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AVANT – PROPOS

Monsieur le Professeur, Chers Assistants, Chers Camarades


étudiants et étudiantes, ici présent à vos titres et qualités
respectives, bonjour !

Nous sommes devant vous dans le cadre d’un exposé du cours de


l’Introduction au droit

Nous tenons à remercier Monsieur le Professeur Williams


KABEYA BADIAMBUJI qui nous a octroyé cette chance d’exposer sur
un sujet intitulé : « L’Analyse croisé entre la loi et la pratique sur
l’attribution du nom aux enfants à Mbujimayi».
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SUBDIVISION DU TRAVAIL

Notre présent travail se subdivise en 4 parties dont les suivantes

I. ENTREE EN MATIERE OU L’INTRODUCTION


II. SIGNIFICATION OU DEFINITION DES QUELQUES CONCEPTS
DE NOTRE SUJET
III. CE QUE LA LOI NOUS DIT SUR L’ATTRIBUTION DE NOM ;
IV. LA PRATIQUE D’ATTRIBUTION DE NOM EN MBUJIMAYI ;
V. NOTRE POINT DE VUE CONCERNANT LE SUJET
(CONCLUSION)
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I. INTRODUCTION

Dans le but de relier la théorie à la pratique, l’Enseignement


Supérieure et Universitaire (ESU) exige qu’il puisse être organisé une
séance pratique à la fin de chaque cours, car une leçon des pratiques
vaut mieux celle des préceptes, c’est dans le cadre du cours de
L’introduction au Droits, qu’un travail pratique nous a été donné
dans l’optique non seulement de mettre à niveau notre quotient
intellectuel, mais aussi et surtout nous familiariser avec ledit. Ladite
thématique s’intitule : « L’Analyse croisé entre la loi et la pratique sur
l’attribution du nom aux enfants à Mbujimayi».

Au sein d’une société vivent les individus les un confondus


aux autres qu’on ne sait les distinguer avec aisance. Identifier la
personne revient donc à coller celle-ci un certain nombre d’élément
pouvant s’affirmer à cette personne qui ne peuvent aucunement se
trouver chez quelqu’un d’autre.
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II. DEFITION DE QUELQUES CONCEPTS DE NOTRE SUJET

Avant d’entré au vif de notre sujet nous aimerions d’abord expliquer


quelques concepts clés de notre sujet ;

a. LA LOI :

La loi fait référence à un ensemble de règles et de normes


édictées par une autorité compétente, généralement un gouvernement,
pour régir la conduite des individus au sein d'une société. Ces règles
sont conçues pour assurer l'ordre, la justice et la stabilité sociale. Elles
peuvent couvrir divers domaines tels que le droit civil, le droit pénal, le
droit commercial, et d'autres aspects de la vie quotidienne. En résumé,
la loi établit un cadre juridique définissant les droits et les devoirs des
citoyens.

b. LE NOM :

Le mot "nom" se réfère à l'identifiant d'une personne, d'un


lieu ou d'une chose. C'est le mot ou le groupe de mots qui permet de
distinguer et d'identifier spécifiquement quelque chose ou quelqu'un.
Par exemple, le nom d'une personne peut être son prénom suivi de son
nom de famille, tandis que le nom d'un lieu peut être le nom de la ville
ou du pays où il se trouve. En linguistique, le nom est une partie du
discours utilisée pour désigner des personnes, des animaux, des
objets, des lieux, des idées, etc.
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III. CE QUE DIT LA LOI A L’ATTRIBUTION AU NOM

En République Démocratique du Congo, depuis le début de la


colonisation, il n’avait jamais existé une loi de colonisation, il n’avait
jamais existé une loi ni règlement relatif ou nom en particulier ou l’état
de l’individu général.

La première loi a vu le jour plus d’une décennie après


l’indépendance en 1973. Celle-ci posera les barres nécessaire en
énonçant les caractéristiques ainsi que le régime juridique du nom
tout en tiers. Le législateur précise que le nom doit être trouvé dans le
patrimoine culturel Congolais et ne peut en aucun cas être trouvé
dans le patrimoine culturel congolais ne peut en aucun cas être
contraire aux bonne meurs, ni revêtit un caractère injurieux ou
provocateur (l’article 58 du code de la famille)

Avec l’évolution du monde, cette loi s’est avérée incomplète ou


insuffisante dans la mesure où elle n’était centrée que sur le nom
seulement.

Pour remédier cela il fallait alors prendre une loi qui prendrait
en compte la situation générale de l’individu c’est-à-dire son état dans
ses divers aspects notamment la naissance, la capacité, le mariage, la
mort ainsi de suite

En effet selon la loi 87/O10 du 1 er Aout 1987 portant code de


la famille l’article 52 et 60 nous dit : l’enfant porte dans l’acte de
naissance le nom choisi par ses parents.

