Guide Reporting Santé Sécurité Décembre 2014 - V4

Guide du reporting
santé & sécurité

- Bouygues Construction -
Direction Développement Durable BY CN – C.Pacitti Guide du reporting sécurité – décembre 2014

Version 6 – Décembre 2014
1
Répertoire des modifications
Date Version Intitulé Pages modifiées

12/12/2014 6 Ajout de la holding dans les structures participant au 6;8
reporting
Suppression des VIE et stagiaires dans la description de 11

la POP A2
nouvelle charte RH pour les heures travaillées en 31 - 32

Annexe 2 du guide
2
Sommaire
Introduction............................................................................................................................................. 4
I. L’outil de reporting : Enablon SD .......................................................................................................... 4
II. La traçabilité des informations sources............................................................................................... 4
III. Le niveau de déploiement des campagnes de reporting santé - sécurité.......................................... 5
IV. Les correspondants du reporting santé - sécurité ............................................................................. 6
V. Le calendrier des campagnes de reporting santé - sécurité ............................................................... 8
VI. Le retraitement des périodes de reporting précédentes................................................................. 10
VII. Les définitions des « populations » utilisées dans le reporting santé - sécurité ............................ 10
VIII. Les règles générales de reporting santé - sécurité ........................................................................ 11
IX. Détails des indicateurs santé - sécurité Bouygues Construction ..................................................... 15
Collaborateurs de production (POP A1) ............................................................................................ 15
Collaborateurs fonctionnels (POP A2) ............................................................................................... 18
Ensemble des collaborateurs (POP A1+A2) ....................................................................................... 20
Intérimaires de production (POP B) .................................................................................................. 23
Sous-traitants (POP C) ....................................................................................................................... 25
Annexe 1 : Scénarii de reporting ........................................................................................................... 28
Annexe 2 : Note « Reporting RSE » de la Direction Développement RH BYCN ..................................... 31
Annexe 3 : Tableau de référence des indicateurs santé - sécurité ....................................................... 33
3
Introduction
La politique de prévention santé – sécurité de Bouygues Construction est animée par le Comité
Prévention qui assure le partage des bonnes pratiques ainsi que la cohérence des démarches de
progrès et des indicateurs de suivi. A ce titre, un reporting trimestriel portant sur l’ensemble des
enjeux en matière de santé et sécurité et se déployant dans la totalité des structures concernées est
mis en œuvre au sein de Bouygues Construction.
I. L’outil de reporting : Enablon SD
Pour permettre la production de chacun des indicateurs, les données de base concernées devront être
saisies dans un outil de reporting permettant leur stockage et leur consolidation : Enablon SD.
Cet outil, déjà utilisé au sein de Bouygues Construction pour la gestion des données extra-financières,
a été retenu pour administrer également le reporting santé – sécurité trimestriel.
Paramétré et déployé au sein de l’entreprise pour assurer la collecte des données de base, permettre
le calcul des indicateurs et ainsi alimenter les différents rapports internes et externes, Enablon est
accessible aux différents utilisateurs par internet, au lien suivant :
https://www3.enablon.com/bouygues.sd/go.asp
II. La traçabilité des informations sources
Les données de base qui devront être saisies pour permettre le calcul des indicateurs vont souvent
nécessiter un travail de préparation destiné à recueillir l’ensemble des sources nécessaire à la
production du chiffre. Il conviendra de conserver une trace de ces sources afin de pouvoir le
cas échéant justifier des données saisies. Ce besoin de justification pourra par exemple avoir lieu
dans le cadre des audits externes menés par les Commissaires aux Comptes lors de la revue annuelle
du reporting extra-financier (dans le cadre des exigences réglementaires de l’article 225 de la loi
Grenelle II).
La traçabilité des données de base peut être assurée par le biais de supports papiers classiques ou par
supports informatiques stockés sur PC, sur serveur ou même directement en pièce jointe sur l’outil de
collecte des données Enablon SD.
Afin d’assurer une traçabilité optimale, un process a été défini et doit être respecté par l’ensemble des
structures :
4
III. Le niveau de déploiement des campagnes de reporting santé -
sécurité
Chaque entité Bouygues Construction a défini, au sein de sa structure, le niveau adéquat de

déploiement des indicateurs santé - sécurité. Ces choix ont été réalisés en fonction des enjeux et
ressources propres à chacune d’elle.
Le tableau ci-dessous précise le niveau de saisie des indicateurs dans chaque entité :
Entité Niveau de déploiement
BY BAT IDF Entité
BY EFE Entité
Unités Opérationnelles
BY BI
(pays)
BY TP Entité
BYes Entité
DTP Unités Opérationnelles
Pôle Concessions Unités Opérationnelles

Unités Opérationnelles
VSL
(4 pôles ASIAPAC, CEME
5
IPSALA, VSL PRODUCT)
GIE Matériel Unités Opérationnelles
BYCN SA Entité
IV. Les correspondants du reporting santé - sécurité
Différents profils sont nécessaires à la mise en œuvre du processus de reporting dans le logiciel
Enablon; ces profils et les rôles qui y sont associés, sont décrits ci-après.
 Contributeurs
Les contributeurs sont les collaborateurs chargés de collecter les sources (par exemple les extractions
d’Acciline), d’en extraire les données de base (par exemple le nombre d’accidents de travail avec
arrêt), puis de saisir ces données de base et les commentaires associés, dans l’outil de reporting
Enablon SD.
Les contributeurs sont invités à saisir les données par un mail émis par Enablon SD.
Les contributeurs sont responsables de la fiabilité des données qu’ils saisissent ; ils doivent fournir les
commentaires nécessaires à la compréhension des données pouvant être considérées comme
suspectes et s’assurer qu’aucune erreur de saisie n’a été commise avant de soumettre leurs données à
la validation. Les contributeurs ont également pour rôle de garantir la traçabilité des informations en
assurant le stockage des données sources qu’ils ont recueillies (cf. chapitre II).
 Valideurs
Les valideurs sont des collaborateurs disposant d’une responsabilité suffisante au niveau de leur Entité
(ou Unité Opérationnelle) pour juger de la validité des données de base saisies par les contributeurs.
Lorsqu’un valideur identifie des données suspectes non associées à des commentaires pertinents, il
refuse les données par le biais d’Enablon SD et le contributeur concerné doit alors les revoir où
justifier ses saisies, puis soumettre de nouveau les données à la validation. Lorsque les données sont
considérées comme justes par le valideur, celui-ci les valide par le biais d’Enablon SD.
Les valideurs sont invités à valider les données par un mail émis par Enablon SD.
Le rôle des valideurs est majeur car ceux-ci permettent de fiabiliser la collecte des informations en ne
laissant remonter dans l’outil Enablon SD que des données validées, donc a priori exsangues d’erreurs.
Afin de les guider dans leurs travaux de vérification, un procédé de validation des données a été défini
:
6
 Administrateurs d’entité
Le fonctionnement du logiciel Enablon prévoit également des rôles d’administrateurs locaux et/ou
centraux. Pour le reporting santé – sécurité, ce rôle est assuré par la Direction Développement
Durable de Bouygues Construction (en charge par ailleurs du reporting extra-financier).
Son rôle est d’assurer la consolidation des informations au niveau de Bouygues Construction pour
alimenter les rapports internes et publications externes, mais aussi pour contribuer à la production des
informations requises par Bouygues SA.
L’administrateur central est en mesure de faire évoluer l’outil de reporting au vu des retours
d’expériences et des demandes des correspondants. Il a donc en charge l’ensemble du processus de
reporting, depuis l’élaboration des documents supports jusqu’à la production des rapports, en passant
par l’affectation des droits d’accès aux différents utilisateurs d’Enablon SD.
La liste des contributeurs et valideurs du reporting trimestriel santé – sécurité est la suivante :
Correspondants du
Entité
reporting sécurité
Contributeur : Carole MONTAGU

