Vous êtes sur la page 1sur 18

Sujet 2

Comment Instagram influence les touristes

Un article récent du magazine américain National Geographic, explique comment Instagram influence
les touristes au moment de choisir leurs destinations. L'auteure et voyageuse Carrie Miller y montre,
chiffres à l'appui, l'effet de mimétisme que provoque le réseau social dédié à la photographie. Des
sites auparavant tranquilles voient leur fréquentation touristique augmenter soudainement. Le désir
d'authenticité expliquerait cet engouement, les photographies d'Instagram se montrant bien plus
inspirantes que d'officielles brochures touristiques. Elles permettraient même de passer des messages
pour sensibiliser à la protection de l'environnement. Toutefois, la journaliste du National Geographic
révèle une réalité beaucoup plus sombre qu'elle ne le paraît au premier abord. Comment ces sites
touristiques rendus populaires en très peu de temps peuvent-ils faire face aux dégradations de leur
environnement ? Et comment éviter que des internautes imitent des conduites à risques au péril de
leur vie ?

D'après Le Courrier international, 01.02.2017


SUJET 3 :
La France sacrée championne de l'égalité hommes-femmes dans les entreprises
Par Wladimir Garcin-Berson
Publié le 04/03/2021 à 12:00, mis à jour le 08/03/2021 à 10:37

Dix-neuf critères différents ont été retenus par Equileap pour classer 3702 firmes étudiées dans 23
marchés. L'Hexagone est en tête.

La France reste médaille d'or mondiale en matière d'égalité entre les hommes et les femmes en entreprise.
Dans la dernière édition de son rapport sur le sujet, le cabinet Equileap présente les cent entreprises et les
nations les plus en pointe sur ce sujet, après avoir examiné «près de 4000 entreprises [...] sur 23 marchés».
Et la France n'a pas à rougir de ses résultats.

Comme l'an dernier, I'Hexagone obtient le meilleur score global en termes d'égalité entre les sexes en
entreprise, avec 51 points sur cent, suivie de l'Espagne (49%), de la Suède (47%) et du Royaume-Uni (46%).
À l'inverse, le Japon (27%), les États-Unis (30%) et la Suisse (39%) font partie des mauvais élèves. Les bons
résultats français s'expliquent par l'instauration de quotas aux conseils d'administration des entreprises et
les actions récentes, dont la publication de l'index égalité, qui force les employeurs à prendre ce sujet à
bras-le-corps.
SUJET 4 :
Les robots vont-ils nous prendre nos emplois ?

Une récente étude du cabinet McKinsey annonce que de nombreux emplois seront
touchés par l'automatisation, y compris dans les secteurs où on s'y attendrait le moins.
Dans le droit par exemple, une start-up britannique permet déjà de contester des
contraventions de manière automatique, sans l'intervention d'un avocat. Ou encore
dans la presse où des programmes informatiques sont chargés de rédiger des articles
sur le sport ou la finance. Cependant une autre étude, conduite par le Conseil
d'orientation pour l'emploi cette fois, affirme que moins de 10% des métiers
disparaîtront. Ce qui s'annonce plutôt, c'est une collaboration avec des robots affectés
à des tâches répétitives. Par ailleurs, la robotisation à grande échelle, comme on peut
l'observer au Japon, génère de nouveaux emplois, selon le principe de la 'destruction
créatrice' de l'économiste Schumpeter. La tâche du travailleur consistera en effet à
apporter ce contact... humain devenu encore plus précieux.
SUJET 5 :
Des supermarchés ouverts le dimanche ?

En France, de plus en plus de supermarchés sont ouverts le dimanche. Traditionnellement, ce jour est un jour
de repos, dédié à la famille et aux loisirs. Nathalie Guy, représentante du personnel, appelle chacun à se
mobiliser : “Quand vous faites vos courses le dimanche, il faut réfléchir aux conséquences que ça a pour les
employés ! Est-ce que vous aimeriez travailler le week-end, vous ?”

