Université d'Alger 1

Yousef ben kheda

Département architecture

COMPTE
RENDU:
le texte Le thème de l’arc de triomphe dans l’architecture urbaine
à la Renaissance, entre pouvoir politique et pouvoir religieux est
extrait du livre d’Yves Pauwels MARQUÉ LA VILLE d’après l’Éditions
de la Sorbonne.

Le texte nous informe sur l’arc de triomphe dans l’architecture

urbaine à la Renaissance.

En premier, une citations de commentaire de Cesare Ce Soriano

expliquant que des cités asservies, trophées et enfin arcs de
triomphes, ont durablement marqué Rome et d’autres arcs,
D’autres villes de l’Empire Et ont également marqués les esprits des
artistes pour les décors des peintures, avant que les architectes ne
fassent renaître les monuments. Ensuite il dit que l’arc de triomphe
est un monument très important lors du Quattrocento ce qui
montre l’image du pouvoir politique italien.
Il a motionné que Bien qils marquent une importante recherche
originalité,Les portes monumentales de la ville, Porta Palio, Porta
Nuova et Porta San Zeno,Montrer clairement la puissance de la ville
en même temps que la puissance de la ville.La République de
Venise, qui gouverne tout le pays.

Porta Palio, extérieur, sont des variations sur le modèle de porte de

Spoleto, reproduit par Serlie8 et bien connu des architectes de la
Renaissance. Antonio de Sangallo le Jeune A conçu l’arc de
triomphe dorique, resté inachevé, pour la Porta Santo Spirito a
Rome, qui jouxte le bastion destiné aux nouvelles fortifications
recherchées par elle Paul III pour protéger le Vatican. Serlio
Témoigne de la confusion en déclarant dans son Terzo libro de 1540
Porta Leoni de Vérone parmi les monuments triomphaux

Précision de type d’utilisation du thème triomphal qui se dessine

Clairement dans le Cinquecento : la porte de la ville, un épisode
somptueux du système des murs. Variations gratuites sur thème
rythmique de l’arche antique, ils innovent cette porte en la
combinant avec le patron rustique, qui exprime leur force et leur
rôle militaire. L’occasion d’un triomphe, provisoire ou définitif sous
l’empire, et qu’une ville, généralement confinée à deux ouvertures,
et défendue par des tours.

L’auteur ajoute que les villes de la Renaissance mettent des voûtes

sur les portes de leurs Enceintes, et que ça arrive que les rues et les
places soient décorées, dune architecture Triomphale à l’occasion
des fêtes et surtout des entrées cérémonielles. Sébastian Serlio le
affirme que L’arc de triomphe en marbre n’est plus d’actualité car la
cérémonie triomphale elle-même n’est plus pratiquée.

Le pouvoir des grandes familles hésitait à se manifester de manière

aussi manifeste dans la ville. Signes de domination et de gloire
Militaire, références antiques explicites, arcs de triomphe n’ont
cependant été que très peu utilisés dans l’architecture privée de
l’Italie de la Renaissance. L’arc de triomphe reste associé
l’architecture publique, et le principe de déçus limite son usage à
l’architecture privée, aussi Grandiose et monumentale soit-elle.

En revanche, il existe des châteaux plus grandioses dans des fiefs

lointains : le connétable de Montmorency exhibe de somptueux
arcs de triomphe sur les façades de son château d Écouen, Diane de
Poitiers célèbre la mémoire de son défunt mari, len sénéchal de
Brézé, tant sur le portail et à la cour Plus généralement, la référence
aux arcs antiques est fondamentale dans architecture sacrée.
Colonnes, chapiteaux et entablement restent discrets à l’extérieur,
épanouissant plus librement à l’intérieur ; et de toute façon le
thème triomphal n’apparaît guère. Plus généralement, un palais,
qu’il soit florentin ou romain, ne montre au peuple qu’ une façade
relativement auster

Enfin Yves Pauwels parle de Architecture italienne qu’offre

Palladio, une autre interprétation triomphale de la façade de
l’église, qui marque de façon spectaculaire le profil de la ville de
Venise, typiquement palladienne elle reste limitée à Venise.

Présenté par :Chaib wissal

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