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INTRODUCTION ......................................................................................................................................................4
4. BILAN DES VISITES DE PREVENTION ET DES VISITES SUITE A UN SIGNALEMENT INCIDENT/ACCIDENT .....51
5. BILAN DES CONTROLES ET DES TRAVAUX DE MISE EN CONFORMITE DES SORBONNES ...........................56
5.1. CONTROLES PERIODIQUES DES SORBONNES .............................................................................................................. 57
5.2. TRAVAUX DE MISE EN CONFORMITE ET MAINTENANCE DES SORBONNES ..................................................................... 59
8. LA PREVENTION DES RISQUES LIES AUX INTERVENTIONS DES ENTREPRISES EXTERIEURES .........................71
8.1. BILAN DES PLANS DE PREVENTION ............................................................................................................................. 72
8.2. MUTUALISATION DES MARCHES DE CONTROLES REGLEMENTAIRES ET DE MAINTENANCE DES CAMPUS DE L’UNIVERSITE 74
11. BILAN DES ACTIONS DE FORMATION EN MATIERE DE SANTE, SECURITE ET CONDITIONS DE TRAVAIL...97
11.1. FORMATIONS RECURRENTES EN MATIERE EN MATIERE DE PREVENTION DES RISQUES .................................................... 98
11.2. FORMATIONS NOUVELLES EN MATIERE DE PREVENTION DES RISQUES .......................................................................... 99
ANNEXES ............................................................................................................................................................132
INTRODUCTION
Depuis la transformation du CHS en CHSCT en 2012, l’université Pierre et Marie Curie mène une
politique de prévention globale prenant en compte à la fois les aspects hygiène et sécurité et les
conditions de travail. Les défis rencontrés dans ces deux domaines sont toujours plus nombreux et
multiples dans un cadre réglementaire en constante évolution avec les enjeux de la société. Pour
relever ces défis, l’Université Pierre et Marie Curie s’est engagée depuis quelques années déjà dans
une démarche continue d’optimisation des actions de prévention mises en œuvre. L’objectif étant
d’offrir un environnement sécurisant et positif tant pour les personnels que les usagers. Cette année, a
eu lieu une réelle prise de conscience collective des progrès à réaliser dans la prévention des risques
psychosociaux. Par conséquent, l’amélioration de la qualité de vie au travail des personnels sera une
perspective pour 2015.
Ainsi, le rapport annuel de prévention 2014 tente de présenter de façon claire et complète le bilan
de la situation générale de la santé, de la sécurité et des conditions de travail au sein de
l’établissement et de l’ensemble des actions de prévention menées au cours de l’année. Le travail
transversal des directions a été renforcé permettant de consolider les actions de prévention
existantes et d’en mettre de nouvelles en place.
En plus de poursuivre les objectifs de prévention habituels (évaluation des risques professionnels, …),
l’université a investi de nouveaux axes de prévention telle que la prévention des risques
psychosociaux avec la mise en place d’un comité de pilotage RPS, et s’est dotée d’une application
dématérialisée RSST facilitant la communication des informations avec les chefs de site, assistants de
prévention et membres du CHSCT. Ces différents dispositifs s’inscrivent dans les orientations
stratégiques 2013/2014 du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche dont les 4
priorités sont :
Le présent rapport comporte 13 chapitres et un bilan global faisant état des actions réalisées et des
indicateurs fixés dans le programme annuel de prévention 2014.
La rédaction de ce rapport a fait l’objet d’une mobilisation importante des services de l’université et
doit donc contribuer à enrichir les échanges entre les membres du CHSCT et les services de l’UPMC,
et à informer l’ensemble des personnels des actions et de la politique menées Il sera un outil de
référence pour l’élaboration du programme annuel de prévention 2015.
Le Président de l’UPMC
Jean CHAMBAZ
Les accidents de service concernent les agents stagiaires et titulaires de la FP, les accidents de
travail, les agents non titulaires.
Personnels Personnels
Enseignants- enseignants- 2 3 0 0 5
Chercheurs, chercheurs Sciences
Enseignants Personnels
et chercheurs Enseignants du 2nd 0 0 0 0 0
degré;
Les doctorants 1 0 7 0 8
Les post-doctorants 0 0 1 0 1
Total 3 4 11 0 18
Chute d’objet
Plaie / piqure
Manutention
exposition
Projection
Agression
personne
Chute de
Contact-
Autres
TOTAL
Heurt
route
Personnels BIATSS 3 0 21 1 6 7 7 1 1 11 58
Personnels
Enseignants-
chercheurs, 2 1 10 1 6 1 0 1 2 24
Enseignants et
Chercheurs
Total 5 1 31 2 12 8 7 1 2 13 82
Agent titulaire 4 1 19 2 5 5 6 1 1 8 52
Agent contractuel
1 0 4 0 1 1 0 0 2 9
CDI
Agent contractuel
0 0 8 0 6 2 1 1 3 21
CDD
Total 5 1 31 2 12 8 7 1 2 13 82
Catégorie A 3 1 17 1 7 2 2 1 8 42
Catégorie B 0 0 3 0 2 3 0 1 0 1 10
Catégorie C 2 0 11 1 3 3 5 1 4 30
Total 5 1 31 2 12 8 7 1 2 13 82
Nombre et nature des maladies professionnelles déclarées à la Sécurité Sociale au cours de l’année :
0 pour les personnels en exercice. 1 a été déclarée en 2014 liée à l’amiante par un agent retraité
depuis 2000.
Nombre de salariés atteints par des maladies à caractère professionnel, au sens de l’article L.500 de
la Sécurité Sociale, et de nature de celles-ci, au cours de l’année : 0
Nombre de soins à l’infirmerie : 893 actes vers les agents, 946 vers les étudiants, 90 vers les agents
extérieurs.
Nombre de déclaration des maladies professionnelles liées aux TMS : 1 reconnaissance en 2014 ; 2
déclarations et 1 déclaration de maladie contractée en service.
2. Bilan des signalements des registres obligatoires en matière de santé et sécurité au travail
Pour rappel, il y a une situation de danger grave et imminent, lorsqu’un agent est en présence d’une
menace susceptible de provoquer une atteinte sérieuse à son intégrité physique ou à sa santé dans
un délai très rapproché.
