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TD 1 2 SBC 2019 2020
TD 1 2 SBC 2019 2020
DE SAINT-LOUIS
Exercice 3 (Thème 2)
Logique propositionnelle
*Exercice 1 Traduisez en LP0 les énoncés ci-dessous, en proposant vos propres clés. Tant
1. Construire les tablesque
de c’est
vérités de : essayez de conserver au maximum la structure syntaxique
possible,
¬(A Ú B) A Ù (¬B)
d’origine. (A Ù B) Ù C (A Ù B) Ú (B Ù C) Ú (C Ù A)
(¬A) Ú (¬B) (1)ÚPersonne
A B Ú C Ún’a
D ri, ou même souri.
(2) Georges ne viendra que si Albert et Lucienne ne viennent pas.
2. Réécrire les propositions suivantes avec le moins de parenthèses possibles :
(3) Continue comme ça, et tu vas t’en prendre une.
(¬((A) Ù (B)))Ú (C) ((A) Ú (B)) Ù ((C) Ú (B))
(4) Pour jouer au barbu, il faut un jeu de 54 cartes.
*Exercice 6
Trois témoins J, M et R suspects d’un crime.
J dit : « R est coupable et M est innocent »
R dit : « Si J est coupable, M aussi »
M dit : « Je suis innocent et J ou R est coupable »
(1) Les trois témoignages sont-ils compatibles ? (2) L’un des témoignages se déduit-il des autres ?
(3) Si tous sont innocents qui a menti ? (4) Si tous disent la vérité qui est coupable ?
(5) Si seuls les innocents disent la vérité qui est coupable ?
*Exercice 7 Logique
G
des prédicats (LP1) G
Démontrer avec la méthode des séquents les déductions suivantes.
Exercices
p → q, ¬r ⊢ ¬p ∨ q
p → ¬(q ∧ r) ⊢ (p →Logique
¬q) ∨ ¬(p–∧Licence
r) SDL
G
Logique des prédicats
Exercicep →1q, q ⊢ p
Pour chacune des→
(¬p ∨ ¬q) formules
r ⊢ (p →suivantes,
r) ∨ (q →dites
r) :
*Exercice 8
1. s’il s’agit (globalement) d’une négation, d’une conjonction, d’une G disjonction,
Pour chacune des formules suivantes, dites :
d’une implication, d’une formule universelle ou d’une formule existentielle 1 ;
1. s’ilps’agit
∧ q, p(globalement)
→ r ⊢ r ∧ q d’une négation, d’une conjonction, d’une disjonction, d’une implication,
2. quelle est la portéeuniverselle
d’une formule de chaqueouquantificateur
d’une formule ; existentielle;
2.3.quelle
quelles
estsont les occurrences
la portée de variables libres
de chaque quantificateur ; (s’il y en a).
Pour pimenter
3. quelles sontl’exercice, les parenthèses
les occurrences des
de variables
q, ¬r, p ⊢ q
plus
ax libres extérieures
(s’il y enaxa).on été omises : ainsi
¬r, p ⊢ p, q
une formule (Ï æ Â) est écrite Ï æ Â. →g
a. ÷x(Axy · Bx) p → q, f. ¬Bx æ
¬r, p ⊢ q
¬d
(¬’y(¬Axy ‚ Bx) æ Cy)
b. ÷xAxy · Bx p → q, ¬rg.⊢ ¬÷x(Axy
¬p, q ‚ By)
∨d
c. ÷x÷yAxy æ Bx p → q, ¬rh.⊢ ¬p ∨q
¬÷xAxx ‚ ÷yBy
d. ÷x(÷yAxy æ Bx) i. ’x’y((Axy · By) æ ÷zCxz)
ax ax
e. ¬÷x÷yAxy æ Bx
p, r, p, q ⊢ q p, r, p,j.q ⊢’x(’yAyx
r æ By)
∧d
Exercice 2 p, r, p, q ⊢ q ∧ r
*Exercice 9 ¬g ax
On modélise sommairement ¬(qle∧système
r), p, r, p,solaire
q⊢ par le modèle
p, r, p,suivant.
