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Recommandations

Introduction :
Notre travail de recherche est basé essentiellement sur l’habitat collectif écologique. Ce type
d’habitat est considéré comme nouveau modèle de conception architecturelle en respectant le
principal objectif du développement durable. À cet effet, nous avons traité ce thème de plusieurs
coté afin de pouvoir retirer les recommandations suivantesconforme en générales du climat
méditerranéen :
 Donné de contexte :
La zone étudiée s'étend tout le long du bassin méditerranéen, bornée entre 30˚ et 40˚ de longitude.
 Température, ensoleillement puissance de vent et humidité :
 Température :
Le climat méditerranéen se caractérise des autres territoires de l'hexagone par ses températures
douces tout au long de l'année. Il existe néanmoins des amplitudes de températures importantes en
fonction du lieu qui ne peuvent être ignorées. Il n’est donc pas possible de concevoir thermiquement
les bâtiments en considérant des températures moyennes appliquées à l'ensemble de la zone
méditerranéenne tant les écarts peuvent être notables.
 Ensoleillement :
L'ensoleillement est un paramètre fondamental du climat méditerranéen, de par son importance. On
compte en moyenne 2500 heures d'ensoleillement par an sur l’arc méditerranéen. La fraction
d'insolation (rapport entre durée réelle d'insolation et durée du jour théorique) est en moyenne sur
l'année de 56% à 65%, de 54% à 56% l'hiver, à plus de 75% l'été.1
 Le vent :
La région est caractérisée par des vents forts de prédominance Sud-Ouest. Les différents vents qui
sévissent peuvent tout aussi bien nuire au confort et accentuer les déperditions thermiques d'un
bâtiment en hiver, que d'agir favorablement en apportant un rafraichissement ou un adoucissement
des températures ressenties en été.2
 Humidité :
L'humidité relative présente dans l'air joue fortement sur le confort ressenti que ce soit en extérieur
ou dans les enceintes des bâtiments. En été, l'humidité relative est élevée, située entre 70% et 80%.
L'hiver également, l'humidité relative atteint 60% à 70% ce qui reste élevé. Des vents chauds et
secs tel que le Sirocco venu du Sahara permettent de faire varier ponctuellement l'humidité
relative. Les précipitations sont élevées l'hiver (en moyenne 500 mm de pluie sur une saison
1
ATIANE énergie, 2015. Synthèse sur les spécificités du bâtiment en région méditerranéenne, anvirobat BDM, France,
p 08.
2
Ibid p 09.

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Recommandations

d’hiver), mais les jours de pluie sont peu nombreux, (environ 78 par an) et les pluies souvent
courtes et intenses. Elles revêtent un caractère orageux l’été. L'été se caractérise par une sécheresse
avec des précipitations en moyenne inférieures à 30 mm .3
1. Recommandations :
2.1 Sur le côté urbanistiques :
 Le choix du terrain :
La nature du projet a un lien direct avec la localisation du terrain, il faut donc choisir lemeilleur
endroit possible pour s’installer .cechoix découlent la localisation, l’orientation, l’aménagement, la
valeur foncière, la superficie,l’exposition au soleil et au vent, les accès, les servitudes et les règles
d’urbanisme sont àconnaître avant toute acquisition car ils peuvent engendrer des coûts
supplémentaires.
 Orientation des blocs :
Une bonne orientation permet de profiter des apports solaires et de diminuer votre facture de
chauffage. Donc le terrain doit permettre d’orienter le bâtiment de façon optimale pour qu’il puisse
profiter des apports solaires. L’orientation selon l’axe Nord–Sud est préférable à l’axe Est – Ouest,
elle est même indispensable. 4
 la mixité sociale :
La réussite de ce plan nécessite l’intégration de plusieurs éléments :
- des espaces aménagés pour favoriser les échanges, tels les jardins pour habitants, les espaces verts,
les terrains de jeux autorisés dans tous les quartiers…
- un aménagement urbain respectueux des besoins des personnes handicapées.
- offrir la plus grande variété de typologie de logement.
- favoriser la construction de logement et d’activités pouvant accueillir tout type de population.
- réaliser des équipements et services publics à destination des catégories de population plus
« vulnérables » (structures médico-sociales, écoles, crèches…).
-Ouvrir le quartier sur son contexte, en pensant la morphologie et les fonctions à une échelle plus
vaste.
- Permettre une diversité des modes de vie en prévoyant des parties d’habitation et d’activité plus
calmes, des parties avec une distinction espaces publics/privés claire et d’autres parties plus libres et
conviviales.
 La mixité fonctionnelle :

