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EXERCICE 1

Chez la femme l’activité cyclique des ovaires est contrôlée par le complexe hypothalamo-hypophysaire et se traduit par l’évolution des structures ovariennes
représentées par le document 1:

1. Annotez les schémas du document 1 en écrivant sur votre copie les noms correspondants aux numéros de 1 à 10.
2. Identifiez les phases, A, B et C du cycle ovarien, présentées dans le même document 1.
3. Pour chacune des périodes suivantes d’un cycle normal de 28 jours :
a. au 8ième jour du cycle sexuel.
b. au 13iéme jour du cycle.
c. au 21ième jour du cycle.
Représentez par un schéma fonctionnel commenté, les interactions entre les ovaires et le complexe hypothalamo-hypophysaire.
4. Expliquez le déterminisme de (s) :
a. l’ovulation. b. menstruations.
EXERCICE 2
On se propose d’étudier quelques aspects du
fonctionnement ovarien chez la femme.
Le document 1 montre des coupes d’ovaires réalisées
à différents moments du cycle sexuel. En réalisant
chaque coupe, on a pu constater la présence d’une
structure ovarienne particulière ; les différentes
structures observées sont désignées par les lettres a,
b, c et d.
1. Identifiez les structures a, b, c et d.
2. Ces structures décrivent un cycle :
a. identifiez ce cycle. Document 1
b. classez ces structures selon l’ordre chronologique de ce cycle. Document 2
On dose chez une femme le taux des œstrogènes dans le sang
pendant 45jours. La courbe du document 2 représente les résultats
obtenus.
3. Précisez le premier jour du cycle sexuel représenté sur le document
2 et déterminez sa durée.
4. Mettez en relation la variation du taux des œstrogènes lors d’un
cycle sexuel (document 2) et l’évolution des structures ovariennes
(document 1).

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EXERCICE 3 bac sport prin 2021

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EXERCICE 4 bac MP21

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EXERCICE 5
Le document 1 représente deux schémas de deux structures ovariennes qu’on peut observer dans les ovaires d’une femme au cours d’une période allant de 1er au 31
mai. Le dosage des hormones ovariennes chez cette femme, durant cette période, a permis d’établir la courbe d’évolution des taux de ces hormones ovariennes
(notées h1 et h2).

Document 1

1. Identifiez les structures, A et B, observées dans les ovaires de cette femme en précisant la période du cycle ovarien correspondante des phases a et b.
2. Identifiez les hormones h1 et h2 et faites la correspondance entre les structures et leur taux.
3. Afin de comprendre la commande de la fonction reproductrice chez la femme, on expérimente sur une Guenon (femelle du singe) dont la fonction
reproductrice est voisine de celle de la femme.
Expérience 1:
Chez une guenon, l’ablation de l’hypophyse provoque l’interruption du cycle ovarien et du cycle utérin. L’injection régulière à cette guenon de doses de FSH
provoque le développement des follicules ovariens, mais il n’y a pas ovulation et la muqueuse utérine reste peu développée. L’injection ensuite d’une dose de
LH, provoque l’ovulation après quelques heures.
Expérience 2 :
Chez une autre guenon, l’ablation des deux ovaires provoque une régression de l’utérus et une augmentation du taux sanguin de LH.
Expérience 3 :
Des lésions effectuées au niveau de certaines zones de l’hypothalamus d’une guenon pubère provoquent l’arrêt des cycles, utérin et ovarien, l’atrophie de
l’utérus et une chute importante du taux sanguin de la FSH et de la LH chez cette femelle.
On observe le même résultat si on pratique une ligature au niveau de la tige reliant l’hypophyse à l’hypothalamus.
a. Que peut- on conclure des résultats de chaque expérience ?
b. Exploitez ces résultats expérimentaux pour établir sous forme d’un schéma fonctionnel annoté les relations entre l’ovaire, l’utérus, l’hypophyse et
l’hypothalamus.
EXERCICE 6 Bac prin sc 2011
A fin de comprendre les interactions hormonales impliquées dans la fonction reproductrice féminine et d’exploiter les connaissances qui en découlent dans la
maitrise de la procréation chez l’espèce humaine, on propose les expériences et les observations suivantes:
A. Le document 1 représente les variations de trois hormones sexuelles H1, H2et H3 chez deux Guenons pubères G1 et G2, dont l’une est normale et l’autre est
ovariectomisée (le cycle sexuel de la guenon est comparable à celui de la femme).

