Com., 22 janvier 1991, op. cit., p. 69.
3
A. LIENHARD, Complément de retraite du dirigeant : de la rigueur dans la forme comme sur le
fond, D. 2005, n°39, p. 2743, spéc. p. 2744.
4
H. HOVASSE, Condition d’attribution d’une retraite aux présidents de sociétés anonymes, J.C.P. éd.
E.A. 2005, n°1796, p. 2111.
5
Paris, 24 octobre 1960, D. 1961, p. 57, note A. DALSACE.

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Paris, 24 octobre 1960, Gaz. Pal. 1961, I, p. 208 et D. BASTIAN, note sous Paris, 25 juin 1947, J.C.P.
1948, II, p. 4117.
2
J.-L. SIBON, note sous Paris, 7 juin 1980, Rev. soc. 1981, p. 329 et Paris, 27 juin 1980, préc.
3
Com., 3 mars 1987, préc.
4
A. LIENHARD, obs. sous Com., 11 octobre 2005, D. 2005, p. 2743.
5
H. HOVASSE, Condition d’attribution d’une retraite aux présidents de sociétés anonymes, op. cit.,
p. 2113.

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1
Paris, 24 octobre 1960, préc ; Paris, 15 juillet 1987, D. 1987, II, p. 202 ; G. LYON-CAEN, Encore la
rémunération des P.D.G., op. cit., n°7, p. 164 et J.-J. DAIGRE, op. cit., n°64, p. 522.
2
Y. GUYON, note sous Com., 3 mars 1987, Rev. soc. 1987, op. cit., p. 269.
3
Com., 23 janvier 1978, D. 1979, I.R, p. 108, note J.-C. BOUSQUET et Com., 8 avril 1976, Rev. soc.
1978, p. 265, note F. TERRÉ.
4
Com., 15 juillet 1987, préc et Paris, 27 juin 1980, préc.
5
Paris, 27 juin 1980, préc.

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1
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2
P. LE CANNU, Droit des sociétés, op. cit., n°735, p. 461 et J.-P. CASIMIR et M. GERMAIN, op.
cit., n°788, p. 211.
3
S. DE VENDEUIL et S. BEAUFRE, La pension de retraite du dirigeant d’une société anonyme,
J.C.P. éd. E.A. 2000, II, n°49, p. 1942.
4
A. LIENHARD, obs. sous Com., 11 octobre 2005, op. cit., p. 2743.
5
P. LE CANNU, Droit des sociétés, op. cit., n°735, pp. 461 et 462.

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7
B. PETIT et Y. REINHARD, note sous Com., 4 juillet 1995, R.T.D. com. 1996, p. 71.
8
Soc., 12 juillet 1990, R.F.C. 1991, p. 71 et Soc., 14 janvier 1999, Rev. soc. 1999, p. 616 cités par S.
DE VENDEUIL et S. BEAUFRE, préc.

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4
Paris, 14 mai 1993, Dr. soc. 1993, n°168, p. 13 et R.T.D. com. 1993, p. 535.
5
Paris, 19 mai 1998, préc.

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1
S. DE VENDEUIL et S. BEAUFRE, op. cit., p. 1942.
2
J.-L. MAGNIER et J.-F. RAGE, Golden parachute et retraite chapeau, Option finance 5 décembre
2005, n°860, p. 43.
3
O. LAOUENAN, Les golden parachutes dans les sociétés anonymes, P. A. 28 juillet 2004, n°4,
p. 12.
4
J.-P. CASIMIR et M. GERMAIN, op. cit., n°s781 et 782, p. 209.

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2
O. LAOUENAN, op. cit., n°5, p. 12 à 14.
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1
J. EL AHDAB, op. cit., n°13, p. 33.
2
F. BASDEVANT, A. CHARVERIAT et F. MONOD, Le guide de l’administrateur de société
anonyme, Litec, 2ème éd., 2004, n°39, pp. 18 et 19.
3
Com., 18 octobre 1994, Bull. Joly soc. 1994, p. 1311, note P. LE CANNU.
4
J.-P. CASIMIR et M. GERMAIN, op. cit., n°784, p.120.
5
Arts. L. 225-40 et L. 225-88 C. com. fr.
6
Arts. L. 225-42 et L. 225-90 C. com. fr.
7
Arts. L. 225-42-1 et L. 225-90-1 C. com. fr .

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1
F. LEFEBVRE, Rémunération des dirigeants de sociétés cotées, op. cit., p. 15, et A. LIENHARD,
op.cit., p. 2492.
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1
J.-P. CASIMIR et M. GERMAIN, op. cit., n°785, p. 210 : Les dirigeants peuvent cumuler …un
contrat de travail avec leur mandat social. Or le contrat de travail offre des possibilités intéressantes
en cas de départ forcé du salarié, qui peuvent conforter la situation du dirigeant. En effet, le droit du
travail prévoit qu’une indemnité de licenciement est due au salarié licencié ou mis à la retraite par son
employeur. Mais au-delà de cette fixation légale, le contrat de travail peut définir une indemnité
contractuelle de licenciement d’un montant beaucoup plus considérable…les dirigeants peuvent donc
trouver dans le contrat de travail la source d’une indemnisation très importante en cas de départ forcé.
2
Art. 1152 C. civ. fr.
3
Arts. L. 225-22-1 et L. 225-79-1 C. com. fr.
4
A. LIENHARD, préc. et F. LEFEBVRE, Rémunération des dirigeants de sociétés cotées, préc.

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1
Concernant le droit français, v. art. L. 225-44 C. com. fr.
2
C. CATHIAR, B. SAINTOURENS et A. LEMERCIER, La rémunération des dirigeants dans les
sociétés par actions, J.C.P. éd. G. mars-avril. 2009, n°133, p. 21 et O. DE PRÉCIGOUT,
Rémunération des dirigeants sociaux : état des lieux et bouleversement en perspective, Option finance
2 octobre 2008, p. 39, spéc. p. 40.

164
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1
Ph. LAURENT, Le salaire des dirigeants sociaux titulaires d’un contrat de travail, Gaz. Pal. 28
mars 1978, p. 146.
2
F. COLLIN, Le droit social du dirigeant d’entreprise, la problématique du contrat de travail, 1ère
partie, Dr. soc. 2005-2006, n°s5 et 6, p. 8 et A. THEIMER, Contrat de travail et mandat social dans
les groupes de sociétés, P.A. 3 juillet 1996, n°80, pp. 19 et 20.

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3
A. MÉNARD, Rémunération et statut des dirigeants, Option finance 2002, n°686, pp. 27 et 28 et J.-
F. BULLE, op. cit., n°291, p. 135.

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Art. L. 225-61 al. 2 C. com. fr.
2
Com., 19 juin 2001, Bull. Joly soc. 2001, n°276, p. 1279, note P. SCHOLER.
3
Y. BALENSI, th. préc., n°118, p. 80 ; D. GIBIRILA, op. cit., n°243, p. 192 et A.-G. TAITHE,
Procédure de fixation de la rémunération des membres du directoire, op. cit., p. 107.
/0/1/ N N 4

5
A. SAYAG, Mandat social et contrat de travail : attraits, limites et fictions, Rev. soc. 1981, n°s 9 et
10, pp. 6 et s.

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1
B. PETIT, Cumul d’un contrat de travail et d’un mandat social, D. 1995, n°s140 à 142, p. 17
2
F. COLLIN, op. cit., n°12, p. 9.
3
Rev. fid., Le mémento de la S.A.R.L et de L’E.U.R.L, Groupe revue fiduciaire, éd. 2006, n°493,
p. 179.
4
F. LEFEBVRE, S.A.R.L., op. cit., n°32408, p. 396.

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1
Soc., 18 juin 1986, Bull. civ. , n°311, p. 238, cité par D. GIBIRILA, op. cit ., rejet n°1, p. 160.
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Art. L. 225-22 al. 1 C. com. fr.

3
J.-F. BULLE, op. cit., n°294, p. 136.
4
A. MÉNARD, op. cit., p. 28.
5
A. ARSEGUEL, Les dirigeants de société et le droit du travail, R.F.C. mars 1996, n°276, p. 66.

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1
A. MÉNARD, op. cit., p. 28 et F. LEFEBVRE, S.A.R.L , op. cit., n°31845, p. 380.
2
D. GIBIRILA, op. cit., n°212, p. 163 ; F. LEFEBVRE, S.A.R.L , op. cit., n°31849, p. 380.
3
F. COLLIN, op. cit., n°14, p. 10 : Pour apprécier le caractère spécifique des fonctions salariées, il
faut d’abord analyser l’étendue des pouvoirs de direction conférés au dirigeant au titre du mandat
social. L’attribution de tous les pouvoirs de gestion et de direction de la société au dirigeant social
rend difficile la reconnaissance de fonctions salariées spécifiques.
4
D. GIBIRILA, op. cit., n°217, p. 167.