BY BAT IDF
Valideur : Bruno MAGNIN
Contributeur : Valérie CARON
BY EFE
Valideur : Fabrice LEONI
Contributeur : David FONSECA
BY BI
Valideur : Jean-Daniel LE GALLIC
7
Contributeur : Luc PIARD & Alexandre PANEL
BY TP
Valideur : Fabrice LEONI
Contributeur : David AUBERTIN

BYes
Valideur : Eric LEFEBVRE
Contributeurs :
- Siège : Jérémy DEMASSIET
- UO France : Julien RIES & Thymiane LE FOLL
- PPP Concessions : Xavier GOURIO
- RTA : Sylvain HERBAUX & Dominique DELEPIERRE
DTP - Mines : Hawa TOUNKARA
- BLV : Louis PARVILLEZ
Valideur :
- Siège : Laurent LAHOLLANDE
- Autres : Jérémy DEMASSIET
Contributeur : Jérémie HOARAU

Pôle Concessions
Valideur : Christian TOURNIE
VSL Contributeur/valideur : Laurent LAHOLLANDE (provisoire)
Contributeurs :
- Marylinn HENOCQ (Matériel)
GIE Matériel
- Hélène PACOUIL (Distrimo)
Valideur : Olivier ROCHERON (Matériel & Distrimo)
Contributeur : Séverine ADNIN
BYCN SA
Valideur : Virginie PATRON
Les heures travaillées effectuées par les populations A1 et A2 sont définies au chapitre VIII du présent
guide. Elles sont récupérées par les contributeurs :
 Directement auprès d’un interlocuteur RH de l’entité en charge de déterminer ces

heures selon les critères de calcul définis dans ce guide,
[Une fois le réseau définitivement structuré, ces interlocuteurs seront
directement contributeurs dans Enablon]
 Ou via une extraction de Rubis, au moyen d’une interface paramétrée selon les
critères de calcul définis dans ce guide.
Pour les compagnons et workers, il s’agit des heures travaillées réelles. Pour les Etam-cadres, il s’agit
d’un nombre théorique d’heures travaillées sur la base d’une référence annuelle de 1607 heures pour
un collaborateur à temps plein en France et 2000 heures à l’international (cf. note « Reporting RSE de
la Direction Développement RH BYCN DU 17/10/2013 à consulter en Annexe 2 du présent guide).
V. Le calendrier des campagnes de reporting santé - sécurité
A compter de l’exercice 2013, le reporting santé - sécurité de Bouygues Construction est exécuté
trimestriellement dans son intégralité, permettant ainsi un suivi plus régulier et donc un pilotage plus
efficace des actions de prévention.
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Le calendrier des campagnes de reporting (sous Enablon) est le suivant :
 Ouverture de la campagne : le 10 du mois suivant la fin du trimestre

(ex : pour le 1er trimestre de l’année, les données pourront être saisies dans le logiciel à
partir du 10 avril).
 Contribution = saisie des données : du 10 au 17 du mois suivant la fin du trimestre
Les contributeurs saisissent dans Enablon SD les données qu’ils ont préalablement
collectées. Pour ce faire, un message automatique leur a été envoyé par Enablon SD en
leur précisant leur nom d’utilisateur et leur mot de passe, ainsi que l’adresse internet de
connexion.
La fenêtre de saisie pendant laquelle ils ont accès à Enablon SD leur est également
précisée et des relances leur sont adressées régulièrement jusqu’à la fermeture de la
campagne.
Les données saisies sont ensuite soumises à validation par les contributeurs via Enablon
SD.
Remarque :
Aucun indicateur ne pourra être saisi après la fin de la période de contribution.
 Validation des données : du 17 au 20 du mois suivant la fin du trimestre
Les données saisies par les contributeurs doivent être validées pour pouvoir être prises
en compte pour le reporting santé - sécurité.
Les valideurs sont avertis par mail automatique que des séries de données ont été
proposées à leur validation par des contributeurs de leur structure.
Les données sont revues de façon critique par les valideurs, corrigées si besoin par les
contributeurs, puis validées et dès lors disponibles pour leur consolidation.
Un second niveau de validation est assuré par l’administrateur central, renforçant encore
le niveau de fiabilité des informations.
Remarques :
- Aucun indicateur ne peut être validé si le contributeur ne l’a pas soumis en validation (il
ne suffit pas de l’enregistrer). Le valideur ne peut que modifier ou valider une donnée. Il
ne peut pas la saisir dès le départ.
- Aucun indicateur ne pourra être validé après la fin de la campagne de reporting.
 Fermeture de la campagne : le 20 du mois suivant la fin du trimestre
A cette date, les données devront donc avoir été saisies par le contributeur et validées
par le valideur. Ces dernières ne seront plus disponibles, ni à la saisie ni à la validation,
dès le 21 du mois.
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VI. Le retraitement des périodes de reporting précédentes
Les résultats des indicateurs santé – sécurité étant amener à évoluer, notamment du fait du
traitement des déclarations (AT, MP…) auprès des organismes nationaux compétents, le Comité
Prévention a décidé d’actualiser les valeurs reportées au fil de l’eau. Ceci afin de conserver un
reporting au plus près des réalités du terrain.
Ainsi, à chaque lancement de campagne de reporting trimestrielle, les campagnes des 3 trimestres
précédents seront également ré-ouvertes aux contributeurs (la saisie redevient possible) afin que ces
derniers puissent actualiser les données ayant évolué depuis la clôture des campagnes concernées.
Il est demandé aux contributeurs de bien conserver la trace des changements effectués à
postériori, afin d’être en mesure d’expliquer les différences observées dans les
historiques.
VII. Les définitions des « populations » utilisées dans le reporting

santé - sécurité
Les enjeux en matière de santé et sécurité au travail étant différents selon les catégories de
collaborateurs, il a été décidé de collecter des indicateurs de suivi propres à 4 grandes populations :
1. Les collaborateurs de production (POP A1)
 Un collaborateur dit de production passe l’essentiel de son temps sur le terrain (chantier,
atelier, base technique, usine de préfabrication, plateforme logistique, centrale de
fabrication (béton, enrobés,…), service transport,…). Il fait partie de l’effectif de
l’entreprise : en CDI, CDD. Son statut peut être ouvrier, agent de maîtrise (Etam) ou
parfois cadre. Ce sont des travailleurs manuels ; ainsi par exemple les conducteurs de
travaux ne relèvent pas, sauf exception, de la population A1.
En France, un collaborateur est « de production » s’il fait partie des effectifs pour
lesquels l’entreprise ne cotise pas à un code risque « bureau » ou « activité de conseil et
assistance » pour la couverture du risque AT/MP.
2. Les collaborateurs fonctionnels ou d’encadrement (POP A2)
 Un collaborateur dit fonctionnel ou d’encadrement passe l’essentiel de son temps au

bureau (cela concerne également le personnel des fonctions « support » basé dans
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l’enceinte du chantier mais travaillant essentiellement dans les bureaux et ponctuellement
sur le terrain).
En France, un collaborateur dit « fonctionnel ou d’encadrement » fait partie des effectifs

