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La comptabilité est une discipline normée qui consiste à inscrire

chronologiquement les mouvements de flux financiers d’une


entreprise. Cette discipline sert de base pour produire les états
financiers de l’entreprise.
La tenue de la comptabilité peut être effectuée soit directement
par l’entreprise, soit via une externalisation à un cabinet comptable.

De quoi traite le CGNC : Code


Général de Normalisation Comptable
?
Le CGNC : Code Général de Normalisation Comptable est un
document qui a valeur de loi au Maroc. En effet, son application est
obligatoire en vertu du Dahir du 25 décembre 1992 portant loi
comptable (loi n° 9-88).
.

Le Code Général de Normalisation Comptable traite de l’ensemble


des règles et spécifications pour tenir les comptes d’une entreprise
marocaine. Il se subdivise en deux principales parties :

 Première partie : Norme générale comptable


 Deuxième partie : Plan comptable général des entreprises

Le CGNC a un champ d’application général. En effet, il s’applique à


l’ensemble des entreprises marocaines et de manière plus générale
à tous les commerçants.

Pour résumer, le CGNC est la norme comptable applicable au Maroc.


Ainsi, il précise les normes comptables généralement admises au
Maroc.

Définition – Qu’est-ce que la


comptabilité ?
Le CGNC au Maroc définit la comptabilité comme une discipline qui
consiste :

 D’abord, à collecter et totaliser les informations relatives aux


opérations financières de l’entreprise ;
 Ensuite, présenter ces informations dans la cadre d’écritures
comptables ;
 Enfin, synthétiser ces informations sous forme d’états de
synthèse.

Une écriture comptable correspond à une inscription selon une


norme d’une opération. Ces normes sont comme suit :

 Premièrement, une écriture comptable se fait en partie double.


Chaque écriture doit comporter un débit et un crédit ;
 Deuxièmement, une écriture doit respecter des numéros de
comptes définis par la norme comptable ;
 Enfin, une écriture se fait dans des unités monétaires.

Quelle réglementation de la
comptabilité au Maroc ?
La comptabilité au Maroc doit se faire selon les normes du CGNC.

Le CGNC définit les principes généraux selon lesquels :

 D’abord, les écritures comptables doivent s’inscrire ;


 Ensuite, les états de synthèse doivent se préparer ;
 Enfin, les principes comptables que l’entreprise doit respecter.

Quels sont les principes comptables


prévus par le CGNC ?
La CGNC se fixe comme objectif de satisfaire deux objectifs
principaux :

 En premier lieu, de servir de base à l’information et la gestion de


l’entreprise ;
 En second lieu, de fournir une image fidèle de l’entreprise aux
utilisateurs des comptes, privés ou publics.

Pourquoi les principes comptables ?


La normalisation comptable ne peut se satisfaire d’un cadre
législatif et réglementaire. En effet, un tel cadre ne peut prétendre à
satisfaire à toutes les situations possibles. En effet, ce serait un
mythe d’imaginer que l’on peut mettre en place des règles strictes
dont l’application stricte suffirait à fournir la bonne information.

Une norme comptable doit, de ce fait, garantir des zones de liberté,


d’appréciation et d’adaptation. Cette flexibilité est nécessaire pour
couvrir les besoins de l’ensemble des agents économiques.
Cependant, une liberté totale réduirait la possibilité de comparaison
entre les comptabilités. C’est pourquoi, la norme doit énoncer des
principes généraux à respecter : Les principes comptables.

Le CGNC prévoit 7 principes comptables principaux qui sont les


suivants :

Le principe de continuité d’exploitation


Selon le principe de Continuité d’exploitation, l’entreprise doit
établir ses comptes dans la perspective d’une poursuite de son
activité. En absence de continuité, l’entreprise doit présenter ses
comptes en valeurs liquidatives.

Le principe de permanence des méthodes


L’entreprise doit appliquer pour l’établissement des comptes les
mêmes règles d’évaluation et de présentation d’un exercice à
l’autre.