Le tableau ci-dessous regroupe les deux situations signalées comme étant des dangers graves et
imminents par les représentants du personnel au CHSCT.
Unité
Date (service ou Sigle Site Localisation Remarque
laboratoire)
Laine de
04/08/2014 Secteur ouest UPMC Jussieu Barre 15-25
roche
Institut de Formation
03/09/2014 IFD Jussieu/Cordeliers / RPS
Doctorale
Tableau regroupant les signalements consignés dans le registre de danger grave et imminent en 2014
Ce matériau a été mis en place au niveau du secteur ouest dans les couloirs pour ses qualités
thermo-acoustiques. Cependant, les laines de roches présentent notamment des propriétés
urticantes, provoquent des irritations de la peau, des yeux et des voies respiratoires. En l’absence de
faux plafond dans les couloirs du secteur ouest, ce matériau peut potentiellement se répandre dans
les circulations. La question de l’enlèvement de la laine de roche a été évoquée en séance de
CHSCT notamment suite à des inscriptions au registre de santé et sécurité au travail. Par mesure de
précaution, l’université a fait le choix du retrait de la laine de roche en organisant cette intervention
au mois d’août 2014 tôt le matin, afin de déranger le moins d’utilisateurs possible. L’entreprise n’a pas
respecté les procédures de travail initialement prévues. Un signalement de danger grave et imminent
a été rédigé par un représentant du personnel au CHSCT. Ainsi, l’université a mis fin à cette
intervention.
On notera que ce signalement concerne les risques psychosociaux et a été inscrit par un agent
affecté sur un nouveau poste au sein de sa structure d’appartenance. Ne s’agissant pas de risques
physiques il est plus difficile d’évaluer la situation et la définition d’un plan d’action mobilise une
grande diversité de ressources et de services. Il s’agit du second signalement DGI réalisé dans cet
institut. La commission d’enquête visant à analyser si cette situation présentait un danger grave et
imminent a été nommée par le Président le 04/09/2014. Lors de la séance du CHSCT 21 octobre 2014,
le CHSCT s’est prononcé pour le maintien du désaccord sérieux et persistant entre le CHSCT et
l’administration. L’inspection du travail a donc été saisie.
Le registre santé et sécurité au travail rassemble l'ensemble des observations et des suggestions des
agents concernant la prévention des risques professionnels et l'amélioration de leurs conditions de
travail. Il doit être ouvert à tous (usagers et utilisateurs) dans chaque unité.
Ainsi, 185 signalements ont été inscrits en 2014 dans les différents registres de santé et de sécurité au
travail des unités (services ou laboratoires) UPMC. On notera que les données statistiques concernant
les signalements ont été arrêtées au 1er décembre 2014 afin de les traiter et de les analyser.
2.2.1. Répartition des signalements par site, thème, responsable d’action, liés à l’Epaurif…
Les signalements sont répartis au niveau de 5 sites comme suit (voir le tableau et le graphique ci-
dessous) :
Sites Nombre de signalements Pourcentage
D’après le tableau ci-dessus, on observe que la majorité des signalements concernent des unités
présentes au niveau du campus Jussieu (73,0%). Ceci est cohérent étant donné que la majeure
partie des unités sont installées à Jussieu.
Suite à l’analyse des signalements, nous avons défini deux critères permettant de les classer :
- Thème,
- Responsable d’action (le(s) service(s) devant réaliser une action pour corriger la situation
signalée).
Les inscriptions au registre ont été réparties dans 23 thèmes (ou types de risques) différents.
30
25
27
20
15
17 17
14 14
10
10 10
9
8
5
7
6 6 6
5 5
4 4
3 3 3 3 2 2
0
- Les RPS (risques psychosociaux, 27) comptent le plus grand nombre d’inscriptions au registre
(voir la partie Signalements de type RPS).
- Sûreté (17) : Tentatives d’intrusions, intrusions dans les bâtiments, et incivilités.
- Aération/assainissement (17) : Les signalements d’odeurs du bâtiment Cervi ont été regroupés
dans ce thème du fait de problèmes aérauliques (10).
- Température (14) : Ces signalements concernent principalement des températures trop
élevées (10).
- Autre (14) : La catégorie « autre » regroupe les signalements ne faisant pas partie des 22
autres types de risques. Il s’agit par exemple d’un problème de clé KABA, d’un incident
survenu au niveau du chantier, de demande d’information ou d’interrogations quant à
certains risques, …
- Hygiène (10) : Il s’agit principalement de problèmes d’hygiène au niveau des sanitaires.
- Odeurs (10) : Il s’agit notamment d’odeurs nauséabondes ainsi que d’odeurs de solvants dues
aux travaux (campus Jussieu).
- Coupures / piqures (9) : Il y a eu 3 coupures et 6 piqûres. Quatre cas concernent des
étudiants.
- Infiltration d’eau / inondation (8) : Les infiltrations d’eau (6) peuvent également engendrer un
risque de chute suite à la formation d’une flaque d’eau ou bien un risque électrique. Deux
inondations ont été signalées via le registre en 2014.
- Chutes de plain-pied (7) : Dans ces cinq cas, il s’agissait d’un risque de chute de plain-pied
(éclairage, sol glissant, le pas de porte, planches au niveau du sol). Il y a eu deux accidents
(obstacle au niveau sol et une chute dans l’escalier dans l’obscurité).
- Chimique (6) : Cette catégorie regroupe les expositions à des produits chimiques (projections,
injections et déversements).
- Malaise (6) : Quatre étudiants se sont évanouis ainsi que deux agents.
- Sécurité incendie (6) : Des problèmes d’issues de secours et de portes coupe-feu ont été
notifiés dans le registre.
- Circulation (5) : Des poids lourds ont stationné et/ou circulé à proximité du restaurant
universitaire à l’heure du déjeuner.
- Poussières (5) : Cette catégorie regroupe notamment les signalements relatifs à la présence
de poussières due au flocage (secteur ouest nord).
- Nuisibles (4) : Ce thème regroupe les signalements dus à la présence de rongeurs.
- Bruit (3) : Le SHS a réalisé 3 mesures de bruit dans le cadre des signalements RSST. De plus, nous
fournissons des bouchons d’oreille.
- Choc (3) : Risque de choc dans deux cas (plaque au plafond et enrouleur) et un heurt dans
une porte.