pour lesquels l’entreprise cotise à un code risque « bureau » ou « activité de conseil et
Il fait partie de l’effectif de l’entreprise : en CDI, CDD. Son statut peut être agent de
maîtrise (ETAM) ou cadre.
3. Les personnels mis à disposition (POP B)
 Sont définis comme appartenant à la POP B, les collaborateurs travaillant sur le site et
pour le compte de l’entreprise, mais qui n’ont pas un contrat de travail avec l’entreprise.
En France, cela concerne les collaborateurs mis à disposition par des agences d’emplois
intérimaires.
A l’international, cela concerne les collaborateurs contractés avec des sociétés spécialisées
dans la mise à disposition de personnels (entreprises de prêt de main d’œuvre, personnels
journaliers, personnels autres que sous-traitants).
Les stagiaires et VIE sont à inclure dans cette catégorie.
4. Les sous-traitants (POP C)
 Sont définis comme appartenant à la POP C, les sous-traitants et intervenants sur les sites
de l’entreprise, hors personnel extérieur mis à disposition de l’entreprise défini ci-dessus.
Il s’agit des employés de sociétés extérieures qui fournissent (via contrat de sous-
traitance, commande), un service à l’entreprise (que ce soit sur un site, au niveau du
management ou autre, ex : construction, sécurité, restauration, formation…).
VIII. Les règles générales de reporting santé - sécurité
Au cours de ses différents travaux, le Comité Prévention Bouygues Construction a édité des règles
générales en matière de reporting, afin d’harmoniser les pratiques et de fiabiliser la remontée des
données santé - sécurité. Ces règles, à respecter dans chaque structure et pour toutes les
populations, sont détaillées ci-après :
 Sociétés :
Sont prises en compte les sociétés dans lesquelles Bouygues Construction possède
(strictement) plus de 50% des parts
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 Groupements
Quelque soit le type de groupement : interne à Bouygues Construction ou avec

d’autres sociétés, sont à prendre en compte :
- Les collaborateurs ayant un contrat (permanent ou temporaire) directement avec la
société de Bouygues Construction concernée et
- Les collaborateurs embauchés par une société créée à l’occasion d’un projet, ce au
prorata du chiffre d’affaires de la société de Bouygues Construction concernée.
 Heures travaillées
 POP A1 (Compagnons en France / Workers à l’international) :

 Heures travaillées réelles : somme des heures effectivement travaillées sur le
trimestre par cette population

Les nombres d’heures seront obtenus à partir des pointages journaliers des
collaborateurs sélectionnés, ceci pour les mois à traiter. Les heures seront récupérées
auprès de la DRH après traitement paye. Même si le collaborateur est en JR/ ou L/, il
faut intégrer les heures effectuées sur la seconde demi journée. De même, s’il
travaille le matin et est en intempérie l’après midi (K, KD, I, ID), les heures travaillées
doivent être prises en compte.
Toutes les heures de présence sont à prendre en compte, y compris les heures de
délégation (HD) et les heures de formation (FC).
 POP A2 (Etam-Cadres en France / Staff à l’international) :

Toutes les notations de pointage de présence (P, PEC, PED, PMD et P/) sont à prendre
en compte. La notation P/ est à comptabiliser pour une ½ journée.
Chaque notation est à valoriser en heures suivant les nombres annuels d’heures
théoriques (1607 heures en France et 2000 heures à l’international).
 Accidents
 Prise en compte des accidents concernant des salariés de l’Entreprise ou des

intérimaires.
 Prise en compte des accidents concernant des salariés des entreprises sous-traitantes
dans la mesure où nous sommes au courant / informés de ces accidents.
 Prise en compte en AT des accidents pour lesquels le salarié est sous l’autorité de
l’employeur. C’est notamment le cas pour les tournois sportifs, les séminaires,
organisés par l’employeur.
 A l’inverse, un accident survenu dans le cadre d’une activité à laquelle le salarié
participe à titre individuel (ex. : AS Minorange) n’est pas pris en compte.
12
 Les accidents entre domicile et travail (les accidents de trajet) ne comptent pas dans
les TF, TFG et TG. Seuls sont pris en compte les accidents lors des déplacements
professionnels.
 Dans le cadre de prêts (sous réserve de convention de prêts entre entreprises), les
accidents sont pris en compte dans les filiales/établissements emprunteurs.
Dans le cas de mutation : les accidents sont comptés dans la filiale/l’établissement à
laquelle appartient le salarié le jour de l’AT.
 Dans le cas de joint venture intégrée (groupement) : les accidents et leurs
conséquences sont partagés entre les entreprises selon l’accord éventuel conclu sur ce
point dans le contrat qui les lie à la société projet ou selon la règle définie par l’entité
en fonction de sa position managériale dans le groupement.
 Dans le cas de joint venture séparée (consortium) : les accidents et leurs
conséquences sont pris en charge par les entreprises auxquelles sont rattachées les
victimes.
 Prise en compte, en France, des AT pour lesquels la CPAM a classé le dossier dans
l’attente de la réception d’un certificat médical.
 Pas de prise en compte des AT bénins ni des soins d’infirmerie dans le TFG.
 Un accident mortel compte pour un accident avec arrêt dans le calcul du TF.
 Jours d’arrêt
 Le jour de l’accident n’est pas compté dans le décompte de la durée de l’arrêt de

travail. Cet arrêt ne débute que le lendemain du jour de l’AT.
 Les arrêts de travail se calculent à partir de 1 jour d’arrêt(*), et se décomptent en jours
calendaires (y compris si le travail normal est de 5, 6 ou 7 jours /semaine).
 Les taux d’invalidité éventuels n’impactent pas le nombre de jours d’arrêt, seules sont
prises en compte les prescriptions médicales.
Cas particuliers :
 Si l’arrêt prescrit est de 3 jours, la durée d’arrêt prise en compte sera de 3 jours,
même si :
a. Le travail normal est en poste ou à mi-temps,
b. L’accident a lieu la veille de congés
c. L’accident a lieu la veille d’une autre absence, ex. : formation, JRTT
 Les retours au travail (en poste aménagé) avant la fin de l’arrêt prescrit permettent
d’arrêter le compteur des jours d’arrêt, à la condition que , et ce quelque soit la durée
de l’arrêt le médecin du travail (ou le médecin traitant) ait autorisé cette reprise.
13
 Les rendez-vous médicaux nécessaires dans le cadre des soins n’occasionnent pas de
jours d’arrêt dès lors qu’ils sont en dehors de périodes d’arrêts décidées par le
médecin.
 Un collaborateur ne peut être compté en arrêt s’il n’est plus lié à l’entreprise par un
contrat de travail.
 Accident mortel :
d. Prise en compte des jours d’arrêt éventuels entre l’accident et le décès,
e. Décompte minimum de 1 jour d’arrêt afin que l’accident soit comptabilisé au
niveau du TF.
 Les arrêts pour rechute d’AT sont pris en compte, sauf si l’accident est survenu dans
une autre entreprise.
(*)
A l’international, les accidents avec arrêt remontés dans le reporting ENABLON sont pris
en compte selon les règles de Reporting BYCN, à savoir à partir d’un jour d’arrêt, même si
la législation locale définit des règles de reporting des accidents différentes (prise en
compte des accidents supérieur à 3 ou 7 jours d’arrêt).
Cela peut donc entraîner des écarts entre le reporting local et le reporting ENABLON ; par
exemple, dans le cas d’une règle locale selon laquelle l’accident est avec arrêt si l’arrêt est
supérieur ou égal à 3 jours, un accident avec 2 jours d’arrêt sera enregistré :
 comme un accident sans arrêt au niveau local,
 comme accident avec arrêt de 2 jours dans le cadre du reporting ENABLON.
En complément, et dans le cadre de la réalisation d’un cahier des charges pour une interface
Acciline/Rubis, le Comité Prévention a répertorié une liste de cas particuliers, et pour chacun, a
apporté une réponse en termes d’exercice de reporting.
Il est demandé aux différents utilisateurs d’Enablon de prendre connaissance des

différents scénarii (détaillés dans les tableaux de l’Annexe 1 p27) et de suivre la
méthodologie de reporting associée.
14
IX. Détails des indicateurs santé - sécurité Bouygues Construction
Rappel : les définitions de chacune des populations sont décrites au paragraphe VII (page 9) du
présent guide.
La liste récapitulative des indicateurs santé – sécurité Bouygues Construction est disponible en
Annexe 2 p30.
Collaborateurs de production (POP A1)
 POP A1 : Effectif
- Référence Enablon : SS-BYCN.5.1.1
- Type d’indicateur : donnée de base, saisie par le contributeur
- Définition : nombre de collaborateurs appartenant à la POP A1, arrêté au dernier
jour du trimestre.
En France, un collaborateur est dit « de production » s’il fait partie des effectifs
pour lesquels l’entreprise ne cotise pas à un code risque « bureau » ou « activité
de conseil et assistance » pour la couverture du risque AT/MP.
- Unité : nombre
- Périmètre concerné : toutes les structures
 POP A1 : Nombre d’heures travaillées

