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S O U S L A P R É S I D E N C E D E S . A . R .

L A P R I N C E S S E D E H A N O V R E

Concert symphonique
DIMANCHE 10 MARS 18 H
AU D I TO R I U M R A I N I ER I I I

Au cœur de la musique
SAISON 23I24
GRANDE SAISON
DIMANCHE
10 DÉCEMBRE 2023
18H
AUD I TO R I UM R AI NI ER I I I

direction K az uki Yamada


piano Piot r Ander s zews k i

Concert symphonique
Célébration de la Saint-Valentin
Ludwig van
BEETHOVEN
König Stephan (Le Roi Etienne), ouverture, op. 117
Concerto pour piano n°5 en mi bémol majeur, op. 73
« l’Empereur »

ENTRACTE

Franz
SCHUBERT
Symphonie n°5 en si bémol majeur, D. 485

Ce concert sera diffusé sur Radio Classique le dimanche 2 janvier à 20h

Durée approximative du concert : 1h45


Afin de ne pas troubler le cours du concert, merci d’éteindre vos téléphones portables.
Il est rigoureusement interdit de filmer, de photographier et d’enregistrer.
Les retardataires ne pourront accéder à la salle qu’à la fin de l’œuvre en cours.

Programme susceptible de changements. Retrouvez les prog rammes de nos concerts sur opmc.mc

O P M C . M C 1
GRANDE SAISON DIMANCHE Avec le généreux

10 MARS 2024
soutien

18H
AU DI TO R I U M R A I N I E R I I I

direction Charl es Dutoit


piano M ar t ha Argerich

Concert symphonique
Gabriel
FAURÉ
Pavane, op. 50

Ludwig van
BEETHOVEN
Concerto pour piano n°1 en do majeur, op. 15

ENTRACTE

Igor
STRAVINSKY
L’Oiseau de feu (ballet complet, version 1910)

Ce concert sera diffusé sur Radio Classique le dimanche 12 mai à 20H

Durée approximative du concert : 2h


Afin de ne pas troubler le cours du concert, merci d’éteindre vos téléphones portables.
Il est rigoureusement interdit de filmer, de photographier et d’enregistrer.
Les retardataires ne pourront accéder à la salle qu’à la fin de l’œuvre en cours.

Programme susceptible de changements. Retrouvez les prog rammes de nos concerts sur opmc.mc

2 O P M C . M C
COMPOSITEUR & ŒUVRE

FAURÉ Gabriel (1845-1924)

Pavane, op. 50

Né le 12 mai 1845 à Pamiers (Ariège), Gabriel Fauré obtient en 1854


une bourse pour intégrer, à Paris, la célèbre Ecole de musique classique
et religieuse de Niedermeyer. La formation complète qu’il reçoit
au cours des onze années de sa scolarité va profondément orienter un
style aussi personnel que difficile à classer, et qui s’incarne parfaitement dans le
Premier Prix de composition musicale obtenu en 1865 : le Cantique de Jean Racine op. 11
pour quatre voix mixtes et orgue (dans sa version première).

Grâce à Saint-Saëns, qui remplace Niedermayer à la classe de piano dès 1861, Fauré
s’initie à la musique contemporaine, Schumann, Liszt, Wagner, etc., mais sera l’un des
rares compositeurs de sa génération à ne pas succomber à l’attrait de Wagner.
Il entame une brillante carrière d’organiste (plus par nécessité que par goût véritable)
le menant de Saint-Honoré d’Eylau à Saint-Sulpice et enfin à la Madeleine en 1896.
Cette même année, il est nommé professeur de composition au Conservatoire en rem-
placement de Massenet. Parmi les élèves bénéficiant de son lumineux enseignement
figurent Florent Schmitt, Georges Enesco, Nadia Boulanger, Charles Koechlin, et…
Maurice Ravel. De 1905 à 1920, il occupe le poste de directeur de cette institution,
qu’il doit quitter en raison d’une surdité naissante qui assombrira les quatre dernières
années de son existence. Curieux destin que celui de cet homme qui, dès 1872,
fréquente les Salons (prioritairement celui de Pauline Viardot), tout en assumant ses
fonctions de musicien d’église, appréciant les honneurs et récompenses académiques.
Cependant, point d’antinomie : Fauré est un homme de son temps, contemporain de
Proust, admirateur inconditionnel qui l’introduira dans La Recherche sous les traits de
Vinteuil (l’auteur de la « petite phrase » !)

