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FILIERE
ANTRHOPOLOGIE
NIVEAU : III
LE LITTORAL
REDIGE PAR
NOMS ET PRENOMS MATRICULES
ADAM VAMADI JEAN 21L61081
MANGOLO LOMBO ISMAEL 21L58658
MANA FOKSIA 20L45400
ZRA MHA JEAN PAUL 21L58676
DIANA MBAAH DOUALLA VICTORINE 21L58639
TCHAMSOU TCHIBOUSSOU LOUKSSAKA 21L58673
OFFOTOBO MICHEL FILS 21L58672
JONGWANE ZAME ORNELLA ELYSE 21L58651
BAÏNA FATCHOU 21L58637
MBAJO EFFA ALEGA DOMINIQUE DIMITRI 21L67270
MAHO FOUT O. BLONDELE 21L58657
ABEL ADJIBANG LAME 21L58635
Enseignant
Dr BITOUGA
ANNEE ACADEMIQUE
0 2023-2024
TD : LES MIGRATIONS (I, II et III)
PLAN
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III) LES DEFIS SECURITAIRES CAUSES PAR LES MOUVEMENTS
DJIHADISTES ET LA MIGRATION
1) Sur le plan politique
2) Sur le plan économique
3) Sur le plan social
4) À l’échelle de la sécurité internationale
1) Le plan politique
2) Sur le plan Sociétal
3) Le plan économique
4) À l’échelle internationale
IV- CONTEXTE MONDIAL ET REGIONAL
A) Approche régionales de défis migratoires et sécuritaire
B) Présentation des initiatives, des politiques, des institutions internationales et
régionales pour faire face aux défis de migrations et sécurité
CONCLUSION
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I. PRESENTAION DE LA RELATION DE CAUSE A EFFET ENTRE LA
MIGRATION, LES DEFIS SECURITAIRES ET L’EMERGENCE DES
MOUVEMENTS DJIHADISTES
1. La relation de cause à effet entre la migration et les défis sécuritaires
a) Relation sur le plan social
Les défis sécuritaires peuvent avoir un impact significatif sur le taux de migration
en gérant des conditions instables et dangereuses. Les personnes cherchant souvent à
fuir les zones de conflit ou de violence, entrainant une augmentation des flux
migratoires. De manière réciproque, une augmentation du taux de migration peut
également poser des défis sécuritaires, notamment entourés de contrôle des frontières et
de gestion des ressources dans les régions d’accueil, ce qui peut à son tour exacerber les
tensions sociales. Les défis sécuritaires, tels que les conflits armés, le terrorisme ou
l’instabilité politique, peuvent déclencher des mouvements massifs de population.
Les individus fuient souvent ces environnements pour assurer leur sécurité et celle
de leur famille. Cette migration peut être motivée par la quête d'un refuge contre la
violence et les menaces de la vie quotidienne. Cependant, l'augmentation du nombre de
migrants peut également poser des défis sociaux dans les régions d'accueil. Les
communautés locales peuvent ressentir les pressions sur les ressources, l'emploi et les
services publics entraînant parfois des tensions sociales. Les gouvernements peuvent
être confronté à des difficultés pour gérer efficacement flux migratoires, ce qui peut
aggraver les problèmes de sécurité interne.
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sécuritaire dans les régions d'accueil, soulignant ainsi l'importance d'approches intégrées
et coopératives.
En réponse à ces défis, certains choisissent des migrer vers des régions plus stables
sur le plan économique. Ils espèrent trouver les emplois et des conditions de vie
meilleure, contribuant ainsi à des mouvements migratoires importantes. Cependant,
cette migration peut également créer des pressions économiques dans les zones
d'accueil, car les nouveaux arrivants peuvent nécessiter des services sociaux et des
emplois.
D'un autre côté, une augmentation du taux de migration peut aussi poser des défis
économiques dans les régions d'origine. La perte de main d'œuvre qualifié peut entraver
le développement économique, et les économies locales peuvent souffrir de la
diminution des compétences et des ressources humaines. Cela peut conduire à un cercle
vicieux où les défis économiques et sécuritaires se renforce mutuellement.
