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Loubaba RAFI
Docteur en sciences de gestion
Plan
L’objet de la recherche: comment formuler l’objet de sa recherche?
La collecte des données:
L’étude de cas
L’entretien
Les techniques projectives
La collecte des données par l’observation
Les techniques d’analyse qualitative
Les techniques d’analyse quantitative
Structurer les résultats de la recherche:
Les contraintes de rédaction
La structuration et l’écriture
L’objet de la recherche
« Un projet de recherche constitue un système permettant de passer d’une intention générale à des
Maréchal, 1999)
Comment formuler l’objet de recherche?
Résultats de la recherche
Collecte des données par l’enquête
L’enquête est un mode de recueil de données extrêmement répandu en sciences de gestion. Elle peut se
faire de de deux manières:
• De façon qualitative
• De façon quantitative
Enquête par méthode qualitative
L’entretien:
Entretien individuel
Entretien de groupe
L’entretien individuel
L’entretien de groupe
L’entretien individuel
Les entretiens individuels sont bien adaptés pour l’exploration de processus individuels complexes
(compréhension, évaluation, décision, immersion, etc.) ou de sujets confidentiels, touchant à l’intimité de
l’individu ou encore tabous (la religion, la mort,, l’argent, etc.) et pour mettre en évidence des différences
individuelles.
On distingue trois formes d’entretiens individuels en fonction du niveau d’interaction entre l’animateur et
l’individu:
Directif
Semi-directif
Non directif
Entretien non directif/ entretien libre ou en
profondeur
Il est utile lors des recherches sur des sujets tabous, dont l’objet est peu défini, nouveau ou mal
structuré.
Le chercheur définit un thème général qu’il propose au répondant sans intervenir, mais en créant
jugement.
Entretien semi-directif ou semi-dirigé
L’entretien semi-directif est le plus utilisé en gestion, il est mené à l’aide d’un guide d’entretien
(grille ou canevas).
La formalisation du guide favorise des stratégies d’analyse comparative entre les répondants.
Préparer un entretien individuel
Selon la nature de l’entretien-semi-directif ou non directif-, le chercheur aura besoin d’un guide plus ou
moins structuré.
Entretien semi-directif:
Le guide d’entretien:
Introduction
approfondissement
Conclusion
L’entretien de groupe
production d’informations.
L’entretien de groupe
Explorer des sujets/phénomènes assez vastes tels que l’attitude et les comportements d’un
Le guide d’un entretien de groupe repose sur la même succession de phases que l’entretien
individuel.
La phase d’introduction: indique les règles de comportement attendues (écoute, respect des temps
de parole, absence de jugement)
Les phases de centrage et d’approfondissement: le guide peut alterner des phases individuelles et
collectives, d’une part, et des phases écrites et orales, d’autre part.
Les techniques projectives ont été utilisées pour la première fois en marketing dans les années 1950 par
Haire avec ses célèbres listes de courses, l’une contenant du café soluble Nescafé et l’autre du café en
grains Maxwell et à propos desquelles on demande de décrire respectivement la ménagère qui les a
rédigées.
Ces techniques visent à pallier les insuffisances des techniques directes de collecte de données (ex:
questionnaires) dans l’exploration des motivations profondes d’un individu, de sa personnalité, de ses
représentations, valeurs, attitudes, stratégies, intentions d’action, normes de jugement, etc.
Le principe sous-jacent est celui de la projection présenté par Freud comme le « processus par lequel le
sujet expulse de soi et localise dans l’autre, personne ou chose, des qualités, des sentiments, des désirs,
voire des « objets » qu’il méconnait ou refuse en lui »
Les techniques projectives
Quatre écrans psychologiques derrière lesquels les individus voilent leur comportement
Ecran de la conscience
Ecran d’irrationalité
Ecran de tolérance
Ecran de politesse
Une variété de techniques projectives
Le chercheur collecte des réponses, aussi spontanées que possible sous forme verbale (écrite ou
orale). Nous distinguons plusieurs groupes selon la tâche demandée au répondant.