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1
J.-F. BULLE, op. cit., n°297, p. 137 : … le dirigeant se présente et doit se présenter sous deux
faces : -en sa qualité de représentant de la société, il est investi des pouvoirs les plus larges et
spécialement ceux conférés à l’employeur, il est alors celui qui ordonne.
-à l’inverse, en sa qualité d’employé de la société, il est alors celui qui exécute.
2
A. MÉNARD, op. cit., p. 29 : Ce lien de subordination s’entend de l’exécution d’un travail sous
l’autorité de l’employeur qui a pouvoir de donner des ordres et des directives, d’en contrôler
l’exécution et de sanctionner les manquements.
3
J.-F. BULLE, op. cit., n°s 298 et 299, p. 138 : Pour admettre qu’un dirigeant social soit en situation
subordonnée dans l’exercice d’une activité spécialisée, ..il faut rechercher si un autre organe de la
société est habilité à lui donner des ordres quant à l’exercice de cette activité et, le cas échéant, à
rompre le contrat invoqué….les dirigeants membres d’un organe collégial membres du directoire,
administrateurs peuvent se trouver dans un état de subordination à l’égard de l’organe social auquel ils
appartiennent. Encore faut-il réserver le cas, pour le directoire, où des dispositions statutaires
introduiraient la règle de l’unanimité…
4
B. PETIT, op. cit., n° 109, p. 13.
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Versailles, 9 novembre 2000, Bull. Joly soc. 2001, n°45, p. 17 : Dès lors qu’il est établi que le
salarié, nommé gérant minoritaire, ne percevait aucune rémunération au titre de son mandat social,
qu’il poursuivit l’exercice de ses fonctions techniques, et qu’il ressort implicitement de la petite taille
de l’entreprise qu’il était lié à celle-ci par un lien de subordination…

172
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Soc., 18 avril 2008, R.T.D.com. juillet-septembre 2008, n°10, p. 581, note C. CHAMPAUD et D.
DANET.
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C. CHAMPAUD et D. DANET, note sous Soc., 18 avril 2008, op. cit., p. 583 : Il serait en
conséquence souhaitable que la jurisprudence n’interprète pas systématiquement le silence du
législateur en défaveur du gérant majoritaire mais qu’elle prenne la peine de développer une
casuistique fondée sur la réalité des tâches accomplies et du fonctionnement de l’entreprise.
4
D. GIBIRILA, op. cit., n°218, p. 169 : …Il en est de même du gérant qui, bien que minoritaire,
mène la société comme une entreprise personnelle….
5
F. LEFEBVRE, S.A.R.L, op. cit., n°31912, p. 382 : Certains critères sont généralement considérés
comme incompatibles avec l’état de subordination. Il en est ainsi lorsque l’intéressé dispose, en qualité
de gérant, des pouvoirs les plus étendus, ce qui lui permet d’exercer ses fonctions techniques en toute
indépendance.
6
D. GIBIRILA, op. cit., n°218, p. 170.
7
J.-F. BULLE, op. cit., n°s 302 à 304, p. 139.

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1
B. PETIT, op. cit., n°113, p. 14.
2
F. LEFEBVRE, S.A.R.L, op. cit., n°31908, p. 381 et A. MÉNARD, op. cit., p. 29.
3
F. COLLIN, op. cit., n°18, pp. 11 et 12.
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5
A. ARSEGUEL, op. cit., p. 67 et J.-F. BULLE, op. cit., n°309, p. 141.

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2
F. COLLIN, 2ème partie, n°29, pp. 14 et 15.
3
J.-P. CASIMIR et M. GERMAIN, op. cit., n°s768 et 769 ; Soc., 8 décembre 1976, R.J.C.
1978, n°816, p. 453, note Y. CHARTIER et Rev. soc. 1977, p. 251, note Y. BALENSI.
4
J.-P. CASIMIR et M. GERMAIN, op. cit., n°s770 et 771, p. 206.

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5
D. GIBIRILA, n°220, pp. 171 et 172.
/0/1/ ! 6

Comp. avec. art. L. 225-22 al. 1 ( mod. loi n°2001-1168 du 11 décembre 2001)C. com .fr : Un salarié
de la société ne peut être nommé administrateur que si son contrat de travail correspond à un emploi
effectif. Il ne perd pas le bénéfice de ce contrat.

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Art. L. 225-61 al. 2 C. com. fr : Au cas où l’intéressé aurait conclu avec la société un contrat de
travail, la révocation de ses fonctions de membre du directoire n’a pas pour effet de résilier ce
contrat.
2
Art. L. 225-85 C. com. fr : Les membres du conseil de surveillance ne peuvent recevoir de la
société aucune rémunération permanente ou non, autre que celles qui sont prévues aux articles L. 225-
81, L. 225-83 et L. 225-84 et, le cas échéant, celles dues au titre d’un contrat de travail correspondant
à un emploi effectif……….
3
Art. L. 225-22 al. 1 C. com. fr .
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1
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2
D. GIBIRILA, op. cit., n° 226, p. 178.
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B. PETIT, op. cit., n°34, p. 6.
4
M.-Ch. HARZALLAH, Les rémunérations des dirigeants sociaux, th. Paris, 28 juin 1985, p. 40 et D.
GIBIRILA, L’administrateur salarié d’une société anonyme, op. cit. p. 347.
5
D. GIBIRILA, op. cit., n° 227, p. 179.

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2
Art. L. 225-22 al. 4 C. com. fr : En cas de fusion ou de scission le contrat de travail peut avoir été
conclu avec l’une des sociétés fusionnées ou avec la société scindée.
3
Art. L. 1224-1 C. trav. fr : Lorsque survient une modification dans la situation juridique de
l’employeur, notamment par succession, vente, fusion, transformation du fonds, mise en société de
l’entreprise, tous les contrats de travail en cours au jour de la modification subsistent entre le nouvel
employeur et le personnel de l’entreprise.
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/ @ + $T F ' & + A
5
Art. L. 1232-1 C. trav. fr : Tout licenciement pour motif personnel doit être justifié par une cause
réelle et sérieuse. . v. aussi art. L. 1234-9 C. trav. fr : Le salarié titulaire d’un contrat de travail à
durée indéterminée licencié alors qu’il compte une année d’ancienneté ininterrompue au service du
même employeur, à droit, sauf en cas de fraude grave, à une indemnité de licenciement….

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2
D. GIBIRILA, op. cit., n°231, pp. 181 et 182 ; M.-Ch. HARZALAH, th. préc., p. 45 e ; B. PETIT,
op. cit., n°35, p. 6 et Y. BALENSI, op. cit., n°s 103 et 104, pp. 70 et 71.
3
D. GIBIRILA, préc.
4
Art. L. 225-22 al. 2 C. com. fr : Le nombre des administrateurs liés à la société par un contrat de
travail ne peut dépasser le tiers des administrateurs en fonction.
5
B. PIÉDELIEVRE, Le cumul d’un mandat social avec un contrat de louage de services dans les
sociétés anonymes après la loi du 24 juillet 1966, J.C.P. éd. G. 1968, I, n°8, p. 2205.

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1
J. PAILLUSSEAU, La société anonyme, technique d’organisation de l’entreprise, Sirey, 1967,
p. 229.
2
D. GIBIRILA, L’administrateur salarié d’une société anonyme, op. cit., p. 350.
3
B. PETIT, op. cit., n°58, pp. 8 et 9.
4
B. PETIT, op. cit., n°60, p. 9.
5
V. aussi art. L. 225-22 al. 1 C. com. fr : …Toute nomination intervenue en violation des dispositions
du présent alinéa est nulle. Cette nullité n’entraîne pas celle des délibérations auxquelles a pris part
l’administrateur irrégulièrement nommé.

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1
D. GIBIRILA, op. cit., n°282, p. 224.
2
Soc., 1er juin 1978, Rev. soc. 1979, p. 79.
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Art. L. 235-1 al. 2 C. com. fr : La nullité d’actes ou délibérations autres que ceux prévus à l’alinéa
précédent ne peut résulter que de la violation d’une disposition impérative du présent livre ou des lois
qui régissent les contrats.

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1
R. VATINET, Des hypothèses de non cumul d’un contrat de travail et d’un mandat social, Rev. soc.
1999, p. 273.
2
J.-F. BULLE, op. cit., n°s 329 et 330, p. 151.
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Concernant la suspension du contrat de travail, v. aussi arts. L. 1226-7 à L. 1226-9 C. trav. fr.
4
D. GIBIRILA, L’administrateur salarié d’une société anonyme, op. cit., p. 359.