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Guenon
G1 G2
Hormone

H1

H2

H3

Document 1
1. Comparez la variation des hormones H1, H2 et H3 chez les deux guenons G1 et G2 en vue :
• de déduire laquelle, des deux guenons, est ovariectomisée.
• d’identifier les hormones H1, H2 et H3.
Afin de préciser la nature de la relation entre H1, H2 d’une part et le rôle de H1, H3 d’autre part, on réalise la série d’expériences suivantes :
Série d’expériences
Expérience 1:
L’injection d’une faible dose de l’hormone H1 à la Guenon G2 entraine une chute de la sécrétion de l’hormone H2.
Expérience 2:
L’injection au début du cycle et pendant une courte durée d’une forte dose de l’hormone H1 à la Guenon G1 entraine une sécrétion brutale de l’hormone H2.
Expérience 3:
L’injection de l’hormone H3 au début du cycle à la Guenon G2 ne montre pas de modification au niveau de l’utérus.
Expérience 4:
Chez la Guenon G2, on réalise les injections suivantes :
injections de l’hormone H1 pendant les 30 premiers jours.
injections de l’hormone H3 du 16ème au 30ème jour.
Ces injections montrent un développement de la muqueuse utérine et l’apparition d’une dentelle utérine.
2. Exploitez les informations apportées par ces expériences afin:
a. de préciser la nature de la relation entre les hormones H1 et H2.
b. d’expliquer le rôle des hormones H1 et H3 dans le développement de l’endomètre utérin au cours d’un cycle sexuel normal.
B. Le document 2 représente le calendrier des cycles sexuels chez une femme pendant les mois de Janvier (sans pilule), de Février et de Mars (sous pilule combinée)

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Document 2
1. Repérez la date de l’ovulation chez cette femme.
2. Expliquez le mécanisme qui est à l’origine de la présence ou de l’absence de l’ovulation pendant les mois de Janvier, de Février et de Mars.
3. A partir de l’analyse des données du document 2 et en faisant appel à vos connaissances, proposez une explication à l’apparition des règles pendant les mois
de Février et de Mars.
EXERCICE 7 bac MP13
On cherche à déterminer les causes de l’absence prolongée de menstruations chez certaines femmes ; pour cela, des examens cliniques ont été réalisés chez deux
femmes A et B présentant ce trouble.
Examen 1
Le dosage du taux sanguin des hormones ovariennes chez une femme à cycle sexuel normal et chez les deux femmes A et B fournit les résultats indiqués sur le
document 1.

Document 1
1. A partir des données fournies par le document 1:
a. Comparez les résultats des dosages du taux sanguin des hormones ovariennes chez les trois femmes.
b. Proposez une explication quant à l’absence de menstruations chez les deux femmes A et B.
Examen 2
L’échographie des ovaires chez les deux femmes A et B montre que :
- L’ovaire de la femme A ne contient ni follicules ni corps jaune.
- L’ovaire de la femme B contient uniquement des follicules primordiaux et des follicules primaires.
Examen 3
Le dosage des hormones hypophysaires (FSH et LH) durant un
mois a permis de déterminer les concentrations moyennes de ces
hormones (tableau ci- dessous)

2. A partir de l’exploitation des examens 2 et 3, précisez la cause


de l’absence prolongée des menstruations chez chacune des deux femmes A et B.
3. Proposez un traitement permettant de rétablir l’activité sexuelle normale chez l’une des deux femmes (A ou B) que vous préciserez ; justifiez votre réponse.

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EXERCICE 8
Afin de comprendre la commande hormonale de la fonction reproductrice chez la femme, on expérimente sur une guenon (femelle du singe) dont le cycle sexuel est comparable à celui
de la femme.
-Expérience1 : l’ablation de l’hypophyse d’une guenon A provoque l’interruption du cycle ovarien.
-Expérience 2 : l’ablation des ovaires d’une guenon B provoque l’interruption du cycle utérin et une augmentation du taux plasmatique des hormones hypophysaires (FSH et LH).
-Expérience 3 : la guenon A hypophysectomisée et la guenon B ovariectomisée sont mises en parabiose, de telle manière que leurs circulations sanguines entrent en relation par
l’intermédiaire d’une suture de la paroi abdominale.
1- dégagez des conclusions à partir des résultats des expériences 1 et 2.
2- précisez, en justifiant votre réponse, les résultats observés chez les guenons A et B au cours de l’expérience 3.
EXERCICE 9 MP11
On se propose d’étudier la relation entre les ovaires et l’utérus chez la femme. Pour cela, des observations sont faites au niveau des ovaires et de l’utérus parallèlement à des dosages
des hormones ovariennes. Le document 1 illustre :
er
- Quelques structures présentes dans l’ovaire pendant une période allant du 1 au 28 janvier (a).
- L’évolution du taux plasmatique des hormones ovariennes de cette femme pendant la même période (b).
- L’évolution de l’endomètre utérin de cette femme pendant la même période (c).

