Vous êtes sur la page 1sur 21

STRUCTURE ET ENVELOPPE

STRUCTURE EN
ARCHIBORESCENCE
Réalisé:
 Abdoul jabbari Chaibou Encadré par: Prof Zaid Romani
 Hafadine Oumar Abdelkerim
 Zangré Damien
SOMMAIRE
 Définition d’une structure EN ARCHIBORESCENCE
La structure en Archiborescence vivantes Conception et
Exemples
 Les inconvénients et les avantages de cette structure
La structure en Archiborescence Mixtes Conception et
Exemples
La structure Archiborescence Artificiel Conception et
Exemples
LUC SCHUITEN
Luc Schuiten est un architecte belge, né le 8 janvier 1944 à
Bruxelles.Il est le créateur Archiborescence du concept depuis la
maison Oréjona qu'il construisit pour lui-même jusqu'aux cités
qu'il a imaginées en visionnaire pour une société revenue à des
modes de vie écologiques. Une trentaine d'années de projets,
destinés à suggérer au monde industrialisé d'autres voies que
celles de l'épuisement des ressources de la planète.
DEFINITION DE LA STRUCTURE
EN ARCHIBORESCENCE
Une structure en archiborescence est celle
présente dans l’architecture qui s’inspire de
toutes forme organismes vivants. De
nombreux architectes contemporains
s'inspirent de formes, structures et
proportions existant dans la nature,
produisant une architecture parfois aussi
dite « organique »
LES DIFFERENTS TYPES DE
STRUCTURES EN
ARCHIBORESCENCE
I. Structures vivantes

II. Structures mixtes (Vivante/Artificielles)

III. Structures artificielles ou mécaniques


I. Structures vivantes
La structure en archiborescence vivant est
généralement celle qui n’utilise que des matériaux
vivant dans sa construction comme la végétation. Les
techniques de construction sont nombreuse dont la
plus courante est le Tressage: des tiges saules sont
plantées en fonction d’un plan et dresser dans manière
à former une structure cohérente en tressant les tiges
entre eux.
Fab Tree House
La Fab Tree Hab est un concept tout droit sorti de l’imagination d’un
jeune architecte américain, Mitchell Joachim.C’est une maison qui
pousse toute seule. Cette dernière consiste à entrelacer les branches
d’un arbre, à les tresser et à les souder. Cela permet de créer des
tunnels, des pergolas et surtout, des murs. en utilisant une technique
de jardinage, communément nommée « pleashing » ou plessage.
Auerworld Palace
Tissant des jeunes arbres
vivants pour former une sorte
d'espace cathédrale en forme
de dôme, l'architecte Marcel
Kalberer et son groupe Sanfte
Strukturen repensent la façon
dont les matériaux et les
techniques de construction
vivants peuvent être utilisés
pour concevoir des espaces
modernes
Avantages Inconvénients
 ESTHETIQUE
Les structures en archiborescence offre
une possibilité d’avoir des structures
assez intéressantes tant à l’echelle d’une  Longue durée
habitation qu’urbain d’’exécution (peut
 ECONOMIQUE prendre des années )
Les structures archiborecenentes vivant sont  Absence d’une
économiques au niveau de sa mise en œuvre,
de la mains d’œuvre et surtout des matériaux
enveloppe étanche
utilisés
 ECOLOGIQUE
utilisation de matériaux naturel
Comment peut-on faire
pour répondre a ces
problèmes ?
Structure en Archiborescence Mixte
La structure mixte est un assemblage de
structure vivante et structure artificielle
comme le béton, l’acier…La technique
utilisée est souvent l’inosculation.
Méthodes de construction

L’inosculation correspond, en chirurgie, à


l’abouchement de deux vaisseaux de diamètre
identique. Par extension, ce terme représente en
botanique, à l’instar de la greffe, un procédé naturel
qui permet de « fusionner » deux branches entre
elles

