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SOMMAIRE

Physique P. 1
• Grandeurs et incertitudes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 2
• Fluide au repos . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 2
• La lumière . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 3
• Interactions lumière-matière . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 4
• Réactions nucléaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 5

Chimie P. 6
• Grandeurs caractéristiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 7
• La matière . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . P. 7
• Cohésion de la matière . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 8
• Transformation acide-base . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 9
• Structure des composés organiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 9

Biologie P. 11
• Organisation fonctionnelle du vivant . . . . . . . . . . . P. 12
• Origine du génotype . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 12
• Les hormones . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 13
• Les réflexes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 14

Anatomie P. 15
Corrigé P. 18
• Physique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 18
• Chimie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 25
• Biologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P. 31
• Anatomie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P.37
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PHYSIQUE

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Pour chaque question choisir la ou les bonne•s réponse•s


I - Grandeurs et incertitudes

1) Parmi les unités écrites ci-dessous, donner celle(s) convenant pour exprimer
le champ de pesanteur ?

A/ N / m B/ m . s-² C/ m / s D/ N / kg E/ kg / N F/ kg / m² G/ m² / s² H/ kg /m

2) Parmi les dimensions écrites ci-dessous, donner celle(s) convenant


pour exprimer énergie ?

A/ M.L².T-2 B/ M.L.T-2 C/ M.L².T-1 D/ M.T².L-2 E/ L.T-2

II - Fluide au repos

1) Cocher la(les) proposition(s) correctes :

A/ L’unité de pression du système international est le bar


B/ À température constante et pour une même quantité de gaz, on a P x T = constante
C/ Sachant que la loi de la statique des fluides s’écrit pB - pA = ρ g (zA - zB),
on en déduit que : zA = zB + (pB - pA) / (ρ g)
D/ La valeur de la force pressante exercée sur la surface S est inversement
proportionnelle à la pression
E/ À température et quantité de matière constante, si la pression d’un gaz diminue
son volume diminue en proportion.

2) La cloche de plongée est un dispositif qui permet de réaliser des activités dans l’eau
sans utiliser de bouteilles de plongée. On représente une cloche de plongée par un cy-
lindre ouvert sur sa face inférieure, de section S = 1, 5 m2 et de hauteur H = 2.8 m.
Avant l’immersion, la cloche est pleine d’air à la pression atmosphérique P0= 1013 hPa.
La cloche est totalement immergée, l’eau monte à l’intérieur. La hauteur séparant le
niveau de la mer et le niveau d’eau dans la cloche est h = 7, 2 m. La pression de l’air
dans la cloche est la même que celle de l’eau à la profondeur h.
On prendra 1kg/L pour la masse volumique de l’eau.
La pression P1 de l’air emprisonné dans la cloche est :

A/ 1719 hPa
B/ 1013 hPa
C/ 706 hPa
D/307 hPa
E/ Aucune des propositions ci-dessus

2
II - Fluide au repos

2) En déduire le volume V1 (en Litres) d’air contenu alors dans la cloche


à cette profondeur.

A/ 7,1.104
B/ 2,5.103
C/2,5
D/ 71
E/ Aucune des propositions ci-dessus

III) La lumière

1) Une radiation monochromatique peut se propager dans différents milieux transpa-


rents, d’indice de réfraction. Lorsque la radiation traverse le vide sa longueur d’onde est
550 nm.
Données : C=3 108 m/s et n(eau)=1,33.
A/ La longueur d’onde de la radiation dans l’eau est 413 nm.
B/ La longueur d’onde de la radiation dans l’eau est 733 nm.
C/ La longueur d’onde dépend de la vitesse de propagation dans l’eau.
D/ La fréquence de la radiation dans le vide est plus importante que dans l’eau.

2) Un photon incident capable d’ioniser l’atome d’hydrogène initialement à l’état


fondamental doit avoir une longueur d’onde inférieure à 91,3 nm.
On en déduit que l’énergie correspondante doit être :

A/ inférieure à 13,6 eV
B/ supérieure à 13,6 eV
C/ inférieure à 2,176 x 10 - 18 J
D/ supérieure à 2,176 x 10 - 18 J
E/ inférieure à 1,6 x 10 – 19 J

On rappelle que : 1 eV= 1,6 x 10 – 19 J

3) Question

A/ Le photon de longueur d’onde 91,3 nm appartient au domaine infra-rouge.


B/ Le photon de longueur d’onde 91,3 nm appartient au domaine ultra-violet.
C/ Le photon de longueur d’onde 91,3 nm est associé à une onde de fréquence 2,05.1034 Hz.
D/ Le photon de longueur d’onde 91,3 nm est associé à une onde de fréquence 3,29.1015 Hz.
E/ Le photon de longueur d’onde 91,3 nm est plus énergétique, donc plus rapide
qu’un photon du domaine visible.

3
IV - Interactions lumière-matière

1) Les niveaux d’énergie de l’atome d’hydrogène sont donnés par la relation
En (eV) = -13,6 / n² où n est un nombre entier. L’atome initialement dans le niveau n=2
absorbe un photon de fréquence f=6,16.1014 Hz.

Données : h= 6,62 10-34 J s ; 1 eV= 1,6 10-19 J.

Quelle est la valeur de n caractérisant le niveau d’énergie dans lequel se trouve finale-
ment l’atome ?

A/ 1 B/ 2 C/ 3 D/ 4 E/ 5 F/ aucune réponse

2) On a représenté les niveaux d’énergie de l’atome de lithium :

E(eV)
0

-1,04 état 6
-1,51 état 5
-1,55 état 4
-2,01 état 3

-3,54 état 2

Données : -5,39 état 1 ou fondamental


h = 6,62 10-34 Js ;
c = 3,00 108 m/s ;
1 eV = 1,60 10-19 J.

Un atome de lithium passe de son niveau excité 3 à l’état fondamental.


A/ La variation d’énergie de l’atome est ∆E = -5,39 eV.
B/ La variation d’énergie de l’atome est ∆E = -3,38 eV.
C/ L’énergie du photon émis est -5,39 eV.
D/ L’atome absorbe un photon d’énergie 3,38 eV.
E/ Aucune des propositions ci-dessus.

2) La longueur d’onde de l’onde électromagnétique émise est :

A/ A la limite de l’ultraviolet et du visible.


B/ A la limite de l’infrarouge et du rouge visible.
C/ Egale à 367 nm.
D/ Egale à 539 nm.
E/ Aucune des propositions ci-dessus.

4
V - Réactions nucléaires

1) Parmi les affirmations suivantes, combien y en a-t-il d’exactes ?

Vrai Faux • Parmi deux échantillons radioactifs possédant le même nombre initial
de noyaux radioactifs, celui qui a la demi-vie la plus courte a une plus
grande activité.

Vrai Faux • Au bout d’un temps égal à 4 fois sa demi-vie, l’activité d’un échantillon
d’un isotope radioactif a été divisée par 16.

Vrai Faux • L’unité de la constante radioactive λ est la seconde.

Vrai Faux • La tangente à une courbe de décroissance radioactive à l’instant t=0


coupe l’axe des abscisses au point t = T/ln 2 où T désigne la demi-vie
de l’isotope radioactif considéré.

Vrai Faux • L’activité d’un échantillon à un instant donné est proportionnelle au


nombre de noyaux radioactifs contenus dans cet échantillon à l’instant
considéré.

