recherche scientifique
Thème :
CAS : BDL
Promotion 2005/2006
1
REMERCIMENTS
2
Je dédie ce modeste travail à :
3
Mon trinôme : KARIMA et LYDIA,
sans oublier leur famille.
RADIA
Je dédie ce travail :
4
A tout mes cousins et cousines.
LYDIA
Je dédie ce travail :
5
A mes grands-parents maternelle,
et à la mémoires de ma Grand-mère
paternelle.
KARIMA
SOMMAIRE
Introduction générale…………………………………… 1
Introduction…………………………………………………3
Introduction……………………………………………… 4
Section 1 l’investissement…………………………………..4
6
1.1 définition de l’investissement…………………… 4
♦ approche économique…………………………… 4
♦ approche comptable………………………………..4
♦ approche financière……………………………… 4
Section 2 la banque………………………………………….. .8
Section 3 le financement……………………………………..11
7
Conclusion……………………………………………………..13
Introduction……………………………………………………14
Section 1 le crédit……………………………………………..14
8
Conclusion…………………………………………… 30
Introduction………………………………………………… 31
9
Conclusion……………………………………………………… 41
Conclusion……………………………………………………… 42
Introduction………………………………………………… 44
10
B/ Le besoin de fond de roulement………………………..55
C/ La trésorerie…………………………………………….56
1.2 La solvabilité……………………………………………57
1.3 La rentabilité……………………………………………57
2.1 Définition……………………………………………….58
2.2 Utilités………………………………………………….58
2.3 Les principaux ratios…………………………………...58
Conclusion…………………………………………………………70
Introduction………………………………………….71
1.1 Historique…………………………………..72
1.2 Fonctions de la BDL……………………….73
11
Section 2 L’organisation de la BDL………………… 75
Conclusion…………………………………………..100
12
Conclusion générale……………………………….101
Bibliographie
Annexes
Introduction générale
Introduction générale
La banque étant régie par les règles par la commercialité utilise l’argent
comme matière première qu’elle transforme en produit appelé crédit.
Accorder un crédit pour la banque c’est aussi réaliser un produit, cette rentabilité
est une nécessité pour assurer son développement.
13
aux entreprises locales tous secteurs confondus, nous essayerons de trouver les
réponses aux questions suivantes :
Introduction générale
Pour répondre à ces interrogations, nous avons scindé notre travail en trois
parties :
14
Partie 1 Le crédit d’investissement et son financement
Introduction
15
Partie 1 Chapitre1 Cadre théorique
Introduction
Avant d’entamer notre travail de recherche, nous allons faire
recours aux quelques notions indispensables tels que l’investissement, la
banque et le financement, pour comprendre les techniques et les
méthodes que nous essayerons de développer ultérieurement.
Section 1 L’investissement
1.1 Définition
L’investissement peut être défini selon trois approches qui sont :
approche économique, comptable, et financière.
♦ Approche économique
♦ Approche comptable
16
L’investissement constitue de tout bien meubles ou immeubles,
corporels ou incorporels, acquis ou crée par l’entreprise à rester durablement sous
la même forme dans l’entreprise.
♦ Approche financière
Et aussi :
Ils recouvrent toutes les dépenses à long terme, autres que l’achat
d’actifs fixes, que les entreprises utilise dans le but d’améliorer leurs résultats.
17
Ils concernent aussi les investissements dans la formation, dans les relations de
travail, dans les structures de gestion, dans l’organisation de la production,,
l’élaboration des relations commerciales et technologiques avec les autres firmes,
avec les fournisseurs et les consommateurs, investigation des marchés,
l’acquisition et l’exploitation des logiciels, achats de brevets…
18
- Ceux relatifs à la substitution aux importations.
- Ceux concernant la modernisation de l’outil de production.
- Ceux orientés vers l’exploitation.
- Ceux destinés à la mise en valeur des ressources naturelles.
Ce sont les dépenses de biens durables amortissant pour la plus part, autres que
les équipements productifs mais conditionnent en général le bon fonctionnement
et déroulement du processus de fabrication et de commercialisation.
Ce sont les investissements qui ont une relation avec :
- Les projets sociaux, enseignements, santé…
- Les projets de réalisation d’infrastructures, routes, ponts, barrages,… -
Les projets d’appui à la production, formations, assistance, encadrement
technique,…
19
♦ Les investissements stratégiques
Dans toute économie, la banque joue un rôle important. Elle est l’une des
premières ressources de financement de l’activité économique, son intervention
dans la création d’entreprise lorsqu’elle est sollicitée.
Le système bancaire actuel algérien ne répond pas aux normes
internationales, c’est un système qui, en dépit de quelques semblants de reformes,
n’arrive toujours pas à attirer l’investissement.
Pour que la banque joue pleinement son rôle, les reformes à engager doivent
impérativement libérer l’esprit d’initiative des banquiers et raccourcir les délais
dans les études des dossiers.
La banque est une entreprise particulière qui reçoit les dépôts et les fonds
de ses clients (entreprises ou particuliers), elle gère leurs moyens de paiements
(cartes de crédit, chèque…), et leur accorde de prêts.
La banque joue un rôle économique fondamental dans la mesure où elle finance
l’activité à travers la création monétaire. En d’autre terme, c’est une entreprise
qui a un statut juridique, une organisation, un système de pilotage et une
stratégie. Elle a des activités spécifiques et contribue au financement du secteur
20
public et du secteur privé, elle collecte l’épargne qu’elle mis à la disposition des
agents économiques sous forme de crédit.
