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UNE IMAGE ?
JANVIER 2014
DOSSIER DE PRESSE
QUE PEUT
UNE IMAGE ?
LES CARNETS DU BAL 04
S’INTERROGER SUR CE QUE PEUT UNE IMAGE, C’EST D’ABORD LA COLLECTION DES CARNETS DU BAL :
SE GARDER DE RÉPONDRE « RIEN » OU « TOUT ». C’EST REFU- Depuis 2010, la collection LES CARNETS DU BAL a pour ambition
SER D’ATTRIBUER AUX IMAGES UN POUVOIR QUI LES DÉPASSE d’offrir des textes de référence sur les enjeux de la représenta-
OU DE VERSER DANS LE LIEU COMMUN D’UNE IMPUISSANCE tion du monde par l’image, où contributions théoriques et analyses
CONSÉQUENTE AU FLUX ININTERROMPU D’IMAGES. ENTRE d’oeuvres se répondent.
POSTURE DÉSENCHANTÉE ET CROYANCE EXCESSIVE DANS Artistes, commissaires d’exposition, historiens, théoriciens... nous
L’EFFICACITÉ DES IMAGES, LES TREIZE CONTRIBUTEURS DE livrent leur expérience et leur réflexion à partir d’études de cas
CET OUVRAGE NOUS INVITENT À ADOPTER UN REGARD CRI- historiques ou contemporains. À chaque contribution est associé
TIQUE. LES DIVERSES DISCIPLINES MOBILISÉES ICI – CINÉMA, un corpus d’images.
PEINTURE, PHILOSOPHIE, PHOTOGRAPHIE, NEUROSCIENCES,
DROIT... – EXPLORENT, À PARTIR DE CAS CONCRETS, CE Cette collection intervient au moment où se multiplient les question-
QU’OPÈRENT RÉELLEMENT LES IMAGES SUR NOTRE PER- nements autour de la place et du rôle de l’image dans notre société.
CEPTION ET NOTRE CONSCIENCE : LA VIDÉO COMME OUTIL Elle rassemble des textes inédits de personnalités reconnues sur la
DE STRATÉGIE MILITAIRE POUR LE COMMANDANT MASSOUD, scène internationale, dans un paysage pauvre en ouvrages collectifs
LE TABLEAU COMME EXPÉRIENCE DE L’IMMATÉRIEL CHEZ LE de référence en français.
CARAVAGE, LE MONTAGE CINÉMATOGRAPHIQUE SELON CHRIS
MARKER...
Cette collection a été réalisé grâce au soutien :
Ce quatrième numéro des CARNETS DU BAL présente treize du ministère de la Culture et de la Communication, secrétariat
contributions inédites de Dork Zabunyan, François Boespflug, général, service de la coordination des politiques culturelles et de
Agnès Devictor, Emmanuelle André, Giovanni Careri, Jacques Aumont, l’innovation ;
Thomas Hirschhorn, Ada Ackerman, Bruno Serralongue, du Ministère de l’Éducation nationale, direction générale de
Eyal Weizman, Pierre Cassou-Noguès, Eric Baudelaire, Cyril Béghin l’enseignement scolaire ; de l’École des hautes études en sciences
sociales, EHESS.
Direction éditoriale : Dork Zabunyan (Maître de conférences en études
cinématographiques à l’université Lille III)
Direction de collection : Diane Dufour et Christine Vidal (LE BAL)
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QUE PEUT
UNE IMAGE ?
SOMMAIRE
QUE PEUT UNE IMAGE ? POURQUOI EST-IL IMPORTANT, AUJOURD’HUI,
LES CONDITIONS D’UNE QUESTION DE MONTRER ET REGARDER DES IMAGES DE
DORK ZABUNYAN CORPS HUMAINS DÉTRUITS?
maître de conférences en études cinématographiques THOMAS HIRSCHHORN
à l’université Lille III. artiste. Lauréat en 2000 du Prix Marcel Duchamp, il a
représenté la Suisse à la Biennale de Venise en 2011.
