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SECTEUR AGRICOLE
INTRODUCTION GÉNÉRAL
Grâce à cette subvention les États Unis ont pu arriver à limiter les dégâts de
la pandémie dans le domaine alimentaire de la population en débloquant
une somme colossale de 6 millions de dollars et mettent en place des
stratégies de soutient.1
1 https://cd.usembassy.gov/fr/the-united-stands-with-the-drc-to-combat-covid-19-announce-6-million-in- additional-ais-
fr/
1 https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-18107/migration-bantoue/
2 Réflexion sur le combat quotidien contre l’insécurité alimentaire dans le contexte urbain kinois » Ghislain TSHIKENDWA Matadi mène
une analyse.
désastreux. Selon les deux agences de l’ONU, les nombres des personnes
tranchées par une insécurité alimentaire agréé élevées en RDC est estimé à
27,3 millions, soit une personne sur trois. Dans ce cas près de sept millions
de personnes au niveau d’urgence de faim aiguë. 3
La RDC étant un pays a très fort potinaient agricole l’Etat congolais doit
proposer des subventions dans le but d’éradiquer l’insécurité alimentaire en
faisant passer la production agricole artisanale en une production agricole
industrielle de surproduction.
Notre travail s’inscrit dans une approche différente des travaux précédents
réalisés sur le même thème. Il analyse la subvention de l’état congolais dans
le secteur agricole. La population ciblée est celle de la RDC dans la
commune de Masina prise sur la période 2019 à 2022.
3 https://news.un.org/fr/story/2021/04/1093322
4 Damien-Joseph MUTEBA KALALA et Jules NKULU MWINE FYANA, causes alimentaire 'et mesures d’atténuation RDC
5 NGALUMULUME TSHIEBUE GRÉGORIEN politique agricole et sécuritaire au Congo Kinshasa, évolution historique enjeux, et
perspectives
Nous allons d’une part déterminer les facteurs socio-économiques de
l’incidence alimentaire dans la commune de Masina, cerner les variables qui
sous-entend son évolution et, d’autres part, examiner l’incidence de celle sur
les ménages.
2. PROBLÉMATIQUE
moderne, Et cela est dû au fait que le matériel moderne coûte très cher à
l’achat et même à la location. Pour économiser de l’argent pour eux-mêmes
6 https://www.ohchr.org /fr/presses-releases/2009/10/default-title-376
la majorité d’entre eux s’appuient sur leurs outils primitifs pour
l’agriculture.
Chaque année, les agriculteurs ne peuvent toujours pas accéder aux prêts
gouvernementaux pour se développer en raison de la bureaucratie
gouvernementale. La mauvaise infrastructure manque et le d’équipements
sociaux, les manque des commodités sociales et des mauvaises
infrastructures et un autre problème limite les succès de l’agriculture dans
les pays.
Comme nous l’avons mentionné ci-dessous, la plupart des agriculteurs
congolais résident dans des zones reculées, où les équipements des bases
comme l’eau, l’électricité, etc. sont absents, ce qui rend la vie culturelle
difficile pour les agriculteurs.
Ces zones ont également de mauvais réseaux routiers qui rendent presque
impossible pour les agriculteurs de transporter leurs marchandises. Ainsi, la
majorité des produits de la ferme ne sont que des déchets dans ces zones
Absence d’installation moderne des stratégies et des traitements. Une grande
partie des cultures vivrières produits en RDC sont des aliments périssables
et des études montrent qu’environ 80 % des aliments produits par les
agriculteurs congolais c’est déterminé en raison du manque d’installation de
stockage moderne telles que l’ensilage, les granges, ...
C’est pour mieux cerner le contour de notre travail, nous avions cherché à
répondre aux questions fondamentales ci- après :
- Quelle est l’incidence de cette insécurité alimentaire sur la population
urbaine
3. Hypotheses
7 https://wazaentrepreneur.com/problemes-majeurs-agriculture-congo-kinshasa/
La non-subventions de l’État est résultante des facteurs socio-économiques et
politiques :
4. Objectifs de l’étude
B. Objectifs spécifiques:
6. Délimitation du sujet
7. Méthodologie adoptée
Dans le but d’enrichit notre travail ce dernier passera par deux méthodes et
technique notamment :
a) Méthode
• La méthode déductive
• Méthode analytique
b) Technique
• La technique documentaire
• L’entretien
A. Méthode
Au sens large, le terme méthode désigne l’ensemble des démarches qui suit
esprit pour découvrir et démontrer la vérité.