Document 1
1. A partir du document 1b, précisez en justifiant votre réponse:
- le jour de l’ovulation.
- le premier jour des menstruations.
2. A partir des documents 1a et 1c, nommez en justifiant votre réponse, pour la période allant du 16 au 28 janvier, la phase :
- du cycle ovarien.
- du cycle utérin.
3. Exploitez les documents 1b et 1c en vue d’expliquer le déterminisme du cycle utérin (l’action des hormones ovariennes sur le cycle utérin).

Exercice 10 (BAC sport prin 16)

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EXERCICE 11

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EXERCICE 12

Document 1

Document 1

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EXERCICE 13: Bac MCont 17

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EXERCICE 14
On se propose d’étudier certains aspects de la reproduction chez la femme. Le document 1 représente trois structures ovariennes A, B et C observées à trois
moments différents du cycle ovarien de 28 jours.

2
5
1 3
6
4
Structure A Structure B Structure C
Document 1
1.
a. Identifiez les structures A, B et C, les classez selon l’ordre chronologique du cycle ovarien.
b. Légendez le document 1 en indiquant sur votre copie les numéros et les noms correspondants.

2. Le graphe du document 2 présente l’évolution des profils hormonaux des hormones hypophysaires et ovariennes chez une femme normale
au cours d’un cycle sexuel.

Document 2

a. déterminez, en justifiant votre réponse, la durée du cycle sexuel.


b. identifiez, en justifiant votre réponse, les phases X et Y représentées dans le document 2.
3. Mettez en relation la variation du taux des hormones ovariennes et hypophysaires du document 2 et l’évolution des structures ovariennes du document 1
lors des moments suivants :
- de 1 à 2 février.
- le 9 février.
4. Exploitez le graphe pendant la phase X et vos connaissances pour expliquer le déterminisme des menstruations.
5. Exploitez le graphe pendant la phase Y, les structures B et C et vos connaissances pour expliquer de déterminisme de l’ovulation.

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EXERCICE 15
LH en ng.ml-1

Afin d’étudier le déterminisme hormonal de l’ovulation chez


la femme, on réalise des expériences chez la guenon ayant
un cycle sexuel comparable à celui de la femme.
1. La variation du taux de LH produit par l’hypophyse et
du taux d’œstradiol produit par l’ovaire au cours d’un cycle
Ovulation
sexuel normal de guenon est indiquée sur le document Œstradiol en pg.ml
-1

suivant :
a. Analysez les courbes de variation du taux plasmatique
de LH et de l’œstradiol.
b. A partir de cette analyse proposez :
- Une hypothèse concernant l’origine directe de Ovulation

déclenchement de l’ovulation.
- Une hypothèse concernant l’origine directe de
déclenchement du pic de LH.
2. Pour tester la validité des hypothèses proposées, on
note les variations moyennes du taux sanguin de LH chez
une guenon normale et soumise à des injections
rapprochées de fortes doses d’œstradiol du 7ème au 10ème
jour du cycle sexuel. Les résultats obtenus sont rapportés
sur le document suivant : Ovulation
Analysez les résultats obtenus afin de tester la validité des hypothèses proposées.
3- D’après ce qui précède et vos connaissances, expliquez le déterminisme hormonal de l’ovulation.

EXERCICE 16
Madame M consulte un gynécologue pour cause de stérilité, celui-ci prescrit un dosage
quotidien de LH dans le sang durant 30jours. Les résultats sont représentés par la
courbe ci-contre.

1. Identifiez l’anomalie qui apparait dans les résultats de ce dosage, quelle est la
conséquence ?
2. Proposez, en utilisant vos connaissances, 3 hypothèses permettant d’expliquer
cette anomalie.

3. Le médecin propose un traitement au clomiphène (médicament) qui est un analogue


structural des œstrogènes et inhibe leur action en se fixant préférentiellement sur les
récepteurs des neurones sécréteurs hypothalamiques.
Les résultats des dosages des hormones hypophysaires et ovariennes sont présentés
dans le document suivant…………………………… →
a. analysez les courbes de ce document.
b. quels évènements ovariens permettent d’expliquer les variations du taux des
hormones ovariennes après le traitement.
c. expliquez le mécanisme d’action du clomiphène.
d. dites si, après ce traitement, le couple peut avoir un enfant.