La banque a pour objet de fournir des produits et des services financiers variés.
Elle forme un réseau qui est constitué de banque à statut commercial, de banque
d’affaire, de dépôt, de banque généraliste.
♦ Mission d’intermédiaire
21
Elle est essentielle et s’avère directement liée à la transformation des
ressources collectées (dépôts reçus) en crédit. En effet, c’est avec les fonds
collectés au près des ménages que les banques financent les projets
d’investissements et d’exploitation, tout en prenant la précaution de fixer les
échéances. Ce procédé permet aux banques de mobiliser des capitaux très
importants.
♦ Mission d’assurance
♦ Mission de conseil
22
de produits sur mesure sous peine de marginalisation ou de disparition pure et
simple.
♦ Mission de politique
Section 3 Le financement
23
Le financement peut être défini comme étant la mise en disposition des
ressources par un agent économique en capacité en faveur d’un autre agent se
trouvant en besoin de financement et ce pour objectif de réalisation d’un projet
d’investissement ou d’exploitation.
♦ L’autofinancement
Toutes fois, il est en général d’un faible montant alors que les
investissements à réaliser sont fort coûteux d’où la nécessiter de recourir aux
ressources externes de financement.
24
♦ Le financement des organismes préteurs (l’emprunt bancaire,
marché monétaire)
Conclusion
25
Partie 1 Chpitre2 le crédit d’investissement
26
durée de remboursement de ce crédit. Pour la banque, octroyer un crédit c’est
s’inscrire dans une relation durable avec l’entreprise.
27
au niveau local, ce qui justifie les décisions de la centralisation des dossiers au
niveau de la direction générale.
♦ autres contraintes.
Parmi les causes essentielles ayant une incidence négative sur les délais
de traitement des dossiers de crédit, nous citerons la non fiabilité de plusieurs
documents pouvant constituer la base même de la décision du banquier à
octroyer ou non les crédits notamment les pièces comptables, documents
financiers, expertise, technique, … qui ne reflètent guère la réalité des
entreprises étudiées.
Les conditions de crédit ne sont pas toujours respectées du fait que les
besoins exprimés par les entreprises sont mal apprécier.
Le financement bancaire des investissements étant soumis à des règles
prudentielles universelles, il est donc subordonné et octroyé sur la base d’un
dossier qui fera l’objet d’une analyse financière et de rentabilité afin de
déterminer la viabilité et la remboursabilité des concours à octroyé pour le projet
et le promoteur.
Cependant, dans son analyse critique du risque bancaire, la banque est souvent
confrontée aux problèmes ci après :
28
♦ Les données relatives à l’honorabilité, la moralité, le sérieux et le
comportement exemplaire en affaire des promoteurs sont un critère
essentiel dans la décision d’octroi de crédit, mais cet aspect est difficile à
maîtriser.
♦ Le choix des projets est souvent fortuit, il ne résulte pas d’une réflexion
objective, c’est pour cela qu il faut des garanties pour mesurer la volonté
des promoteurs de faire aboutir leurs projets.
Il faut comme même rappeler qu’une banque (publique, privée) est une
entreprise commerciale qui opère sur un secteur de l’économie nationale d’une
extrême sensibilité et dont la raison principale est la rentabilité financière.
La raison d’être de la banque est de faire du crédit aux ménages (particuliers),
entreprises, elle ne peut de se faire avoir une mauvaise volonté de faire des
crédits.
29
crédit bancaire ayant des limites qui sont fixées à travers, entre autre, les ratios
de solvabilité, de liquidités et de division des risques, il est clair que les banques
algérienne ne pourront supporter seules indéfiniment tous poids de
Financement des entreprises. Pour y remédier, il y a lieu de développer d’autres
moyens de financement tel que le leasing la création de société de capital risque
Création de banque d’investissement, le développement de la bourse des valeurs,
Le partenariat (ouverture de leur capital social, émission d’emprunts obligatoire
Pour le financement de développement.
30
Ces crédits sont généralement destines à financer l’acquisition d’équipement
légers, c'est-à-dire ceux dont la durée d’amortissement est égale à la durée de
remboursement de ces crédits.
31
**La possibilité pour la banque d’obtenir de la part de l’Etat des
bonifications, dans le but d’encourager les projets à caractère prioritaire.
C- Le crédit-bail (Leasing)
♦ Définition
♦ Mécanismes
32
**Le fournisseur est réglé par la société de crédit-bail.
a- Le crédit-bail mobilier
Il porte sur les équipements qui doivent être utiliser pour les besoins
de l’entreprise ou à titres mixtes et participer à la production de l’entreprise ; il
b- Le crédit-bail immobilier
33
**L’utilisation étant locataire du bien financé n’a pas à fournir des
garanties réelles.
34
♦ La sécurité pour préserver contre les différents risques qui seront
engendrés par ces opérations.
Les risques et les crédits sont deux termes qui sont fréquemment
utilisés dans le langage bancaire parce que l’activité bancaire se trouve dominée
par la notion du risque.
A- Définition du risque
35
**La mauvaise fois, c'est-à-dire quand le débiteur est capable d’effectuer
les remboursements à l’échéance, mais par la mauvaise fois, il ne rembourse
pas.
♦ Le risque d’immobilisation
Le risque de taux d’intérêt est le risque couru par une banque, celui de
voir ses revenus et sa valeur marchande influencée d’une façon négative par une
variation imprévu des taux d’intérêts.