2) Dans un réacteur nucléaire les noyaux d’uranium 235 subissent la fission sous le
choc d’un neutron lent. On considérera la réaction suivante : 23592U+01n-->14054Xe +
94xSr + y 01n

Un réacteur nucléaire fourni une puissance électrique moyenne de 950 MW. On sup-
pose que cette puissance électrique fournie par le réacteur est constante dans le
temps. Le rendement de la transformation énergie nucléaire en énergie électrique est
de 35 %.

Données :
masse d’un neutron : 1,00866 u ; masse 23592U : 234,99332 u ; masse 94xSr :93,89446 u ;
masse 14054Xe : 139,89194 u ; 1u = 1,66054.10-27 kg; c = 3.108 m/s; 1eV = 1,6022.10-19 J;
NAvogadro = 6,022.1023 mol-1; pouvoir calorifique du pétrole : P=43 MJ/kg ;
masse molaire de l’uranium 235 : M=235 g/mol.

Q1 : Après avoir équilibré l’équation bilan précédente, donner les valeurs de x et de y.

A/ x=37 et y=2 B/ x=38 et y=2 C/ x=36 et y=2 D/ x=38 et y=3 E/ x=37 et y=1

Q2 : Calculer l’énergie libérée par la fission d’un noyau d’uranium 235 suivant la réac-
tion proposée.

A/ 2,96 10-11 J B/ 5,92 10-11 J C/ 1,85 108 eV D/ 185 MeV E/ 18,5 MeV

Q3 : On admettra que toutes les réactions de fission produisent la même énergie que la
précédente. Déterminer la masse ( en kg) d’uranium 235 consommée par le réacteur
en une journée.

A/ 0,13 B/ 1,3 C/ 3,1 D/ 6,8 E/ 31

5
CHIMIE

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I - Grandeurs caractéristiques

1) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ L’unité SI de la masse molaire est le kg.mol–1


B/ L’unité SI de la masse volumique est exclusivement le g.L–1
C/ L’unité SI de la densité est la même que celle de la masse volumique
D/ La masse volumique de l’eau est égale 1 kg.L–1
E/ La masse volumique de l’air est environ 1000 fois inférieure à celle de l’eau

2) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ Deux liquides forment un mélange homogène


B/ La concentration massique d’un composé est donnée en g.L–1
C/ Une dilution permet de diminuer la concentration d’un soluté par ajout de solvant
D/ Le facteur de dilution indique combien de fois il faut diluer une solution mère
pour obtenir une solution fille. Il est toujours inférieur à 1
E/ PV = nRT est l’équation est gaz parfaits

II - La matière

1) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ Deux entités chimiques qui possèdent le même nombre d’électrons sont des isotopes
B/ Plus le numéro de la couche est petit plus elle est proche du noyau
C/ La 2ème couche possède au maximum 18 électrons
D/ Les couches électroniques sont remplies par nombre n croissant
E/ La 2ème couche possède deux sous-couches, une s et une p

2) Parmi les configurations électroniques suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) qui


est(sont) exacte(s) :

A/ 6C : 1s2 2s2 2p2


B/ 8O : 1s2 2s2 2p3
C/ 9F : 1s2 2s2 2p5
D/ 10Ne : 1s2 2s2 2p7
E/ 12Mg : 1s2 2s2 2p6 3s2

7
II - La matière

3) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ Le tableau périodique possède 16 colonnes


B/ La dernière colonne du tableau périodique est celle des halogènes
C/ Le magnésium (Z=12) appartient au bloc s
D/ Le précipité d’hydroxyde de cuivre est bleu
E/ Le test d’identification du dioxyde de carbone est un précipité blanc en présence d’eau
de chaux

III - Cohésion de matière


1) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ L’électronégativité est la tendance d’un atome à attirer les électrons d’une liaison à lui
B/ La molécule d’HCl est polaire
C/ L’électronégativité est mesurée sur l’échelle de Pauling
D/ L’oxygène est l’élément le plus électronégatif
E/ Une molécule polaire est forcément constitué de liaisons apolaires

2) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ La cohésion d’un solide est assurée par des interactions électrostatiques répulsives
B/ L’interaction de Keesom se produit entre deux dipôles permanent
C/ L’interaction de Debye se produit entre deux dipôles induits
D/ Un dipôle induit est obtenu par une polarisation d’une molécule apolaire
E/ Un solide ionique est un arrangement régulier d’anions et de cations

3) Quel est l’ordre des phénomènes observés lors de la dissolution d’un solide dans un
solvant ?

A/ Dispersion, Dissociation, Solvatation


B/ Dissociation, Solvatation, Dispersion
C/ Dissociation, Dispersion, Solvatation
D/ Dissociation, Solvatation, Dispersion
E/ Solvatation, Dispersion, Dissociation

8
IV - Transformation acide-base

1) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ Un acide est une espèce capable de céder un ou plusieurs protons


B/ Un acide et une base constitue un couple acide-base
C/ Un acide possède un doublet non liant
D/ Un ampholyte se comporte soit comme un acide soit comme une base
E/ Le pH mesure l’acidité d’une solution aqueuse

2) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ Un acide fort est partiellement dissocié dans l’eau


B/ Plus un acide est fort plus il est dissocié
C/ Plus une base est forte plus elle est dissociée
D/ La valeur du pH est donné par la formule : pH = – log[OH–]
E/ Un acide faible coexiste avec sa base conjuguée dans l’eau

3) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ La formule d’Henderson donne le pH d’un mélange d’acide faible et de sa base faible


conjuguée
B/ Une solution tampon est un mélange équimolaire d’un acide fort et de sa base conjuguée
C/ L’hélianthine possède une zone de virage en milieu neutre
D/ Le BBT possède une zone de virage en milieu neutre
E/ La phénolphtaléine possède une zone de virage en milieu basique

V - Structure des composés organiques


1) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ La formule brute renseigne uniquement de la composition atomique de la molécule


B/ La formule développée représente toutes les liaisons
C/ La formule semi-développée représente toutes les liaisons sauf celles avec les atomes
d’hydrogène
D/ La formule topologique représente la chaine carbonée sous forme de ligne brisée
E/ La formule de Lewis représente tous les doublets de la molécule

9
V - Structure des composés organiques

2) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ La molécule de NH3 est tétraédrique


B/ La molécule de CO2 est coudée
C/ La molécule de H2O est linéaire
D/ Le nom d’une molécule organique possédant une chaine principale à 7 atomes de
carbone commencera par hept-
E/ Le groupement carbonyle est caractéristique des esters

10
BIOLOGIE

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I - Organisation fonctionnelle du vivant

1) Concernant la cellule eucaryote :

A/ La cellule eucaryote échange de la matière et des informations avec son environnement.


B/ La membrane plasmique est dite semi-perméable : elle contrôle les molécules qui
passent.
C/ Le REG est le seul lieu de synthèse des protéines.
D/ Le matériel génétique de la cellule eucaryote, contrairement à la cellule procaryote,
se trouve dans le cytoplasme.
E/ Le cytosquelette donne la forme de la cellule et permet des déplacements
(de la cellule ou de ses organites).

2 ) Concernant le métabolisme d’une cellule musculaire :

A/ La cellule musculaire peut effectuer la respiration cellulaire ou la fermentation alcoolique.