- Définition : cumul entre le 1er et le dernier jour du trimestre du nombre d’heures
de travail effectuées par les effectifs de la POP A1 de la structure.
[Plus de précisions sur le calcul des heures travaillées en page 10 du présent

Guide, dans le paragraphe VIII consacré aux règles générales de reporting]
- Unité : heures
 POP A1 : Nombre d'accidents de travail avec arrêt supérieur à 1 jour

- Définition : sont pris en compte tous les accidents du travail survenus entre le 1er
et le dernier jour du trimestre sur le lieu de travail ou à l’occasion d’un
déplacement professionnel, quelle qu’en soit la cause, dès lors que l’arrêt de travail
consécutif à l’accident est supérieur à 1 jour.
[Plus de précisions sur la comptabilisation des AT en page 11 du présent Guide,
dans le paragraphe VIII consacré aux règles générales de reporting]
- Unité : nombre
15
 POP A1 : Taux de fréquence des accidents du travail
- Type d’indicateur : indicateur calculé, généré automatiquement par Enablon
- Définition : nombre d’accidents de travail avec arrêt supérieur à 1 jour, pour 1
million d’heures travaillées de la POP A1
- Données de base : SS-BYCN.1.1.2, SS-BYCN.1.1.1
- Formule de calcul : (SS-BYCN.1.1.2 x 1 000 000) / SS-BYCN.1.1.1
- Unité : ratio
 POP A1 : Nombre total d'accidents du travail

- Définition : sont pris en compte tous les accidents du travail survenus entre le 1er
déplacement professionnel, quelle qu’en soit la cause

- Unité : nombre
 POP A1 : Taux de fréquence global des accidents du travail

- Définition : nombre total d’accidents de travail, pour 1 million d’heures travaillées
de la POP A1
- Unité : ratio
 POP A1 : Nombre de journées d'arrêts consécutifs à un accident de travail

- Définition : cumul entre le 1er et le dernier jour du trimestre du nombre de
journées d’arrêts de travail consécutifs aux accidents du travail survenus sur le lieu
de travail ou à l’occasion d’un déplacement professionnel. Sont également
comptabilisées les journées d’arrêt générées par les accidents du travail survenus
en dehors de la période de prise en compte.
[Plus de précisions sur la comptabilisation des jours d’arrêt en page 12 du présent
- Unité : jours
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 POP A1 : Taux de gravité des accidents du travail
- Définition : nombre de journées d'arrêts consécutifs à un accident de travail, pour
mille heures travaillées de la POP A1
- Formule de calcul : (SS-BYCN.1.1.3 x 1 000) / SS-BYCN.1.1.1
- Unité : ratio
 POP A1 : Nombre d’accident de travail mortels

- Définition : cumul entre le 1er et le dernier jour du trimestre du nombre de décès
en raison ou consécutivement à un accident de travail survenu sur le lieu de
travail. Les accidents de trajets ne sont pas à prendre en compte

- Unité : nombre
 POP A1 : Nombre de maladies professionnelles

- Définition : maladie du fait de l’environnement ou de l’activité professionnelle
(stress ou exposition régulière à des produits chimiques nocifs, par exemple).
Seules les maladies professionnelles déclarées et reconnues par les autorités
locales sont à prendre en compte. Les maladies professionnelles reconnues doivent
être comptabilisées à la date de la reconnaissance (et non à la date de
déclaration).
- Unité : nombre
- Périmètre concerné : toutes les structures basées en FRANCE
 POP A1 : Taux d’absentéisme pour maladie

- Définition : taux d’absentéisme des collaborateurs de la population A1 pour raison
de maladie
- Unité : ratio
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Collaborateurs fonctionnels (POP A2)
 POP A2 : Effectif
- Définition : nombre de collaborateurs appartenant à la POP A2, arrêté au dernier
jour du trimestre.
En France, un collaborateur est dit « fonctionnel » s’il fait partie des effectifs pour
lesquels l’entreprise cotise à un code risque « bureau » ou « activité de conseil et
- Unité : nombre
 POP A2 : Nombre d'heures travaillées

- Définition : cumul entre le 1er et le dernier jour du trimestre du nombre théorique
d’heures de travail effectuées par les effectifs de la POP A2 de la structure.
On considère pour un collaborateur Etam ou cadre 401,75 heures par trimestre en
France et 500 heures par trimestre à l’international quelque soit le pays .

- Unité : heures
 POP A2 : Nombre d'accidents du travail avec arrêt supérieur à 1 jour

- Définition : sont pris en compte tous les accidents du travail survenus entre le 1 er
consécutif à l’accident est supérieur à 1 jour
- Unité : nombre
 POP A2 : Nombre total d'accidents du travail

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- Unité : nombre
 POP A2 : Nombre de journées d'arrêts consécutifs à un accident de travail

- Unité : jours
 POP A2 : Nombre d’accidents de travail mortels


- Unité : nombre
 POP A2 : Nombre de maladies professionnelles

déclaration).
- Unité : nombre
 POP A2 : Taux d’absentéisme pour maladie

19
- Définition : taux d’absentéisme des collaborateurs de la population A2 pour raison
de maladie
- Unité : ratio
Ensemble des collaborateurs (POP A1+A2)
 POP A1+A2 : Taux de fréquence des accidents du travail

million d’heures travaillées de l’ensemble des collaborateurs (POP A1+A2)
- Données de base : SS-BYCN.1.1.2, SS-BYCN.6.1.3, SS-BYCN.1.1.1, SS-BYCN.6.1.2
- Formule de calcul : (SS-BYCN.1.1.2 + SS-BYCN.6.1.3) x 1 000 000) / (SS-
BYCN.1.1.1 + SS-BYCN.6.1.2)
- Unité : ratio
 POP A1+A2 : Taux de fréquence global des accidents du travail

de l’ensemble des collaborateurs (POP A1+A2)
- Formule de calcul : (SS-BYCN.5.1.5+ SS-BYCN.6.1.4) x 1 000 000) / (SS-
BYCN.1.1.1 + SS-BYCN.6.1.2)
- Unité : ratio
 POP A1+A2 : Taux de gravité des accidents du travail

mille heures travaillées de l’ensemble des collaborateurs (POP A1+A2)
- Données de base : SS-BYCN.1.1.3, SS-BYCN.6.1.5, SS-BYCN.1.1.1, SS-
BYCN.6.1.1
- Formule de calcul : (SS-BYCN.1.1.3 + SS-BYCN.6.1.5) x 1 000) / (SS-BYCN.1.1.1
+ SS-BYCN.6.1.1)
- Unité : ratio
 POP A1+A2 : Indice de fréquence des accidents de travail mortels

