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EPIGRAPHE
« L’agriculture ne sert plus à nourrir les populations, mais à produire des devises »
Robert Linhart
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IN MEMORIAM
A toi mon cher papa MVUMBI MVUMBI EMILE, à toi ma chère maman
BILONGO MBUMBA ASTRID, à toi mon unique ainé MBUMBA MBAMBI
ISDORE.
DEDICACE
A vous notre seul frère Emile Mvumbi et notre seule sœur Jeannette
Meno, mes sentiments fraternels.
Je dédie ce travail.
REMERCIEMENTS
Nous serons très ingrats si nous ne pouvons dire un petit merci à tous
ceux qui de près ou de loin, nous ont soutenus pendant ces deux années de dur
labeur passées à l’Université OMNIA OMINIBUS, nos remerciements aux
membres du comité de gestion de l’Université Omnia Omnibus : les Professeurs,
Monsieur l’Abbé Christian Ngazain Ngelesa et le Professeur Théophile Mbemba
Fundu ainsi que Monsieur l’Abbé Victor Ntambwe respectivement recteur, vice-
recteur et secrétaire général administratif.
SIGLES ET ACRONYMES
1. % : Pourcentage
2. ° C : Degré Celsius
3. COAGRIM : Coopérative Agricole de Mayombe
4. FAO : Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation
5. MOSSU :
6. ONG : Organisation Non Gouvernementale
7. ONGD : Organisation Non Gouvernementale pour le Développement
8. PAM : Programme Alimentaire Mondial
9. PAM : Programme Alimentaire Mondiale
10.PIB : Produit Intérieur Brut
11.PMA : Pays Moins Avancés
12.RDC : République Démocratique du Congo
13.SCAM : Société des Cultures Agricoles du Mayombe
14.USD : Dollar Américain.
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INTRODUCTION
Par la suite, Boyer (1973), a fait une analyse sur le cycle d’utilisation de
la matière organique dans une plantation cacaoyère pour avoir un bon rendement, il
démontre les techniques de fertilisation de sol qui doivent être mises en valeur 2.
1
Burle L., Le cacaoyer tome premier, Editions Larose, Paris, 1961, p. 316.
2
Boyer J., Cycle de la matière organique et des éléments minéraux dans une cacaoyère
Camerounaise. Café, cacao, thé, IFPRI, 1973 p. 23.
3
ASSOUMOU J., L'économie du cacao : Agriculture d'exportation et bataille du
développement en Afrique tropicale, éd. Harmattan, Paris, p. 77.
4
CHAMBERS et al., Développement Rural, la pauvreté cachée, Editions Karthala 1990,
pp 54-60, 1990.
5
BAFUANUSUA F., MUMA WA MUMA C. et VUNA W., Etude comparée de la rentabilité
de cacao frais chez les planteurs du secteur de Nganda Tsundi / Kongo central en RDC
: cas du Village Phalanga Ndenga et la SCAM Tshela, IJIAS, ISSN 2028-9324, Vol. 28 :
1, 2019, pp. 73-87.
Page |3
6
Anonyme, Organisation et gestion de coopératives et d'autres organisations
d'autopromotion, Rapport sur un cours de formation internationale, Fondation
Allemande pour le Développement Internationale, 1987.
7
Collomb, P., Une voie étroite pour la sécurité alimentaire d'ici à 2050. FAO, Rome, et
Economica, Paris, 1999.
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et que le pourcentage des pauvres dans les campagnes est généralement beaucoup
plus élevé qu'en ville. De ce fait, la croissance de l'agriculture peut accroître les
revenus des pauvres aussi bien directement, en augmentant la demande de la main-
d’œuvre, qu'indirectement, par le biais des liens que les intrants, la production et les
dépenses créent avec des activités productives non agricoles dans le secteur rural 8.
8
Anonyme, Institut international de recherche sur les produits alimentaires (IFPRI), "Is
there hope for food plenty in Africa ? ", 2020.
9
PNUD, Rapport sur le développement humain, 2000.
10
Mellor J., "Agricultural Development: So many Successes, Such Excellent Results",
document d'information préparé pour la FAO, 2000.
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Néanmoins, l'on ne peut pas généraliser, que ce soit pour ou contre les
produits de grande consommation. Rien ne permet de conclure que l'introduction de
récoltes commerciales ait entraîné une aggravation de la pauvreté. Les récoltes
commerciales ont beaucoup à offrir pour ce qui est des possibilités à la fois
d'accroître et de diversifier les sources de revenus. Lorsque, exposés à des risques
plus élevés du fait qu'ils sont tributaires des marchés pour leur alimentation comme
pour leurs revenus, les ménages pauvres ont généralement tendance à diversifier
leurs ressources. Des éléments indispensables à toute réelle possibilité de
diversification sont l'ouverture de circuits d'approvisionnement en intrants et de
commercialisation de la production et l'existence de marchés financiers ruraux
fonctionnant de manière satisfaisante11.