B/ Le métabolisme utilisé par les cellules musculaires dépend notamment du type
d’effort (durée et intensité).
C/ La respiration cellulaire nécessite la présence de mitochondries.
D/ Le métabolisme utilisé dépend de la présence d’enzymes spécifiques.
E/ La respiration cellulaire rejette des déchets comme le dioxygène.

II - Origine du génotype

1) Au cours du cycle cellulaire :

A/ La réplication double le nombre de chromosomes.


B/ Une cellule humaine en phase G1 contient 46 chromatides.
C/ Une cellule humaine en phase G2 contient 46 brins d’ADN.
D/ La réplication est dite semi-conservative : en effet, un chromosome sur 2 est parental,
un chromosome sur 2 est néoformé.
E/ L’état de condensation de la chromatine ne varie qu’au cours de l’interphase.

2) Concernant la mitose :

A/ Lors de l’anaphase de la mitose, les chromosomes homologues se séparent.


B/ La mitose permet le passage d’une cellule mère diploïde à 4 cellules filles haploïdes.
C/ La mitose permet de transmettre l’intégralité de l’information génétique aux cellules filles.
D/ La mitose, comme la méiose, nécessite une réplication préalable de l’ADN.
E/ Lors de la métaphase, les chromosomes s’alignent par paires sur le plan équatorial.

12
II - Origine du génotype

3) Concernant l’expression de l’information génétique :

A/ La transcription de l’ADN a lieu uniquement pendant la phase S du cycle cellulaire.


B/ L’épissage de l’ARN s’effectue dans le cytoplasme.
C/ La traduction a lieu au niveau des ribosomes.
D/ La traduction consiste en une lecture d’une molécule d’ADN afin de former une protéine.
E/ Le génotype détermine seul l’ensemble des phénotypes.

4) Concernant les mutations de l’ADN :

A/ Ce sont des événements rares.


B/ Une mutation au sein d’un gène peut être silencieuse, due à la redondance du code génétique.
C/ Les mutations ne peuvent survenir qu’au niveau d’un gène.
D/ Les systèmes de réparation sont moyennement efficaces, d’où le nombre élevé de cancers.
E/ Une mutation peut être à l’origine d’un clone cellulaire cancéreux.

III - Les hormones


1) Hormones et reproduction chez la femme :

A/ La FSH stimule la maturation des follicules.


B/ Le pic de LH déclenche l’ovulation.
C/ Le fonctionnement cyclique des ovaires commence à la ménopause et se termine
à la puberté.
D/ Les hormones hypophysaires contrôlent directement le cycle utérin.
E/ Les pilules contraceptives détruisent les hormones naturellement présentes.

2) Hormones et reproduction chez l’homme :

A/ L’hypophyse contrôle le fonctionnement des testicules par l’intermédiaire


des hormones LH et FSH.
B/ Les testicules exercent un rétrocontrôle négatif sur l’axe hypothalamo-hypophysaire.
C/ La FSH stimule la sécrétion de testostérone.
D/ Lors de la puberté, la testostérone est responsable de l’apparition des caractères
sexuels secondaires.
E/ Les méthodes de contraception chimique miment les effets des hormones
masculines.

13
IV - Les réflexes

1) Réflexes et système nerveux :

A/ La substance grise est périphérique au niveau de la moelle épinière.


B/ La substance grise est périphérique au niveau des hémisphères cérébraux.
C/ Les messages moteurs se propagent de la périphérie vers le centre nerveux.
D/ Un arc réflexe comporte toujours : un récepteur, une voie afférente, un centre nerveux,
une voie efférente, un effecteur.
E/ L’intégration nerveuse s’effectue au cours du trajet du message nerveux le long
de l’axone d’un neurone.

2) Le message nerveux :

A/ Au niveau d’une fibre nerveuse, le message nerveux est un train de potentiels d’action
codé en fréquence.
B/ Un potentiel d’action est une inversion brutale du potentiel de membrane
(ou potentiel de repos).
C/ Les différentes phases du potentiel d’action correspondent à des mouvements d’ions
à travers la membrane.
D/ Les potentiels d’action se propagent directement à travers une synapse.
E/ Les potentiels d’action peuvent avoir une amplitude variable : c’est la loi du tout ou rien.

14
ANATOMIE

Après avoir testé vos connaissnaces de lycée, il est temps de se lancer


dans une matière de 1ère année de médecine !

Chapitre réalisé en partenariat avec :

Medecine_studygram

15
Anatomie

1) A propos de l’anatomie du coeur, voir le schéma annexe :

A/ Le vaisseau de la légende A correspond à l’aorte.


B/ Le vaisseau de la légende A est l’artère principale de l’organisme, qui permet d’amener
le sang depuis le coeur vers tous les territoires du corps.
C/ La légende D correspond au ventricule droit.
D/ La légende D correspond au ventricule gauche.
E/ Toutes les réponses sont fausses.

A
B
C
D
E
F
G
H

2 ) A propos de l’anatomie du membre inférieur :

A/ La cuisse droite est composée de 2 os.


B/ La cuisse droite est composée d’un os.
C/ L’os de la cuisse est le fémur.
D/ Le fémur, dans sa partie inférieure, s’articule avec notamment la patella.
E/ La patella était anciennement appelée la rotule.

3) A propos de la cavité buccale :

A/ La cavité buccale est située dans le massif facial.


B/ La cavité buccale s’ouvre en avant par la bouche.
C/ La cavité buccale s’ouvre en arrière sur le larynx.
D/ La cavité buccale s’ouvre en arrière sur le pharynx.
E/ Toutes les réponses sont fausses.

16
Anatomie

4 ) L’anatomie de l’oeil :

A/ Le globe oculaire est constitué de 2 enveloppes.


B/ Le globe oculaire est constitué de 3 enveloppes.
C/ A la place du mot « enveloppe », on peut utiliser le mot « tunique ».
D/ La tunique la plus externe est une enveloppe de protection.
E/ La tunique la plus externe est la rétine.

5) A propos du pancréas :

A/ Le pancréas est un organe pair.


B/ Le pancréas présente uniquement 2 portions.
C/ Le pancréas a uniquement 1 fonction.
D/ Le pancréas présente une fonction endocrine.
E/ Le pancréas permet notamment la sécrétion d’insuline.

17
PHYSIQUE

- CORRIGÉ -
I - Grandeurs et incertitudes

1) Parmi les unités écrites ci-dessous, donner celle(s) convenant pour exprimer
le champ de pesanteur ?

A/ N / m B/ m . s-² C/ m / s D/ N / kg E/ kg / N F/ kg / m² G/ m² / s² H/ kg /m

Il suffit de penser à : P = mg
poids(N) = masse (kg) fois champ de pesanteur g donc g en N/kg
ou bien à la chute libre m.g=m.a donc g=a donc g est l’accélération de la pesanteur donc
g en m.s-2

2) Parmi les dimensions écrites ci-dessous, donner celle(s) convenant


pour exprimer énergie ?

