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COMMUNE DE DIULU.
INTRODUCTION
Vu la succession de certains faits dans la ville de
Mbujimayi entre et autres : l’accroissement de la démographie au
cours de ces dernières décennies (766 684 habitants en 1993
contre 1 900 089 habitants en 2005 soit 40% de croissance)
(DPS ; 2010). La hausse de prix de denrée alimentaires de haute
consommation sur le marché de Mbujimayi (1500FC pour 2,5 Kg
de maïs et 1000FC pour 2 KG de farine de manioc en 2010 contre
3500FC pour le maïs et 2000FC pour le manioc en 2019). Selon
le rapport de la division provinciale de l’économie sur l’évolution
du prix moyen annuel. Ces problèmes agro économiques en
générale et la problématique de la consommation de la farine de
manioc en particulier ne peuvent mieux trouver solution qu’après
une recherche scientifique mieux cadrée. Ainsi, l’étude portant
sur la consommation de la farine de manioc a été mise au point et
exécutée pour tenter de répondre à la grande difficulté
notamment celle de la quantité consommée journalièrement par
individu.
En fait, la province du Kasaï oriental, la ville de
Mbujimayi et la commune de Diulu en particulier où notre étude
s’est effectuée ; constituent de grands centres de consommation
de cette denrée alimentaire (farine de manioc).
La farine de manioc constitue pour la RDC en général
et pour la province du Kasaï oriental en particulier une de
denrées alimentaires de première nécessité et à haute
consommation dont la production réelle (8650834 Tonnes /an)
surpasse de très loin la production idéale (96 120,8 Tonnes/an)
(Inspection provinciale de l’Agriculture 2015). L’écart est de
769 713,2 tonnes ; ces données prouvent à suffisance que le
manioc est l’unique denrée ayant atteint la sécurité alimentaire
au cours de la dernière décennie (1990-2000). Les normes de
consommation fixent que la quantité consommée par personne et
par an s’élève en moyenne à plus ou moins 76,5 Kg (FAO,1987).
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LA CONSOMMATION DE LA FARINE DE MANIOC DANS LA VILLE DE MBUJIMAYI ; CAS DE LA
COMMUNE DE DIULU.
Parmi les cultures à haute consommation, le manioc
est la seule denrée qui se distingue par son offre locale supérieur
à l’offre idéale selon les dernières recherches (MBUYI
TSHILUMBA,2014).
La farine de manioc est une alternative naturelle et
saine à la farine de blé. Par envie de diversité ou par intolérance,
les consommateurs sont de plus en plus nombreux à chercher
des alternatives à la farine de blé. Si certaines reviennent
régulièrement, comme les farines de riz ou de maïs, d’autres
moins répandues comme celle de manioc gagnent à être connues.
(Manon Laplace ;2015).
Partant de tout ce qui précède, c’est ainsi que l’on
s’évertue à vérifier la quantité réellement consommée au niveau
des ménages en nous posant cette question fondamentale : « Est-
ce que la quantité consommée journalièrement de la farine
de manioc par ménage répond-elle aux normes de
consommation dictées par la FAO ? »
Vis-à-vis de la question fondamentale de notre
recherche, on suppose que la quantité de farine consommée
journalièrement par ménage dans la ville de Mbujimayi
répondrait aux normes de la consommation. Cela en considérant
les données résultant des investigations de certains chercheurs
qui prouvent que l’offre locale du manioc est supérieure à l’offre
idéale ; c’est le cas de Charledoux MBUYI dans son travail intitulé
« Analyse de la situation alimentaire au Kasaï Oriental en 2014 ».
A l’encontre, vis-à-vis de la crise qui frappe tous les
ménages dans la ville de Mbujimayi, nous pensons que le pouvoir
d’achat de ménage s’effrite au jour le jour ou s’amenuise de plus
en plus. Ainsi, bien que cette denrée soit vendue à un prix vil, il
serait inaccessible aux ménages les plus démunis. D’où les
quantités consommées par les ménages dans la ville de
Mbujimayi pourraient ne pas répondre aux normes de
consommation dictées par la FAO.