Le principe du coût historique


La valeur d’entrée d’un élément inscrit en comptabilité reste
inchangée quelle que soit l’évolution ultérieure du pouvoir d’achat.

Le principe de spécialisation des exercices


La réglementation comptable divise la vie de l’entreprise en
exercices comptables. L’entreprise doit inscrire les charges et les
produits dans l’exercice qui les concerne.

Le principe de prudence
En vertu du principe de prudence, lorsqu’une entreprise détecte une
incertitude susceptible d’entraîner :

 D’abord, un accroissement des charges


 ou, ensuite, une diminution des produits de l’exercice

Elle doit les prendre en considération dans la comptabilité


notamment dans le calcul du résultat de cet exercice.
Le principe de clarté en comptabilité
Selon le principe de clarté :

 Premièrement, l’entreprise doit inscrire les informations :


 sous la rubrique adéquate,

 avec la bonne dénomination


 et sans compensation entre elles ;
 Deuxièmement, elle doit évaluer les éléments d’actif et de passif
séparément;
 Troisièmement, elle doit préparer les états de synthèse sans
compensation entre les différents postes.
L’importance significative en comptabilité
L’entreprise doit révéler dans ses états de synthèse tous les
éléments dont l’importance peut affecter les évaluations et les
décisions.

Qui peut tenir une comptabilité au


Maroc?
L’entreprise peut tenir sa comptabilité en interne. Elle peut,
également, la confier à un expert-comptable ou à un comptable
agréé.

Quel est le rôle de comptabilité ?


En élaborant les comptes, la comptabilité consiste en un outil de
pilotage. En effet, les états de synthèse permettent de donner une
vision sur la situation financière de l’entreprise.

De plus, la comptabilité joue un rôle d’information des partenaire


(les tiers). En effet, les tiers (banques, actionnaires, salariés, …)
s’intéressent au déroulement de l’activité et à sa santé financière.
La comptabilité permet de couvrir ce besoin.

En définitive, la comptabilité est l’outil d’information financière par


excellence.

L’objectif d’un système comptable est de :


1. D’abord, permettre un enregistrement des transactions selon les
règles en vigueur ;
2. Ensuite, donner les principes de synthèse desdites transactions
à des formes agrégées ;
3. Enfin, créer des états aux normes que les utilisateurs peuvent
lire et analyser pour tirer des conclusions.

Le système comptable
Les livres de comptabilité que l’entreprise prépare obligatoirement
sont les suivants :

 Primo, un manuel de procédure comptable. En effet, le manuel a


pour rôle de décrire
 l’organisation comptable

 les modalités de la comptabilité


 les principes généraux de comptabilité
 Secondo, l’entreprise doit tenir un livre journal. En effet, ce livre
enregistre les opérations quotidiennes de manière chronologique ;
 Tertio, le grand-livre. Ce livre regroupe compte par compte les
écritures comptables ;
 En quatrième lieu, la balance générale dresse les différents
soldes des comptes
 Enfin, les différents états de synthèse que nous explicitons ci-
dessous

Quels états financiers la


comptabilité permet-elle de produire
?
La comptabilité permet de produire :

 D’abord, le bilan qui informe sur la situation du patrimoine de


l’entreprise
 Ensuite, le compte de résultat qui informe sur le résultat des
opérations
 En outre, le tableau des flux de trésorerie permet de donner des
informations sur le cash
 L’annexe permet de donner des informations générales,
notamment sur les méthodes et principes comptables
Audit et contrôle de gestion

Complémentaires mais différentes, les missions d’audit et de contrôle de


gestion permettent d’avoir une vision globale sur la gestion d’entreprise.

