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EXPOSE SUR LES PROTOZOAIRE

1ère PARTIE

GROUPE I : THEME : LES SARCOMASTIGOPHORE

I- Définition

Les sarcomastigophores sont un embranchement du règne des protozoaires. Ce groupe


polyphylétique n’est pas universellement dans toute les classifications taxonomiques. Ils sont
constitués de trois sous embranchements qui sont les flagellés, les rhizopodes et les
actinopodes.

II-Caractéristiques générales

Les sarcomastigophores sont caractérisés par:

1-La Locomotion

Les espèces de ce groupe se déplacent grâce à des pseudopodes et/ou des flagelles.

2-La Reproduction

Les sarcomastigophores sont constitués d’un seul type de noyau. Lorsqu’il est présent la
reproduction sexuée est une syngamie. La reproduction est aussi liée aux variations climatiques.
3-La structure
Les sarcomastigophores sont d’assez de grande taille (d’environ plusieurs centaines de
micromètre), d’architecture complexe et le plus souvent à symétrie sphérique. L’observation des
sarcomastigophores au microscope que ces derniers de plusieurs organites tels que : le noyau,
le périplasme.

4-Milieu de vie
Ils vivent libres dans les étangs et les marres d’eau fraiche qu’ils colorent en vert. C’est un
phytoflagellé chlorophyllien en forme de fuseau de 60m de long dans le cytoplasme duquel
s’observent des chloroplastes ovales et des granule d’un polysaccharide appelé paramylon ou
paramylum.

GROUPE II : THEME : LES FLAGELLES


Définition

Les flagellés sont des protistes muni d'un où plusieurs filaments mobile servant d'organe
locomoteur à certains protozoaires et au spermatozoïdes.

1/Structure & morphologie

Les flagellés sont caractérisés par la présence de flagelle, des appendices en forme de
fouet qui sont généralement de petits taille allant de quelques micromètres à quelques dizaines
de micromètres .

La plupart des flagellés ont une seule cellule, mais certains forment des colonies où des
agrégats.

Forme Variable : ovoïde, fusiforme,et piriforme

2/Nutrition

• Les flagellés peuvent être autotrophes (capable de produire leur propre


nourriture par photosynthèse) ou hétérotrophes (obtenant leur nourriture en
consommant d'autres organismes ou de la matière organique)
• Les flagellés autotrophes possèdent souvent des chloroplastes, tandis que les flagellés
hétérotrophes utilisent diverses méthodes pour capturer leur nourriture,telle que la
phagocytose ou l'absorption.

3/Habitat & Locomotion


3. 1/ Habitat

Les flagellés se trouve dans une grande variété d'environnement,y compris les eaux douces ,les
eaux salées,les sols humides et même les intestins

3. 2 /Locomotion

En général ,le déplacement se fait flagelle en avant et la cellule semble tractée par son flagelle:
c'est un mouvement de tractelle . Si l'onde d'ondulation va de l'extrémité vers la base la cellule
est alors poussé et c'est un mouvement de pulselle (cas des spermatozoïdes).

Ils permettent aussi un déplacement en lateral.

4/La reproduction

• La reproduction des flagellés peut se faire de manière asexuée par division


cellulaire où de manière sexué par fusion de gamète .
• Certains flagellés peuvent également se reproduire de manière asexuée en formant des
kystes résistant dans des conditions environnementales défavorable

En résumé les flagellés sont un groupe diversifié d'organisme unicellulaires présent dans
une grande variété d'environnement. Leur rôle dans les écosystèmes leur diversité en font des
sujets d'étude importants dans les domaines de la biologie et de l'écologie.
GROUPE III : Thème: les rhizopodes

Introduction

Les rhizopodes sont un groupe de protozoaires unicellulaires appartenant au phylum des


sarcodines.

1 - Structure cellulaire

Les rhizopodes sont des organismes unicellulaires, caractérisés par une cellule nue, dépourvue
de paroi cellulaire. Leur forme varie, mais beaucoup adoptent une morphologie amibienne avec
des pseudopodes, des extensions temporaires de la cellule utilisées pour la locomotion et la
capture de nourriture.

2-Noyau et organites

Les rhizopodes possèdent un noyau bien défini et d’autres organites cellulaires tels que les
mitochondries, les vacuoles alimentaires et réticulum endoplasmique rudimentaires.

3-Nutrition

Les rhizopodes sont principalement holozoïques se nourrissant par phagocytose. Ils ingèrent
des particules alimentaires, telles que des bactéries ou des débris organiques, en les entourant
avec leur pseudopodes pour former une vacuole alimentaire.
4-Mode de vie

Ces organismes sont généralement libres et se déplacent activement à la recherche de


nourriture. Cependant, certains peuvent adopter un mode de vie planctonique, tandis que
d’autres vivent dans des environnements aquatiques, comme les sols humides.

5-Reproduction

La reproduction chez les rhizopodes peut se faire de manière asexuée par scissiparité, où la
cellule se divise en

en deux, ou par des formes de reproduction sexuée qui ne se produit que chez les foraminifères
impliquant la fusion de gamètes.
6-Adaptation à l’environnement

Les rhizopodes sont souvent présent dans des habitats divers, allant des environnements
terrestres aux milieux aquatiques. Leur capacités à changer de formes grâce aux pseudopodes
leur confère une adaptabilité remarquable à différents substrats.

