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Texte 4 : L’énergie créatrice – La vitalisation de l’inanimé

La présence de cet être extraordinaire faisait circuler dans toute la cathédrale je ne sais quel
souffle de vie. Il semblait qu’il s’échappât de lui, du moins au dire des superstitions grossissantes de
la foule, une émanation mystérieuse qui animait toutes les pierres de Notre-Dame et faisait palpiter
les profondes entrailles de la vieille église. Il suffisait qu’on le sût là pour que l’on crût voir vivre et
5 remuer les mille statues des galeries et des portails. Et de fait, la cathédrale semblait une créature
docile et obéissante sous sa main ; elle attendait sa volonté pour élever sa grosse voix ; elle était
possédée et remplie de Quasimodo comme d’un génie familier. On eût dit qu’il faisait respirer
l’immense édifice. Il y était partout en effet, il se multipliait sur tous les points du monument. Tantôt
on apercevait avec effroi au plus haut d’une des tours un nain bizarre qui grimpait, serpentait,
10 rampait à quatre pattes, descendait en dehors sur l’abîme, sautelait de saillie en saillie, et allait
fouiller dans le ventre de quelque gorgone sculptée ; c’était Quasimodo dénichant des corbeaux.
Tantôt on se heurtait dans un coin obscur de l’église à une sorte de chimère vivante, accroupie et
renfrognée ; c’était Quasimodo pensant. Tantôt on avisait sous un clocher une tête énorme et un
paquet de membres désordonnés se balançant avec fureur au bout d’une corde ; c’était Quasimodo
15 sonnant les vêpres ou l’angélus. Souvent la nuit on voyait errer une forme hideuse sur la frêle
balustrade découpée en dentelle qui couronne les tours et borde le pourtour de l’abside ; c’était
encore le bossu de Notre-Dame. Alors, disaient les voisines, toute l’église prenait quelque chose de
fantastique, de surnaturel, d’horrible ; des yeux et des bouches s’y ouvraient çà et là ; on entendait
aboyer les chiens, les guivres, les tarasques de pierre qui veillent jour et nuit, le cou tendu et la
20 gueule ouverte, autour de la monstrueuse cathédrale ; et si c’était une nuit de Noël, tandis que la
grosse cloche qui semblait râler appelait les fidèles à la messe ardente de minuit, il y avait un tel air
répandu sur la sombre façade qu’on eût dit que le grand portail dévorait la foule et que la rosace la
regardait. Et tout cela venait de Quasimodo. L’Égypte l’eût pris pour le dieu de ce temple ; le moyen-
âge l’en croyait le démon ; il en était l’âme.

25 À tel point que pour ceux qui savent que Quasimodo a existé, Notre-Dame est aujourd’hui
déserte, inanimée, morte. On sent qu’il y a quelque chose de disparu. Ce corps immense est vide ;
c’est un squelette ; l’esprit l’a quitté, on en voit la place, et voilà tout. C’est comme un crâne où il y a
encore des trous pour les yeux, mais plus de regard.

Notre-Dame de Paris, Livre 4 Ch. 3 « IMMANIS PECORIS CUSTOS, IMMANIOR IPSE1 »


Victor Hugo (1831)

1
Enormes gardiens de chair, énorme lui-même
Intro : Victor Hugo (1802-1885), romancier, poète, politique, roman historique, romantisme

Contexte : XVe siècle. Livre 4 chapitre 3 (première moitié de l’œuvre, 11 parties). Quasimodo
s’active dans ND, se trouvant partout à la fois, il se dépense pour faire vibrer les cloches de
la cathédrale. Juste avant, Quasimodo est transformé, impacté par ND, la musique
assourdissante de ses cloches. Dans cet extrait, c’est Quasimodo qui produit un effet sur la
cathédrale.

Thèmes : Vitalité, Fougue, puissance sauvage – Comment : Alliage de contraire en


mouvement donnant l’impression de vitalité. Homme – Architecture ; Lumière – Obscurité ;
Vie – Mort ; Dieu – Démon. Unicité se trouve dans l’âme, qui donne vie aux espaces, aux
lieux. ND est un monstre.