Comprendre les différences entre l’audit et le


contrôle de gestion
Si le contrôle de gestion s’effectue au quotidien et sur la durée, l’audit se
réalise de manière ponctuelle en fonction des besoins de l’entreprise. Selon
les objectifs de la mission, l’audit peut être pris en charge en interne (via un
service dédié par exemple) ou en externe. L’entreprise fera alors appel à un
intervenant extérieur comme un cabinet d’expertise comptable. On distingue
trois types d’audit : l’audit de gestion (fraudes, économies…), l’audit
opérationnel (amélioration continue des procédures) et l’audit financier
(vérification de la bonne application des normes et règles comptables).

L’auditeur analyse les process de l’entreprise (documents, comptes rendus…)


alors que le contrôleur de gestion va plutôt raisonner en termes de résultats et
de chiffres. Pour cela, il s’appuie sur les données issues de l’activité
(productivité, rendement…) alors que l’auditeur va prendre en considération la
bonne application des process validés et constater si des écarts se sont créés
au fil du temps.

Combiner audit et contrôle de gestion


De manière très concrète, le contrôle de gestion va permettre de piloter l’audit.
Véritable prise de recul nécessaire, les recommandations reçues à la suite de
l’audit vont, quant à elles, être un levier très utile pour améliorer les
procédures existantes, adapter le budget et suivre les performances des
opportunités qui auront pu être identifiées durant l’audit.

Définition 1 L’audit interne est un dispositif interne à l’organisation concernée


qui vise à : Apprécier l’exactitude et la sincérité des informations notamment
comptables, Assurer la sincérité physique et comptable des opérations,
Garantir l’intégrité du patrimoine, Juger de l’efficacité des systèmes
d’information.

Selon la théorie classique, l’audit interne assume par délégation une partie de
la responsabilité de contrôle de la direction; q Il est réalisé par un service de
l’organisation et consiste à vérifier si les règles édictées par l’organisation sont
respectées.

Définition 2 La définition officielle de l’Institute of Internal Auditors (IIA): « L'Audit


Interne est une activité indépendante et objective qui donne à l’organisation une
assurance sur le degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte ses conseils pour
les améliorer, et contribue à créer de la valeur ajoutée » .

C’est une activité : d’évaluation indépendante car l’Audit Interne doit être
rattachée au niveau le plus élevé de la hiérarchie ; ne peut se substituer aux
opérationnels pour intervenir à leur place, D’assistance au management en
vue : - d’optimiser le fonctionnement de l’organisation, - d’encourager un
contrôle efficace à des coûts raisonnables, Qui permet à l’organisation
d’atteindre ses objectifs dans la mesure où il propose des recommandations et
solutions qui remédient aux dysfonctionnements relevés.

Audit interne et externe


L'audit interne est réalisé par quelqu'un qui travaille au sein de l'entreprise. Sa
mission : vérifier le bon respect des procédures. L'audit interne est parfois
appelé "audit de première partie". L'audit externe est un examen indépendant
et formel de la situation financière d'une entreprise.

Comptabilité publique et comptabilité privée.


L’Etat et les autres organismes publics ne sont pas seuls à faire des
opérations financières. Les entreprises privées en font aussi, et même les
simples particuliers. Les règles d’exécution, de description et de contrôle des
opérations financières des entreprises et des particuliers constituent la
comptabilité industrielle et commerciale ou plus généralement la comptabilité
privée.