Conclusion

Ces caractéristiques font des rhizopodes des organismes fascinants, jouant un rôles important
dans les écosystèmes aquatiques et jouissant d’une diversité adaptative notable.

GROUPE IV : Thème: les actinopodes

Introduction

Les actinopodes sont des micro-organismes unicellulaires appartenant au règne des protistes.
Leur nom vient du grec "aktinos" signifiant "rayon" et "pous" signifiant "pied", en référence à
leurs pseudopodes rayonnants. Leur présence dans les milieux aquatiques, tant marins que
d'eau douce, est essentielle à l'équilibre des écosystèmes.

I. Morphologie des Actinopodes


Les actinopodes se caractérisent par une structure cellulaire généralement sphérique, avec des
pseudopodes rayonnants. Ces pseudopodes leur permettent de se déplacer et de capturer leur
nourriture, formant une structure étoilée distinctive.
II. Cycle de Vie et Reproduction

Les actinopodes se reproduisent généralement de manière asexuée, par division cellulaire ou


bourgeonnement. Certains peuvent également avoir des cycles de reproduction sexuée, avec
des stades larvaires distincts.

III . Distribution et Habitat

Les actinopodes se trouvent à travers le monde, habitant une grande variété d'environnements
aquatiques, des océans profonds aux étangs d'eau douce. Leur distribution est souvent liée à la
disponibilité des ressources alimentaires et aux conditions environnementales.

IV . Adaptations et Stratégies de Survie

Leur morphologie unique, avec des pseudopodes, leur confère une grande mobilité et une
capacité à capturer efficacement leur nourriture. Ils ont également développé des adaptations
pour résister aux conditions environnementales changeantes.
V. Interaction avec d'Autres Organismes

Ils interagissent avec d'autres organismes marins, tant comme prédateurs que comme proies.
Certains établissent également des symbioses avec d'autres organismes, tandis que leur
présence contribue à maintenir l'équilibre des écosystèmes marins.

VI. Importance Écologique

Les actinopodes jouent un rôle crucial dans les réseaux trophiques marins, en recyclant la
matière organique et en fournissant une source de nourriture pour d'autres organismes. Leur
disparition ou leur déclin pourrait avoir des répercussions importantes sur l'équilibre écologique
des océans.

Conclusion

En conclusion, les actinopodes sont des micro-organismes fascinants qui jouent un rôle
essentiel dans les écosystèmes aquatiques. Leur étude et leur conservation sont cruciales pour
comprendre et préserver la biodiversité marine.

GROUPE V : THEME : Les Acanthodiens

INTRODUCTION

Les acanthodiens étaient un groupe de poissons de la préhistoire qui ont vécu pendant la
période du silurien au permien, il y’a environ 400 à 250 millions d’années.
1.Ecologie et habitat

Les acanthodiens vivaient principalement dans les fonds marins. Ils occupaient une variété
d’habitat marin des eaux peu profondes aux eaux plus profondes de l’océan.

2.Morphologie et anatomie

Les acanthodiens étaient généralement des poissons de petite a moyenne taille bien que
certaines espèces aient pu atteindre des tailles plus importante, leurs corps étaient allongés et
fusiforme, adapter à la nage rapide. Ils possédaient généralement une paire de nageoire
dorsale, souvent épineuse, ainsi que des nageoires pelviennes et pectorales.
3.Squelette et dents
Leur squelette était principalement composé de cartilage, bien que certains acanthodiens aient
pu développer un squelette particulièrement ossifié. Leurs dents étaient souvent petites et
coniques adaptées à une alimentation carnivore

4.Alimentation

Les acanthodiens étaient généralement des prédateurs se nourrissant probablement de petits


poissons et d’autres organismes marins bien que certains aient pu avoir un régime alimentaire
plus varié

5.Reproduction
Le mode de reproduction des acanthodiens n’est pas entièrement compris. Cependant, on
suppose qu’ils utilisaient probablement une combinaison de reproduction sexuée et asexuée
similaire à de nombreux poissons préhistorique et comptemporain.
6.Fossiles

Les fossiles des acanthodiens étaient relativement courants dans les roches du silurien au
permien ce qui permet aux scientifiques d’étudier en détails leurs anatomie et leurs évolution.
Ils sont souvent utiliser comme indicateurs stratigraphique dans l’étude de la géologie et de la
paléontologie

7.Extinction

Disparu à la fin du permien il y’a environ 400 à 250 millions d’années lors de l’extinction massive
qui a également entrainer la disparation de nombreux autres groupes d’animaux marins et
terrestre.

Conclusion
En résumer, les acanthodiens étaient des poissons préhistoriques caractériser par leurs corps
allongés, leurs nageoires dorsales épineuses et leur régime alimentaire carnivore. Ils occupaient
une variété d’habitats marins et sont important pour la compréhension de l’évolution des
poissons.

GROUPE V: THEME: Le RADIOLAIRE

LES CARACTERES GENERAUX DES RADIOLAIRES


1) La structure ET morphologie

Les radiolaires sont des organismes unicellulaires présents en grand nombre dans les océans.
Leur morphologie est caractérisée par une symétrie radiale et une structure complexe avec de
nombreux pseudopodes (ou fausses pattes) qui leur permettent de se déplacer et de capturer
des proies.

Le radiolaire est constitué d'un corps central appelé coque ou test, qui peut être
sphérique, ovale ou allongé. Cette coque est souvent constituée de silice, et présente de
nombreux orifices ou pores à travers lesquels les pseudopodes s'étendent.