Parallèlement, les gouvernements des zones d'accueil doivent faire face à des défis
économiques liés à la gestion des flux migratoires, notamment en terme d'emploi, de
logement et d'infrastructures. Si ces défis ne sont pas gérés efficacement, ils peuvent
contribuer à des tensions sociales et économiques.
Ainsi, la relation entre les défis sécuritaires et le taux de migration sur le plan
économique est complexe, impliquant des dynamiques économiques dans les régions
d'origine et d'accueil. La compréhension de ces interconnexions est cruciale pour
élaborer des politiques et des stratégies qui abordent simultanément les aspects
économiques et sécuritaires des migrations.
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2. La relation de cause à effet entre défi sécuritaire et les maisons des
mouvements djihadistes
Les défis sécuritaire liés à l'économie qui favorise l'émergence des mouvements
djihadistes sont un, le chômage car la précarité de l'emploi ou le manque d'opportunité
professionnelle peuvent engendrer des tensions sociales et économiques et profiter non
seulement à la naissance des mouvements djihadistes mais aussi à leur survie pas les
recrutements forcer ou non de certains individus.
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attaques des terroristes perpétrées par des groupes djihadistes créent un climat de peur
et d'incertitude au sein de la société. Cela peut entraîner des dommages humains,
matériel et psychologique contribuant ainsi à l'insécurité. De plus, la création des zones
de non droit par les groupes djihadistes favorise la hausse des défis sécurité car ceux-ci
cherchent parfois à établir les zones de non-droit où ils exercent un contrôle territorial.
Cela peut conduire à une absence d'autorité gouvernementale, facilitant ainsi diverses
activités criminelles et contribuant à l'insécurité.
a) La marginalisation sociale
Certains migrants, en particulier ceux qui se sentent marginalisés dans leur société
d’accueil, peuvent être susceptibles de se radicaliser les facteurs tels que le chômage,
la discrimination et la difficulté d’intégration peuvent créer un terrain fertile pour le
recrutement par des groupes djihadistes.
b) Réseaux transnationaux
Les mouvements djihadistes peuvent exploiter les réseaux de migrants pour
faciliter le recrutement, la logistique et le financement. Les liens familiaux ou
communautaires transnationaux offrent des opportunités de propagation idéologique et
opérationnelle.
Les personnes déplacées en particulier dans les zones de conflits, peuvent être
particulièrement vulnérables au recrutement par des groupes djihadistes. Le manque de
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sécurité, la privation des besoins de base et la perte des besoins sociaux peuvent conduire
à la radicalisation.
Les activités des groupes djihadistes telles que les attaques, les persécutions
religieuses ou les conflits armées, peuvent entraîner des déplacements massifs de
populations qui fuient les zones de danger
Les minorités religieuses ou ethniques ciblées par des groupes djihadistes peuvent
être contraintes de fuir leur lieu d’origine, entraînant des mouvements migratoires
significatifs.
Les activités djihadistes peuvent déstabiliser les régions entières, générant des
flux migratoires transfrontaliers en raison des conséquences des conflits et des menaces
sécuritaires.
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II- LES IMPACTS DES MOUVEMENTS DJIHADISTES SUR LA
MIGRATION ET SUR LES PAYS D’ACCUEIL DES MIGRANTS ET SUR LES
PAYS D’ORIGINE
Les impacts des mouvements djihadistes sur la migration et les différents acteurs
impliqués sont variés et interconnectés.
Au niveau social, plusieurs problèmes peuvent être dégagés, tels que la sécurité
personnelle, car les migrants peuvent être exposés à des risques accrus en raison des
activités des mouvements djihadistes, surtout s’ils traversent des zones de conflit. Ils
sont aussi confrontés à la radicalisation par la majoration ou à des expériences
traumatisantes dû aux groupes djihadistes. Nous en outre les déplacements forcés des
migrants qui peuvent être contraints de suivre en raison de la violence et de l’instabilité
provoquée par les activités djihadistes dans leur pays d’origine.