Il ressort par exemple des chiffres publiés par la Banque mondiale pour
l'Afrique subsaharienne, où se trouvent la majorité des PMA (34), que la proportion
de pauvres est passée de 38,5 pour cent pendant les années 80 à 39,1 pour cent au
milieu des années 9013. L'une des conséquences les plus manifestes de
l'accroissement démographique sera d'encourager la mise en culture de nouvelles
terres. Simultanément, les terres agricoles existantes feront l'objet d'une utilisation
plus intensive. Bien que les rendements ne puissent vraiment être comparés que
dans un contexte agroécologique homogène, la comparaison des moyennes donne
une idée assez exacte de la gamme de possibilités14.
11
Mellor J., op. cit.
12
FAO, Agriculture : Towards 2015/30, Rapport technique intérimaire, 2000.
13
Banque mondiale, Entering the 21st Century: World Development Report 2000, p. 25.
14
Collomb, P., Op. Cit.
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18
Anonyme, Rapport annuel du département Agricole/SCAM (Société de Cultures et
d’Industries Agricoles au Mayumbe), 2018.
19
Idem.
20
Anonyme, De l’état civil, rapport semestriel du Secteur de Nganda Tsundi, 2019.
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4. Hypothèses
5. Objectifs de l’étude
21
SHOMBA, S., Méthodologie et épistémologie de la recherche scientifique, Kinshasa,
PUK, 2016, p.47.
22
REZSOHAZY, R., Théories et critiques des faits sociaux, Bruxelles, la Renaissance du
livre, 1977, p.48
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6. Délimitation du travail
7. Annonce méthodologique
Tout travail scientifique doit répondre à une démarche rationnelle qui lui
permet d’atteindre son but. Cette démarche n’est rien d’autres que l’ensemble des
méthodes et techniques utilisées pour la réalisation du travail. Pour ce qui nous
concerne, nous avons dû recourir aux méthodes analytique, descriptive et
systématique ainsi qu’aux techniques documentaires, questionnaires et interview.
8. Subdivision du travail
1.1.1. Cacaoyer
ce point naît un raphé qui s'étend suivant le bord le plus long jusqu'à la petite
extrémité de la graine23.
1.1.2. Développement
23
LECOMTE H. et CHALOT C., Le cacaoyer et sa culture, éd. Georges Carré et C. Naud,
Paris, 1897, p 120.
24
MOSSU G., Le cacaoyer, Maisonneuve et Larose, 1990, p. 82.
25
LEGOUTE J.R., définir le développement : historique et dimensions d'un concept
plurivoque, Groupe de recherche sur l'intégration continentale Université du Québec à
Montréal, Cahier de recherche Vol. 1, n° 1, 2001, 43 p.
26
BLAIS R., Synthèse : Revisiter le concept de développement, Cahiers de géographie du
Québec, 50(141), 453-457. https://doi.org/10.7202/014888ar
27
PERROUX F., L’économie du XXème siècle, Paris, PUF, 1964, p. 155.
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1.1.5. Ménage
28
LEGOUTE J.R., op. cit.
29
CONTE B., Le développement : concept et différentes approches, 2001, p. 8
30
GOULET D., Développement durable et obsession de la croissance, Foi et
développement, 2005, p. 8.
31
DROUIN, J., Grandes théories de la sociologie et le développement, éd. PUF, Paris,
1997, p. 432.
32
Statistique Canada, Méthodes et pratiques d’enquête, Ottawa, 2010, p. 434.
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33
AGROFOR CAMEROUN, Chaîne de valeur Cacao : De l’agriculteur au consommateur,
Guide technique, 2013, p.17.
34
KOKOU E. A et LIONELLE E., Production et transformation du cacao, Collection Pro-
Agro, 2014, p. 43.
35
AGROFOR CAMEROUN op. cit.
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a) Facteurs climatiques :
b) Facteurs édaphiques
sur les côtés exposés au soleil. Préparer la terre de remplissage (humifère, sablo-
argileuse) en choisissant la terre de surface, de préférence sous couvert forestier,
tout en évitant la terre des vieilles cacaoyères et les fumiers non décomposés. Si la
terre est très lourde, mélanger 1 brouette de sable pour 3 brouettes de terre noire.
Bien tamiser. Remplir de terre humifère et sablo-argileuse des sachets en matière
plastique (polyéthylène) de dimensions 15 x 25 x 10 cm dont la moitié inférieure
aura été préalablement perforée. Disposer les sachets remplis dans les planches (10
sachets dans le sens de la largeur et 50 dans le sens de la longueur), qui seront
séparées par des allées de 60 cm et éloignées d’1 m des côtés de la pépinière afin de
pouvoir circuler facilement.
Maintenir les sachets bien droits par des baguettes de bambou placées
horizontalement et fixées à l’aide de petits piquets verticaux. Construire une clôture
autour de la pépinière afin de protéger les jeunes plants des rongeurs. Pour une
plantation d’un hectare, prévoir 80 à 100 m 2 de pépinière (2 000 plants), soit 60 ou
70 cabosses mûres41. Il est nécessaire de prévoir une surface de 80 m² de pépinière
pour les semis nécessaires à la plantation d'un hectare42.
remplis avec de la bonne terre humifère tamisée (terre de surface récoltée en forêt
avec 30% d'argile). Pour produire des plants pour un ha de plantation, il faut
prévoir 1500 sachets44.