La comptabilité publique vise principalement à vérifier la régularité des


opérations financières, la comptabilité privée à connaître le résultat de ces
opérations.
En comptabilité publique, la plupart des recettes ne proviennent pas de
contributions volontaires, mais d’impositions, au sens fort, recouvrées au
besoin par des procédés de puissance publique, qui financent la réalisation
des objectifs généraux assignés par les pouvoirs publics. Les contribuables et
les bénéficiaires des services publics n’étant pas nécessairement ni même
généralement les mêmes personnes, aucun équilibre naturel d’intérêts
opposés n’assure que ces recettes sont correctement perçues et utilisées. La
plupart des règles de la comptabilité publique déterminent les formes à suivre
et les contrôles à exercer pour que les recettes et les dépenses s’exécutent
conformément aux lois et spécialement à la loi de finances annuelle.
Le résultat de ces opérations, sans être indifférent, a moins d’importance. Les
organismes publics n’ont pas pour raison d’être de faire des bénéfices, mais
d’assurer certaines fonctions estimées d’intérêt général. Dans la conception
ancienne des finances publiques, les moyens demandés devraient être à la
mesure exacte des missions assignées, c’est-à-dire que le budget devait être
équilibré. Dans la conception moderne, on peut rechercher un excédent ou un
déficit, mais seulement comme moyen de la politique économique, elle-même
nouvelle tâche de la puissance publique.
Au contraire, les recettes des entreprises proviennent des versements
consentis par les acheteurs ou les usagers en contrepartie des biens livrés ou
des services rendus: les défaillances dans la production des biens ou le
fonctionnement des services sont immédiatement sanctionnées par des pertes
de recettes. Ce qui intéresse les entrepreneurs, les actionnaires et les
bailleurs de fonds, ce n’est pas la correction juridique des opérations; c’est
leur résultat, d’où dépendent leurs profils, leurs dividendes ou leurs intérêts.
En bref, la comptabilité publique vise en premier lieu à savoir si les opérations
financières sont régulières ou irrégulières; la comptabilité privée, si elles sont
avantageuses ou onéreuses.

Pce : plan comptable de l’Etat :

Le nouveau Plan Comptable de l’Etat permet de réaliser une transition de la


simple logique d’encaissement et de décaissement, vers une comptabilité
d’exercice, à partie double, qui implique une optique patrimoniale et une
optique d’exploitation et de résultat. Sur le plan de son architecture globale, le
PCE repose sur une comptabilité budgétaire, qui suit le niveau de
consommation des crédits ouverts dans les Lois de Finances, une comptabilité
générale, qui fait prévaloir la constatation des droits et des obligations de
l’Etat, et enfin, une comptabilité analytique, permettant de procéder à des
analyses de prix de revient et de rendement des services. Sur le plan
juridique, l’élaboration du PCE s’inscrit dans le sillage des amendements
introduits au niveau de plusieurs textes législatifs et réglementaires, régissant
la gestion des finances publiques. Le PCE a été adopté par la 12ème
assemblée plénière du Conseil National de la Comptabilité, réunie le 16
décembre 2008. Il repose sur les principes comptables fondamentaux édictés
par le Code Général de la Normalisation Comptable (CGNC), sous réserve de
quelques adaptations dictées par les normes IPSAS (normes comptables
internationales applicables au secteur public). Le respect de ces principes est
censé donner une image fidèle des situations financière et patrimoniale de
l’Etat. La comptabilité de l’Etat est tenue conformément à un plan de comptes
fixé par arrêté du Ministre chargé des Finances. Ce plan comporte neuf
classes comptables, la classe 9 étant réservée à la comptabilité analytique. La
nomenclature des comptes peut être modifiée par arrêté du Ministre chargé
des Finances. La comptabilité de l’Etat est tenue par les comptables publics
qui constatent les opérations faites pour son compte, au titre du Budget
Général, des Budgets Annexes, des Services de l’Etat Gérés de Manière
Autonome (SEGMA) et des Comptes Spéciaux du Trésor. Ils arrêtent leurs
écritures et leurs registres comptables au 31 décembre de chaque année. Les
états financiers établis au 31 mars de l’année qui suit la clôture de l’exercice,
sont au nombre de quatre :

• Bilan (tableau de la situation nette) ;

• Compte de résultat (produits et charges) ;

• Tableau des flux de trésorerie ;

• Notes aux états financiers (équivalentes à l’ETIC). Le PCE intègre cette


triple optique budgétaire, patrimoniale et d’analyse de coût, dès lors qu’il ne
s’agit plus seulement de savoir ce dont l’Etat dispose dans ses caisses, mais
d’apprécier son patrimoine, ses charges et ses produits, son résultat, sa
trésorerie, ses dettes et créances, ses coûts ainsi que ses engagements, afin
de mieux appréhender sa situation financière. La prise en compte des
éléments de l’actif se trouvera ainsi consolidée par le recensement et
l’évaluation des immobilisations et des stocks, ainsi que par le calcul des
amortissements et des provisions, aspects totalement absents dans le
référentiel actuel.