Ces supermarchés ne sont pas hors-la-loi : pour eux, le travail le dimanche est autorisé jusqu’à 13 heures. En
ouvrant 7 jours sur 7, ils espèrent attirer plus de clients et rester compétitifs face aux achats sur Internet.
Alors, les supermarchés ne s’arrêtent pas là. Puisque leurs salariés ne sont pas autorisés à travailler le
dimanche après-midi, certains ont décidé d’ouvrir le magasin… sans aucun salarié. Comment est-ce possible ?
C’est très simple : des caisses automatiques remplacent les caissiers ; et le personnel présent, comme les
agents de sécurité, sont employés par des sociétés extérieures.

Les syndicats dénoncent un contournement de la loi et craignent que l’automatisation des caisses finissent
par supprimer les emplois des caissiers. À l’inverse, certains clients se déclarent très satisfaits de pouvoir
venir faire leurs courses quand ils le veulent.
SUJET 6 :
POUR OU CONTRE LA PHOTO SUR LE CV ?

Lorsque l’on réalise son CV pour candidater à un emploi, il est d’usage, en France, d’y insérer sa photo. Anh
Nguyen, chargée de recrutement, nous explique : “Une photo personnalise immédiatement le CV. Ça crée un
lien avec le candidat et permet de mettre un visage sur un parcours professionnel.”

Attention toutefois à bien choisir sa photo. Il ne s’agit pas de réutiliser une photo de vacances ou une photo
de carte d’identité. Elle doit être simple, sympathique, sobre et de bonne qualité.

Pourtant, cette pratique professionnelle ne fait pas que des heureux. La photo sur le CV est même au cœur
de la discrimination à l’embauche. Michaël, Français d’origine congolaise, l’a constaté : “J’ai fait une
expérience dans mes candidatures. J’ai envoyé des CV avec photo et des CV sans photo. Et je n’ai eu de
proposition d’entretien que de la part des entreprises qui avaient reçu mes CV sans photo.” La discrimination
à cause de la couleur de peau n’est pas la seule discrimination dont les candidats peuvent être victimes. En
moyenne, les études nous permettent de constater que les personnes obèses, âgées ou handicapées ont
moins de chances d’être contactées par un recruteur lorsqu’elles mettent une photo sur leur CV.
SUJET 7 :

JOURNÉE SANS VIANDE : CESSONS D’ÊTRE BÊTES !

Polluante, nocive pour la santé, ne respectant pas le bien-être animal, la consommation de viande est
régulièrement dénoncée par les végétariens, végétaliens et défenseurs de la cause animale et une journée
internationale, le 20 mars, est même consacrée à cette cause devenue politique et provoque bien souvent de
violents affrontements. Ces défenseurs d’une alimentation alternative ont pour eux bien des arguments mais
la posture accusatoire qu’ils adoptent révèle trop souvent une crise de l’humain qu’ils fabriquent sous
prétexte de respect pour l’animal, par une tentative d’effacement de la frontière fondamentale qui existe
entre l’homme et la bête.

Moins qu’un discours qui aurait toute sa légitimité sur les dérives de l’industrie agroalimentaire ou sur le
scandale de la maltraitance animale, ces défenseurs post-modernes dénoncent constamment l’homme et
célèbrent l’animal. (…) Leur démarche s’inscrit dans une logique émotionnelle : le consommateur est invité à
ne pas suivre sa raison mais ses réactions affectives.

Par Théophane Le Méné, publié le 19/03/2015 à 18:14 sur le site Internet du journal « Le Figaro »
SUJET 8 :
FAUT-IL INTERDIRE LE SMARTPHONE À L’ÉCOLE ?

Après le vote d’une proposition de loi, le 8 juin 2018, concrétisant un engagement du candidat Macron à la
présidentielle, les portables et autres smartphones seront interdits dès la rentrée 2018 dans le primaire et le
secondaire. Cette loi suscite un vif débat au sein de la communauté enseignante, des parents aux enseignants
en passant bien sûr par les élèves car aujourd’hui, près de 95 % des 12-17 ans sont équipés d’un téléphone
portable.

