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REMERCIEMENTS :

Avant d’entamer mon rapport de Projet de Fin d’Etudes, je me tiens à présenter mes sincères
remerciements à tous ceux qui m’ont aidé et soutenu, durant ma formation et ont facilité mon
intégration dans le marché du travail.
Aussi, j’exprime mes vifs remerciements à Madame la directrice de l’institut, le corps
administratif et à tout le corps professoral de l’I.T.S.G.R.T qui ont partagé leurs savoirs avec
nous durant les deux années de formation.
A cet effet, je tiens à remercier Monsieur COUZI Tariq l’IGT et le chef de la société pour son
encadrement durant ma période de stage. Mes remerciements vont aussi au total du personnel
pour leur assistance utile.
Enfin à tous ceux qui ont participé du près ou de loin à la réalisation de ce modeste travail.

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DEDICACES :

A mes parents, mes amis :

Grâce à vos tendres encouragements et vos grands sacrifices, vous avez pu créer le
climat affectueux propice à la poursuite de mes études.
Aucune dédicace ne saurait exprimer mes respects, mes considérations et mes profonds
sentiments pour vous.
Veuillez trouver ici l'expression de mes sentiments, de respect et de reconnaissance pour
le soutien que vous n'avez cessé de me porter.
Votre générosité et votre soutien m'obligent à vous prendre en considération sur cette
dédicace.
Trouvez ici le témoignage d'une fidélité infinie.
Je prie Dieu de vous bénir, de veiller sur vous, et j'espère que vous serez toujours fiers
de moi.

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LISTE DES MATIERES :

Liste des tableaux

Liste des figures
Introduction
I. Présentation de la société
II. Aperçu global sur le système GPS
1- Définition du système GPS
2- Composantes du système GPS
3- Principe de mesure par GPS
4- Signaux GPS
5- Facteurs de qualité
6- Modes de positionnement
III. La délimitation du Domaine Publique Hydraulique (DPH)
1- Définition du DPH et les lois qui le gèrent
2- Les étapes de la délimitation du Domaine Publique Hydraulique
a- Les étapes communes
a. Présentation de la nature des travaux
b. Phase de Consultation et Reconnaissance
c. Rattachement et Nivellement par Triangulation GPS
b- Cas de l’Oued
a. Levé des limites de l’Oued
b. Dessin et contrôle de la délimitation
c- Cas du Barrage
a. Levé du niveau des Plus Hautes Eaux (PHE)
b. Implantation des bornes de la délimitation
c. Enquête parcellaire
3- Difficultés rencontrées et leurs solutions
Conclusion
Annexes

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LISTE DES TABLEAUX :

Tableau 1 : Les ondes porteuses

Tableau 2 : Les codes binaires
Tableau 3 : Positionnement en mode relatif

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LISTE DES FIGURES :

Figure 1 : Les composantes du système GPS

Figure 2 : Vidage des observations
Figure 3 : Exécution du logiciel TBC
Figure 4 : Importation des données
Figure 5 : Changement du système des coordonnées
Figure 6 : Traitement des lignes de base
Figure 7 : Calage des stations
Figure 8 : Le rapport de la liste des points
Figure 9 : La fiche d’enquête
Figure 10 : La fiche du propriétaire
Figure 11 : La fiche de l’exploiteur

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INTRODUCTION :

Il est évident que les connaissances théoriques doivent être concrétisées par une expérience
pratique, et dans le but de se préparer à une carrière qui demande une grande compétence,
l’I.T.S.G.R.T exige à ses étudiants de deuxième année la réalisation des projets de fin d’étude
à titre individuel. Chaque étudiant sélectionne un thème spécifique à traiter.
Pendant mon stage au sein de la société GEOART, j’ai participé à l’exécution des travaux du
Projet de la Délimitation du Domaine Publique Hydraulique, le cas du barrage Aït Ziat à la
province d’El Haouz et le cas d’Oued El Maleh à la province d’El Mohammedia.
Pour la réalisation de ces prestations, la société a opté pour l’utilisation du GPS comme moyen
matériel de mesure. Ce choix est justifié par le grand étendu des zones des travaux (100 Km
pour l’Oued et 1700 ha de parcellaire et 40 Km de délimitation pour le barrage). A cela s’ajoute
la rapidité et la possibilité de travailler en temps réel (mode RTK).
C’est dans cette optique que nous allons réserver un chapitre pour une présentation succincte
de ce mode.
Ce qui m’a permis de voir de près les étapes de l’exécution de cette opération, et ce qui m’a
poussé de choisir la Délimitation du Domaine Publique Hydraulique comme un thème de mon
projet de fin d’étude.