A/ M.L².T-2 B/ M.L.T-2 C/ M.L².T-1 D/ M.T².L-2 E/ L.T-2

Il suffit de penser par exemple à l’énergie cinétique : Ec = ½ m v²


Avec les dimensions : [1/2]= 1, [m]=M et [v]= L.T-1 donc [v²]= L².T-2
On trouve ainsi : [Ec]= M.L².T-2

II - Fluide au repos

1) Cocher la(les) proposition(s) correctes :

A/ L’unité de pression du système international est le bar


B/ À température constante et pour une même quantité de gaz, on a P x T = constante
C/ Sachant que la loi de la statique des fluides s’écrit pB - pA = ρ g (zA - zB),
on en déduit que : zA = zB + (pB - pA) / (ρ g)
D/ La valeur de la force pressante exercée sur la surface S est inversement
proportionnelle à la pression
E/ À température et quantité de matière constante, si la pression d’un gaz diminue
son volume diminue en proportion.

A/ c’est le Pascal (Pa) B/ c’est P x V = constante D/ c’est proportionnel E/ le volume augmente

2) La cloche de plongée est un dispositif qui permet de réaliser des activités dans l’eau
sans utiliser de bouteilles de plongée. On représente une cloche de plongée par un cy-
lindre ouvert sur sa face inférieure, de section S = 1, 5 m2 et de hauteur H = 2.8 m.
Avant l’immersion, la cloche est pleine d’air à la pression atmosphérique P0= 1013 hPa.
La cloche est totalement immergée, l’eau monte à l’intérieur. La hauteur séparant le
niveau de la mer et le niveau d’eau dans la cloche est h = 7, 2 m. La pression de l’air
dans la cloche est la même que celle de l’eau à la profondeur h.

19
II - Fluide au repos

On prendra 1kg/L pour la masse volumique de l’eau.


La pression P1 de l’air emprisonné dans la cloche est :

A/ 1719 hPa
B/ 1013 hPa
C/ 706 hPa
D/307 hPa
E/ Aucune des propositions ci-dessus

En appliquant la loi de l’hydrostatique : P1 - P0 = ρ g h


P1 - P0 = 1000 x 9, 81 x 7, 2 = 70600 Pa = 706 hPa
Donc p1 = p0 + 706 hPa = 1719 hPa.
Remarque : il serait plus juste de n’utiliser que 2 chiffres significatifs (1,7.103
hPa) puisque h n’est donné qu’avec 2 chiffres significatifs.

2) En déduire le volume V1 (en Litres) d’air contenu alors dans la cloche


à cette profondeur.

A/ 7,1.104
B/ 2,5.103
C/2,5
D/ 71
E/ Aucune des propositions ci-dessus

On détermine d’abord V0 = S x H = 1, 5 x 2.8 = 4, 2 m3


Puis on applique la loi de Boyle Mariotte
P0 V0 = P1 V1
Donc V1 =P0 V0 / P1= 1013x 4,2 / 1719 = 2, 5 m3= 2,5.103 L

III) La lumière

1) Une radiation monochromatique peut se propager dans différents milieux transpa-


rents, d’indice de réfraction. Lorsque la radiation traverse le vide sa longueur d’onde est
550 nm.
Données : C=3 108 m/s et n(eau)=1,33.
A/ La longueur d’onde de la radiation dans l’eau est 413 nm.
B/ La longueur d’onde de la radiation dans l’eau est 733 nm.
C/ La longueur d’onde dépend de la vitesse de propagation dans l’eau.
D/ La fréquence de la radiation dans le vide est plus importante que dans l’eau.

20
III) La lumière

1) Une radiation monochromatique peut se propager dans différents milieux transpa-


rents, d’indice de réfraction. Lorsque la radiation traverse le vide sa longueur d’onde est
550 nm.
Données : C=3 108 m/s et n(eau)=1,33.
A/ La longueur d’onde de la radiation dans l’eau est 413 nm.
B/ La longueur d’onde de la radiation dans l’eau est 733 nm.
C/ La longueur d’onde dépend de la vitesse de propagation dans l’eau.
D/ La fréquence de la radiation dans le vide est plus importante que dans l’eau.

La fréquence caractérise une onde, alors que célérité et longueur d’onde dépendent du
milieu de propagation.
longueur d’onde dans l’eau : λn = λ0 / n = 550 / 1,33 =413 nm
La longueur d’onde dépend de l’indice de réfraction qui dépend de la vitesse de pro-
pagation dans l’eau.

2) Un photon incident capable d’ioniser l’atome d’hydrogène initialement à l’état


fondamental doit avoir une longueur d’onde inférieure à 91,3 nm.
On en déduit que l’énergie correspondante doit être :

A/ inférieure à 13,6 eV
B/ supérieure à 13,6 eV
C/ inférieure à 2,176 x 10 - 18 J
D/ supérieure à 2,176 x 10 - 18 J
E/ inférieure à 1,6 x 10 – 19 J

On rappelle que : 1 eV= 1,6 x 10 – 19 J


E ionisation = h x f ionisation = h.c / λ ionisation
Donc pour une longueur d’onde inférieure on obtient une énergie supérieure et
E ionisation = 6,62 x 10 - 34 x 3,0 x 10 8 / 91,3 .10-9 = 2,176 x 10 - 18 J
E ionisation = 2,176 x 10 – 18 / 1,6 x 10 – 19 = 13,6 eV

3) Question :

A/ Le photon de longueur d’onde 91,3 nm appartient au domaine infra-rouge.


B/ Le photon de longueur d’onde 91,3 nm appartient au domaine ultra-violet.
C/ Le photon de longueur d’onde 91,3 nm est associé à une onde de fréquence 2,05.1034 Hz.
D/ Le photon de longueur d’onde 91,3 nm est associé à une onde de fréquence 3,29.1015 Hz.
E/ Le photon de longueur d’onde 91,3 nm est plus énergétique, donc plus rapide
qu’un photon du domaine visible.

A/ revoir les domaines du spectre de la fiche


D/ E= h.f donc f=E/h= 2,176 x 10 – 18/ 6,62 x 10 – 34= 3,29.1015 Hz
Ou f=c / λ = 3.108 / 91,3.10-9= = 3,29.1015 Hz
E/ faux : la vitesse d’un photon est c (dans le vide) peu importe son énergie.

21
IV - Interactions lumière-matière

1) Les niveaux d’énergie de l’atome d’hydrogène sont donnés par la relation En (eV) =
-13,6 / n² où n est un nombre entier. L’atome initialement dans le niveau n=2 absorbe un
photon de fréquence f=6,16.1014 Hz.

Données : h= 6,62 10-34 J s ; 1 eV= 1,6 10-19 J.

Quelle est la valeur de n caractérisant le niveau d’énergie dans lequel se trouve finale-
ment l’atome ?

A) 1 B) 2 C) 3 D) 4 E) 5 F) aucune réponse

énergie du photon absorbé : Eph=h.f = 6,62 10-34 * 6,16 1014 =4,08 10-19 J
diviser par 1,6 10-19 pour obtenir une énergie en électronvolt : Eph= 2,55 eV
énergie de l’atome au niveau n=2 : E2 = -13,6 / 2² = -3,4 eV
l’atome gagne 2,55 eV, son énergie finale devient : En = E2 + Eph = -3,4+2,55= -0,85 eV
or d’après la formule de l’énoncé : En = -0,85 = -13,6 / n² donne n²= 13,6 / 0,85 = 16 et n= 4.

2) On a représenté les niveaux d’énergie de l’atome de lithium :

Données :
h = 6,62 10-34 Js ;
c = 3,00 108 m/s ;
1 eV = 1,60 10-19 J.

Un atome de lithium passe de son niveau excité 3 à l’état fondamental.