1.2.1.7. Semis
Les graines sélectionnées doivent être semées dans les trois jours suivant
la récolte, car elles perdent rapidement leur pouvoir germinatif une fois en dehors
de la cabosse. On place les semis dans les sachets préalablement préparés
(copieusement arrosée la veille), au milieu, à environ 1cm de profondeur, la partie
la plus large de la graine vers le bas car c’est à ce niveau que se situe le germe. Puis
on recouvre de terre, que l’on tasse légèrement avec les doigts. Un nouvel arrosage
est effectué immédiatement après le semis.
44
MOSSU G., Le cacaoyer : Le technicien de l'agriculture, C.T.A., 1990, p.42.
45
MOSSU G., Le cacaoyer, Maisonneuve et Larose, 1990, p. 82.
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46
ADABE K.E., NGO-SAMNICK E.L., Production et transformation du Cacao, AGRO.
2014, p. 44.
47
ASSOUMOU J., L’économie du cacao. Agriculture d’exportation et bataille du
développement. Paris : Jean-Pierre Delarge. 1977, p. 67.
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Comme toute culture, les cacaoyers ont besoin de se nourrir. Pour bien
comprendre l’importance de la nutrition minérale dans le système sol-plante, il faut
d’abord comprendre l'importance de la gestion des flux (entrées et sorties) et des
stocks de nutriments pour le développement de systèmes de cultures durables. En
effet, le potentiel de fertilité d’un sol dépend de la façon dont sont gérés les flux des
nutriments du point de vue des entrées et des sorties. Dans les systèmes
agroforestiers traditionnels, un équilibre s’établit entre les entrées et les sorties au
cours du temps. Entre autres sorties, ces systèmes génèrent une production stable
de cacao.
Les recommandations actuelles sont basées sur une formule unique quel
que soit le type de sol et ses caractéristiques chimiques. Par exemple, au Ghana,
l’engrais le plus recommandé (Asaase wura) contient 0% N – 16% P – 20% K plus
un peu de Ca et Mg ; en Côte d’Ivoire, l’engrais le plus recommandé (Engrais
cacao) contient 0% N – 23% P – 19% K, aussi avec un peu de Ca et Mg. Les doses
d’engrais doivent prendre en compte la disponibilité des nutriments par rapport à la
qualité du sol. En particulier, l’acidité du sol aura un effet sur l’efficacité de
l’engrais, car la disponibilité de la plupart des nutriments diminue en-dessous de
pH = 6. Et c’est particulièrement vrai pour le phosphore. De plus, les nutriments
dépendent les uns des autres et quand un nutriment est apporté en forte quantité
alors que les autres restent bas, ceux-ci peuvent empêcher l’effet de cet élément. 51
Par ailleurs, lorsque le sol est pauvre en matières organiques, sa capacité à retenir
51
SNOECK D., Importance d’une bonne gestion de la fertilité des sols pour une
cacaoculture durable, Atelier sur la gestion des sols des vergers cacaoyers et
l’agroforesterie appliquée à la cacaoculture en Afrique de l’Ouest et du Centre Organisé
par la COPAL, Kumassi, Ghana, 2010, p. 8.
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l'eau et les éléments minéraux du sol baisse. Ainsi, quand on apporte l'engrais, il
peut être facilement transporté par les eaux de pluie. Il est donc important
d'apporter au sol de l’engrais naturel appelé engrais organique. La matière
organique permet à l’eau de pluie de rester disponible dans la couche de sol
exploitée par les racines du cacaoyer52.
de cacao infectée dégage une forte odeur de poison. L’apparition des spores se
présente sous la forme d’une couche jaune-blanche, qui devient plus dense au fur et
à mesure que la maladie progresse. Les spores sont enlevées par les gouttes d’eau
de pluie qui frappent la surface de la cabosse, elles infectent ainsi les autres parties
du cacaoyer. En dehors des cabosses, les agents pathogènes attaquent aussi la tige,
les coussinets floraux et les gourmands. L’infection cause des nécroses qui
entourent le tronc et provoquent une mort subite de la plante. Ces nécroses se
présentent comme de légères cavités creusées sur l’écorce parfois avec des
suintements rouges à travers les fissures de l’écorce. Lorsqu’on enlève l’écorce, on
découvre une discrète lésion rougeâtre qui couvre le tissu qui généralement ne
pénètre pas dans le bois.
Il existe quatre stratégies de base pour lutter contre les champignons qui
causent la pourriture brune : les méthodes culturales et chimiques, l’usage des
variétés résistantes et la lutte biologique.
53
JANNY G., BARBARA J., et JULIE F., A la découverte du cacao, Un Guide pour la
formation des facilitateurs, 2003, p. 24.
54
DAVID S., À la découverte de la production durable du cacao : guide de formation
participative des planteurs, 2005, p. 59.
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58
SIAKA K., Op. Cit. p.73.
59
SIAKA K., Op. Cit. p. 68.
60
SIAKA K., Op. Cit. p. 79.
P a g e | 29
61
KOUAKOU D., Faire de bonnes affaires avec le cacao de qualité : Référentiel technico-
économique pour les cacaoyères adultes. GIZ, 2ème édition, p. 35.