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I. PRESENTATION DE LA SOCIETE :

1- Identification :
a. Nom de la société : GEOART SARL
b. Directeur de la société : COUZI Tariq (IGT de l’IAV Hassan II)
c. Date de création : 2013
d. Adresse : N°956, APPT1, AVENUE ATLAS SALA AL JADIDA
e. Tel/Fax : 05 37 53 45 61
2- Moyens humains :
- 1 Ingénieur Géomètre Topographe
- 5 Techniciens Spécialisés en Topographie
- 1 Dessinatrice
- 3 Opérateurs
3- Moyens techniques et logistiques:
- Matériels GNSS :
o 6 Récepteurs CHC I80
o 2 Récepteurs Topcon Hiperplus
o 3 Récepteurs Trimble
- Matériels GPS :
o 3 Récepteurs Trimble
o 3 Récepteurs Leica 500
- Stations totales :
o 1 Sokkia
o 1 Kolida
o 1 Topcon
- 1 Station de travail
- 6 PC portables
- 2 PC bureaux
- 4 Voitures
- 5 Imprimantes
- 1 Traceur
4- Logiciels utilisés:
- Windows 7 et 10
- SMADAV Antivirus

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- Microsoft Office 2007 et 2016

- Topogen
- AutoCad 2007, 2008 et 2013
- Covadis 10.1
- MapInfo
- Google Earth Pro
- Adobe Flash Reader
- Trimble Business Center
- CHC Geomatics Office

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II. APERÇU GLOBAL SUR GPS

1- Définition GPS :
GPS (Global Positioning System) est un système spatial de radio-positionnement et de
transfert de temps qui fournit à un nombre illimité d’utilisateurs à travers le monde dans un
système global et unique quelles que soient les conditions météorologiques, une information
de position, de vitesse et de temps.
2- Les composantes du système GPS :

Le GPS se compose de trois groupes d'éléments (appelés segments) :

- Des satellites en orbite autour de la Terre (segment spatial) ;
- Des stations de contrôle au sol (segment contrôle) ;
- Les récepteurs GPS des utilisateurs (segment utilisateur).
a- Segment spatial :
Constellation composée de plus de 30 satellites en orbite, répartis sur 6 plans orbitaux
(décalés de 60 degrés) assurant la visibilité de 4 à 8 satellites avec une élévation supérieure
à 15 degrés en tout point de la Terre.
b- Segment contrôle :
Pilote et surveille le système grâce à 5 stations de contrôle au sol (Hawaï-Colorado-
Ascension-Diego Garcia-Kwajalein) et 10 stations de poursuite GPS servant de référence à
la constellation.

Figure 1 : Illustration montrant les composantes du système GPS

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c- Segment utilisateur :
C’est l’ensemble des utilisateurs civils ou militaires qui reçoivent et exploitent les
informations reçues des satellites via un récepteur GPS.
3- Principe de mesure GPS :

La mesure par GPS peut être scindée en deux composantes :

- La mesure de pseudo-distances par observation de code
- La mesure de phase
Chacune d’elle dispose de ses avantages, de ses limites et doit être rattachée au matériel, à
la précision souhaitée et au mode opératoire.
a- Mesure de pseudo-distances par observation de code :
La mesure de pseudo-distance par observation du code est basée sur une analyse de
corrélation entre le signal émis par un satellite et la réplique générée par le récepteur.
Ainsi, le décalage temporel observé entre ces deux signaux nous donne le temps mis par
l’onde pour parcourir la distance entre son point d’émission et son point de réception.
La position du récepteur est alors calculée par intersection de sphères, d’où la nécessité
de disposer d’au moins quatre satellites en visibilité.