Considéré comme le maître incontesté de la musique de chambre, Fauré se distingue


par un style unique, non éclectique et « intensément auto-discipliné ». Son manque
d’intérêt pour la virtuosité délibérée et le refus de l’emphase en font un musicien
volontiers taxé d’élitisme. Cette injustice est le fait d’un malentendu. Pour Fauré, l’art
et la musique existent pour « élever le plus possible l’humanité au-dessus de l’existence
©E LLI OTT— I LLUST RAT I ON

quotidienne », mais l’aspect hellénique du calme, la sérénité philosophique de son art


ont été « surévalués » au point d’en dénaturer l’essence même. Et si ces deux aspects
sont indéniables, ils doivent être considérés comme secondaires par rapport à la force
joyeuse, à l’intensité soutenue et aux manifestations suprêmes de diversité dans l’unité.
Fauré a le génie de la synthèse. Il sait, comme personne, réconcilier les contraires :
modalité / tonalité ; anxiété / sérénité ; séduction / force, etc.
O P M C . M C 3
COMPOSITEUR & ŒUVRE

La simplicité de l’expression, la clarté et l’équilibre des lignes mélodiques


sont l’apanage exclusif du joyau instrumental qu’est la Pavane pour orchestre,
en fa dièse, op. 50, avec chœur ad libitum. Ecrite en 1887, cette page
d’accès facile n’en respire pas moins un charme spécial (1) ; un charme
d’une sereine nostalgie, tout entier contenu dans la phrase initiale de
flûte, thème principal et récurrent de cette « miniature orchestrale » en
un seul mouvement, Andante molto moderato, nettement plus hiératique
que sensuelle (autre caractéristique de sa musique). Dès son avènement,
Robert de Montesquieu (le Bergotte de Proust) accola à cette page des vers langou-
reux généralement ignorés des interprètes. La Pavane pour orchestre fut intégrée à la
première version de Masques et bergamasques, divertissement en un acte sur un livret
de René Fauchois commandé à Fauré en septembre 1918 par le prince de Monaco.
Des huit morceaux initiaux, dont la Pavane, Fauré ne conserva pour sa Suite d’orchestre,
op. 112, que les quatre morceaux les plus récents, écrits à Menton en 1919 (Ouverture,
Menuet, Gavotte et Pastorale). Cette œuvre majeure du musicien fut créée au Théâtre de
Monte-Carlo, le 10 avril 1919.

« L’Œuvre de Fauré est une œuvre de transition ; c’est un musicien du XIXe, mais
c’est également un classique du XXe siècle. » Quel meilleur « éclairage » espéré
pour saisir toute la subtilité fauréenne ? (2)

Alice Blot

(1)
Debussy parlait de Fauré comme du « Maître du charme » Gil Blas (1903)
(2)
Jean-Michel Nectoux, Gabriel Fauré, Fayard, Paris.