Une variété de techniques projectives
Associer
Les techniques associatives consistent à présenter un stimulus (visuel, verbal ou sonore) à un individu ou
à un groupe et à demander de citer les mots ou images qui viennent spontanément à l’esprit.
L’hypothèse sous-jacente est de permettre à l’individu de révéler ses sentiments et opinions profonds à
propos d’un sujet. Au moment de l’interprétation des données, le chercheur compte:
1- la fréquence d’apparition de chaque mot cité, 2- le temps écoulé pour exprimer le mot, 3- le nombre
de personnes n’ayant pas répondu dans un temps raisonnable.
Une variété de techniques projectives
Compléter
Construire
Ces techniques s ’apparentent aux précédentes puisque les répondants doivent imaginer la fin
d’une histoire, d’un dialogue ou d’une situation décrite. Toutefois, les stimuli proposés sont
moins structurés: il s’agit le plus souvent d’images, de dessins.
Une variété de techniques projectives
S’exprimer
Ces techniques reposent sur le principe suivant: présenter au répondant une situation sous forme
verbale ou visuelle et lui demander d’exprimer, sous une forme soit verbale soit non verbale, les
pensée, sentiments, attitudes, etc. que pourraient avoir d’autres personnes.
Les avantages des techniques projectives
Pour le chercheur:
Recueillir des données que le sujet ne veut pas ou ne peut pas exprimer.
Accéder aux motivations profondes du comportement.
Limiter le risque d’incompréhension, de mauvaise interprétation par le répondant.
Pour le répondant:
La qualité du questionnaire est capitale pour la qualité du processus dans son ensemble. La
questionnaire.
La rédaction du questionnaire
Le vocabulaire employé doit être familier pour les répondants. Il faut éviter les termes techniques
et ceux qui peuvent avoir des sens différents entre différents groupes de répondants.
La longueur des questions peut également affecter la qualité des réponses. Il est recommandé de
formuler des questions courtes, ne dépassant pas 20 mots.
La rédaction du questionnaire
Les modalités de réponse permettent d’attribuer un chiffre à une caractéristique propre à un répondant: sexe, âge,
mais aussi attitude ou opinion.
Echelle: désigne le continuum sur lequel on situe les objets mesurés. Il existe quatre grands types d’échelles:
nominales, ordinales, d’intervalle et de rapport.
Échelle nominale: chaque modalité correspond à un seul objet et les codes utilisés ne sont que la transcription
d’une réalité sans ordre, ni hiérarchie.
Échelle ordinale: permet d’établir une relation d’ordre entre les modalités de réponse.
Échelle d’intervalle: une échelle est dite d’intervalle si les distances entre chacune des modalités successives sont
égales. Échelle de Likert
Échelle de rapport: consiste à recueillir un nombre, sans proposer de modalités spécifiques au répondant.
L’organisation du questionnaire
Si les questions et les modalités de réponse doivent être formulées avec la plus grande
attention, l’organisation de ces questions est elle-même sensible à plusieurs biais qui
peuvent dégrader la qualité du questionnaire.
Selon Rosenberg, tout sujet humain aborde la situation de questionnement avec un a priori qui
le pousse à croire que l’enquêteur cherche à évaluer sa santé mentale ou son degré de maturité
intellectuelle.
Concrètement, les répondants essaient de démontrer par leurs réponses qu’ils sont des individus
compétents et équilibrés.
Il est possible de réduire la tendance à l’anxiété en expliquant qu’il n’y a pas d’enjeu
d’évaluation de la personnalité
Biais à circonscrire
Dans le corps du questionnaire: l’organisation du corps du questionnaire est régie par un ensemble de
règles de confort: regrouper les questions par thèmes, insérer des phrases de transition entre ces thèmes
et utiliser la technique de l’entonnoir. L’ordonnancement des questions peut influencer la manière de
répondre des sujets et provoquer des biais.
Les effets d’ordre: il y a effet d’ordre lorsque la position d’un item dans une série de questions va perturber
la manière dont l’enquête va répondre.
Malgré toute l’attention que peut porter le chercheur à la construction de son questionnaire, seule une
étape de prétest lui permet de garantir l’absence de biais.