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LA CONSOMMATION DE LA FARINE DE MANIOC DANS LA VILLE DE MBUJIMAYI ; CAS DE LA
COMMUNE DE DIULU.
La problématique étant d’une grande importance, c’est
ainsi que nous nous fixons comme but dans ce travail de
déterminer avec précision la quantité réelle consommée
journalièrement par individu dans un ménage pour la comparer à
celle dictée par la FAO afin d’en dégager l’écart.
Pour atteindre cet objectif, la méthode mise en place
s’échelonne de manière suivante :
Considérer tous les ménages de la commune de DIULU comme
base de sondage puis ; tirer aléatoirement de la base ;
Déterminer la quantité de farine de manioc consommée
dans chaque ménage ciblé ;
Déterminer le nombre de personne dans chaque ménage ;
Dégager par calcul simple la quantité individuelle consommée par
chaque membre du ménage ;
Ressortir les causes justifiant la quantité consommée ;
Comparer la quantité consommée à celle dictée par la FAO
et dégager l’écart.
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LA CONSOMMATION DE LA FARINE DE MANIOC DANS LA VILLE DE MBUJIMAYI ; CAS DE LA
COMMUNE DE DIULU.
De par sa position centrique, il convient de signaler que
vers les années 1959-1961, cette entité est devenue fermement
un centre d’accueil des refoulés de toutes les tribus fuyant la
guerre fratricide opposant les deux entités LULUA et BALUBA. Ce
qui a créé un délit des harmonisations parmi le peuple Kasaïen.
En 1967, l’entité de DIULU fut effectivement reconnue comme
entité politico-administrative par ordonnance N° 67/221/du 30
Mai 1967 et par l’arrêté du 04 Avril 1968 se retrouvant au
nombre et aux limites administratives de cinq communes qui
composent la ville de Mbujimayi. (Rapport annuel de la commune
de DIULU 2015).
La commune de DIULU, caractérisée comme une entité
spéciale qui loge un bon nombre d’intellectuels, on y trouve
également beaucoup de bâtiments qui logent les services de l’Etat
ou l’administration publique. C’est bien dans cette commune que
l’on trouve le bâtiment du gouvernorat de la province. (Anonyme ;
2015).
S’il faut dire un mot sur la ville de Mbujimayi par
rapport à la structure socio-économique, il sied de retenir que le
destin de la ville de Mbujimayi est beaucoup lié à celui du pays et
aux capacités d’entrainement de la MIBA qui est fortement
considérée comme le poumon économique de toute la province.
D’après les résultats d’une enquête sur le budget et la
consommation des ménages à Mbujimayi publiés par l’Institut
National de Statistique en 1983, il ressort que 14% des familles
vivaient de l’activité de productions industrielles de diamant et
l’exploitation artisanale procure des ressources à 19% des
ménages en période normale. Ses ratios sont réduits à la baisse
suite à la conjoncture socio-économique actuelle.
De ce qui concerne l’alimentation de la population de
Mbujimayi, comme pour beaucoup de villes de la RDC, les
habitudes alimentaires d’une population induite par la crise
socio-économique sont dans l’ensemble caractérisées par
l’absence de petit déjeuner, des aliments à faible consommation
rapide, des boissons et par la consommation d’aliments de faible
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LA CONSOMMATION DE LA FARINE DE MANIOC DANS LA VILLE DE MBUJIMAYI ; CAS DE LA
COMMUNE DE DIULU.
valeur nutritive. La dégradation de conditions de vie oblige la
population de Mbujimayi à consommer une nourriture pauvre en
élément plastique comme la farine de maïs et de manioc pour la
mise en place de son aliment de base qui est le FOUFOU
(NSHIMA).
Cartographie de la ville de Mbujimayi.