Le nom étant un élément de l’identification, la loi dit qu’il doit


être puisé dans le patrimoine culturel congolais. L’orthographe du nom
est immuable c’est-à-dire ne doit pas être changer si ceci est régie par
la loi ….
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Mais malgré ça la loi prévoit une procédure appart en


rapport avec le changement du nom de l’enfant au cas où les parents
de celui-ci ne sont pas ensemble, cas d’un voyage sans contact
téléphonique et le père de l’enfant n’avait pas conclu avec sa femme
sur le nom que portera leur enfant à sa naissance.

Dans ce cas la loi dit ….. Dit qu’à l’arrivé de l’homme s’il
trouve que la femme a déjà nommé l’enfant il ne peut pas changer le
nom de l’enfant mais toute fois il peut ajouter son nom à celui dont sa
mère lui donna,

Et si l’enfant en grandissant trouve que son nom à un


caractère injurieux il peut le changer ex : CIBOLA, KABUNGAMA,
MASANDIDI mais ceci est changé en respectant la procédure que dit la
loi.

 LA PROCEDURE FACE AU CHANGEMENT DE NOM

Comme nous l’avions dit ci-haut le code de la famille


renseigne que le nom est attribué par les parents de l'enfant, qui le
déclarent GRATUITEMENT auprès de l'officier de l'état civil de leur
résidence dans un délai de 90 jours à compter de la naissance.

Passé ce délai, toute déclaration ne sera possible qu´après obtention


d'un jugement supplétif soit du tribunal pour enfants (pour les
mineurs), soit du tribunal de paix (pour les majeurs).

 Il est possible que nom peut connaitre un changement mais pas


par n’importe qui si ce ne que les parents de l'individu ou la
personne exerçant la tutelle, et même la personne concernée
pourraient solliciter le changement ou la modification du nom, à
condition que :
 Le nom actuel ait un caractère dégradant ou injurieux ;
 Le nouveau nom doit être puisé dans le patrimoine congolais ;
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 La personne qui sollicite le changement du nom soit majeur (18


ans révolu) au moment d'introduire sa requête.
 Ce dernier se passera que si ce ne que devant le tribunal pour
enfants du ressort de la résidence des parents ou du tuteur, au
cas où le concerné est encore mineur. Et, devant le tribunal de
paix du ressort de la résidence du concerné si celui-ci est
majeur.
 Une requête aux fins de changement de nom devra ainsi être
introduite par le requérant auprès de la juridiction compétente
afin d´obtenir le jugement supplétif de changement de nom, qui
donnera la voie pour faire changer le nom inscrit auprès de l
´officier de l´état civil.

En effet toute fois l’arriver que l’enfant soit né d’une manière


compliqué cas d’un enfant qui après sa concession son père meurt et
la grossesse se développe jusqu’à atteindre 9 mois. Arriver lors de
l’accouchement la mère qui perd la force d’enfanter et sa nécessite
l’opération pour sortir l’enfant dans le ventre de sa mère. Avec tous
ces mouvements la mère rend l’âme juste après cette opération. Alors
dans cette situation qui va prendre en charge la nomination de
l’enfant.

La loi dit s’il y a un parent adoptif reconnu par la loi, celui-ci


sera autoriser de lui coller un nom, mais si ce n’est pas le cas le
docteur peut faire parvenir ce cas à la justice et celui-là va s’en charger
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LA PRATIQUE EN MBUJIMAYI

L’attribution de nom aux enfants en Mbujimayi est effectué divers par


divers facteurs, tels que :

 les coutumes légales ;


 les croyances religieuses ;
 les préférences familiales ;
 les tendances sociales ;
 a. Selon la coutume

Selon la coutume Luba l’attribution de nom ne pas seulement ce que


la loi prédit, vous trouverez que dans certaine famille le né soit le
premier enfant de cette famille portera obligatoirement le nom de son
grand père paternelle. Donc le père voit dans l’obligation de l’exécuter
et ce derniers ne parviendra pas à négocier avec sa femme pour le
choix du nom.

 b. Selon les croyances religieuses

Prenons le cas des Chrétiens qui ont comme livre sacré la


Bible, pour quelque famille Chrétienne de Mbujimayi se refaire à ce
que la bible dispose.

Comme dans la Bible nom personnel était donné à la


naissance par les parents en dépendance des circonstances dans
lesquelles l’enfant était né ou en concordance avec les désirs et les
espérances pour le nouveau venu sur la terre. Parfois les noms des
enfants étaient changés plus tard, mais, les Saintes Écritures ne font
pas une règle de cela et n’en parlent de rien sur une signification
superstitieuse.
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Pour de famille Chrétiennes le nom représente le caractère


d’une personne ou les aspirations et les envies de personne qui
donnait son nom à celui qu’il recevait. Connaître le nom de quelqu’un
signifie connaître cette personne. Ici le nom est choisi de différents
motifs, par exemple pour exprimer ses convictions ou ses désirs
religieux, les autres pour décrire le caractère d’une personne ou les
circonstances de sa naissance.

Nous avions questionnés quelque parent de Mbujimayi en


rapport au nom qui exprime les convictions religieuses

Ils nous donneront chacun un exemple d’un fait de la bible,


l’un d’eux nous relatâmes l’histoire de Joseph qui a été vendu par ses
frères et amené en Égypte. Dieu a fait de lui le premier ministre et l’a
béni avec une famille. Joseph nomme son premier-né Manassé et le
deuxième Éphraïm.

