Vous êtes sur la page 1sur 32

Salento GUIDE

POUILLES

Carte du
Salento
A ne pas manquer…
LECCE
Lecce a été, pendant des siècles, un centre culturel, religieux et
commercial prospère. Aujourd'hui, Lecce est active dans les secteurs
de l'industrie agricole, des services et de la céramique. Elle est le
siège d'un archevêché, de l'université du Salento et un haut-lieu
touristique et artistique.
La ville de Lecce est réputée comme une importante ville d'art et
d'histoire et est considérée comme l'une des capitales de
l'architecture baroque du fait de l'originalité et de la richesse du style
architectural qui y a été développé à partir de la fin du XVIe siècle
(l'on parle même d'un barocco leccese, un « baroque de Lecce »).
Lecce a pour cette raison reçu des surnoms flatteurs tels que la
« Florence baroque » ou encore la « Florence du Sud » et est
considérée comme l'un des fleurons de l'Italie méridionale.

De fondation grecque - elle fut autrefois surnommée l' « Athènes des


Pouilles » - Lecce a dû faire face, au cours de sa longue histoire, à un
certain nombre d'invasions. La fondation de la ville de Lecce
remonterait au moins au IVe siècle av. J.-C. Mais selon la légende,
Lecce existait déjà avant la Guerre de Troie et portait alors le nom de
Sybaris, devenu par la suite Lupiae (ancien nom de Lecce en latin).
Entre 269 av. J.-C. et 267 av. J.-C., les Romains, qui étendent leur
domination vers le sud de la péninsule italienne, font la conquête du
Salento et de la ville de Lecce.
Beaucoup plus tard, la ville n'échappe pas à divers invasions,
pillages et destructions Les XVe et XVIe siècles voient de nombreuses
incursions dévastatrices des Ottomans survenir dans le Salento et
donc à Lecce. Ceci force le roi Charles Quint à entamer la
construction d'un château encore existant (château Charles Quint) et
d'une nouvelle enceinte défensive qui comprend l'imposante Porta
Napoli encore existante de nos jours. La victoire de la ligue
chrétienne à la bataille de Lépante en 1571 met définitivement fin à la
menace des incursions turques sur les côtes du Salento et à partir de
la fin du XVIe siècle commence pour Lecce une période de prospérité
et de croissance qui correspond à l'essor du style baroque dans la
ville.
Au XVIIe et XVIIIe siècle presque tous les édifices de la cité sont
reconstruits dans le style baroque développé dans la ville par les
architectes Gabriele Riccardi, Giuseppe Cino, Cesare Penna et surtout
Giuseppe Zimbalo, auteur du Duomo et la basilique Santa Croce, qui
peuvent exprimer toute leur verve créatrice dans la réalisation de décors
sculptés grâce à la malléabilité remarquable de la pierre locale, la pierre
de Lecce (pietra leccese en italien).
Sous la domination espagnole Lecce se transforme donc en véritable
chantier à ciel ouvert et de nombreuses nouvelles églises, palais et
couvents voient le jour alors que la ville s'agrandit. Cependant Lecce ne
traverse pas cette époque sans connaître quelques malheurs. En 1656
notamment, une terrible épidémie de peste ravage la ville. On a parlé à
l'époque de plusieurs milliers de victimes soit une très grande partie de la
population.
En 1734, après la brève domination autrichienne, le royaume de Naples
revient à nouveau à la couronne espagnole, avec cette fois les Bourbons à
sa tête. Craignant le retour des espagnols Lecce se rebelle et la noblesse
prend le pouvoir.
Le XIXe siècle marque également une période d'effervescence artistique :
la ville s'étend hors de ses murs. Ce sont surtout les villas aux styles
architecturaux audacieux et éclectiques (néoclassique, néo-moresque ou
néogothique), construites par les riches familles de la ville le long des
nouveaux boulevards, qui retiennent aujourd'hui l'attention. Ce siècle
marque néanmoins un déclin de la position de Lecce comme centre
culturel majeur du sud de l'Italie à cause la dissolution des ordres
religieux voulue par le régime napoléonien dans les années 1800. Lecce
se rallie à l'unité italienne en 1861 et son histoire suit alors celle du
Royaume d'Italie.
Elle traverse les guerres mondiales sans trop de difficultés. Cependant le
pouvoir fasciste mussolinien des années 1920-1930 entreprend de grands
travaux, notamment sur la place Sant'Oronzo, qui mènent au déblaiement
de l'amphithéâtre romain mais aussi à la destruction de palais anciens et à
la construction d'édifices modernes dans le style fasciste sur cette place
en plein cœur du centre historique. Mais, à part cette dénaturation, le
reste du noyau historique de Lecce est aujourd'hui pratiquement intact,
notamment grâce aux efforts importants de restaurations entrepris dans
la ville à partir des années 1970.
GALLIPOLI

Édifiée au bord la mer, sur le golfe de Tarente, Gallipoli est constituée de deux
parties distinctes : le Borgo et la vieille ville. La vieille ville est située sur une
île calcaire, reliée à la terre ferme par un pont et renferme un riche patrimoine,
notamment des XVIIe et XVIIIe siècle, hérité de l'activité portuaire de la cité. Le
Borgo est la partie moderne de la ville avec des constructions neuves, comme
par exemple, le palazzo di vetro, le palais de verre appelé aussi le gratte-ciel.