Un questionnaire d’enquête ;
Un téléphone pour l’enregistrement des certaines
informations issues des enquêtés ;
Un stylo et papiers A4 pour écrire ;
Les logiciels d’analyse des résultats (Excel et SPSS
20) ; nous avons encore utilisé les différentes unités
de mesure utilisées pour la commercialisation de
produits agricoles qui sont :
Le meka qui équivaut à 2Kg de farine de manioc et
ses sous multiples comme bleu band équivalant à
1Kg et le Sipa équivalant à 500 grammes ;
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LA CONSOMMATION DE LA FARINE DE MANIOC DANS LA VILLE DE MBUJIMAYI ; CAS DE LA
COMMUNE DE DIULU.
Une balance analytique de précision pour la pesée.
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LA CONSOMMATION DE LA FARINE DE MANIOC DANS LA VILLE DE MBUJIMAYI ; CAS DE LA
COMMUNE DE DIULU.
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LA CONSOMMATION DE LA FARINE DE MANIOC DANS LA VILLE DE MBUJIMAYI ; CAS DE LA
COMMUNE DE DIULU.
Les données concernant l’âge des chefs des ménages
enquêtés sont présentées par la figure 2.
110
100 100
93.3
90
90
77.8
70
61.1
50
33.3
27.827.8 30
30 25
1516.7 1415.5
10 6 6.7
20-30 ans 30-40 ans 40-50 ans 50-60 ans 60 ans ou total
plus
Fréquence 25 30 15 14 6 90
Pourcentage validé 27.8 33.3 16.7 15.5 6.7 100
Pourcentage cumulé 27.8 61.1 77.8 93.3 100 NaN
9
LA CONSOMMATION DE LA FARINE DE MANIOC DANS LA VILLE DE MBUJIMAYI ; CAS DE LA
COMMUNE DE DIULU.
III.2. Répartition des enquêtés selon leur niveau d’étude
110
100
90
90
70
50
41.1
37
31.1
30 27.8 28
25
10
10
LA CONSOMMATION DE LA FARINE DE MANIOC DANS LA VILLE DE MBUJIMAYI ; CAS DE LA
COMMUNE DE DIULU.
trouvé par Blaise KAZADI dans son étude sur la disparition des
arbres fruitiers dans ville de Mbujimayi cas de la commune de
DIULU en 2015
110
100 100
90
90
70
55.6
50
50 44.4 44.4
40
30
10
Fréquence 40 50 90 NaN
Pourcentage validé 44.4 55.6 100 NaN
Pourcentage cumulé 44.4 100 NaN NaN
11
LA CONSOMMATION DE LA FARINE DE MANIOC DANS LA VILLE DE MBUJIMAYI ; CAS DE LA
COMMUNE DE DIULU.
commerce tandis que les 40 % restant se répartissent dans
d’autres activités comme : l’exploitation artisanale du diamant,
les services privés de sécurité, les services églesiastiques ; etc.
Cette situation se justifie par le taux de chômage qui frappe la
quasi-totalité de la population congolaise depuis plusieurs
années. Dans le même sens que nous, Justine MUJINGA a aussi
trouvé dans son travail intitulé « Contribution du commerce
d’arachide au pouvoir d’achat de ménages de la ville de
Mbujimayi » que le secteur informel occupe une grande partie de
la population urbaine allant jusqu’à 70%.
70
50 44.5 44.4
40
30 24.5
22
20
18
11.1
10
10 0
200-300 FC 300-400 FC 400-500 superieur à Total
500FC
Fréquence 18 22 40 10 90
Pourcentage validé 20 24.5 44.4 11.1 100
Pourcentage cumulé 20 44.5 88.9 100 0
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LA CONSOMMATION DE LA FARINE DE MANIOC DANS LA VILLE DE MBUJIMAYI ; CAS DE LA
COMMUNE DE DIULU.