B. Technique
8. Structure du travail
Définit comme une Aide financière versée par l'État ou une personne
publique à une personne privée, physique ou morale, dans le but de favoriser
l'activité d'intérêt général à laquelle elle se livre. 8
La définition du terme subvention est discutée et discutable et d’aucuns
doctrine et jurisprudence en droits français comme étrangers – ont leur propre
interprétation. Ainsi l’on assimilera facilement les subventions aux notions de
dotations, de fonds, de dons, de mécénats ou de « sponsoring », d’offres de
concours, d’aides publiques ou encore de contributions financières alors même
que ces qualifications posent d’autres interrogations pratiques et
jurisprudentielles, notamment en ce qui concerne la compatibilité de la mesure
avec le droit européen des aides d’État et de la libre-concurrence d’une part et
d’autre part avec les principes généraux du droit administratif et des finances
publiques. Cette indétermination tient essentiellement à ce que la notion de
subventions n’est pas une catégorie juridique prédéfinie et que les pratiques
financières ainsi qualifiées ont des régimes épars. Étudiées tantôt comme une
dépense tantôt comme une recette publique, les subventions ne peuvent donc
qu’être entendues au pluriel comme relevant d’une pratique et d’une politique
administrative d’une personne subsidiante envers une entité subsidiée.
L’administration peut en effet estimer utile d’aider des œuvres privées ou
publiques qu’elle juge les plus intéressantes par l’octroi d’un soutien financier
qui se présentera, le plus souvent, sous la forme d’une somme d’argent versée
de manière soit périodique soit globale (mais non perpétuelle).
Le procédé est en conséquence très simple en pratique puisque
l’importance de la subvention variera en fonction du rendement de l’œuvre
d’une part et d’autre part reste économique en ce qu’il coûte moins cher que la
transformation en service administratif…9
Bien qu’il soit largement employé en économie, le terme “subvention“ est
rarement défini. Souvent, il est utilisé comme un antonyme du mot taxe,
désignant un transfert d’argent des pouvoirs publics à une entité du secteur
privé. Tel est le cas, par exemple, dans le dictionnaire Oxford en ligne, où une
subvention est définie comme une “somme d’argent accordée au moyen de
fonds publics pour aider un secteur ou une entreprise à maintenir le prix d’un
produit ou d’un service à un niveau peu élevé“. Mais beaucoup feraient valoir
8 Définitions : subvention - Dictionnaire de français Larousse
9 Subvention | Cairn.info
que les allégements fiscaux sont aussi une forme de subventionnement. 10 En
fait, pour les destinataires, cela ne fait peut-être guère de différence de recevoir
de l’argent ou de payer moins d’impôts. Les deux formes d’“assistance“
représentent aussi un transfert financier des pouvoirs publics. En revanche, la
protection à la frontière, par exemple par les droits de douane, n’implique pas
un tel transfert financier mais se traduit plutôt par des recettes budgétaires.
Or, on pourrait faire valoir que l’imposition d’un droit de douane représente
une forme de subventionnement pour les secteurs qui concurrencent les
importations et qui sont ainsi protégés contre la concurrence étrangère. Par
conséquent, la définition des subventions en tant que transferts des pouvoirs
publics ou dépenses budgétaires n’est pas nécessairement complète. Une autre
approche consiste à dire qu’une “subvention“ existe chaque fois qu’un
programme public profite à des acteurs privés. La principale difficulté qu’elle
soulève est que les destinataires d’un transfert monétaire ou d’un allégement
fiscal, par exemple, ne sont pas nécessairement les bénéficiaires ultimes de la
politique. Ainsi, les allocations de logement, telles que l’Eigenheimzulag“ en
Allemagne, consistent en transferts ou en Définition des subventions dans les
sources de données nationales et internationales La plupart des définitions des
subventions rencontrées dans les statistiques ou dans la législation nationale
indiquent assez clairement si elles incluent ou non chacune des trois
catégories mentionnées ci-dessus. Mais, à l’intérieur de ces catégories, les
pouvoirs publics disposent d’une large gamme d’instruments pour accorder
des subventions. De nombreuses définitions n’englobent pas tous les
instruments possibles à l’intérieur d’une catégorie, parce qu’elles considèrent
aussi les subventions sous d’autres angles. En fait, les définitions des
1.1.2 L’ETAT
Plutôt que de se demander ce qu’est l’État, il serait plus exact de
s’interroger sur la signification prêtée à ce mot, ou mieux encore, sur celle que
10 wtr06-2b_f.pdf (wto.org)
l’on choisit de lui conférer : car il n’existe pas d’essence, évidente ou objective,
de l’État. Quelle en est la définition la plus pertinente, c’est-à-dire la plus
susceptible d’appréhender la réalité politique et juridique ?