En quoi Quasimodo est-il l’âme de ND et comment Hugo fait-il de lui un être


extraordinaire, doté d’une énergie créatrice exceptionnelle ?

Développement

I- L1-7 Quasimodo : un être au pouvoir extraordinaire

_ L1-2 La première phrase confère à Quasimodo une puissance hors du commun, casi divine,
celle qui permettrait de donner vie à un édifice, matière inerte, sans âme, immobile.
Quasimodo est omniprésent, il insuffle une certaine énergie à la cathédrale, ND. Le
caractère indéfini du déterminant « je ne sais quel » renforce le côté incroyable et
imperceptible de cette force dont est doté Quasimodo.

Hyperboles « être extraordinaire » vient qualifier Quasimodo de manière méliorative, il est


au-dessus du commun, omniprésent (déterminant indéfini « toute »), et doté d’une énergie
fabuleuse pouvant donner vie. Quasimodo donne du mouvement, il fait « circuler » une
sorte de « souffle de vie ». Cette dernière expression est une métaphore : Quasimodo est la
source de cette énergie, de cette force vitale donnée à la cathédrale.

_ L2-4 Quasimodo émane quelque chose d’énigmatique, d’incompréhensible, de


suprahumain, et qui tend à insuffler la vie à cet édifice religieux fait de pierre et de bois. La
foule importe puisqu’elle est spectatrice de ce magnifique travail, et, n’y comprenant pas
grand-chose, s’adonne à des explications mystiques. Quasimodo est la source d’énergie : il
« animait » la cathédrale, « toutes les pierres de ND ». Une fois de plus, l’hyperbole « toutes
les pierres » fait de Quasimodo est être omniprésent, casi divin. De plus, il « fait palpiter les
profondes entrailles de la vieille église ». Ce don d’ubiquité2 additionné au don de vie déifie
Quasimodo, il est partout, autant horizontalement que verticalement ; il est mystérieux, crée
des superstitions, perpétue la sacralisation du lieu.

Les verbes d’action « animer » et « palpiter » rendent compte du don de vie qu’a
Quasimodo. Il génère la vie, par quelque pouvoir mystérieux et indicible. Hugo va passer par
des métaphores et des personnifications pour montrer à quel point la cathédrale est
vivante, et ce grâce au travail énorme de cet « énorme gardien de chair » (titre du chapitre)

_ L4-5 Les tournures impersonnelles « il semblait que » et « il suffisait que » présentent le


pouvoir de Quasimodo comme étant admis de manière générale, par tous. Les verbes
« vivre » et « remuer » confèrent une fois de plus à Quasimodo le pouvoir de vitaliser la
cathédrale, personnifiant ses attributs, présentés de manière hyperbolique à travers le GN
« les mille statues des galeries et des portails ». L’antithèse qui consiste à faire vivre l’inerte,
une matière dénuée de vie, personnifie déjà la cathédrale. Les statues sont animées, elles
bougent, sont en mouvement, vivent, alors même que le principe d’une statue est d’être
immobile.

_ L5-7 Le connecteur logique « et de fait » présente un résultat : Quasimodo produit un effet


sur ND, lui donnant vie. La cathédrale est comparée à « une créature docile et obéissant
sous sa main ». Elle est personnifiée, apprivoisée par Quasimodo, domestiquée. Elle
s’apparente à un animal sous le contrôle de cet être fabuleux. A partir de là, elle sera
désignée par le pronom personnel « elle », ce qui la personnifie encore plus ; on lui attribue
aussi une voix particulière, produisant ainsi un son proche de celui des êtres vivants. De plus,
elle est sous les ordres de Quasimodo : « elle attendait sa volonté pour élever sa grosse
voix ». Quasimodo est comparé de manière hyperbolique à « un génie familier », une sorte
d’être merveilleux dotée d’une puissance et d’un contrôle total sur la chose ou l’être qu’il
habite. La cathédrale est d’ailleurs présentée comme étant « possédée » par lui. Quasimodo
a pris possession du corps de la cathédrale, c’est son esprit, son âme, ce qui lui donne vie.