1887
©E LLI OTT— I LLUST RAT I ON

COMPOSITION
DERNIÈRE EXÉCUTION À MONTE-CARLO
26 juillet 2015, Cour d’honneur du Palais princier, Gianluigi Gelmetti, direction
NOMENCLATURE ORCHESTRALE
2 flûtes, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 2 cors, cordes
DURÉE 7 minutes environ

4 O P M C . M C
COMPOSITEUR & ŒUVRE

BEETHOVEN Ludwig van (1770-1827)

Concerto pour piano n°1 en do majeur, op. 15


I. Allegro con brio
II. Largo
III. Rondo : Allegro scherzando

Dès 1784 et à trois reprises, Beethoven avait travaillé à des concertos


de piano demeurés inachevés. Ce n'est qu'en 1801 qu'il livrera à
l'édition son Concerto en si bémol, qui ne sera publié qu'en second. Ces
précisions permettent de rappeler combien était grande la passion de
Beethoven pour les instruments à clavier et quel intérêt il portait à sa propre carrière
de virtuose, qu'il devra pourtant abandonner malgré de grands succès de jeunesse,
surtout comme improvisateur. Ainsi s'explique également la présence de trois autres
concertos de piano dans les années qui vont suivre.
S'il faut en croire la petite histoire, le final de ce premier concerto aurait été terminé
quelques heures seulement avant la première audition en avril 1800, et l'accord de
l'instrument soliste, un demi-ton trop bas, aurait obligé Beethoven à transposer à vue
toute sa partie en ut dièse majeur. L'orchestre présente lui-même les deux thèmes de
l'Allegro con brio initial, c'est-à-dire que le piano fait entendre son entrée, mais sa place
dans le développement sera importante et une cadence libre lui sera confiée dans la
conclusion qui se fait avec la réapparition du premier thème.
Tous les apprentis pianistes ont joué un certain « Adagio favori » : ce morceau n'est
autre que la transcription par un certain Reinecke du Largo, dont l'idée initiale est
également variée et expressive, sans atteindre pour autant à la médiatisation des
mouvements lents des trois derniers concertos.
C'est dans une atmosphère de danse villageoise que débute le Rondo allegro
scherzando, plein d'exubérance. C'est le piano qui expose le premier thème d'allure
dansante ; non moins allègre est la seconde idée qui contribuera à nous rappeler que,
sous le masque beethovénien traditionnel, se cache une âme qui ne demandait qu'à
laisser jaillir une joie foncière, libre et bon enfant, parfois même déboutonnée.

Yves Hucher

1795
©E LLI OTT— I LLUST RAT I ON

COMPOSITION
DERNIÈRE EXÉCUTION À MONTE-CARLO
25 septembre 2020, Auditorium Rainier III, Kazuki Yamada, direction, Krystian Zimerman, piano
NOMENCLATURE ORCHESTRALE
flûte, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons, 2 cors, 2 trompettes, timbales, cordes
DURÉE 37 minutes environ

O P M C . M C 5
COMPOSITEUR & ŒUVRE

STRAVINSKY Igor (1882-1971)

L'Oiseau de Feu, ballet


Introduction
Tableau I : Le jardin enchanté de Kastchei
Apparition de l’Oiseau de feu poursuivi par Ivan Tsarévitch
Danse de l’Oiseau de feu
Ivan Tsarévitch capture l’Oiseau de feu
Supplication de l’Oiseau de feu
Apparition des treize Princesses enchantées
Jeu des Princesses avec les pommes d’or
Brusque apparition d’Ivan Tsarévitch
Khorovode : Ronde des Princesses
Lever du jour
Ivan Tsarevitch pénètre dans le palais de Kastchei
Carillon féérique ; apparition des monstres gardiens de Kastchei ;
capture d’Ivan Tsarévitch
Arrivée de Kastchei l’Immortel ; dialogue avec Ivan Tsarévitch ;
intercession des Princesses
Apparition de l’Oiseau de feu
Danse de la suite de Kastchei enchanté par l’Oiseau de feu
Danse infernale de Kastchei et ses sujets
Berceuse
Mort de Kastchei
Profondes ténèbres