Gallipoli, forte de son riche passé commercial et artistique, vente plusieurs


monuments dignes d'intérêt dans la vieille-ville :
Le château-fort aragonais du XVe siècle qui garde la seule entrée de la vieille-
ville, bâtie sur une île.

Les nombreuses églises baroques de la ville dont notamment :

La cathédrale Sainte-Agathe (Cattedrale di Sant'Agata en italien), qui est la plus


grande et la plus décorée des églises de la ville. Sa façade en pierre de Lecce,
achevée en 1696, est un chef-d'œuvre d'ornementation et ses niches
renferment de nombreuses statues de saints. Elle a été inspirée des
réalisations de l'architecte de Lecce Giuseppe Zimbalo. L'intérieur est très
richement décoré, notamment par des artistes napolitains du XVII e et XVIIIe
siècle. On peut y admirer des toiles monumentales de Giovanni Andrea
Coppola, peintre local formé à Naples et des napolitains Nicola et Giovanni
Malinconico qui ont notamment réalisé l'immense toile plaquée contre le
plafond à la croisée des transepts, ainsi que la riche décoration du chœur,
tapissé de toiles sur les murs comme au plafond. En tout, l'église compte pas
moins de douze autels baroques dont le décor sculpté est particulièrement
raffiné. Dans le presbytère, un majestueux autel en marbre polychrome a été
réalisé par l'artiste de Bergame Cosimo Fanzago. Enfin, les voûtes de la
cathédrale sont entièrement recouvertes d'un plafond à caissons en bois doré
et orné de toiles.
L'église de Santa Maria della Purità, donnant sur le quai et la plage
homonyme. Edifiée entre 1662 et 1665 pour la confraternité des dockers,
l'intérieur de cette petite église est l'un des plus orné de la ville. En effet,
il présente un autel baroque renfermant une toile du célèbre peintre
napolitain Luca Giordano et surtout son plafond comme ses parois sont
entièrement tapissés de toiles: celles du plafond, représentant plusieurs
scènes de l'Apocalypse, ont été réalisées par Oronzo Letizia tandis que
les toiles ornant les murs ont été peintes par Liborio Riccio et sont
marquées par l'influence de Francesco Solimena. En outre l'église
possède d'intéressantes stalles en bois polychromes du XVIIIe siècle.

L'église de San Francesco d'Assisi. La fondation de cette église remonte


au XIIIe siècle mais son aspect actuel, baroque, date des XVIIe et XVIIIe
siècle. Sa façade est intéressante par la terrasse de forme concave
qu'elle présente. L'intérieur abrite dix autels baroques ainsi que des
toiles datant de différentes époques et des sculptures dont une crèche
du XVIesiècle réalisée par le sculpteur Stefano da Putignano.

La chapelle du Crucifix, commanditée par le gentilhomme espagnol don


Josè della Cueva, est remarquable par sa décoration, notamment pour
ses deux statues de Vespasiano Genuino représentant les deux larrons
et dont le réalisme morbide particulièrement frappant a marqué Gabriele
D'Annunzio, qui visita la ville en 1895, et qui a parlé à leur sujet d'une
"horrible beauté".

La fontaine grecque. Située à l'entrée de la ville, cette fontaine d'origine


antique a reçu son aspect actuel à la Renaissance. Richement sculptés,
ses bas-reliefs reprennent le style antique et représentent des scènes
mythologiques.