Lors de nos enquêtes, il ressort comme les données de
la figure 4 le prouvent que le prix de 500 grammes de farine de
manioc varie entre 200 et 700 FC. Une gamme importante de nos
enquêtés soit 44,4% confirment avoir l’habitude d’acheter entre
400 et 500 FC, 22 enquêtés parlent de 300 à 400FC tandis que
11,1 % consomment plus de 500 grammes à un prix variant entre
600 et 1000 FC. Ces ménages consommant plus de 500 grammes
sont à compter parmi les nantis ou soit les ménages appartenant
aux autres tribus affectionnant la patte alimentaire à base de
manioc comme les ressortissants de BANDUNDU, de
l’EQUATEUR ou de la province orientale. Quant aux variations de
prix, les causes sont multiples parmi lesquelles la capacité de
négociation, la loi du marché (l’offre et la demande), la qualité de
la farine etc.
Le but de ce travail est de déterminer la quantité de la
farine de manioc consommée par jour et par individu. C’est ainsi
que le tableau 1 et les graphique 6 et 7 ci-dessous présentent sur
base de données récoltées
Tableau 1. Quantité consommée par jour et la taille du ménage
Quantité Taille du ménage Fréquenc Tau
consommé 1 2 3 4 5 6 7 8 9 1 10≤1 e x%
e par jour 0 4
en gramme
500 2 4 2 15 10 10 10 4 2 0 0 60 66,7
1000 0 0 0 0 0 0 2 2 5 7 8 24 26,7
1500 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 2 03 3,3
2000 0 0 0 0 0 0 0 1 0 0 3 03 3,3
Total 2 4 2 1 1 1 1 6 8 8 13 90 100
5 0 0 2
Source : Enquête sur terrain, 2019.
120
97.7 100
100 93.4
80
66.7 66.7
60
60
40
24 26.7
20
3 3.3 3 3.3
Fréquence Linear (Fréquence)
0
500 Grammes Pourcentage validé
1 000 Grammes 1 Pourcentage
500 Grammes cumulé 2 000 Grammes
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LA CONSOMMATION DE LA FARINE DE MANIOC DANS LA VILLE DE MBUJIMAYI ; CAS DE LA
COMMUNE DE DIULU.
dire que par rapport à la quantité consommée, la majorité
consomme 500 grammes et que la minorité 1500-2000 grammes.
La taille de ménages a un grand impact sur la quantité de
biens à consommer dans un ménage. Partant de cette idée, nous
avons voulu savoir la taille de chaque ménage enquêté afin de
savoir si elle impacte la consommation de farine de manioc. Les
données de ce paramètre sont présentes dans la figure 8.
120
100
100
85.6
80
60
47.8
38.9 37.8
40 35 34
20 13 14.4
8 8.9 8.9
0
1-3 Personnes 4-6 Pesonnes 7-10 Personnes plus de 10 -14 Personnes
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LA CONSOMMATION DE LA FARINE DE MANIOC DANS LA VILLE DE MBUJIMAYI ; CAS DE LA
COMMUNE DE DIULU.
CONCLUSION
En somme, ce présent travail intitulé « Etude de la
consommation de farine de manioc dans les ménages de
Mbujimayi ; cas de la commune de DIULU » avait comme objectif
de déterminer la quantité moyenne journalière de farine de
manioc consommée par ménage et par individu dans la commune
de DIULU et partant dans la ville de Mbujimayi.
En ce qui concerne la quantité consommée, les
résultats ont prouvé que les ménages de la ville de Mbujimayi en
général et en particulier la commune de DIULU où notre étude
s’est effectuée consomment en moyenne 500 grammes de farine
de manioc par jour comme ont affirmé environ 66,7 % de nos
enquêtés.