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L'eau est une ressource naturelle vitale pour la survie des hommes, des
animaux et des plantes. Les exploitations agricoles nécessitent de conserver l'eau et
d’éviter le gaspillage. Tous types de contamination des eaux superficielles et
souterraines doivent être évités par des mesures appropriées : maintenir une
certaine distance entre les champs/plantations et les rivières, ruisseaux, lacs, etc.,
pour prévenir la contamination de l'eau causée par le ruissellement de produits
chimiques ou sédiments ; éviter tout déversement de déchets (résidus de récolte,
conteneurs vides, sacs plastiques, etc.) dans les eaux. Les engrais et les produits
agrochimiques doivent être manipulés et entreposés de manière à éviter toute
contamination car ils constituent une menace pour la santé humaine et la
biodiversité62.
62
KOUAKOU D., Op. Cit. p. 45.
63
KOUAKOU D., Op. Cit. p. 64.
P a g e | 31
poussent en association avec les cultures et/ou l'élevage sur la même portion de
terre. Les avantages des systèmes agro forestiers comprennent : l’amélioration de la
fertilité du sol ; la préservation des ressources en eau et qualité de l'eau ; Le
contrôle des insectes nuisibles et des maladies et la réduction de l’usage des
produits agrochimiques ; l’amélioration de la pollinisation et donc du rendement
des cultures ; l’amélioration des microclimats favorables à la production de cacao ;
la durée de vie plus longue des cacaoyers ; Un plus large éventail de possibilités
économiques pour les producteurs. Pour gérer la biodiversité : utiliser des outils
simples comme des machettes, houes, dabas, etc., pour défricher le terrain au lieu
de brûler la végétation afin de maintenir la fertilité du sol et pour minimiser
l'érosion. Laissez une partie du terrain pour servir d'habitats à la faune. Gardez un
certain nombre d'espèces d'arbres forestiers, d’arbres fruitiers et des arbustes sur les
plantations64.
Ces arbres donnent des fruits, un abri aux oiseaux et aux animaux,
améliorent la fertilité des sols et préservent l'écosystème en général de la
plantation. Pour les cultures vivrières en dehors de la plantation de cacao,
maximiser l'efficacité de l'utilisation des terres par la plantation de deux ou
plusieurs cultures sur le même lopin de terre. Laisser les feuilles, les graines, les
fruits et les coques se décomposer sur place pour servir de matière organique afin
d'améliorer la fertilité des sols et la rétention d'eau. Produire loin des plans d'eau.
Réduire l'utilisation de produits agrochimiques qui sont pour la plupart nocifs pour
l'environnement. Des parcelles de terrain peuvent être réservées pour protéger et
servir d'habitat pour la faune. Ce sont des zones protégées. Ces terres sont parfois
protégées par les lois et gérées par des autorités spécifiques. Dans les aires
protégées, nul n'est autorisé à établir des plantations, couper des arbres pour le bois,
chasser ou pêcher65.
64
KOUAKOU D., Op. Cit. p. 18.
65
KOUAKOU D., Op. Cit. p. 80.
P a g e | 32
population active des pays développés travaille dans l’agriculture, elle reste
l’activité principale des individus dans les pays pauvres et en développement 66.
66
MAZOYER M. et ROUDART L., Histoire des agricultures du monde (
67
CHAMPAUD J., 1966 dans BANQUE MONDIALE, L’Agriculture au service du
développement, Rapport sur le développement dans le monde, 2008, 36 p.
68
BAFUANUSUA F., MUMA WA MUMA C. et VUNA W., Etude comparée de la rentabilité
de cacao frais chez les planteurs du secteur de Nganda Tsundi / Kongo central en RDC
: cas du Village Phalanga Ndenga et la SCAM Tshela, IJIAS, ISSN 2028-9324, Vol. 28 :
1, 2019, pp. 73-87.
69
BCEAO, Etude monographique sur la filière cacao dans l’UEMOA, 2014, p. 33.
70
YOUAN L., GNAMBA Y. et ALOKO N., L’impact de la dynamique de la cacaoculture sur
le développement rural de la sous-préfecture de KOUIBLY à l’Ouest de la Côte d’Ivoire,
Revue Espace Géographique et Société Marocaine, n°33-34, 2020, p. 165-190.
71
WORLD BANK, Situation économique en Côte d’Ivoire : et si l’émergence était une
femme ? (French). Washington, D.C.: World Bank Group, 2017.
P a g e | 33
de 80% des producteurs achètent des biens domestiques pour agrémenter la vie à la
maison. Ainsi, beaucoup d’exploitants sont fiers d’exhiber les biens acquis grâce à
l’économie cacaoyère. Ces derniers se réjouissent d’avoir acheté des postes radio,
des vélos, des motos, des télévisions, des panneaux solaires, des ustensiles de
cuisine, … grâce à l’argent tiré de la vente de cacao72.
Conclusion partielle
75
BAFUANUSUA F., MUMA WA MUMA C. et VUNA W., Etude comparée de la rentabilité
de cacao frais chez les planteurs du secteur de Nganda Tsundi / Kongo central en RDC
: cas du Village Phalanga Ndenga et la SCAM Tshela, IJIAS, ISSN 2028-9324, Vol. 28 :
1, 2019, pp. 73-87.