Administration du questionnaire
Les méthodes probabilistes, qui permettent de construire des échantillons représentatifs et qui
imposent au départ de disposer d’une liste exhaustive de la population.
Echantillonnage aléatoire simple: la sélection des répondants repose le plus souvent sur une
table de nombres tirés au hasard. A chaque nombre correspond un répondant.
Echantillonnage par jugement: repose sur l’opinion d’un ou plusieurs experts du secteur
d’activité.
Les méthodes d’échantillonnage
Les méthodes d’échantillonnage probabilistes doivent être privilégiés, étant les seules à permettre une
extrapolation des résultats obtenus sur l’échantillon à l’ensemble de la population d’étude.
L’extrapolation statistique à partir d’échantillons construits par les méthodes non probabilistes est tolérée.
Les modes d’administration du
questionnaire
En face à face, par téléphone, par voie postale, par internet. Ces solutions peuvent être
comparées selon trois critères:
Le coût de recueil
Sa durée
Soit en ligne
La plupart des recherches mettent en évidence que la personnalisation d’une enquête en ligne accroit le taux
de réponse
L’intérêt personnel que peut avoir le répondant pour le thème abordé a un effet positif sur le taux de réponses
La qualité des données: les enquêtes par mail induisent des taux de non-réponse plus faibles.
L’erreur systématique: Un mauvais choix dans les termes d’une question peut par exemple
amener l’ensemble des répondants à avoir une compréhension différente de celle souhaitée par le
chercheur.
La collecte des données par l’observation
L’observation est une méthode de collecte de données qui alimente traditionnellement la réflexion de
nombreuses disciplines en gestion.
Comment observer?
Qu’est ce que l’observation?
L’observation, au sens étroit du terme, est une technique de collecte des données primaires visibles et
audibles. Mais l’observation peut également être définie de manière plus large comme une stratégie
particulière d’interaction avec le terrain.
Observer consiste à voir ce que des personnes, des objets sont et font. L’œil et le regard du chercheur
sont alors les principaux vecteurs de l’observation.
Il ne s’agit pas alors de voir mais d’évaluer un phénomène et de suivre ses évolutions.
Qu’est ce que l’observation?
Les éléments qui ne sont pas directement visibles ( parce qu’il peut ne rien se passer) ou écoutables
(parce que les acteurs peuvent ne rien dire) peuvent se révéler décisifs dans la compréhension du
phénomène étudié par l’observateur.
Observer consiste à porter attention aux personnes, à leurs intentions, à ce qu’elles perçoivent
comme problèmes, aux contextes physiques, organisationnels,…etc.
Qu’est ce que l’observation?
L’observation est une stratégie d’investigation orientée vers un mode particulier d’interaction entre
le chercheur et son terrain. Deux options sont possibles :
L’observation passive: caractérise les situations dans lesquelles le chercheur ne participe pas à
l’activité des personnes observées.
Observer pour éviter les biais de reconstruction a posteriori: l’observation offre la possibilité
d’accéder en temps réel à l’objet de recherche.
Outiller l’observation: prises de notes, enregistrement
audio et vidéo
La prise de notes: les notes de terrain portent directement sur les situations observées.
Elles relèvent principalement les faits et les gestes des personnes observées, leurs
conversations et les contextes de leurs activités.
L’emploi de la vidéo: filmer les acteurs en situation, dans leur environnement habituel,
n’est pas toujours facile.
Les techniques d’analyse qualitative
Une particularité principale de l’analyse qualitative réside dans le fait que les mots et/ ou les éléments
non verbaux issus des observations, entretiens, documents, etc. réunis par le chercheur ne sont pas
immédiatement accessibles à l’analyse ( Gavard-Perret et al.,2012).
« L’analyse qualitative est un exercice intellectuel pour faire émerger du sens » (Paillé et Mucchielli,
2003).
L’analyse de contenu
L’idée centrale dans l’analyse de contenu est que les nombreux mots du texte sont classés
dans un nombre beaucoup plus petit de catégories.
Démarche générale:
La préanalyse: Cette première phase renvoie à la lecture « flottante » que le chercheur doit
faire.
