Vous êtes sur la page 1sur 5

DROIT DE PROTECTION DES ENFANTS

Commentaire et critique sur l’affaire kalala

Premièrement il est important de noter que l’accusé nie avoir eu connaissance de l’âge réel de
la victime car la victime l’avait certifié avoir atteint l’âge de la majorité il est important de
signaler qu’en RDC il est difficile de connaitre l’âge réel d’une personne car aujourd’hui au
Congo actuellement il n y pas de carte d’identité on donne seulement aux majeurs des cartes
d’électeurs qui pour certains n’ont pas le bon âge et avec cette génération ou les personnes
apparaissent plus âgé crée un véritable problème et le fait que le tribunal dit établit que
l’accusé avait connaissance de l’âge de la victime(élément moral ) ce qui est discutable bien
que la victime a réellement 15 ans ,l’accusé n’était au courant de l’âge réel

Deuxièmement il faut aussi relevé le désistement de monsieur malandila musuku louis le père
de la victime qui est un peu bizarre vu que sa fille a été victime de l’infraction de l’article 171
de la loi n° 09/001 du 10 janvier 2009 portant protection de l’enfant ce qui aurais pu lui donné
droit a des dommages- intérêt vu que les prévenu a été condamné , mais à accuse désistement
le tribunal n’a pas condamné le prévenu a des dommages-intérêt ,ce désistement en matière
pénal n’éteint pas l’action

Troisièmement le fait que le tribunal considère que l’âge de l’accusé constitue des
circonstances atténuantes est une bonne chose car l’accusé n’a que 19 ans et encore la
possibilité d’être redressé, de continue ses études et d’espérer a un avenir meilleur

Il faut que l’action publique n’est pas prescrite car l’infraction a été commis en avril 2023 et
le procès se déroulé en juin conformément à l’article 24 al3 qui dispose que : après dix ans
révolus ,si l’infraction peut entrainer plus de cinq ans de servitude pénale ou la peine de mort ;
et donc d’après l’article 170 du code pénal le viol est punie d’une servitude pénale de cinq à
vingt ans de servitude pénale et donc elle n’est pas prescrite

L’élément matériel de cet infraction car le prévenu a plaidé coupable donc il reconnait avoir
eu des rapports sexuels avec la victime il importe peu que le prévenu ait ou non utilisé la
violence, menace ou des ruse et que la fille aie opposer des résistances concernant l’élément
l’élément moral il s’agit du manque de conséquemment la loi considère que les mineurs n’ont
pas la capacité de donneur leurs consentements de manière libre et volontaire et en
conséquent avec ou sans l’accord du mineur l’infraction est établie, l’autre point concerne la
reconnaissance de la minorité ,le prévenu ne reconnait pas avoir eu connaissance de l’âge réel
de la victime mais il aurais pendre toutes les précautions pour s’en assuré car la non
connaissance de l’âge de la victime ne le disculperas pas

Le tribunal relève que l’infraction de viol est établie en droit mais il n’indiquera nulle part que
l’infraction est établie en fait

Aujourd’hui il est très courant de voir des parents (père et mère) envoyé leurs enfants fille
mineur d’allé sortir avec des hommes pour pouvoir ensuite leur demandés de l’argent
généralement un grand montant ou sinon ils iront au tribunal car avoir des relations sexuels
avec une mineurs est une infraction, le juge devrait pendre en compte tout ses paramètres pour
fixer les dommages intérêt

Le juge n’a pas pris en considération les besoins de l’enfant de la partie lésée car selon la
partie lésée cet enfant serait l’enfant de l’accusé mais refuserais de le reconnaitre ,le fait de
condamner son père feras que l’enfant grandisse avec un vide en l’absence de son père

Dans le jugement on fait référence de la complicité des frères et sœurs de l’accusé mais ni fait
pas référence dans la condamnation or l’accusé a été condamner donc on devrait aussi
analyser la situation de soit disant complice

Le jugement rendue par le tribunal de grande instance de mbuji mayi au lieu et en place d’un
tribunal de protection de l’enfant qui n’existent pas encore à l’heure actuel au Kasaï

c jugements porte sur un mineur de 17 ans qui s’appelle oscar bakumbana muamba qui est
accusé d’avoir eu des rapports sexuels forcés ( manquement qualifié de viol d’enfant)avec un
enfant( fille) de 14 ans dans une clôture pendant 2 heures mais l’accusé dit que c’est l fille qui
est venu se donner a elle parce qu’ils sont soit disant fiancé et qu’ils sont promis le mariage
mais après avoir été brutalisé par les frères de la fille finie par avoué son manquements

le ministère public sur le banc dit que l’accusé connaissait bien l’age de la victime car ils se
sont promis de se marier à l’âge adulte c qui laisse entrevoir la connaissance de la minorité de
la fille et accuse l’enfant d’etre un enfant pervers et corrompu car il essaie de se contredire car
il avait dejà avoué mais maintenant il nie

le ministère public veut qu’il soi soumis à la mesure éducative sévère prévue à l’article 113
POINT 1 qui que l’enfant soit réprimander et le rendre à ses parents ou aux personnes qui
exerçaient sur lui l’autorité parentale ( a l’occurrence sa mère ) EN LEUR ENJOIGNANT de
mieux le surveiller à l’avenir ; et l’assistante social référent adèle kapinga nsapu qui a conclu
au relâchement éducationnel

le juge astreint pas l’accusé a des dommages intérêt prévue à l’article 119 de la loi de
protection de l’enfant

CRITIQUES :