EXEMPLE : une banque octroi un crédit à une personne en début de l’année
1996 à un taux d’intérêt de 08%.
Cette personne va rembourser dans un délai de 05 ans et ce taux d’intérêt a été
changé en 2002 ; alors ici les recettes récupérées par la banque vont être
échangées au fur et à mesure que le taux d’intérêt changera.
Mais aujourd’hui ce risque n’a pas une raison d’existence parce que les banques
appliquent un taux d’intérêt variable.
36
C’est le risque lié à la variation future des taux de change, un
banquier qui s’engage dans une transaction internationale peut être amener et
accorder des prêts en devises pour son client.
EXEMPLE : le banquier qui octroi un crédit en devise(euro) à la date de
l’échéance, la valeur de cette devise a diminué, alors le banquier va prendre la
différence entre la date de l’octroi et la date de l’échéance de crédit.
Aujourd’hui même, le risque n’a pas été pris en considération parce que les
banques appliquent le régime de la devise variable.
♦ Le risque sectoriel
♦ Le risque général
C- Limitation de risque
37
La division des risques, respect des règles prudentielles, la mise en place d’une
politique sélective de crédit et le contrôle rigoureux de la commission bancaire.
38
La banque recours à la commission bancaire lorsque le crédit demandé est d’un
montant trop élevé.
réduction des risques, en l’occurrence assurer des garanties consenties par les
clients en contre partie des créances.
39
***les garanties réelles.
1- le cautionnement
**La caution doit toujours être limitée dans son étendu et sa durée.
La personne qui se propose pour être caution doit avoir la capacité de jouissance
qui se définit comme étant l’aptitude d’avoir des droits, des obligations et la
capacité d’exercer le pouvoir de mettre en œuvre soit même ces droits et ces
obligations.
S’il s’agit d’une personne morale, le banquier doit vérifier préalablement si les
statuts de l’entreprise qui cautionne lui permettent de se porter caution.
2- L’aval
40
du débiteur principal, l’avaliseur ne bénéficie ni de droit de discussion ni de
celui de division.
1- -L’hypothèque
C’est une opération qui consiste à conférer au créancier un droit réel sur
les immeubles que le débiteur affectes en garantie de ses obligations ;
l’hypothèque doit être inscrite à la conservation des hypothécaires, a le droit de
faire saisir et vendre le bien grevé et de se faire payer sur le prix par référence
aux créanciers ; dans les sûretés immobilières, le banquier à intérêt à s’assurer
que la valeur du bien offert, en garantis est suffisante par rapport à son
engagement et que ce bien ne soit pas déjà hypothèque, c'est-à-dire que le client
doit présenter un certificat négatif délivré par le service d’hypothèque.
2- Nantissement
41
Généralement, il est nécessaire de prévoir un nantissement lors des transactions
commerciales particulièrement lorsque des prêts sont consentis par des banques
ou tout autre organisme financier. Si l’emprunteur ne fait pas face à des
engagements, c'est-à-dire s’il ne rembourse pas le prêt à l’échéance, le créancier
peut réaliser la gage pour récupérer l’argent qui lui est du.
Il existe plusieurs types de nantissement :
**Nantissement de fonds de commerce.
**Nantissement du matériel et outillage.
** Nantissement sur véhicule automobile.
Conclusion
42
Partie 1 Chapitre 3 les procédures d’octroi d’un crédit d’investissement
43
Nous essayerons de rapporter et de développer de mieux que nous pouvons, les
processus mis en œuvre par le demandeur et la banque et aussi d’expliquer
l’utilité de tons les documents fournis au dossier.
A / La demande de l’investissement
B / Documents administratifs
C / Documents comptables
44
♦ Bilan définitif et TCR y compris les annexes réglementaires des
trois (3) derniers exercices clos à réclamer dans les mêmes
conditions que pour une demande de crédit d’exploitation.
♦ Bilans et TCR prévisionnels étalés sur la durée du crédit sollicité et
dument signés par un responsable habilité.
E / Documents techniques
45
Ces documents concernent les projets de construction.
A- Présentation du projet
• Identification du projet
- implantation.
-branche d’activité.
-nature des produits et capacité de production.
-coût de l’investissement en dinars et en devises.
-nombre d’emplois à créer.
-avantages fiscaux et parafiscaux.
46
Le détail du programme d’investissement présenté par le promoteur
dans le canevas de demande de crédit doit faire l’objet d’un examen
minutieux rubrique par rubrique, pour assurer notamment que les coûts sont
correctement évaluées (factures définitives ou pro forme, contrat).
47
-forage des puits et taches d’eau.
-poste transformateur.
-équipements de sécurité (extincteurs).
48
consommable,…) nécessaire pour un cycle de production qui est
généralement de deux (2) à trois (3) mois.
A- La capacité d’autofinancement
Années/Rubriques 1 2 3 4 5
49
Principal
Intérêt
Total annuité de remboursement
Rubrique/années 1 2 3 4 5
Capacité d’autofinancement
Annuité de remboursement
Ecart (positif ou négatif)
An = 1/ (1+T) = (1+T)
50
a Nombre d’année.
T Le taux d’actualisation qui dans l’option bancaire est assimilé aux taux
d’intérêt débiteur.
♦ Le délai de récupération
51
Il s’agit d’un ratio permettant de mesure le rendement du projet
envisagé sur la base du dinar investi.