- Ascenseur (3) : Trois signalements concernant des dysfonctionnements au niveau des
ascenseurs ont été portés au RSST en 2014.
- Locaux (3) : Des interrogations concernant de futurs locaux de travail ont été portées au
registre.
- Risque électrique (3) : Le service technique est intervenu à trois reprises concernant des
problèmes électriques (par exemple : prise secteur cassée).
- Biologique (2) : Deux éléments ont été portés au registre : un accident de service (morsure de
rat dans le cadre d’une expérience) et un incident lors d’un tri d’agents infectieux.
- Brûlures (2) : Ces signalements concernent une brûlure aux liquides cryogéniques et une
brûlure « chaude ».
Un signalement implique dans la majorité des cas la réalisation d’une action (intervention du service
technique, du SHS, de la DLC, …) et à minima la transmission d’une information. Après réception
d’une inscription au registre RSST, le SHS informe et transfère systématiquement le signalement aux
différents services concernés. Ainsi, il y a dix principaux responsables d’action.
D’après le graphique ci-dessus, on observe que les principaux responsables d’action sont : DPI,
unité/SHS, SMP/DRH, Faculté de Médecine, DLC et chargée de mission EPAURIF.
Il est à noter que pour un thème donné il y a très souvent plusieurs responsables d’action. En effet, si
l’on prend le cas du type de risque « chute de plain-pied » :
- DPI : Pas de porte à réparer, dysfonctionnement de l’éclairage dans l’escalier interne d’un
laboratoire engendrant un risque de chute et une chute de plain-pied dans un escalier
(obscurité).
- Chargée de mission (EPAURIF) : Planches en bois au niveau du sol (boucher les trous).
- Faculté de médecine : Grilles d’évacuation de l’eau à remplacer.
- Unité/SHS : Obstacle au niveau du passage à retirer.
Ainsi, 15 inscriptions au registre de santé et de sécurité au travail concernent les nuisances liées aux
travaux de l’EPAURIF. Le SHS informe et transfère systématiquement les signalements à la chargée de
mission EPAURIF.
2,5
1,5
0,5
0
Chute de Infiltratio Sécurité
Autre Odeurs Locaux Bruit Choc Poussière
plain pied n d'eau incendie
EPAURIF 3 2 2 2 2 1 1 1 1
Les signalements pour lesquels l’EPAURIF est le responsable d’action sont variés. Il y a neuf
thématiques différentes :
- Autre (3) : Cette catégorie regroupe un incident sur le chantier, une interrogation concernant
la présence de matériaux fibreux dans les nouveaux espaces verts et l’utilisation d’un sac
amiante en zone chantier.
- Infiltration d’eau (2) : Des infiltrations d’eau ont été causées par les travaux.
- Odeurs (2) : L’application de vernis a provoqué des émanations de solvants.
- Sécurité incendie (2) : Ces signalements concernent des issues de secours.
Enfin, quatre signalements concernent la présence de poussières, du bruit généré par les travaux,
d’un risque de choc et de l’aménagement d’un futur local.
Au cours de l’année 2014, 27 signalements concernant des RPS ont été inscrits dans les registres (26
ont été suivi par la DRH et celui d’une étudiante a été géré par la DGFIP).
D’après le tableau ci-dessus, on observe que les signalements RPS ont principalement été réalisés au
niveau du site Jussieu (population beaucoup plus importante comparativement aux autres sites).
Ensuite, les signalements de type risque psychosocial ont concerné 14 unités (service ou laboratoire)
en 2014.
On observe que deux services regroupent quatorze signalements, soit la moitié des inscriptions dans
les registres. On notera que dix unités ont fait l’objet d’un seul signalement concernant des RPS.
Les signalements portés sur le registre SST de type RPS peuvent également se regrouper autour de 3
thématiques :
Il est à noter que les signalements présentent souvent des causes communes (charge de travail,
manque de clarté dans le partage des tâches, organisation du travail, mode de management).
La majorité des signalements (12/27) sont liés à une situation de mal-être au sein d’un service (FC,
CPM, SMP, P3S, EPU).
Les conditions de travail des agents affectés au sein de ces services ont fait l’objet d’échanges
réguliers dans le cadre du CHSCT.
Au vu de ces signalements la DRH porte une attention particulière à ces services et entretient le
dialogue avec eux.
Les signalements de situation de mal-être liée aux relations interpersonnelles entre collègues viennent
en 2d rang (9/27).
Ces situations ont toutes été prises en charge au niveau de la structure avec, si besoin, un
accompagnement des services de la DRH.
Les signalements de situation de mal-être liée aux relations hiérarchiques sont plus rares (6/27).
Ces situations ont toutes été prises en charge et ont abouti à un accompagnement de l’agent et/ou
du chef de service (mobilité, formation, tutorat…).
Les signalements sont suivis par le service de médecine de prévention et la DRH. Hormis pour un
signalement qui concernait une étudiante qui a été accompagnée par le SIUMPPS et la DGFIP. On
notera qu’une inscription a sollicité d’autres services de l’Université au sujet de futurs locaux de travail
(DRI).
1) Interventions diverses
En plus des signalements au registre santé et sécurité au travail, le SHS est intervenu à 83 reprises au
cours de l’année 2014. Ces interventions font généralement suite à des saisines qui nous sont
parvenues par mail, téléphone ou en direct mais peuvent aussi être des interventions de suivi.
30 27
25
20 Nombre d'interventions
17
15 14
10 8
5 5
3
0 2 2 2 2
1
Les interventions « odeurs » correspondent à des décèlements d’odeurs qui peuvent avoir différentes
origines :
Les interventions « fixations de bouteilles de gaz » concernent les demandes de laboratoires pour fixer
leurs bouteilles de gaz. Deux agents du SHS assurent leurs attaches en toute sécurité afin d’éviter le
risque de chute.
Les interventions « bruits » prennent en compte toutes nuisances dues aux bruits liées aux travaux de
l’EPAURIF ou équipements de laboratoire.
Les interventions « chimie » correspondent à des demandes de renseignements sur des produits
chimiques ou sur des équipements destinés aux produits chimiques.
Les interventions « Gestion des déchets » font suite aux enlèvements de produits chimiques au sein
des unités lors d’incompatibilités de produits chimiques ayant entrainés des gonflements de bidons ou
autres réactions.