Une réalité aux conséquences multiples qui pose des questions de fonds sur l’utilisation massive des objets
numériques et connectés : quels impacts dans l’apprentissage et sur le cerveau de nos enfants ? quelles
évolutions des relations humaines et de notre vie en société ? Et surtout quelle vision pédagogique
construire autour de cette nouvelle réalité et de ces outils ? (…)
Pourtant, les raisons de cette interdiction avancées sont multiples : lutter bien sûr contre la distraction
permanente que ces objets connectés amènent dans l’école mais aussi contre la pornographie, le cyber-
harcèlement, les fake-news et même les effets néfastes de ces objets sur le cerveau de nos enfants, dixit le
Ministre de l’Education Nationale.

D’après tactileo.com
SUJET 9 :
LES MALADES NE S’AUTORISENT PLUS À S’ABSENTER

Selon un sondage, 60% des Français refusent un arrêt maladie contre l’avis de leur médecin. Le secrétaire général
du syndicat des médecins généralistes y voit un signe de mal-être au travail.

« Les gens hésitent beaucoup plus à s’arrêter aujourd’hui. Cela tient à la pression du marché du travail mais aussi à
la représentation sociale de l’arrêt maladie ». 40% des Français pensent en effet que beaucoup d’arrêts sont
injustifiés.

Toutes les catégories socioprofessionnelles sont concernées : il y a d’abord les salariés sous contrat court ou en
période d’essai. Ils pensent que l’arrêt maladie peut leur coûter leur poste ou empêcher un renouvellement. Il y a
ensuite la pression de certains postes. Le malade a peur qu’une fois absent, un autre fasse son travail à sa place.
Pour d’autres, l’absence entraine un retard difficile à rattraper au retour.

La pression financière joue également un rôle important. Pour beaucoup de salariés, cela représente une perte
d’argent. Ils préfèrent « attendre, voir si ça s’améliore » et risquent finalement des complications.
D’après Libération
SUJET 10 :

CONSOMMER LOCAL : EFFET DE MODE OU CHANGEMENT DURABLE ?

Depuis le lundi 8 août 2016, selon le Global Footprint Network, nous vivons à crédit : c’est-à-dire que
l’Homme a consommé en 8 mois l’ensemble des ressources que la Terre peut produire en une année. Les
sociétés occidentales prennent peu à peu conscience de l’urgence et de l’ampleur du danger. Cependant,
pour le consommateur qui veut responsable, il est difficile de trouver des moyens d’agir concrets face à des
problématiques complexes comme le changement climatique, l’exploitation des enfants chinois ou la pèche
totale en eaux profondes.

Parmi les plans d’action les plus simples à comprendre et à mettre en place : consommer local. Les mentalités
ont déjà évolué : selon une étude Ethicity, 85% des consommateurs privilégient les produits locaux. Mais cela
ramène inévitablement une question : acheter local, consommer local, ça veut dire quoi ?
D’après www.youphil.com
SUJET 11 :
SALARIÉS, ILS ONT CHOISI DE TRAVAILLER MOINS POUR PROFITER DE LA VIE
Ils ont choisi de travailler moins… même s’ils gagnent moins. Pour s’occuper de leurs enfants, planter des fleurs, s’investir dans
une association ou, comme Frédéric et Laure, profiter de la vie.

Ce jeune couple, qui avait détaillé son porte-monnaie sur Rue89, expliquait avoir fait le « choix de vie » de travailler moins
pour avoir plus de temps. Ils répètent d’ailleurs à l’envi le mot « temps ».
Laure est salariée à 80% dans la fonction publique et Frédéric, au chômage, ne cherche pas systématiquement des contrats
mais s’occupe des enfants, retape la maison et jardine. Ils vivent « modestement » avec 2 320 euros par mois, sans chercher à
« gagner plus ».

En France, les salariés bossent en moyenne 39 heures par semaine (Insee, 2012). Depuis 1950, la baisse de la durée du travail,
observée dans tous les pays développés, s’accompagne de la hausse du travail à temps partiel (18,7% en France, en 2011).
Qu’il soit voulu ou subi : un tiers des salariés à temps partiel déclarent n’avoir pas trouvé mieux.
Ceux qui ont répondu à l’appel à témoins de Rue89 ont un jour décidé de diminuer le nombre d’heures de travail pour faire
autre chose.