S’il est indispensable de prendre ces précautions, c’est parce qu’il a été
proposé de nombreuses définitions contradictoires du mot « État ». Selon une
approche classique, l’État serait « une communauté nationale, particularisée
par son passé et par une certaine unité », comportant « nécessairement
certains caractères politiques et juridiques qui la rendent différente des autres
communautés infra-étatiques ou supra-étatiques », et notamment le fait que
l’organe dirigeant de l’État « dispose au nom de ce dernier du monopole de
l’édiction des règles de droit et de l’emploi de la force publique ».Dans cette
perspective, l’État se définit par la fusion de deux éléments : un pouvoir, et une
population (qui pourra, selon les cas, être appelée peuple, nation ou société).
Cette définition renvoie à la conception révolutionnaire de l’ « État-nation », qui
présuppose une identité de l’un et de l’autre : la nation étant conçue comme
une réalité sociologique, historique et culturelle, c’est par l’État qu’elle acquiert
une consistance politique, l’État n’étant, à l’inverse, que le mode juridique
d’existence de cette nation…11 L L’État possède une triple
signification :sociologique ; organisationnelle ;juridique.
- Sur le plan sociologique, c'est alors une population vivant sur un
territoire déterminé et soumise à un gouvernement. Cette définition rejoint
celle de la première édition du dictionnaire de l’Académie française de 1696,
qui définit l'État comme le « gouvernement d’un peuple vivant sous la
domination d’un prince ou en république »3, ou bien le pays lui-même, c'est-à-
dire l'État entendu « pour le pays même qui est sous une telle domination »
- Du point de vue organisationnel, c'est une forme d'organisation que la société
utilise pour s'orienter et se gérer. L'État désigne également un ensemble de
personnes qui acceptent de s'imposer un ordre sous certaines conditions. Sur
le plan juridique, « l'État peut être considéré comme l'ensemble des pouvoirs
d'autorité et de contrainte collective que la nation possède sur les citoyens et
les individus en vue de faire prévaloir ce qu'on appelle l'intérêt général, et
avec une nuance éthique le bien public ou le bien commun ».
- Sur le plan juridique et selon le droit international, un État souverain est vu
comme délimité par des frontières territoriales établies, à l'intérieur desquelles ses
lois s'appliquent à une population permanente, et comme
L’Etat est la forme normale d’organisation des sociétés. Sous sa forme primitive
et dans la Grèce hellénistique les Etats ont la taille des cités (Athènes, Sparte
…). Dans leur forme moderne les Etats se sont constitués sur les fondements
de la nation ; soit ils ont aidé à la formation du sentiment national ; soit le
sentiment national à précédé la formation de l’Etat ; soit encore la constitution
de l’Etat a été concomitante à celle de la nation. Aujourd’hui, l’ensemble de la
planète est composée d’Etats. Sur un plan juridique l’Etat est devenu la forme
normale d’organisation des sociétés.
La seconde approche de l’Etat est celle de L’État de droit décrite par Hans
Kelsen et le positivisme juridique. Cette conception de l’Etat conduit à penser
que ce n’est pas l’Etat qui produit le droit mais l’ordre juridique qui produit
l’Etat (la hiérarchie des normes). L’État ne serait alors que l’émanation du droit
qui limiterait sa puissance d’arbitraire. Cette conception insiste sur la
nécessité de soumettre la puissance publique au respect du droit. Pour que
l’Etat existe il faut un ensemble de normes juridiques qui obligent l’Etat à
respecter le droit et un ordre juridique capable de contrôler l’Etat.