2
Faculté divine d’être partout en même temps
_ L7 Encore une tournure impersonnelle pour montrer l’impression générale que donne
Quasimodo à cette cathédrale : il « faisait respirer l’immense édifice ». Encore une fois,
Quasimodo agit, il fait (c’est la 3 e fois que le terme « faire » intervient). Il est le moteur, la
source de cette vie. Le verbe « respirer » fait directement écho à ce « souffle de vie »
mentionné à la ligne 2. L’oxymore « faisait respirer l’immense édifice » montre bien le
pouvoir extraordinaire que cet être a sur ND. Il est l’agent transformateur du lieu.

Dans cette première partie, les expressions « être extraordinaire », « émanations


mystérieuse » et « génie familier » renforce le champ lexical de la supernaturalité 3 attribuée
à Quasimodo.

II- L7-16 : Quasimodo omniprésent, l’âme de ND

_ L7-8 Quasimodo a un don d’ubiquité : « il y était partout » ; « il se multipliait ». Hugo le


présente comme étant partout à la fois. Cette omniprésence est accentuée par le
déterminant indéfini hyperbolique « tous » présent dans le GN « tous les points du
monument ».

_ L8-16 c’est le début d’une longue comparaison. Une anaphore de l’adverbe de temps
« tantôt » présente Quasimodo à divers moments, montrant par la même son
omniprésence. Une autre anaphore, « c’était Quasimodo » vient rythmer le texte, ces
expressions reviennent comme un refrain, et rendent compte du pouvoir de cet être sur la
cathédrale. Cette anaphore se finit par une périphrase désignant Quasimodo comme « le
bossu de ND » (l16). Tout vient de lui, et lui est partout au sein de cette cathédrale. De plus,
l’utilisation du pronom impersonnel « on » généralise le propos : tout un chacun peut
apercevoir les interactions de Quasimodo.

Une première phrase L8-11 vient comparer Quasimodo à un « nain bizarre », terme peu
élogieux rendant compte de son originalité, son anormalité. Quasimodo est actif, en
témoigne l’énumération de verbes d’action dans une liste de relatives « qui rampait,
serpentait, rampait à quatre pattes, descendait en dehors sur l’abîme, sautelait 4 de saillie en
saillie, et allait fouiller… ». Quasimodo déborde d’énergie, d’une puissance sauvage
animalière. Il est animalisé à travers les termes « rampait, serpentait, à quatre pattes,
3
Quasimodo interagit en dehors des lois naturelles ; son action n’est explicable que dans un monde régit par
d’autres lois, mystiques, divines, touchant à l’immatériel, au spirituel. Tout un champ lexical du religieux vient
5 témoigner de
4
Faire des petits bonds, souvent attribué aux animaux.
sautelait, fouiller dans le ventre » (champ lexical de la vie animal). Quasimodo se
métamorphose, il « serpente » puis est « à quatre pattes ». Cela préfigure les comparaisons
à des êtres mythologiques, hybrides.

Quasimodo fait fuir les corbeaux, oiseau associé à la mort, aux mauvaises nouvelles.
Quasimodo est donc aussi protecteur, gardien de ND. Toute cette activité s’explique :
Quasimodo éloigne la mort de cet édifice et par la même lui préserve la vie.

La phrase L11-13 présente un Quasimodo « pensant ». Il est comparé à une chimère, être
mythologique hybride (tête de lion, corps de chèvre et queue de dragon). Quasimodo est un
être complexe, obscure, mystérieux et casi divin, du moins mythologique. Dans cette phrase,
les qualificatifs « obscur ; accroupie ; renfrognée » donnent l’impression que Quasimodo
peut demeurer au repos, isolé, cependant il est quand même en activité puisqu’il est
présenté comme « pensant ».