La décision se prend souvent à deux car, comme dans le cas de Sylvain, elle a des conséquences sur le budget d’un couple. Est-
elle pour autant tenable à plus long terme ?
D’après Le Nouvel Observateur
SUJET 12 :

L’ÉCRITURE MANUSCRITE EST EN DANGER

Mis à part pour une liste de course ou pour signer un chèque, il en est qui n’utilisent plus jamais de stylo.
L’été, on n’écrit quasiment plus de cartes postales, et même les vœux, les félicitations, les joyeux
anniversaires voire les condoléances, sont dorénavant expédiés par courriels ou SMS. Plus rapide, plus facile.
De moins en moins de bloc-notes lors des réunions en entreprise. On se présente avec sa tablette, sous peine
de passer pour un rétrograde et, à la fac, les étudiants suivent les cours avec leur ordinateur portable. C’est la
vie, c’est le progrès, disent certains. Mais d’autres s’alarment, car faire des pleins et des déliés, c’est bon pour
le fonctionnement des méninges. Ils se demandent même si l’écriture manuscrite ne sera pas bientôt
réservée à une élite…

Du reste, les enfants ont de plus en plus de mal à bien utiliser leurs mains pour tenir un stylo. Ils ont pris
l’habitude de balayer les écrans et leurs doigts ne seraient plus assez musclés qu’avant. Résultat : de moins de
petits carnets et de journaux intimes dans les chambres d’adolescents.
SUJET 13 :
LES RISQUES ET DANGERS LIÉS À L’ADDICTION DES RÉSEAUX SOCIAUX

Être accro aux réseaux sociaux, c’est tout à fait possible. Les dangers de cette addiction sont même devenus
un véritable fléau, surtout chez les adolescents. Scroller à longueur de journée ses comptes Facebook, TikTok,
Instagram ou Twitter peut devenir une véritable addiction. C’est même un véritable fléau de notre époque.
Les personnes les plus touchées par ce phénomène sont bien évidemment les adolescents, qui sont les
personnes les plus vulnérables (…)

Les réseaux sociaux ont également d’autres impacts négatifs sur ses utilisateurs et sur leur santé mentale.
Selon une étude britannique, Snapchat et Instagram seraient ceux ayant les effets les plus négatifs. Les
personnes qui utilisent les réseaux sociaux courent bien évidemment d’autres risques comme l’exposition aux
contenus choquants, les arnaques, les publications préjudiciables, la dépression ou encore l’attitude des
jeunes face à l’alcool.

Bref, avant de passer sa vie sur les réseaux sociaux, mieux vaut être bien au courant des risques.
SUJET 14 :

L’ÉCOLE EN DEMANDE-T-ELLE TROP AUX PARENTS ?


« Lorsque j’étais enfant, le rôle de mes parents se limitait à me disputer si j’avais de
mauvaises notes. Aujourd’hui, j’ai l’impression qu’on me demande de surveiller, de revoir
les leçons… J’ai l’impression d’être obligé de jouer les professeurs. Et si je ne le fais pas, je
me sens coupable », remarque Vincent, père de deux collégiens. De leur côté, de
nombreux enseignants se plaignent de passer une grande partie de leur cours à faire « le
travail des parents ». « C’est normal que les parents s’impliquent dans le travail scolaire de
leur enfant, on ne cesse de le leur demander ! Mais ils ne le font pas tous », observe
Christine, professeur d’allemand. Faut-il opposer les deux camps, à l’heure où les bienfaits
de la « coéducation » entre la famille et l’équipe pédagogique font de plus en plus l’objet
d’un consensus ? L’idée que la famille est déterminante dans la relation entre l’enfant et
l’école, et aussi dans la réussite scolaire, fait en effet son chemin.
D’après La Croix
SUJET 15 :

EST-CE QUE LE TRAVAIL, C’EST LE BONHEUR ?