20
- Définition : nombre de décès à la suite d’un accident de travail, pour 1000
collaborateurs. Afin d’obtenir un indice homogène à partir du nombre d’heures
travaillées, on considère dans ce calcul que les collaborateurs travaillent 1800h par
an.
- Formule de calcul : (SS-BYCN.1.1.5 + SS-BYCN.6.1.6) x 450 000) / (SS-
BYCN.1.1.1+ SS-BYCN.6.1.2)
- Unité : ratio
 POP A1+A2 : Nombre de maladies professionnelles

déclaration).
- Formule de calcul : SS-BYCN.1.1.6 + SS-BYCN.6.1.7
- Unité : nombre
 POP A1+A2 : Nombre de déclarations d'accidents de la route

- Définition : Accidents de la route (mission ou trajet) donnant lieu à déclaration
d’accident de travail (avec ou sans arrêt)
- Unité : nombre
 POP A1+A2 : Nombre d'accidents de la route avec arrêt supérieur à 1 jour

- Définition : Accidents de la route (mission ou trajet) donnant lieu à déclaration
d’accident de travail entrainant un arrêt de travail supérieur à 1 jour
- Unité : nombre
 POP A1+A2 : Nombre de jours d'arrêt suite à un accident de la route

journées d’arrêts de travail consécutifs aux accidents de la route ayant donné lieu
à une déclaration d’accident de travail. Sont également comptabilisées les journées
21
d’arrêt générées par les accidents de la route survenus en dehors de la période de
prise en compte.
- Unité : jours
 POP A1+A2 : Nombre d'accidents de la route mortels

- Définition : nombre de décès de collaborateurs suite à un accident de la route
(mission ou trajet).
- Unité : nombre
 POP A1+A2 : Nombre d'accidents de la route avec tiers pour la flotte VL de

l’entreprise
- Définition : sont pris en compte tous les accidents avec tiers de la route survenus
entre le 1er et le dernier jour du trimestre sur le lieu de travail, à l’occasion d’un
déplacement professionnel ou sur le trajet domicile-travail, déclarés chez l’assureur
sur les véhicules de la flotte de l’entreprise (hors accident sur véhicules courte
durée, véhicules personnels utilisés dans le cadre d’une mission ou du trajet
domicile-travail)
- Unité : nombre
- Autre remarque : valeur renseignée par BY CN Purchasing (reporting Gras Savoye)
 Nombre de véhicules légers constituant la flotte de la structure

- Définition : valeur de la moyenne arithmétique du nombre de véhicules légers en
parc le 1er jour et le dernier jour du trimestre, hors engins de chantiers et
remorques, constitutifs de la flotte de la structure
- Unité : nombre
- Autre remarque : valeur renseignée par BY CN Purchasing (reporting Gras Savoye)
 POP A1+A2 : Taux de fréquence des accidents de la route avec tiers pour la
flotte VL (accidents/véhicules)
- Définition : ratio entre le nombre d’accidents de la route avec tiers pour la flotte VL
et le nombre de VL de la flotte
22
- Formule de calcul : SS-BYCN.7.1.6/ SS-BYCN.7.1.7
- Unité : ratio
Intérimaires de production (POP B)
 POP B : Effectif
- Définition : nombre de collaborateurs appartenant à la POP B (= personnes
extérieures mises à disposition de l’entreprise), arrêté au dernier jour du trimestre.
les collaborateurs travaillant sur le site et pour le compte de l’entreprise, mais qui
n’ont pas un contrat de travail avec l’entreprise.
Sont concernés ici les personnels contractés avec des sociétés spécialisées de mise
à disposition de personnels (en France : personnel contracté auprès des agences
d’emplois intérimaires)
Les stagiaires et VIE sont à inclure dans cette population.
- Unité : nombre
 POP B : Nombre d’heures travaillées

de travail effectuées par les effectifs de la POP B de la structure. On considère
pour un collaborateur Etam ou cadre 151 heures par mois quelque soit le pays

- Unité : heures
 POP B : Nombre d'accidents du travail avec arrêt supérieur à 1 jour

consécutif à l’accident est supérieur à 1 jour
- Unité : nombre
23
 POP B : Taux de fréquence des accidents du travail
million d’heures travaillées de la POP B
- Unité : ratio
 POP B : Nombre total d'accidents du travail


- Unité : nombre
 POP B : Taux de fréquence global des accidents du travail

de la POP B
- Unité : ratio
 POP B : Nombre d’accidents de travail mortels


- Unité : nombre
 POP B : Indice de fréquence des accidents de travail mortels

24
- Définition : nombre de décès à la suite d’un accident de travail pour 1000
an.
- Formule de calcul : (SS-BYCN.3.1.5) x 450 000) / SS-BYCN.3.1.1
- Unité : ratio
 POP B : Nombre de journées d'arrêts consécutifs à un accident de travail (BI)

- Unité : jours
- Périmètre concerné : BYBI
 POP B : Taux de gravité des accidents du travail (BI)

mille heures travaillées de la POP B
- Formule de calcul : (SS-BYCN.8.1.4x 1 000) / SS-BYCN.3.1.1
- Unité : ratio
Sous-traitants (POP C)
 POP C : Effectif
- Définition : nombre de sous-traitants et intervenants sur les sites de l’entreprise,
hors personnel extérieur mis à disposition de l’entreprise défini ci-dessus.
Il s’agit des employés de sociétés extérieures qui fournissent (via contrat de sous-
traitance, commande), un service à l’entreprise (que ce soit sur un site, au niveau
du management ou autre, ex : construction, sécurité, restauration, formation…).
- Unité : nombre
- Périmètre concerné : BY BI
- Autres remarques : pour le nombre de sous-traitants, la comptabilisation pourra
être effectuée de façon simplifiée en utilisant des ratios liés au CA du sous-traitant.
25
 POP C : Nombre d’heures travaillées
de travail effectuées par les effectifs de la POP C de la structure. On considère
pour un collaborateur Etam ou cadre 151 heures par mois quelque soit le pays.
Si le nombre d’heures ne peut être comptabilisé, il peut être approché par la
formule : CA de ST
75
CA de ST = activité en € réalisée en sous-traitance pendant le trimestre considéré.

- Unité : heures
 POP C : Nombre d'accidents du travail avec arrêt supérieur à 1 jour

- Définition : cumul entre le 1er jour et le dernier jour du trimestre du nombre de
décès en raison ou consécutivement à un accident de travail survenu sur un
chantier Bouygues Construction.
- Unité : nombre
 POP C : Indice de fréquence des accidents du travail

million d’heures travaillées de la POP C
- Unité : ratio
 POP C : Nombre d’accidents de travail mortels


- Unité : nombre
26
 POP C : Indice de fréquence des accidents de travail mortels
- Définition : nombre de décès à la suite d’un accident de travail pour 1000
an.
- Formule de calcul : (SS-BYCN.3.2.3) x 450 000) / SS-BYCN.9.1.2
- Unité : ratio
 POP C : Nombre de journées d'arrêts consécutifs à un accident de travail

- Unité : jours
 POP C : Taux de gravité des accidents du travail

mille heures travaillées de la POP C
- Formule de calcul : (SS-BYCN.9.1.5x 1 000) / SS-BYCN.9.1.2
- Unité : ratio
27
1 CALCUL JOURS D'ARRET
1.1 Le collaborateur est suivi médicalement à la suite d'un Que l'accident a lieu: Le jour de l'accident n'est pas compté comme un jour
accident sur le lieu de travail. - en début du travail, ou d'arrêt
- vers la fin du travail
1.2 Le médecin ordonne un arrêt de travail de "X=3 jours" Accident le lundi 3j d'arrêt Principe:
Mardi- Mercredi- Jeudi Les jours calendaires sont pris en compte
Accident le vendredi 3j d'arrêt Mêmes règles si le travail normal est 5, 6 ou 7 j/semaine
Samedi - Dimanche - Lundi
Si le travail normal est en poste ou à mi- 3j d'arrêt
temps
Accident la veille de congés 3j d'arrêt
Accident la veille d'une autre absence, ex 3j d'arrêt

: formation, JRTT
1.3 Le médecin ordonne un arrêt de travail de "X=3 Combien de jours par semaine? 7 jours par semaine => 21 jours d'arrêt Principe:
Annexe 1 : Scénarii de reporting
semaines" Tout les jours calendaires sont pris en compte.