P a g e | 35
Cette étude a été menée dans le Secteur de Nganda Tsundi situé dans
la partie Nord du Territoire de Tshela, Province du Kongo Central, en
République Démocratique du Congo. Avec 333 km2 de superficie76, le Secteur de
Nganda Tsundi est limité :
76
BAFUANUSUA F., MUMA WA MUMA C. et VUNA W., Etude comparée de la rentabilité
de cacao frais chez les planteurs du secteur de Nganda Tsundi / Kongo central en RDC
: cas du Village Phalanga Ndenga et la SCAM Tshela, IJIAS, ISSN 2028-9324, Vol. 28 :
1, 2019, pp. 73-87.
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2.2.1. Méthodes
En vue d’examiner les hypothèses que nous avons retenu dans cette
étude, les méthodes suivantes nous paraissent importantes à savoir :
Méthode descriptive
Méthode systémique
Méthode analytique
80
PINTO et GRAWITZ M., op. cit.
81
ROCHER G., Introduction à la sociologie générale, T2, Paris, Ed. H.M.H., 1968, p. 200.
82
LUBINI A., Méthodologie de la recherche scientifique, Cours, Unikin, 2016.
P a g e | 38
2.2.2. Techniques
Technique documentaire
C’est ainsi que nous avons lu des ouvrages, des articles, des mémoires,
des rapports et d'autres publications ayant trait à notre objet de recherche. C'est
grâce à cette technique que nous avons élaboré le cadre conceptuel et théorique
de notre travail.
Technique de questionnaire
83
NOUR EL H., Techniques de recherche, Cours destiné aux étudiants de 3ème année
licence de français, Dépt. de lettres et langue française, Fac. des lettres et des langues,
Université Frères Mentouri - Constantine 1, Algérie, 2021.
84
HABIMANA G., Recherche scientifique, ULK, Gisenyi, 2002.
85
GRAWITZ M., Méthodes des sciences sociales, Dalloz, Paris, 1996.
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Technique d'interview
Technique d'échantillonnage
86
GRAWITZ M., op. cit.
87
Statistique Canada (2003), Méthodes et pratiques d’enquête. Ottawa, ISBN 978-1-100-
95206-2. 434 p.
P a g e | 40
Idéalement, c'est toute la population d’étude qui devrait être utilisée pour
obtenir des informations beaucoup plus riches dont nous avions besoin, mais les
contraintes matérielles et temporelles ne nous ont pas offert la possibilité d'étendre
les recherches sur toute la population. Ainsi, nous avons mené nos recherches sur
un échantillon qui correspond à une partie de population. En effet, l'échantillon,
selon GRAWITZ (1996), « est un sous-ensemble caractéristique d'une population
ou d'un domaine d'activité »90.
Par ailleurs, la taille de l’échantillon (n) a été déterminée telle que reprise
2
91 z p(1− p)
par Statistique Canada : elle a nécessité la formule suivante : n ¿ , avec,
e2
z : la valeur correspondante à un niveau de confiance voulu ; p : la proportion de la
population estimée et e : la marge d’erreur voulue ; Dans cette étude, nous avons
voulu obtenir un niveau de confiance de 95% dans les estimations de l’enquête,
donc z = 1,96 ; étant donné qu’il n’y a pas d’estimation de p disponible, nous avons
supposé p=0,5 ; et, nous avons supposé e= 0,083. Soit n=139,4. Cependant, nous
avons pu enquêter 140 personnes.
Les paramètres d’intérêt qui ont fait l’objet de cette étude sont : le sexe,
l’âge, le niveau d’études, l’état matrimonial et la résidence.
88
POIRIER C., Méthodologie de la recherche, Lyon : R.S.I., 1987.
89
Service de l’agriculture du secteur de Nganda-Tsundi et du Territoire de
Tshela. Op. cit.
90
GRAWITZ M., Méthodes des sciences sociales, Dalloz, Paris, 1996.
91
Statistique Canada, Méthodes et pratiques d’enquête. Ottawa, ISBN 978-1-100-95206-
2, 2003, 434 p.
P a g e | 41
La collecte des données a été faite sur base d’un questionnaire d’enquête
élaboré. Ce questionnaire a d’abord été testé pour notre étude.
Les données collectées ont d’abord été saisies sur le logiciel Excel puis,
analysées. L’analyse de nos données a fait l’objet d’une part de la statistique
descriptive92. Soit, nous avons calculé l’étendue en faisant la soustraction entre la
plus haute valeur et la plus petite valeur. Le chiffre obtenu a été divisé par le
nombre des classes (J) que nous avons voulu (J=7). Nous avons ainsi obtenu
l’amplitude que nous avons ajoutée à la plus petite valeur pour obtenir la première.
Pour obtenir l’extrémité inférieure de la deuxième classe, on ajoute 1 à l’extrémité
supérieure de la première classe93.
92
Rajotte T., Les méthodes d’analyse en recherche quantitative : une introduction aux
principaux outils disponibles pour le chercheur, Revue Francophone de Recherche en
Ergothérapie, Vol 5, N°1, 2019, ISSN : 2297-0533, p. 103-110.
93
Dagnelie P. Les statistiques descriptives. Ed. Les Presses de la faculté Agronomique de
Gembloux. 210 p.