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1
B. PETIT, La suspension du contrat de travail des dirigeants de société anonyme, R.T.D. com. 1981,
n°s9 à 12, p°s. 36 à 38.
2
E. DU PONTAVICE, Le cumul d’un contrat de travail avec la qualité d’organe de la société ou la
participation individuelle des salariés de l’entreprise à la gestion de la société, Journ. not. 1971, n°70,
p. 1001.
3
B. PETIT, op. cit., n°15, p. 14.
4
D. GIBIRILA, op. cit., n°288, p. 229 : A cet argument, nous ajouterons que si la suspension du
contrat de travail touche le lien de subordination juridique qui pèse sur l’intéressé en tant que salarié,
elle n’altère en rien la subordination «psychologique» illustrée par la simple menace qui pèse sur
l’administrateur d’être démis de ses fonctions. Ce dernier n’est pas à l’abri d’une révocation pouvant
intervenir à tout moment.

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1
Soc., 12 janvier 1984, Bull. civ. , n°17, p. 13.
2
D. GIBIRILA, L’administrateur salarié d’une société anonyme, op. cit., pp. 360 et 361.
3
Soc., 12 décembre 1990, J.C.P. éd. E, I, 1991, n°9, p. 61, obs. A. VIANDIER et J.-J. CAUSSAIN ;
R.T.D. com. 1992, n°2, p. 198, obs. A. REINHARD.

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1
B. PETIT, op. cit., n°41, pp. 54 et 55.
2
B. PETIT, op. cit., n°50, p. 59.
3
J.-F. BULLE, op. cit., n°333, p. 153.
4
G. RIPERT par R. ROBLOT, Traité de droit commercial, L.G.D.J, T. 1, 12ème éd., 1986, op. cit.,
n°1278, p. 883 et Y. GUYON, op. cit., n°321, p. 337.
5
D. GIBIRILA, op. cit., n° 248, pp. 195 et 196.

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général, quel que soit leur âge et même si elles sont titulaires d’une pension, toutes les personnes
quelle que soit leur nationalité, de l’un ou de l’autre sexe, salariées ou travaillant à quelque titre ou en
quelque lieu que ce soit, pour un ou plusieurs employeurs et quels que soient le montant et la nature de
leur rémunération, la forme, la nature ou la validité de leur contrat.
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2009, p. 138.
4
Art. L. 311-3-11 et 12 C. séc. soc. fr : Sont notamment compris parmi les personnes auxquelles
s’imposent l’obligation prévue à l’article L. 311-2, ….
11-les gérants de sociétés à responsabilité limitée ….à condition que lesdits gérants ne possèdent pas
ensemble plus de la moitié du capital social, étant entendu que les parts appartenant, en toute propriété
ou en usufruit, au conjoint et aux enfants mineurs non émancipés d’un gérant sont considérées comme
possédées par ce dernier ;
12-les présidents du conseil d’administration, les directeurs généraux et les directeurs généraux
délégués des sociétés anonymes….

190
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1
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dirigeants, Régime social, Encyc. D. 1998, n°15, p. 4.
3
Soc., 8 février 1990, Gaz. Pal. 1990, p. 127.
4
Soc., 14 janvier 1993, Gaz. Pal. 1993, p. 286.
5
Art. L. 311-3-11 et 12 C. séc. soc. fr .
6
Art. R. 241-2-3° C. séc. soc. fr. Cet article qualifie de travailleur indépendant tout commandité,
gérant ou non, d’une société en commandite simple et par actions.
7
Soc., 16 juin 1994, Gaz. Pal. 1995, p. 42.
8
M. BENAcBOUCHE, Comptabilité des sociétés, conforme aux normes du nouveau système
comptable financier, T. 1, O.P.U, Alger, 2009, pp. 64 à 66.

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4
F. COLLIN, op. cit., n°s30 à 38, pp. 15 et 16.
5
D. GIBIRILA, op. cit., n° 250, p. 197.

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1
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n° 258, pp. 121 et 122.
2
Y. GUYON, op. cit., n°321, pp. 339 et 340.

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Art. 39-1-1 211-I et C. G.I. fr.

3
Art. L. 239 bis AA. C. G.I. fr.

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gérants et associés de certaines sociétés, Bull. Joly soc. 1997, n°303, p. 822.

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1
CE., 20 juin 1984, Bull. Joly soc. 1984, n°373, p. 1011 et CE., 10 février 1993, R.J.F. 1993, n°527,
cité in F. LEFEBVRE, éd. 2006-2007, op. cit., n°48070, p. 776.
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1
P. SERLOOTEN, Droit fiscal des affaires, Dalloz, 7ème éd., 2008, n°554, p. 355.
2
M. COZIAN, Les mille et une tricheries des faux gérants minoritaires de S.A.R.L, Gaz. Pal. 1986,
p. 143.
3
CE., 18 décembre 1989, R.J.F. 1990, n°135, p. 107.
4
CE., 20 juin 1984, préc.
5
V. arrêts cités par P. SERLOOTEN, Droit fiscal des affaires, op. cit., n°554, pp. 355 et 356 et P.
SERLOOTEN, Rémunération des dirigeants régime fiscal, op. cit., n°13, p. 3.
6
Ministère des finances, direction générale des impôts, Régime fiscal des dirigeants de sociétés, Bull.
inf. fisc, n°1, 2010, p. 8. v. www. mfdgi. gov. dz.

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1
F. LEFEBVRE, éd. 2006-2007, op. cit., n°48057, p. 775 et F. VIBERT, Les faux gérants
minoritaires de SARL en droit fiscal, Dr. fisc. 1977, p. 1028.
2
P. SERLOOTEN, Droit fiscal des affaires, op. cit., n°555, p. 356.
/0/3/ ! 3

Art. 211 C. G. I. fr.

4
Lyon, 27 novembre 1996, Bull. Joly soc. 1997, n°100, p. 253.
5
M. COZIAN, Les mille et une tricheries des faux gérants minoritaires de S.A.R.L, op. cit., n°s18 et
19, pp. 141 et 142.

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p. 357.
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1
F. VIBERT, op. cit., pp. 1031 et 1032 et J. TUROT, Gérance majoritaire, R.J.F. 1990, p. 71, spéc.
p. 74.
2
Rép. min. J.O. déb. Sénat. 1961, p. 46 cité par P. SERLOOTEN, Rémunération des dirigeants,
régime fiscal, op. cit., n°17, p. 4.
3
CE., 4 février 1977, Dr. fisc. 1977, n°19, p. 780, concl. M. LAPRADE et 8 décembre 1976, Dr. fisc.
1977, p. 542 arrêts cités par P. SERLOOTEN, Droit fiscal des affaires, op. cit., n°557, p. 357.
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5
CE., 26 janvier 1990, R.J.F. 1990, n°134, p. 106 : Ne peut être regardé comme gérant majoritaire
d’une SARL le gérant qui ne détient que 35% des parts composant le capital social de cette SARL,
même si son conjoint a le contrôle de la majorité du capital et la direction d’une société qui détient
elle-même 35% des parts de la SARL.

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2
Art. 210 sexies C.G.I. fr : Les jetons de présence alloués au titre d’un exercice aux membres du
conseil d’administration….sont déductibles de l’assiette de l’impôt sur les sociétés dans la limite de
5% du produit obtenu en multipliant la moyenne des rémunérations déductibles attribuées au cours de
cet exercice aux salariés les mieux rémunérés de l’entreprise par le nombre des membres composant le
conseil…..
3
Art. 13-1 C.G.I. fr
4
Rép. min., J.O. déb. Ass. nat. 26 décembre 2006, n°52, p. 13621.
5
Art. 80 ter C. G. I. fr.

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2
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5
Ministère des finances, Direction générale des impôts, Régime fiscal des dirigeants de sociétés,
op. cit., p. 10.
6
Art. 80 bis C.G.I. fr .