La phrase L13-14 présente Quasimodo comme un véritable chef d’orchestre. C’est lui qui fait
sonner les cloches. Par analogie, les cloches de ND seraient des cordes vocales qui vibrent et
émettent des sons par le souffle de vie produit par Quasimodo. Cette énergie déployée crée
de la musique (religieuse) et vitalise ND. Quasimodo déploie une énergie considérable, en
témoigne le CC de manière « avec fureur » qui vient qualifier la façon dont Quasimodo usent
de son énergie pour faire tonner le monument. Le participe « désordonnés » renforce
l’animalité de Quasimodo.

La phrase L15-16 commence par un connecteur temporel, mais différent de « tantôt » :


« Souvent la nuit ». Il est plus précis et rend compte d’une certaine fréquence de l’action de
Quasimodo, « souvent » (adv de fréquence). Les termes péjoratifs associés à Quasimodo
continuent, le comparant à une figure monstrueuse : « une forme hideuse ». Cette
imprécision cultive le caractère indescriptible et complexe de cette personne, en même
temps animal, humain, divin, monstrueux.

Le verbe « errer » animalise le personnage, on dirait une sorte de spectre habitant, hantant
le lieu.
Le champ lexical de la mythologie dresse un tableau fantastique des différentes scènes
présentées, il se poursuivra dans la troisième partie « corbeaux, chimère, gorgones, chiens,
guivres, tarasques ».

Le parallélisme (anaphores + Groupes participiaux) que nous pouvons observer à travers


ces différentes phrases rendent la description encore plus vivante, affirmant une fois de plus
le pouvoir qu’a Quasimodo sur la cathédrale.

III- L16-23 : Une cathédrale en vie à cette époque : un monument possédé,


s’apparentant à un monstre

_ L16-22 (une seule longue phrase) Le connecteur logique « alors » indique une
conséquence. Quasimodo est l’âme de ND, son impact sur l’édifice est tel que la cathédrale
devient irréelle et monstrueuse : « toute l’église prenait quelque chose de fantastique, de
surnaturel, d’horrible ». Le déterminant indéfini « toute » nous montre que Quasimodo
anime l’entièreté du bâtiment, aucun recoin n’est laissé pour compte. L’énumération de
qualificatifs appuie sur le caractère invraisemblable dont se revêt ND ; elle est transcendée
par l’action de Quasimodo.

La cathédrale prend l’apparence d’un monstre avec des caractéristiques humaines, ou


animales : « des yeux et des bouches s’y ouvraient çà et là ». L’emploi de l’adverbe de lieu
« ça et là » L18 rend compte d’un être à plusieurs yeux, plusieurs bouches, figure
monstrueuse encore une fois.

Si la vue de cet édifice est saisissante, ce qu’elle laisse entendre l’est tout autant. Hugo se
sert une fois de plus du champ lexical de la mythologie pour lui conférer une aura mystique,
extraordinaire et monstrueuse : « on entendait aboyer les chiens, les guivres, les tarasques
de pierre qui veillent jour et nuit » L19. Guivre : serpent fantastique gardant un trésor ;
Tarasque : animal fabuleux, mélange de dragon, crocodile et serpent (légende provençale,
du Rhône). Encore une énumération qui vient souligner le caractère monstrueux de la
cathédrale, impressionnante, de jour comme de nuit, sans arrêt. Le GN « la gueule ouverte »
vient compléter l’animalisation monstrueuse de la cathédrale. Le qualificatif
« monstrueux » est d’ailleurs directement employé par Hugo, l’associant au substantif
« cathédrale » L19-20.
Le sinistre tableau de ND est accentué par le champ lexical de l’obscure et de la peur :
« horrible ; monstrueuse ; nuit ; râler ; sombre ; démon ».