L’État se compose d’individus qui sont les ressortissants de cet État. Peu
importe le volume de la population qui compose l’État. Le plus petit État du
monde, le Vatican, ne comporte pas plus de 1000 habitants, alors que le plus
peuplé, la Chine en compte plus d’un milliard. Le lien juridique qui unit les
ressortissants à un État s’appelle la nationalité. La population c'est-à-dire
l’ensemble des individus de chaires et de sang qui peuplent le territoire sont
reliés à l’Etat par un lien juridique qui peut être soit la citoyenneté soit la
nationalité. L’un est l’autre recouvre des réalités sensiblement différentes.
Un territoire
L’existence d’une population et d’un territoire ne suffit pas pour qu’un État soit
constitué. Il faut en outre que celui-ci dispose d’une organisation politique
souveraine. Ce qui signifie, d’une part, qu’il existe des institutions capables
d’imposer leur volonté et, d’autre part, que ces institutions ne soient pas dans
un lien de subordination juridique par rapport à un ordre supérieur. Les
collectivités territoriales possèdent une population et un territoire, elles
disposent également d’institutions, mais elles ne sont pas souveraines. L’Etat
dispose donc du monopole de « la violence légitime ». Cependant, la
construction communautaire et dans une moindre mesure la décentralisation
sont susceptible de remettre en cause ce postulat.
L’architecture des États peut être plus ou moins complexe. Il existe deux
grandes catégories d’architecture. La première qui correspond au schéma de la
France est celle de l’État unitaire. La seconde catégorie est celle des États
composés.
L’État unitaire
L’Etat unitaire repose sur deux principes qui sont les deux faces d’une même
pièce : celui de l’indivisibilité et celui de l’unité.
Le principe de l’indivisibilité
Le principe de l’unité
La centralisation et la déconcentration
La déconcentration
La décentralisation
La confédération
La confédération est une assemblée d’États qui va plus loin que la simple
alliance. Elle exerce pour le compte des États membres des compétences
communes, mais les États restent souverains pour l’application des décisions
communes. A la différence de la fédération, les décisions prises par les États
confédérés ne concernent pas les populations. Elles n’ont pour objet que de
régir des relations entre États. Sous certains aspects, l’Union européenne
ressemble de près à une confédération.
L’État fédéral
L’État fédéral va plus loin que la confédération dans l’intégration des États
membres. Il existe une superposition d’un État fédéral aux États fédérés qui ne
sont donc pas souverains. Les États fédérés, étant privés de souveraineté, ne
peuvent avoir de relations diplomatiques avec les autres États. D’une certaine
1.1.3 SECTEUR
L’anarchisme s’est surtout manifesté par des grèves dures, conduites dans
les secteurs les plus sensibles de l’économie d’exportation :
(Technique) Appareil servant à régler le mouvement des broches sur les métiers
à tisser à renvider.
1.1.4 AGRICOLE
Qui s’adonne à l’agriculture. Il est presque toujours joint à un nom collectif. Qui a rapport à
l’agriculture
1.1.5 AGRICULTURE
C’est l’ensemble des travaux dont le sol fait l'objet en vue d'une production
végétale. Plus géné ralement, l’ensemble des activités développées par l'homme, dans un milieu
biologique et socio-é conomique donné, pour obtenir les produits vé gétaux et animaux qui lui
sont utiles, en particulier ceux destiné s à son alimentation. 15
En 1946, l’agriculture devient dans des nombreux pays une industrie, non
seulement assure les besoins de la population non agricole ainsi que
l’exportation, on parle de l’agro-business.18
16 https://www.agri-mag.com/2020/04/26/quels-sont-les-grands-moments-de-lhistoire-de-lagriculture/)
20
(Https://www.fao.org/3/X2919F/x2919f05.htm)
1.1.2 Définition
Selon l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture
(FAO), Une exploitation agricole27 est une unité économique de production
agricole soumise à une direction unique et comprenant tous les animaux qui
s’y trouvent et toute la terre utilisée, entièrement ou en partie, pour la
production agricole, indépendamment du titre de possession, du mode
juridique ou de la taille. La direction unique peut être exercée par un
particulier, pas r un ménage, conjointement par deux ou plusieurs particuliers
ou ménages, par un clan ou une tribu ou par une personne morale telle que
société, entreprise collective, coopérative ou organisme d’état. L’exploitation
peut contenir un ou plusieurs blocs, situés dans une ou plusieurs régions
distinctes ou dans une ou plusieurs régions territoriales ou administratives, à
condition qu’ils partagent les mêmes moyens de production tels que
maind’œuvre, bâtiments agricoles, machines ou animaux de trait utilisés sur
l’exploitation.”20
18
https://www.reussir.fr/petite-histoire-de-lagriculture. )
21
2050.