P a g e | 42
Pr (X = x et Y = y) = Pr (X = x) × Pr (Y = y)
Pr (X = x | Y = y) = Pr (X = x) et Pr (Y = y | X = x) = Pr(Y = y)
H0 : X et Y sont indépendantes
H1 : X et Y sont dépendantes
Lorsque deux variables aléatoires sont discrètes, il est possible de représenter les
résultats d’un échantillon de taille n par un tableau de contingence :
nij ¿ . n . j
S’il y a indépendance on aura : n ≃ n x n
¿.x n. j
En posant Tij = n
la fréquence attendue pour les modalités i et j s’il y a
indépendance, la statistique pour le test du khi deux sera donnée par :
k m 2
(nij−Tij)
χ = ∑∑
2
; où k est le nombre de modalités de X et m est le nombre de
i=1 j=1 Tij
modalités de Y . Cette statistique est une mesure de la dépendance entre les
variables aléatoires X et Y.
94
Houde L., Tests du khi-deux. Analyse quantitative de problèmes de gestion,
2014, 18 p.
P a g e | 44
Il ressort du tableau ci-dessus que 96 personnes enquêtées parmi les 140, soit
68,5% sont des hommes tandis que les 44 autres personnes (31,5%) sont des
femmes.
Le tableau ci-haut démontre que parmi les 140 personnes enquêtées, 44 soit
31,4% sont dans la tranche d’âge de 54 à 60 ans ; 23 enquêtés parmi les 140 soit
16,4 % sont dans la tranche d’âge de 40 à 46 ans ; 21 enquêtés soit 15 % sont
dans la tranche d’âge de 47 à 53 ans ; 19 sujets d’enquête soit 13,5%
appartiennent dans la classe d’âge 33 à 39 ans ; 18 sujets enquêtés soit 12,8%
sont de la classe de 26 à 32 ans ; 10 personnes enquêtées soit 7,14% sont dans la
classe de 61 ans et plus ; tandis que les 5 autres personnes soit 3,5 % sont de la
classe de 19 à 25 ans.
Le présent tableau nous indique que 52 sujets parmi les 140 soit 37,1% ont
atteints le niveau d’étude secondaire ; 44 individus parmi 140 soit 31,4 % sont
sans niveau d’étude ; les 36 sujets (25,8 %) ont atteint le niveau d’étude
primaire et 8 individus soit 5,7 % sont arrivés au niveau universitaire.
Ce tableau nous indique que 106 enquêtés parmi 140 sujets soit 77 % sont des
mariés ; 19 sujets parmi les 140 soit 13% sont des célibataires ; 10 enquêtés soit
7% sont des veufs et les 5 autres enquêtés soit 3% sont des divorcés.
P a g e | 47
Il ressort des informations de ce tableau, que 20 enquêtés sur 140 soit 14,2%
habitent le village Kayala, contrairement aux 19 sujets soit 13,5% qui habitent le
village Kindongo, alors que 18 personnes soit 12,8% habitent le village Phalanga-
Khumbu, mais alors 16 sujets enquêtés soit 11,4% habitent le village Mbanza, les
15 sujets d’enquêtes soit 10,7% habitent le village Phalanga-Ndenga, par contre les
12 sujets soit 8,6% habitent le village Kondi-Diyanga, 10 sujets enquêtés soit 7,2%
habitent le village Miniezi Mabiala, parmi les 140 sujets 9 soit 6,5% habitent le
village Kitsembo-Maduda, alors les 8 autres soit 5,7% habitent le Centre
commercial Nganda Tsundi, mais les 4 sujets parmi les enquêtés soit 2,8 %
habitent le village Vaku-di-Phalanga, et les 9 enquestés qui restent habitent les
villages Mbuku-Vindu, Vindu I et Kimbauka-ki-Kayala en raison de 3 enquêtés
soit 2,2% par village.
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Le présent tableau montre que 60 sujets enquêtés sur 140 soit 42,9 % ont une
ancienneté de 6 à 10 ans dans le domaine ; 36 enquêtés soit 25,7% ont une
ancienneté de 11 à 20 ans ; tandis que 28 enquêtés soit 20% ont une ancienneté de
21 ans et plus et enfin 16 soit 11,4% ont une ancienneté de Moins de 5 ans.
Le tableau ci-haut nous indique que, 96 sujets enquêtés sur 140 soit 68,6% ont
mis en valeur un espace de 1 à 5 hectares, alors que 28 autres sujets soit 20% ont
mis en valeur un espace de 6 à 10 hectares et enfin 16 enquêtés restant soit
11,4% ont mis en valeur un espace de 11 hectares et plus.
P a g e | 49
Selon le tableau ci-haut, 80 sujets enquêtés sur 140 soit 57,2 % estiment que leur
rendement est assez-performent ; 40 sujets enquêtés sur 140 soit 28,6 % pensent
que leur rendement est performant ; 20 autres enquêtés sur 140 soit 14,2% disent
que leur rendement est mauvais.
Quant aux informations du présent tableau, 130 sujets enquêtés sur 140 soit 93 %
affirment que la production de cacao est rentable contrairement aux 10 autres
individus soit 7% qui disent la cacaoculture n’est pas rentable.