De nombreux palais (palazzi en italien), résidences des familles nobles


de la ville.
Plusieurs d'entre eux présentent des façades baroques ou rococo
ouvragées ainsi que des salles décorées. Parmi les plus remarquables on
peut citer le Palazzo Pirelli, face à la cathédrale, qui mêle des éléments
de la Renaissance (le portail catalo-durazzesque) et de l'époque baroque
(décoration intérieure sculptée), le PalazzoTafuri (XVIIIe siècle), le
Palazzo Granafei du XVIe siècle avec son pressoir à huile souterrain et
des épigraphes relatives à la domination espagnole
OTRANTO
Située près de Lecce le long d'un merveilleux trait de la côte
adriatique aux eaux cristallines, Otrante est aujourd'hui une
ville touristique qui conserve de véritables bijoux artistiques et
architectoniques.
Son nom, aussi bien que son histoire, est lié à l'eau: les
Romains l'appelaient Hydruntum pour la présence du fleuve
Hydrus. Mais sa fondation remonte sûrement à une période
précédente.
Le territoire était déjà habité en époque Néolithique (Grotte des
cerfs), comme le témoignent les monuments mégalithiques
qu'on retrouve tout autour de la ville.
La légende dit que la ville a été fondée par Idoménée, mythique
héros crétois qui participa au siège de Troie. Mais l'hypothèse
historique la plus probable c'est qu'elle ait été fondée par des
navigateurs provenant de Crète ou de Mycènes qui
débarquèrent sur les côtes de l'Italie du Sud au début du
premier millénaire avant Jésus Christ.
Passée aux Romains après les guerres contre Pyrrhus, elle
devint municipium en 165 av. J. C. et, grâce à son essor
économique, elle accrut ses richesses et devint un important
port commercial sur la route des provinces orientales de
l'Empire. Rome reconnut son importance en lui conférant le
droit de frapper sa monnaie (162 ap. J. C.).
A la suite des invasions barbares des Visigoth (411) et des
Vandales (455), et de la domination des Ostrogoths, Otrante,
ainsi que toute la région, passa sous les Byzantins (553) après
la guerre grecque gothique.
En 757 la ville fut conquise par les Longobards, mais leur
domination dans le sud des Pouilles ne dura pas longtemps et
bientôt le pouvoir retourna dans les mains des Byzantins.
Les Sarrasins la pillèrent en 845, après avoir pris Brindisi (838)
et Tarente (840).
Otrante fut ensuite le dernier bastion du pouvoir impérial de Constantinople à tomber lors de
la montée au pouvoir des Normands qui conquirent la ville en 1070, commandés par Robert
Guiscard. Les Normands firent construire de nouveaux remparts.
Fortifiée de nouveau au XIII siècle par l'amiral Roger de Lauria, elle fut conquise en 1348 par
Louis I le Grand, roi de Hongrie, angevin.
Après la montée au trône des Aragonais, Otrante aussi passa sous les Espagnols, gouvernés
par Ferdinand I d'Aragon.
En 1480 la ville fut assiégée pendant deux semaines par la flotte turque commandée par
Ahmet Pasha. La population ne voulut pas céder, même quand les Turcs entrèrent dans la
ville, et fut presque entièrement massacrée. Ne se sauvèrent que des femmes et des enfants
et l'Abbaye de Saint Nicolas de Casole fut incendiée avec son immense bibliothèque.
Le 10 septembre 1481 les troupes Aragonaises reprirent la ville et leur successeur,
l'empereur Charles V d'Habsbourg, fortifia de nouveau la ville et modifia le château. Le Turcs
firent de nouvelles attaques pendant plus d'un siècle, mais il furent toujours repoussés
(1614, 1644).
Pendant quelques années Otrante appartint aussi à Venise (1496-1504).
La reconstruction et la blessure de l'invasion turque imprimèrent sur la ville une marque telle
qu'il lui fallut des siècles pour s'en débarrasser: le XVII fut un siècle de récession
économique aussi bien que le XVIII au cours duquel montèrent au pouvoir les Bourbon.
L'expérience républicaine due à la descente de Napoléon en Italie (1799) et à la successive
naissance de la République de Naples (1806), bien que de brève durée, eut le mérite de faire
naître les idéaux patriotiques qui eurent dans les mouvements de 1821 et 1848 leur plus
grande manifestation à laquelle la ville d'Otrante participa activement.
En 1861 Otrante fut annexée au Règne d'Italie gouverné par les Savoia.
La visite de la ville peut partir de la zone touristique de la promenade d'où, à travers une
porte, on accède au bourg ancien où on peut prendre un repas en jouissant de la vue
panoramique sur la baie. Non loin se trouve la Cathédrale (1080-1088) qui abrite un pavement
de mosaïque (1163-1165) représentant l'arbre de la vie, du moine Pantaleone.
Un autre bijou d'Otrante, c'est l'église byzantine de Saint Pierre qui remonte au IX siècle et
qui abrite des fresques précieuses.
A visiter sont aussi la Chapelle du Saint Esprit ou de la Vierge dell'Altomare (haute mer) et le
sanctuaire de Sainte Marie des Martyres, érigé sur le lieu où 800 habitants d'Otrante furent
décapités par les Turcs en 1480.
En montant un peu on arrive au grand Château fait construire par Frédéric II de Souabe en
1226 et modifié ensuite par les Aragonais (XV siècle) et par l'empereur Charles V (XVI siècle).
NARDO’
Selon la légende Nardò aurait été fondée par des voyageurs qui cherchaient un lieu
pour s’ installer. Ils voyageaient avec des animaux et c’est précisément où se trouve
Nardò qu’un taureau commença à gratter la terre et fit jaillir l'eau (taureau que l’on
retrouve sur les armoiries). Il ne s’agit que d’une légende mais suite aux découvertes
effectuées dans les grottes Venere et Fico, on estime que son origine remonte à l’âge
pré-messapien.
D’autres découvertes réalisées dans la Grotte Uluzzu prouvent que l'homme peuplait
cette zone à l’époque paléolithique. Sur ce même territoire ont été découverts les
vestiges d'un village de l’Âge de Bronze et des pièces du néolithique.
En 269 Av.-J.-C. elle fut assiégée et conquise par les Romains qui y firent passer la Via
Traiana-Appia. Aux Romains succédèrent les Byzantins.. En 1055, les Normands
s'emparèrent de la ville, guidés par Sanfrido qui devint le premier Comte de Nardò. Son
successeur, Geoffroy , y fit construire la Cathédrale et fortifia la ville.
Les premiers seigneurs féodaux furent les Gentile qui obtinrent le fief en 1212 par
Frédérique II. Cependant, lorsque celui-ci fut excommunié, les Neretini se révoltèrent
contre les Gentile. En 1255 les Sarrasins attaquèrent la ville. Manfredi, fils de Frédéric
II, s'allia alors avec les Sarrasins pour reprendre le trône.
D’autres seigneurs se succédèrent tels que les Tuzziaco, les Guidone d'Alemagna, les
d'Angiò, les Orsini Del Balzo, les Sanseverino puis Ferdinand d'Aragon et à nouveau les
Del Balzo. En 1497 le fief passa à Andrea Matteo Acquaviva ; son successeur Belisario
devint duc et garda le fief de la famille pendant trois siècles jusqu'en 1806, année qui
marque la fin de la féodalité.
Nardò connut sous la domination des Acquaviva un essor économique et culturel
Plusieurs ordres religieux se développèrent et se succédèrent au cours des siècles : les
Frères Mineurs (1497), les Carmes (XVIe siècle), les Capucins (XVIIe siècle), les
Augustiniens et les Carmélites (XVIIe siècle). Parmi les personnages importants de
Nardò il faut retenir en particulier Antonio Caraccio et Mauro Manieri. Le poète Carracio
reçut à Venise le titre de Chevalier de San Marco après avoir dédié un très beau poème
à la ville. Il s’installa à Naples où il collabora avec l'Académie Philosophique des
Étudiants et mourut en 1702. Manieri est un des grands noms de l'art baroque et
rococo, on lui doit parmi les plus belles églises du Salento.