3
Ibid.
4
https://www.econologie.com/file/guides/Guide_de_ecoconstruction.pdf,consulté le 16/06/2019.
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Recommandations

- faire coexister habitat et travail tout encouragent l’installation d’activités artisanales ou


commerciales dans ce nouveau quartier. évitant ainsi une zone strictement résidentielle
préjudiciable à la mixité recherchée.
- le quartier écologique devra s’ouvrir à une population extérieure, attirée par l’offre en
équipements structurants et en services de proximité, en recherchant si possible une mutualisation
avec les communes avoisinantes.
- prévoir un équilibre entre logements et emploi en dégageant des surfaces pour des locaux,
bureaux, etc.
- favoriser les activités éducatives de formation sur le site (lieux de réinsertion professionnelle…)
- encourager l’établissement de commerce et de restaurants au niveau des rez-de- chaussée.
-Prévoir des équipements culturels, sportifs et de loisirs pour les habitants du périmètre élargi
(c'est-à-dire tenant compte des quartiers environnants).
 les voiries :
Les voirie participent à la définition du cadre de vie et du paysage urbain, Assurent une
fonction sociale du fait qu’elles constituent un lieu privilégié de rencontre et d’échange entre les
différents types d’usage de l’espace urbain.
Dans le but d’organiser les différents types de déplacements des habitants dans le quartier, ainsi
que la mise en place d’un réseau routier convenable, et le développement des solutions privilégiant
les transports en commun en développant la complémentarité entre les différents modes de
transport, une hiérarchisation des voies et la pertinence de leurs dimensions aux flux concernés est
essentielle pour le bon fonctionnement de la circulation des personnes et des marchandises.
Dont on distingue principalement :
 Voie principale (voie primaire) : entre 12 et 24m.
 Voie secondaire : entre 6 et 12 m.
 Voie de desserte (voie tertiaire) : inférieur ou égale à 6 m.
 Stationnement :
La conception du quartier écologique s’attachera à reconsidérer la place et le traitement
des espaces de stationnement qui bénéficient dans la plupart des projets classiques d’une emprise
très importante correspondant à une programmation maximale des besoins. Cette surenchère
aboutit à l’imperméabilisation de grands espaces qui finalementSont quotidiennement peu
utilisés. L’objectif recherché sera de réduire leur impact par une implantation judicieuse, une
emprise prise appropriée et le recours à des matériaux respectueux de l’environnement. Selon
l’étude des exemples ; pour la gestion de stationnement on propose :

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Recommandations

 Une zone réservée au stationnement des vélos pour les constructions collectives et les
équipements.
 La création des parkings regroupés à l’extérieur pour optimiser les espaces privatifs des
parcelles et minimiser le linéaire de voirie.
 Traitement des déchets :
- limiter les déchets à la source
- traitement des déchets sur le site, au travers de processus écologiques.
- la mise en place d’un concept de gestion des déchets à l’échelle du quartier, avec les habitants.
- Employer une valorisation organique locale : les déchets urbains, tel que les déchets
alimentaires ou les déchets provenant des jardins, doivent être valorisés à travers le compostage
local.
 Traitement des eaux :
- Économiser les ressources en eau par la collecte des eaux pluviales soit pour une utilisation
domestique (pour lave-linge, toilette, arrosage…) soit pour une infiltration dans le sol
(étangs…) La pluviosité de la région de Jijel permet d’exploiter au maximum cette ressource et
de créer des économies considérables en eau potable.
- La consommation excessive d’eau potable peut être réduite par l’installation d’équipements à
faible consommation.
- L’arrosage des espaces verts publics, tels que les parcs ou les jardins, ne doive être effectué avec
de l’eau potable, mais avec de l’eau de pluies préalablement stocké dans des cuves ou avec de
l’eau en provenance des oueds.
 Gestion de végétaux :
- l’intégration des végétations, et notamment les arbres, aux zones bâties améliore sensiblement
l’environnement proche de chaque construction. En effet, la présence d’arbres caducs, dans la
partie nord-ouest de l’immeuble, permet de limiter l’insolation du bâtiment en été. La présence
d’arbustes bas permet en outre de protéger l’immeuble des vents froids, et contribue ainsi à une
isolation naturelle. Notamment dans la partie nord
- l’utilisation des toitures végétalisés dans certain bâtiment surtout en périphérie pour isoler
efficacement le bâtiment, elles absorbent les poussières et filtrent les nuisances, et retiennent
l’eau de pluie. Elles permettent de traiter efficacement les pollutions atmosphériques, tout en
nécessitant un entretien minimal.
- la création d’espaces verts autour d’habitat : la présence de terrains engazonnés, perméables à
l’eau, permet d’éviter le ruissellement superficiel des eaux.
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 Gestion de l’énergie : parmi les énergiesrenouvelables recommandéeson trouve