Entre les tiges et le metal

Entre 2 tiges
Botany building
Des architecte construisent leurs structures
organiques à partir d'arbres à croissance rapide
comme les saules, qui peuvent être façonnés pour
grandir d'une certaine manière et fournir un support
ou une protection. Plier des arbres à votre gré dans
des structures vivantes n'est pas aussi simple qu'on
pourrait le penser. Il y a beaucoup de greffes
impliquées, ainsi que la construction de structures de
soutien, l'entretien et les soins.
Les étapes de mise en œuvre
Tout d'abord, la structure de support est construite, et les arbres vont pousser autour et monter. Ensuite, de
jeunes arbres flexibles sont plantés, attachés à la structure et soigneusement pliés dans la position de départ. Au
fur et à mesure que les arbres poussent, ils sont continuellement surveillés et vérifiés pour éviter d'être rabougris
par les fermoirs métalliques, ce qui peut limiter l'écoulement de la sève. Une fois que les arbres ont enfin poussé et
ont pris une fonction porteuse, un ingénieur en structure les teste pour la stabilité et la résistance - un «certificat
botanique d'aptitude »
Baubotanik
Le concept est simple : unir le bâti et la nature. La méthode de
construction étant ensuite d’utiliser les arbres vivants comme murs
porteurs par mixage d’acier. Il est allé plus loin que les nombreux
murs végétaux que nous connaissons. Ici les plantes ne prennent
pas racine dans des pots mais dans le sol. De plus, l’arbre n’est pas
une partie du mur mais constitue le mur. en utilisant des arbres à
écorce fine, il a été capable de les faire fusionner simplement à
l’aide d’une vis en acier. En 2005, il a monté sa première expérience
grandeur nature : un pont de 22 mètres de long et 2,5 mètres de
haut
La structure en archiborescence
Artificielle

Elle s’inspire du concept archiborescence dans sa


conception. Ces structures n’utilisent pas de matériaux
vivants mais plus tôt des matériaux inertes comme les
structure en béton; bois ou métal…
Hangar-7 de
Sabourglz
L'architecte Volkmar Burgstaller a concus le
Hangars 7 en 2003 a Salzbourg . Utilisant 1
200 tonnes d'acier et 380 tonnes de verre
spécial, il a créé Hangar-7 qui orne désormais
la ville de Sabourglz et son aéroport.
A l'intérieur du Hangar-7, c'est le dôme de verre unique qui
attire inévitablement le regard vers le haut. Il s'étire comme les
voûtes
Conçue par Kengo Kuma sur le rivage de l’océan Pacifique, la
Coeda House se distingue par sa structure centrale en forme
d’arbre qui non seulement valorise son aspect et sa vue sur le
paysage mais surtout améliore les prestations statiques, mises
ici à dure épreuve par les nombreux séismes.

On y trouve en effet une structure en bois


émergeant d’un unique socle en béton armé
uni à la plate-forme de fondation, à son tour
reliée aux poutres inversées réparties le long
du périmètre. C’est sur ces poutres que
reposent enfin les baies vitrées de la façade.
L’arbre artificiel qui supporte le toit atteint et dépasse le
périmètre sur les quatre côtés avant de se déplier en légers
carreaux de bois de cèdre de 80x80 mm assemblés à l’aide de
clous en fibre de carbone, un matériau résistant à la traction
jusqu’à sept fois plus que l’acier. Ce choix technique a permis
d’atteindre un surplomb d’environ 5,5 mètres, une véritable
prouesse structurelle.

La fondation est également pourvue d’un adhésif, entre le pilier


et le socle, généralement utilisé dans les petits édifices pour
dissiper les mouvements telluriques à la base de la structure et
ainsi favoriser l’élasticité de l’ensemble du bâtiment de manière
à éviter les dommages statiques.
Bien qu’étant de taille considérable pour une maison dont la
toiture ne dépasse pas 12,5 mètres de côté, la structure centrale
est si découpée que son volume ne grève pas l’espace intérieur
mais, au contraire, en valorise l’ensemble dans la mesure où ses
composants ne donnent pas la sensation d'être liés les uns aux
autres.
MERCI POUR VOTRE
ATTENTION

Vous aimerez peut-être aussi