A/ La variation d’énergie de l’atome est ∆E = -5,39 eV.
B/ La variation d’énergie de l’atome est ∆E = -3,38 eV.
C/ L’énergie du photon émis est -5,39 eV.
D/ L’atome absorbe un photon d’énergie 3,38 eV.
E/ Aucune des propositions ci-dessus.

La variation d’énergie de l’atome est ( -5,39 -(-2,01) =-3,38 eV ) donc B vrai


L’énergie du photon émis est 3,38 eV donc C faux
L’atome cède de l’énergie : il émet un photon d’énergie 3,38 eV donc D faux

2) La longueur d’onde de l’onde électromagnétique émise est :

A/ A la limite de l’ultraviolet et du visible.


B/ A la limite de l’infrarouge et du rouge visible.
C/ Egale à 367 nm.
D/ Egale à 539 nm.
E/ Aucune des propositions ci-dessus.

|∆E| =3,38 *1,6 10-19 =5,41 10-19 J ;


λ =h c / |∆E| = 6,62 10-34*3,00 108 / 5,41 10-19=3,67 10-7 m = 367 nm

22
V - Réactions nucléaires

1) Parmi les affirmations suivantes, combien y en a-t-il d’exactes ?

Vrai Faux • Parmi deux échantillons radioactifs possédant le même nombre initial
de noyaux radioactifs, celui qui a la demi-vie la plus courte a une plus
grande activité.

N= N0 e -λt.
activité A = -dN/dt = -N0 (-λ) e -λt=λN ou bien à t=0 : A0 = λN0.
or λ T=ln2 ( T période ou demi-vie ; λ constante radioactive)
A0 = N0ln2 / T
Donc l’activité initiale est d’autant plus grande que la demi-vie est plus courte.

Vrai Faux • Au bout d’un temps égal à 4 fois sa demi-vie, l’activité d’un échantillon
d’un isotope radioactif a été divisée par 16.

L’activité est divisée par 24 = 16 au bout de 4 périodes.

Vrai Faux • L’unité de la constante radioactive λ est la seconde.

L’unité de la constante radioactive λ est l’inverse d’un temps (t-1) car λ=ln2 / T.

Vrai Faux • La tangente à une courbe de décroissance radioactive à l’instant t=0


coupe l’axe des abscisses au point t = T/ln 2 où T désigne la demi-vie
de l’isotope radioactif considéré.

dN/dt = N0 (-λ) e -λt; à l’instant initial dN/dt = -N0λ. (coefficient directeur de la tangente
à la courbe de décroissance radioactive à t=0)
Cette tangente passe également par le point (0, N0)
d’où son équation : N= -N0λ t + N0
N= 0 si t = 1/λ or λ T=ln2 soit t = 1/λ= T / ln 2.

Vrai Faux • L’activité d’un échantillon à un instant donné est proportionnelle au


nombre de noyaux radioactifs contenus dans cet échantillon à l’instant
considéré.

A= λN l’activité à la date t est proportionnelle au nombre de noyaux présents à l’instant t

2) Dans un réacteur nucléaire les noyaux d’uranium 235 subissent la fission sous le
choc d’un neutron lent. On considérera la réaction suivante : 23592U+01n-->14054Xe +
94xSr + y 01n

Un réacteur nucléaire fourni une puissance électrique moyenne de 950 MW. On sup-
pose que cette puissance électrique fournie par le réacteur est constante dans le
temps. Le rendement de la transformation énergie nucléaire en énergie électrique est
de 35 %.

Données :
masse d’un neutron : 1,00866 u ; masse 23592U : 234,99332 u ; masse 94xSr :93,89446 u ;
masse 14054Xe : 139,89194 u ; 1u = 1,66054.10-27 kg; c = 3.108 m/s; 1eV = 1,6022.10-19 J;

23
V - Réactions nucléaires

NAvogadro = 6,022.1023 mol-1; pouvoir calorifique du pétrole : P=43 MJ/kg ;


masse molaire de l’uranium 235 : M=235 g/mol.

Q1 : Après avoir équilibré l’équation bilan précédente, donner les valeurs de x et de y.

A/ x=37 et y=2 B/ x=38 et y=2 C/ x=36 et y=2 D/ x=38 et y=3 E/ x=37 et y=1

235
U+01n-->14054Xe + 94xSr + y 01n
92
conservation de la charge : 92 = 54+x d’où x = 38
conservation du nombre de nucléons : 235+1=140+94+y d’où y=2.

Q2 : Calculer l’énergie libérée par la fission d’un noyau d’uranium 235 suivant la réac-
tion proposée.

A/ 2,96 10-11 J B/ 5,92 10-11 J C/ 1,85 108 eV D/ 185 MeV E/ 18,5 MeV

variation de masse |∆m|=|139,89194+93,89446+1,00866-234,99332|=0,19826 u


soit 0,19826*1,66 10-27 = 3,29 10-28 kg
énergie libérée par fission : E=∆mc² = 3,29 10-28 *(3 108)² =2,96 10-11 J
2,96 10-11/ 1,6 10-19 = 1,85 108 eV = 185 MeV.

Q3 : On admettra que toutes les réactions de fission produisent la même énergie que la
précédente. Déterminer la masse ( en kg) d’uranium 235 consommée par le réacteur
en une journée.

A/ 0,13 B/ 1,3 C/ 3,1 D/ 6,8 E/ 31

énergie libérée par 235 g d’uranium 235 ( une mole) : 2,96 10-11*6,02 1023 = 1,78 1013 J /mol
énergie libérée par kg d’235 U : 1,78 1013 *1000 / 235 = 7,58 1013 J/kg.
énergie nucléaire libérée en 24 h : puissance (W) * temps (s) / rendement
9,5 108 *24*3600 / 0,35 = 2,345 1014 J
masse d’235 U consommée par jour : 2,345 1014 / 7,58 1013 = 3,1 kg.

24
CHIMIE

- CORRIGÉ -
I - Grandeurs caractéristiques

1) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ L’unité SI de la masse molaire est le kg.mol–1


B/ L’unité SI de la masse volumique est exclusivement le g.L–1
C/ L’unité SI de la densité est la même que celle de la masse volumique
D/ La masse volumique de l’eau est égale 1 kg.L–1
E/ La masse volumique de l’air est environ 1000 fois inférieure à celle de l’eau

A/ Faux, c’est le g.mol–1, même si le kg est l’unité SI de la masse


B/ Faux, il y en a plusieurs : g.L–1, kg.L–1, g.mL–1, …)
C/ Faux, la densité est sans unité
D/ Vrai, il faut le savoir
E/ Vrai, elle est égale à 1,3 g.L–1, connaître l’ordre de grandeur

2) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ Deux liquides forment un mélange homogène


B/ La concentration massique d’un composé est donnée en g.L–1
C/ Une dilution permet de diminuer la concentration d’un soluté par ajout de solvant
D/ Le facteur de dilution indique combien de fois il faut diluer une solution mère
pour obtenir une solution fille. Il est toujours inférieur à 1
E/ PV = nRT est l’équation est gaz parfaits

A/ Faux, ils peuvent ne pas être miscibles


B/ Vrai, ne pas confondre avec la concentration molaire qui est en mol.L–1
C/ Vrai, c’est la définition
D/ Faux, la définition est juste, mais il est toujours supérieur à 1
E/ Vrai, également très utilisé en PASS ou L.AS