Les interventions « poussières » sont liées à l’entretien des locaux (poussières cumulées sur des plaques
de chauffage difficilement accessibles,…)
L’intervention « température » correspond à une plainte d’unité travaillant dans des conditions de
travail non adaptées (fortes chaleurs)
10 interventions correspondent aux nuisances des chantiers « EPAURIF » (8 intervention liées aux
émanations de solvants, 1 intervention liée au bruit et 1 intervention liée aux infiltrations d’eau).
Les émanations de solvants sont notamment dues à la pause de vernis au niveau du secteur 1
(étanchéité)
Infiltration d'eau;
1
Bruit; 1
Emanations de
solvants; 8
1) Rappel réglementaire
Le décret du 28 juin 2011 précise qu’un registre de santé et de sécurité au travail est ouvert dans
chaque service et est tenu par les assistants de prévention/conseillers de prévention. Le registre de
santé et sécurité au travail doit être facilement accessible au personnel durant leurs horaires de
travail et sa localisation doit être portée à la connaissance des agents par tous moyens (notamment
par voie d’affichage). Il doit également être mis à la disposition des usagers. Ces derniers doivent être
clairement informés de l'existence d'un tel registre. Chaque agent/étudiant a la possibilité d'inscrire
sur ce registre toutes les observations et toutes les suggestions qu'il juge opportun de formuler dans le
domaine de la prévention des risques professionnels et de l’amélioration des conditions de travail.
Lorsque le problème relève de ses compétences et que le responsable juge que les remarques sont
pertinentes, il prend les mesures permettant d’y remédier. Sinon il saisit son supérieur hiérarchique.
Les signalements sont étudiés lors des séances du comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de
travail.
2) Contexte et historique
Un registre papier « santé et sécurité au travail » est disponible dans chaque unité de l’UPMC
(laboratoire/service). La généralisation du registre est donc acquise. Cependant, la remontée
d’information n’est pas systématique. Une dématérialisation du registre santé et sécurité au travail a
donc été envisagée à l’UPMC. Toutefois, la version papier demeurera à la disposition de toute
personne intéressée et la coexistence des supports sera maintenue.
Pour rappel, le SHS gère un registre général à disposition des personnes ne pouvant pas ou ne
souhaitant pas utiliser le registre de leur unité.
L’application « RSST » a été développée sur une plateforme « SharePoint Foundation 2013 » gratuite,
hébergée par la direction des systèmes d’information (DSI) et support du projet « NADAP » (nouvelle
approche dédiée aux processus) permettant le partage de données et de documents ainsi que la
dématérialisation des processus. L’objectif de la DSI avec NADAP est de fournir des applications
souples et évolutives dont la maintenance et la pérennité seront assurées. La DSI a donc créé une
application avec cette nouvelle technologie.
La DSI a livré successivement 3 versions de l’application mais on notera qu’elle évolue de manière
continue depuis sa création.
Une première version 1.0 de l’application a été livrée par la DSI le 7 mars 2014. Cette version
contenait un ensemble de fonctions minimales. Avec la version 1.0, il était notamment possible de :
- Réaliser un signalement.
- Ajouter une pièce jointe.
- Ajouter un commentaire.
- Consulter les signalements ainsi que les commentaires.
La connexion à l’application était le principal point à améliorer. En effet, les agents qui n’avaient pas
d’adresse électronique en admp6 ne pouvaient pas accéder à l’application. De ce fait, un login et
un mot de passe UPMC ont été créés pour ces personnes. Cependant, avec ce type de connexion,
le risque était d’attribuer un signalement à un autre agent en étant connecté à l’application de
manière anonyme.
On notera que la saisie d’un lieu a été rendue obligatoire. Un travail concernant la liste des unités
présentes dans l’application a été réalisé.
L’utilisateur doit renseigner 6 champs élémentaires afin de pouvoir valider l’enregistrement de son
signalement. Par défaut, la cotation du signalement est la plus grave, c’est-à-dire accident.
L’amélioration réside dans le fait qu’il faille indiquer le type d’action (observation, actions prises
immédiatement, actions à mettre en place et suivi des actions de prévention). Cela est analogue
aux colonnes présentes dans le tableau Excel regroupant l’ensemble des inscriptions aux RSST qui est
transmis par le SHS aux représentants du personnel à l’occasion de chaque séance de CHSCT.
Les choix organisationnels retenus pour la version 1.2 disponibles depuis le 15 septembre sont les
suivants :
1. Tous les personnels membres du CHSCT, médecins de prévention, SHS, responsables d’unité ou
assistants de prévention sont accrédités pour se connecter à RSST avec leur « identifiant
annuaire » (login habituel).
2. En cas de problème, le pôle relations utilisateurs de la DSI peut recueillir les demandes
d’assistance, les transférer vers les personnes compétentes et s’assurer de leur suivi :
https://hotline.upmc.fr/
3. Pour éviter tout rejet du à un problème d’identification, une page web « Ametys » non
soumise à identification est proposée comme point d’entrée de toutes les applications basées
sur la plateforme NADAP : http://pgp.dsi.upmc.fr/. Il y est rappelé l’objectif de l’application, le
public concerné, le lien vers son mode d’emploi et le lien vers l’application.
On notera que deux « ateliers RSST » ont été organisés par la DSI afin que les représentants du
personnel au CHSCT puissent tester l’application. Ces ateliers se sont déroulés les 5 mai et 12 juin 2014.
C’est lors du premier atelier qu’il a été proposé que les signalements de type risque psychosocial
soient traités indépendamment de l’application afin qu’ils ne soient pas visibles par tous (voir
paragraphe précédent).
Diverses demandes ont été actées lors de ces séances. Elles concernent différents points comme par
exemple : la page d’accueil de l’application, la correction de bugs (résolus avec la version 1.2), la
documentation de l’application (notamment le guide utilisateur), les documents de synthèse
(regroupement de la description du signalement ainsi que des commentaires sur une seule et même
page)…
Il y aura la coexistence des deux registres (papier et informatique). De plus, les signalements de type
RPS continueront d’être transmis au SHS par mail ou seront inscrits sur le registre présent au SHS.
L’application RSST a été ouverte durant la deuxième quinzaine de décembre 2014 aux acteurs de
prévention de l’UPMC : SHS, médecins de prévention, membres de CHSCT, responsables d’unités et
assistants de prévention.
