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Quelques années plutard, le couple LAMODE bat de l’aile, il est même en instance de
divorce. Malgré ses nombreuses supplications, Madame LAMODE refuse toujours de
donner son consentement à la reconnaissance par Monsieur LAMODE, de KOUAMI
son enfant adultérin.
La mère de ce dernier, OZOUA, et ses frères ne comptent pas baisser les bras face au
plus grand quidam de la ville qui se fait appeler KOUKLIZIA du nom de leur défunt
père. Le quidam KOUKLIZIA, quant à lui, n’est pas du tout inquiété, il sait
qu’OZOUA et ses frères ne portent pas le nom de leur père pour prétendre le défendre
en justice.
L’un des frères d’OZOUA, Monsieur LEBENI, et son épouse décident d’adopter un
enfant, n’en ayant pas eu pendant ces cinq (5) années de mariage. Ils veulent faire de
cet enfant le leur propre, leur seul héritier. C’est pourquoi, Madame LEBENI compte
demander après l’adoption, que cet enfant porte leur nom patronymique auquel elle
souhaite ajouter le prénom Dieudonné.
Par ailleurs, la jeune COUPECOEUR, âgée de 17 ans, veut exercer une action en
recherche de paternité pour son enfant TOUPETIT. En effet, le prétendu père qu’elle a
perdu de vue, lui a écrit un courrier à la naissance de l’enfant dans lequel il lui avait
promis qu’il viendrait incessamment reconnaitre son enfant. Mais six ans plutard, alors
que l’enfant est en âge d’aller à l’école, il ne s’est toujours pas présenté. Aussi, elle
décide de saisir la justice non sans avoir suscité préalablement les conseils de sa tante
ROSECURRY, intellectuelle de son état, qui lui a prédit l’échec de son action du fait
de sa minorité.