Tableau II : Disparition du palais et des sortilèges de Kastchei ;


animation des guerriers pétrifiés ; allégresse générale

Créé le 25 juin 1910 à l'Opéra de Paris, L’Oiseau de Feu conserve le souvenir d'un des
plus grands triomphes des Ballets Russes. Pour ce spectacle, qui devait être le clou de
sa seconde saison dans la capitale française, Serge de Diaghilev avait fait appel à un
jeune compositeur inconnu de vingt-six ans, Igor Stravinsky, dont il avait beaucoup
apprécié, un an auparavant à Saint-Pétersbourg, une très courte Fantaisie pour
orchestre, intitulée Feu d'artifice.
Après ces essais prometteurs, L'Oiseau de Feu apportait la confirmation qu'il s'agissait
bien là d'un musicien d'exception, même si pour beaucoup - à commencer par
certains interprètes - il apparaissait comme un dangereux révolutionnaire. On
©E LLI OTT— I LLUST RAT I ON

sait qu'Anna Pavlova refusa de danser sur de telles « inepties ». Elle fut remplacée
dans le rôle de l'Oiseau par Tamara Karsavina, qui devait créer ensuite, avec la
même compagnie dont elle était devenue l'étoile, plusieurs autres grands rôles, en
particulier dans Daphnis et Chloé (Ravel - 1912), Jeux (Debussy - 1913), Le Tricorne (de
Falla - 1919).

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COMPOSITEUR & ŒUVRE

Le sujet de L'Oiseau de Feu s'inspire de plusieurs contes russes dont il conserve le


caractère merveilleux, et pour un public occidental, fortement exotique. Voici
quel en est l'argument : Ivan Tsarévitch réussit à s'emparer de l'Oiseau de Feu et
le relâche en échange d'une plume talisman en or. Parvenu devant le domaine
enchanté de Kastchei, qui retient prisonnières treize princesses, il risque d'être
transformé en pierre par le magicien. L'Oiseau vient alors à son secours et lui
dévoile où est caché l'œuf contenant l'âme de Kastchei. Ivan le dérobe et le brise,
puis, tandis que l'Oiseau disparaît dans toute sa splendeur, il faut enfin retrouver
Tsarevna, la plus belle des princesses.
Sur ce livret qu'il avait mis en forme, Michel Fokine réalisa une chorégraphie
particulièrement inventive, débordante de vivacité. Qualités que l'on retrouvait
également dans le décor et les costumes de Serge Golovine et Léon Bakst.
Ainsi, à l'exception du chef d'orchestre Gabriel Pierné, l'affiche de la première
réunissait les meilleurs artistes russes dont on raffolait alors à Paris et à Monte-Carlo.
Dans la musique de Stravinsky se reconnaît l'influence très forte de
Rimsky-Korsakov, ainsi que certaines parentés avec Glinka, Scriabine ou Debussy.
Mais le futur compositeur des Noces se manifeste déjà dans les oppositions de timbres,
le chatoiement de l'instrumentation.
De cette partition, Stravinsky lui-même tira trois suites d'orchestre (en 1911, 1919 et
1945).

Pierre Cadars

COMPOSITION 1909-1910
DERNIÈRE EXÉCUTION À MONTE-CARLO
30 mai 2010, Auditorium Rainier III, Yakov Kreizberg, direction
NOMENCLATURE ORCHESTRALE
3 flûtes (la 3ème jouant aussi le piccolo), piccolo, 3 hautbois, cor anglais, 3 clarinettes, clarinette basse, 3 bassons
(le 3ème jouant aussi le contrebasson), contrebasson, 4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, tuba, timbales, percussions,
3 harpes, piano, célesta, cordes
DURÉE 45 minutes environ

O P M C . M C 7
ARTISTE

Charles Dutoit
direction

Charles Dutoit s'est vu décerner deux des plus


prestigieux prix du monde musical : en 2017, le Golden
Medal of the Royal Philharmonic Society et en 2022,
le Premio una vita nella musica du Teatro La Fenice
de Venise.