22
(https://www.banquemondiale.org/fr/topic/agriculture/overview)
23
https://www.memoireonline.com/09/18/10332/m_Agriculture-et-croissance-inclusive16.html
24
(https://www.banquemondiale.org/fr/topic/agriculture/overview)
Elle est parfois également appelée agriculture productiviste. Elle repose sur
l'usage optimum d'engrais chimiques, de traitements herbicides, de fongicides,
d'insecticides, de régulateurs de croissance, de pesticides...
- Agriculture extensive : L'agriculture extensive est un mode d'agriculture
dans lequel les rendements sont bas. On produit peu dans une surface
donnée.
L'agriculture extensive est liée souvent aux conditions naturelles des régions
où elle est pratiquée. Elle permet de tirer de la valeur d'un milieu peu favorable
à la production des plantes.
- Agriculture traditionnelle : L'agriculture traditionnelle se caractérise par très
peu de technification et très faible utilisation de la technologie. Cela rend sa
production à grande échelle pas trop productive. La production ici est
uniquement destinée à la consommation de l'agriculteur et de ceux qui
travaillent la terre. Des outils tels que la faucille, la houe ou la pelle sont
souvent utilisés. Dans le cas où les agriculteurs ont un tracteur, celui-ci
n'est généralement pas utilisé à sa puissance maximale.
17 (Https://m.actu-environnement.com/dictionnaire-environnement/definition/agriculture_intensive.html)
1.3 Secteur Agricole
Le secteur agricole est un sous-secteur intégré au secteur primaire.
Celui-ci est composé des activités qui comprennent le secteur agricole, ou
pratique agricole, et le secteur de l'élevage, également connu sous le nom de
secteur de l'élevage.
Ainsi, le secteur agricole, en d'autres termes, n'est rien de plus que l'union de
deux sous-secteurs qui font partie du secteur primaire. Ces deux soussecteurs
sont le secteur agricole, qui comprend toutes les activités liées à l'agriculture,
ainsi que le secteur de l'élevage ou de l'élevage, qui comprend toutes les
activités liées à l'élevage. Ces deux sous-secteurs, en raison de leur pertinence
au sein du secteur primaire lui-même, sont ainsi classés, recevant le nom de
"secteur agricole".
Le secteur agricole est l'un des secteurs les plus anciens et les plus importants
de l'économie. Dans le monde rural, le secteur agricole comprend les activités
qui, d'une certaine manière, constituent le principal moteur économique dudit
territoire. Et, parce qu'on parle d'élevage et d'agriculture, ce sont ces zones
rurales, précisément, celles qui développent le plus l'activité agricole. 18
18 Secteur agricole - Qu'est-ce que c'est, définition et concept - 2021 - Économie-Wiki.com (economy-pedia.com )
Sont réputées agricoles toutes les activités correspondant à la maitrise et
à l’exploitation d’un cycle biologique de caractère végétal ou animal et
constituant une ou plusieurs étapes nécessaires au déroulement de ce cycle
ainsi que les activités exercées par un exploitant agricole qui sont dans le
prolongement de l’acte de production ou qui ont pour support l’exploitation.
En effet, cela c’est fait en deux partie ; la premier partie pour tout
concept cles et la deuxieme sur l’agriculture.
En bref, nous avons compris que definir et donner les notions sur les
concepts nous eclaira d’avantage dans la profondeur du sujet.