b- Mesure de phase :
De fortes imprécisions entachent la qualité du positionnement par mesure de code.
Plutôt que de mesurer un temps de parcours de l’onde électromagnétique, on va
s’intéresser à la détermination du déphasage entre le signal reçu et sa réplique généré
par le récepteur, la phase de battement.
Se basant sur l’effet Doppler, on détermine alors la variation de la distance entre satellite
et récepteur. L’essentiel du problème est alors de déterminer le nombre de cycles
nécessaire au parcours de cette distance. Cette inconnue, couramment appelée
l’ambiguïté entière, est difficilement accessible, et on utilise des méthodes de
différentiation (simple, double, triple), selon la configuration des observations.

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4- Les signaux GPS :

On a deux fréquences porteuses L1 et L2 modulées par des codes binaires C/A et P et un

message de navigation.
a- Les fréquences porteuses :
Fréquence L1 Fréquence L2
- L1= 1575,42 MHz - L1= 1227,60 MHz
- Fréquence porteuse - Fréquence porteuse
- Transmis le code C/A et P - Transmis le code P
- λ= 19 cm - λ= 25 cm
Tableau 1 : Tableau montrant les caractéristiques de chaque fréquence porteuse

b- Les codes binaires:

Code C/A Code P (pour précision)
- Séquence= 1,023 Mbit/s - Séquence= 10,23 Mbit/s
- Période= 1 ms - Période= 280 jours
- Librement accessible - Chiffré et anti-spoofing
- Transmis sur L1 - Transmis sur L1 et L2
- Donne accès au service SPS qui - Donne accès au service PPS qui
permet avec un seul récepteur permet avec un seul récepteur
d’obtenir une précision de 20 à 40 d’obtenir une précision de 15 à 20
mètres mètres
- Uniques pour chaque satellite
- Permettent une précision de positionnement allant de 15 à 50 mètres selon le type de
traitement
Tableau 2 : Tableau montrant les caractéristiques de chaque code binaire

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c- Le message de navigation :
- Emis par chaque satellite
- Il contient les informations suivantes :
 Le temps GPS
 La date de synchronisation de l’horloge des récepteurs
 Les corrections d’horloge du satellite
 Les éphémérides du satellite
 Un modèle mondial d’ionosphère
 La différence entre UTC et le temps GPS
5- Facteurs de qualité :

Le principe du positionnement par GPS nous montre que des contraintes existent en termes
de distribution de la constellation. En effet, une mauvaise répartition des satellites
engendrera une faible précision de positionnement. Pour qualifier cette géométrie, on
dispose généralement d’indicateurs notés DOP (Dilution Of Précision) et qui donnent, à un
instant donné, une appréciation de l’affaiblissement de la précision pour :
- Un positionnement planimétrique : HDOP (Horizontal DOP)
- Un positionnement altimétrique : VDOP (Vertical DOP)
- Une détermination du temps : TDOP (Time DOP)
- Un positionnement 3D (avec un minimum de trois satellites) : PDOP (Position DOP)
Enfin, on retient souvent un dernier facteur appelé GDOP (Geometric DOP) qui intègre le
PDOP et le TDOP. Il n’est le plus souvent accessible que sur des récepteurs géodésiques et
nécessite la visibilité de quatre satellites au minimum.
6- Positionnement :

a- Mode absolu :
- Nécessite un seul récepteur
- Mode de positionnement standard
L’exactitude du positionnement est de 5 à 20 m
b- Mode relatif :
- Nécessite deux récepteurs minimum
- Mode plus utilisé en topographie
- Permet de rattacher un point inconnu à un point de référence connu dans un
système donné
- Les mêmes satellites doivent être observés par tous les récepteurs

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- Est opérer de deux façons différentes :

a. Statique : Les deux récepteurs sont fixes sur des stations pour une longue
durée.
b. Cinématique : un des deux récepteurs est fixe au point de référence et le
second est mobile et se ballade sur un certain nombre de points à déterminer

Mode relatif
Positionnement en temps différé Positionnement en temps
réel
Statique Cinématique Cinématique
Statique rapide Stop and go Trajectographie RTK
Tableau 3 : Les différents modes de positionnement classés en mode relatif