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1
CE , 2 juin 1982, R.J.F. 1982, n°655 cité par G. TIXIER et J.-P. MAUBLANC, La fiscalité des
dirigeants d’entreprises, Dalloz, 1996, n°95, p. 110.
2
Art. 80 duodecies II C.G.I. fr : Constitue également une rémunération imposable toute indemnité
versée, à l’occasion de la cessation de leurs fonctions, aux mandataires sociaux, dirigeants et
personnes visés à l’article 80 ter. Toutefois, en cas de cessation forcée des fonctions, notamment de
révocation, seule la fraction des indemnités qui excède les montants définis aux 3° et 4° du 1 est
imposable.
3
L. n°2008-1425, du 27 décembre 2008, loi de finance pour 2009, J.O.R.F. 28 décembre 2008,
p. 20224.
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1
G. TIXIER et J.-P. MAUBLANC, op. cit., n°5 , pp. 5 et 5 .
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3
CE., 4 mai 1987, R.J.F. 1987, n°597, p. 330.
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G. RIPERT et R. ROBLOT, par Ph. DELEBECKE et M. GERMAIN, Traité de droit commercial, T.
2, Effets de commerce, banque et bourse, contrats commerciaux et procédures collectives, L.G.D.J,
16ème éd., 2000, n°2192, p. 256 et P. SERLOOTEN, Droit fiscal des affaires, op. cit., n°560, pp. 358 et
359
5
CE., 12 mai 1976, Dr. fisc. 1976, n°44, p. 1538.
6
M. COZIAN, note sous CE., 3 mars 1976, Rev. soc. 1976, p. 34.
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P. SERLOOTEN, Le statut fiscal des dirigeants de sociétés, Litec, Paris, éd. 2002, n°10, pp. 10 et 11.
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3
CE., 23 janvier 1970, R.T.D. com. 1970, n°16, p. 576, obs. R. BLANCHER.
4
M. COZIAN, L’imposition des rémunérations inscrites en compte courant des dirigeants de sociétés,
Rev. soc. 1985, p. 789, spéc. n°15, p. 795.
5
CE., 3 mars 1976, préc : Les rémunérations qu’une société doit à son ancien président-directeur
général ….ne deviennent imposables qu’au fur et à mesure qu’elles sont portées au compte courant du
dirigeant. Peu importe que le compte courant soit ouvert dans une société différente qui a repris le
passif de la première à la suite d’un convention de scission-fusion.
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1
M. COZIAN, L’imposition des rémunérations inscrites en compte courant des dirigeants de
sociétés,op. cit., n°s17 à 19, p. 796.
2
G. TIXIER et J.-P. MAUBLANC, op. cit., n°53, pp. 58 et 59 et CE., 31 mai 1985, Bull. Joly soc.
1985, n°310, p. 894.
3
CE., 10 novembre 1991, R.J.F. 1991, n°6, p. 797.
4
M. COZIAN, note sous CE., 3 mars 1976, préc.
5
V. arrêts cités par P. SERLOOTEN, Droit fiscal des affaires, op. cit., n°562, p. 360.

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P. SERLOOTEN, Le statut fiscal des dirigeants de sociétés, op. cit., n°156, p. 73.
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responsable des manœuvres frauduleuses ou de l’inobservation grave et répétée des obligations

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pénalités par le président du tribunal de grande instance.
1
P. SERLOOTEN, Droit fiscal des affaires, op. cit., n° , pp. 363 et 364 et G. TIXIER et J.-P.
MAUBLANC, op. cit., n°77, p. 89.
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B. LEGROS, La protection jurisprudentielle du dirigeant social- caution, Rev. soc. 1998, p. 281,
spéc. p. 284.
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Art. 13-1 C. G. I. fr .

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1
R. GRANJON, Une compensation souvent ignorée : la déductibilité fiscale des sommes payées par
les dirigeants de sociétés en exécution d’engagements de caution, J.C.P. éd . E., I, 1989, n°15463,
p. 221.
2
CE., 22 juin 1983, Dr. fisc. 1983, n°43, p. 276.
3
CE., 9 avril 1986, J.C.P. 1987, II, p. 14876 ; CE., 4 novembre 1988, R.J.F. 1989, p. 35 et CE., 19
janvier 1998, Bull. Joly soc. 1998, n°140, p. 404 et Rev. soc. 1998, p. 358, note E. KORNPROBST.
4
G. TIXIER et J.-P. MAUBLANC, op. cit., n°73, pp. 83 et 84.
5
CE., 9 octobre 1992, D. 1993, p. 518, note D. VIDAL.

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1
E. KORNPROBST, note sous CE., 19 janvier 1998, op. cit., pp. 362 et 363.
2
R. GRANJON, Le juge fiscal et la caution des dirigeants de sociétés : les contours du droit à
déduction se précisent, R.J.F. 1991, n°223, p. 71,
3
CE., 6 janvier 1993, Dr. fisc. 1994, n°28, p. 1355 cité par P. SERLOOTEN, Droit fiscal des affaires,
op. cit., n°565, p. 362.
4
CE., 19 janvier 1998, préc.
5
E. KORNPROBST, note sous CE., 19 janvier 1998, op. cit., p. 366.

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1
L. n°2005-842 du 26 juillet 2005, pour la confiance et la modernisation de l’économie, dite loi
Breton, J. O.R.F du 27 juillet 2005, p. 12160.
2
Arts. L . 225-38, L. 225-40 à L. 225-42 C. com. fr.
3
C. MALECKI, La loi Breton et les rémunérations des dirigeants sociaux : le long chemin vers la
transparence, Bull. Joly soc. novembre 2005, n°263, p. 1194.
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& 79 $1 :& .5 & + &
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1
G. BORD, Rémunération des dirigeants, P.A. novembre 2005, n°229, p. 55.
2
Art. L. 233-16 II et III C. com. fr : … II- Le contrôle exclusif par une société résulte :
1° Soit de la détention directe ou indirecte de la majorité des droits de vote dans une autre entreprise ;
2° Soit de la désignation, pendant deux exercices successifs, de la majorité des membres des organes
d’administration, de direction ou de surveillance d’une autre entreprise. La société consolidante est
présumée avoir effectué cette désignation lorsqu’elle a disposé au cours de cette période, directement
ou indirectement, d’une fraction supérieure à 40e des droits de vote, et qu’aucun autre associé ou
actionnaire ne détenait, directement ou indirectement, une fraction supérieure à la sienne ;
3° Soit du droit d’exercer une influence dominante sur une entreprise en vertu d’un contrat ou de
clauses statutaires, lorsque le droit applicable le permet.
III- Le contrôle conjoint est le partage du contrôle d’une entreprise exploitée en commun par un
nombre limité d’associés ou d’actionnaires, de sorte que les décisions résultent de leur accord.
3
Art. L. 225-42-1 C. com. fr : Dans les sociétés dont les titres sont admis aux négociations sur un
marché réglementé, les engagements pris au bénéfice de leurs présidents, directeurs généraux, ou
directeurs généraux délégués, par la société elle-même ou par toute société contrôlée ou qui la contrôle
au sens des II et III de l’article L. 233-16, et correspondant à des éléments de rémunération, des
indemnités ou des avantages dus ou susceptibles d’être dus à raison de la cessation ou du changement
de ces fonctions, ou postérieurement à celles-ci, sont soumis aux dispositions des articles L. 225-38 et
L. 225-40 à L. 225-42.
4
Art. L. 225-90-1 C. com. fr .
5
Art. L. 225-22-1 C. com. fr : Dans les sociétés dont les titres sont admis aux négociations sur un
marché réglementé, en cas de nomination aux fonctions de président, de directeur général ou de
directeur général délégué d’une personne liée par un contrat de travail à la société ou à toute société

225
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contrôlée ou qui la contrôle au sens des II et III de l’article L. 233-16, les dispositions dudit contrat
correspondant, le cas échéant , à des éléments de rémunération, des indemnités ou des avantages dus
ou susceptibles d’être dus à raison de la cessation ou du changement de ces fonctions, ou
postérieurement à celles-ci, sont soumises aux dispositions des articles L- 225-38 et L. 225-40 à l.
225-42 . Pour les membres du directoire, v. art. L. 225-79-1 C. com. fr.
1
A.N.S.A, Questions relatives aux rémunérations, avantages et indemnités de départ destinés aux
mandataires sociaux et dirigeants après la loi du 26 juillet 2005, Comité juridique, réunion du 9
novembre 2005, n°05-060, p. 4 : La procédure doit s’appliquer dans la société administrée à
condition qu’elle soit cotée …la société qui prend l’engagement n’a pas à la mettre en œuvre, même si
elle est cotée sauf s’il s’agit d’une convention réglementée selon le droit commun.
2
Art. L. 225-251 C. com. fr.
3
A.N.S.A, Comité juridique, réunion du 9 novembre 2005, op. cit., p. 5.
4
Art. L. 225-41 C. com. fr : Les conventions approuvées par l’assemblée, comme celles qu’elle
désapprouve, produisent leurs effets à l’égard des tiers, sauf lorsqu’elles sont annulées dans le cas de
fraude.
Même en l’absence de fraude, les conséquences, préjudiciables à la société, des conventions
désapprouvées, peuvent être mises à la charge de l’intéressé et, éventuellement, des autres membres du
conseil d’administration.
5
A.N.S.A, Comité juridique, réunion du 9 novembre 2005, op. cit., p. 6 : Certains membres du
comité juridique s’interrogent sur la signification du mot « tiers» de l’article L. 225-41…Le comité
confirme que le dirigeant est un tiers ….la convention produit ses effets à son égard.