C- la structure de financement
52
montant Pourcentage (%) Déjà réalisé
Part
d’autofinancement
CLMT internes
CLMT externes
A-L’objet du crédit
Les crédits octroyés par la banque sont destines exclusivement à
financer la part du projet qu’elle a pris en charge.
Il ne doivent en aucun cas être détournés de l’objet au quel ils sont destines.
Pour ce faire le principe du paiement direct au fournisseur doit être
rigoureusement respecté.
B- Période de différée
C-Les garanties
53
Néanmoins, il est sécurisant pour la banque de se prémunir contre les alias en
prenant des garanties adéquate facile à recueillir et à réaliser en cas de
contentieux les garanties seront précisent dans la lettre d’autorisation de crédit.
D-Les conditions
Conclusion
Nous avons vu dans ce chapitre toutes les procédures d’octroi d’un
crédit d’investissement à commencer par le montage du dossier, son évaluation,
l’étude et l’analyse du projet et la mise en place de celui-ci, si le client obtient
l’accord de sa banque et demare l’activité. Mais, il y a des cas ou la banque
refuse de financer son client, et dans ce cas le client peut faire un recours qui
met 15 jours généralement pour avoir une réponse.
Il faut préciser aussi que dans le recours il y a des changements qui peuvent
concernés les taux d’intérêt, le montant demandé,…
Partie 1 conclusion
Conclusion
54
Chaque investissement induit l’élaboration d’un projet qui devra être
concrètement financé, cela en utilisant des différents modes de financement, le
moyen le plus utilise par les entreprises, est l’emprunt, à travers des crédits
octroyés par les banques.
Le banquier dans son étude, recherche la rentabilité du projet et proposera par
conséquent le montant du crédit et la durée de son remboursement, sachant que
toute décision de crédit doit être prise en fonction de l’appréciation des risques
et sa rentabilité.
Cependant, la confiance n’est pas le critère le plus pertinent, en matière de
décision de financement, il faut qu’il y ait une large connaissance des
solliciteurs, et une documentation complète concernant l’objet de ce crédit.
Partie 2 Introduction
Introduction
55
Les opérations bancaires (distribution de crédits octrois de
garantie….etc.) doivent être analysées comme des services rendus à l’entreprise.
Comme toute prestation des services, elles ont un coût, fonction de rémunération
et des charges de la collecte des ressources, mais également de divers risques
pris par le banquier.
56
Section 1 Etudes de documents comptables
Chaque entreprise doit obligatoirement éditer en fin d’exercice les
documents comptable (le bilan, le TCR) que nous essayons d’explicités leurs
rubriques et voir les indications qu’ils peuvent lui fournir.
1.1 Le bilan
A. L’actif du bilan
• Les investissements
Ce sont les biens et les valeurs achetées ou crées par l’entreprise
pendant plusieurs années
57
• Les immobilisations financières
Constitués essentiellement de titres de participation titre de placement,
prêt à long terme.
• Les stocks
Ce sont des biens acquis ou crées nécessitent leur mis en magasin ; ils
sont destines à être revendus ou être consommés pour les besoins de la
fabrication ou de l’exploitation
Exp. => marchandises, matières première.
• Les créances :
Ce sont les droits acquis par l’entreprise à la suite de ses relations avec
les tiers
Exp. : les clients, l’achat de titre, les avances ……….etc.
B. Le passif du bilan
• Fonds propres
Ce sont les fonds apportés par l’exploitant ou les associés lors de la
création de l’entreprise, ou à l’occasion d’augmentation du capital, ainsi que
les fonds laissés à la disposition de l’entreprise (bénéfices non distribués,
réserves….)
• Dettes
Représente l’ensemble des obligations contractées par l’entreprise à
l’occasion de ses relations avec les tiers
Exp. : fournisseurs….
Remarque
58
Tous ce que l’entreprise possède : Tous ce que l’entreprise doit :
terrains, constructions stocks, -à ses actionnaires (capital social et
matériels, créances, dépôts bancaire, réserves)
caisse. -à ses préteurs (emprunt à long, moyen
et court terme)
L’activité de l’entreprise
• Le chiffre d’affaire
59
C’est le montant des marchandises des productions vendues, données
en valeur nette, après déduction des remises et restournes accordées aux
clients
• Marge brute
C’est le résultat brut réalisé sur l’opération de vents ou de
marchandises.
• Valeur ajoutée
Elle est égale à la valeur des biens et de services incorporés dans le
processus de production (consommation interbancaire). Elle est l’indicateur
de la richesse que l’entreprise apporte à l’économie.
La rentabilité de l’entreprise
• Le résultat d’exploitation
Il exprime le surplus dégagé par l’exploitation après rémunération des
facteurs économiques privilégies (personnel et Etat) et prise en compte de
l’amortissement, c’est le revenu avant impôt laissé par l’exploitation courante
aux différents actionnaire et banquiers.