2) La locomotion

Les radiolaires ont plusieurs façons de se déplacer, mais leur mode de locomotion principal est
la pseudopodie. Les pseudopodes sont des extensions du cytoplasme qui s'étendent à travers
les pores de la coque et peuvent se contracter et se détendre pour permettre à la radiolaire de
se déplacer. Les radiolaires peuvent également utiliser des cils ou des flagelles pour se déplacer,
mais cette méthode de locomotion est moins fréquente que la pseudopodie. Lorsqu'ils utilisent
des cils ou des flagelles, les radiolaires se propulsent en ondulant leur corps.
Enfin, certaines espèces de radiolaires peuvent se déplacer passivement avec les courants
marins, en étant poussées par les mouvements de l'eau. Cette méthode de locomotion est
particulièrement importante pour les radiolaires planctoniques, qui passent leur vie à la dérive
dans les océans.

3) La nutrition
Les radiolaires sont des protozoaires hétérotrophes, ce qui signifie qu'ils se nourrissent d'autres
organismes pour obtenir leur nourriture. La plupart des radiolaires sont des prédateurs, se
nourrissant de petits organismes tels que les bactéries, les algues et autres protozoaires.

Certains types de radiolaires, appelés symbiotiques, ont développé une relation


symbiotique avec des algues unicellulaires appelées zooxanthelles. Les radiolaires hébergent les
zooxanthelles à l'intérieur de leur corps et fournissent des nutriments à partir de leur propre
nourriture pour les algues. En retour, les zooxanthelles produisent de la nourriture pour les
radiolaires par la photosynthèse, ce qui permet aux radiolaires symbiotiques de se nourrir de
manière autonome.

4) Reproduction

Les radiolaires se reproduisent généralement de manière asexuée, en se divisant en deux


cellules filles qui sont identiques à la cellule mère. Cette méthode de reproduction est appelée
mitose. Cependant, certains types de radiolaires peuvent également se reproduire sexuellement.
Dans ce cas, les cellules reproductrices mâles et femelles, appelées gamètes, se combinent pour
former un nouvel organisme. La fécondation peut se produire à l'intérieur du corps de la
radiolaire ou dans l'eau environnante.

Chez les radiolaires sexués, le cycle de vie est généralement biphasique, avec une phase
asexuée et une phase sexuée. La phase asexuée se termine par la production de gamètes, qui
se combinent pour former un zygote qui se développe en un nouvel organisme unicellulaire. Ce
nouvel organisme passe par une phase asexuée, puis une phase sexuée, et ainsi de suite. Cette
alternance de phase asexuée et sexuée est appelée alternance de génération.

5) L' habitat

Les radiolaires vivent dans les océans du monde entier, des régions côtières aux eaux
profondes. Ils sont très abondants dans les eaux chaudes et peu profondes, mais peuvent
également être trouvés dans les eaux froides des régions polaires et dans les eaux profondes
des océans.

Les radiolaires planctoniques flottent avec les courants de surface des océans, tandis que les
radiolaires benthiques vivent sur les fonds marins ou dans les sédiments marins. Les radiolaires
benthiques préfèrent les eaux peu profondes et côtières, où la lumière solaire est plus

abondante et la nourriture plus facilement accessible.

Les radiolaires se trouvent également dans les environnements marins les plus extrêmes, tels
que les sources chaudes hydrothermales au fond de l'océan, où ils peuvent résister à des
températures extrêmement élevées et à des pressions élevées.

GROUPE VIII : Thème: les apicomplexes

I. Introduction.
Les Apicomplexes ou sporozoaires, sont un embranchement d’eucaryotes unicellulaires, tous
parasites d’animaux, certains de l’être humain. Les plasmodium falsiparum responsable du
paludisme, sont un exemple d’apicomplexes.

II. La morphologie et la structure.


La morphologie des apicomplexexes est caractérisée par un complexe apical unique, des
organites sécrétoires tels que les rhoptries et les micronèmes ,un conoïde impliqué dans
l’invasion cellulaire ainsi que des organites internes essentiels comme le noyau, les
mitochondries, le nucléole , l’appareil de golgi , l’anneau polaire... Cette morphologie est
adaptée a leur mode de vie parasitaire et a leur capacité a infecter une variété d'hôte.
III. La locomotion.
Les apicomplexes utilisent une gamme de mécanisme de locomotion adaptés a leur mode de
vie parasitaire et a leur environnement. Ces mécanismes comprennent le glissement le long des
surfaces cellulaires, la locomotion amiboïde à l’aide de pseudopodes, le glissement combiné à la
déformation de la membrane cellulaire, ainsi que les mouvements musculaires dépendants de la
myosine.

IV. L’habitat.
Les apicomplexes peuvent être trouvés dans une variété d’habitats, y copris les environnements
terrestres, aquatiques, intestinaux et intracellulaires, en fonction de leurs hôtes et de leurs cycles
de vie spécifiques.

V. La reproduction.
La reproduction chez les apicomplexes peut impliquer à la fois des processus de reproduction
asexuée et sexuée, avec la formation de gamète, d’oocystes et de sporozoïtes.