- L’emploi des capteurs photovoltaïques, placés sur les toits ou les parois des immeubles et des
infrastructures plus haut est une solution excellente en termes écologiques et économiques, et
doit permettre l’approvisionnement énergétique de l’ensemble du quartier.
- L’installation des éoliennes dans le quartier : Ces éoliennes peuvent être implantées dans la
partie nord-ouest (dans le jardin public). Et aussi peuvent être installées sur un immeuble déjà
existant exposé au vent de nord-ouest.
 Des espaces publics renforcés
L’espace extérieur urbain exerce une fonction primordiale, il donne a vivre, il donne avoir. De lui
dépend l’image de la ville il exerce aussi d’autres fonctions importants c’est le lien de circulation,
de la communication et de la rencontre. Dans notre projet, on a programmé :
a. Jardin publique : Nous proposons la création d’un jardin publique disposés à des endroits
stratégiques. Ce jardin que nous concevons de façon à favoriser l’accessibilité par mobilité
douce et convivialité, tout en garantissant une valeur écologique élevée.
b. Placette :On propose de créer une Placette comme un élément de centralité du quartier
organisée pour recevoir les résidants du quartier, Elle est réservée aux jeux des enfants, aux
réunions des riverains. Elle est équipée de banquettes en maçonnerie, les unes sont exposées au
soleil pour l’utilisation en hiver, les autres sont abritées pour l’utilisation en été.
c. Les cours internes des immeubles :Il faut créer dans notre projet ces cours internes des
immeubles qui se présentent comme des lieux qui favorisent la convivialité. Il est donc
nécessaire de prendre en compte la qualité et le confort de ces espaces, notamment à travers
l’introduction d’éléments végétaux.
d. Aire de jeux :Surface libre de petites dimensions aménagée pour les jeux d’enfants.

2.2Sur le côté architecturale :


 Intégration avec l’environnement :
1. Commencer la phase de conception par l’étude des particularités du territoire :
géographie,géologie, culture et traditions locales, architecture vernaculaire.
2. Prendre en compte la topographie, les vues et les caractéristiques climatiques : direction des
vents dominants, angle maximal et minimal du soleil selon les saisons,éventuelsmasques
produits par le relief et la végétation.
3. Prendre en compte les nuisances sur site.
4. Préférer les végétaux locaux pour les nouvelles plantations.
 Orientation :
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Il convient autant que possible :


- de privilégier la meilleure orientation du bâti et
d’organiser les pièces de vie par rapport à
L’ensoleillement (plein sud:les espaces habitables
et services), Donc le choix de l’orientationdu
bâtiment par rapport au soleil et au vent:permet de
gérer l’énergie en profitant de lalumière naturelle,
pour chauffer le bâtiment, ou au contraire pour
éviter la surchauffe, pourrafraichir le bâtiment en
été et éviter le refroidissement en hiver prendre en
compte des ombres portées sur le bâtiment.
- de privilégier les formes compactes, sans décrochés, réduisant les déperditions, de limiter lesponts
thermiques,
- d’assurer une bonne isolation, de préférence extérieure, et de préférer les vitrages
faiblementémissifs ou vitrages à isolation renforcée,
- de concevoir des « espaces tampon » - jardins d’hiver, vérandas solaires -, et de penser auconfort
d’été - débords de toit, pare-soleil, plantations au Sud,…
 Les baies et ouvertures :
Les fenêtres sur les façades principales visibles du domaine public devront avoir des proportions
verticales : la hauteur devra avoir une valeur supérieure à la largeur. Si c’est le cas du bâtiment
principal (comme le plus souvent),3 % de la surface du mur et si celui-ci fait 4 m²,les ouvertures ne
doivent pas faire plus de 1,20 m. Dimension des ouvertures : Petites 15-25%, Position des
ouvertures : Ouvertures hautes dans les murs intérieurs, Protection des ouvertures : (Protection
contre la pluie).
 Vitrages performants :
Un vitrage plus performant s’avéré indispensable, on utilise un
triple vitrage Low-e ouun double vitrage avec un film
intercalaire, il faut que le bilan thermique du vitrage
soitglobalement positif, c’est –à-dire qu’il y ait plus de gains
que de pertes. Figure10: vitrage Low-e
Source :
 La protection solaire :