26
II - La matière

1) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ Deux entités chimiques qui possèdent le même nombre d’électrons sont des isotopes
B/ Plus le numéro de la couche est petit plus elle est proche du noyau
C/ La 2ème couche possède au maximum 18 électrons
D/ Les couches électroniques sont remplies par nombre n croissant
E/ La 2ème couche possède deux sous-couches, une s et une p

A/ Faux, ils doivent avoir le même nombre de protons (donc le même numéro atomique)
B/ Vrai, c’est comme les poupées russes. A chaque fois qu’on en ajoute une elle englobe
toutes les autres
C/ Faux, c’est seulement 8
D/ Vrai, très très important pour le PASS
E/ Vrai, très très important pour le PASS

2) Parmi les configurations électroniques suivantes, quelle(s) est(sont) celle(s) qui


est(sont) exacte(s) :

A/ 6C : 1s2 2s2 2p2


B/ 8O : 1s2 2s2 2p3
C/ 9F : 1s2 2s2 2p5
D/ 10Ne : 1s2 2s2 2p7
E/ 12Mg : 1s2 2s2 2p6 3s2

A/ Vrai
B/ Faux : 1s2 2s2 2p4
C/ Vrai
D/ Faux : 1s2 2s2 2p6
E/ Vrai

3) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ Le tableau périodique possède 16 colonnes


B/ La dernière colonne du tableau périodique est celle des halogènes
C/ Le magnésium (Z=12) appartient au bloc s
D/ Le précipité d’hydroxyde de cuivre est bleu
E/ Le test d’identification du dioxyde de carbone est un précipité blanc en présence
d’eau de chaux

A/ Faux, c’est 18
B/ Faux, c’est celle des gaz rares. Les halogènes sont dans la 17ème
C/ Vrai, sa configuration est 1s2 2s2 2p6 3s2, sa dernière sous-couche est une 2s. Il appar-
tient bien au bloc S
D/ Vrai, c’est un des tests d’identification de ce métal
E/ Vrai

27
III - Cohésion de matière

1) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ L’électronégativité est la tendance d’un atome à attirer les électrons d’une liaison à lui
B/ La molécule d’HCl est polaire
C/ L’électronégativité est mesurée sur l’échelle de Pauling
D/ L’oxygène est l’élément le plus électronégatif
E/ Une molécule polaire est forcément constitué de liaisons apolaires

A/ Vrai, c’est la définition


B/ Vrai, H et Cl ont une électronégativité différente. Le nuage électronique est déplacé
vers le chlore, créant une molécule polaire
C/ Vrai, même s’il y en a d’autres, c’est la plus utilisée
D/ Faux, c’est le fluor
E/ Faux, au contraire il faut nécessairement des liaisons polaires. La géométrie
de la molécule doit aussi être prise en compte

2) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ La cohésion d’un solide est assurée par des interactions électrostatiques répulsives
B/ L’interaction de Keesom se produit entre deux dipôles permanent
C/ L’interaction de Debye se produit entre deux dipôles induits
D/ Un dipôle induit est obtenu par une polarisation d’une molécule apolaire
E/ Un solide ionique est un arrangement régulier d’anions et de cations

A/ Faux, forcément attractives


B/ Vrai
C/ Faux, un dipôle permanent et un dipôle induit
D/ Vrai, observée à la suite de l’approche d’une molécule polaire
E/ Vrai

3) Quel est l’ordre des phénomènes observés lors de la dissolution d’un solide dans un
solvant ?

A/ Dispersion, Dissociation, Solvatation


B/ Dissociation, Solvatation, Dispersion
C/ Dissociation, Dispersion, Solvatation
D/ Dissociation, Solvatation, Dispersion
E/ Solvatation, Dispersion, Dissociation

28
IV - Transformation acide-base

1) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ Un acide est une espèce capable de céder un ou plusieurs protons


B/ Un acide et une base constitue un couple acide-base
C/ Un acide possède un doublet non liant
D/ Un ampholyte se comporte soit comme un acide soit comme une base
E/ Le pH mesure l’acidité d’une solution aqueuse

A/ Vrai, c’est la définition de Bronsted


B/ Faux, si le terme « conjugué » n’apparaît pas on n’est pas certain de la réponse
C/ Faux, ce sont les bases qui doivent en avoir un pour pouvoir capter le proton
D/ Vrai, en fonction du milieu considéré
E/ Vrai

2) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ Un acide fort est partiellement dissocié dans l’eau


B/ Plus un acide est fort plus il est dissocié
C/ Plus une base est forte plus elle est dissociée
D/ La valeur du pH est donné par la formule : pH = – log[OH–]
E/ Un acide faible coexiste avec sa base conjuguée dans l’eau

A/ Faux, totalement. Ce sont les faibles qui sont partiellement dissociés


B/ Vrai, plus il est dissocié et plus il cède ses ions H+
C/ Faux, plus elle est forte et plus elle capte des ions H+
D/ Faux, c’est pH = – log[H+]
E/ Vrai, puisque par définition il n’est pas totalement dissocié

3) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ La formule d’Henderson donne le pH d’un mélange d’acide faible et de sa base faible


conjuguée
B/ Une solution tampon est un mélange équimolaire d’un acide fort et de sa base conjuguée
C/ L’hélianthine possède une zone de virage en milieu neutre
D/ Le BBT possède une zone de virage en milieu neutre
E/ La phénolphtaléine possède une zone de virage en milieu basique

A/ Vrai, pH = pKa + log ([base]/[acide])


B/ Faux, acide faible et base faible conjuguée
C/ Faux, c’est en milieu acide
D/ Vrai
E/ Vrai

29
V - Structure des composés organiques

1) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ La formule brute renseigne uniquement de la composition atomique de la molécule


B/ La formule développée représente toutes les liaisons
C/ La formule semi-développée représente toutes les liaisons sauf celles avec les atomes
d’hydrogène
D/ La formule topologique représente la chaine carbonée sous forme de ligne brisée
E/ La formule de Lewis représente tous les doublets de la molécule

A/ Vrai, seul le nombre d’atome apparaît, pas leur agencement. Ex : C3H8O2


B/ Vrai
H H
H C C O H
H H

C/ Vrai
O
CH3 CH C OH
OH
D/ Vrai
O

OH
E/ Vrai
H O
H C C
H O H

2) Parmi les propositions suivantes, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) exacte(s) :

A/ La molécule de NH3 est tétraédrique


B/ La molécule de CO2 est coudée
C/ La molécule de H2O est linéaire
D/ Le nom d’une molécule organique possédant une chaine principale
à 7 atomes de carbone commencera par hept-
E/ Le groupement carbonyle est caractéristique des esters

A/ Faux, elle est pyramidale


B/ Faux, elle est linéaire
C/ Faux, elle est coudée
D/ Vrai, le préfixe pour 7 atomes de carbone est bien hept-
E/ Faux, c’est les aldéhydes ou cétones

30
BIOLOGIE

- CORRIGÉ -
I - Organisation fonctionnelle du vivant

1) Concernant la cellule eucaryote :

A/ La cellule eucaryote échange de la matière et des informations


avec son environnement.
B/ La membrane plasmique est dite semi-perméable : elle contrôle les molécules qui
passent.
C/ Le REG est le seul lieu de synthèse des protéines.
D/ Le matériel génétique de la cellule eucaryote, contrairement à la cellule procaryote,
se trouve dans le cytoplasme.
E/ Le cytosquelette donne la forme de la cellule et permet des déplacements
(de la cellule ou de ses organites).