Conclusion.
Les apicomplexes sont un groupe diversifié de parasites unicellulaires, ayant un impact
significatif sur la santé humaine et animale. Leur complexité biologique et leur capacité à
parasiter une large gamme d’hôtes en font des sujets de recherche et de préoccupation
majeurs dans les domaines de la médecine, de la biologie,…
GROUPE VII : Thème: les Héliozoaires

Définition
• Les héliozoaires sont des organites unicellulaires appartenant aux groupes des
protozoaires qui sont des eucaryotes microscopiques. ILS Sont sous la forme
sphérique qui émettent des pseudopodes rigides renforcés par un filament axial.
• Les héliozoaires sont essentiellement dulçaquicoles qui vivent dans des
environnement d’eau douce talque les lacs, les rivières

I. Caractères généraux des héliozoaires

1.Structure

En ce qui concerne la structure des héliozoaires, leurs cellules sont entourés d’une enveloppe
externe qui peut être faite de silice ou de matériel organiques. Les héliozoaires ont pour parti
principale de leur structure cellulaire ,le corps central. C’est une région centrale qui contient le
noyau et d’autre organites cellulaires importantes. Elle contient des informations génétiques et
de nombreux réactions biochimiques.

2.Mode de reproduction

Les héliozoaires se reproduisent généralement de manière asexuée par division cellulaire appelé
mitose. Pendant la mitose la cellule mère se divise en deux cellules filles identiques. Certains
héliozoaires peuvent également se reproduire sexuellement par la fusion des deux cellules
spécialisées appelé gamètes. Cela permet un échange génétique et la formation de nouvelles
combinaisons génétiques.
3. Locomotion

Les héliozoaires se déplacent grâce à leurs pseudopodes qui sont des prolongements (minces
et rigides) cytoplasique en forme de rayons qui s’étendent à partir du corps central de la cellule

4.Mode de nutrition

L es héliozoaires se nourrissent principalement d’algues, de bactéries et de petites particules


organiques. Il arrive parfois que les héliozoaires sont autotrophes.

5.Importanes des héliozoaires

Ils sont importants dans les écosystèmes aquatiques en tant que prédateurs microscopiques.

Ils jouent un rôle important dans les recyclages des nutriments.

Ils sont également utilisé comme les indicateurs de la qualité de l’eau.

Conclusion
En résumé les héliozoaires sont des organites unicellulaires avec des pseudopodes vivant dans
des milieux aquatiques se nourrissant de manière mixotrophe et se reproduisant généralement
de manière asexué. Ils sont sensible aux changement environnementaux et peuvent servir
bioindicateurs de la qualité de l’eau

GROUPE IX: Theme: les ciliés

Les caractères généraux propres aux ciliés

1.STRUTURE DES CILLIEES


Les ciliées sont des embranchement d’eucaryotes unicellulaires du règne chromista.
La taille des ciliés varie entre 0,1 et 1 Mm en moyen. La membrane des ciliés est recouverte de
petits cils il est également Constituer de vestibules par laquelle la nourriture pénètre dans la
cellule des cils.
2.Mode de vie et les différents formes des ciliés
La plus part des ciliés sont des prédateurs qui se nourrissent de bactéries et d’autres micro-
organismes . Les ciliés existent sous divers formes
• Formes fixe
• Formes libre (paramécie)
• Forme coloniale
• Forme parasitaire (peu nombreux)
Il existe des formes symbiotique

Formation
symbiotique

3.Habitat et locomotion des ciliés


Les ciliés sont présent dans les eaux douces saumâtre et marine. La locomotion des ciliés est
assurer par la spirostomum qui est recouvert de cils vibratiles et d’organes ciliaire qui
permettent le déplacement ou l’apport de nourriture.
4-La reproduction

Chez les ciliés, à l’instar de la paramécie manifestent leur reproduction sous forme sexué. Chez
les paramécies dorées, la reproduction se manifeste selon un processus bien défini: la
conjugaison. Celle-ci se manifeste par deux individus issus de parent différents qui s’acollent
bouche à bouche. Les macronucléus se dissolvent et subissent une méiose. Il y’a alors
recombinaison du matériel génétique de chaque partenaire

GROUPE X : Thème : Les mixozoaires

INTRODUCTION
Les mixozoaires sont un groupe cnidaire ayant un mode de vie parasite .Ils ont longtemps été
considéré comme des <<protozoaires <<du fait de leur formes unicellulaire caracterisé par des
spores pluricellulaires complexes avec une ou des capsules polaires et sa phylogenie montre qu’
ils derivent bien des metazoaires
I- MORPHOLOGIE

1-Forme
les myxozoaires sont des parasites microscopique qui ont une forme généralement
en spore ou de cellule amiboïde .Leur morphologie est extrêmement variable. l’une
à une morphologie très simplifiée dont la forme ressemble à un grand sac immobile
recouvert d’une seul couche épithéliale .L’autre est comme un vers avec un muscle
longitudinale entre deux couches épithéliale transmettant la capacité de locomotion
2ème PARTIE

GROUPE 1 : Titre: les lobopodes

I. Définition
 Les lobopodes sont constitués de chacun des nombreux appendices terminé par
une ou deux griffes ressemblant a des moignons comiques annelés et non
articulés. Les lobopodiens sont un groupe paraphylétiques de panarthopode dont
sont issus les tardigrades, les vers de velours…
II-Structure des lobopodes

.Forme et Taille
 Ce sont des formes de digitation arrondie. Ils sont larges et courts et contiennent
un endoplasme et un ectoplasme(périphérique). Ils ont généralement une taille
qui ne dépasse pas quelques centimètres de long mais certain germe dépasse
souvent 20cm.Leur corps est annelé même si les anneaux sont parfois difficile a
voir en raison de leur finesse(0,2 mm) et du manque du relief des fossiles. Le corp
et les appendices sont des section circulaire. Les protozoaires présentant les
lobopodes sont les amibes polypodiales( plusieurs pseudopodes) et les amibes
monopodiales(un seul pseudopodes).