• Le résultat de l’exercice
C’est le calcul de l’impôt (IRG ou IBS)
• Le résultat de l’exercice
Il représente le résultat net de l’entreprise et qui exprime le solde
résiduel du résultat après prise en compte des opérations de réparation
(participation des salaries, impôts……)
60
N° LIBELLE M.DEBIT M.CREDIT
70 Marchandises vendues **
60 Marchandises consommées **
80 Marge brute
80 Marge brute **
71 Productions vendue **
72 Productions stockées **
73 Production de l’entreprise pour elle même **
74 Prestations fournies **
75 Transfert de charges de production **
61 Matières et fournitures consommées **
62 services **
81 Valeur ajoutée
81 Valeur ajoutée
77 Produits divers **
78 Transfert de charge d’exploitation **
63 Frais de personnel **
64 Impôts et taxes **
65 Frais financiers **
66 Frais divers **
68 Dotations aux amortissements et provisions **
83 Résultats d’exploitation
79 Résultats hors exploitation **
69 Charges hors exploitation **
84 Résultats hors exploitation
83 Résultats d’exploitation
84 Résultats hors exploitation
88 Résultats brut de l’exercice
0
88 Participation des travailleurs au bénéfice de
8 l’entreprise
88 Impôts sur le bénéfice
9
88 Résultat de l’exercice
61
2. 1 Définition
2. 2 Le principe de classement
Les comptes du bilan financier sont classés selon des principes leur
degré de liquidité et les comptes du passif sont classés selon leur degré
d’exigibilité.
Structure de l’actif
On trouve dans cette catégorie tous les biens qui ont un caractère durable
(à plus d’une année) .l’entreprise les a acquis dans le but de les conserver
longtemps, car leur vente risque de perturber le fonctionnement de l’entreprise.
62
Les valeurs d’exploitations sont classées selon leur degré de finition. De ce fait
le degré de liquidité des valeurs d’exploitation est très variable en raison de leurs
diversités mais ils sont plus liquides que actif immobilisé.
Ce sont les créances que l’entreprise détient et qui sont dans l’attente
d’être reconverties.
Structure du passif
Les éléments qui composent le passif du bilan financier sont classés par
ordre d’exigibilité croissante.
Le passif du bilan financier fait apparaître deux grandes rubriques :
- les capitaux permanents
- le passif circulant.
Ils constituent en sous rubriques qui sont les fonds propres et les DLMT
(dettes long et moyen terme).
Ce sont des sommes que l’entreprise doit rembourser dans un délai qui
dépasse une année. Ces dettes à long et moyen terme sont classées dans « dettes
63
d’investissement » cependant le la quotte part des dettes à long et moyen terme
exigible dans les prochains mois et reclassées dans les dettes à court terme.
♦ Le passif circulant
Ce sont des sommes que l’entreprise doit rembourser dans un délai qui
ne dépasse pas une année.
Enfin il faut noter que la dette à long et moyen terme et les dettes à court terme
représentent les capitaux étrangers (ressources externes)
- les retraitements
- les reclassements
- les retraitements des actifs sans valeurs
64
Les retraitements
Les plus values et les moins values sont englobées dans le compte 15 «
écarts de réévaluation » qui sont ajoutées fonds propres dans le cas ou les plus
values sont supérieures aux moins values, et dans le cas contraire, elle sont
déduites.
Les reclassements
Pour effectuer des reclassement il faut tenir compte des échéances, c'est-
à-dire le reclassement de l’actif selon le degré de liquidité croissante, par contre
le passif selon le degré d’exigibilité croissante.
Ce sont des actifs qui n’ont aucune valeur marchande parmi eux nous
retrouvons :
- les frais préliminaires
- les pertes de l’exercice
- les créances irrécouvrables.
65
Le but essentiel de l’analyse financière est la recherche et le maintien
des conditions de l’équilibre financier, la solvabilité et la rentabilité de
l’entreprise pour faire face, trois méthodes complémentaires sont utilisés :
- La méthode des masses financières.
- La méthode des ratios.
- L’analyse prévisionnelle.
A. Le fond de roulement
66
La détermination de l’équilibre financier peu être abordé de deux
façons, qui se rattachent aux deux pôles traditionnels de l’analyse financière à
savoir :
- La question de financement à long terme.
- La question de la trésorerie à court terme.
C. La Trésorerie (T)
Ou
T = Valeurs Disponibles T = FR - BFR
69
2.2 La solvabilité
Actif net réel =actif net comptable + (les plus values + les autres
réserves) – (les moins values + autres dettes) –actif sans valeur.
D’ou
2.3 La rentabilité
70
2-1 Définition
On se limitera dans cette étude aux ratios financiers les plus important
qu’on puisse classé en trois catégories :
- Les ratios de structure.
- Les ratios de gestion.
- Les ratios de rentabilité.
71
Ce sont les ratios qui caractérisent la situation financière de l’entreprise à
un moment donné et qui expriment les relations qui existent entre les éléments
de l’actif et de passif, ils sont les suivants :
Fonds propres
Autonomie financière =
Total des dettes
Endettement à long terme : Ce ratio qui fait ressortir dans les capitaux
permanents la part des emprunts doit être ≥ 2, il se calcule ainsi :
72
Financement stable des capitaux circulants
Fonds propre
Financement propre des immobilisations =
Valeur immobilisée nette
Capacité de remboursement
Actif circulant
73
Liquidité générale =
DCT
- Si il est <1 Le fond de roulement est négatif, c’est à dire que les DCT
financent la totalité des stocks et des créances et même une partie des
immobilisations.
Liquidité réduite
Liquidité immédiate
Valeurs disponibles
Liquidité immédiate =
DCT
74
Ce ratio exprime le nombre de fois de renouvellement de stock de
marchandise durant la période de renouvellement, il se calcule ainsi :
Marchandise consommée
Vitesse de ratio des marchandises =
Stock moyen de
Marchandise
75
Il indique le nombre moyen le jour de crédit obtenu des
fournisseurs.