Un guide utilisateur est disponible sur la page d’accès à l’application ainsi que dans la
documentation de l’application.
L’évaluation des risques professionnels constitue une étape cruciale de la démarche de prévention.
Elle en est le point de départ. L’identification, l’analyse et le classement des risques permettent de
définir les actions de prévention les plus appropriées, couvrant les dimensions techniques, humaines
et organisationnelles. L’évaluation des risques doit être renouvelée régulièrement. La démarche
d’évaluation des risques professionnels présentée ci-après correspond à la période allant de janvier à
fin décembre 2014.
L’année 2014 a été marquée par la mise en place du contrat quadriennal 2014-2018. Ce nouveau
contrat a restructuré un grand nombre d’unités de recherche.
Le nouveau contrat quadriennal a diminué le nombre d’unités de travail mais a créé des unités de
travail plus conséquentes : ainsi nous passons de 206 unités de travail en 2013 à 170 en 2014. Cette
diminution est principalement visible dans l’UFR de médecine. Les unités de travail sont réparties en 14
« composantes » contre 15 en 2013 : la composante « les cordeliers » est maintenant prise en compte
dans l’UFR 927 (science de la vie) pour le centre de recherche et dans les services centraux pour la
partie administrative du campus.
« Autres » correspond à : UFR 936 Institut Henri Poincaré ; UFR 934 Institut d'Astrophysique de Paris et UI
933 Ecole Polytech' Universitaire.
Ce graphique met en évidence la diminution du nombre des unités de travail au sein des UFR 918,
919, 925, 926, 927 et bien entendu 967 où le nombre d’unités de travail est divisé par deux. L’UFR 967
possède maintenant deux nouveaux grands centres de recherches (l’Institut de CardiométAbolisme
et Nutrition – ICAN, et le Centre d'immunologie et des maladies infectieuses – CIMI) en plus du centre
de recherche de Saint Antoine déjà existant.
Le graphique laisse supposer que l’observatoire océanographique de Banyuls possède 4 unités de
travail de plus qu’en 2013. Il s’agit seulement d’un découpage différent créé en 2014 ; une seule
unité de travail a été créée en 2014 à Banyuls.
En ce qui concerne les services centraux, la diminution du nombre d’unités correspond à une révision
du découpage effectuée cette année. C’est le cas du département des langues et de la Licence
Sciences Exactes et Naturelles qui appartiennent au Service général de la formation initiale (SGFI). Il
en est de même pour l’unité de travail « Tour Zamansky » qui a vu son périmètre évoluer et la
nomination d’un assistant de prévention supplémentaire.
laboratoires de
Services administratifs Services
recherche, instituts ou TOTAL
et services centraux d'enseignement
fédérations
UFR 918 Terre,
Environnement, 1 3 11 15
Biodiversité
Autres - 1 2 3
Services centraux 14 1 - 15
I. Courrier signé du Président pour la réalisation et/ou la mise à jour du document unique
d’évaluation des risques professionnels (DUER).
Comme pour l’année 2013, un courrier du président a été envoyé à l’ensemble des unités de travail
rattachées à l’UPMC. Celui-ci, envoyé le 20 juin 2014, rappelle l’obligation règlementaire de mettre
en place une démarche de prévention des risques professionnels avec la réalisation du DUER. La
responsabilité des directeurs d’unités de travail est aussi rappelée tout comme l’obligation d’utiliser le
logiciel EvRP. La réalisation ou la mise à jour du DUER était souhaitée pour le 13 juillet 2014 (Cf. annexe
1 : courrier évaluation des risques professionnels (Document Unique).
Cette année les services centraux ont été invités à utiliser le logiciel EvRP pour réaliser ou mettre à jour
leur DUER. Afin de mener à bien cette mission leurs directeurs et leurs Assistants de prévention (AP) ont
été conviés à deux sessions de formation : la première en Mai et la seconde en Novembre (voir bilan
des formations).
Afin d’avoir un maximum de documents uniques à jour, le SHS a contacté, dès le mois d’octobre, les
unités de travail (directeur ou AP) n’ayant jamais réalisées leur DUER ou ne l’ayant pas mis à jour en
2014. Ces relances étaient effectuées par téléphone et par mail, et ont souvent fait l’objet de
plusieurs rappels. Elles ont régulièrement été complétées par un accompagnement personnalisé.
V. Accompagnement futur.
Pour l’année 2015 le SHS mettra en place un suivi des unités de travail qui en ont besoin (absence de
DUER, DUER incomplet, DUER papier et non EvRP) tout au long de l’année sans attendre la première
échéance de mise à jour. Cette action permettra d’obtenir un plus grand nombre de documents
pertinents mais mobilisera plus d’Equivalent Temps Plein qu’en 2013.
En 2014, EvRP a été déployé au sein des services centraux et des laboratoires n’ayant pas utilisé EvRP
en 2013.
o La version 3.3.1.2 fut installée en avril 2014 après la migration des données de la base EVRP
vers Oracle 11 G par la DSI.
o La version 3.4.1 puis immédiatement la 3.4.2 en juin 2014.
o La version 3.5.0.0 en juillet 2014.
o La version 3.6.2 a été installée le 18/12/2014 après quelques tests au niveau du SHS depuis
le 7 novembre. Cette version améliore un grand nombre de fonctionnalités du logiciel,
notamment sa rapidité. Il s’agit de la version qui a été utilisée pour la synthèse et l’analyse
ci-dessous.
Avantages de l’application :
o Structure la démarche de gestion des risques.
o Harmonise les méthodes d’évaluation des risques.
o Permet une visualisation d’un DUER en cours d’élaboration et simplifie l’aide apportée par
le SHS.
o Simplifie la synthèse des documents uniques.
o Consolide les données et améliorer la visibilité des résultats (les documents sont beaucoup
plus exploitables).
o Permet une priorisation des risques et des actions. Le SHS peut cibler son aide auprès des
unités de travail. Les actions de priorité 1 déclarées en 2013 ont été suivies par le SHS
courant 2014 : Cf. point c.
o Permet de suivre l’évolution des actions de prévention d’une année sur l’autre : Cf. point c.