- RTK : ou Cinématique temps réel (pour le levé) est une technique de positionnement
par satellite basée sur l’utilisation de mesures de la phase des ondes porteuses des
signaux émis par le système GPS. La station de référence fournit des corrections en
temps réel permettant d’atteindre une précision de l’ordre centimétrique.
- Statique : consiste à utiliser deux ou plusieurs récepteurs. Dont un au moins placé sur
un point connu, les autres étant placé sur des points à déterminer pendant une durée
d’observation excédant 30 min variant en fonction de la longueur de la ligne de base ,
du nombre des satellites, de la précision demandée et du récepteur utilisé. La précision
dans ce cas pourrait atteindre 5mm et même plus selon le matériel et le logiciel utilisé.

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III. DELIMITATION DU DOMAINE PUBLIC HYDRAULIQUE :

1- Définition du Domaine Public Hydraulique et la loi qui le gère :

La propriété de l’état recouvre le domaine public et le domaine privé, en effet le domaine

public est composé de biens qui ne peuvent pas faire l’objet d’une propriété privée car ils
sont affectés à l’usage de tous (routes, ponts, barrages, fleuves, Oued…).
Le domaine public hydraulique est l’ensemble des biens hydrauliques et ceux liés à l’eau.
Ces biens sont répartis en deux catégories :
- Les biens publics naturels constitués des eaux et des terres couvertes par des eaux
(comme le cas d’Oued) ;
- Les biens publics artificiels constitués des ouvrages hydrauliques (comme le cas de
Barrage).

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Le domaine public hydraulique est géré par la loi 10-95 sur la mer qui est promulguée et
publiée au Bulletin Officiel n° 4325 du 20 septembre 1995, à la suite du Dahir n° 1-95-154
du 16 août 1995.
Ils font partie du domaine public hydraulique au sens de cette loi :
- Toutes les nappes d'eau, qu'elles soient superficielles ou souterraines ; les cours d'eau
de toutes sortes et les sources de toutes natures ;
- Les lacs, étangs et sebkhas ainsi que les lagunes, marais salants et marais de toute
espèce ne communiquant pas directement avec la mer. Sont considérées comme faisant
partie de cette catégorie les parcelles qui, sans être recouvertes d'une façon permanente
par les eaux, ne sont pas susceptibles en année ordinaire d'utilisation agricole, en raison
de leur potentiel en eau ;
- Les puits artésiens, les puits et abreuvoirs à usage public réalisés par l’Etat ou pour son
compte ainsi que leurs zones de protection délimitées par voie réglementaire. Ces zones
sont constituées d'une zone immédiate, intégrée au domaine public hydraulique et,
éventuellement, d'une zone rapprochée et d'une zone éloignée qui ne sont soumises qu’à
des servitudes ;
- Les canaux de navigation, d'irrigation ou d'assainissement affectés à un usage public
ainsi que les terrains qui sont compris dans leurs francs-bords et dont la largeur ne doit
pas excéder 25 mètres pour chaque franc-bord ;
- Les digues, barrages, aqueducs, canalisations, conduites d'eau et séguias affectés à un
usage public en vue de la défense des terres contre les eaux, de l'irrigation, de
l'alimentation en eau des centres urbains et agglomérations rurales ou de l'utilisation des
forces hydrauliques ;
- Le lit des cours d'eau permanents et non permanents ainsi que leurs sources ; celui des
torrents dans lesquels l'écoulement des eaux laisse des traces apparentes ;
- Les berges jusqu'au niveau atteint par les eaux de crues dont la fréquence est fixée par
voie réglementaire pour chaque cours d'eau ou section de cours d'eau et, en outre, dans
les parties des cours d'eau soumises à l'influence des marées, toutes les surfaces
couvertes par les marées de coefficient 120 ;
- Les francs-bords à partir des limites des berges :
1) avec une largeur de six mètres, sur les cours d'eau ou sections de cours d'eau définies:
la Moulouya de son embouchure jusqu'à ses sources, le Sebou de son embouchure
jusqu'à ses sources, le Loukkos de son embouchure jusqu'à ses sources, l'Oum Er-Rbia
de son embouchure jusqu'à ses sources et le Bou Regreg de son embouchure jusqu'au
barrage Sidi Mohamed Ben Abdellah;
2) avec une largeur de deux mètres, sur les autres cours d'eau ou sections de cours d'eau.
- La reconnaissance des droits acquis sur le domaine public hydraulique est faite à la
diligence et par les soins de l'administration ou à la demande des intéressés après
enquête publique dans les conditions qui sont déterminées par voie réglementaire.
2- Les étapes de la Délimitation du Domaine Publique Hydraulique:

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a. Les étapes communes :

i. Présentation de la nature des travaux :
Avant de démarrer les travaux, Monsieur l’Ingénieur a organisé une
réunion avec le personnel de la société.
En cette réunion, l’IGT a représenté en détails le programme de l’exécution
envisagé pour le déroulement des travaux lors des différentes phases du
projet.
ii. Phase de Consultation et Reconnaissance :
Nous avons consulté au service du cadastre les anciens points géodésiques
traité dans des affaires proches et qui entourent la zone du projet pour le
rattachement planimétrique et nous avons consulté aussi la mappe
cadastrale pour savoir les propriétés immatriculées. Après, Nous avons
consulté au service de la cartographie les points NGM pour le rattachement
altimétriques. Et après nous avons fin une reconnaissance de la zone où
nous allons travailler.
iii. Conception d’un projet de triangulation :
Nous avons fait une étude pour la triangulation existante (levé
préliminaire) pour s’assurer de l’homogénéité et la stabilité des points
d’appuis (les points anciens) et nous avons choisi l’emplacement des
nouveaux points en les matérialisant.
Après avoir fait un bon emplacement, et une bonne matérialisation des
nouveaux points nous avons commencé la triangulation par GPS en mode
statique, afin de réalisés toute les lignes de bases entre les stations
nouvellement créer et les anciennes stations.
La conception d’un projet de triangulation du telle sorte que la zone soit
bien encadrée et la distance entre les nouveaux points ne doit pas dépasser
2 km afin de mieux garder le signal radio en mode RTK ; il est à signaler
que dans le cadre d’un travail cadastrale cette distance ne doit pas dépasser
5 km.
Après, nous avons passé à la phase du bureau pour traiter les lignes de base
à l’aide du logiciel TBC (Trimble Business Center).

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Après avoir vidé nos données de navigation sur l’ordinateur, nous avons
exécuté le logiciel de traitement TBC.

Sélectionner « Démarrer une

nouvelle étude »

Changement du système des coordonnées à Merchich Zone 1

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Importation des fichiers d’observation GPS

Traitement des lignes de bases

Une fois le traitement est achevé, il faut vérifier que la solution est fixe
pour l’ensemble des lignes de bases.

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Ajustement du réseau
Pour l’ajustement du réseau, on commence tout d’abord par
l’introduction des coordonnées des points connus, et par la suite on ajuste
le réseau. Lors de l’ajustement, il faut s’assurer que les points anciens
sont homogènes (stables) entre eux. Le cas où un point ou plus ne sont
pas homogènes avec le reste du réseau, on les élimine.

Extraction du rapport de la liste des points

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b. Cas de l’Oued (Oued El Maleh) :

i. Présentation de la zone d’étude :

Oued El Maleh est situé au nord de Casablanca, sa délimitation commence

depuis le barrage Oued El Maleh vers l’embouchure de cet Oued à Mohammedia
d’une distance de presque 30 km.

ii. Levé des limites de l’Oued :

Nous avons levé les berges et les bas de berges en plus de l’axe de l’Oued
si c’est possible. Nous avons levé aussi les pistes et les constructions à coté
de l’Oued et les ponts et les clôtures. Et enfin, nous avons levé les points
cotés pour la modélisation hydraulique c'est-à-dire savoir les zones
inondables.