Joseph donna au premier-né le nom de Manassé, car, dit-il,


Dieu m’a fait oublier toutes mes peines et toute la maison de mon
père. Et il donna au second le nom d’Éphraïm, car, dit-il, Dieu m’a
rendu fécond dans le pays de mon affliction. (Genèse 41:51-52)

 C. SELON LA PREFERENCE FAMILIALE ET LE TENDANCES


SOCIALES.

Parfois, les parents de Mbujimayi choisissent des données des


noms passée sur les évènements spéciaux, des traits ce caractère, des
ancêtres

La population de Mbujimayi préfère surtout de donner les


noms aux bébés provenant d’une autre personne quel que soit sa
signification. Pour eux ils visent au moins au gens détenant un moyen
financier très élevé. Alors il arrive que : C’est PDG, DG, Homme
d’affaire, Colonel de la police, Pasteur… parce qu’il est patron, celui-ci
dira à chaque fois que j’aurais un problème de finance je lui
consulterai pour le résoudre.
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Il apparait après nos enquête et recherche menés que ce n’est


pas ce que la loi a prévu dans ces évènements qui est la nomination de
l’enfant, ce qui se passe en Mbujimayi c’est tellement drôle devant la
loi. En Mbujimayi nous attendons les mariées, nous disant que ce
toujours les maris qui sont censé attribuer le nom aux enfants et pas
les femmes. Quand nous avions interrogés quelques un celui-ci nous
dira, c’est selon notre coutume Luba.

Ce le mari qui est le chef de la famille, donc la femme doit


seulement se soumettre à notre choix pour la nomination de nom.

En ville de Mbujimayi les parent attribuent très mal le nom en


vers les enfants, beaucoup des gens nommes les enfants des noms
critiquable, le nom humiliant dont par ex ;

- MUKUNDI ; - KABUNDI ; - BATUPENDI ; etc.

Ce sont des noms qui indispose tellement les propriétaires


qui le porte surtout quand il est au milieu des gens, des amis, dans un
attroupement, dans les réunions, dans des salles de classe dans des
réunions de jeune à l’Eglise. En rappelle que la loi n’admet pas ce cas,
comme nous avions dit ci-haut vers l’article …
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CONCLUSION

En fin nous demandons aux peuples qui composent la


grande et belle ville de mbujimayi d'attribuer les noms à leurs
nouveaux enfants conformément à la loi!!! Si au paravent vous les
faisiez sans tenir compte de la loi c'était parfois par l'ignorance et
aujourd'hui je viens personnellement au nom du sujet, vous interpeller
qu'il n y a pas une bonne chose comme donner à l'enfant un bon
nom qui lui sera un jour un fabuleux, et lui entant qu'enfant, il sera
trop fière d'avoir un pétillent nom venant de ces parents tout en se
référant aux article l'article.

Pour clore il est essentiel de reconnaître de l'analyse croisée


entre la pratique et la loi sur l'attribution des noms aux enfants cette
approche permet de garantir les respects de droit de l'enfant, tout en
prenant en compte le réalité et le besoin de famille. il est primodial que
les décisions en matière d'attribution de nom soit prise de manière
éclairée, équitable et dans l'intérêt supérieur de l'enfant rigide il est
donc nécessaire de continuer à réfléchir et à débattre sur ce sujet en
fin d'assurer une meilleure protection de droit des enfants et une
application juste équitable de la loi.

l'attribution des noms aux enfants àMbujimayi est un


domaine où la loi et la pratique c'est croisent de manière complexe. si
la loi encadre strictement cette question, la pratique locale peut parfois
s'en écarter pour de raison culturel ou personnel il est donc important
de prendre en compte ces deux aspects pour comprendre pleinement
les enjeux de l'attribution des noms aux enfants dans cette région.

Merci beaucoup pour la meilleure audition. Avant de finir,


nous remercions encore notre professeur pourquoi pas le cité : William
Kabeya Badjambuji qui nous est très chers, pour nous avoir donné un
sujet non par hasard mais pour nous permettre à surpasser le niveau
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et l'état de notre intelligence et connaissance et de devenir un bon


penseur et producteur au futur.
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Merci encore de plus aux assistant(e)s qui nous sommes


vraiment source de la réussite de ce travail, je n'oublie pas de
remercier encore nos très chers camarades ainsi que mes gars et filles
qui constitue notre groupe dénommé Lutteurs dont respectivement je
cite: Jacques Ilunga, Elvis Cibangu, Aaron kazadi, jovanis Mpiana,
Jonathan kanyinda, junior babungi, Justin tshimanga, Fabrice mbiya,
Marco Banza, Ruben bukasa,odyne ngoyi, Léon tshibanda,beeby
makuta,rigain katamba, plamedie cozubu,chancel CIABA, chérubin
kabangu, , Paulin mpoyi, Raphaël tshibangu. avec vous je suis fort 💪.

Que vive le groupe lutteur D'uom " (union-partage-réussite)

Tonton gloire le président de lutte 💪

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