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« UNE VIE SANS ESPOIR, Équation à mille inconnues… !

»
RESUME :

Dans ce roman, il s’agit d’un jeune homme qui a un rêve d’enfance. Et, malgré les
obstacles sur le chemin de sa vie, il ne l’a jamais abandonné. Une enfance paisible et
prometteuse d’un avenir meilleur, dans une famille soudée, va être bouleversée par une
« crise » socio-politique qui va forcer plusieurs familles à se scinder en deux groupes pour
sauver les plus vulnérables. C’est dans ces contextes que le personnage-héros de ce livre
partira lui aussi, en compagnie de sa maman et de sa jeune sœur, en laissant derrière eux son
père et ses deux grands frères.

Au « pays natal », le poids de la tradition, la mentalité trop « phallocratiques », etc.


obligeront sa mère à s’isoler comme dans une famille monoparentale pour bien élever ses
deux enfants. Un malheur ne venant jamais seul, la mort arrachera précocement la mère et
laissera derrière elle deux enfants qui vont devoir se « débrouiller » seuls. Malgré tout, le plus
jeune a un rêve. Il s’est fixé un objectif : « devenir médecin » ! Ambition démesurée ?
Objectif réaliste… ? L’auteur vous laisse le temps de le découvrir par vous-mêmes, en
pénétrant dans cet univers littéraire pittoresque.

Ce roman est subdivisé en 4 parties :

1. Dans la première partie, l’auteur commence par la description de la situation et le


motif de leur voyage de Lushinda vers Kalashi en compagnie de la mère et de sa
jeune sœur Lydia. C’est pendant ce voyage que le jeune homme va se rendre compte
que leur voyage était une fuite occasionnée par « la chasse à l’homme » provoquée par
les situations sociopolitiques du pays. Dans ce voyage pénible, le jeune découvre
beaucoup de choses et de richesses infinies, non seulement la diversité de la faune et
de la flore de son pays, mais aussi la diversité culturelle de cette immense pays au
centre d’Afrique : les forêts, les savanes, les montagnes, les rivières, les animaux
sauvages divers, l’hospitalité des peuples dans les différents villages, etc.
2. Dans la deuxième partie, c’est l’arrivée dans la région de ses ancêtres ou dans le
« pays natal ». L’accueil chaleureux chez l’oncle paternel, Mvwandu. Mais cet accueil
et ce climat fraternel et paternel sera de courte durée, car le jeune homme va découvrir
le « vrai visage » de son oncle. Cet homme incarne les traditions et les coutumes
ancestrales du milieu. Des traditions et coutumes non valorisantes de l’être humain,
mais sclérosées et dégradantes qui maintiennent la femme comme « esclave ». Odia, la
femme de l’oncle subit, avec résignation, le poids des traditions et coutumes. Elle est
malheureuse dans son foyer parce qu’elle n’avait donné naissance qu’aux enfants de
sexe féminin. L’oncle se considérait comme « maudit » et malheureux parce qu’il
n’avait pas même un garçon dans sa progéniture. Il désirait avoir un fils, un « Kazadi
wa kushila bintu » (= fils héritier dans la tradition ancestrale luba). D’où la faute,
selon sa conception, c’est la femme. Ces quatre ou cinq enfants filles sont victimes du
sort de leur mère : bagarres, injures, ivrognerie, etc., de la part de leur père. C’est la
cinquième naissance d’une dans ce foyer qui a fait déborder les vases du désespoir de
l’oncle. Avoir tout cela, la mère du héros va décider d’aller vivre ailleurs avec ses
deux enfants pour mieux les éduquer selon son aspiration et la vision d’avenir qu’elle
avait pour ses enfants…
3. Dans la troisième partie, c’est la famille monoparentale. La vie est calme, malgré
l’absence du père et de deux grands frères restés à Lushinda sans nouvelle de leur part.
La situation sociopolitique s’était-elle davantage dégradée ? On n’en sait rien. La mère
du héros, une femme brave et courageuse va affronter la vie pour élever ses deux
enfants et leur donner une bonne éducation. Couturière de son état, elle saura prendre
en charge sa famille. Ironie du sort, la mort va rompre le rythme de la vie familiale
paisible et pleine d’avenir. Les deux enfants vont rester seuls face à la vie. Le garçon
avait des ambitions de devenir médecin, il se voit dans l’impossibilité de réaliser son
rêve. Il pense abandonner ses études déjà en 5 e année des humanités pour s’occuper de
sa jeune sœur ou prendre le chemin du retour à Lushinda à la recherche de son père et
ses frères restés longtemps sans nouvelle. Mais, grâce aux conseils et encouragements
de son ami Mamba, l’intervention du Père préfet, il sera engagé comme jardinier au
collège pour payer les frais ses études terminales et décrocher son diplôme d’Etat…
4. Dans la quatrième partie : l’espoir fait vivre. Face à la vie, le jeune homme et sa sœur
vont s’occuper de l’atelier de couture, seul héritage légué par la défunte mère. Sa sœur
et sa grand-mère vont travailler pour subvenir à cette petite famille. A l’école, un
concours de bourses d’études universitaires sera organisé pour les élèves finalistes
dans tout le pays et leur école était aussi sélectionnée pour ce concours. Enfant
intelligent et studieux, le jeune homme sera parmi les lauréats boursiers. Il ira entamer
ses études universitaires, selon son rêve, en médecine dans une université dénommée
« Nelson Mandela », en Afrique du Sud. Ainsi s’achève l’aventure.

Auteur : Joseph MUKADI MUSUIBWE,

Ecrivain romancier.

Fait à Kinshasa, le 26/03/2024.

Contact : tél. : (+243)840118096/816779009

E-mail :mukadijoseph82@gamail.com
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO Kinshasa, le 26 mars 2024.

PROVINCE DE KINSHASA.

COMMUNE DE LEMBA

N°05, AV. BANZA NGUNGU, RIGINI

Objet : Dépôt du dossier pour la participation au concours prix littéraire Makomi : « Prix du
meilleur livre de l’année ».

Cher responsable et organisateur du prix Makomi, je viens par la présente, déposer mon
œuvre littéraire (genre roman) auprès de votre structure, la Médiathèque de l’institut
Français, comme indiqué dans le « Règlement du concours du prix de littérature congolaise.
Prix européen MAKOMI » (Art.11). Vous trouverez en annexe les documents exigés pour la
participation à ce concours.

Veuillez agréer, cher responsable, mon enthousiasme et ma joie de participer à ce grand


concours littéraire qui valorise la culture congolaise et africaine dans sa diversité et encourage
les talents des écrivains congolais.

L’auteur, Joseph MUKADI MUSUIBWE,

Ecrivain romancier.

Contact : tél. (+243)80118096/816779009

E-mail : mukadijoseph82@gmail.com

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