L’IMAGE PEUT-ELLE PRÊCHER ET ENSEIGNER ?
LE CAS DES IMAGES DE L’INCARNATION DU CHRIST PASSAGES ET TRANSPOSITIONS DE LA THÉORIE
FRANÇOIS BOESPFLUG POLITIQUE À L’ÉCRAN
dominicain, professeur émérite d’histoire des religions à la ADA ACKERMAN
faculté de théologie catholique de l’université de Strasbourg et historienne de l’art, chargée de recherches au CNRS (ARIAS).
spécialiste d’iconographie chrétienne.
LE PHOTOGRAPHE, L’IMAGE ET L’ÉVÉNEMENT
MASSOUD, LE COMMANDANT À LA CAMÉRA BRUNO SERRALONGUE
AGNÈS DEVICTOR photographe, enseigne à la Haute École d’art
maître de conférences en histoire du cinéma à l’université et de design de Genève.
Paris I Panthéon-Sorbonne. Ses recherches actuelles portent
sur le cinéma iranienet l’analyse des images de guerre dans L’ARCHÉOLOGIE DES PIXELS
la région. EYAL WEIZMAN
architecte, directeur du Centre for Research Architecture
L’IMAGE ME TOUCHE au Goldsmiths College de l’université de Londres.
EMMANUELLE ANDRÉ
maître de conférences en études cinématographiques, habilitée LES IMAGES DU CERVEAU : INSTRUMENTS OU
à diriger les recherches, à l’université Paris VII Diderot. Ses SIMULACRES?
travaux récents portent sur les technologies de la vision, accor- PIERRE CASSOU-NOGUÈS
dées au motif de la main, au cinéma et dans les arts visuels. professeur de philosophie à l’université Paris VIII.
HEUREUX CEUX QUI, SANS AVOIR VU, ONT CRU ! PUISSANCES DU FAUX (JOURNAL)
L’INCRÉDULITÉ DE SAINT THOMAS DU CARAVAGE ÉRIC BAUDELAIRE
GIOVANNI CARERI artiste et cinéaste.
directeur du Centre d’histoire et de théorie des arts – CEHTA,
directeur d’études à l’EHESS, membre associé du Laboratoire CHRIS MARKER AU SINGULIER
d’anthropologie sociale (EHESS, CNRS, Collège de France) et CYRIL BÉGHIN
professeur à l’École nationale supérieure des beaux-arts de critique de cinéma, membre du comité de rédaction des
Lyon. Cahiers du cinéma.
AGNES DEVICTOR
Maître de conférences en histoire du cinéma à l’université Paris I Panthéon-Sorbonne. Ses recherches actuelles portent sur le
cinéma iranien et l’analyse des images de guerre dans la région.
Point 3 - Invisibilité
Thomas Hirschhorn, Touching Reality, 2012, vidéo en boucle, 4’35, photogramme, courtesy galerie Chantal Crousel, Paris
« Aujourd’hui, dans les journaux, les magazines et les journaux télévisés, nous voyons très peu d’images de corps détruits, parce
qu’elles sont très rarement montrées. Ces photos sont non visibles et invisibles : le prétexte est de nous en protéger, présupposant
qu’elles pourraient heurter la sensibilité du public ou satisfaire le voyeurisme. Mais l’invisibilité n’est pas innocente. L’invisibilité est
une stratégie de soutien à, ou tout au moins, de non-dissuasion de l’effort de guerre. Il s’agit de rendre la guerre acceptable et ses
conséquences commensurables, comme le déclarait Donald Rumsfeld, ancien secrétaire américain de la Défense (2001-2006) :
« La mort tend à favoriser une vision démoralisante de la guerre. » Mais peut-on avoir une vision de la guerre autre que démorali-
sante ? Regarder des images de corps humains détruits est une manière de s’engager contre la guerre et contre la justification de
la guerre et sa propagande. Depuis le 11-Septembre, ce phénomène d’invisibilité s’est renforcé en Occident. Pour ne pas admettre
cette invisibilité comme un fait ou comme une « protection », il est important de regarder de telles images. »
THOMAS HIRSCHHORN
Artiste. Lauréat en 2000 du Prix Marcel Duchamp , il a représenté la Suisse à la Biennale de Venise en 2011.