III-Formation des lobopodes


Ils se trouvent surtout chez les amœbozoaires amibozoa.Ils courent jusqu’à un point où sont en
formes de tube, de langue ou de doigt et peuvent changés leur forme très rapidement. A
l’intérieur le plasma s’écoule très rapidement . Ils sont formées soit individuellement soit en plus
grand nombre. Les lobopodes sont utilisés pour le mouvement.
GROUPE 2 :Titre : CYCLE DIPLOBIONTIQUE CHEZ LES
PROTOZOAIRES(description illustrée) 2

DEFINITION

Etymologiquement le mot diplobiontique vient du grec « diplo » qui veut dire deux et « bio »qui
signifie vie.

Le cycle diplobiontique qualifie un cycle de développement pour lequel la phase diploïde est
dominante sur la phase haploïde.

DESCRIPTION ET ILLUSTRATION

 Dans la phase haploïde ,les protozoaires produisent de manière asexuée par


division cellulaire, produisant des cellules haploïde identique à celle d'origine . Ces
cellule peuvent ensuite se regrouper pour former un individu diploïde.
 Le cycle diplobiontique chez les protozoaires se caractérise par une alternance de
deux phases distingue :une phase haploïde ,représenté par un individu
unicellulaire à un seul jeu de chromosomes, et la phase diploïde représentée par
un individu également unicellulaire, mais doté de deux jeux de chromosomes

 Dans la phase diploïde ,les cellule résultants de la division cellulaire fusionnent


pour former un seul individu diploïde. Cet individu subit ensuite une méiose ,un
processus de division réduisant le nombre de chromosome à un jeu haploïde. Les
cellules haploïdes résultantes sont à nouveau capable de se reproduire de manière
asexuée, bouclant ainsi le cycle diplobiontique

EN RESUME

 Ce cycle permet aux protozoaires de se reproduire et de se diversifier


génétiquement ,assurant leur survie et leur adaptation aux changements de leur
environnement

Résumé du cycle

Cycle diplobiontique
GROUPE 3 : Titre : LES FILOPODES

Introduction

Les filopodes sont de fines extensions cellulaires impliquées dans la migration cellulaire et la
communication intercellulaire. Leur formation est un processus complexes régulé par diverses
protéines et signaux cellulaires.
I. Formation des filopodes
1. Initiation

La formation des filopodes commence souvent par l’activation de protéines cytosquelettiques,


telles que les filaments d’actine

2. Polymérisation de l’Actine

Les filaments d’actine s’assemblent à la périphérie de la cellule pour former une structure
linéaire, souvent sous la régulation de protéines comme la protéine formine.

3. Nucléation

Des complexes protéiques, tels que la complexe protéique ARP2/3, facilitent la nucléation des
filaments d’actine, favorisant ainsi la croissance des filopodes.

4. Extension

Les filaments d’actine nouvellement formés s’étendent, créant une structure fine et allongée qui
constitue le filopode.

5. Stabilisation

Des protéines de liaison à l’actine, comme les fascines, stabilisent les filaments d’actine,
renforçant ainsi la structure du filopode.
6. Migration
Les filopodes sont souvent impliqués dans la migration cellulaire en guidant la cellule dans une
direction particulière.
7. Régulation
Des protéines régulatrices, telles que les Rho GTPases, sont cruciales pour contrôler la formation
et la dynamique des filopodes.

II. La structure des filopodes

1. Filaments d’Actine

Les filaments d’actine, constitués de monomères d’actine, forment l’ossature des filopodes. Ces
filaments polymérisent à l’extrémité du filopode, créant une structure allongée.

2. Pointes Filopodiques

L’extrémité distale du filopodes est appelée pointe filopodique. C’est là que se produit la
polymérisation active de l’actine, favorisant la croissance continue du filopode.

3. Bundling protéique

Des protéines comme les fascines sont responsables du regroupement des filaments d’actine en
faisceaux serrés, renforçant ainsi la structure du filopodes

4. Protéines de liaison à l’Actine

Des protéines telles que la protéine de liaison à l’actine alpha-actinine jouent un rôle crucial en
stabilisant les filaments d’actine et en les liant les uns aux autres, contribuant à la solidité du
filopode.
5. Réseaux protéiques

En plus des protéines de liaison à l’actine, d’autre protéines structurelles et régulatrices, comme
la protéine formine, contribuent à la régulation de la mise en place et à la régulation de la
structure du filopode.

6. Molécules d’Adhérence

A la base du filopode, des molécules d'adhérence cellulaire, telles que les intégrines, permettent
la fixation du filopode à la membrane cellulaire et aux substrats environnants.

7. Motilité Cellulaire

Les filopodes participent à la motilité cellulaire en servant de prolongement dynamiques qui


explorent l’environnement cellulaire et guident la migration cellulaire.

Conclusion

Le processus de formation des filopodes est hautement régulé et dépend de la coordination du


multiple composant cellulaire; on note également que la structure des filopode est le résultat
d’une organisation précise de ces composants, assurant la stabilité et la fonctionnalité de ces
extensions cellulaires.