La présence de migrants provenant de zones touchées par les djihadistes peut poser
dans défi d’intégration sociale, notamment en raison de la perception négative associée
à la sécurité.
Les flux migratoires induits par le djihadisme peuvent exercer une pression sur
les ressources des pays d’accueil, en particulier en termes de logement, d’emploi et de
services sociaux.
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C ) Impact sur les pays d’origine
Nous n’allions point passer, sans citer les impacts des mouvements djihadistes
sur les relations internationales entre pays d’accueil et pays d’origine.
Les activités djihadistes peuvent causer des tensions diplomatiques entre les
pays d’origine et les pays d’accueil, en particulier si des questions de sécurité sont en
jeu . La menace djihadistes peut nécessiter une coopération internationale renforcé pour
contrer efficacement les flux de combattants étrangers et les financements illicites. Les
pays touchent par le djihadisme peuvent faire face à une stigmatisation culturelle,
affectant les relations et les perceptions internationales.
L’impact sur les ressources par les activités des groupes djihadistes peuvent
entraîner des perturbations. Économique, en ciblant des infrastructures critiques, en
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perturbant les flux commerciaux et en créant un climat d’incertitude pour les
investisseurs.
Les terrorismes transnationaux par des groupes djihadistes peuvent avoir des
répercussions au-delà des frontières nationales, nécessitant une coopération
internationale pour contrer efficacement ces menaces. Les défis sécuritaires causés par
la migration sont aussi sur différents plans. Nous avons donc :
1) Le plan politique
Les difficultés d’intégration sociale des migrants peuvent conduire à des tensions
au sein de la société d’accueil, générant des défis liés à la diversité culturelle et à la
cohésion sociale.
3) Le plan économique
L’afflux de migrants peut exercer une pression sur les ressources économiques,
y compris l’emploi, les services sociaux et le logement, créant des défis économiques
et sociaux pour les pays d’accueil.
4) À l’échelle internationale
La migration irrégulière d’un miroir peut être exploitée par des réseaux criminels
aux hommes. Des défis en matière de sécurité internationale, notamment en terme de
trafic d’êtres humains et de contrebande.
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En conclusion, pour cette partie, le mouvement djihadiste posent des
sécuritaires en induisant une instabilité politique, économique et sociale des tensions
politiques, économiques et sociétales. L’interaction entre les deux phénomènes peuvent
aggraver les risques, créant des défis complexes qui nécessitent des approches globales
intégrant sécurité, développement, coopération internationale et gestion des flux
migratoires pour atteindre une stabilité durable.
Les approches régionales pour relever les défis migratoires et sécuritaires varient
en fonction des contextes régionaux spécifiques, des tendances migratoires et des
menaces sécuritaires perçues. Nous prenons l’exemple de l’Europe.
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qui régissent les migrations, et la coopération en matière de sécurité à l’échelle
mondiale.
Nous soulignons les institutions telles que l’Organisation des Nations unies
(ONU), l’organisation internationale pour les migrations(OIM), Et d’autres entités
internationales mettent en avant leur rôle, leur politique et leurs programmes liés à la
migration et la sécurité.
Dans le cadre des initiatives régionales, nous avons les institutions comme l’Union
européenne (UE), l'organisation des états Américains (OEA), l’union Afrique (UA),
l’ASEAN et d’autres organisations régionales qui ont développées des politiques et des
mécanismes en matière de coopération en matière de migration et de sécurité. Nous
avons d’autres politiques régionaux axés sur la gestion des frontières, y compris les
accords de libre circulation, les zones de libre-échange et les projets de coopération
transfrontalières pour faire face aux défis sécuritaires liés aux migrations, réfugiés et
droit de l’homme. Nous avons des initiatives et des politiques qui garantissent la
protection des réfugiés, des demandeurs d’asile et des personnes déplacées, tout en
respectant les principes des droits de l’homme et du droit international humanitaire. Ces
différentes présentations ont permis de mettre la lumière sur les multiples initiatives,
politiques et institutions internationales et régionales qui ont œuvré à aborder les défis
de migration et de sécurité à travers le monde.
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CONCLUSION
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