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1
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TEPA, J.O.R.F. 22 août 2007, p. 13945.
2
Par exemple l’émoi suscité par la révélation des conditions financières du départ de Noèl Forgeard
d’EADS en 2006, une indemnité de départ de plus de 6 millions d’euros, auxquels il faut ajouter une
prime de non-concurrence de 2, 4 millions d’euros. V. Y. PACLOT et C. MALECKI, Le nouveau
régime des rémunérations, indemnités et avantages des dirigeants des sociétés cotées, D. 2007, n°35,
p. 2481.
3
A. VIANDIER, Les engagements d’indemnisation des dirigeants sociaux après la loi n°2007-1223,
du 21 août 2007, J.C.P. éd. E.A., 20 septembre 2007, n°2129, p. 35.

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1
Arts. L. 225-42-1 et L. 225-90-1 als. 2 à 6 C. com. fr.
2
Arts. L. 225-22-1 et L. 225-79-1 C. com. fr.
3
P. LE CANNU, op. cit., n°16, p. 47.

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1
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titres de créance sont cotés sont-elles visées par les dispositions sur les «parachutes dorés» ?, Comité
juridique, réunion du 5 décembre 2007, n°07-050, p. 5.
2
A.N.S.A, Comité juridique, réunion du 5 décembre 2007, op. cit., p. 6.
3
P. LE CANNU, op. cit., n°19, p. 471.
4
Y. PACLOT et C. MALECKI, Le nouveau régime des rémunérations, indemnités et avantages des
dirigeants des sociétés cotées, op. cit., n°8, p. 2483.

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1
Art. L. 225-42-1 al. 6 C. com. fr : Les engagements correspondant à des indemnités en contrepartie
d’une clause interdisant au bénéficiaire, après la cessation de ses fonctions dans la société, l’exercice
d’une activité concurrente portant atteinte aux intérêts de la société ne sont soumis qu’aux dispositions
du premier alinéa. Il en va de même des engagements de retraite à prestations définies répondant aux
caractéristiques des régimes mentionnés à L. 13711 du code de la sécurité sociale, ainsi que des
engagements répondant aux caractéristiques des régimes collectifs et obligations de retraite et de
prévoyance visés à l’article L. 242-1 du même code .
V. aussi,Y. PACLOT et C. MALECKI, Le nouveau régime des rémunérations, indemnités et
avantages des dirigeants des sociétés cotées, op. cit., n°s 9 et 10, p. 2483.
2
Art. L. 225-102-1 C. com. fr.
3
A. COURET, Rémunération des dirigeants sociaux : l’introduction partielle du critère de
performance dans la loi, Dr. soc. 2008, p. 524.
4
A.N.S.A, Engagements relatifs aux rémunérations différées et indemnités pour cessation de mandat
social- questions diverses : société introduite en bourse -portée de la mise en conformité- sanction
dans les opérations intragroupe, Comité juridique, réunion du 5 décembre 2007, n°07-051, p. 1.

230
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1
A. VIANDIER, Les engagements d’indemnisation des dirigeants sociaux après la loi n°2007-1223,
du 21 août 2007, op. cit., n°s 54 à 57, pp. 40 à 41.
2
Arts. L. 225-42 et L. 225-90 C. com. fr.

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1
Ass. nat., 2ème séance du 13 juillet 2007 cité par Y. PACLOT et C. MALECKI, Le nouveau régime
des rémunérations, indemnités et avantages des dirigeants des sociétés cotées, op. cit., rejet n°26,
p. 2484.
2
A. VIANDIER, Les engagements d’indemnisation des dirigeants sociaux après la loi n°2007-1223,
du 21 août 2007, op. cit., n°18, p. 37. et Y. PACLOT et C. MALECKI, op. cit., n°13, p. 2484.

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1
P. LE CANNU, op. cit., n°34, p. 475.
2
A. COURET, Rémunération des dirigeants sociaux : l’introduction partielle du critère de
performance dans la loi, op. cit., p. 523.
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4
A. MIRAOUI, Le lien entre performances de l’entreprise publique algérienne et rémunération des
dirigeants, Ann. Fac. SÉGC., éd. Dar el gharb, n°1, juin 2002, p. 11.
5
A. KOUDRI, Rémunération du premier dirigeant et gouvernance des entreprises publiques en
Algérie, Rev. écon. et manag, publication de la faculté des sciences économiques et de gestion, n°7,
avril 2008, p. 239.

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1
A. KOUDRI, La rémunération des cadres dirigeants des entreprises : qu’en savons nous ? qu’avons-
nous a apprendre ?, op. cit., p. 97.
2
Arts. L. 225-42-1 al. 4 et L. 225-90 al. 4 C. com. fr.
3
Art. L. 823-10 al. 2 C. com. fr.
4
P. LE CANNU, op. cit., n°40, p. 477.
5
Arts. L. 225-41 al. 2 et L. 225-89 al. 2 C. com. fr.

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1
Arts. L. 225-41 et L. 225-89 C. com. fr.
2
A. VIANDIER, La soumission des indemnités de départ des dirigeants sociaux à la procédure des
conventions réglementées, J.C.P. éd. E. 2005, II, n°50, p. 1878.
3
Arts. L. 225-42-1 al. 2 et L. 225-90 al. 2 C. com. fr.
4
Y. PACLOT et C. MALECKI, Le nouveau régime des rémunérations, indemnités et avantages des
dirigeants des sociétés cotées, op. cit., n°18, p. 2486.
5
Arts. L. 225-42-1 al. 5 et L. 225-90 al. 5 C. com. fr.

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Art. L. 225-115- 4° C. com. fr : Tout actionnaire a droit, dans les conditions et délais déterminés par
décret en Conseil d’État d’obtenir communication: 4°- du montant global, certifié exact par les
commissaires aux comptes, des rémunérations versées aux personnes les mieux rémunérées, le nombre
de ces personnes étant de dix ou de cinq selon que l’effectif du personnel excède ou non deux cents
salariés
2
Art. L. 225-118 C. com. fr.
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Devenu art. L. 225-115 4° C. com. fr .
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soc. 1977, p. 19.

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2
G. LESIEUR et P. NUGER, Rémunération des dirigeants : les informations à transmettre, P. A. 22
octobre 2004, n°212, p. 4.

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4
Art. L. 2323 -55 C. trav. fr.
5
Art. L. 2323 -68 C. trav. fr.
6
Art. L. 2323 -17 C. trav. fr.

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1
Art. L. 225-102-1 als. 1 et 2 C. com. fr : Le rapport visé à L’article L. 225-102 rend compte de la
rémunération totale et des avantages de toute nature versés, durant l’exercice, à chaque mandataire
social…
Il indique également le montant des rémunérations et des avantages de toute nature que chacun de ces
mandataires a reçu durant l’exercice de la part des sociétés contrôlées au sens de l’article L. 233-16.

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1
A. COURET, L’amélioration des droits des actionnaires, la loi NRE et le droit des sociétés,
Montchrestien, 5 octobre 2001, n°24, p. 69 et L. AMIEL-COSME, op. cit ., n°74, pp. 13 et 14.
2
Art. L. 225-102-1 C. com. fr : …. ord. n°2004-604 du 24 juin 2004, art. 51-II « Y compris sous
forme d’attribution de titres de capital, de titres de créances ou de titres donnant accès au capital ou
donnant droit à l’attribution de titres de créances de la société ou des sociétés mentionnées aux articles
L. 228-13 et L. 228-93.»
3
Arts. L. 225-184 et L. 225-197-4 C. com. fr.
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G. BORD, op. cit., p. 57.
5
L. AMIEL-COSME, op. cit., n°71, p. 13.
6
A.N.S.A, Comité juridique, réunion du 15 mai 2002, cité par F. LEFEBVRE, gRémunération de la
personne morale administrateur : informations à étendre au représentant permanent ?Loi NRE,
B.C.F.E. juillet 2002, n°3697, p. 17.

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1
La loi n°2003-706 du 1er août 2003, sur la sécurité financière intéressant le droit des sociétés,
J.O.R.F. du 2 août 2003, n°177, p. 13220, a complété l’article L . 225-102-1 C. com. fr., l’alinéa 2 de
cet article stipule : Il indique également le montant des rémunérations et des avantages de toute
nature que chacun de ces mandataires a reçu durant l’exercice de la part des sociétés contrôlées au
sens de l’article L. 233-16 ou de la société qui contrôle, au sens du même article, la société dans
laquelle le mandat est exercé.