Il doit être en harmonie avec le ratio (durée moyenne de crédit client) car
l’entreprise doit obtenir de ses fournisseurs un niveau de facilité de
payement qui correspond à celui accordé à ses clients, il se calcule ainsi :
Marge nette
76
Ce ratio mesure la rentabilité commerciale de l’entreprise. Il nous
renseigne sur le bénéfice net réalisé par l’entreprise pour chaque Dinars de
vente.
Résultat net
Marge nette =
CAHT
Le résultat d’exploitation
Bénéfice d’exploitation
Résultat d’exploitation =
CAHT
Résultat net
Rentabilité des fonds propres =
Fonds propres
CAF
Taux de rendement des fonds propres =
Fonds propres
Rendement de l’activité
77
Il permet de mesurer le rendement de l’activité de l’entreprise.
CAF
Rendement de l’activité =
Valeur ajoutée
Productivité du personnel
Valeur ajoutée
Productivité du personnel =
Effectif
78
Le plan de financement s’inscrit dans une démarche de gestion
prévisionnelle. Il est outil de quantification sur plusieurs années (05 années en
moyenne). « Il stimule l’ensemble des emplois durable des ressources stables
dont elle pourra bénéficier ».
Le plan de financement
79
Besoins. Périodes
1
Investissement. 2 3 4 5
Investissements corporels
Investissements incorporels.
Investissements financiers liés à
l’exploitation.
Augmentation du fond de
roulement lié au financement.
Remboursement du capital dans
l’emprunt antérieur.
Remboursement du capital des
emprunts nouveaux.
Dividendes.
80
Plan de la trésorerie
Du au
En
Mois
b- Total décaissements
Achat de marchandises +
matières premières.
Sous traitants.
Services extérieurs.
Salaires diverses chargés.
TVA à régler.
Impôts et taxes.
Investissements
Remboursement des emprunts +
crédit- bail.
AGIOCT + LMT.
c- Total encaissements.
Vente France production.
Vente export production.
Vente France négoce.
Ventes export.
d- Variations mensuelles de la
trésorerie (C.B).
81
Trésorerie en fin du mois (A.D)
Partie 2 Conclusion
Conclusion
82
L’analyse économique et financière, nous permet de mesurer
suffisamment l’aptitude du projet à s’adapter au marché. Cette analyse est
primordiale dans ce sens que les entreprises évoluent maintenant dans un
environnement concurrentiel et générateur de menaces. D’autre part l’étude de
la documentation présentée démontre parfois l’insuffisance de la rentabilité
financière du projet et son aptitude d’assurer les services de la dette, consistant
en principal et intérêt ainsi que la difficulté à asseoir en rendement aux capitaux
engagés.
Partie 3 Introduction
83
Introduction
84
Chapitre 1 Présentation et organisation de la BDL
1.1/ Historique
La BDL, banque de dépôt et d’investissement crée par le décret N85-85
du 30Avril 1985 publié au journal officiel n 19.
La BDL est une banque polyvalente dans la mesure où elle assure une
double mission :
85
LA BANQUE DE DEPOT : c’est une banque qui peut recevoir des
dépôts à vue et à terme de toutes personnes physiques ou morales, elle traite
toutes les opérations de la banque de crédit, de change ainsi que celle de
trésorerie.
-notion d’exploitation.
-notion de trésorerie.
-notion de sécurité.
86
-contrôler l’activité bancaire
-contrôle comptable.
-contrôle de la trésorerie.
87
Président directeur général
Conseillers attaché(s)
de direction
Direction de
l’inspection générale
Division
(au nombre de 4) Directions des inspec-
-tions régionales
(au nombre de 5)
Direction centrale du
Direction des affaires
réseau prêt sur
juridiques et du contentieux
gage
Directions centrales
(au nombre de 20)
Secrétariat général
Direction du réseau
d’exploitation
Agences
(au nombre de 140)
88
Cette organisation nous montre la hiérarchie du réseau de distribution,
celui-ci est composé d’une direction générale, elle-même comprend du conseil
d’administration, le président directeur général (PDG) et de trois directeurs
générales adjointes.
On trouve la direction d’inspection générale (DIP) repartie en cinq (05)
directions régionales.
Par contre la direction d’exploitation (DRE) repartie sur les succursales en
quinze (15) diverses wilayas, ces dernières assistent les agences qui sont la base
d’activité d’exploitation.
3- Direction des moyens matériels : elle a pour principale mission ; gérer les
biens, meubles de l’établissement et de développer l’infrastructure de la
banque.
89
7- Direction des affaires juridiques et du contentieux : elle veille sur la
gestion et le suivi des aspects juridiques concernant la BDL du coté de ses
engagements litigieux et contentieux, ainsi que du coté de sa représentation
auprès des instances juridiques.
90
2.2 Direction de groupes d’exploitation (succursales)
Les succursales sont les organes intermédiaires entre les agences et les
services centraux. Elles relèvent hiérarchiquement de la direction du réseau et
des affaires juridiques et entretiennent des relations fonctionnelles avec la
direction centrale.
C’est ainsi que plusieurs taches sont confiées, à savoir :
C’est la circulaire n 027/ 2001 du 25 Février 2001 qui fixe les attributions
et l’organisation de l’agence bancaire de la BDL telle qu’elle est au niveau
actuel de son développement. L’agence constitue la cellule de base
d’exploitation et le centre de production de la banque, au même titre que les
autres banques.