A voir : son centre historique, la Cathédrale du XIème siècle, le château du XVème


siècle (autrefois résidence des Acquaviva, aujourd’hui siège de la Mairie), le monastère
S. Chiara, l’église de S. Trifone et le Tribunal, tous construits au cours du XVII ème
siècle.
CENATE (NARDO’)
Les Cenate font partie de la commune de Nardo, province de Lecce. On y
trouve de nombreuses villas anciennes et de construction récente.

Géographie
On accède aux Cenate en partant de Nardo et en se dirigeant vers les
stations balnéaires de Santa Caterina et Santa Maria al Bagno.

Architecture et environnement
Les villas
On y compte une vingtaine de villas, la plupart construites à la fin du XIXème
siècle et début XXème.
Les plus anciennes datent du XVème, XVI et XVIIème siècle.

Une plurarité de styles


C’est en se promenant à pied ou en vélo sur les chemins étroits de la
campagne environnante que l’on peut découvrir ces magnifiques demeures
de style baroque, mauresque ou encore Liberty.

Les demeures historiques


Parmi celles-ci, deux sont particulièrement intéressantes du point de vue
historique : la Villa de l’Evêque, demeure estivale de l’évêque de Nardo, et la
plus ancienne de toutes, la splendide villa Taverna qui aurait été construite
au XVème siècle et aurait servi de lieu de repos pour des cavaliers.
Elle était située sur une route antique qui partait de Galipolli jusqu’à
Avetrana et Taranto selon un tracé romain.
PARC DE PORTO SELVAGGIO
(NARDO’)

Le Parc Naturel Régional de Porto Selvaggio et les Marais du


Capitano sont situés le long de la côte ionienne et
appartiennent à la commune de Nardo’ (Lecce).
« Zone d’intérêt régional » depuis 1939, c’est en 2004 qu’il
devient Parc National. Le Parc de Porto Selvaggio s’étend de la
baie de Frascone (au nord) à la Torre (tour en italien) dell’Alto
(sud) pour une superficie d’à peu près 1000 hectares.
Il englobe 3 sites SIC (Site d’Importance Communautaire) :
Torre Uluzzo, Torre Inserraglio, et les Marais du Capitano avec
de nombreux sites archéologiques comme Frascone, Serra
Cicora, et une dizaine de grottes préhistoriques.

Le Parc peut être divisé en deux grandes zones : une zone


forestière (pinède) bordée par une côte rocheuse appelée
« Porto Selvaggio » et une zone de marais « Palude del
Capitano ». Toutes deux ont une faune et une flore très riches.