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contrôlante - filiales des sociétés cotées à l’étranger, Comité juridique, réunion du 3 décembre 2003,
n°04-010, p.3.
2
Art. L. 233-16 C. com. fr.
3
H. LE NABASQUE, Commentaire des principales dispositions de la loi n°2003-706 du 1er août
2003 sur la sécurité financière intéressant le droit des sociétés, op. cit., n°185, p. 859.
4
Art. L. 225-102-1 al.3 C. com. fr.
5
Art. L. 225-102-1 al. 3 C. com. fr : Hormis les cas de bonne foi, les versements effectués et les
engagements pris en méconnaissance des dispositions du premier alinéa peuvent être annulés.

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1
D. SCHMIDT, L’amendement HOUILLON sur la transparence des rémunérations des dirigeants
sociaux, D. 2005, n°22, p. 1347.
2
G. BORD, op. cit., p. 58 et J. BÉGUIN et G. NOTTÉ, Loi n° 2005-842 du 26 juillet 2005 pour la
confiance et la modernisation de l’économie Loi BRETON , J.C.P. E.A. 2005, II, n°1460, p. 1641.
3
F. LEFEBVRE, information sur les rémunérations des dirigeants, B.R.D.A. 2006, n°7, p. 4.
4
A.N.S.A, Comité juridique, Réunion du 9 novembre 2005, op. cit., p. 2.
5
Rép. min., JO. déb. Ass. nat. 28 février 2006, p. 2137

245
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1
Arts. L. 225-42-1 al. 3 et, dans le même sens, L. 225-90-1 al. 3 C. com. fr : L’autorisation donnée
par le conseil …… en application de l’article L. 225-38 est rendue public selon les modalités et dans
les délais fixés par décret en Conseil d’État . L’alinéa 5 de ces deux articles précise que : cette
décision est rendue publique selon des modalités et dans les délais fixés par décret en Conseil d’État.
Tout versement effectué en méconnaissance des dispositions du présent alinéa est nul de plein droit.
2
Art. R. 225-34-1 C. com.fr : L’autorisation mentionnée au troisième alinéa de L. 225-42-1 est
publiée sur le site Internet de la société concernée dans un délai maximum de cinq jours suivant la
réunion du conseil d’administration au cours de laquelle elle a été délivrée. Elle y est consultable
pendant toute la durée des fonctions du bénéficiaire.
La décision mentionnée au cinquième alinéa de l’article L. 225-42-1 se prononçant sur le respect des
conditions prévues au deuxième alinéa de ce même article et sur le versement est publiée sur le site
Internet de la société concernée dans un délai maximum de cinq jours suivant la réunion du conseil
d’administration au cours de laquelle elle a été prise. Elle y est consultable au moins jusqu’à la
prochaine assemblée générale ordinaire . V. aussi dans le même sens et concernant les membres du
directoire, art. R. 225-60-1 C. com. fr.
3
A.N.S.A, Publicité des rémunérations différées décret n°2008-448 du 7 mai 2008 , Comité
juridique, réunion du 4 juin 2008, n°08-023, pp. 2 et 3.
4
Idem.

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1
A.N.S.A, Comité juridique, réunion du 4 juin 2008, op. cit., p. 5 : Pour le Comité juridique,
….certes , un léger retard d’un jour ou deux semble être tolérable au regard de la nullité, mais sur une
question désormais très sensible, il convient d’être extrêmement prudent, le texte étant très clair : tout
versement effectué en méconnaissance des dispositions du présent alinéa est nul de plein droit.
2
Arts. L. 225-42-1 al. 5 et L. 225-90-1 al. 5 C. com. fr : ..Tout versement effectué en méconnaissance
des dispositions du présent alinéa est nul de plein droit…
3
B. DONDERO, Décret d’application complétant l’encadrement des parachutes dorés par la loi
TÉPA décret n°2008-448 du 7 mai 2008 pris pour l’application des arts. L. 225-42-1 et L. 225-90-1
C. com. fr. relatif à la publicité des rémunérations différées , R.T.D. com. juillet – septembre 2008, p.
584, spéc. p. 586.
4
Art. L. 621-18-3 C. mon et fin. fr: Les personnes morales ayant leur siège statutaire en France et
dont les titres financiers sont admis aux négociations sur un marché réglementé rendent publique les
informations requises par les sixième, septième, huitième et neuvième alinéas de l’article L. 225-37 du
code de commerce et par les septième, huitième et dixième alinéas de l’article L. 225-68 ainsi qu’à
l’article L. 226-10-1 du même code……
5
Arts. L. 225-37 al. 9 et L. 225-68 al. 9 C. com. fr.
6
Art. L. 222-9 du règlement général de l’AMF : Les sociétés anonymes dont le siège est situé en
France et dont les titres sont admis aux négociations sur un marché réglementé rendent public, selon
les modalités fixés à l’article L. 221-3, les rapports mentionnés aux articles L. 225-37, L. 225-68 et L.
225-235 du code de commerce au plus tard le jour du dépôt au greffe du tribunal de commerce du
rapport mentionné à l’article L. 225-100 du code de commerce.

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1
Art. L. 221-3 du règlement général de l’AMF : …l’émetteur met en ligne sur son site Internet les
informations réglementées dès leur diffusion…
2
Art. L. 225-100 C. com. fr.

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1
Com., 3 mars 1987, préc. : l’engagement envers le dirigeant bénéficiaire de la rémunération
concernée n’étant pas non plus excessif par rapport tant aux bénéfices réalisés par la société qu’à la
masse des salaires versés à son personnel.
2
Paris, 26 juin 1998, R.J.D.A. 1998, n°1370.
3
Riom, 15 novembre 1989, cité par F. GARRON, La rémunération excessive des dirigeants de
sociétés commerciales, Rev. soc. 2004, n°91, p. 448, spéc. n°9, p. 801, rejet n°19.
4
Com., 2 juin 1987, cité par F. GARRON, op. cit., rejet n°26.
5
Crim., 9 mai 1973, Rev. soc. 1973, p. 696, note B. BOULOC et D. 1974, p. 271, note B. BOULOC.
6
V. arrêts cités par Y. MULLER-LAGARDE et M. DELHOME, Rémunération excessive du dirigeant
social : quelles sanctions pénales ?, R.F.C. février 2009, n°41.

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1
Crim., 12 décembre 1994, Bull. Joly soc. 1995, n°150, p. 427 : doit être déclaré coupable d’abus de
biens sociaux le président d’une société ...qui a perçu des indemnités et des remboursements de frais,
correspondant à des prestations fictives, de telle sorte que sa rémunération devenait manifestement
excessive au regard de son activité effective dans l’entreprise.
2
V. Arrêts cités par Y. MULLER-LAGARDE et M. DELHOME, op. cit., n°42.
3
Riom, 15 novembre 1989, préc.
4
Grenoble, 6 mai 1964, D. 1964, p. 783, note A. DALSACE.
5
Com., 24 octobre 2000, préc.
6
G. LYON-CAEN, op. cit., n°s12 et 13, p. 165.
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Art. 39-1-1 C. G. I. fr.

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3
F. GARRON, op. cit., n°10, p. 805.
4
F. GARRON, op. cit., n°10, p. 807.
5
Versailles, 11 juillet 1991, R.J.D.A. 1991, n°1040.

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3
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préc.

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1
A. PINOTEAU, À propos de la rémunération des dirigeants de sociétés, Gaz. Pal. 1971, I, p. 55 et A.
TOUFFAIT, J. ROBIN, A. ANDUREAU et J. LACOSTE, Délits et sanctions dans les sociétés, 2ème
éd., 1973, n°248, p. 262.
2
F. LEFEBVRE, éd. 2006-2007, op. cit., n°48911, p. 826.
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Art. L. 241-3-4° C. com. fr : Est puni d’un emprisonnement de cinq ans et d’une amende de 375000
euros : 4° Le fait, pour les gérants, de faire, de mauvaise fois, des biens ou du crédit de la société, un
usage qu’ils savent contraire à l’intérêt de celle-ci, à des fins personnelles ou pour favoriser une autre
société ou entreprise dans laquelle ils sont intéressés directement ou indirectement..
7
Art. L. 242-6-3° C. com. fr : Est puni d’un emprisonnement de cinq ans et d’une amende de 375000
euros : 3° Le président, les administrateurs ou les directeurs généraux d’une société anonyme de faire,
de mauvaise foi, des biens ou du crédit de la société, un usage qu’ils savent contraire à l’intérêt de
celle-ci, à des fins personnelles ou pour favoriser une autre société ou entreprise dans laquelle ils sont
intéressés directement ou indirectement..
8
Art. L. 24 30 C. com. fr : Les peines prévues par les articles L. 242-1 à L. 242-29 pour les
présidents, les directeurs généraux et les administrateurs des sociétés anonymes sont applicables, selon
leurs attributions respectives, aux membres du directoire et aux membres du conseil de surveillance
des sociétés anonymes…
9
Art. L. 243-1 C. com. fr : Les articles L. 242-1 à L. 242-29 s’appliquent aux sociétés en commandite
par actions.