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EXERCICE 17

Chez la femme, l’activité ovarienne est cyclique. Le document suivant représente l’ovulation

1. Présentez, à l’aide de schémas simples, les étapes aboutissant à la formation de l’ovocyte II.
2. Expliquez le déterminisme hormonal de l’ovulation.
3. Précisez le devenir de l’ovocyte II et du follicule rompu après ovulation:
a. en cas de non fécondation.
b. en cas de fécondation.
4. Le document ci-dessous représente deux coupes transversales de l’utérus au cours de deux
phases différentes du cycle menstruel ainsi que la variation du taux des deux hormones ovariennes
h1 et h2.
a. Identifiez la phase correspondante à chaque coupe. Justifiez votre réponse.
b. Identifiez, en justifiant la réponse, les deux hormones h1 et h2.
c. Indiquez dans un tableau les effets des hormones h1 et h2 sur l’utérus au cours d’un cycle
sexuel.

EXERCICE 18: bac math modifié cont 13


On cherche à comprendre l’action de l’ovaire sur l’hypophyse ; pour cela on réalise les deux expériences suivantes :
Expérience 1:
On dose le taux sanguin de la LH libérée par l’hypophyse dans trois situations expérimentales différentes :
Situation 1 : ovariectomie bilatérale.
Situation 2 : injection d’une dose de 60pg.ml-1 d’œstradiol.
Situation 3 : injection de doses supplémentaires d’œstradiol.

1. Analysez les résultats de l’expérience 1 en vue de préciser l’action de l’œstradiol sur la sécrétion de la LH par l’hypophyse.
On suit la variation du taux sanguin de LH chez une femelle ovariectomisée
suite à l’injection de doses croissantes de progestérone ; le tableau suivant
résume les résultats obtenus :

2. Analysez ces résultats en vue de préciser l’action de la progestérone sur


la sécrétion de la LH hypophysaire.
3. En faisant appel à vos connaissances et en se référant aux résultats précédents, expliquez comment la composition de la pilule combinée assure la contraception.

EXERCICE 19 : bac math. Prin 14 (application en classe)


On se propose d’étudier les relations fonctionnelles entre l’ovaire et l’hypophyse chez la femme. Pour cela, on réalise des expériences sur des guenons dont le cycle sexuel
est analogue à celui de la femme et on suit l’évolution du taux plasmatique de LH. Le tableau suivant récapitule les expériences et les résultats obtenus:

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1. Analysez les résultats de chaque expérience en vue de préciser le mécanisme mis en jeu dans chaque cas.
2. Situez, en justifiant votre réponse, les expériences 2, 3 et 4 par rapport aux phases d’un cycle sexuel normal.
3. En exploitant les données des expériences précédentes, faites un schéma de synthèse montrant l’interaction entre l’ovaire et l’hypophyse conduisant à l’ovulation.
EXERCICE 20 : bac sc prin 15

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EXERCICE 21 BAC LETTRES 2015

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EXERCICE 22 bac MC20

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EXERCICE 1
1&2. Voir cours
3. a, b et c
Avant ovulation Pré-ovulation (j13) Après ovulation

Le 8ème jour du cycle sexuel, le follicule en croissance Le 13ème jour, le follicule en pleine croissance Durant la phase lutéale la progestérone, produite par
sécrète une faible dose d’œstradiol, qui reste inférieur au sécrète une forte dose d’œstradiol (≥ au seuil), le corps jaune, exerce un RC- sur l’axe HH.
seuil, exerce un RC- sur l’axe HH ce qui entraine une baisse pic pré-ovulatoire, qui exerce un RC+ sur l’axe Le jour 21, la forte dose de progestérone annule le
de la fréquence et de l’amplitude des pulses de la GnRH et HH d’où la décharge en gonadolibérine et en RC+ exercé par la forte dose d’œstradiol.
par suite de FSH et de LH. gonadostimulines (pics ovulatoires)
4.
a. Déterminisme de l’ovulation ( à apprendre)
Le jour 13 du cycle sexuel, le follicule mûr atteint son maximum de développement et secrète une forte dose d’œstradiol qui exerce un rétrocontrôle positif
sur l’axe hypopthalamo-hypophysaire ce qui déclenche l’augmentation de l’amplitude et de la fréquence des pulses de la GnRH et par suite une décharge
brutale en gonadostimulines (décharge pré-ovulatoire) : pic important de LH associé à un pic FSH. Ces deux pics, associés, déclenchent l’ovulation le jour
14.

b. Déterminisme des menstruations (à apprendre)


La régression du corps jaune à la fin du cycle est à l’origine de la chute du taux des hormones ovariennes ce qui provoque la mort et le détachement de la
partie supérieure de l’endomètre ce qui entraine les menstruations (règles) marquant le début d’un nouveau cycle.

EXERCICE 2
1) Structure a : corps jaune
structure b : follicule mûr (ou follicule de De Graaf)
structure c : follicule tertiaire (ou follicule cavitaire)
structure d : follicule rompu.
2) Ordre chronologique : c – b – d – a.
3) - Le premier jour du cycle est le jour 15.
- La durée du cycle est 28 jours.