Victor Hugo prend l’exemple d’une nuit de Noël, une nuit particulière pour les chrétiens. ND
est aussi comparée à un monstre engloutissant les fidèles se rendant à la messe « ardente »
de minuit : « on eût dit que le grand portail dévorait la foule ». Tout cela n’est possible
qu’avec l’intervention permanente de Quasimodo, toute son énergie déployée ici en ces
lieux. Le déterminant indéfini « tout » suivi du pronom démonstratif « cela » montre que
Quasimodo est bien le chef d’orchestre de cette animation, générant l’illusion.

_ L23 La dernière phrase de cette partie est une comparaison de Quasimodo dans
différentes civilisations. Ainsi, Quasimodo serait le dieu d’un temple pour les égyptiens
(Egypte antique, 3000 av JC jusqu’à 31 av JC) ; il serait un démon pour le moyen-âge
chrétien, ayant pris possession de la cathédrale. Hugo nous donne sa version : Quasimodo
est l’âme de ND, celui qui la fait vivre, celui qui donne vie, par l’intensité de l’énergie
déployée. La comparaison à l’Egypte antique renvoie une fois de plus au champ lexical de la
mythologie, rapprochant Quasimodo d’une figure exceptionnelle : un dieu.

IV- L24-27 : Une cathédrale aujourd’hui morte

_ L24-25 Quasimodo était donc l’âme de ND, ce qui la faisait vivre. On le voit aussi à travers
la subordonnée conjonctive circonstancielle de conséquence : « à tel point que ND est
aujourd’hui déserte, inanimée, morte ». Quand Quasimodo n’est plus là, ND ne vit plus. La
gradation ascendante qui termine cette subordonnée amplifie d’autant plus ce constat. ND
est morte, elle n’est plus en vie ; cela montre le lien fort entre Quasimodo et la cathédrale.

_ L25 Tournure impersonnelle qui généralise le ressenti (« on » et « quelque chose ») : tout


le monde s’aperçoit bien qu’il manque quelque chose à ND, ce quelqu’un qui insufflait
quelque chose à ND.

_ L25-26 ND est encore une fois personnifiée, mais cette fois-ci, cet être monumental est
dénué de vie : elle est « vide », s’apparente à un « squelette », « l’esprit l’a quitté ». Le
champ lexical de la mort s’invite dans ce dernier paragraphe pour montrer que ND n’est rien
sans Quasimodo, sans cet être exceptionnel, que le corps n’est rien sans l’âme. Le contraste
entre les qualificatifs « immense » et « vide » renvoie au néant vital de ND sans Quasimodo.
L’expression « voilà tout » réduit la cathédrale à une banale bâtisse, sans âme, sans vie, sans
rien à offrir qu’un amas de pierres et de bois.

_ L26-27 La comparaison finale poursuit la métaphore funèbre, comparant la cathédrale à


un crâne vide, ayant perdu l’étincelle de la vie. L’image renvoyée dans la relative est
saisissante : le regard est un symbole fort de vie, de conscience. L’architecture est là, le
squelette, le crâne, mais l’âme est partie, le regard s’est éteint. Sans Quasimodo, ND ne vit
plus.

Conclusion

Lien avec le thème "le roman de l'énergie : création et destruction". La présence de


Quasimodo dans la cathédrale Notre-Dame semble créer une énergie qui anime tout le
bâtiment, donnant vie à ses statues et faisant vibrer ses pierres. Quasimodo est décrit
comme étant la source de cette énergie qui donne vie à l'église. Cependant, une fois
Quasimodo parti, la cathédrale est décrite comme déserte, inanimée et morte, montrant la
destruction vitale de ND par l’absence de Quasimodo, ce concentré d’énergie créatrice. Cela
montre comment la présence d'une seule personne peut avoir un impact considérable sur
un lieu et comment son absence peut entraîner la perte de cette énergie et de la vie qui en
découlait.

Ouverture : Dans la même œuvre, Victor compare Paris à un concert : ces mille clochers
rendent vivante cette ville et contribuent à lui donner une puissante énergie.

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