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PLAN

INTRODUCTION

I) BIOGRAPHIE ET BIBLIOGRAPHIE DE L’AUTEUR

II) DÉFINITIONS DES CONCEPTS

1) Rôle

2) La femme

III) QUELS SONT LES DIFFÉRENTS RÔLES DE LA FEMME DANS


CETTE ŒUVRE

1) Le rôle d’une femme battante

2) Rôle d’une femme éducatrice

IV) LA PORTÉE DE L’ŒUVRE

CONCLUSION

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INTRODUCTION
L’Épine de la rose, c’est la détermination d’une femme à vivre, dans
l’espoir de récupérer son enfant abandonné dans des conditions de
détresse extrême ; c’est aussi seize ans de pénitence et de persévérance
dans sa longue et douloureuse ascension vers un bonheur qui recule
obstinément. Et parce qu’elle y parvient, l’héroïne se relève, à travers cette
profonde réflexion sur le problème des grossesses des jeunes filles, un bel
exemple de courage et d’amour.

I) BIOGRAPHIE ET BIBLIOGRAPHIE
Mathias KYELEM est un romancier, titulaire d’une thèse en
physiologie animale. Il est né en 1964 à Koupéla. Il remporte en 1996, en
catégorie roman, le premier prix du Grand Prix Littéraire du Président du
Faso et le deuxième prix du Grand Prix National des Arts et des Lettres
avec les Espiègles. En 1998, il remporte le deuxième prix du Grand Prix
Littéraire du Président du Faso avec L’envers du décor.

II) DÉFINITIONS DES CONCEPTS

1) Le rôle
Le rôle en particulier est le registre manuscrit des actes du
parlement. En effet c’est ce que doit réciter un acteur dans une pièce de
théâtre en particulier. Le rôle se traduit par la manière dont on agit dans
les affaires du monde dans certaines occasions du personnage qu’on y fait
du caractère qu’on y montre.

2) La femme
La femme est un être humain de sexe féminin par opposition à
l’homme, femelle de l’Homo Sapiens. En d’autre terme c’est une personne
adulte et nubile de sexe féminin (par opposition à fille, fillette et femme,
enfant) qui possède des qualités supposées des femmes.

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III) LES DIFFÉRENTS RÔLES DE LA FEMME DANS CETTE
ŒUVRE

1) Le rôle d’une femme battante


Le four de la Saint-Sylvestre dans une petite chambre que
l’irréparable se produisit ; ce jour même où la petite Judith tomba
enceinte. Michel son petit ami nia d’avoir causé tout ça. Les parents de
Judith étaient obligés de chasser leur fille de chez eux. Elle allât s’installer
chez sa tante à un mois de son accouchement. Après qu’elle eut
abandonné sa fille sur le seuil de la Maison d’accueil du Saint-Secours, elle
prit le bus de Dassagho et ne descendis qu’au terminus, à la sortie-Est de
la ville, sur la route de Koupéla. Le soir en rentrant un habitant de Saaba,
Yembi trouva Judith toute seule dans la forêt puis l’a ramené de chez lui. À
son deuxième jour de séjours à Saaba, elle prit le temps de réfléchir et
décide de fuir à nouveau loin de Ouaga et loin de Bobo. Elle choisit
comme ville de refuse, Tenkodogo ou elle envisageait de se réinscrire pour
chercher rien que le Brevet sans ses cartes d’identité scolaire et nationale
et aucun de ses bulletins de notes ; mais avec les vingt-six mille francs
dont elle disposait, elle pouvait verser avance et vendre des friandises aux
heures libres pour se loger et payer le restant.
À l’escale de Koupéla, elle demanda à Salif de l’a trouvé un
appartement à louer ; ce dernier trouva une chambrette dans la famille de
ses cousins maternels. Judith aidait sa mère adoptive Mme Balima a
préparé du dolo. C’est par là qu’elle commençait son intégration, alliant
vivacité et prudence, transportant les seaux et entretenant l’âtre plus qu’à
son tour.
La rentrée suivante, elle s’inscrit aux cours du soir pour préparer le
BEPC à l’âge de dix-huit ans ou elle s’est mis à corps perdu et obtins son
diplôme.
Après sa réussite, elle a été mis en contact avec Souley qui va
l’amener chaque samedi à Sinkansé pour qu’elle y fasse ses achats. Revenu
à Tenkodogo, elle commençait ses voyages hebdomadaires sur Sinkansé,
d’où elle ramenait des pagnes, tissus, sandales, jouets d’enfant et diverses
barioles qu’elle vendait.