A/ Vrai.
B/ Vrai : certaines molécules peuvent passer librement la membrane et d’autres non.
Pour ces dernières, la membrane possède ou non des systèmes de transport qui
permettent de contrôler ce qui entre et ce qui sort.
C/ Faux : le REG est le lieu de synthèse de certaines protéines : membranaires,
lysosomales, sécrétées. Les protéines cytoplasmiques sont synthétisées dans le
cytoplasme au niveau de ribosomes libres.
D/ Faux : le matériel génétique de la cellule eucaryote, contrairement à la cellule
procaryote, se trouve dans le noyau.
E/ Vrai : il est constitué de microfilaments d’actine, de microtubules et de filaments
intermédiaires.

2 ) Concernant le métabolisme d’une cellule musculaire :

A/ La cellule musculaire peut effectuer la respiration cellulaire ou la fermentation alcoolique.


B/ Le métabolisme utilisé par les cellules musculaires dépend notamment du type
d’effort (durée et intensité).
C/ La respiration cellulaire nécessite la présence de mitochondries.
D/ Le métabolisme utilisé dépend de la présence d’enzymes spécifiques.
E/ La respiration cellulaire rejette des déchets comme le dioxygène.

A/ Faux : la cellule musculaire peut effectuer la respiration cellulaire ou la fermentation


lactique. Nos muscles ne produisent pas d’alcool !
B/ Vrai : en cas d’effort intense et court, des métabolismes de type anaérobie (pas d’utili-
sation de dioxygène) sont privilégiés, alors qu’en cas d’effort moins intense mais de longue
durée, c’est la respiration qui est le métabolisme principal.
C/ Vrai : les phosphorylations oxydatives (chaîne respiratoire) ont lieu au niveau de la
membrane interne des mitochondries.
D/ Vrai : une voie métabolique est une succession de réactions biochimiques catalysées
par des enzymes spécifiques.
E/ Faux : le dioxygène est consommé lors de la respiration cellulaire. Le dioxyde de carbone
est un déchet.

32
II - Origine du génotype

1) Au cours du cycle cellulaire :

A/ La réplication double le nombre de chromosomes.


B/ Une cellule humaine en phase G1 contient 46 chromatides.
C/ Une cellule humaine en phase G2 contient 46 brins d’ADN.
D/ La réplication est dite semi-conservative : en effet, un chromosome sur 2 est paren-
tal, un chromosome sur 2 est néoformé.
E/ L’état de condensation de la chromatine ne varie qu’au cours de l’interphase.

A/ Faux : la réplication double le nombre de chromatides par chromosome.


B/ Vrai : elle contient 46 chromosomes monochromatidiens.
C/ Faux : elle contient 46 chromosomes bichromatidiens et il y a 2 brins par chromatide.
Donc au total : 184 brins !
D/ Faux : la réplication est dite semi-conservative : chaque chromatide contient un brin
parental et un brin néoformé.
E/ Faux : l’état de condensation de la chromatine varie au cours du cycle cellulaire, pendant
l’interphase et pendant la mitose (condensation sous forme de chromosomes visibles).

2) Concernant la mitose :

A/ Lors de l’anaphase de la mitose, les chromosomes homologues se séparent.


B/ La mitose permet le passage d’une cellule mère diploïde à 4 cellules filles haploïdes.
C/ La mitose permet de transmettre l’intégralité de l’information génétique aux cellules filles.
D/ La mitose, comme la méiose, nécessite une réplication préalable de l’ADN.
E/ Lors de la métaphase, les chromosomes s’alignent par paires sur le plan équatorial.

A/ Faux : ce sont les chromatides sœurs qui se séparent. La séparation


des chromosomes homologues a lieu lors de l’anaphase 1 de méiose.
B/ Faux : la méiose permet le passage d’une cellule mère diploïde à 4 cellules filles
haploïdes. La mitose ne change pas la ploïdie et permet le passage d’une cellule
mère à 2 cellules filles.
C/ Vrai : les chromatides sœurs contiennent la même information. L’information
génétique présente en 2 exemplaires dans la cellule mère est donc répartie de façon
équitable et intégrale dans les 2 cellules filles.
D/ Vrai : les chromosomes doivent être bichromatidiens avant d’entamer une division
cellulaire. La réplication a lieu durant la phase S.
E/ Faux : cela correspond à la première division de méiose. Lors de la mitose, les chromo
somes sont tous indépendants.

33
II - Origine du génotype

3) Concernant l’expression de l’information génétique :

A/ La transcription de l’ADN a lieu uniquement pendant la phase S du cycle cellulaire.


B/ L’épissage de l’ARN s’effectue dans le cytoplasme.
C/ La traduction a lieu au niveau des ribosomes.
D/ La traduction consiste en une lecture d’une molécule d’ADN afin de former une protéine.
E/ Le génotype détermine seul l’ensemble des phénotypes.

A/ Faux : la transcription de l’ADN a lieu tout au long de l’interphase du cycle cellulaire.


À ne pas confondre avec la réplication de l’ADN qui a lieu uniquement pendant la phase
S du cycle cellulaire.
B/ Faux : l’épissage de l’ARN s’effectue dans le noyau.
C/ Vrai : les ribosomes peuvent être libres dans le cytoplasme ou liés au REG.
D/ Faux : la traduction consiste en une lecture d’une molécule d’ARN afin de former une
protéine.
E/ Faux : le phénotype est le résultat d’une interaction entre génotype et environnement.
De ce fait, un même génotype peut être à l’origine de plusieurs phénotypes.

4) Concernant les mutations de l’ADN :

A/ Ce sont des événements rares.


B/ Une mutation au sein d’un gène peut être silencieuse, due à la redondance du code génétique.
C/ Les mutations ne peuvent survenir qu’au niveau d’un gène.
D/ Les systèmes de réparation sont moyennement efficaces, d’où le nombre élevé de cancers.
E/ Une mutation peut être à l’origine d’un clone cellulaire cancéreux.

A/ Vrai : une erreur non réparée tous les 109 nucléotides environ par réplication.
B/ Vrai : la séquence en nucléotide est modifiée mais la protéine issue de l’expression du
gène n’est pas modifiée. En effet, plusieurs codons codent pour un même acide aminé.
C/ Faux : les mutations peuvent survenir n’importe où sur le génome.
D/ Faux : les systèmes de réparation sont très performants, d’où un nombre assez peu élevé
de cancers.
E/ Vrai : selon les gènes mutés, la cellule peut démarrer un processus cancéreux en se divi-
sant de façon anarchique et en accumulant de nouvelles mutations.

34
III - Les hormones

1) Hormones et reproduction chez la femme :

A/ La FSH stimule la maturation des follicules.


B/ Le pic de LH déclenche l’ovulation.
C/ Le fonctionnement cyclique des ovaires commence à la ménopause et se termine
à la puberté.
D/ Les hormones hypophysaires contrôlent directement le cycle utérin.
E/ Les pilules contraceptives détruisent les hormones naturellement présentes.

A/ Vrai : c’est l’hormone folliculo-stimulante.