GROUPE 4 : Titre: description illustrée du cycle


haplodiplobiontique

Introduction

Le cycle haplodiplobiontique est un mode de reproduction alternant les phases haploïdes et


diploïdes au cours du cycle de vie d'un organisme. Ce type de cycle est observé chez divers
organismes, y compris certains protozoaires, plantes, et algues.

I. Phase haploïde
1 . Formation des gamètes haploïdes

Les gamètes haploïdes sont produits par des cellules spécialisées, appelées gamétogonies, par
division cellulaire (mitose). Ces gamètes peuvent être de types différents (mâles et femelles) ou
similaires, selon l'organisme et le mode de reproduction.

2. Fécondation et formation du zygote

Les gamètes haploïdes se rejoignent lors de la fécondation, formant un zygote diploïde. La


fusion des gamètes (syngamie) combine les matériaux génétiques des deux parents pour
former une cellule diploïde.
II. Phase diploïde

1. Division du zygote
Le zygote subit des divisions cellulaires successives par mitose, formant une masse de cellules
diploïdes. Cette phase peut être caractérisée par la croissance et le développement de
l'organisme diploïde.

2. Formation des spores ou sporozoïtes

Certaines cellules diploïdes subissent une spécialisation pour former des structures de
dispersion appelées spores ou sporozoïtes. Ces spores peuvent être libérées dans
l'environnement pour coloniser de nouveaux sites ou infecter d'autres hôtes, selon l'organisme.

Conclusion

Le cycle haplodiplobiontique est un aspect essentiel de la biologie de nombreux organismes, y


compris les protozoaires. En alternant entre les phases haploïdes et diploïdes, ces organismes
peuvent maximiser leur succès reproductif et leur adaptation à des environnements changeants.
Comprendre les mécanismes et les variations de ce cycle de vie est crucial pour appréhender la
diversité et l'évolution des organismes dans leur environnement.
GROUPE 5 : Titre: Les reticulopodes

Introduction

Les reticulopodes sont des organismes unicellulaires fascinants appartenant au groupe des
foraminifères. Leur structure complexe et leur mode de vie adaptatif en font des sujets d'étude
captivants. Dans cet exposé, nous explorerons en détail la structure et la formation des
reticulopodes, en utilisant des illustrations pour illustrer leurs caractéristiques distinctives.

I.Formation des reticulopodes

Les reticulopodes se forment à partir de cellules unicellulaires qui se regroupent pour former
des colonies. Ces colonies sécrètent des coquilles composés de matériaux organiques et
minéraux

Etapes de la formation des reticulopodes:

- Regroupement Cellulaire: Des cellules unicellulaires se rassemblent pour former une colonie
de reticulopodes.

- Sécrétion de Coquille: La colonie sécrète une coquille ou test autour d'elle, composée de
matériaux organiques et minéraux, pour former une structure de soutien.

- Développement de Pseudopodes: Les reticulopodes déploient des pseudopodes, des


extensions de leur cytoplasme, à travers les pores de leur coquille. Ces pseudopodes sont
utilisés pour la locomotion, la capture de proies et l'interaction avec l'environnement. Les
reticulopodes présentent une structure complexe et diversifiée, qui varie en fonction de l'espèce
et de l'environnement.
II. STRUCTURE
La coquille: La coquille des reticulopodes est souvent perforée, avec de nombreux pores
à travers lesquels les pseudopodes peuvent s'étendre. Elle est composée de matériaux
organiques et minéraux, tels que la calcite ou la silice.
Pseudopodes: À l'intérieur de la coquille, le cytoplasme des reticulopodes forme un
réseau tridimensionnel de pseudopodes. Ces pseudopodes sont essentiels pour la
locomotion, la capture de proies et l'int action avec l'environnement.
Illustration montrant la structure interne d’un reticulopodes avec ses pseudopodes
Conclusion
En conclusion, la structure et la formation des reticulopodes sont remarquablement adaptées à
leur mode de vie unicellulaire. Leur capacité à sécréter des coquilles, à former des colonies et à
déployer des pseudopodes témoigne de leur adaptation évolutive à une variété
d'environnements marins. En étudiant ces organismes fascinants et en utilisant des illustrations
pour illustrer leurs caractéristiques, nous approfondissons notre compréhension de la diversité
et de la complexité du monde vivant.

GROUPE 6 : Titre : description illustrée du cycle haplobiontique

INTRODUCTION
Le cycle haplobiontique chez les protozoaires est un cycle de vie qui se caractérise
par la présence d'une seule forme de vie haploïde dans le cycle de reproduction.
Dans ce cycle, les individus ne subissent pas une alternance de génération, mais
reste sous une forme haploïde tout au long du cycle. Ce cycle peut être divisé en
plusieurs étapes:

1. La fécondation
Les gamètes haploïdes se rencontrent et fusionnent, formant un zygote diploïde.
2. La méiose
Le zygote subit une méiose, formant plusieurs gamètes haploïdes.

3. La prolifération
Les gamètes haploïdes se multiplient par mitose pour former une population d’individus
haploïdes identiques.

4. La différenciation
Certains individus haploïdes se différencient en forme spéciale, appelées gamontes, qui
peuvent fusionner avec d’autres gamontes pour former un zygote diploïde.

5. La Cyste
Certains individus haploïdes peuvent former une couche protectrice autour d’eux-
mêmes, appeler Cyste, pour se protéger des conditions environnementales
défavorables.

6-L’éclosion
Les individus protégés dans leur cyste peuvent éclore sous des conditions
environnementales favorables, revenant au stade de la prolifération.