q ⊢ p Le domaine
On modélise sommairement le système solaire par le modèle suivant. → g Le domaine pris en compte
pris en compte contient les neuf planètes et le Soleil.
contient les neuf planètes et le Soleil. p→ On¬(qse donne
∧ r), p, les
r, p,constantes
q⊢ suivantes : s0 : le Soleil, m1 : Mercure,
On se donne les constantes suivantes : s0 : le Soleil, m1 : ∧g Mercure, v : Vénus, t :
v : Vénus, t : la Terre, l : la Lune, m2 Mars, jr),
: Jupiter; s1 : Saturne; u : Uranus; n : Neptune, p : Pluton.
la Cet
Terre, l : représente
ordre la Lune, mla2 Mars, j : Jupiter ; s1 : Saturne ; u : Uranus ; n : Neptune,
p → ¬(q ∧ p ∧ r,
proximité relative par rapport au Soleil
p, q ⊢
¬d (Pluton est la plus éloignée et Mercure
p :laPluton. Cet
plus proche).ordre représente la proximité
p → ¬(q ∧ relative
r), p ∧ r, par
p ⊢ rapport
¬q au Soleil (Pluton
est la plus éloignée et Mercure la plus proche). → d
Voici les tailles relatives des planètes
p → ¬(q : Lune
∧ r), p<∧Mercure
r ⊢ p → ¬q < Mars < Pluton < Vénus < Terre < Neptune
Voici les tailles relatives des planètes : ¬d
Lune < Mercure < Mars < Pluton p → ¬(q < Vénus
∧ r) ⊢ p<→Terre
¬q, ¬(p <∧Neptune
r) < Uranus < 2
∨d
Saturne < Jupiter. p → ¬(q ∧ r) ⊢ (p → ¬q) ∨ ¬(p ∧ r)
– P x : x est une planète (du système solaire) ;
– T x : x tourne autour de la Terre ;
– M xy : x est plus petit (ou aussi
q ⊢grand) que
p, p q, q ⊢yp
< Uranus < Saturne < Jupiter.
Soit les notations suivantes en prédicat :
– P(x) : x est une planète (du système solaire) ;
– T(x) : x tourne autour de la Terre;
– M(x,y) : x est plus petit (ou aussi grand) que y
– S(x,y) : x est plus proche (ou à égale distance) du Soleil que y
Traduire en LP1 :
– Vénus est une planète.
– Le Soleil n’est pas une planète.
– Le Soleil tourne autour de la Terre.
– Certaines planètes sont plus petites que la Terre.
– Toutes les planètes sont plus petites que Saturne.
– Rien n’est plus petit que la Lune.
– Mercure est la planète la plus proche du Soleil.
– Mars est plus loin du Soleil que Pluton.
– Si quelque chose est plus éloigné du Soleil que Pluton, alors ce n’est pas une planète.
– Si le Soleil tourne autours de la Terre, alors il est plus petit que celle-ci.
– S’il n’y a pas de planète plus grande que la Terre, alors la Terre est plus grande que Jupiter.
– La Lune est une planète mais certaines choses ne sont pas des planètes.
– Toutes les planètes ne tournent pas autour de la Terre.
– Aucune planète n’est plus petite que Mercure.
– Il n’y a pas de planète qui soit plus grande que la Terre tout en étant plus proche du Soleil
qu’elle.
– Il existe une planète telle que tout objet plus proche du Soleil qu’elle, est plus petit qu’elle.
– Aucune planète n’est à la fois plus petite qu’Uranus et plus éloignée du Soleil qu’elle.
– Si toutes les planètes tournent autour de la Terre, alors Neptune aussi.
Questions
1. Discuter la validité du raisonnement : {G1, G2}╞ H
2. Transformer G1 et G2 en formes normales
Transformer ¬H en formes normales
Chercher une réfutation
Chainage
*Exercice 11
o A(x) ® D(x)
o B(x) Ù C(y) ® E(x, y)
o A(a)
3
o B(b)
o C(a)