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4) - La sécrétion croissante des œstrogènes pendant la phase pré-ovulatoire (du 17ème au 27ème jour) coïncide avec la croissance folliculaire: évolution du follicule tertiaire
(structure c) jusqu’au stade follicule mûr: structure b du document 1
- Le premier pic d’œstrogènes qui a lieu le jour 27 est synchrone avec le développement maximal du follicule mûr (structure b du document 1)
- La chute de sécrétion d’œstrogènes (du jour 28 jusqu'au jour 30), coïncide avec la rupture du follicule mûr (structure d du document 1)
- La nouvelle augmentation de sécrétion des œstrogènes jusqu’à atteindre un pic le jour 36, coïncide avec la formation et le développement du corps jaune (structure a du
document 1)
EXERCICE 3 BAC Sport P21

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EXERCICE 4

EXERCICE 5
1- a- Structure A : corps jaune observé pendant la phase a : phase lutéinique ou phase post-ovulatoire; Structure B : follicule mûr ou de De Graaf observé pendant la
Phase b : phase folliculaire ou phase pré ovulatoire
b- h1 coïncide avec la présence du corps jaune et présente un seul pic: c’est la progestérone
h2 coïncide avec la présence du follicule et présente deux pics, l’un correspond au cours jaune l’autre au follicule mur : c’est l’œstradiol.
2- a- Expérience 1 :
- L’hypophyse contrôle le cycle ovarien et le cycle utérin.
- Ce contrôle se fait par voie sanguine (humorale)
- La FSH stimule la croissance folliculaire.
- La LH provoque l’ovulation.
Expérience 2 :
- Les ovaires commandent le cycle utérin
- Les deux ovaires exercent un rétrocontrôle négatif sur l’hypophyse.
Expérience 3 :
- L’hypothalamus contrôle l’activité hormonale de l’hypophyse.
- Ce contrôle s’effectue par la voie de la tige pituitaire.
b- Schéma fonctionnel
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EXERCICE 6
1) A. (2,5 points)
Hormone Comparaison Nom de Déduction
G1 G2 l’hormone
- Présence de 2 pics par cycle sexuel - Taux nul
H1 - Taux variable et cyclique (sans variation cyclique) Œstrogènes La Guenon G2
- Présence d’un seul pic par cycle sexuel. - Taux élevé et constant (sans est
H2 - Taux variable et cyclique variation cyclique) LH ovariectomisée
- Absente pendant la 1ère moitié du cycle - Taux nul
H3 - présence d’un Pic la 2ième moitié (sans variation cyclique) Progestérone (La Guenon G1
- Taux variable et cyclique est normale)

2) (2 points)
a- (1 point)
Information apportée par l’expérience 1 : L’injection d’une faible dose d’œstradiol à une guenon
castrée (ovariéctomisée) entraîne la chute de la sécrétion de la LH.
Nature de la relation : A faible dose, l’œstradiol agit par rétrocontrôle négatif sur la sécrétion de
LH
Information apportée par l’expérience 2 : L’injection d’une forte dose d’œstradiol à courte durée
et au début du cycle, à une guenon normale, entraîne un pic de sécrétion de LH.
Nature de la relation : A forte dose, l’œstradiol agit par rétrocontrôle positif sur la sécrétion de
LH.
b- (1 point) Information apportée par l’expérience 3 :
L’injection de progestérone seule au début du cycle n’a aucun effet sur le développement de l’endomètre.
Information apportée par l’expérience 4 :
L’injection d’œstrogènes durant tout le cycle et de progestérone pendant la deuxième moitié du cycle
engendre le développement important de l’endomètre et la formation d’une dentelle utérine.
Explication:
• Au cours de la phase postmenstruelle (J5 jusqu’au jour 14) et sous l’action des œstrogènes, la
muqueuse utérine s’épaissit, se vascularise, forme des glandes et prépare des récepteurs à la
progestérone
• Pendant la phase prémenstruelle (J1 jusqu’au J28) et sous l’action combinée des deux hormones, le
développement de la muqueuse s’accentue formant ainsi la dentelle utérine.
B- (2,5 point)
1- 17 janvier est la date de l’ovulation (0,25 point)
2.Explication :