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Les peines prévues pour les présidents, les administrateurs ou les directeurs généraux des sociétés
anonymes sont applicables, en ce qui concerne leurs attributions, aux gérants des sociétés en
commandite par actions.
1
Art. L. 246-2 C. com. fr : Les dispositions des articles L. 242-1 à L. 242-9, L. 243-1 et L. 244-5,
visant le président, les administrateurs ou les directeurs généraux de sociétés anonymes…et les gérants
de sociétés en commandite par actions sont applicables à toute personne qui, directement ou par
personne interposée, a, en fait, exercé la direction, l’administration ou la gestion desdites sociétés sous
le couvert ou au lieu et place de leurs représentants légaux.
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limitée et dans les sociétés par actions, en droit français et en droit algérien, th. Paris 2, 1984, pp. 277
à 312.
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2
J. HÉMARD, F. TERRÉ et P. MABILAT, T. 2, op. cit., n°1274, p. 1009.
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150.
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3
C. CATHIARD, B. SAINTOURENS et A. LEMERCIER, op. cit., n°s001-6 et 7, pp. 3 et 4.
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1
Paris, 27 février 1990, J.C.P. éd. E, 1991, n°26 : Est coupable d’abus de bien sociaux le prévenu qui
perçoit une rémunération de la part de la société, alors qu’il lui appartient de convoquer l’assemblée
générale des associés pour fixer la rémunération.
2
Angers, 17 janvier 1991, Dr. pén. 1991, n°24, cité par C. LABROUSSE, A. BEAUQUIER,
F. GAUDILIÈRE et A. VERCKEN, La responsabilité pénale des dirigeants, éd. Vie pratique, 1996,
p. 369.
3
Crim., 3 octobre 1996, Rev. soc. 1997, p. 369, note B. BOULOC.
4
Crim., 13 décembre 1988, Rev. soc. 1989, p. 257, note B. BOULOC.
5
Crim., 22 septembre 2004, Rev. soc. 2005, p. 200, note B. BOULOC.

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1
Paris, 16 novembre 1987, Rev. proc. coll. 1988, p. 325, obs. J. DEVÈSE.
2
CE., 28 novembre 1980, Rev. soc. 1981, p. 348, note M. MARTIN : Le caractère excessif ou non
des rémunérations des dirigeants doit être apprécié eu égard au travail effectif et aux services rendus
personnellement par les bénéficiaires de la rémunération.

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1
P. SERLOOTEN, Rémunération des dirigeants, régime fiscal, op. cit., n°36, pp. 6 et 7.
2
F. LEFEBVRE, éd. 2006-2007, op. cit., n°48927, pp. 827 et 828.
3
G. TIXIER et J.-P. MAUBLANC, op. cit., n°61, p. 68.
4
Z. AZZOUZ, Les rémunérations fiscalement abusives, Nouvelles fiscales, 1er mai 1998, p. 20.

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1
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pp. 31 et 32 et B. SANSRI, Impôt sur les bénéfices des sociétés, Chihab, éd. 1996, pp. 35 et 36.
2
P. SERLOOTEN, Rémunération des dirigeants, régime fiscal, op. cit., n°37, p. 7.
3
M. COZIAN, Le contrôle fiscal des rémunérations de dirigeants de sociétés, Dr. fisc. 1981, n°16,
p. 521.
4
D. SEGUIN, Le contrôle par le fisc de la rémunération des dirigeants de sociétés, Gaz. Pal. 1991,
p. 629, et CE., 3 juin 1985, Bull. Joly soc. 1985, n°310, p. 893 et CE., 21 février 1990, Dr. soc. 1989-
1990, n°443, pp. 13 et 14 : Une rémunération est jugée excessive en comparaison avec la moyenne
annuelle des rémunérations allouées aux dirigeants de sept entreprises de référence, dès lors que la

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sienne, étant rappelé que les entreprises de comparaison doivent avoir une activité identique ou très
similaire ainsi qu’une taille comparable , chiffre d’affaire, nombre de salariés, bénéfices. .
1
V. arrêts cités par Z. AZZOUZ, op. cit., p. 21.
2
M. COZIAN, Le contrôle fiscal des rémunérations de dirigeants de sociétés, op. cit., p. 522.

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1
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2
CE., 21 février 1990, op. cit., p. 11 : Par contre, la rémunération versée par une société à son PDG
n’a pas été considérée comme excessive, eu égard au rôle joué par l’intéressé dans l’accroissement du
chiffre d’affaire et du bénéfice de l’entreprise.
3
CE., 20 juin 1984, Bull. Joly soc. 1984, n°411, p. 1107 ; CE., 21 octobre 1985, Bull. Joly soc. 1985,
n°361, p. 1058 et CE., 4 novembre 1988, Bull. Joly soc. 1988, n°316, p. 950.
4
F. LEFEBVRE, éd. 2006-2007, op.cit., n°48936, p. 829.
5
CE., 8 décembre 1976, Rev. soc. 1977, p. 445, note R. BLANCHER : La rémunération et les
allocations attribuées au gérant d’une S .A.R.L –coureur cycliste professionnel consacrant la majeur
partie de son temps à cette activité – peuvent être considérées par l’administration disproportionnés à
son activité effective dans la société consistant dans la prospection de la clientèle, réduite à un client
unique en la personne d’une société anonyme ayant son siège dans les mêmes locaux que la société
…et dont les principaux associés sont les associés de la société.

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1
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Arts. 39-1-1 et 211 C.G.I.fr.

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Art. 111-d C.G.I.fr.

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4
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second lieu…..que l’évaluation faite par l’administration de ces avantages en nature n’est pas
contestée ; qu’il ne ressort pas des pièces du dossier, et qu’il n’est pas allégué, que la prise en compte
de ces avantages ait porté la rémunération à un niveau excessif par rapport à l’activité déployée par
celle-ci ; qu’en conséquence, les avantages litigieux doivent être regardés, ….comme des suppléments
de salaire et non pas comme des revenus de capitaux mobiliers..

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Arts. 39-1-1 et 211 C.G.I. fr.

2
CE., 12 novembre 1969, R.T.D. com. 1970, n°15, p. 576, obs. R. BLANCHER.
/0/3/ ! 3

Art. 109-1 C.G.I. fr.

4
CE., 13 mai 1988, Dr. fisc. 1988, n°31, p. 1661.
5
CE., 10 octobre 1984, R.J.F. 1984 , n°1445, arrêt cité par G. TIXIER et J.-P. MAUBLANC, op. cit.,
n°83, p. 98.
6
CE., 20 janvier 1992, Dr. fisc. 1992, n°17, p. 897, concl. J.-A. DE CASANOVA.
7
CE., 11 mai 1984, RJ.F. 1984, n°39, p. 1576, concl. O. FOUQUET et CE.,13 mai 1991, R.J.F. 1991,
n°953, p. 511, cités par G. TIXIER et J.-P. MAUBLANC, préc.
8
CE., 20 février 1985, R.J.F. 1985, n°575 et CE., 27 juillet 1988, R.J.F. 1988, n°s 16 et 17, concl. Ph.
MARTIN, cités par G. TIXIER et J.-P. MAUBLANC, préc.
9
CE., 13 mai 1991, Dr. fisc. 1992, n°23, p. 717 : ….les bénéfices retenus pour l’assiette de l’ IBS dû
par une autre personne morale passible de cet impôt ne peuvent être imposés, en tant que revenus de
capitaux mobiliers, au dirigeant salarié de cette société ou personne morale qu’à la condition, d’une
part que celle-ci les ait effectivement appréhendés, soit en argent, soit sous forme d’avantage en
nature, et d’autre part, qu’il apparaisse que l’addition aux autres rémunérations directes, perçues par
l’intéressé , des sommes ou avantages…a eu pour effet de porter sa rémunération globale, à un niveau
excessif eu égard aux services rendus….