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Elle s’incrit à nouveau aux cours du soir en classe de seconde.
Pendant les deux années qui suivirent, elle partage sa vie entre le
commerce, l’école et les travaux domestiques chez sa tutrice.
Malheureusement, elle a raté son BAC en terminale et dus se résoudre
l’année suivante à espacer ses voyages à Sinkansé afin de se consacré à
l’école. Elle étudiait de façon plus assidue, importait ses ouvrages de
philosophie et de français au cours de ses voyages à Sinkansé. Au moment
pour la fouille des bagages à la frontière, la jeune fille profitait pour lire
plusieurs pages, assise sous la véranda du poste de police.
Dix-huit mois après qu’elle eut réussi à son BAC, elle fut intéressée
par une offre d’embauche du PNUD qui avait un projet de recruter sur
concours direct des agents contractuels de niveau baccalauréat. Les
candidats admis sont formés en informatique.
Le test de sélection eut lieu deux semaines plus tard et elle fut reçue
deuxième sur les dix enquêteurs qui étaient demandés, seules trois filles
furent admises.
C’est par là que la jeune fille s’est battu pour enfin trouver la porte
de la réussite.

2) Rôle d’une femme éducatrice


Ce fut le jour que Sœur Marie Thérèse a vu Angèle devant la porte de
Saint secours qu’elle croyait en maintenant vrai d’un tel visage qui l’était
apparu une fois dans ses rêves. Elle eut en tête de prendre en main
l’enseignement et l’éducation de cette jeune fille délaisser par sa jeune
mère.
Sœur Marie Thérèse qui prétendais être le seul parent d’Angèle
assurait convenablement les responsabilité en tant que mère éducatrice.
Cela se voyait par les manières indifférentes auprès de tout le monde au
sein de la maison d’accueil. Sa mère étant en contact avec l’une de ses
amies en France, décida alors de laisser sa fille se faire adopter pour qu’elle
aille poursuivre ses études. Elle ne revenait que les vacances au Burkina
pour visiter Sœur Marie et prendre notes pour ne pas oublier d’où elle
venait où voir même sa coutume. Elle resta à l’étranger pendant
longtemps, jusqu’à l’année ou elle a eu son BEPC que Sœur Marie

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demanda à nouveau un congé de deux semaines pour la jeune fille qui ne
s’avait ce qui l’attendais. Ce fut à cette époque que la mère d’Angèle passa
à la maison d’accueil pour tenter à nouveau de reconquérir le cœur de sa
fille qui pourtant était désespérer d’avoir pas vu ses deux parents.
Ces derniers va enfin réussir à trouver des explications pour sa bien
aimée grâce au soutien de son père qui était relier d’amitié à Sœur Marie.
C’est dans cette perspective que Sœur Marie Thérèse a pu accomplir son
devoir d’éducation en tant que mère adoptive.

IV) LA PORTÉE DE L’ŒUVRE


L’étude de l’œuvre nous a permis de comprendre à quel point une jeune
fille de seize ans peut être abandonner toute seule et elle finit par réaliser
tous les projets qu’elle envisageait grâce à l’envie, le désir et le bonheur qui
l’a poussait d’aller de l’avant. Pour finir, c’est la résilience du personnage
qui nous a frappé plus ce que tout. Son acharnement, sa détermination à
vivre.
Son combat pour survivre. On a rarement vu dans la littérature un
personnage féminin avec autant de force et de rebond. Sa vie est comme
une rose décharmée par de pétales et beaucoup d’épines. Ce livre est l’un
de ceux ayant bercé notre adolescence. Il nous a fait réfléchir, émouvoir,
nous questionner mais surtout espérer. Espérer car comme dit
Shakespeare : « si longue et si noire que soit la nuit, il vient toujours une
heure ou enfin le jour se lève ».

CONCLUSION
Judith est une adolescente burkinabè typique. Elle vit chez ses
parents, elle va au lycée. Elle cuisine avec sa mère. Judith a 16 ans c’est un
bel et bien un âge pour aimer. Elle est éperdument amoureuse. Seulement
elle n’y connait rien à l’amour, personne ne lui en a jamais parler. L’amour
est-ce une douce sensation ou plutôt un miel amer ? Et bien vous aurez la
réponse au fur et à mesure que vous lirez le roman. La force des choses
obligea Judith à grandir, à vieillir de façon précoce. Mais elle fut épaulée,
entre autres par sa tente qui la recueille chez elle. Elle poursuivra sa petite
vie, résolue, déterminée se fixant des objectifs et en les atteignant et en les

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surpassant progressivement les uns après les autres. Judith obtiendra son
bonheur. Sans rien demander à personne. Elle l’arrachera.

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