Charles Dutoit a été Directeur Musical de l’Orchestre


Symphonique de Montréal pendant 25 ans - partenariat
reconnu dans le monde entier -, de l’Orchestre National
de France de 1991 à 2001 et du NHK Symphony
à Tokyo de 1996 à 2003, dont il est maintenant chef
émérite. Directeur Artistique du Royal Philharmonic
Orchestra de Londres de 2009 à 2018, il a été également Chef Principal invité de
l’Orchestre Philharmonique de Saint-Pétersbourg.

Depuis ses débuts aux USA en 1980, Charles Dutoit a déployé une activité intense
à la tête de tous les grands orchestres américains, incluant 32 années consécutives
avec l’orchestre de Philadelphie, avec lequel il fera plus de 700 concerts. Il a dirigé
67 concerts au Carnegie Hall de New York, a fait 35 tournées en Chine et 75 au
Japon. Il s'est produit avec tous les orchestres importants des cinq continents - plus
de 150 - ainsi que dans tous les festivals internationaux.

Encore dans la vingtaine, Charles Dutoit fut invité par Karajan à diriger à l’Opéra
de Vienne et fit par la suite ses débuts au Metropolitan Opera de New York, Covent
Garden de Londres, Deutsche Oper de Berlin, Teatro Colón de Buenos Aires et
l’Opéra de Rome. Citoyen d’honneur de la ville de Philadelphie, grand officier de
l’Ordre National du Québec, commandeur de l’Ordre des Arts et des Lettres du
gouvernement français, officier de l’Ordre du Canada, il reçoit en 2007 la Médaille
d’Or de la ville de Lausanne, sa ville natale, et en 2014, le Lifetime Achievement
de l'International Classic Music Awards.
© K IYOTA NE HAYAS HI

Passionné d’histoire, d’archéologie, de sciences politiques, d'arts et d’architecture,


il a visité les 196 nations du monde.

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ARTISTE

Martha Argerich
piano

Née à Buenos Aires, Martha Argerich étudie le piano dès l’âge de cinq ans avec
Vincenzo Scaramuzza. Considérée comme une enfant prodige, elle se produit très
tôt sur scène. En 1955, elle se rend en Europe et étudie à Londres, Vienne et en
Suisse avec Seidlhofer, Gulda, Magaloff, Madame Lipatti et Stefan Askenase. En
1957, Martha Argerich remporte les premiers prix des concours de Bolzano et de
Genève, puis en 1965, le concours Chopin à Varsovie. Dès lors, sa carrière n’est
qu’une succession de triomphes.

Invitée permanente des plus prestigieux orchestres et festivals d’Europe, du Japon,


d’Amérique et d'Israël (avec Zubin Mehta et Lahav Shani), elle privilégie aussi la
musique de chambre. Elle joue et enregistre régulièrement avec les pianistes Nelson
Freire, le violoncelliste Mischa Maisky, le violoniste Gidon Kremer ainsi qu’avec
Daniel Barenboim.

Sa discographie est immense : Martha Argerich enregistre chez EMI/Erato, Sony,


Philips, Teldec et DGG. Parmi ses derniers enregistrements, on compte les concertos
n°1/n°3 de Beethoven (Grammy Award) ainsi que les concertos n°20 et 25 de
Mozart avec Claudio Abbado, le récital de Berlin avec Daniel Barenboim (Mozart,
Schubert, Stravinsky), un disque de « live » à Buenos Aires avec Daniel Barenboim,
consacré à Schumann, Debussy, Bartok, et un disque en duo avec Itzhak Perlman
consacré à Schumann, Bach, Brahms. Un grand nombre de ses concerts ont été
retransmis par les télévisions du monde entier.

Avec comme objectif d’aider les jeunes, en 1998, elle


devient Directeur Artistique du « Beppu Argerich
Festival » au Japon. Martha Argerich a reçu de
nombreuses distinctions : Officier de l’Ordre des
Arts et Lettres en 1996 et Commandeur de l’Ordre
des Arts et des Lettres en 2004 par le Gouvernement
Français, Académicienne de Santa Cecilia à
Rome en 1997, Musician of the Year par Musical
© A DR I AN O H EI T MAN

America en 2001, Kennedy Center Honnors en


décembre 2016 par Barack Obama, Commendatore
dell’Ordine al Merito della Repubblica Italiana en
2018 par Sergio Mattarella.