91
L’agence est la structure fondamentale d’exploitation, de traitement et
suivie des opérations de banques de dépôt et de crédit. C’est ainsi qu’elle est
engagée soit directement, soit à travers les différents services la compensant à
savoir :
Toute agence est dirigée par un directeur général (DG) nommé par le
président directeur général (PDG) de la BDL, qui entretient des relations
fonctionnelles avec les agences de son groupe d’exploitation et avec l’ensemble
des structures de la banque.
92
Chapitre 2 Cas pratique
Le cas pratique nous est suomis par la BDL pour une étude afin d’en tirer
les commentaires appropriés.
La demande de crédit formulée par le demandeur consiste à financer un projet
d’extension d’une batterie pour poules pondeuses.
Le coût global de l’investissement est de l’ordre de 20072000 DA, le crédit
sollicité est de 8972000 DA qui représente 45% du coût global.
♦ Présentation de l’entreprise
93
♦ Présentation du promoteur et gérant
Nom :
Prénom :
Date et lieu de naissance :
Situation de famille :
Adresse personnelle :
5. Cheptel
(poulettes 5700 000 5700 000
demarées)
94
Explication de chaque rubrique de l’investissement
Comprend :
Un camion H 100 s/c plateau 1044 000 DA.
Un camion H D 65 Frigo 2228 000 DA.
95
Janvier 2006 Février 2006
Entrée en activité
Financement promoteur
96
Tableau de financement global du projet
8972 000
Annuité = = 2 243 000 DA
4
An Annuité Intérêt Taxe Total à Reste
payer
1 - 471030 80075,1 471030 8972 000
2 2243 000 471030 80075,1 2714030 6729 000
3 2234 000 353272,5 60056,33 2596272,5 4486 000
4 2243 000 235515 40037,55 2478515 2243 000
5 2243 000 117757,5 20018,78 2360757,5 -
97
1.5 Les modalités d’exploitation du projet
• Le chiffre d’affaire
L’activité porte sur l’exploitation d’une unité avicole pour la
production d’œufs de consommation à partir d’élevage de poules
Pondeuses
Désignatio Unité Capacité de Taux Production Prix de Recettes
n de la mesurée production/jour de effective vente annuelle
production perte unitaire
Œufs à la
consomma oeuf 15000 750. 14250 5 19237500
--ation
15000 750 14250 19237500
• Les charges
Consommation de matières
98
Services
Impôts et taxes
99
Les frais divers
Ils sont estimés à :
100
1.6 Bilans provisionnels finaux
-clients 1900000 1990000 2050000 2100000 2250000
-disponibilités 3188000 3464000 4797000 5657000 6825000
(banque + caisse)
101
Partie 3 Chapitre 2 Cas pratique
passif 1 2 3 4 5
Fonds propre 11100000 1110000 1110000 1110000 11100000
Subventions reçues - 0 0 0
Résultats en - 5849000
instances 1295000 2681000 4197000
d’affectation
Résultat de 2590000 3584000
l’exercice 2772000 3033000 3304000
102
Partie 3 Chapitre 2 Cas pratique
♦ bilan financier
Actif 1 2 3 4 5
VI
-Terrains et 3072 000 3200 000 2816 000 2688 000 2560 000
bâtiments
-Matériel et 7020 000 6240 000 5460 000 4680 000 3900 000
outillage
-Matériel de 2618 000 1963 000 1309 000 654 000 -
transport
Total des 1271000 11403 000 9585 000 8022 000 6460 000
immobilisations 0
VE
-marchandises 4500 000 4650 000 4800 000 5000 000 5400 000
Total des VE 4500 000 4650 000 4800 000 5000 000 5400 000
VR
-Clients et 1900 000 1990 000 2050 000 2100 000 2250 000
factures à
établir
-avances 495 000 500 000 575 000 610 000 628 000
précompte
-avances 165 000 348 000 248 000 390 000 135 000
d’exploitations
Total des VR 2560 000 2838 0000 2873 000 3100 000 3013 000
-valeurs 3188 000 3464 000 4797 000 5657 000 6825 000
disponibles
(banque +
caisse)
Total des VD 3188 000 3464 000 4797 000 5657 000 6825000
103
2295800 22355000 22055000 21779000 21698000
Total d’actif 0
Passif 1 2 3 4 5
Fonds propre
-fonds social 111 00000 111 00000 111 00000 111 00000 11100000
-réserves et - - - - -
provisions
-bénéfices -
antérieurs
-bénéfice de 2590 000 1295 000 2681 000 4197 000 5849000
l’exercice
-frais 80 000 60 000 40 000 20 000 -
préliminaires
(n/on valeurs)
Total DCT 376 000 519 000 795 000 955 000 1165 000
Total passif 22958000 22355000 22055000 21779000 21698000
104
Partie 3 Chapitre 2 Cas pratique
Actif 1 2 3 4 5
Immobilisation 12710 000 11403000 9585 000 8022000 6460 000
Valeur 4500 000 4650 000 4800 000 5000 000 5400 000
d’exploitation
Valeur 2560 000 2838 000 2873 000 3100 000 3013 000
réalisable
Valeur 3188 000 3464 000 4797 000 5657 000 6825 000
disponible
Passif 1 2 3 4 5
Fonds propre 13610 000 15107000 16774000 18581000 20533000
Dette à moyen
terme
8972000 6729 000 4486 000 2243 000 -
Dette à court
terme
376 000 519 000 795 000 955 000 1165 000
105
Partie 3 Chapitre 2 Cas pratique
Actif 1 2 3 4 5
Immobilisation 55,36 51 43,45 36,83 29,77
Passif 1 2 3 4 5
Fonds propre 59,28 67,57 76,05 85,31 94,63
FR = (FP + DLMT) - VI
Désignation 1 2 3 4 5
(FP+DLMT) 22582000 21836000 21260000 20824000 20533000
VI 12710000 11403000 9585000 8022000 6460000
FR 9872000 10433000 11675000 12802000 14073000
106
Partie 3 Chapitre 2 Cas pratique
D’après ces résultats, on constate que cette unité va réaliser son équilibre
financier à long terme, le FR enregistre une hausse pendant les 5 années par la
baisse des VI suite à leurs amortissements.