Indexation:
Le chercheur doit étiqueter/ numéroter chaque document, numéroter les pages, paragraphes et
autres sous-unités de texte pertinentes.
Catégorisation/ codage
Le codage correspond à une transformation, effectuée selon des règles précises, des données
brutes du texte.
La rubrique
La catégorie
Catégorisation/ codage
La rubrique
La rubrique permet en lecture rapide de poser une étiquette sommaire sur un extrait, mais
sans délivrer d’informations sur le sens contenu dans cet extrait.
Elle s’apparente à un simple étiquetage qui permet de repérer les grands groupes
d’éléments et de les différencier les uns des autres.
Catégorisation/ codage
La catégorie
La catégorie se situe dans son essence, bien au-delà de la simple annotation descriptive ou
de la rubrique dénominative, elle est l’analyse.
Codage émergent: ne repose pas sur des catégories déjà constituées. L’idée est de faire
Le fil conducteur consiste à trouver des similarités, des analogies, ou au contraire des
différences, des oppositions et de procéder par rassemblements successifs des mots clés.
Codage a priori: le chercheur construit une grille de codage sur la base d’une théorie
Il s’agit de confronter les différentes unités du corpus aux catégories définies a priori.
Analyser les données codifiées
• Le chercheur doit faire parler les données et vérifier si les tendances s’en dégagent, c’est-à-
dire si certaines évidences de différentes sources convergent vers des faits similaires (Yin,
1981)
• A l’étape de l’interprétation des données, le chercheur doit laisser aller sa créativité, son
imagination et concrétiser ses intuitions par rapport à l’explication du phénomène auquel il
s’intéresse.
Illustration par les verbatim
Une analyse qualitative gagne à être illustrée le plus précisément possible par des citations
Par les verbatim, le chercheur permet à toute autre personne de vérifier la pertinence du
codage proposé.
Autres formes principales d’analyses
L’analyse thématique:
Son fonctionnement n’est guère différent de celui de l’analyse de contenu. L’objectif est de
trouver les thèmes récurrents entre les différents documents ou entretiens du corpus et les
contenus qui s’y rattachent.
L’objectif est de faire parler un corpus en le mettant en rapport avec différents contextes
susceptibles de l’éclairer et de lui donner du sens.
Le contexte peut être historique, politique, sociologique, etc.
La qualité d’une analyse de données
qualitatives
L’analyste doit s’assurer, par différents moyens, de ne pas se laisser aller à trop de
subjectivité dans l’analyse des données qualitatives qui nécessitent une interprétation plus
ou moins importante, selon l’objectif de recherche.
Il s’avère nécessaire pour améliorer la qualité d’une analyse qualitative de s’assurer qu’elle
contient les caractéristiques suivantes (Weber, 1990):
La stabilité: un codeur doit être capable d’obtenir, sur le même corpus, des résultats
identiques plusieurs fois de suite.
L’analyse statistique nous réserve trois différentes méthodes pour décrire et expliquer les données
quantitatives:
Les distributions non groupées: il s’agit de grouper toutes les observations et de les présenter
sous une forme plus simple à comprendre et à interpréter.
Primaire 725
Secondaire 905
Tertiaire 1000
Total 2630
Les tableaux statistiques
Les distributions groupées: les valeurs observées sont trop nombreuses et sont alors groupées
sous forme de classes distinctes.
La représentation graphique est un deuxième moyen statistique qui sert à déceler et visualiser les principales
caractéristiques des données.
Différents modes de représentation graphique sont possibles, selon la nature de la variable étudiée.
Les représentations graphiques
La variable qualitative
6
Diagramme en tuyaux d’orgue:
5
0
Catégorie 1 Catégorie 2 Catégorie 3 Catégorie 4
Les représentations graphiques
La variable qualitative
Diagramme circulaire :
Primaire 15 200
Secondaire 23 850
Tertiaire 12 600
Total 51 650
Les représentations graphiques
La variable quantitative discrète
60
50
40
30
20
10
0
1/5/2002 1/6/2002 1/7/2002 1/8/2002 1/9/2002
Les représentations graphiques
La variable quantitative continue
L’histogramme:
La réduction des données
La réduction des données observées consiste à les traduire en caractéristiques principales. L’objectif est de
Les paramètres les plus utilisés sont les caractéristiques de tendance centrale: les quatre M (mode, médiane,
médiale et la moyenne).