Avec une moyenne de six personne par ménage selon
l’Institut National de Statistique de la RDC ; cette quantité est
insuffisante par rapport aux normes établies. En nous conférant
aux normes de consommation établies par la FAO pour la farine
de manioc soit 306,16 grammes par jour et par personne. Les
résultats trouvés prouvent que la moyenne de consommation est
de 500 grammes par ménage ce qui donne une moyenne
individuelle de 83,3 grammes si on tient en considération la
moyenne de personnes à six par ménage. Avec ces résultats, nous
nous permettons de confirmer l’hypothèse qui stipulait que « A
l’encontre, vis-à-vis de la crise qui frappe tous les ménages dans
la ville de Mbujimayi, nous pensons que le pouvoir d’achat de
ménages s’effrite au jour le jour ou s’amenuise de plus en plus.
Ainsi bien que cette denrée soit vendue à un prix vil, il serait
inaccessible aux ménages les plus démunis. D’où les quantités
consommées par les ménages dans la ville de Mbujimayi
pourraient ne pas répondre aux normes dictées par la FAO ».
Malgré sa production réelle qui est supérieure à la
production idéale, on constate que la quantité moyenne
consommée par les ménages qui est de 500 grammes est de loin
inferieure aux normes qui fixent la consommation journalière à
306,16 grammes par individu. Avec la taille de ménages retenue
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LA CONSOMMATION DE LA FARINE DE MANIOC DANS LA VILLE DE MBUJIMAYI ; CAS DE LA
COMMUNE DE DIULU.
à 6 personnes en moyenne, chaque famille consommerait
1836,96 grammes par jour. En faisant la différence vis-à-vis des
quantités réellement consommées, il s’avère que le déficit est
béant et s’élève à 1336,96 grammes.
Cette réalité vient de prouver que malgré les efforts
fournis, les ménages évoluent dans un état de sous-alimentation
vis-à-vis des normes par rapport à la consommation de la farine
de manioc dans la commune de DIULU et partant dans la ville de
Mbujimayi.
Cette situation est-elle due réellement à l’effritement du
pouvoir d’achat des ménages ou aux habitudes alimentaires ou
encore aux préférences du consommateur Kasaïen qui veut que
ça soit ainsi ? A cette question qui relève de l’aspect socio-
économique, les avis sont partagés car les uns s’accrochent à
l’idée de consommer plus et les autres qu’une petite quantité et
surtout déjà habitués à une patte alimentaire à faible rapport
(20/80), c’est-à-dire 80% de la farine de maïs et 20% seulement
de la farine de manioc. Au-delà de ce rapport, la patte perd sa
consistance, son goût délicieux et son bon coefficient de
remplissage car on peut manger une grande quantité sans
atteindre facilement satiété.
Scientifiquement, il est prouvé que la quantité
consommée journalièrement par ménage est insuffisante avec un
écart de -1336,96 grammes /ménage. Il convient que le peuple
de la ville de Mbujimayi soit informé et avertis pour que les
dispositions soient prises pour que la consommation puisse tenir
compte des normes car cette denrée est disponible de par son
offre réelle qui est de loin supérieure à l’offre idéale depuis plus
d’une décennie tant dans la province du Kasaï Oriental que dans
beaucoup de provinces de la RDC.
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LA CONSOMMATION DE LA FARINE DE MANIOC DANS LA VILLE DE MBUJIMAYI ; CAS DE LA
COMMUNE DE DIULU.
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
I. OUVRAGES
II.THESES ET MEMOIRES
Charledoux MBUYI (2014) : Analyse de la situation alimentaire au Kasaï
oriental.
Blaise KAZADI (2015) : Disparition des arbres fruitiers dans la ville de
Mbujimayi ; cas de la commune de DIULU.
Justine MUJINGA (2019) : Contribution du commerce d’arachide au pouvoir
d’achat de ménages vendeurs de la ville de Mbujimayi.
III.RAPPORTS
Division provincial de la santé (2010) : Rapport annuel sur la croissance
démographique de la ville de Mbujimayi de ;
Inspection provinciale de l’agriculture (2015) : Etat de lieu sur la production
de denrées de première nécessité (maïs et manioc) dans la province du Kasaï
oriental
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