Les amoureux de la nature seront séduits par ses paysages


sauvages et enchanteurs dont le charme opère à chaque
saison : silencieux et apaisant en automne, en hiver et au
printemps, riche en couleurs et animé en été, le chant des
cigales accompagnant les visiteurs sur les sentiers menant à la
plage. La mer, limpide, turquoise, attire de nombreux
plongeurs.
SANTA MARIA AL BAGNO
Connue par le passé sous le nom de Sancta Maria de Balneo ou Sancta
Maria ad Balneum, la ville est très ancienne (préhistoire), comme en
témoignent les nombreux vestiges archéologiques retrouvés dans la
“Grotta del Fico”.
Elle était probablement à l’origine un port de pêche habité ensuite par les
Messapiens et par les Romains.
On a retrouvé de nombreuses tombes creusées dans la roche de l’époque
des Messapiens.
En 272 av. J.C., Santa Maria est, comme tout le Salento, contrôlée par les
Romains qui y construisent le port “Emporium Nauna”, un centre thermal
avec des bassins pour les bains.
Furents construits au XII ème siècle une abbaye et un grand monastère pour
les Chevaliers Teutoniques. Santa Maria devint ainsi un important lieu de
repos pour les pélerins des croisades.
Au Moyen Âge, après de nombreuses attaques et pillages par les pirates et
les Sarrazzins, elle fut peu à peu abandonnée. Les Sarrazzins détruisirent
les édifices, l’église, les thermes.
En 1484 les Vénitiens achevèrent de détruire la ville après la chute de
Gallipoli. Les habitants se réfugièrent dans les villages situés dans les
terres.
Au XVI ème siècle, Carlo V fit construire la “Torre del Fiume di Galatena”
(Tour du fleuve de Galatena) pour défendre les sources d’eau douces où
s’approvisionnaient les pirates.
Après des siècles d’abandon, de splendides villas commencèrent à être
construites à quelques mètres de la mer par des familles de nobles qui les
utilisaient pendant la saison estivale comme résidences secondaires.
La véritable reconstruction commença à la fin du XIXème siècle et fut
effectuée par des habitants de Nardo, dont elle fait partie. Ils décidèrent d’en
faire une station balnéaire.
Entre 1943 et 1947, l’armée alliée décide d’accueillir à Santa Maria al Bagno et
dans ses alentours plus de 100 000 Juifs rescapés des camps d’extermination
nazis en route vers le tout jeune Etat d’Israël. Certanis édifices sont “convertis”.
Une des maisons de la place princupale devient une Synagogue et dans la
masseria “Mondonuovo” est créé le kibbutz “Elia”. Il y avait parmi eux Ben
Gurion, Moshe Dayan, Dov Shilansky et Golda Meir. Le 27 janvier 2005, pour
récompenser Santa Maria al Bagno de cet accueil, le Président de la République
Carlo Azeglio Ciampo remet à la ville la Médaille d’Or du Mérite Civil.
Témoins de cette période, les fresques murales réalisées par quelques
déportés (et en particulier par Zivi Miller )ont fourni l’occasion de créer le
Muséee de la Mémoire et de l’Accueil, inauguré le 14 janvier 2009. On peut y
admirer d’autres fresques mais on y trouve également de nombreux documents
relatifs à cette période de l’histoire.

Torre del Fiume di Galatena

La Tour du fleuve de Galatena est une des nombreuses tours présentes le long
de la côte et construite par Charles V au XVIème siècle afin de défendre le
territoire des attaques des Sarrazins. On y trouve une source d’eau douce,
également connue et convoitée par les pirates qui venaient s’y approvisionner
régulièrement. Charles V décide donc de protéger cette source et érige ainsi une
tour. La tour
La partie centrale s’écroula probablement peu de temps après sa construction
suite à une attaque ou à un tremblement de terre. Ne subsistent aujourd’hui
que les quatre bastions. C’est pourquoi la tour est aussi appellée “Quatre
Colonnes”.

A VOIR : les villas, les fresques de Zivi Miller, necropole "Mondo Novo“, les
Thermes, Grotte du Fico, Quattro Colonne
OSTUNI
La petite ville d'Ostuni, également appelée la "ville blanche", évoque
les villages des îles grecques.
Elle est située dans la province de Brindisi, à quelques kilomètres
des côtes.
La vieille ville, pittoresque, entièrement peinte à la chaux blanche, est
un dédale de ruelles à découvrir.
Elle vit principalement du tourisme, dont les plages situées à 8 km
attirent beaucoup de touristes, ainsi que de la culture d'oliviers et de
la vigne.
La zone d'Ostuni est habitée depuis l'âge de pierre. La ville a été
fondée par le peuple italique des Messapes, au VIIe siècle avant notre
ère.
Lors des guerres puniques, elle fut détruite par Hannibal et
reconstruite par les Grecs. Le nom d'Ostuni viendrait peut-être de
« Astu » (ville fortifiée) et Neon (nouveau).
Parmi les édifices historiques de la ville il ne faut pas manquer la
cathédrale (XIVe sècle), le palais épiscopal, et de nombreux palais de
famille.

CASTRO
Castro est un centre de pêche antique et une station balnéaire
probablement à l’origine grec ou crétois. De nombreuses traces
témoignent de son passé glorieux.
D’un point de vue historique, le village est certainement l’héritière de
la Castra Minervae romaine et fut au Moyen-âge siège episcopal.
Sous la domination normande, la ville devenait comté puis, au
XVIème siècle, une véritable place forte.
La route littorale coupe Castro en deux : Castro Marina (qui a obtenu
le prestigieux drapeau bleu européen bandiera blu) et Castro
Superiore.
Maria Santissima Annunziata, fêtée le 23 et le 24 avril de chaque
année, est la patronne de Castro.
ALBEROBELLO (Provincia di Bari)
Le village d’Alberobello fait partie du Patrimoine Mondial de
l’UNESCO en raison de sa particularité architecturale : des
habitations circulaires appelées “Trulli”, avec un toit en forme
de cône, construites à sec avec des éclats de pierre calcaire
appelés “chiancole”. Leur origine remonte à la seconde moitié
du XVIème siècle, lorsque les Comtes de Conversano
autorisèrent les paysans qui travaillaient dans les champs de
la région à construire des habitations en pierres sèches, sans
utiliser de mortier, de manière à ce qu’elles puissent êtret
démontées facilement en cas d’inspection royale, et, par
conséquent, qu’ils n’aient plus à payer l’impôt pour la
construction permanente d’un village. Ceci resta en vigueur
jusqu’à la fin du XVIIIème siècle. Alberobello est divisé en
deux quartiers, “Aia Piccola” et “Monti”, On peut y admirer les
“trulli siamesi”, la “chiesa a trullo” et le “trullo sovrano” avec
une structure sur deux niveaux. A voir également : le musée,
« Museo del Territorio ».