Normes IFRS : définition


Les normes comptables internationales, ou International Financial
Reporting Standards en anglais, sont le langage comptable de référence
dans le monde depuis 2005. Obligatoires pour les sociétés cotées et les
groupes transfrontaliers, les normes IFRS permettent d’harmoniser les bilans
et d’améliorer la transparence comptable dans le monde. Explications.

Que sont les normes IFRS ?


Les normes IFRS sont des normes comptables internationales mises en
place depuis 2005. Elles permettent d’harmoniser la présentation des états
financiers et comptables des sociétés cotées et d’obtenir un système
comptable uniforme entre les différents pays du monde.

Quelles différences entre IAS et IFRS ?


Dans les deux cas, il s’agit de normes comptables. L’IAS, pour International
Accounting Standards, a été la première tentative de création de normes
dans les années 70. Celle-ci a découlé sur l’adoption des normes IFRS,
référentes aujourd’hui. Évoquer les normes IFRS ou IAS revient donc à parler
de normes référentes contemporaines ou de leurs prédécesseures.

Comment sont élaborées les normes IFRS ?


Elles sont créées au sein de la Fondation des normes internationales
d’information financière (IFRS Foundation), une organisation internationale
à but non lucratif. Dans cette fondation, l’International Accounting
Standards Board (IASB) se charge de les élaborer, et l’International
Financial Reporting Interpretations Committee (IFRIC) de les interpréter,
selon une procédure transparente et participative. Tous les cinq ans,
l’organisme procède à une consultation pour définir les priorités internationales
en matière de normalisation. Des recherches sont alors effectuées pour
identifier les problèmes et leur trouver des solutions. Les idées sont ensuite
exposées dans un document de travail qui peut être commenté par le public. Il
s’en suit des propositions de nouvelles normes ou d’amendements à une
norme, publiées pour consultation publique.

Pourquoi les normes IFRS ?


Les normes IFRS doivent permettre avant tout de pouvoir comparer facilement
les états financiers de sociétés cotées implantées dans différents pays, ce
qui serait quasi impossible si chacune utilisait ses propres normes nationales.
C’est intéressant notamment pour les investisseurs et les créanciers
internationaux qui vont ainsi pouvoir plus facilement analyser la situation
financière de ces sociétés.
Plus globalement, elles vont garantir un langage comptable commun,
compréhensible par le plus grand nombre, y compris de pays différents.

L’ouverture sur les normes IFRS (International Financial Reporting Standards)


de la comptabilité marocaine s’est faite dès 2007 à travers l’obligation faite aux
établissements de crédit de publier leurs états financiers consolidés en
normes internationales à partir de 2008 et l’option permise aux entreprises non
financières privées et publiques d’utiliser le nouveau référentiel comme base
de consolidation à compter de 2007.
Depuis leur introduction, les normes IFRS ont fait l’objet de plusieurs travaux
de recherche au Maroc et dans le monde. L’objectif de cet article est de faire
une revue de littérature sur les différents travaux qui ont été effectués sur les
normes IFRS au Maroc, portant à la fois sur les recherches documentaires
ainsi que les études de terrain. En effet, aucun travail de recherche ne
rassemble les différents travaux qui ont été effectués sur les normes IFRS au
Maroc d’où l’utilité de ce travail. Ce type de travail va nous permettre d’avoir
une vision panoramique sur la recherche sur les normes IFRS au Maroc afin
de déceler les segments non exploités. La revue de littérature va porter sur les
normes IFRS complètes (FULL IFRS), et la norme IFRS pour les Petites et
Moyennes Entreprises (PMEs).

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