Difficultés :
o Comme toute nouvelle utilisation d’un logiciel, EvRP nécessite un temps de prise en main
par les unités de travail. La première saisie est plus chronophage car elle vise à créer des
listes déroulantes (salles, responsables d’actions, service /équipe) facilitant les saisies
futures ; et la logique de mise à jour est à acquérir. Une fois que le logiciel est maitrisé il
permet un gain de temps et une diminution des saisies lors des mises à jour.
o Investissement de la part des directeurs encore trop léger. L’intervention des directeurs est
nécessaire pour déclarer le DUER, celle-ci nécessite généralement de multiples relances de
l’AP et du SHS.
Assistance technique/opérationnelle :
o Sur demande des unités de travail : mise à jour des unités de travail par le SHS.
Modifications faisant suite au nouveau contrat quadriennal (changements des directeurs,
réflexion concernant les fusions ou les éclatements, modifications de localisations dues aux
déménagements, …)
o Les assistants de prévention ont eu des difficultés pour appréhender la mise à jour de leur
document unique. Compte tenu du changement de version d’EvRP et afin d’aider les
assistants de prévention dans la mise à jour de leur Document Unique, le SHS a établi un
mémo concis sur la mise à jour sous EvRP. Le document a été diffusé à l’ensemble des AP
lors de la relance d’octobre. L’assistance par téléphone a néanmoins été beaucoup plus
utilisée.
Solutions envisagées :
o Amélioration d’un guide utilisateur unique en cours avec l’AMUE,
o Poursuivre la participation au comité de pilotage (AMUE, CNRS, université) afin d’apporter
au logiciel les améliorations proposées par des unités de travail ou par le SHS.
3.4. Synthèse et analyse des documents uniques d’évaluation des risques professionnels
Cette analyse n’est pas exhaustive puisqu’elle ne tient compte que des documents uniques qui nous
sont parvenus via l’application EvRP en date du 31 décembre 2014.
En 2013, 12 actions été classées en priorité 1. Le SHS s’est, pour chacune d’entre elles, rapproché de
l’unité dans le but d’encourager leur mise en place mais aussi pour apporter son aide et son
expertise.
L’ensemble des actions classées en priorité 1 fin 2013 ont été réalisées courant 2014. Il est à noter que
l’action relative à l’installation de 24 sorbonnes dans Cassan F est prise en compte dans la
conception des nouveaux locaux de la plateforme de chimie organique. Ils sont situés barres 53-54 et
54-55, et le déménagement est prévu pour fin 2015, début 2016. Ces sorbonnes n’ont évidemment
pas pu être effectuées dans les locaux actuels situés en Cassan F.
Voici, ci-dessous, le tableau des actions menées pour chacun des risques de priorité 1.
Service
Actions à
Facteur de Description du Moyens de Carence/ chargée de
Site Service Bâtiment Salle mettre en Suivi des actions
risques risque prévention existant dysfonctionnement la
place
réalisation
Remise en
Salle fonctionneme Le Service Technique
Disjoncteur Réarmement du
UMR 346 Risque nt du est intervenu. Le
Jussieu CASSAN F différentiel PC2 Aucun disjoncteur Unité
7075 Diode électrique disjoncteur disjoncteur a été
hors service impossible
LASER par un changé.
électricien
Sensibiliser
FR 636 Risque non
les nouveaux
Institut négligeable
entrants à
Pierre pendant les trajets Les gestionnaires
l'utilisation du
Simon des équipes qui s'assurent que les Les nouveaux entrants
matériel de
Laplace travaillent entre 2 ordres de missions sont sensibilisés.
visioconféren
sites voire 3 (L'IPSL soient bien établis Des ordres de mission
ce mis en
est sur 2 sites: avant le déplacement permanents sont
place au sein
Guyancourt et avec tous les établis pour les
Il reste un certain de l'unité
Barre 45- Risque Jussieu mais les 6 descriptifs de trajet, personnels les plus
Jussieu Partout nombre de trajets pour limiter Unité
55 Mission laboratoires qui pour les assurances. exposés.
incompressibles les trajets et
sont rattachés à la L'IPSL a investi dans (Ce risque apparait
se faire
fédération sont un matériel de toujours en priorité 1
établir un
également sur Gif, visioconférence pour en 2014 car il est
ordre de
Palaiseau, Créteil). limiter les trajets en nécessaire de
mission
Les transports faisant une partie des maintenir les actions)
permanent
créent des risques réunions à distance.
pour les
de stress et de
personnes les
fatigue
plus exposées
Présence de
Pas de documents
réservoirs fixes
prouvant que le
sous pression
contrôle périodique
(4<p<250 bar).
a été réalisé ou Contrôle effectué par
12236-RC-01
qu'un contrôle l'APAVE les 15, 16 et 18
réservoir d'hélium
périodique doit être septembre 2014. Il n'y
gaz de 8000 Litre,
réalisé. Pour la salle a pas de non-
pression
1223-RC-13 (salle conformité. Un
Equipement d'utilisation 13
torpille 200 bars) la planning des futurs
Service sous bar.
1223- prochaine Faire visiter contrôles a été réalisé.
des pression 1223-RC-13: 36 Réservoirs équipés en
Patio 12- RC-01; inspection l'installation Un nouveau réservoir
Jussieu Basses (hors réservoirs organes de sécurité Unité
23 13 et périodique doit être par un bureau d'hélium gaz de 50
Tempér bouteille de d'hélium gaz de par le constructeur
20 réalisée avant le de contrôle litres a été acheté pour
atures gaz) ou sous 500 litres, pression
19/07/2013. Pour la remplacer l'ancien
vide. de service 200 bar.
salle1223-RC-20 les arrivant à la date de ré-
1223-RC-20: un
réservoirs sont des épreuve.
réservoir d'hélium
bouteilles haute Les deux réservoirs
gaz de 50 litres et
pression du d'hélium gaz de 5 litres
deux réservoirs
"commerce" la ont été supprimés.
d'hélium gaz de 5
collerette indiquant
litres, pression de
la date de contrôle à
service entre 40
disparu.
bar et 200 bar.
celle-ci.