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 Pendant le mois de janvier (vers le 15 janvier) :
- le follicule mûr sécrète une forte dose d’œstradiol qui agit par RC+ sur le complexe hypothalamo-
hypophysaire.
- La décharge de LH par l’hypophyse (pic ovulatoire de LH) déclenche l’ovulation.
Explication :
 Pendant les mois de février et mars (cycle sous pilules) :
- Les œstro-progestatifs de synthèse agissent par RC négatif sur le complexe hypothalamo-hypophysaire.
- L’inhibition de la sécrétion de LH entraîne l’arrêt de la croissance folliculaire et le blocage de l’ovulation.
2- (1 ,25 point)
Les règles du 1er au 4 février :
Analyse : Le cycle sexuel qui s’étend du 4 janvier au 31 janvier est un cycle normal.
Explication :
- A la fin du cycle, la régression du corps jaune entraîne une chute du taux des hormones ovariennes
- La chute du taux de ces deux hormones entraîne la destruction partielle de la muqueuse utérine (apparition
des règles).
Les règles (du 29 février au 3 mars) et (du 28 au 31 mars) :
Analyse : Du 1er février au 27 mars s’étendent deux cycles sexuels successifs sous pilule.
Pendant les 21 premiers jours de chaque cycle il y a prise quotidienne de pilule
Pendant les 7 jours suivants, il y a arrêt de prise de pilules ce qui entraîne la destruction partielle de la
muqueuse utérine.
Explication :
- Pendant la prise de la pilule, les œstroprogestatifs stimulent le développement de l’endomètre.
- L’arrêt de la prise de pilules pendant les 7 derniers jours du cycle entraîne une privation hormonale à l’origine
d’une hémorragie de privation semblable à celle de la menstruation. Accepter toute autre formulation correcte.

EXERCICE 7: BAC MATH PRIN 13 (à corriger)

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EXERCICE 8:
1.
Expérience Conclusion
1 L’hypophyse contrôle le cycle ovarien.
L’activité cyclique de l’utérus est sous contrôle ovarien.
2
L’ovaire exerce un RC- sur la sécrétion des hormones hypophysaires.

2. Résultat de l’expérience 3
o Restauration du cycle ovarien.
Guenon A (hypophysectomisée)
o Restauration du cycle utérin
o Restauration du cycle hypophysaire.
Guenon B (ovariectomisée)
o Restauration du cycle utérin.
Justification des résultats :0.5x4=2pts
o L’ablation des ovaires chez la Guenon B entraine (par absence du RC-) une hypertrophie de la sécrétion des gonadostimulines (LH et FSH) chez
cette Guenon.
o Ces gonadostimulines passent par voie sanguine à la Guenon A, provoquent la sécrétion des hormones ovariennes (cycle ovarien) qui stimulent et
restaurent l’activité cyclique de l’utérus (du Guenon A).
o Ces hormones ovariennes du Guenon A passent au Guenon B dont le cycle utérin sera corrigé.
o En même temps, ces hormones exercent un RC- sur l’hypophyse (du B) d’où restauration de l’activité hypophysaire.

EXERCICE 9
1 2 3 4 5
1- Follicule mûr Corps jaune Follicule cavitaire Vaisseau spiralé Glande sinueuse
2- * Le jour de l’ovulation est
le 2 janvier, en effet l’ovulation survient environ un jour après le pic d’œstrogène
* Le premier jour des menstruations est le 16 janvier, en effet à cette date il y a une chute du taux des hormones ovariennes (œstrogènes et progestérone) suite à
la dégénérescence du corps jaune.
N.B : Accepter toute autre justification correcte
3. Du 16 au 28 janvier :
- La phase du cycle ovarien est la phase folliculaire caractérisée par l’évolution progressive des follicules
- La phase du cycle utérin est la phase postmenstruelle caractérisée par le développement progressif de la muqueuse utérine
N.B : Accepter aussi phase menstruelle ou phase menstruelle et postmenstruelle.
4. *Au cours de la phase postmenstruelle, et sous l’action des œstrogènes, la muqueuse utérine s’épaissit, se vascularise et forme des glandes en tubes
*Au cours de la phase prémenstruelle, et sous l’action combinée des œstrogènes et de la progestérone, le développement de la muqueuse utérine s’accentue).

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EXERCICE 10 Bac sprt prin 16

EXERCICE 11

1) a- Analyse comparée :
- Evolution du taux des œstrogènes :
Chez la femme A, les œstrogènes sont sécrétés tout le long du cycle avec deux pics, le premier vers le 14ème
jour et le deuxième vers le 21ème jour. Le taux des œstrogènes devient très faible vers la fin du cycle,
conformément à un cycle sexuel normal.
Chez la femme B par contre, ce taux est continu et très faible.
- Evolution du taux de progestérone :
Chez la femme A la progestérone n’est sécrétée que pendant la phase lutéale avec un pic le 21ème jour. Ce taux
devient très faible vers la fin du cycle.
Chez la femme B par contre cette sécrétion est presque nulle.
- Evolution du taux de LH :
Chez la femme A, le taux de LH est variable avec un pic avant le 14ème jour induisant l’ovulation.
Chez la femme B, ce taux est très faible et constante Donc, la femme A présente un cycle sexuel normal.
b- femme A : cause possible : obstruction des trompes ou problème de réceptivité du sperme
femme B : cause possible : troubles ovariens ou troubles hypothalamohypophysaires
2) C’est la femme A qui est concernée par la technique de la FIVETE.

