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Lardon Axel
Mathis Sayetta
Alban André
Présentation:
Les chiffres:
Selon les estimations datant de 2019, environ 20 000 gros objets de plus
de 10 cm soit de la taille d’un pamplemousse sont connus et catalogués.
Cependant, on estime qu’il y en aurait environ 34 000 en tout. Ce serait 5
400 pour les débris de plus d’un mètre.
Les petits objets sont bien plus nombreux. On recense environ 900 000
débris de plus de 1cm et 130 millions de plus de 1 mm.
Soit 9600tonnes de débris
Où:
Les risques:
Syndrome de Kessler:
Ce phénomène sans fin porte le nom de l’astrophysicien Donald Kessler qui l’a théorisé en
1978 : « le syndrome de Kessler ».
En outre, les débris - peu importe leur taille - peuvent être à l’origine de dommages
considérables, voire de la destruction de nos services permis par les satellites (Internet,
téléphonie, observation, etc.) et menacent même la sécurité des missions spatiales. De plus,
ces impacts génèrent davantage de pollution.
En effet, la vitesse de déplacement des débris dans l’orbite basse est d’environ 28 000 km/h,
ce qui accentue la puissance de l’impact. Pour preuve : un objet d’un centimètre bénéficie de
la même force qu’une voiture allant à 130 km/h.
En vue de réduire le risque de collision des débris, les scientifiques développent des outils
permettant de les recenser et de connaître leur position exacte. Cela permet d’élaborer des
stratégies d’évitement et d’empêcher qu’un plus grand nombre de débris ne se retrouvent
dans l’espace.
Conclusion :
Les débris spatiaux représentent un danger croissant pouvant mettre en danger
l’exploration spatial mais aussi les différents satellites responsables de la
télécommunication et de la météo. Le nombre de débris en constante augmentation est
suivie de près par les chercheurs qui cherchent des solutions viables pour éviter des
collisions mais aussi essayent de créer des lois internationales