SANTA CESAREA TERME

Santa Cesarea Terme, station thermale connue depuis 1899,


est située au pied d’une colline verdoyante. On peut y admirer
des villas aux architectures très éclectiques, notamment la
plus connue : la villa Sticchi de style mauresque. Santa
Cesarea est réputée pour ses eaux sulfurées qui jaillissent
des quatre grottes voisines: Gattulla, Bagno Marina, Solfurea
et Fetida. A quelques Kilomètres plus au sud se trouve Porto
Miggiano, magnifique petit port creusé dans les falaises. La
mer bleu turquoise fait le bonheur des baigneurs.
ZOO SAFARI FASANO
Fasano, brindisi, Puglia, italia
Le Zoo Safari de Fasano est un des plus grands zoos d’Europe et le
plus grand d’Italie. On y compte plus de 200 espèces d’animaux.
Les parcours visiteurs sont variés :
safari en voiture, à pied dans le jardin zoologique, la salle
ornithologique, , la salle tropicale avec un acquarium et un reptilarium,
et pour finir un delfinarium pour une durée de visite d’environ 3 heures.

http://www.zoosafari.it/

SANTA MARIA DI LEUCA


Santa Maria di Leuca se trouve à l'extrême pointe du talon de la botte
italienne, là où se rejoignent la Mer Ionienne et la Mer Adriatique.
Leuca était un point de rencontre et un passage obligatoire pour ceux qui
se déplaçaient de la méditerranée occidentale à l’Orient. Grâce à la
découverte des restes d’un village datant de l’âge de bronze et d’
inscriptions messapiennes à l'intérieur des grottes disséminées le long
de la côte, il est ainsi prouvé que ce lieu est habité depuis la préhistoire.
L'homo sapiens aurait ainsi habité dans la célèbre Grotte du Diable.
Selon la légende Leuca fut fondée par Idoménée. Certains historiens
affirment que qu’elle aurait été fondée par les Phéniciens. Plusieurs
peuples conquérants se succédèrent : les Goths, les Lombards, les
Grecs et les Sarrazins.
En 1500, Gonzaga, seigneur féodal, fit construire l'actuelle tour pour
protéger le territoire des incursions des pirates. En 1527, Philippe II fit
construire une deuxième tour, mais tous les efforts pour renforcer la
défense étaient inutiles face aux attaques des pilleurs. La population dû
se déplacer vers les terres et laisser la côte pratiquement déserte.
Leuca se repeupla à partir de 1873 grâce à la construction de nouvelles
habitations parmi lesquelles de majestueuses villas et par la restauration
de certains édifices.
LOCOROTONDO (BARI)
Locorotondo, du latin locus rotundus, est un nom de lieu
provenant du Moyen Âge. Il désigne la colline ronde sur
laquelle a été bâti le village.
La première occupation des lieux date de l'ère byzantine (avant
le XIe siècle), juste avant les conquêtes normandes. Le lieu fut
d'abord le fief du monastère bénédictin de Monopoli, plus tard
des cavaliers de Saint Jean de Jérusalem et, finalement, des
Aragonais.
Le pays de Locorotondo est marqué par un habitat rural
dispersé où les habitations à trulli, disposées autour d'un
communal (jazzile), sont légion. Ce type d'habitat a pour
origine principale le recours au bail emphytéotique par les
grands propriétaires terriens du XIXe siècle en vue de la
création de parcelles de vigne.

A voir :
- la vieille Porte Napoli, entrée principale de la ville ;
- l'Église de la Madonna della Greca, monument national ;
- l’Église-mère de Saint-Georges le martyr, édifiée en 1578 ;
la tourelle de l'horloge (1819) ;
- le Palace Morelli, demeure aristocratique baroque (début
XVIIIe).