O P M C . M C 9
M U S I C I E N S & A D M I N I S T R AT I O N

Directeur Artistique & Musical : Kazuki Yamada


Katalin Szüts-Lukacs NN Contrebasson
Eric Thoreux Mariana Vouytcheva Frédéric Chasline
Raluca Hood-Marinescu Jenny Boulanger
Andriy Ostapchuk Sylvain Rastoul Cors
Sofija Radic Eric Chapelle Patrick Peignier
Hubert Touzery Dorian Marcel Andrea Cesari
Premiers violons Didier Favre
Altos Flûtes Bertrand Raquet
David Lefèvre *
Liza Kerob François Méreaux Anne Maugue Laurent Beth
Federico Andres Hood Raphaëlle Truchot Barraya David Pauvert
Sibylle Duchesne
François Duchesne Delphine Hueber
Ilyoung Chae Trompettes
Charles Lockie Piccolo Matthias Persson
Diana Mykhalevych
Richard Chauvel Gérald Rolland
Gabriel Milito Malcy Gouget
Mireille Wojciechowski
Mitchell Huang Samuel Tupin
Sofia Timofeeva Hautbois
Thierry Bautz Rémy Labarthe
Tristan Dely Matthieu Bloch
Zhang Zhang Raphaël Chazal Matthieu Petitjean Trombones
Isabelle Josso Ying Xiong Jean-Yves Monier
Morgan Bodinaud Thomas Bouzy Martin Lefèvre
Gilles Gonneau
Milena Legourska Ruggero Mastrolorenzi Cor Anglais Ludovic Milhiet
Jae-Eun Lee Mathilde Rampelberg
Violoncelles
Adela Urcan Thierry Amadi
Tuba
NN Clarinettes Florian Wielgosik
Delphine Perrone
NN Marie-B. Barrière-Bilote
Alexandre Fougeroux Véronique Audard Timbales
* Violon solo du concert & Percussions
Florence Riquet
Seconds violons Bruno Posadas Petite clarinette Julien Bourgeois
Peter Szüts Thomas Ducloy Diana Sampaio Mathieu Draux
Nicolas Delclaud Patrick Bautz Antoine Lardeau
Clarinette basse
Camille Ameriguian-Musco Florence Leblond Noé Ferro
NN
Thibault Leroy
Frédéric Gheorghiu Harpe
Caroline Roeland Bassons
Nicolas Slusznis Sophia Steckeler
Alexandre Guerchovitch Contrebasses Franck Lavogez
Gian Battista Ermacora Matthias Bensmana Arthur Menrath
Laetitia Abraham Tarik Bahous Michel Mugot

Administrateur Délégué Artistique


Sylvain Charnay Didier de Cottignies
Comptable Régisseur général Responsable Projets éducatifs
Jérémy Thomas Frédéric Vitteaud communication Musique de chambre
Cécile Vierne Assistante régie
Responsable billetterie Régisseur Patricia Moletto-Maggio
Relations publiques Samantha Raymondis Chargée de production
Virginie Hautot Mathilde Debarre Bibliothécaires
Régisseur technique Yves Rodi
Responsable adjointe Patrick Pastor Assistante production Laure Issartial-Genty
billetterie et communication
Jenna Brethenoux Techniciens de scène Emma Dantec Musicologue
Patrice Bordas
© SAS HA G US OV