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Une protection fixe bien dimensionnée auvent, débord de toiture, etc.) est à même d’éliminer
complètement le rayonnement direct d’été sans pour autant porter une ombreindésirable en hiver à
l’est et l’ouest une protection mobile s’avère préférable.
 Latoiture végétalisée :
Il consiste à recouvrir d'un substrat végétalisé, un toit plat ou
à faible pente, son succès était alors dû à ses diverses
propriétés d’isolation, d’étanchéité, de résistance au feu et au
vent, le tout avec des matériaux facilement disponibles
localement.
Il a été démontré que les toits verts participent à diminuer les
échanges de chaleur entre un bâtiment et son environnement.
Ainsi, il ralentit l’entrée de chaleur dans le bâtiment Figure: Coupe d’un toit végétalisé.

pendant les mois les plus chauds et réduit aussi légèrement Source : www.toit-vegetalise.fr

la sortie de la chaleur pendant les mois plus frais.


Une toiture végétalisée est composée de différentes couches qui reposent sur la structure :
1. Élément porteur.
2. Pare-vapeur.
3. Isolant.
4. Étanchéité résistante à la pénétration des racines.
5. Drainage.
6. Filtre.
7. Substrat.
8. Végétaux.5
 Choix des matériaux :
Les matériaux durables qui sont utilisés pour l'isolation sont des denims recyclés, enlaine de verre,
la paille, le bois, la laine de mouton, la ouate de cellulose…
L’isolants bio-sources les plus couramment utilisés en région méditerranéenne. Ils sont d'origines
végétales, minérales ou animales. Ils ne représentent cependant qu’une faible part des isolants
utilisés tels que les isolants synthétiques qui représentent environ 80% des isolants posés.
1. Isolant d'origine végétale : Fibre de bois, Laine de lin, de chanvre, de coton recyclé, liège, ouate
de cellulose, Paille de céréales ou de lavande.
2. Isolants d'origine animale : Laine de mouton.

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https://www.toit-vegetalise.fr/toit-vegetalise/,consulté le 16/06/2019.
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3. Isolants d'origine minérale : Argile expansé, Pouzzolane.


Le choix de l'isolation s'accorde avec des parements adaptés en fonction du matériau, une bonne
étanchéité à l'air, une gestion des ponts thermiques, une ventilation efficace et une bonne protection
solaire. Les matériaux durables sont remplis 3 critères:lasanté,lanature,une économie.6
 L’isolation thermique :
L’isolation thermique est le principe de base de la maison passive. Elle doit être
hautementperformante et appliquée sur toute l'enveloppe extérieure du bâtiment, sans interruption
nibrèche afin de limiter les ponts thermiques. La construction doit être assez compacte afin
delimiter sa surface extérieure.
 Captage solaire :
Le capteur solaire est une composante de base pour la plupart des équipements solaires ; estun
dispositif destiné à absorber des rayons du soleil pour les convertir en énergie solaire.
 Les solutions techniques pour capter les rayonnes :
Les serres solaires :Les serres également appelées (serres solaires) est un volume vitrécapteur de
chaleur. Outre sa fonction première d'apport pour une partie des besoins enchauffage d'un logement
(pouvant aller jusqu'à 40%), elle peut également contribuer aurafraichissement en été et devenir un
espace à vivre à part entière pendant certainessaisons.
Les murs capteurs (les murs trombes) :Le mur trombe est un mur plein (béton,pierre...), de
couleur sombre (mat), exposé au sud (dans l'hémisphère nord), devant lequelon dispose un vitrage.
Ce vitrage piège la chaleur du soleil qui se propage et s'accumuledans la maçonnerie.13
La vérandas :La véranda est un espace qui a connu beaucoup d’intérêt depuis la découverte de
matériauxtranslucide ; ceci est dû principalement aux divers rôles et usages qu’on peut lui attribuer,
Mais actuellement son rôle à dépasser les fonctions domestiques pour devenir une chaudière
Pour l’habitation. Il y a deux types des vérandas :
 Véranda froide : Une véranda est dite froide si les doubles vitrages se situent entre le
logement et la véranda, tandis que sa paroi extérieure est munie de vitrages simples.
 Véranda chaude : Une véranda est dite chaude quand les doubles vitrages se situent à sa
paroi extérieure et les vitrages simples la séparent de l’habitation. Il y règne une
température interne de 3 à 8°Csupérieure à celle d’une véranda froide7
 Le panneau solaire :

6
ATIANE énergie, op.cit.p.17.
7
BADECHE M, 2007, Impact de la loggia vitrée sur le confort thermique Dans la région de Constantine, mémoire de
magister, Université de Constantine, p. 89.
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Un panneau solaire est un dispositif technologique écologique à base de capteursolaire thermique


ou de capteur solaire photovoltaïque destiné à convertir le rayonnementsolaire en énergie thermique
ou en énergie électrique.

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