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BENI MANIFESTATION: Les activités sont restées paralysées dans la ville de BENI
à la suite de l’appel de la société civile à observer cinq jours sans travail. Les
forces vives de BENI l’insécurité grandissante dans la ville. Nous revenons sur la
situation de ce mardi 16 Mai.
La ville de BENI, a ressemblé à une ville fantôme ce lundi 15 mai. La société civile et le
conseil de la jeunesse appuyé par les mouvements citoyens y ont lancé une action de 5
journées ville morte pour dire non à l’insécurité grandissante dans la ville ». Ce premier
jour, des pneus ont été brulés pour barricader les routes, des grosses pierres ont été
placées sur la chaussés. L’armée et la police ont fait face aux manifestants, plusieurs
blessés ont été notifiés. Au deuxième jour ce mardi 16 mai, les activités sont toujours
restées paralysées. Malgré une reprise timide des mouvements de voitures et motos
dans la matinée au centre-ville, les commerces, les banques et les écoles n’ont pas
fonctionnées. Trésor MALU pour le point///////////////////////////////
RDC/SOCIETE : La RDC et le Rwanda ses sont mis d’accord sur la relance du
processus de rapatriement des refugier congolais vivant au Rwanda. Dans un
mois, les deux pays vont se rencontre à NAIROBI pour discuter de la feuille de
route de ce processus de rapatriement.
L’absence de famille est un indice crucial du recrutement d’enfants dans les forces
armées ou les groupes armés. Il est beaucoup plus facile d’enrôler des enfants qui sont
seuls, sans la protection que leur octroie normalement le contexte familial, dans un
environnement déchiré par la guerre. Cette thèse est celle du comité internationale de la
croix rouge écrite dans un article en 2008. Selon cette organisation, la meilleure
protection, dont peut bénéficier un enfant est de rester avec sa famille. Ce mardi 16 mai,
l’UPDECO FM s’est penché sur le rôle que peut jouer la famille dans la prévention contre
le recrutement des enfants au sein des groupes armés en territoire de RUTSHURU.
Selon le secrétaire exécutif du Cadre de Paix pour la Réconciliation et la Justice (CPRJ),
les familles pauvres sont les plus affectés par le phénomène de recrutement des enfants
dans les groupes armées. JACKSON MBULA fait une analyse sur cette
situation.//////////////