Divers
équipements et Le contrôle effectué
Equipement
réservoirs (fixe et Faire vérifier par l'APAVE les 15, 16
Service sous
mobiles) sous Vérifications des les et 18 septembre 2014
des pression Pas de vérification
Patio 12- 1223- vide. Ce sont organes de sécurité installations a conseillé au SBT de
Jussieu Basses (hors par un organisme Unité
23 RC-05 essentiellement par le personnel de par un contrôler en interne
Tempér bouteille de agrée
des volumes sous service organisme ces réservoirs et de
atures gaz) ou sous
vide, pour isoler agréé. suivre ces contrôles sur
vide
sur des enceintes un tableau.
cryogéniques.
Le personnel vérifie
régulièrement les Faire visiter
L'APAVE a étudié le
éléments de sécurité. l'installation
liquéfacteur lors des
Service Présence dans les par un bureau
Liquides Présence d'un contrôles effectués les
des salles de lunettes et Vérifier quel type de de contrôle
Patio 12- 1223- cryogéniques liquéfacteur 15, 16 et 18 septembre
Jussieu Basses gants de sécurité contrôle périodique pour décider Unité
23 RC-05 et bouteilles d'hélium liquide 2014. Il s'avère
Tempér cryogénie. il faut réaliser. quels types
de gaz de marque LINDE qu'aucune vérification
atures Présence d'un de contrôle
n'est à effectuer sur
détecteur de manque périodique il
celui-ci.
d'oxygène dans la faut réaliser
salle 1223-RC-05
- Le chariot élévateur
Utilisation de: n'est plus utilisé
Faire
- un chariot - Le hayon arrière est
contrôler les
élévateur maintenant vérifié
Service Pas de contrôle appareils par
automoteur périodiquement (tous
des périodique réalisé. un bureau de
Patio 12- Manutention - un hayon arrière les 6 mois, le dernier
Jussieu Basses Partout / Pas de permis contrôle. Unité
23 mécanique du camion de date d'octobre 2014)
Tempér CACES dans Passer le
transport du - La table élévatrice
atures l'équipe. CACES pour le
service manuelle n'est plus
chariot
- une table/chariot utilisée, elle est
automoteur.
élévateur manuel remplacée par une
rampe d'accès.
Le système
magnétique
d'ouverture des
portes ne Le SHS et le SSI sont
fonctionnent pas. Faire un point passés le 10 octobre
Service Les portes sont avec le SHS, le 2014. Chaque porte
des Dysfonctionnemen fermées à clé, une service est maintenant
Patio 12-
Jussieu Basses Partout Incendie t des sorties de / clé se trouve sur le sécurité SHS/SSI/DPI équipée d'une clef
23
Tempér secours boitier incendie incendie et permettant de
atures placé près de la service des préserver la sureté du
porte. Voir la travaux service ainsi que
législation, l'évacuation d'urgence.
installation de
portes avec barre
anti panique ?
La porte de
Supprimer la La clef de la porte de
Salle La deuxième issue séparation entre les
clef de la séparation a été
Jussieu CEMIP Esclangon 236 et Incendie de la pièce peut Aucun 2 parties de la pièce Unité
porte de supprimée le
236 bis être fermée à clef. 236/236 bis peut
séparation 20/11/2013.
être fermée à clef
b. Quelques chiffres :
Objectifs % / / 100 80
On remarque que la proportion de DUER réalisés et mis à jour continu d’augmenter à l’UPMC. Les
objectifs proposés dans le programme annuel de prévention 2014 sont quasiment atteints. En effet, il
reste des unités de travail pour lesquels il faut continuer la sensibilisation sur l’importance de réaliser un
DUER et/ou de le mettre à jour tous les ans. Certaines unités de travail rencontrent des difficultés pour
dégager du temps à l’assistant de prévention pour cette mission. Les lettres de missions deviennent
importantes pour que certains AP puissent consacrer suffisamment de temps pour mener à bien leurs
missions.
Le tableau ci-dessous met en évidence le nombre d’unités n’ayant jamais réalisé de DUER (2013 et
2014).
Nombre 18 2
Les deux unités n’ayant jamais réalisé leur DUER appartiennent aux services centraux. La première est
une unité de travail qui vient de changer de responsable et dont le périmètre était en cours d’étude
avant ce changement. La seconde a été identifiée au début du troisième trimestre et l’AP nommé fin
Novembre. La démarche d’évaluation des risques est débutée mais pas encore finalisée.
Nombre
d'Unité
15 21 26 28 24 7 18 5 5 3 3 15
de Travail
2014
Nombre
de DUER 13 20 23 24 21 3 16 4 5 2 3 6
2014
% de
DUER mis
86,7 95,2 88,5 85,7 87,5 42,9 88,9 80,0 100,0 66,7 100,0 40,0
à jour en
2014
En 2014,
Quatre composantes sur 14 ont atteint 100% de DUER mis à jour (Pour rappel « autres »
correspond à 3 composantes).
Sept composantes ont dépassé l’objectif qui visait à avoir 80% de DUER à jour mais reste en
deçà des 100%.
Trois composantes n’ont pas atteint l’objectif.
Pourcentage de mise à jour des DUER par catégories d'unité de travail et par composante
Nous remarquons que le nombre de compte EvRP créé est supérieur au nombre de mise à jour 2014
sous le logiciel. Cela peut s’expliquer par le fait que des unités sont enregistrées sous EvRP mais n’ont
pas encore utilisé le logiciel pour leur mise à jour mais aussi par le fait que des unités n’ont pas encore
mis à jour leur document unique sous EvRP pour l’année 2014.
Le nombre de formats autres qu’EvRP s’explique, d’une part, par les unités qui n’ont pas encore
adhéré au logiciel mais surtout, d’autre part, par les unités non hébergées par l’UPMC.
Les résultats de l’analyse des documents uniques d’évaluation des risques (via l’application EvRP),
indiquent que 1110 actions de prévention ont été programmées. Celles-ci sont à mettre en place ou
à suivre par les unités de travail.
Le graphique ci-dessous permet d’observer la répartition des 1110 actions à réaliser suivant leur
priorité. Pour rappel la priorité est définie à l’aide d’un questionnaire prenant en compte six critères :
événement redouté,
fréquence d’exposition,
pourcentage de personnes exposées,
existence ou non de mesures collectives,
existence ou non de mesures individuelles,
existence ou non de moyens de secours.
La proportion d’actions envisagées de priorité 3 et 4 est identique à l’année dernière, soit les deux
tiers de l’ensemble des actions envisagées.