Mêmes règles si le travail normal est 5 6 ou 7 j/semaine
Le collaborateur retourne au travail après 21 j d'arrêt
2 semaines sans l'accord du médecin
Le collaborateur retourne au travail après 14 j d'arrêt

2 semaines avec l'accord du médecin
1.4 Un collaborateur en cours de guérison suite à une - En poste aménagé sans l'accord du 8 semaines = 56 j d'arrêt
blessure reprend le travail après 4 semaines d'arrêt. médecin
Il ne peut reprendre son travail habituel que seulement 8
semaines après son accident, soit 4 semaines après sa - En poste aménagé avec l'accord du 4 semaines = 28 j d'arrêt Approche différente selon culture du pays ou industrie
reprise. médecin
1.5 Un collaborateur est blessé suite à un accident de travail. - Avec l'accord du médecin 8 semaines = 56 j d'arret
Il ne peut plus reprendre son travail habituel pour raison
physique ou psychologique mais il reprend le travail -Le taux de handicap est défini. Pas d'impact sur les JA.
après 8 semaines d'arrêt dans un poste aménagé. Ex. 40% Toujours 56 jours d'arrêt à comptabiliser.
- Le taux de handicap n'est pas défini. Pas d'impact sur les JA
Toujours 56 jours d'arrêt à comptabiliser.
1.6 Un collaborateur reprend le travail suite à un accident. - 10 séances d'une heure. Avec les Pas d'impact sur les JA
Il doit prendre des journées ou demi-journées pour suivre déplacements, le temps réél va
des traitements s'approcher de la demi-journée
- 10 séances d'une demi-journée
- 10 séances d'une journée
2,00 LE PERIMETRE
QUI DOIT ETRE COMPTABILISE PAR QUI?
2.1 Un collaborateur est blessé lorsqu' il est muté sur un Le médecin lui donne un arrêt de travail Les heures, l'accident et les jours d'arret sont pris en Principe:
chantier d'une autre filiale du groupe pour 2 semaines compte par l'entreprise dans laquelle le collaborateur Les accidents et les heures doivent être comptabilisés dans la même entreprise.
travaille au moment de l'accident (l'emprunteur) Même règle si les deux entreprises font partie du Groupe (Bouygues).
2.2 Un collaborateur est blessé lorsqu'il travaille sur un Le médecin lui donne un arrêt de travail Les heures, l'accident et les jours d'arrêt pour
chantier ou l'entreprise fait partie d'un JV intégré. pour 2 semaines l'ensemble du chantier sont pris en compte par
chaque entreprise suivant leur part du contrat de la
société projet.
Ex. Si participation à 40% de la valeur du contrat, les
statistiques sont à prendre à 40% également.
2.3 Un collaborateur est blessé lorsqu'il travaille sur un Le médecin lui donne un arrêt de travail Les heures, l'accident et les jours d'arret pour
chantier ou l'entreprise fait partie d'un JV séparé. pour 2 semaines l'ensemble du chantier sont pris en compte par
chaque entreprise uniquement pour leurs propres
collaborateurs.
2.4 Un collaborateur est preté par une entreprise qui ne fait Le médecin lui donne un arrêt de travail Non comptabilisé, sauf s"il existe une convention de Principe:
pas partie du Groupe. Il travaille sous la supervision de pour 2 semaines prêt Les collaborateurs prêtés par d'autres entreprises ont des risques d'accident plus
l'entité du Groupe Bouygues et il est blessé lors d'un élevés (où ils peuvent être la source du risque) car ils n'ont souvent pas la même
accident. compétence ou formation que les collaborateurs du Groupe.
2.5 Un collaborateur du siège s'est blessé lorsque il fait une Le médecin lui donne un arrêt de travail Les heures, l'accident et les jours d'arret sont pris en Principe:
visite sur un chantier. pour 2 semaines compte avec la population A2 (non-affecté à la Les accidents et éventuelles jounées arret de travail doivent être comptabilisés où
production) sont comptabilisées les heures.
2.6 Un collaborateur d'une cellule technique basé sur un Le médecin lui donne un arrêt de travail Les heures, l'accident et les jours d'arret sont pris en Principe:
grand projet s'est blessé lorsque il fait une visite sur un pour 2 semaines compte avec la population A2 (non-affecté à la Tout collaborateur non affecté à la production mais basé sur un chantier doit être
chantier pour suivre un aspect technique. production), bien que le collaborateur soit basé sur le comptabilisé avec la population A2.
chantier. Ex. Services Finance/AGF, Comptabilité, Achats, RH, Design/Technique, Contrats,
Commercial, Marketing. En general, cette population ne fait des visites sur
chantier qu'occasionnellement).
2.7 Un visiteur s'est blessé lorsqu' il fait une visite sur un Le médecin lui donne un arrêt de travail Les heures, l'accident et les jours d'arrêt ne sont pas Principe:
chantier dans une zone de travail sous le management pour 2 semaines pris en compte par l'entreprise. Seules les données concernant les collaborateurs du Groupe, leurs sous-traitants et
d'une entité du Groupe. Il n'a pas été invité par les intérimaires sont prises en compte dans les statistiques.
l'entreprise. Néanmoins, les détails de l'accident doivent etre inclus dans le reporting
trimestriel.
Un visiteur s'est blessé lorsque il fait une visite sur un Le médecin lui donne un arrêt de travail Les heures, l'accident et les jours d'arret ne sont pas Principe:
chantier dans une zone de travail sous le management pour 2 semaines pris en compte par l'entreprise. Seules les données concernant les collaborateurs du Groupe, leurs sous-traitants
d'une entité du Groupe. Il a été invité par l'entreprise. et les intérimaires sont prises en compte dans les statistiques.
Néanmoins, les détails de l'accident doivent etre inclus dans le reporting
trimestriel.
29
2.9 Un collaborateur d'une autre entreprise où un visiteur est Le médecin lui donne un arrêt de travail Les heures, l'accident et les jours d'arret ne sont pas Principe:
blessé par une action suite à une négligeance de la part pour 2 semaines pris en compte par l'entreprise. Seules les données concernant les collaborateurs du Groupe, leurs sous-traitants
d'un collaborateur de l'entité du Groupe. et les intérimaires sont prises en compte dans les statistiques.
Ex un véhicule de chantier renverse la personne. Néanmoins, les détails de l'accident doivent etre inclus dans le reporting
trimestriel.
1.7 Un collaborateur est gravement blessé et a un arrêt de Il reprend le travail après 18 mois d'arrêt 18 mois = 1.5 x 365 = 548 j
travail important
Il quitte l'entreprise après 3 mois d'arrêt, 3 mois = 90 j
étant toujours en incapacité de travail
1.8 Un collaborateur est gravement blessé et il décède. - 6 semaines après son accident 6 semaines = 42 j
- le jour de son accident 0j
-2 ans après son accident 2 x 365 = 730 j
1.9 Un collaborateur est gravement blessé et il devient - Le dossier avec sa classification de son Le collaborateur est en arrêt tant que le médecin n' a pas décidé de sa reprise (tant
handicapé. Il ne peut reprendre le travail même après 1 taux de handicap n'est clos qu'après 3 qu'il est toujours l'entreprise )
année d'arrêt. ans. Pas d'impact sur les JA
- Le taux de handicap est défini.
Ex. 40%
1.10 Un collaborateur retourne au travail après un accident. - Le médecin lui donne un arrêt de travail 7 j supplémentaires comptabilisés en arrêt suite à
Quelques temps après, il souffre d'une re-chute de son pour 1 semaine supplémentaire l'accident initial
accident. (mais pas d'accident supplémentaire)
Ex : mal de dos.
- Le taux de handicap est défini. Pas d'impact sur les JA
Ex. 40%
1.11 Un collaborateur s'est blessé en jouant au foot lors d'un Le médecin lui donne un arrêt de travail 14 j comptabilisés en arrêt suite à un accident Le collaborateur étant sous l'autorité de l'entreprise, son accident est à déclarer
match ou il représentait l'entreprise. pour 2 semaines comme accident du travail.
Ex. Tournoi sportif, séminaire,...
Un collaborateur s'est blessé en jouant au foot dans le Le médecin lui donne un arrêt de travail L'accident et l'arrêt ne sont pas comptabilisés au Le collaborateur n'est pas sous l'autorité de l'Entreprise.
cadre d'une association à laquelle il participe à titre pour 2 semaines niveau des statistiques accidents du travail.
individuel L'arrêt est à inclure dans les absences pour maladie.
1.12 Un collaborateur s'est blessé en se promenant lors d'une Le médecin lui donne un arrêt de travail 14 j comptabilisé en arrêt suite à un accident L'accident survient pendant le temps de travail.
pause. pour 2 semaines
30
Annexe 2 : Note « Reporting RSE » de la Direction Développement RH
BYCN
Reporting RSE 2014