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iii. Dessin des limites de l’Oued :

Pour dessiner les limites de l’Oued, nous avons suivis les limites berges et
nous avons décalé ces limites par 2 m.

c. Cas du Barrage (Barrage Ait Ziat) :

i. Présentation de la zone d’étude :

Le bassin de la délimitation se trouve près de la Route Nationale N° 9

entre Marrakech et Ouarzazate, et de presque 14 km d’Ait Ourir. La digue
du barrage sera entre deux montagnes sous forme de falaise et la limite
du bassin est la courbe des plus hautes eaux d’une altitude donnée et les
bornes de la délimitation que nous avons implantée, sont selon des
normes précisées par la Direction des Aménagements Hydrauliques.

ii. Levé du niveau des plus hautes eaux :

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Le niveau ou l’altitude des plus hautes eaux est précisé par la Direction
des Aménagements Hydrauliques dans Z = 872,8 m et pour levé ce
niveau il faut chercher sur terrain cette altitude et l’encadrer dans un
intervalle selon la pente et on suit la courbe. Quand nous trouvons que la
courbe passe par une construction, on la lève aussi.
iii. Implantation des bornes de la délimitation :
La délimitation est la courbe de niveau que nous avons levée.
L’implantation des bornes est selon les normes suivantes :
 La distance entre les bornes est d’un maximum de 100 m avec une
visibilité l’une de l’autre ;
 Précision altimétrique d’implantation des bornes est de ± 10 cm ;
 Précision planimétrique est de ± 15 cm.
Et voici les instructions de la pose des bornes précisées par la direction :

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iv. Enquête parcellaire :

En présence du propriétaire et les exploiteurs et les riverains en plus de
l’aide ou le représentant des autorités locales, nous avons posé des
questions à chaque propriétaire et les exploiteurs de sa propriété pour
remplir la fiche d’enquête suivante :

Parmi les questions posées : Quelle est le nom du propriétaire réel ?

Combien le propriétaire et les exploiteurs ont d’arbres fruitiers pour
chacun ? Et est ce qu’il y a des constructions sur la parcelle ?
Si la parcelle n’est pas immatriculée elle doit être levée pour savoir sa
contenance, et ne pas la lever s’elle est déjà immatriculée, car sa
contenance est déjà connue. Et puis s’il y a des constructions ou des
détails sur cette parcelle, ils doivent être levés.
Cette fiche doit être remplie et gardée chez l’enquêteur, et chaque
propriétaire a sa propre fiche connue par un numéro de compte.
L’ensemble des fiches sont des livrables qui seront rendus à la direction
après qu’ils soient remplis.

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Nous avons rempli ces fiches par le nom du proprietaire ou de

l’exploiteur et le numero de la parcelle et le numéro de compte si c’est
un propriétaire. Après, nous avons donné les fiches au propriétaire et aux
exploiteurs comme preuve qu’ils sont déjà enquêtés.
3- Les difficultés rencontrées:
Parmi les difficultés qu’on a rencontrée : les habitats du village n’ont pas accepté l’enquête
et ont arrêté les travaux en ne donnant aucune informations jusqu’à ce qu’ils prennent assez
d’informations sur le travail.
Et comme solution monsieur l’Ingénieur a fait une réunion avec les habitats à la présence
d’un fonctionnaire ministériel et le Caïd pour les motiver au moins psychiquement et avoir
leurs avis et leurs opinions par rapport à la méthode de travail.
Nous avons également rencontré d’autres problèmes qui sont représentés dans la nature du
terrain qui est très accidenté surtout au niveau des falaises qui sont inaccessibles.

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Et nous avons aussi rencontré le problème des nombreux arbres oliviers qui embrouille le
signal de la radio et le nombre suffisant des satellites pour lever ou implanter surtout en
mode de positionnement RTK.

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CONCLUSION :

Le projet de fin d’étude a pour but de rechercher et développer nos techniques et nos
connaissances et voir les profondeurs topographiques.
Ce projet fut pour moi une grande opportunité pour obtenir des connaissances sur un domaine
riche, j’ai bien prendre des notions sur l’utilisation du GPS.
Ce projet m’a permis de connaître minutieusement les différentes étapes d’utilisation du GPS
sur les grands projets. Ainsi que d'enrichir mes connaissances sur l’utilisation et la
manipulation des nouveaux logiciels de traitement comme TBC et me préparer pour mes
futures responsabilités dans le monde professionnel.

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