Le 17 septembre 1981, le ministre de la Justice du gouvernent socialiste, Robert Badinter, défendait

son projet de loi pour réinstaurer la peine de mort alors que 62 % des Français y étaient défavorables.
Mais, le 9 octobre 1981, la loi pour abolition a été approuvée en France.
De plus, d’après une enquête faite par l’Ipsos, 51 % des personnes interrogées dans différents parti-
politique en 2014, sont pour le rétablissement de la peine de mort. Au fil des années, les résultats
d’ensemble ont diminué puis augmenté. Mais, en 2018, il était de 45 % pour l’ensemble des partis.
51 – 45 = 6. Soit, 6 points de pourcentage. Pour le RN, en 2014, ils étaient 92 % et 79 % en 2018 soit,
13 points de pourcentage. Entre 2015 et 2017, pour l’ensemble des partis, l’approbation du
rétablissement a augmenté de 2 points de pourcentage. En revanche, pour le PS, les chiffres sont
restés identiques (36 %).
Alors, on peut conclure que le débat sur la peine de mort n’est pas vraiment clos car la majorité des
personnes y sont favorables mais ce chiffre baisse, augmente ou sont égaux d’une année sur l’autre.