INDICATEURS SECURITE ET HEURES TRAVAILLEES
I. Rappel
Dans le cadre de la publication des informations extra-financières, le volet social du reporting RSE intègre
les indicateurs « santé-sécurité » suivants :
 Taux de fréquence des accidents du travail (TF)

 Taux de gravité des accidents du travail (TG)
 Et pour la première année en 2014 : Le nombre d’AT mortels sera également
publié
Le reporting annuel de ces indicateurs sécurité TF et TG pour la RSE s’appuie sur le reporting trimestriel
« santé-sécurité » de Bouygues Construction par addition des 4 trimestres de l’année civile.
II .Acteurs
Ces indicateurs sont sous la responsabilité de la filière QSE (ainsi que la rédaction des commentaires de
tendance et politique générale sécurité) mais exigent l’implication de la filière RH pour le calcul des
heures travaillées.
En pratique, la collecte trimestrielle se fait au travers du logiciel Enablon « Santé-

Sécurité ». A chaque contributeur/valideur QSE est associé un
contributeur/valideur RH qui est chargé de la collecte et/ou validation des
heures travaillées pour son périmètre.
III. Périmètre de consolidation
Le périmètre de consolidation des données sociales est calqué sur le périmètre de

consolidation comptable ( sociétés détenues à plus de 50 % par BYCN ou ses filiales)
 les sociétés en intégration globale sont consolidées à 100 % ;

 les sociétés en intégration proportionnelle sont consolidées à 100 % dès lors que le
pourcentage de détention dépasse strictement les 50 % ;
31
 les sociétés mises en équivalence ne sont pas consolidées.
Afin que les 10 filiales BYCN concernées par la publication de ces informations puissent
procéder à la consolidation de leur périmètre, il est nécessaire de disposer de ces indicateurs a
minima au niveau de chaque société juridique.
IV. Méthode de calcul des heures travaillées
Dans le cadre de l’obligation de publication (art. 225), le périmètre des heures travaillées concerne
exclusivement les collaborateurs en activité (effectifs salariés actifs) liés par un contrat de travail
avec l’une des filiales de Bouygues Construction établie en France comme à l’étranger.
Cela exclut les stagiaires, les VIE, les intérimaires, les sous-traitants et les prestataires ainsi que les
collaborateurs en contrat suspendu ou en longue maladie.
La méthode de calcul dépend du statut des collaborateurs et du périmètre

géographique.
Contrats France (yc expatriés Contrats locaux ou expatriés
de droit français) internationaux
Compagnons (Workers)
Heures travaillées réelles Heures travaillées réelles
(à déverser dans pop A1 du reporting
« Santé-Sécurité BYCN »)
Etam-Cadre (Staff)
Heures travaillées théoriques
(à déverser dans reporting « Santé- Heures travaillées théoriques
Référence INTERNATIONAL
Sécurité BYCN » dans pop A1 si Référence FRANCE
Forfait de 2 200 H pour 2014
personnel de production et en pop A2
si autre)
Nouveauté : Le forfait Etam/Cadres à l’International a été revalorisé à 2 200 heures/an. Ce forfait

tient compte de disparités importantes selon les pays, avec nos pôles Angleterre/Suisse/Europe en
dessous de 2 000 heures et le pôle Afrique/Asie plutôt autour de 2 300/2 400 heures.
IV. Calendrier
Remontée pour le 17/10/2014 des politiques, des objectifs et plans d’action Santé/Sécurité sur le
périmètre BYCN en coordination avec F.THIERRY
Renseignement des indicateurs d’heures travaillées trimestrielles dans Enablon « Santé-Sécurité » ou

fourniture des éléments à votre correspondant QSE entre le 10 et le 15 du mois suivant le trimestre échu.
Collecte du dernier trimestre clôturée au 06/01/2015 avec accompagnée d’un commentaire de tendance
fourni par le responsable filière QSE de l’entité. Les chiffres annuels 2014 sont obtenus par le cumul des 4
trimestres de l’année civile.
32
Annexe 3 : Tableau de référence des indicateurs santé - sécurité
Indicateur Référence Enablon Guide du reporting