C’est ainsi que se déroule le cycle haplobiontique chez les protozoaires

GROUPE 7 : Titre : Les Axopodes

I-DESCRIPTION DE LA STRUCTURE DES AXOPODES

Les axopodes sont des minces prolongement cytoplasmiques présent chez certains organismes
unicellulaires comme les radiolaires et les héliozoaires. Ils sont formés par un faisceau de
microtubules qui sont des structures tabulaires composés de protéines appelés tubulines.

Les microtubule s’etendent a partir du corps de la cellule et se regroupe pour former les
axopodes. Chaque axopode est entouré d’une membrane plasmique qui les sépare du milieu
environnant.
Les microtubules a l’interieur de l’axopode sont organisés de manière parallèle formant un
faisceau solide et stable.

La structure des axopodes peuvent vari é d’un milieu à un autre. Certains axopodes peuvent
être droit et non ramifié en plusieurs branches .Ces branches peuvent s’etendre dans différentes
directions ce permet a l’organisme déplacé et de capturé les proies.

Les axopodes sont également dynamique ce qui signifie qu’ils peuvent changer de forme et de
longueur. Cette flexibilité leur permet de s’adapter à leur environnement.

II. Formation des axopodes

1.Nucléation des microtubules


La formation des axopodes débute par la nucléation des microtubules à partir des
centre organisateurs des microtubules, comme le centrosome. Des protéines
spécifiques agissent comme des initiateurs pour cette étape permettant la croissance
subséquente des microtubules.

2.Croissance des microtubules


Les microtubules nouvellement formés s’etendent dans les axopodes par l’addition de
sous unité de tubuline à leurs extrémités e processus de croissance est régulé par des
protéines régulatrices .
3.Stabilisation et organisation
 Une fois formé, les microtubules sont stabilisés par des protéines associés qui
empêchent leur dépolymérisation.
 Parallèlement, ils s'organisent spatialement pour former la structure
tridimensionnelle des axopodes, ce qui est crucial pour leur fonctionnalité.

4.Maturation et fonctionnalisation
 Au fur et à mesure que les axopodes se développent et que leur structure se
stabilise, ils deviennent fonctionnels et peuvent remplir leur rôle dans les activités
cellulaires telles que la locomotion, la phagocytose et la communication
intercellulaire.

Conclusion

En résumé, les axpodes chez les protozoaires sont des structures complexes composées de
microtubules qui subissent un processus de formation soigneusement régulé. De la nucléation
initiale a la maturation fonctionnelle, chaque étape est essentielle pour assurer la structure et la
fonctionnalité des axopodes chez les protozoaires.
GROUPE 8 : Titre : Les cils et les flagelles

Introduction

Les cils et les flagelles sont des structures filiformes situées à la surface de certaines cellules. Il
se manifeste sous forme de prolongements membranaires mobiles. La différence entre les deux
tiens à leur taille : les flagelles sont longs et les cils sont courts.

I. La formation des cils et des flagelles


La formation des cils et des flagelles chez les protozoaires est un processus fascinant
et crucial pour ces organismes unicellulaires . Bien que les cils et les flagelles aient
des structures similaires et des fonctions partiellement superposables, il existe des
différences dans leur origine et leur mode de formation.

1. Origine et développement
*Cils :Les cils des protozoaires proviennent de structures spécialisées appelées
qui kinétochondries situés le long du bord de la cellule. Ces organites sont
impliqués dans la synthèse des protéines et des microtubules nécessaires à la
formation des cils.

*Flagelles :Les flagelles ont également leurs origines dans les kinétochondries qui servent de
sites de synthèse et d'assemblage des protéines et des microtubules nécessaires à leur
formation

2. L’assemblage et la croissance
*Cils : Les cils se forment par l’assemblage de microtubules, autrement dit, la
migration du centrosome en périphérie de la cellule et son échange à la
membrane cytoplasmique donnant naissance aux cils primaires.
Leurs mouvements sont souvent plus rapides et plus court que ceux des
flagelles.
*Flagelles : les flagelles se forment de manière similaire aux cils, à partir des
microtubules assemblées dans les kinétochondries. Cependant les flagelles sont
généralement plus longs et leur mouvement de battement est utilisé pour la
propulsion de la cellule.

3. Fonction et mouvement
*Cils : les cils des protozoaires sont souvent impliqués dans les mouvements de
balayage ou de rame, qui aident à la locomotion et à la capture de nourriture.
Aussi, les cils se présentent sous forme de rangées, à la surface du corps. Ils ont
deux phases : une phase effective et une phase de recouvrement.
La phase effective réalise la poussée. Le cil se raide et se courbe à sa base pour donner un coup
de fouet dans le plan de la rangée. Ce mouvement produit une impulsion.

La direction de battement peut être inversée à tout moment.


-la phase de recouvrement (ou de récupération) : Le cil retrouve sa position
initiale. Il devient flasque et quitte le plan de mouvement pour se coucher sur le
côté.
*Flagelles : les flagelles sont principalement utilisé pour la locomotion, générant
un mouvement de battement qui propulse la cellule à travers son
environnement.
Ils peuvent également être utilisés pour détecter des stimuli externes et orienter
la cellule dans une direction particulière.
Le flagelle est composé de trois parties : le filament, le crochet et le corps basal:
-le corps basal sert de moteur et convertir une énergie chimique (gradient de
protons) en une énergie physique (rotation).
-La partie mobile de ce moteur peut tourner à une vitesse de 300 rotations par
seconde. Cette rotation est transmise au filament via le crochet.