Selon le baromètre du bonheur au travail, 69 % des salariés sont heureux au bureau. Un chiffre nettement
en baisse par rapport à l’année dernière. Les Français heureux au travail... mais moins qu’avant. Selon le
baromètre du bonheur au travail réalisé par 20minutes.fr et En Ligne Pour l’Emploi, 69 % des salariés sont
contents de prendre chaque matin le chemin du bureau. Un bon score mais bien inférieur à celui de l’année
dernière où 77 % des salariés français affirmaient être satisfaits professionnellement. Les collègues restent,
pour près de 80 % des personnes interrogées, l’élément qui les rend le plus heureux dans leur sphère
professionnelle. Viennent ensuite les pratiques qu’ils apprennent au travail (77 %) et le contenu de leurs
tâches et leurs missions (74 %). Mais le baromètre reflète également les conséquences de la crise. Plus de la
moitié des salariés ont le sentiment que leur charge et leur rythme de travail ne cessent d’augmenter. Le
stress gâche également la vie professionnelle de 30 % des salariés.

D’après lexpress.fr
SUJET 16 : INSERTION DANS LE MONDE DE TRAVAIL

LE RÔLE DE L’UNIVERSITÉ EST-IL DE PRÉPARER À UN MÉTIER ?


C’est ce que font les universités, de plus en plus. La professionnalisation est entrée dans les
établissements universitaires il y a une quinzaine d’années. Avant, ce souci de professionnalisation
existait moins, mais il y avait aussi moins d’élèves qui allaient à l’université. Aujourd’hui, on est
dans une logique d’insertion professionnelle imposée par la loi et cela se traduit par la création
d’un bureau d’insertion dans chaque université. De plus en plus, l’université ne fait que préparer à
un métier : elle ne devrait pas se limiter à cela. Bien sûr, on a envie que les étudiants réussissent.
Mais l’université n’est pas responsable si les étudiants ne trouvent pas de travail ensuite. On dit : «
Ils ont été mal formés. » L’université doit d’abord fournir une culture et un bagage qui vont
permettre aux diplômés de s’insérer, mais ce qui se passe après, en termes d’insertion
professionnelle, ce n’est plus du domaine de l’université.
D’après La voix du nord
SUJET 17 :

PEUT-ON VIVRE SANS TÉLÉ ?


2 à 3 % des Français refusent d’avoir la télé chez eux. Qui sont ces réfractaires de la télévision ?
Bertrand Bergier, sociologue, professeur à Nantes et à l’Université catholique de l’ouest, à Arradon,
a mené une enquête pour le découvrir. En se lançant à la recherche de ces gens, Bertrand Bergier
pensait découvrir une espèce en voie de disparition. En fait, il a trouvé une espèce en voie de
développement. Ce sociologue a enquêté auprès de 566 ménages et il en a tiré les grands types.
D’abord, ceux qui refusent la télé « parce qu’elle symbolise la perte des valeurs ou parce qu’elle est
considérée comme un outil de manipulation politique », souligne-t-il. Ensuite, ceux qui
considèrent que la télé est dépassée : ce sont les adeptes de l’internet, les 25-35 ans. Enfin, les
personnes nées avant 1955, qui n’ont jamais vu chez elles la télé et n’ont pas eu envie de s’équiper.
D’après Letelegramme.com
SUJET 18 :

LE TÉLÉTRAVAIL, UNE SOLUTION DURABLE ?


De plus en plus d’entreprises mettent en place le télétravail. Économie de transport, de temps, de
place… Ce mode d’organisation offre de nombreux avantages, tant aux employeurs qu’aux salariés.
Depuis 2008, toute la filière française d’Alcatel a mis en place un accord de télétravail dans
l’entreprise. « Aujourd’hui, le télétravail concerne près de 1 700 salariés, précise la DRH d’Alcatel à
Brest, soit 25 % de l’effectif. » De la même manière, le conseil général du Finistère expérimente
actuellement le télétravail auprès d’une partie de son personnel pour réduire le nombre de
déplacements. « On a lancé un appel à candidatures pour sélectionner 30 agents représentatifs
des différents métiers et grades », explique Anne-Marie Croc, chef du projet « télétravail ». « En
2008, le nombre de kilomètres économisés équivaut à vingt-deux fois le tour de la circonférence
de la terre », affirme Karine GimenezVeyriez. « Une journée télétravaillée représente une épargne
de 2 000 km de trajet, 32 heures de conduite et 162 kg de CO2 pour 27 télétravailleurs. »
D’après Aurélie TEPOT, Bretagne.durable.info
BOYCOTTER

Vous aimerez peut-être aussi