Ces caractéristiques sont les plus utilisées dans un premier travail de description
Les caractéristiques de tendance centrale
Elles constituent les statistiques les plus utilisées dans un premier travail de description: le mode, la
médiane, la médiale et les moyennes.
Le mode
Le mode correspond à la modalité observée le plus grand nombre de fois dans la série
statistique.
Dans le cas d’une variable quantitative continue, on parle de classe modale, qui correspond
au grand effectif dans la distribution. La détermination d’un point modal dans ce cas, peut
Ages Effectifs
[5-10] 45
[10-15] 55
[15-20] 30
[20-25] 15
[25-30] 20
Total 165
Le mode
Exemple: La méthode algébrique
Ages Effectifs
[5-10] 45 Mo=L1+(d1.a/(d1+d2)
[10-15] 55 L1: la limite inférieure de la classe modale.
[15-20] 30 D1: la différence entre l’effectif de la classe modale et
[20-25] 15 l’effectif de la classe précédente.
[25-30] 20
D2: la différence entre l’effectif de la classe modale et
Total 165
l’effectif de la classe suivante.
A: l’amplitude de la classe modale.
La médiane
Elle correspond à la valeur de la distribution statistique telle que la moitié des observations lui
sont inférieurs ou égales et l’autre moitié des observations qui restent lui sont supérieurs ou
égales.
Me
50% 50%
Notes Effectif
20 1
16 1
15 1
12 1
10 1
Total 5
La médiane
Cas de variable discrète: (n est impair: suite)
On classe les notes dans un ordre croissant: 10; 12; 15; 16; 20
on aura par conséquent comme résultat de la médiane la valeur qui correspond à la modalité
X(5+1)/2, tel que:
n=5 donc Me=X(5+1)/2=X3= 15
Notes Effectif
10 2
12 3
14 2
15 2
20 1
Total 10
La médiane (5,5 valeur) se situe entre les deuxième et troisième valeurs. Par conséquent, la médiane se situe entre
les notes 12 et 14 de la classe.
Si on calcule la moyenne de ces valeurs, le résultat est de 13.
La médiane
Variable continue:
La médiane est déterminée par la méthode de l’interpolation linéaire dans la classe médiane.
On doit procéder au calcul des ni cumulés croissants et déterminer la classe médiane.
xi ni Ni croissants
20-30 10 10
30-40 20 30
40-50 15 45
50-60 25 70
60-70 30 100
Total 100
50 Me 60
45 50 70
La méthode de calcul est pratiquement la même que celle de la médiane, sauf qu’on se
base sur ε ni xi .
xi ni Ni croissants ci Ni ci Ni ci
croissants
La médiale correspond à la valeur pour laquelle la somme des observations qui lui sont inférieures est égale à
4950/2=2475, qui correspond à la classe médiale 50-60
La médiale
50 Ml 60
1625 2475 3000
Ml=56,18 u.m
La moyenne arithmétique
X= 13290/100=132, 9
La préparation du travail de rédaction
Une nécessaire réflexion éthique et déontologique
propriété intellectuelle.
Cadre conceptuel et
Introduction Revue de littérature Analyse de résultats Conclusion
méthodologie
L’introduction
Elle doit expliquer très clairement l’objet de recherche et montrer l’importance du sujet.
Introduction
Questions de recherche et méthodologie
Contributions de la recherche
Organisation de la recherche
La revue de littérature
La revue de littérature a pour objectif de mener une analyse critique en lien avec les questions de
Le cadre conceptuel permet au chercheur de décrire son propre cadre de recherche, d’en montrer
l’originalité et la faisabilité.
La description des choix méthodologiques doit être précise pour permettre à tout chercheur de répliquer
la mesure.
L’analyse de résultats
L’analyse des résultats repose sur un exposé des résultats, suivi d’une discussion.
La conclusion
Objet de la recherche
Contributions clés
Conclusion
Limites
Perspectives de recherche
Merci de votre attention