Tableau 10. Opinions des enquêtés pour savoir si les revenus nouent les deux
bouts du mois
Nouer deux bouts du mois Fréquence Pourcentage
Oui 62 44,3
Non 78 55,7
Total 140 100
Sources : Nos enquêtes, avril 2023.
Le tableau ci-haut nous renseigne que 78 enquêtés parmi 140, soit 55,7% n’arrivent
pas à nouer leurs deux bouts du mois contrairement à 62 sujets soit 44,3% qui
arrivent à nouer les deux bouts du mois.
P a g e | 50
Il ressort du tableau ci-haut que 60 sujets enquêtés parmi les 140 soit 43,5 % ont un
revenu mensuel de 151 à 200 $ alors que 31 autres soit 22% ont un revenu de 201
et plus, 28 parmi les enquêtés soit 20% ont le revenu de 101 à 150 $, 16 parmi 140
soit 11% ont le revenu de 51 à 100 $, et enfin 5 autres soit 3,5% ont le revenu de 1
à 50 $.
Le tableau ci-haut nous démontre que 94 sujets enquêtés soit 67,1% reconnaissent
que la production de cacao couvre leur alimentation, alors que pour les 19 soit
13,1% c’est l’habillement, tandis que pour les 16 autres soit 11,4% c’est la
scolarisation et enfin pour les 11 restants soit 7,4 %c’est l’accès aux soins de santé.
P a g e | 51
Il renseigne du tableau ci-haut que 73 parmi les 140 soit 52,2 % pensent que leur
grande difficulté c’est l’épargne et le crédit, contrairement aux 43 autres soit 30,7
% qui estiment que la grande difficulté c’est le mauvais état des routes, pour les 9
sur 140 soit 6,4% l’imposition des prix par les acheteurs, mais 8 autres soit 5,7 %
c’est plutôt la concurrence du marché qui est la grande difficulté et enfin 7 restants
soit 5% estiment que la grande difficulté c’est le faible taux de la demande.
Quant aux tranches d’âge, la tranche d’âge la plus représentée c’est d’âge
de 54 à 60 ans avec 31,4%, suivi de 16,4 % qui sont dans la tranche d’âge de 40 à
46 ans, ainsi que 15 % qui sont dans la tranche d’âge de 47 à 53 ans, puis 13,5%
appartiennent dans la classe d’âge 33 à 39 ans ; Ensuite, 12,8% sont de la classe de
P a g e | 52
26 à 32 ans, tandis que 7,14% sont dans la classe de 61 ans et plus enfin, 3,5 % sont
de la classe de 19 à 25 ans.
En rapport avec nous résultats 42,9 % des enquêtés ont une ancienneté de
6 à 10 ans dans le domaine ; suivi de 25,7% ont une ancienneté de 11 à 20 ans ;
tandis que 20% ont une ancienneté de 21 ans et plus et enfin 11,4% ont une
ancienneté de Moins de 5 ans. La simple raison de ces résultats est que chacun de
ces enquêtés crochait la case selon sa durée dans le domaine.
P a g e | 53
Parmi nos enquêtés, 55,7% disent qu’ils n’arrivent pas à nouer leurs deux
bouts du mois contrairement à 44,3% qui arrivent à nouer les deux bouts du mois.
Parmi les grandes difficultés que les cacaoculteurs font face, il est à
signalé que, 52,2 % pensent que leur grande c’est difficulté d’épargne et de crédit,
contrairement 30,7 % qui estiment que la grande difficulté c’est les mauvais états
des routes, pour 6,4% l’imposition des prix par les acheteurs est la grande
difficulté, tandis que 5,7 % pensent que c’est plutôt la concurrence du marché qui
P a g e | 54
est la grande difficulté et enfin 5% estiment que la grande difficulté c’est le faible
taux de la demande.
Nous allons étudier la liaison entre deux variables dont les modalités
respectives apparaissent dans un tableau croisé dans un tableau.
96 X 40
1ère cellule ¿ 140 =27 , 4
44 X 40
2ème cellule ¿ 140 =12 ,5
96 X 80
3ème cellule = 140 =54 ,8
44 X 80
4ème cellule = 140 =25 ,1
96 X 20
5ème Cellule = =13 , 7
140
44 X 20
6ème Cellule = 140
= 6,2
2 2 2 2 2 2
(96−27 , 4 ) (44−12, 5) (96−54 , 8) (44−25 , 1) (96−13 , 7) (44−6 , 2)
X2= + + + + + =
27 , 4 12 ,5 54 , 8 25 ,1 13 ,7 6,2
1020,9
Décision statistique :
Conclusion partielle
Durée : 3 mois
4.1.2. Problèmes
Concurrence du marché,
Difficulté d’épargne et de crédit,
Faible taux de la demande,
Imposition des prix,
Mauvais état des routes.
4.1.4. Variables
4.1.5. Contraintes
4.1.6. Alternatives
Source : nous-mêmes
1. Au bout de trois mois une coopérative agricole est créée dans le secteur de
NGANDA TSUNDI,
2. D’ici trois mois 100% des membres de la COAGRIM sont capables d’épargner,
3. Dans trois mois 100% des membres de la COAGRIM sont capables de recevoir
le crédit.