POP A1 : Effectif SS-BYCN.5.1.1 p14
POP A1 : Nombre d’heures travaillées SS-BYCN.1.1.1 p14
POP A1 : Nombre d'accidents de travail avec arrêt supérieur à 1 jour SS-BYCN.1.1.2 p14
POP A1 : Taux de fréquence des accidents du travail SS-BYCN.1.1.7 p15
POP A1 : Nombre total d'accidents du travail SS-BYCN.5.1.5 p15
POP A1 : Taux de fréquence global des accidents du travail SS-BYCN.1.1.8 p15
POP A1 : Nombre de journées d'arrêts consécutifs à un accident de travail SS-BYCN.1.1.3 p15
POP A1 : Taux de gravité des accidents du travail SS-BYCN.1.1.9 p15
POP A1 : Nombre d’accident de travail mortels SS-BYCN.1.1.5 p16
POP A1 : Nombre de maladies professionnelles SS-BYCN.1.1.6 p16
POP A1 : Taux d’absentéisme pour maladie SS-BYCN.5.1.6 p16
POP A2 : Effectif SS-BYCN.6.1.1 p16
POP A2 : Nombre d'heures travaillées SS-BYCN.6.1.2 p17
POP A2 : Nombre d'accidents du travail avec arrêt supérieur à 1 jour SS-BYCN.6.1.3 p17
POP A2 : Nombre total d'accidents du travail SS-BYCN.6.1.4 p17
POP A2 : Nombre de journées d'arrêts consécutifs à un accident de travail SS-BYCN.6.1.5 p18
POP A2 : Nombre d’accidents de travail mortels SS-BYCN.6.1.6 p18
POP A2 : Nombre de maladies professionnelles SS-BYCN.6.1.7 p18
POP A2 : Taux d’absentéisme pour maladie SS-BYCN.6.1.8 p18
POP A1+A2 : Taux de fréquence des accidents du travail SS-BYCN.7.1.1 p19
POP A1+A2 : Taux de fréquence global des accidents du travail SS-BYCN.7.1.2 p19
POP A1+A2 : Taux de gravité des accidents du travail SS-BYCN.7.1.3 p19
POP A1+A2 : Indice de fréquence des accidents de travail mortels SS-BYCN.7.1.4 p19
POP A1+A2 : Nombre de maladies professionnelles SS-BYCN.7.1.5 p20
POP A1+A2 : Nombre de déclarations d'accidents de la route SS-BYCN.1.2.1 p20
POP A1+A2 : Nombre d'accidents de la route avec arrêt supérieur à 1 jour SS-BYCN.1.2.2 p20
POP A1+A2 : Nombre de jours d'arrêt suite à un accident de la route SS-BYCN.1.2.3 p20
POP A1+A2 : Nombre d'accidents de la route mortels SS-BYCN.1.2.4 p21
POP A1+A2 : Nombre d'accidents de la route avec tiers pour la flotte VL de l’entreprise SS-BYCN.7.1.6 p21
POP A1+A2 : Nombre de véhicules légers constituant la flotte de la structure SS-BYCN.7.1.7 p21
POP A1+A2 : Taux de fréquence des accidents de la route avec tiers pour la flotte VL
SS-BYCN.7.1.8 p21
(accidents/véhicules)
POP B : Effectif SS-BYCN.8.1.1 p22
POP B : Nombre d’heures travaillées SS-BYCN.3.1.1 p22
POP B : Nombre d'accidents du travail avec arrêt supérieur à 1 jour SS-BYCN.3.1.2 p22
POP B : Taux de fréquence des accidents du travail SS-BYCN.3.1.6 p22
POP B : Nombre total d'accidents du travail SS-BYCN.8.1.2 p23
POP B : Taux de fréquence global des accidents du travail SS-BYCN.3.1.7 p23
POP B : Nombre d’accidents de travail mortels SS-BYCN.3.1.5 p23
POP B : Indice de fréquence des accidents de travail mortels SS-BYCN.8.1.3 p23
POP B : Nombre de journées d’arrêts consécutifs à un accident de travail (BI) SS-BYCN.8.1.4 p24
POP B : Taux de gravité des accidents du travail (BI) SS-BYCN.8.1.5 p24
POP C : Effectif SS-BYCN.9.1.1 p24
POP C : Nombre d’heures travaillées SS-BYCN.9.1.2 p24
POP C : Nombre d'accidents du travail avec arrêt supérieur à 1 jour SS-BYCN.3.2.1 p25
POP C : Indice de fréquence des accidents du travail SS-BYCN.9.1.3 p25
POP C : Nombre d’accidents de travail mortels (12MG) SS-BYCN.3.2.3 p25
POP C : Indice de fréquence des accidents de travail mortels SS-BYCN.9.1.4 p25
POP C : Nombre de journées d'arrêts consécutifs à un accident de travail (BI) SS-BYCN.9.1.5 p26
POP C : Taux de gravité des accidents du travail (BI) SS-BYCN.9.1.6 p26
33

Guide Reporting Santé Sécurité Décembre 2014 - V4

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Guide du reporting

santé & sécurité

Direction Développement Durable BY CN – C.Pacitti Guide du reporting sécurité – décembre 2014

Date Version Intitulé Pages modifiées

Suppression des VIE et stagiaires dans la description de 11

nouvelle charte RH pour les heures travaillées en 31 - 32

Direction Développement Durable BY CN – C.Pacitti Guide du reporting sécurité – décembre 2014

I. L’outil de reporting : Enablon SD .......................................................................................................... 4

II. La traçabilité des informations sources............................................................................................... 4

III. Le niveau de déploiement des campagnes de reporting santé - sécurité.......................................... 5

IV. Les correspondants du reporting santé - sécurité ............................................................................. 6

V. Le calendrier des campagnes de reporting santé - sécurité ............................................................... 8

VI. Le retraitement des périodes de reporting précédentes................................................................. 10

VIII. Les règles générales de reporting santé - sécurité ........................................................................ 11

IX. Détails des indicateurs santé - sécurité Bouygues Construction ..................................................... 15

Collaborateurs de production (POP A1) ............................................................................................ 15

Collaborateurs fonctionnels (POP A2) ............................................................................................... 18

Ensemble des collaborateurs (POP A1+A2) ....................................................................................... 20

Intérimaires de production (POP B) .................................................................................................. 23

Sous-traitants (POP C) ....................................................................................................................... 25

Annexe 1 : Scénarii de reporting ........................................................................................................... 28

Annexe 2 : Note « Reporting RSE » de la Direction Développement RH BYCN ..................................... 31

Annexe 3 : Tableau de référence des indicateurs santé - sécurité ....................................................... 33

Direction Développement Durable BY CN – C.Pacitti Guide du reporting sécurité – décembre 2014

I. L’outil de reporting : Enablon SD

II. La traçabilité des informations sources

Direction Développement Durable BY CN – C.Pacitti Guide du reporting sécurité – décembre 2014

Chaque entité Bouygues Construction a défini, au sein de sa structure, le niveau adéquat de

Entité Niveau de déploiement

BY BAT IDF Entité

DTP Unités Opérationnelles

Pôle Concessions Unités Opérationnelles

Direction Développement Durable BY CN – C.Pacitti Guide du reporting sécurité – décembre 2014

IV. Les correspondants du reporting santé - sécurité

Direction Développement Durable BY CN – C.Pacitti Guide du reporting sécurité – décembre 2014

Contributeur : Carole MONTAGU

Direction Développement Durable BY CN – C.Pacitti Guide du reporting sécurité – décembre 2014

Contributeur : David AUBERTIN

Contributeur : Jérémie HOARAU

VSL Contributeur/valideur : Laurent LAHOLLANDE (provisoire)

 Directement auprès d’un interlocuteur RH de l’entité en charge de déterminer ces

V. Le calendrier des campagnes de reporting santé - sécurité

Direction Développement Durable BY CN – C.Pacitti Guide du reporting sécurité – décembre 2014

 Ouverture de la campagne : le 10 du mois suivant la fin du trimestre

 Contribution = saisie des données : du 10 au 17 du mois suivant la fin du trimestre

 Validation des données : du 17 au 20 du mois suivant la fin du trimestre

 Fermeture de la campagne : le 20 du mois suivant la fin du trimestre

Direction Développement Durable BY CN – C.Pacitti Guide du reporting sécurité – décembre 2014

VII. Les définitions des « populations » utilisées dans le reporting

1. Les collaborateurs de production (POP A1)

2. Les collaborateurs fonctionnels ou d’encadrement (POP A2)

 Un collaborateur dit fonctionnel ou d’encadrement passe l’essentiel de son temps au

Direction Développement Durable BY CN – C.Pacitti Guide du reporting sécurité – décembre 2014

En France, un collaborateur dit « fonctionnel ou d’encadrement » fait partie des effectifs

3. Les personnels mis à disposition (POP B)

4. Les sous-traitants (POP C)

VIII. Les règles générales de reporting santé - sécurité

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Quelque soit le type de groupement : interne à Bouygues Construction ou avec

 POP A1 (Compagnons en France / Workers à l’international) :

trimestre par cette population

 POP A2 (Etam-Cadres en France / Staff à l’international) :

 Prise en compte des accidents concernant des salariés de l’Entreprise ou des