Alice Blot
Billetterie Jean-Marie Pastor Chauffeur-appariteur
Dima Boughos Arnaud Siterre
Assmaa Moussalli
Ambre Gaillard
LIPPITT - Mme Irina LITVINTSEVA - Mme Franca LOWEN - Mme Erika
MAIER - M.& Mme Donald MANASSE - Mme Georges MARCI - Mme Sallie
MARCUCCI - M. David MARKS - M. Michel-A. MARQUET - Dr Roland
MARQUET - Mme Sandra MARTOGLIO - Mme Silvia MARZOCCO - Mme Evelyne
MAUTNER - M. Renato MAZZOLINI - M. & Mme Alastair McGUCKIAN - M. Patrick
Membres d’Honneur/ Honour Members MECHOULAM - Mme Sara MEGGINSON - Mme Narjess
Mme Monika ASSARAF - Mme Barbara BEGELSBACHER - M. Kostia H. MERHEJ - M. & Mme Piergiorgio MIONI - Mme Giuliana
BELKIN - M. Marc E. BROCKBANK - M Cornelis BROERE - Mme Smadar MONESI - M. & Mme Francesco MORABITO - Mme Jeanne-Marie
EISENBERG - M. Aviel KRUGIER - Mme Lisette KWEMO - Mme Monique MORET - Mme Cristina MOROSINI -M. Alexander MUENZEL - M. Italo
LAFOND VERSCHUEREN - Mrs Liudmila LEBEDEVA - Mme Ruth MURATORE - Mme Ditha MUTH - Mme Massy NASSER - M. Maurice NAVARRO
McLOUGHLIN - Mme Yulia MOUROMETSVA - M. Marco ORSINI - Mme Simone - Mme Annegret NERI RAISER - Mme Katerine NIKITINE - M. & Mme David
PASTOR - M. David RANDALL - M. Alexander TYSSEN - BORNEMISZA. NORMAN - Mme Marlène NOVERRAZ - M. & Mme Giovanni
PANTALONI - M. Soren PEDERSEN - M. Lionel PERL - M. Christian
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BASSI GALANTE - M. Niels BASTEAU - Mme Françoise VIK - M. Johannes VON LIEBENSTEIN - Mme Marie-Cécile
BAZZOLI - Mme Rozi BEBICACI - M.& Mme Ronald BERGER - Mme Edith WASTEELS - Mme Sylvia WEIL - M. Gérard WEINBERG - M. Anthony
BESINS – M.& Mme Giuseppe BOGLIO - M. et Mme Jacques WOOD - Mme Sally WYLLIE - M. Robert ZEHIL - Mme Michèle ZENTNER-
BOISSON - Mme Corinne BORY- Mlle Françoise BOSANO - Mme Maureen NEWDELMAN - Mme Patricia ZOBEL DE AYALA.
BRIAN - Mme Brigitte BRIANTI - Mme Mona BURDETT-FISHER - Prof.
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Beatrice CARNIELLI - Mme Luisa CAROZZA - M. Vittorio ARCAINI - Mlle Amber ARCAINI - M. Anthony ARCAINI - M. Alexandre
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COCKAERTS - Mme Leyna COHEN - M.& Mme Maurizio BUFFOT - M. Andrea CASTELLINI - Mlle Marina CHALABY- M. Guillaume
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CARIA - Dr Marc DE FROMONT - Mme Véronique De LAVENNE - Mme Janine GIBELLI - Mlle Pandora GODFREY- Mlle Liza GRIAZNOV- Mlle Eléonore
DES CRESSONNIERES - M. et Mme Paolo DI NOLA - Mme Joséphine HAJEK - M. Guillaume HAJEK - Mlle Elie KOSTENBAUM - M. Samuel
DIONISOTTI - M.& Mme Alain DORATO - Mme Raphaëlle DOUBLIER - M. Miguel KOSTENBAUM - M. Jean LAMBLIN - M. Davide LEWTON - M. Greg
DRUDIS - M. Michel DUNAND - Mme Doris EBERLE - M. Peter ORSINI - Mlle Julia SAIKALI MERHEJ - Mlle Morgane PONTIS - Mlle Alessandra