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EXTRAITS
DES CARNETS
DU BAL 04
LA PHOTOGRAPHIE, L’IMAGE
ET L’ÉVÉNEMENT
« On peut croire ou douter de ses pouvoirs, malgré tout l’image est là. On peut même envisager qu’au bout d’un certain temps,
l’image se détache de l’événement et qu’au lieu de lui être consécutive, elle occupe la première place et relègue l’événement
au second plan. Quand une photographie devient un document (car elle ne l’est pas naturellement, elle le devient lorsqu’on lui
adresse un certain regard), c’est cette opération qui nous est signifiée. Une photographie de presse est un document, elle prend
donc la place de l’événement. Elle ne parle pas en son nom, elle prend le dessus. C’est là que réside son pouvoir. »
BRUNO SERRALONGUE
Photographe, enseigne à la Haute École d’art et de design de Genève.
Bruno Serralongue, Guy Eyermann, représentant CGT, annonce aux salariés les conditions de départ obtenues après un mois de lutte, New Fabris, Châtellerault, 31 juillet
2009, Lifochrome collé sur alluminium, cadre et verre © Air de Paris, France 5
EXTRAITS
DES CARNETS
DU BAL 04
PASSAGES ET TRANSPOSITION
DE LA THÉORIE POLITIQUE ÇÀ L’ÉCRAN
« C’est aussi la piste de l’impossible que privilégie le plasticien israélien Michael Blum dans Wandering Marxwards (1999), un
court-métrage de 20 minutes. Racontant au début du film avoir découvert Le Capital de Marx durant ses études à Paris, Blum
explique avoir souhaité en tirer un film, avant d’être découragé, à la réflexion, par l’impossibilité de la tâche, une tâche que même
le grand Eisenstein ne put accomplir.
C’est pourquoi son film renonce d’emblée à porter à l’écran Le Capital, mais se présente comme un plaidoyer en faveur d’une
relecture contemporaine de celui-ci. Comme l’explique l’auteur, omniprésent dans le film, il est nécessaire de rouvrir les poubelles
de l’histoire pour y repêcher le cadavre de Marx, jeté aux oubliettes avec l’effondrement du bloc soviétique et de son idéologie.
Pour Blum, la faillite manifeste de l’économie de marché implique de revenir à Marx (d’où le titre, Wandering Marxwards), dont les
analyses restent extraordinairement actuelles, bien qu’il n’ait pu prévoir tous les débordements et excès du capitalisme d’au-
jourd’hui. Ainsi, alors que la voix off de l’auteur énumère toutes les raisons pour lesquelles il est urgent de relire Marx, la caméra
filme l’auteur dans plusieurs situations typiques de la société de consommation actuelle (supermarché, salle de gym…), en train
de lire avec passion Le Capital. Il s’agit ainsi d’inciter le lecteur à se saisir lui aussi du Capital afin de mieux comprendre le monde
actuel et, peut-être, de mieux lui résister. Le film de Blum ne se veut donc pas un substitut filmique au Capital, mais bien une
introduction à celui-ci, au sens premier du terme : le film n’a de raison d’être que s’il conduit son spectateur à lire Marx. »
ADA ACKERMAN
Historienne de l’art, chargée de recherches au CNRS (ARIAS).
CENTRE NATIONAL
DES ARTS PLASTIQUES
Le Centre national des arts plastiques est l’un des principaux opérateurs de la politique du ministère de la Culture et de la Communication dans le domaine de
l’art contemporain. Il accompagne les artistes ainsi que les professionnels par plusieurs dispositifs de soutien. Il acquiert, pour le compte de l’État, des œuvres
d’art dont il assure la conservation et la diffusion. Il met également en œuvre la commande publique nationale. Partenaire de grandes manifestations d’art
contemporain, il coproduit notamment le pavillon français de la Biennale de Venise.