Premièrement le fait que le juge se réserve quant au volet réparation( dommages INTERET)
constituât un manquent car comme le sait au Kasaï les hommes aimaient les femmes vierges
et le fait que cette fille ne le soit plus ris qu’elle ne puisse plus se marier et d’autres hommes
n’aiment pas deviergé trop tôt car ils le voient comme des putes qui ne seront pas fidèle
pendant le mariage on ne sait si l’homme a donné a la fille des infections ou une grossesse le
mien serait qu’on fasse un teste pour le savoir et dans la culture kasains ont offre une chèvre à
la mère dont sa fille est vierge or cette fille ne l’est plus c pour toutes ses raisons qu’il fallait
dédommagé la fille
Deuxièmement d’après l’article 113 point 5 le placement dans l’établissement de garde et
d’éducation de l’état ne doit pas dépassait le dix-huitième année d’âge or dans le jugement
rendue par le juge prolonge cette mesure jusqu'à ce que l’accusé aie atteint l’âge de vingt ans
ce qui constitue une violation de la loi car il est bien dit que cette mesure s’arrête au huitième
anniversaire

Troisièmement le fait de mettre l’accusé dans un établissement de garde et d’éducation de


l’état qui n’existent pas encore à l’heure actuel au Kasaï un problème car l’accusé mineur
seras placé dans une prison ou il rencontreras des personnes (adultes) délinquant qui vont le
pousser dans le mal

Le jugement rendue par le tribunal de grande instance de mbuji mayi au lieu et en place d’un
tribunal de protection de l’enfant qui n’existent pas encore à l’heure actuel au Kasaï

Commentaire du jugement de protection sociale

Le jugement en cause est un jugement en recherche de parenté intenté par madame loso
nkanza grand-mère des enfants lusiengi makelele Christelle et makelele ndombasi trésor
contre monsieur Cyrille ndambasi

Commentaire

Dans ce jugement en recherche de paternité le père avait une relation avec la mère des enfants
pendant un certain ,pendant cette relation ils ont eu deux enfants mais n’avait pas accomplie
les formalités pour les affiliés , mais quelque temps après il voyageas pour l’Allemagne
surement pour avoir une meilleurs conditions de vie qu’au Congo en laissant la mère avec ses
enfants ,des années se sont écoulé est la mère de ses enfants mourras ,les enfants se
retrouvèrent seules sans père et mère ,leur grand mère à la suite décidas de pendre la garde de
ses enfants , et au retour du présumé père décida intenté une action en recherche de paternité

Comme indique à l’article 591 du code de la famille tout enfant congolais à un père et une
mère donc ce normal pour un enfant né hors mariage d’être affilié

Dans le cas de cet jugement les enfants sont nés hors mariage dans une union libre

Les enfants étant mineur au moment du début de l’instance ce serais normalement à leurs
mère intenté cet action ,mais vu qu’elle ne pourras plus manifester sa volonté parce qu’elle est
morte ce donc leur grand mère qui a intenté cet action parce qu’elle a la garde des enfants

Le fait que le défendeur dit n’avoir pas affilié les enfants par ignorance de la loi est une faute
grave car ¨nul ne censé ignoré la loi, donc le père aurais dit accomplir les formalités
d’affiliation concernant les enfants dans le délai prévu à l’article 614 du code de la famille qui
dispose que :tout enfant né hors mariage doit faire l’objet d’une affiliation dans le douze mois
qui suivent sa naissance
Dans c jugement ont remarque bien que le père n’était pas des mauvaises foi ce juste qu’il ne
savais quels sont les formalités a remplir pour pouvoir reconnaitre ses enfants nés or mariage
ce pourquoi il n’as pas essayer de nuer être leur père mais néanmoins le tribunal aurait dit
demandé un test de paternité car il peut se faire que les enfants en questions ne soit pas ses
enfants bien qu’au moment de leur naissance il était en relation avec la mère de ses
enfants ,elle aurais pu allé voir ailleurs et tombé enceinte puis attribuer la grossesse a cet
homme

Vu que le père réside en Allemagne et les enfants au Congo le tribunal aurait dis pendre des
mesures pour s’assurer que ses enfants ne puisse pas manquer de quelque chose ou pour que
le père puissent survenir au besoin quotidien de ses enfants

Les membres de la famille aurait du demandé une indemnisation au père car ils se sont
occupés des enfants pendants des années pendant que le père était en Allemagne entrain de
faire sa vie(article 628 du code de la famille)

La grand mère a fournit un jugement déclaratifs de décès parce que surement n’a pas
demander un acte de décès dans le délai (30 jours après le décès )

Je trouve que le juge a rendue un bon jugement et les articles utilisés dans ce jugement sont
correct

Commentaire du jugement de yakobo


Tout d’abord on remarque une négligence de la famille pour n’avoir pas demander l’expertise
médicale après le viol cela aurait pu faciliter identification du présumé auteur du manquement
qualifiés de viol

Deuxièmement le juge s’appuie sur la déclaration de la victime qui n’a que 12 ans elle peut
désigner la mauvaise personne sous l’effet de la pression exercé par son oncle et les officier
de la police judicaire qui cherche a tout prix à avoir un coupable

Et on affirme que l’accusé est en relation avec deux femmes alors on peut se demandé que ce
qui l’aurais poussé a avoir une relation sexuel avec une gamine de 12 an

Le fait que l’accusé ait refusé une contre expertise sur son âge peut soulever un doute sur son
âge car il est plus avantageux pour lui d’être considérée comme un mineur

Placé un enfant dans un centre de rééducation constitue un grand problème car jusqu'à l’heure
actuel les enfants condamnée que l’on place dans les centres de rééducation purge leur peine
dans des prisons avec d’autres personnes plus âgé qui le pousseront à faire encore pure a sa
sortie, on ne parle même pas des conditions d’hygiènes désastreuses, le juge aurait du juste
fixe des dommages intérêt et le réprimander

Vous aimerez peut-être aussi