La ville ancienne comporte des habitations typiques


rectangulaires au toit en bâtière (les cummerse, au singulier
cummersa), couvert de lauses (chiancarelle) comme le toits
des trulli.
Cartes
SANTA MARIA AL BAGNO

Restaurant
Art Nouveau

Restaurant La Pergola

Poste
(Via Mazzini
Agenzia Liliana
32)
Immobiliare (agence
immobilière)
Nous sommes
ici :
Via Giovanni
Pietro
d’Alessandro,
11

Marché couvert : Via dei Basiliani

Supermarché le plus proche : Via Golda Meyer


NARDO
Des côtes sublimes : plages et rochers où
se poser…
Spiaggia del Tabù - Torre dell’Orso
Porto Cesareo

Parco
Nazionale di Baia dei turchi
Porto
Selvaggio

Porto Badisco
Lido
Conchiglie

Santa Maria al Santa Cesarea Terme


Bagno

Lido Pizzo –
Stabilimento Punta della
Suina Grotta zinzulusa

Pescoluse
Ciolo
LECCE
LA FLORENCE DU SUD
A NE PAS MANQUER

FIN
BAIA DEI TURCHI
UN DERNIER BAIN DANS LES
EAUX TURQUOISES DE LA BAIA
DEI TURCHI AVANT LECCE

OTRANTO
VILLE A L’EXTREMITE ORIENTALE
DE L’ITALIE, A NE PAS MANQUER

PORTO BADISCO
LE LIEU IDEAL POUR DEGUSTER
DES OURSINS

SANTA CESAREA
CONNUE POUR SES THERMES

GROTTA DELLA ZINZULUSA


SPLENDIDE GROTTE A VISITER
AVEC UN GUIDE (PRIX : 4
EUROS/PERSONNE )

TRICASE PORTO
POUR UN DEJEUNER AU
Quand vous arrivez au RESTAURANT BELVILLA
phare de Santa Maria di
Leuca, allumez la radio, SANTA MARIA DI LEUCA
et choisissez une station DEBUT : DE MAGNIFIQUES VILLAS
grecque (nous sommes à MAURESQUES
DEBUT 70km de Corfu-Grèce)
puis commencez votre
voyage vers Otranto
ALBEROBELLO
La capitale des Trulli est unique en son
genre. C’est ce qui a poussé l’Unesco à
l’élever au rang de patrimoine mondial de Parc National du
l’humanité. Gargano, s'étend sur
118 144 hectares, ce qui
CASTELLANA-GROTTE Gargano en fait l'une des réserves
Castellana Grotte possède un centre les plus vastes d'Italie. Il
historique regorgeant d’églises et de englobe également
splendides palais aristocratiques du l'archipel des îles Tremiti.
XVIIIe siècle. Le 23 janvier 1938, le Castel del Monte
spéléologue Franco Anelli découvre les
grottes de Castellana, qui se déroulent
sur trois kilomètres le long d’un
souterrain, à des dizaines de mètres de
profondeur. On y découvre des Castellana Grotte
formations d’albâtre, des stalagmites et
stalactites de millions de couleurs, des
petits lacs souterrains et de fantastiques
cavernes, témoignant d'anciennes
Alberobello
civilisations préhistoriques.

LOCOROTONDO Locorotondo
Située à l’extrémité orientale de la
province de Bari, elle est particulièrement
connue pour son vin blanc.
Ostuni
OSTUNI
Connue sous le nom de «Ville blanche »,
pour ses maisons blanchies à la chaux.
Ostuni est un site majeur de production
d’huile d’olive, de vin et d’amandes.

CASTEL DEL MONTE-ANDRIA


Le Castel del Monte est un château italien
du XIIIe siècle construit par l'empereur du
Saint Empire, Frédéric II de Hohenstaufen.
L'édifice est inscrit à l'inventaire des
monuments nationaux italiens depuis
1936, et sur la liste du patrimoine mondial
de l'Unesco depuis 1996.Il se dresse au
sommet d'une colline qui domine la
chaîne des Murges occidentales, à 540 m
au-dessus du niveau de la mer.
Où manger dans
les environs…
Ristorante Pizzeria Quattrocolonne Ristorante Bar Pizzeria Le Terrazze
( dans une tour datant de 1596) 73048 Santa Caterina (LE) 3, VIA MICCA P.
Viale Lamarmora, Santa Maria al bagno tel: 0833 574223

Ristorante Pescheria La Reggia Ristorante


Ristorante Art Nouveau (cuisine 73048 Santa Maria Al Bagno (LE) VIA LITORANEA
méditerranéenne chic, spécialité poisson) Santa
Maria Al Bagno (LE) 6, VIA PUCCINI RIistorante - Ginetto
tel: 0833 573671 Filieri Luigi Trattoria -Loc S. Maria Al Bagno
73048 Nardò (LE) VIA LAMARMORA
tel: 0833 573330
Ristorante La Pergola ( très bon rapport qualité
prix)
Il Bastione S.N.C. Di Russo Lucia & C.
73048 Santa Maria Al Bagno (LE) 5, PIAZZA
73014 Gallipoli (LE) 28, VIA SAURO NAZARIO
NARDO'
tel: 0833 261122
tel: 0833 573008
La Puritate
Ristorante Rossini - Al.Mar. Srl 73014 Gallipoli (LE) 18, VIA SANT'ELIA
73048 Nardò (LE) 25, VIA LAMARMORA tel: 0833 264205
tel: 0833 573009 Marechiaro
73014 Gallipoli (LE) LUNGOMARE GUGLIELMO
Antica Roma Sas Di Distante Addolorata & C MARCONI
(cuisine romaine typique) tel: 0833 266143
73048 Santa Maria Al Bagno (LE) 5, PIAZZA
NARDO‘ Aretè – Trattoria, Prov.le Cavallino Caprarica km. 2
tel: 0833 574782 Cavallino – 337/826761 337/826761
(excellente trattoria)
LOCATION VELOS,
SCOOTERS, BATEAUX,
EQUITATION…