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EISENBERG - Mme Fethia EL MAY- M. Marcel ELEFANT - Mme Angelika TERRA - M. Roméo TERRA - Mlle Camille VAN KLAVEREN - M. Paolo
ENGELMANN - Docteur Runhild ENGLERT - Mme Gültin EPHRATI - M. Lars VOLA. - Mlle Jin Ju YU.
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FERREIRA - Mme Emanuela FERRERI - Mme Marie-Claude
GRAFF Monte-Carlo GALLADANCE
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Fairmont Monte-Carlo
GARCIA - Mme Géraldine GAZO - M. et Mme Robert GAZO - Mme Evelyne The Broere Foundation
Société des Bains de Mer
GENTA - M. Riccardo GIRAUDI - Mme GIRARD-PIPAU CARAVEL - M. Luigi MARLBOROUGH Monaco A-K-R-I-S
GIROLA - Mme Ulla GIUBERGIA - Mme Priscilla GRAHAM - Mme Leila GROUPE MARZOCCO Arval Service Lease Italia S.P.A
GRETHER - M. William GRIFFIN - M. Nicolas GUIRAMAND - M.& Mme Wouter ISRAEL DISCOUNT BANK Banca di Roma SPA
GUIS - M. Alonso HALFFTER - M. et Mme Boaz HARARI - Mme Caroline WATER WINE & SPIRITS SAM Banca Intesa Private Banking SPA
HARARI BENEZRA - M. & Mme Rex HARBOUR - Mme Brigitte Banque J. Safra
Bijoux Sabbadini
HIRECHE - Mme Nathalie IMBERDIS - M Salvatore INCORVAIA - Mme Christina Deutsche Bank SPA
T.A. Distribution S.A.M.
ISOART - M. & Mme Paul-Marie JACQUES - Mme Dorothy JEITNER - M. Sergey Eutelsat
KARPUKHOVICH - M et Mme Marinus KERSSENS-VAN DER HORST - M. etMlle Barclays Bank
Guerrino Pivato SPA
Mme Kristof KIELBASIEWICZ - Mme Angela KLEIBER - M. et Mme Christoph ES-KO S.A.M. Monaco
NetJets Europe GMBH
KLEMM - Mme Annick KOSTENBAUM - M.& Mme Helge KUBA - M. Alexandre EFG Bank Monaco UBS Italia SPA
KURGANSKY- M. Florian KURZ - Mlle Johana LAIK - Mme Madeleine LAIK BNP Paribas UBS Monaco
- M. Philippe LAIK - M. Jean-Pierre LAROUQUIE - Mme Nahid LEVY- M. Paul ANKOR Bank of Savings Toscana Finanza SPA
LEX VAN HESSEN - Mr et Mme Michael LIKIERMAN - Mme Bettie RUSCO Ltd Port Palace Hôtel

Association AOP de Monte-Carlo - Auditorium Rainier III - Bd Louis II - 98000 Monaco


+377 93 10 85 34 I +33 6 22 96 31 66 I fax +377 93 10 85 54 I association-aop@libello.com I www.aopmc.mc
Liste au 15 décembre 2023
AV E C L E S O U T I E N D E

PA R T E N A I R E M E D I A
TARMO PELTOKOSKI
S O U S L A P R É S I D E N C E D E S . A . R . L A P R I N C E S S E D E H A N O V R E

DIMANCHE
14 AVRIL
18H
AUD ITO RI U M RAI N I ER I I I

direction Tarmo Peltokoski


soprano Chen Reiss

BERG
Sieben frühe Lieder
Au cœur de la musique
SAISON 23I24

MAHLER
GR A P HI S ME P RI S CIL L E NE EFS - © JE S SI CA BAC K H AU S - P H OTO S : © PE T ER R I G AU D, PAU L MAR C M ITCH E LL
Symphonie n°4 en sol majeur

I +377 92 00 13 70 I OPMC.MC I
FX

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