1. Accréditer le projet
2. Chercher le financement,
3. Recruter le personnel,
4. Recruter les membres et préparer les textes légaux,
P a g e | 61
4.1.10.3. Résultats
Rapport 5 751,06
R1. Une R1A1 : Identifier les Nombre des d’activités ; Gestionnaire
coopérative cacaoculteurs; cacaoculteurs Liste de présence de projet et
agricole de identifiés ; des membres; Consultant
MAYOMBE R1A2 : Sensibiliser Nombre de PV de réunions ;
est créée dans les cacaoculteurs cacaoculteurs ;
le secteur de sensibilisés; Photos ;
R1A3 : Recruter les
NGANDA Nombre de Rapport du
membres
TSUNDI, gestionnaire projet;
R1A4 : former les sélectionnés; Descente sur
membres terrain.
Nombre de
R1A5 : Préparer les membres recrutés,
textes légaux et
installer le comité Nombre de
P a g e | 63
Nombre de
cacaoculteurs Rapport 5 751,06
R.2. R2.A1 : Former les formés; d’activités du Comptable et
cacaoculteurs sur les Nombre projet ; Caissier
100% des biens fondés de
cacaoculteurs qui Bilan financier;
membres de l’épargne ;
ont conscience; Rapport de
la
Qualité de financier;
COAGRIM R2.A2 :
modalités et Rapport de
sont capables Conscientiser les
conditions suivi ;
d’épargner cacaoculteurs
d’épargne; Témoignage
R2.A3 : Fixer les Nombre de des
modalités et les cacaoculteurs qui bénéficiaires ;
conditions contribuent selon
d’épargne ; les modalités;
Qualité de suivi
R2.A4 : Contribuer des activités.
financièrement
P a g e | 64
R2.A5 : Contribuer
matériellement
Source : nous-mêmes
P a g e | 66
Gestionnaire du projet
Assistant
Consultant
permanent
Comptable Logisticien
Caissier
Technicien de Sentinelle
surface
P a g e | 67
Source : nous-mêmes
P a g e | 69
Notre projet est de 3 mois. D’où, nous devons procéder de la manière suivante pour
avoir le nombre de jours de travail pour un individu. Pour trouver le nombre de
personnes devront travailler dans ce projet nous faisons 220/12=18,3= 18,3 x 3 =
54,9. Nous prenons le total des jours du projet 438/54,9 =7,9 ≈ 8 personnes
P a g e | 70
engagées dans ce projet. Mais pour atteindre nos objectifs nous pouvons faire
recours à d’autres personnes (personnel d’appui).
Source : nous-mêmes
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Source : nous-mêmes
Source : nous-mêmes
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Source : nous-mêmes
Source : nous-mêmes
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Source : nous-mêmes
Source : nous-mêmes
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Source : nous-mêmes
Source : nous-mêmes
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Source : nous-mêmes
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Source : nous-mêmes
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P a g e | 78
des enfants qui seront les bénéficiaires directs. Dans le cadre de satisfaction des
besoins fondamentaux de base.
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Source : nous-mêmes
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Source : nous-mêmes
P a g e | 82
Résultats -Au bout de trois mois une - Nombre de coopérative Rapport de suivi ; L’équipe de
attendus coopérative agricole de créée dans le secteur Rapport de la mise en œuvre
MAYOMBE est créée NGANDA TSUNDI, formation ; du projet
dans le secteur de - Pourcentage de membres Témoignage des exécute les
NGANDA TSUNDI, de la COAGRIM capables bénéficiaires. activités du
-D’ici trois mois 100% des d’épargner, projet comme
membres de la COAGRIM - Pourcentage de membres prévu
sont capables d’épargner, de la COAGRIM capables
-Dans trois mois 100% des d’accéder le crédit.
P a g e | 83
membres de la COAGRIM
sont capables de recevoir le
crédit.
A -Accréditer le projet; Moyens Couts en $ Implication
-Chercher le financement; - Equipements; 17 253,17 massive des
-Recruter le personnel; - Formation; cacaoculteurs
-Recruter les membres et - Matériels ; la mise en
préparer les textes légaux; - Salaire; œuvre du
-Élire et installer le comité - Frais généraux; projet
de direction; - Frais Administratif 5%,
-Suivre et contrôler les - Frais bancaire 3%.
activités;
-Évaluer le projet.
Versement de
l’argent au
moment
voulu.
Source : nous-mêmes
84
Conclusion partielle
CONCLUSION GENERALE
Ne pas imposer les prix d’achat aux producteurs de cacao pour faciliter
l’équilibre du marché
Aux cacaoculteurs :
BIBLIOGRAPHIE
I. Ouvrages
V. Webographie
91
ANNEXES
93
Archidiocèse de Kinshasa
Université Omnia Omnibus
Faculté de Gestion et Management
Madame, Monsieur,
Nous vous rassurons que vos réponses ne seront exploitées qu’à des fins
purement scientifiques. Nos remerciements anticipés pour votre contribution.
NB : Veuillez ne cocher que la case correspondant à votre point de vue ; pour les
questions ouvertes, complétez les pointillés.
c) Secondaire d) Universitaire
c) PHALANGA--NDENGA d) KINDONGO
e) MBANZA
d) Autres à préciser………………………………….
95
6. Quel est votre revenu mensuel en franc congolais (Frc) ou en dollar ($)
201$ ou plus
96