Le crédit octroyé ne présente aucun risque pour honorer son remboursement
donc la capacité de remboursement est favorable.
Désignation 1 2 3 4 5
VE+VR 7060 000 7488 000 7673 000 8100 000 8413 000
DCT 376 000 519 000 795 000 955 000 116 5000
CB - - - - -
BFR 6684 000 6969 000 6878 000 7145 000 7248 000
Cette unité va réaliser son équilibre financier à court terme pour toutes les
années considérées puisque le BFR est positif.
Les dettes à court terme (DCT) sont entièrement couvertes par les valeurs
réalisables (VR).
• La trésorerie (T)
T = FR - BFR
Désignation 1 2 3 4 5
FR 9872 000 10433 000 11675 000 12802 000 14073 000
BFR 6684 000 6969 000 6878 000 7145 000 7248 000
T 3188 000 3464 000 4797 000 5657 000 6825 000
107
Partie 3 Chapitre 2 Cas pratique
ratio de financement
♦ ratio de financement des immobilisations
FP + DLMT
Ratio =
VI
Désignation 1 2 3 4 5
FP+DLMT 22582000 21836000 21260000 20824000 20533000
VI 12710000 11403000 9585000 8022000 6460000
RATIO 1,77 1,91 2,21 2,59 3,17
Dettes
Ratio =
Total d’actif
Désignation 1 2 3 4 5
Dettes 9348000 7248000 5281000 3198000 1165000
Total 22958000 22355000 22055000 21779000 21698000
d’actif
ratio 0,40 0,32 0,23 0,14 0,05
108
Partie 3 Chapitre 2 Cas pratique
Ratios de liquidités
Actif circulant
Ratio de liquidité générale =
DCT
VR + VD
Ratio de liquidité réduite =
DCT
Désignation 1 2 3 4 5
Actif 10248000 10952000 12470000 13757000 15238000
circulant
DCT 376000 519000 795000 955000 1165000
Liquidité 27,25 21,10 15,68 14,40 13,07
générale
VR + VD 5748000 6302000 7670000 8757000 9838000
Liquidité 15,28 12,14 9,64 9,16 8,44
réduite
Ces ratios dépassent 100% dans les 5 années donc, avec l’actif
circulant l’entreprise pouvait faire face à plus que la totalité de DCT.
Ces ratios dépassent largement la norme. On constate également que les DCT
sont couvertes par les valeurs réalisables et disponibles.
VD
Ratio de liquidité immédiate =
DCT
Désignation 1 2 3 4 5
VD 3188000 3464000 4797000 5657000 6825000
DCT 376000 519000 795000 955000 1165000
Ratio 8,47 6,67 6,03 5,92 5,85
D’après ces résultats, les DCT sont couvertes par les valeurs disponibles
puisque le ratio dépasse la norme (100%).
109
Partie 3 Chapitre 2 Cas pratique
Ratios de solvabilité
♦ Ratio de solvabilité générale
Total actif
Ratio =
Dettes
Désignation 1 2 3 4 5
Total 22958000 22355000 22055000 21779000 21698000
d’actif
Dettes 9348000 7248000 5281000 3198000 1165000
Ratio 2,45 3,08 4,17 6,81 18,62
Fonds propre
Ratio =
Dettes
Désignation 1 2 3 4 5
Fonds 13610000 15107000 16774000 18581000 20533000
propre
Dettes 9348000 7248000 5281000 3198000 1165000
Ratio 1,45 2,08 3,17 5,81 17,62
110
Partie 3 Chapitre 2 Cas pratique
B- Ratio de rentabilité
Ratio de rentabilité financière
Bénéfice net
Ratio =
FP + DLMT
Désignation 1 2 3 4 5
FP + 22582000 21836000 21260000 20824000 20533000
DLMT
Bénéfice 2590000 2772000 3033000 3304000 3584000
net
Ratio 0,11 0,13 0,14 0,15 0,17
Bénéfice net
Ratio =
Total d’actif
Désignation 1 2 3 4 5
Bénéfice 2590000 2772000 3033000 3304000 3584000
net
Total 22958000 22355000 22055000 21779000 21698000
d’actif
Ratio 0,11 0,12 0,13 0,15 0,16
CF Net = CFB
111
Partie 3 Chapitre 2 Cas pratique
Désignation 1 2 3 4 5
Résultat brut 2590000 2772000 3033000 3304000 3584000
Dotation aux 1582400 1582400 1582400 1582400 1582400
amortissement
s
Dotation aux
provisions à - - - - -
caractère
réserves
CFB 4172400 4354400 4615400 4886400 5166400
112
Partie 3 Conclusion
Conclusion
113
Conclusion générale
Conclusion générale
Le cas pratique que nous avons étudié, en est l’exemple parfait et,
à notre avis des projets pareils doivent rencontrer un écho favorable de la
banque (créditeur).
114
115