Le CNAP en collaboration avec différents partenaires (éditeurs, opérateurs culturels, collectivités territoriales, etc.) développe une politique éditoriale qui s’orga-
nise autour de deux grands axes : la valorisation et la diffusion de la collection et le soutien à la création. Le CNAP a coédité, avec les Éditions Loco, en 2013,
Des images comme des oiseaux, un ouvrage qui témoigne de la diversité de son fonds photographique à travers le regard de Patrick Tosani invité à faire un
choix dans la collection. Une nouvelle monographie de la collection Nouvelle Création contemporaine, coéditée avec Flammarion et consacrée à l’artiste français
Jean-Luc Verna, avec un texte de Stéphanie Moisdon, paraîtra en mars 2014.
En 2012, le CNAP et le BAL se sont engagés pour une durée de trois ans à mener conjointement des actions permettant un plus large accès à la connaissance
de la photographie contemporaine et notamment la coédition des CARNETS DU BAL qui, chaque année, met en perspective, grâce à de nombreuses contributions
scientifiques et artistiques, les enjeux de l’image aujourd’hui.
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VISUELS LIBRES DE DROIT POUR LA PRESSE
Bruno Serralongue, Guy Eyermann, représentant CGT, annonce aux salariés les conditions de départ obtenues après un mois
de lutte, New Fabris, Châtellerault, 31 juillet 2009, Lifochrome collé sur alluminium, cadre et verre © Air de Paris, France
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LA COLLECTION
DES CARNETS
DU BAL
Depuis 2009, LE BAL organise chaque automne un seminaire de réflexion à l’EHESS, en collaboration avec le ministère de l’Éducation nationale
et le ministère de la Culture et de la Communication. Deux journées pour explorer les enjeux de l’image contemporaine et appréhender dans toute sa
diversité la notion de « document « visuel.
Chaque sujet abordé donne lieu à des contributions théoriques, des présentations et analyses d’oeuvres dispensées par des artistes, philosophes,
historiens, anthropologues, et critiques de renom, à partir d’exemples choisis dans les champs de la photographie, de la vidéo et du cinéma.
Chaque année sont publiés les actes éditorialisés et augmentés du séminaire automnal précédent : LES CARNETS DU BAL.
LA COLLECTION
EN VERSION IPAD !
LES CARNETS DU BAL n°1, 2 et 3 sont désormais accessibles en format iPad
sur l’application Artbook Magazine : http://www.artbookmagazine.com/
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LES CARNETS
DU BAL 01 (2010)
L’IMAGE-DOCUMENT,
ENTRE RÉALITE ET FICTION
SOMMAIRE
Jean-Pierre Criqui,
Avant-propos
Jean-Christophe Bailly,
Document, indice, énigme, mémoire
Clément Chéroux ,
L’image comme point d’interrogation ou
« Le n°1 des Carnets du BAL présente onze contributions inédites. Le document est la valeur d’extase du document surréaliste
d’essence informative, didactique : trace, témoignage, report d’une réalité observée, il pose
d’emblée la question des forces ou des individus qui l’ont produit, ainsi que celle des voies David Campany , Pour une politique des ruines :
par lesquelles il parvient à notre connaissance. Objet mémoriel, il croise en cela le « monu- quelques réflexions sur la photographie de l’après
ment » que constitue toute œuvre d’art, en laquelle libre cours peut être laissé à l’invention,
à la composition, à la fiction. Les textes ici réunis reviennent sur les affinités et les tensions Georges Didi-Huberman,
de ces deux modes d’appréhension du réel, que sont réalité et fiction, constitutives à Remonter, refendre, restituer
des degrés divers de toute « œuvre documentaire ». Ce volume témoigne de la richesse
théorique et artistique d’une telle intrication. » Muriel Pic ,
Jean-Pierre Criqui W.G. Sebald. Les patiences de la mémoire
Batia Suter,
Parallel Encyclopedia, 2007