3) Etape 1 → Induction de l’ovulation


Etape 2 → Spermatozoïdes normaux Spermatozoïdes ayant un pouvoir fécondant
Etape 3 → Embryon au stade 2 à 4 cellules et utérus disponible à la nidation

EXERCICE 12 Non corrigé

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EXERCICE 13/Bac MC17

1) - Chez la femme fertile (témoin), La sécrétion de l’hormone H se fait seulement durant 14 jours sur 29 et ne
présente qu’un seul pic donc cette hormone ovarienne ne peut être que la progestérone (puisque l’œstrogène
possède deux pics). - L’évènement X se fait juste avant le début de la sécrétion de la progestérone donc cet
évènement correspond à l’ovulation.
2) Comparaison des deux tracés :
La sécrétion de progestérone chez la femme stérile est très faible (~ 0,1ng/mL) et constante (absence de pic)
alors qu’elle présente un pic vers le 9ème jours (~ 15 ng/mL) puis reste constante et presque nulle du 15ème au
29ème jours.
La stérilité de cette femme pourrait être due à un dysfonctionnement en relation avec la sécrétion de la
progestérone :
• Cause 1 : Anomalie au niveau de l’ovaire
• Cause 2 : Anomalie au niveau de l’axe hypothalamo- hypophysaire
3) L’examen échographique réalisé chez la femme stérile, vers le 27ème jour montre la présence de différentes
catégories des follicules sauf le follicule mûr (qui devrait normalement exister dans cette période ovulatoire).
Le résultat de test 3 montre que la sécrétion de LH est constante et de l’ordre de 10 UI/L en comparaison avec
celle de la femme témoin qui est de l’ordre de 90 UI/L pendant la période [28 , 30].
a- L’absence du follicule mûr peut expliquer l’absence du pic pré-ovulatoire d’œstradiol et donc il n’y a de pas
de RC+ sur le complexe hypothalamo- hypophysaire. Ceci a pour conséquence l’absence du pic de LH qui
est nécessaire à d’ovulation.
b- Le traitement de la femme stérile par la substance S a provoqué la reprise de la croissance folliculaire,
l’obtention du follicule mûr à partir du follicule cavitaire et donc une sécrétion de LH à un taux comparable à
celui de la femme témoin notamment le pic ovulatoire de LH (84 UI).
4) Puisque le complexe hypothalamo-hypophysaire ne présente pas d’anomalies, on peut dire que la stérilité
chez cette femme est probablement d’origine ovarienne et elle peut être expliquée comme suie:
- La légère augmentation du taux d’œstradiol secrété par le follicule tertiaire exerce un rétrocontrôle négatif
(RC -) permanant sur le complexe HH.
- La faible sécrétion de gonadostimuline ne permet pas l’évolution du follicule cavitaire en follicule mûr donc
absence du pic pré-ovulatoire d’œstrogènes
- Absence du pic de LH-FSH donc pas d’ovulation et par conséquent la femme est stérile.

EXERCICE 14
1.
a- ( 0,5 point)
A B C
Corps jaune évolué ou développé Follicule mûr rompu Follicule mûr ou de De Graaf

Ordre chronologique du cycle ovarien : C B A


b-( 0,75 point)
1 2 3 4 5 6
Cellule Thèque externe Thèque interne Ovocyte II Antrum ou cavité Granulosa ou cellules folliculaires
lutéale folliculaire

2.
a-( 0,25 point)
La durée du cycle sexuel est 28 jours Justification : durée située entre 2 pics successifs de LH.
Acceptez toute justification correcte.