B/ Vrai : on l’appelle aussi pic ovulatoire.
C/ Faux : c’est l’inverse : le fonctionnement cyclique des ovaires commence à la puberté et
se termine à la ménopause.
D/ Faux : les hormones hypophysaires contrôlent le fonctionnement des ovaires et les hor
mones ovariennes contrôlent le cycle utérin.
E/ Faux : les pilules contraceptives miment l’effet des hormones naturellement présentes.

2) Hormones et reproduction chez l’homme :

A/ L’hypophyse contrôle le fonctionnement des testicules par l’intermédiaire


des hormones LH et FSH.
B/ Les testicules exercent un rétrocontrôle négatif sur l’axe hypothalamo-hypophysaire.
C/ La FSH stimule la sécrétion de testostérone.
D/ Lors de la puberté, la testostérone est responsable de l’apparition des caractères
sexuels secondaires.
E/ Les méthodes de contraception chimique miment les effets des hormones masculines.

A/ Vrai : la LH stimule les cellules de Leydig et donc la sécrétion de testostérone ; la FSH


stimule les cellules de Sertoli et donc la spermatogenèse.
B/ Vrai : ce qui permet de maintenir un taux de testostérone plasmatique constant.
C/ Faux : c’est la LH, cf. réponse A.
D/ Vrai.
E/ Faux : les méthodes de contraception chimique actuelles miment les effets des
hormones féminines, chez la femme. Il n’existe pas encore de « pilule pour homme » !

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IV - Les réflexes

1) Réflexes et système nerveux :

A/ La substance grise est périphérique au niveau de la moelle épinière.


B/ La substance grise est périphérique au niveau des hémisphères cérébraux.
C/ Les messages moteurs se propagent de la périphérie vers le centre nerveux.
D/ Un arc réflexe comporte toujours : un récepteur, une voie afférente, un centre nerveux,
une voie efférente, un effecteur.
E/ L’intégration nerveuse s’effectue au cours du trajet du message nerveux le long
de l’axone d’un neurone.

A/ Faux : la substance grise est centrale au niveau de la moelle épinière, la substance


blanche est périphérique.
B/ Vrai : c’est le cortex cérébral.
C/ Faux : les messages moteurs se propagent du centre nerveux vers la périphérie ;
ce sont les messages sensitifs qui se propagent de la périphérie vers le centre nerveux.
D/ Vrai.
E/ Faux l’intégration nerveuse s’effectue au niveau du corps cellulaire du neurone
et permet l’émission d’un message unique qui se propage le long de l’axone.

2) Le message nerveux :

A/ Au niveau d’une fibre nerveuse, le message nerveux est un train de potentiels d’action
codé en fréquence.
B/ Un potentiel d’action est une inversion brutale du potentiel de membrane
(ou potentiel de repos).
C/ Les différentes phases du potentiel d’action correspondent à des mouvements d’ions
à travers la membrane.
D/ Les potentiels d’action se propagent directement à travers une synapse.
E/ Les potentiels d’action peuvent avoir une amplitude variable : c’est la loi du tout ou rien.

A/ Vrai.
B/ Vrai.
C/ Vrai : la dépolarisation correspond à une entrée d’ions sodium et la repolarisation à
une sortie d’ions potassium. Le retour au potentiel de repos correspond au retour des
ions sodium en extracellulaire et des ions potassium en intracellulaire.
D/ Faux : les membranes n’étant pas en continuité, les potentiels d’action ne peuvent
pas se propager directement. Le message nerveux change de nature : il est transmis
par l’intermédiaire de neurotransmetteurs, c’est un message de nature chimique codé
en concentration.
E/ Faux : les potentiels d’action ont toujours la même amplitude, qui ne varie pas : c’est la
loi du tout ou rien.

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ANATOMIE

- CORRIGÉ -

Chapitre réalisé en partenariat avec :

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Anatomie

1) A propos de l’anatomie du coeur :

A/Le vaisseau de la légende A correspond à l’aorte.


B/ Le vaisseau de la légende A est l’artère principale de l’organisme, qui permet d’amener
le sang depuis le coeur vers tous les territoires du corps.
C/ La légende D correspond au ventricule droit.
D/ La légende D correspond au ventricule gauche.
E/ Toutes les réponses sont fausses.

A/Vrai : Le vaisseau de la légende A correspond à l’aorte.


B/ Vrai : Le vaisseau de la légende A est l’artère principale de l’organisme, qui permet
d’amener le sang depuis le coeur vers tous les territoires du corps.
C/ Faux : cela correspond au ventricule gauche, voir item.
D/ Vrai : La légende D correspond au ventricule gauche.
E/ Faux : l’item A, B et D sont vrais. Voir la fiche Instagram

2 ) A propos de l’anatomie du membre inférieur :

A/ La cuisse droite est composée de 2 os.


B/ La cuisse droite est composée d’un os.
C/ L’os de la cuisse est le fémur.
D/ Le fémur, dans sa partie inférieure, s’articule avec notamment la patella.
E/ La patella était anciennement appelée la rotule.

A/ Faux : voir item B


B/ Vrai : La cuisse droite est composée d’un os.
C/ Vrai : L’os de la cuisse est le fémur.
D/ Vrai : Le fémur, dans sa partie inférieure, s’articule avec notamment la patella.
E/ Vrai : La patella était anciennement appelée la rotule.

3) A propos de la cavité buccale :

A/ La cavité buccale est située dans le massif facial.


B/ La cavité buccale s’ouvre en avant par la bouche.
C/ La cavité buccale s’ouvre en arrière sur le larynx.
D/ La cavité buccale s’ouvre en arrière sur le pharynx.
E/ Toutes les réponses sont fausses.

A/ Vrai : La cavité buccale est située dans le massif facial.


B/ Vrai : La cavité buccale s’ouvre en avant par la bouche.
C/ Faux : sur le pharynx, voir item D.
D/ Vrai : La cavité buccale s’ouvre en arrière sur le pharynx.
E/ Faux : les items A, B et D sont vrais. Voir la fiche Instagram

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Anatomie

4 ) L’anatomie de l’oeil :

A/ Le globe oculaire est constitué de 2 enveloppes.


B/ Le globe oculaire est constitué de 3 enveloppes.
C/ A la place du mot « enveloppe », on peut utiliser le mot « tunique ».
D/ La tunique la plus externe est une enveloppe de protection.
E/ La tunique la plus externe est la rétine.

A/ Faux : de 3 enveloppes, voir item B.


B/ Vrai : Le globe oculaire est constitué de 3 enveloppes.
C/ Vrai : A la place du mot « enveloppe », on peut utiliser le mot « tunique ».
D/ Vrai : La tunique la plus externe est une enveloppe de protection.
E/ Faux : la rétine est la tunique la plus interne.

Voir la fiche Instagram

5) A propos du pancréas :

A/ Le pancréas est un organe pair.


B/ Le pancréas présente uniquement 2 portions.
C/ Le pancréas a uniquement 1 fonction.
D/ Le pancréas présente une fonction endocrine.
E/ Le pancréas permet notamment la sécrétion d’insuline.

A/ Faux : c’est un organe unique.


B/ Faux : le pancréas présente 3 portions.
C/ Faux : le pancréas a principalement 2 grandes fonctions : exocrine et endocrine.
D/ Vrai : Le pancréas présente une fonction endocrine.
E/ Vrai : Le pancréas permet notamment la sécrétion d’insuline.

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