Turismo d'autore.com s.r.l ADM Tour


via Sorelle Marinaci, 75/a 73048 Nardò (LE)
Tel: +390833572081 +390833572
081 Fax: +390833874504

SIEGE ESTIVAL
S.Maria al Bagno
Lungomare Lamarmora
Tel. + 393277513787 + 39327751
3787
SPLASH – Parc aquatique
CONTACT :

Voyages : info@turismodautore.com Route côtière pour Santa Maria al Bagno, Loc.


Groupes : gruppi@turismodautore.com Rivabella, 73014 - Gallipoli
Tel: 0833273400
http : //www.turismodautore.com/
Web: www.splashparco.it

E-mail: info@splashparco.it
Immersione
Les fonds marins sont parmi les plus beaux, avec de
nombreuses épaves entre Gallipoli et Porto Cesareo et de
nombreuses grottes dont la plupart sont encore inexplorées.
Vous pouvez plonger de nuit comme de jour avec l’instructeur du
Diving club Costa del sud Andrea Costantini.

Siège :
Lungomare, 6 - 73050 Santa Caterina di Nardò (Le)
Ou (été) Santa Maria al Bagno (porto)

Telefono contatti:
Andrea - 335.5273823
Federico - 347.7031404
Angelica - 333.4834830

Coordinate : N 40° 08' 396" - E 017° 59' 120"

E-mail: info@costadelsud.it divingcostadelsud@libero.it


Nightlife
FICO D’INDIA Porto Selvaggio

RIO BO’ Fashion clubStrada prov.le Lido Conchiglie-Sannicola info 0833 275080

GIBO’73034 Gagliano Del Capo (LE) VIA LOCALITA' CIOLO tel: 0833 548979

PRAIA73014 Gallipoli (LE) VIA LITORANEA S. MARIA DI LEUCA tel: 0833 277384

QUARTIER LATINOGallipoli,Lido Conchiglie info 0833 209427


Casablanca Contrada cucchiara 73048 Porto Selvaggio (LE)

BAHIALitoranea alimini Otranto (LE) 3384862297

BLUBAYVia sant’antonio, Castro (LE) 0836 589268

BIARRITZ( disco pub) Gallipoli, litoranea Rivabella info 0833 209042

CHIKO’ Riviera di Ponente – Porto Cesareo

CAPORAIS (Discoteca) Gallipoli Info: 0833/263033

CIAK Castrignano dei Greci LecceInfo: 0836/583420

LIVING Maglie (Lecce) Info: 0836423619

MALE Santa Cesarea Terme

PREMIER Gallipoli

GUENDALINA (Discoteca) Santa Cesaria Terme Info: 0836/949740


GOLF
Acaya Golf Club:
Parcours 18 trous par 72- domaine de 100 hectares
Le parcours se déroule sur une zone d’épaisse végétation
méditérranéenne. (chênes verts, oliviers, plantes sauvages) bordé
par deux lacs.
L’Acaya Golf Club comprend un terrain d’entraînement, un
pitching green et putting green.
Son club house est située dans une ancienne masseria datant du
XVIII ème siècle.

Masseria S. Pietro
Acaya (Vernole) - LE
Tel e fax: 0832 861378
http://www.acayagolfclub.it/

Gallipoli Golf Glub:


Créé en 1990, le Galipolli Golf Club a un parcours de 4 trous par
14 et se trouve entre les villes de Casarano et Melissano.

Le terrain est petit mais idéal pour ceux qui souhaitent d’initier au
golf ou pour les golfeurs souhaitant s’entraîner pendant leurs
vacances dans le Salento.
Ses étangs attirent de nombreux oiseaux.

S.P. Melissano/Casarano
SS 274 Gallipoli - SM di Leuca: après 7km sortie Casarano
Après 2 Km tourner à droite vers le Gallipoli Golf Club.
Cours de cuisine à Lecce
Anna Maria Chirone Arnò
FNPC Personal chef
via Lupiae n.29 73100 Lecce tel.0832/396817
cell.368/251006
Auteur de "IL GUSTO DEL TACCO D'ITALIA“
www.ilgustodeltacco.com
mail: annamaria.chirone@peccatidigola.info
Responsable au siège de Lecce de l’école de cuisine
Peccati di gola di Roberta Molani
http://www.peccatidigola.info/sede.asp?id=7
Skype: annamaria.chirone
Via Giovanni Pietro d’Alessandro, 11 Via Lata, 29
73050 Santa Maria al Bagno (LE) 73048 Nardo’ (Le)
0039 3476126140 0039 3 476126140
0033 (0)648633946 0033(0)648633946

www.hmdomus.com
info@hmdomus.com

Vous aimerez peut-être aussi