4. Régulation et maintenance
La formation, la fonction et la maintenance des cils et des flagelles chez les
protozoaires sont régulés par des mécanismes cellulaires complexes, y compris
des processus de signalisation intracellulaire et des interactions protéiques.
Pour assurer leur survie et leur adaptation à leur environnement, les protozoaires
doivent maintenir leur cils et leurs flagelles en bon état de fonctionnement.

II. Structure des flagelles et des cils


1. Structure des flagelles
Un flagelle est un organite qui par ses mouvements permet la mobilité de la cellule.
Une même cellule peut en posséder plusieurs.
2. Structure des cils

• Les cils sont des structures formées de microtubules. On distingue des cils
vibratils, présent au niveau des cellules épithéliales et ciliés en grand
nombre ; des cils présent au niveau des cellules épithéliale ( ciliées en grand
nombre); des cils primaires sont solitaires et immobiles.
• La structure interne des cils montre un axonène, structure composé de
microtubules arrangé en doublet (paire de microtubules) de manière
circulaire. Le cil est construit autour d’un complexe centrale de microtubules
et de neuf( 09) autres en doublet espacé autour de lui (structure axonemal
dit 9+2) pour les cils vibratiles. Le cil primaire a un axonène plutôt en (9+0)
puisqu’il ne contient pas de doublet.
Conclusion

Bien que les cils et les flagelles des protozoaires partagent des similitudes dans leurs
formations et leurs fonctions, ils présentent également des différences importantes
qui reflètent leurs rôles spécifiques dans la locomotion et l’interaction avec
l’environnement.

Ces structures cellulaires spécialisés sont essentielles à la survie et à l’adaptation des


protozoaires dans leur milieu.

GROUPE 9 : Titre: La membrane ondulante

I. Définition

La membrane ondulante est une structure cellulaire distinctive présente a la surface des
trypanosome africains

II. La structure de la membrane ondulante

la membrane odulante est constitue de plusieurs parties :


• Une bicouche phospholipidique : couche fluide formée de phospholipide assurant
L'intégrité structurelle
• Des protéines transmembranaire : ancrées dans la membrane et jouant des rôles
divers comme l'adhésion ; le transport et la signalisation
• Un cytosquelette sous membranaire: réseaux de microfilament et microtubule
conférant rigidité et forme a la membrane

Des jonction intercellulaire : Reliant les membranes ondulantes de parasites adjacents et


favorise la communication
III. Formation de la membrane ondulante

• Synthèse des composantes membranaire: phospholipide et protéine


transmembranaire synthétisée dans la RE et transporte a la membrane
• Transport et dressage ciblée: vésicule transportant les composant membranaire vers
la membrane ondulante en développement
• Assemblage et organisation : protéine transmembranaire s'assemblant et
s'organisant dans la bicouche phospholipidique
• Dynamique et remodelage : mouvement ondulaire maintenu par des protéines
motrices et des forces mécanique
• Rôle des facteur externe : influence de l'environnement de Lhote et du stresse sur la
formation et la fonction de la membrane

conclusion

En résume , la membrane ondulaire est une structure complexe et essentiel chez les
trypanosomes africains . Sa complexité et ses fonction en font une cible importante pour le
développement de nouveaux traitements
GROUPE 10 : Titre : LES PSEUDOPODES

INTRODUCTION
Les pseudopodes(du grèc pseudès ,qui signifie « faux »et podos «pied » )sont des déformation
de la membrane plasmique qui permettent à une cellule de se nourrir de se déplacer en
rampant sur un support dans une direction déterminée.

I.DEFINITION
Les pseudopodes sont des extensions temporaires du cytoplasme utilisé par certains
organismes unicellulaires, tel que les amibes ,pour se déplacer et capturer leur nourritures.

II-FORMATION DES PSEUDOPODES


La formation des pseudopodes est un processus caractéristique chez certaines cellules
notamment les amibes et d’autres organismes unicellulaires .Les pseudopodes sont des
prolongement temporaire de la membrane cellulaire .Cette formation de pseudopodes implique
une série de processus cellulaire complexes .En effet il y’a une activation des protéines du
cytosquelette, notamment les microfilament d’actine. Sous l’influence des signaux chimiques ou
mécanique, ces microfilament se réorganisent formant une structure dynamique à la périphérie
de la cellule .Cette réorganisation cytosquelettique conduit à l’extension de la membrane
cellulaire dans une direction donnée ,formant ainsi le pseudopode.

III-STRUCTURE DES PSEUDOPODES


Les pseudopodes sont principalement composé de cytoplasme, de membrane plasmique et de
protéine du cytosquelette ,en particulier les microfilament d’actine .Ces microfilaments
fournissent la structure et la force nécessaire à la formation et à la stabilité des pseudopodes.
Ces derniers peuvent variés en taille, forme et durée de vie en fonction du type cellulaire et du
contexte biologique. Certains peuvent être courts et temporaires, tandis que d’autres peuvent
être longs et persistants, permettant a la cellule de se déplacer sur de longues distances

Cycle diplobiontique

CONCLUSION
En résumé, les pseudopodes sont des structures cellulaires cruciales pour la locomotion, la
phagocytose et d’autres processus cellulaires. Leur formation et leur structure sont étroitement
régulées par des mécanismes cellulaires complexes, permettant aux cellule de s’adapter et de
réagir efficacement à leur environnement.

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