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1
G. TIXIER et J.-P. MAUBLANC, op. cit., n°83, p. 99 et J. TUROT, Le charme discret des avantages
en nature, R.J.F. 1991, p. 511, spéc. p. 512.
2
Art. -C C.G.I. fr.
3
Paris, 22 janvier 1998, Bull. Joly soc. 1998, n°227, p. 671.
4
Art. 54 bis C.G.I. fr : Les contribuables visés à l’article 53 A sont tenus de fournir, en même temps
que la déclaration des résultats de chaque exercice, un état comportant l’indication de l’affectation de
chacune des voitures de tourisme ayant figuré à leur actif ou dont l’entreprise a assumé les frais au
cours de cet exercice.
Ces mêmes contribuables doivent obligatoirement inscrire en comptabilité, sous une forme explicite,
la nature et la valeur des avantages en nature accordés à leur personnel.
5
CE., 29 septembre 2000, Bull. Joly soc. 2001, n°16, p. 50, note C. NOUEL : Les avantages en
nature consentis par une société à son personnel doivent être explicitement déclarés en comptabilité,
quand bien même ils seraient sous-évalués. A défaut d’une déclaration explicite, ces avantages sont
considérés comme des avantages occultes et imposés dans la catégorie des revenus distribués.
En, l’espèce, le président du conseil d’administration avait bénéficié de la mise à sa disposition d’un
logement ; cet avantage étant non seulement sous-évalué, mais surtout faisant l’objet d’une déclaration
peu explicite. Le président s’était donc trouvé imposé dans la catégorie des revenus de capitaux
mobiliers pour la fraction non déclarée de cet avantage en nature.
6
C. NOUEL, note sous CE., 29 septembre 2000, préc.
7
Art. 54 quater C. G.I. fr : Les entreprises sont tenues de fournir, à l’appui de la déclaration de leurs
résultats de chaque exercice, le relevé détaillé des catégories de dépenses visées au 5 de l’article 39,
lorsqu’elles dépassent un certain montant fixé par arrêté du ministre chargé de l’économie.
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CE., 18 juin 1984, Bull. Joly soc. 1984, n°421, p. 1119.

1
Art. 1763 C.G.I. fr .
/0/3/ ! 2

Arts. 39-1-1 et 211 C.G.I. fr.

3
T. ZITOUNE, Droit fiscal des entreprises, BERTI, Alger, 1ère éd., 2007, p. 152.
/0/3/ ! 4

Art. 81-1 C.G.I. fr.

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1
P. SERLOOTEN, Le statut fiscal des dirigeants de sociétés, op. cit., n°89, pp.42 et 43.
2
CE., 11 décembre 1991, R.J.F. 1992, n°234 et Nancy, 13 mai 1993, Dr. fisc. 1994, n°11, cités par
G. TIXIER et J.-P. MAUBLANC, op. cit., n°81, p. 95.
/0/3/ ! 3

4
Art. 80 ter C.G.I. fr et CE., 29 mars 1985, Bull. Joly soc. 1985, n°310, p. 895 : Les indemnités pour
frais d’emploi perçues …..sont à bon droit comprises, en application des dispositions de l’article 80 ter
du C.G.I., dans le montant imposable des salaires de l’intéressé, dès lors que celui –ci n’établit pas que
ces indemnités présenteraient un autre caractère que celui d’allocations forfaitaires ..
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M. COZIAN, Le contrôle fiscal des rémunérations de dirigeants de sociétés, p. 524.
1
G. TIXIER et J.-P. MAUBLANC, op. cit., n°80, p. 94.
/0/3/ 2

3
Art. 39-3 C.G.I. fr.

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- BIBLIOGRAPHIE EN LANGUE FRANÇAISE
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- PRINCIPAUX TEXTES LÉGISLATIFS ET RÉGLEMENTAIRES
RELATIFS AU DROIT FRANÇAIS
PAR ORDRE CHRONOLOGIQUE

- Code civil, éd. Dalloz, 2010.

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- Code général des impôts, éd. Dalloz, 2010.
- Code du travail, éd. Dalloz, 2010.
- Loi n°66-537 du 24 juillet 1966 sur les sociétés commerciales, J.O.R.F. du 26
juillet 1966, n°171, p. 6402.
- Loi n°75-1347 du 31 décembre 1975, relative aux tantièmes, J.O.R.F. 4 janvier
1976, p. 187.
- Loi n°2003-706 du 1er août 2003 sur la sécurité financière intéressant le droit
des sociétés, J.O.R.F. du 2 août 2003, n°177, p. 13220.
- Loi n°2004-1484 du 30 décembre 2004, portant loi de finances pour 2005,
J.O.R.F. 31 décembre 2004, p. 22459.
- Loi n°2005-842 du 26 juillet 2005, pour la confiance et la modernisation de
l’économie, dite loi Breton, J.O.R.F. du 27 juillet 2005, p. 12160.
- Loi n°2007-1223 du 21 août 2007, en faveur du travail, de l’emploi et du
pouvoir d’achat, dite loi TEPA, J.O.R.F. 22 août 2007, p. 13945.
- Loi n°2008-1425 du 27 décembre 2008, portant loi de finances pour 2009,
J.O.R.F. 28 décembre 2008, p. 20224.
- Loi n°2009-431du 20 avril 2009, portant loi de finance rectificative pour 2009,
J.O.R.F. du 22 avril 2009, p. 6872.

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J.O.R.F. du 31 mars 2009, p. 5622.
- Décr. n°2009-349 du 30 mars 2009 relatif à l’information et à la consultation
du comité d’entreprise sur les interventions publiques directes en faveur de
l’entreprise, J.O.R.F. du 31 mars 2009, p. 5624.
- Décr. n°2009-445 du 20 avril 2009 portant modernisation du fonctionnement
du fonds de développement économique et social, J.O.R.F. du 22 avril 2009,
p. 6987.

* " 3 &0
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PAR ORDRE CHRONOLOGIQUE
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- Rép. min., J.O. déb. Ass. nat. 3 avril 1969, p. 868.
- Rép. min., J.O. déb. Ass. nat. 4 avril 1969, pp. 869 et 870.
- Rép. min., J.O. déb. Sénat 16 janvier 1973, p. 23.
- Rép. min., J.O. déb. Ass. nat 28 juin 1974, n°10960, p. 3141.
- Rép. min., J.O. déb. Sénat 24 août 1979, n°30539, p. 2737.
- Rép. min., J.O. déb. Ass. nat. 4 août 1980, p. 3310.
- Rép. min., J.O. déb. Ass. nat. 27 avril 2000, p. 3465.
- Rép. min., J.O. déb. Ass. nat 28 février 2006, n°9, p. 2137
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- G. RIPERT par R. ROBLOT, Traité de droit commercial, L.G.D.J, T. 1, 12ème
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- G. RIPERT et R. ROBLOT par M. GERMAIN, Traité de droit commercial,
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293
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- OUVRAGES SPÉCIAUX
PAR ORDRE ALPHABÉTIQUE
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l’administrateur de société anonyme, Litec, 2ème éd., 2004.
- M. BERGERES et Ph. DUPRAT, Les dirigeants de sociétés, statuts juridique,
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- J.-F. BULLE, Le mémento du dirigeant S.A.R.L et S.A, Groupe revue
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- J.-P. CASIMIR et M.GERMAIN, Dirigeants de sociétés, statut juridique,
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- J.-J. CAUSSAIN, Le directoire et le conseil de surveillance de la société
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des sociétés, Montchrestien, 2001.
- Direction générale des impôts, instruction, impôt sur les bénéfices des sociétés,
O.P.U, Alger, 1992.
- F. FRANÇOIS, E. DE FRONDEVILLE et A. MARLANGE, Dirigeant de
société, Delmas, 2ème éd., 2009.
- D. GIBIRILA, Le dirigeant de société, statut juridique, social et fiscal, Litec,
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- JURIS-COMPACT, Le dirigeant de société : risques et responsabilités,
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- H. LABORD, Directoire et conseil de surveillance, Collection la vie de
l’entreprise, Dunod, 1969.
- C. LABROUSSE, A. BEAUQUIER, F. GAUDILIÈRE et A. VERCKEN, La
responsabilité pénale des dirigeants, éd. Vie pratique, 1996.
- F. LEFEBVRE, S.A.R.L, éd. 2002.
- F. LEFEBVRE, Dirigeants de sociétés, statuts juridique, fiscal, social, F.
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-F. LEMEUNIER, Société à responsabilité limitée, S.A.R.L, création, gestion,
Dalloz, 29ème éd., 1999.
- Ph. MERLE et E. CHEVALIER-MERLE, L’application jurisprudentielle de la
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- A. MOREAU, La société anonyme, T.1, 2ème éd., 1955.

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l’entreprise, Sirey, 1967.
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# 3 3 6&
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président dans la société anonyme de type classique depuis la loi du 24 juillet
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- A. TOUZEAU, La rémunération des organes de gestion dans les sociétés
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# 3 3 2 0
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PAR ORDRE ALPHABÉTIQUE
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départ destinés aux mandataires sociaux et dirigeants après la loi du 26 juillet
2005, Comité Juridique, réunion du 9 novembre 2005, n°05-060, p. 1.
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réglementé : celles dont seuls des titres de créance sont cotés sont-elles visées
par les dispositions sur les «parachutes dorés» ?, Comité juridique, réunion du 5
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