Larisa Dryansky,
L’Ars memorandi de Hannah Höch
Thierry Davila,
La condition photographique. Usage de la photographie, du déjà
là et du readymade chez Gerhard Richter
Joachim Schmid,
Les photographies des autres
Frédéric Paul,
« L’histoire de la photographie est aussi celle de sa prolifération, de son accession Carte postale prise et déprise d’Alban Berg à Allen Ruppersberg
progressive à une quasi ubiquité grâce aux moyens de reproduction technique sur
lesquels la presse et la publicité fondèrent leur efficacité. Dès lors il était inévitable Vincent Lavoie,
que l’image photographique, comme à sa suite l’image en mouvement, devienne un Les familles recomposées d’Erik Kessels : un portrait presque
matériau disponible pour d’autres images, d’autres usages. Remploi, collage, montage, parfait
readymade, détournement : la photographie, le cinéma et la vidéo ont ainsi donné lieu
à de multiples opérations qui mirent l’accent sur leur caractère d’objet, et non plus André Gunthert,
seulement de médium. Les communications des deux journées proposent un tour L’œuvre d’art à l’ère de son appropriabilité numérique
d’horizon de ces pratiques qui constituent à elles seules une histoire parallèle de l’art
et des images à l’ère moderne et contemporaine. » Didier Semin,
Jean-Pierre Criqui Prends garde aux Zeppelins… (Notes sur l’exposition
« Partners » à la Haus der Kunst de Munich en 2003)
Historien de l’art et critique, responsable du service de la parole au département
du développement culturel du Centre Pompidou et rédacteur en chef Adam Broomberg et Oliver Chanarin,
des Cahiers du musée national d’Art moderne After life, 2009
Maxime Boidy
La précarité du visible
Nathalie Delbard
Les implicites de la sélection
photojournalistique
Jürgen Nefzger
Athènes, 2010
« À une époque où la dissémination des moyens de capture et de diffusion du réel Frédéric Boyer
s’affirme toujours davantage, est-il légitime de déclarer que des images sont man- William howard mumler
quantes ou même susceptibles de l’être ? Sans doute plus que jamais, ne serait-ce et sa machine mélancolique
que pour se situer à rebours d’un « tout montrer » qui occulte le devenir tourmenté
des images, corrélat des discontinuités de l’Histoire. Encore faut-il distinguer plu- Ariella Azoulay
sieurs espèces d’images manquantes : les images qui n’ont jamais existé, celles qui L’obligation de parler
ont existé, mais ne sont plus disponibles, celles qui ont rencontré trop d’obstacles des photographies non prises
pour pouvoir être prises ou enregistrées, celles que notre mémoire collective n’a pas
retenues… Les Carnets du BAL analysent les effets de ces images manquantes, le Sylvie Lindeperg
vide qu’elles véhiculent ou l’imagination qu’elles suscitent. » De l’absence au manque
Dork Zabunian
Julien Prévieux
Points de vue manquants
Coédition LE BAL / Images en Manœuvres / Le CNAP
pour images manquées
Direction éditoriale : Jean-Pierre Criqui
231 pages
Raymond Bellour
22 euros
Le numéro 2 des Carnets du BAL a été réalisé grâce au soutien du ministère de la Culture et Le cinéma, un art des images manquantes
de la Communication, secrétariat général, service de la coordination des politiques culturelles
et de l’innovation - SCPCI ; du Centre national des arts plastiques; du ministère de l’Éducation Paul Sztulman
nationale, direction générale de l’enseignement scolaire - DGESCO ; de l’Agence nationale de la Une « mosaïque éparpillée ». à propos de muriel ou le temps
recherche – ANR-08CREA-007-01 « Filmer la création artistique ». d’un retour, un film d’alain resnais et jean cayrol
Trevor Paglen
SOMMAIRE Limit telephotography, 2005-2008
Arnaud Labory
Tél: 06.22.53.05.98
arnaud@anneetarnaud.com
Anaïs Hervé
Tél: 06.13.66.06.67
anais@anneetarnaud.com
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