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b-( 0,25 x 2 Phase X Y
points)
Identification Lutéale ou lutéinique ou Folliculaire ou préovulatoire
postovulatoire
Justification Présence de progestérone (et -Absence de progestérone
d’œstradiol) -présence d’œstradiol
Acceptez toute
justification correcte.
3. Relation entre la variation du taux des hormones ovariennes et hypophysaires du document 2 et
l’évolution des structures ovariennes du document 1:
• De 1 à 2 Février: (0,5point)
La sécrétion maximale, vers la fin de la phase folliculaire, d’œstradiol par le follicule mûr (structure C document 1) le 1
Février est suivie d’un pic de FSH et d’un pic important de LH qui ont lieu le 2 Février (document 2) qui déclenchent
l’éclatement d’un follicule mûr (ou ovulation) (structure A du document 1)
• Le 9 Février : ( 0,25point)
La baisse de la sécrétion de la FSH et la sécrétion faible de la LH coïncident avec :
-les pics synchrones de sécrétion d’œstradiol et de progestérone (document 2)
- le corps jaune évolué (structure A du document 1).
4-Exploitation et explication de graphe pendant la phase X (de 2 Février jusqu’au 16 Février) :
La chute du taux plasmatique des hormones ovariennes à la fin du cycle sexuel (de 9 Février jusqu’au 16
Février), suite à la régression du corps jaune, provoque la mort et le détachement de la partie supérieure de
l’endomètre, ce qui entraine la menstruation au début du cycle sexuel suivant (Le 17 Février)
5-Exploitation et explication de graphe pendant la phase Y (de 17 Février jusqu’au 2 mars) :
La forte dose d’œstradiol sécrétée par le follicule mûr le 1er Mars (structure C) exerce un rétrocontrôle positif
sur l’axe hypothalamo-hypophysaire, ce qui entraine l’augmentation des pulses de GnRH qui est à l’origine d’un
pic des gonadostimulines (FSH et LH) nécessaires pour déclencher l’ovulation le 2 mars (structure B).
EXERCICE 15
1. a.
• Analyse du taux de l’hormone LH :
Taux de LH produit par l’hypophyse est relativement constant durant tout le cycle sexuel (de l’ordre de 5
ng.ml-1), avec un pic important (décharge de LH) de l’ordre de 16 ng.ml-1 au 13ème jour du cycle sexuel.
• Analyse du taux de l’hormone œstradiol :
- Au début de la phase folliculaire (du J1 à J7) le taux d’œstradiol est relativement constant de l’ordre
de 50 pg.ml-1.
- A la fin de la phase folliculaire (du J7 à J12) le taux d’œstradiol augmente considérablement pour
atteindre un pic important de l’ordre de 300 pg.ml-1 le 12ème jour du cycle sexuel.
-Durant la phase lutéale le taux d’œstradiol est relativement constant avec un pic moins important
de l’ordre de 100 pg.ml-1 le 21ème jour du cycle sexuel.
b.- Hypothèse 1 : L’ovulation se déclenche un jour après le pic de LH, donc l’ovulation (le J14) est
déclenchée par le pic de LH (le J13).
- Hypothèse 2 : le pic d’œstradiol précède le pic de LH, donc le pic de LH (le J13) est déclenché par
le pic d’œstradiol (le J12).
2.
• Les injections rapprochées des fortes doses d’œstradiol à une guenon normale du 7ème au
10ème jour du cycle sexuel entrainent l’apparition d’un pic de LH précoce (vers le 11ème jour du cycle
au lieu du 13ème jour du cycle), la forte dose d’œstradiol est à l’origine du pic de LH→ validité de
l’hypothèse 2.
• Le pic de LH précoce est suivi d’une ovulation avancée (le 12ème jour du cycle au lieu du 14ème
jour du cycle), le pic de LH est à l’origine de l’ovulation → validité de l’hypothèse 1.
• La forte dose d’œstradiol sécrétée par le follicule mûr exerce un rétrocontrôle positif sur le
complexe hypothalamo-hypophysaire, ce qui entraine une augmentation des pulses de GnRH,
responsable du pic important de LH associé à celui de FSH, qui sont à l’origine de l’ovulation par
éclatement du follicule mûr.

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EXERCICE 16 (à corriger)
EXERCICE 17
EXERCICE 18
1- Analyse :
- Avant l’ovariectomie bilatérale, le taux de LH hypophysaire est faible (10mU/ml). Puis, suite à l’ovariectomie
bilatérale, il se produit une augmentation considérable de la sécrétion de LH qui atteint 40mU/ml au bout de
4 semaines.
- L’injection d’une faible dose d’œstradiol (60 pg/ml) entraine la chute immédiate de la libération de LH qui
revient à sa valeur initiale (environ 10mU/ml).
- L’injection de fortes doses d’œstradiol provoque la libération immédiate d’une quantité plus importante de LH (>
à 50 mU/ml)
→ L’effet exercé par l’œstradiol sur la libération de la LH hypophysaire dépend de la concentration de cette
hormone dans le sang :
• A faible dose, cet effet est négatif (RC-)
• A forte dose, cet effet est positif (RC+)
2- Analyse : l’injection de doses croissantes de progestérone (2 puis 20 puis 35 pg/ml) à une femelle
ovariectomisée entraine une diminution de plus en plus importante du taux sanguin de la LH hypophysaire.
→ La progestérone exerce un effet négaKf sur l’acKvité hypophysaire.
EXERCICE 19
EXERCICE 20 bac sc prin 15

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Exercice 21

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EXERCICE 22

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