Cependant le nombre de ces actions a plus que doublé en une année (en 2014, 1110 actions ont
été déclarées contre 471 en 2013) ; nous avons donc recensé 39 actions de priorité 1 en 2014 (contre
12 en 2013).
Le tableau présent en annexe (annexe 2 : action de priorité 1 déclarées en 2014) présente les 39
actions de priorité 1 déclarées par les unités de travail (tableau brut sans corrections ni modification
de la part du SHS).
Comme pour les actions de priorité 1 de 2013, le SHS se rapprochera de chaque unité de travail en
deux temps pour traiter les risques et les actions de priorité 1.
Premièrement :
vérifier la cotation du risque engendrant l’action.
vérifier la cohérence de l’action et le cas échéant la modifier ou la compléter.
Informer l’unité de travail sur la nécessité de mettre immédiatement l’action en place.
Le logiciel EvRP permet de quantifier le nombre de risques et d’actions saisis par facteur de risques. Il
est donc possible d’identifier les risques principaux présents à l’UPMC.
Il est important de rappeler que l’ensemble des risques et des actions ci-dessous correspondent aux
saisies réalisées par les assistants de prévention et validées par leur directeur.
L’exploitation des résultats de l’évaluation des risques sur les facteurs de risques les plus couramment
rencontrés au sein de l’établissement met en exergues 4 facteurs de risque qui correspondent à un
plus grand nombre de risques saisis et à un nombre d’actions nettement supérieur aux autres (voir le
graphique ci-dessous), il s’agit de:
- Risque chimique
- Ambiances / Conditions de travail
- Equipements de travail et matériel de laboratoire
- Incendie
On remarque qu’une saisie importante a été effectuée au cours de l’année 2014. Pour exemples, le
facteur de risques « ambiances /conditions de travail » a vu son nombre d’actions quadrupler en un
an. Les actions concernant les chutes de personnes ont, elles, été multipliées par 5. Il en est de même
pour les risques liés aux conditions de vie au travail qui sont passé de 1 à 14.
Il est à noter que le facteur de risque « conditions de vie au travail » qui représente les risques psycho-
sociaux (RPS) est peu renseigné dans l’application EvRP.
Le logiciel EvRP donne la possibilité aux unités de travail de préciser le risque en sous-facteurs de
risques. Ce sont ces sous-facteurs de risques qui sont utilisés pour l’analyse ci-dessous. Il est à noter
qu’un risque peut être concerné par plusieurs sous-facteurs de risque, d’où le nombre plus important
de sous-facteurs de risque.
- Risque chimique :
Le risque chimique est le risque le plus renseigné sous l’application EvRP : 488 risques saisis et 142
actions. Cette première place est logique car la manipulation de produits chimiques est nécessaire
dans un grand nombre de disciplines présentent dans les composantes de l’UPMC. On retrouve le
risque chimique en ingénierie ; en physique ; en science de la vie ; en terre, environnement,
biodiversité ; en médecine, bien entendu en chimie et même au niveau des services centraux.
Néanmoins 142 actions sont à mettre en place. Celles-ci sont équiréparties entre les priorités 2, 3 et 4
(on ne retrouve pas d’actions de priorité 1). Cette répartition est la même par sous-facteur de risque.
Cela peut s’expliquer par le fait que le risque chimique est un risque connu dans le milieu universitaire
et pour lequel il existe des mesures de préventions collectives. Les mesures de prévention individuelles
sont aussi connues de tous et entre de plus en plus dans les mœurs.
Il existe donc déjà:
Les actions à mettre en place consistent donc à améliorer les moyens de prévention existant ou à les
multiplier.
Les unités de travail sont confrontées à l’exposition aux différentes catégories de produits chimiques
dangereux notamment :
Prévenir les risques chimiques c’est empêcher que des accidents ou des maladies en rapport avec
les produits utilisés ne surviennent. On recense plusieurs actions de prévention à mettre en place. Elles
concernent principalement :
Les sous-facteurs principaux des risques liés aux ambiances et aux conditions de travail sont les bruits
importants ou gênants, les atmosphères de travail polluées et la chaleur dans les locaux.
Chaleur :
Les problèmes de chaleurs sont connus principalement en période estivale. Il s’agit d’un problème
récurrent sur l’ensemble des sites UPMC. La résolution de ce problème passe presque inévitablement
par l’installation de climatisation.
Parfois les températures élevées ont pour origine l’utilisation d’équipements par les laboratoires ou
bien de la présence d’un nombre important de personnes dans une salle.
Parmi les principales actions proposées par les unités de travail on retrouve:
- l’installation et la vérification de climatisations,
- l’utilisation de ventilateurs,
- l’achat de stores ou de rideaux occultants.
Comme expliqué précédemment ces actions seront étudiées par le SHS avec les unités de travail
concernées.
Un grand nombre d’actions vise à supprimer ou réduire des risques de priorité 3 qui sont les risques les
plus présents pour les questions d’ambiances et de conditions de travail.
Cette prédominance d’actions de priorité 3 montre que, d’après les unités de travail, les risques liés
aux ambiances et aux conditions de travail sont perçus comme des gênes plutôt que des risques
aigus sur la santé des personnels. Il ne faut évidemment pas mettre de côté ces risques qui ont une
part importante dans le bien-être au travail.
Compte tenu de la diversité des activités ainsi que des spécificités des travaux ou des préparations
réalisées, les unités de travail possèdent une grande variété d’équipements allant des machines-outils
aux microtomes en passant par les fers à souder, les centrifugeuses, et les cytomètres de masse. Tous
ces équipements ont leurs utilités propres mais aussi leurs risques afférents
Le sous-facteur de risque principal est le risque de brûlures par contact. Ces brûlures peuvent se
produire par contact avec des éléments :
Principalement chaud :
o Etuves / fours
o Bains marie
o Autoclaves
o Plaques chauffantes
o Eaux très chaudes / vapeurs
o Parties d’installations spécifiques à certains laboratoires
o Etc.
ou parfois froid :
o Appareil à cryo-substitution
o Congélateurs -80°C
Cependant le sous-facteur de risque ayant le plus d’actions dont le plus d’actions de priorité 2 est
l’exposition à des produits émis lors du fonctionnement des équipements (vapeurs, copeaux,
poussières, produits utilisés pour l'usinage, l'analyse ou le traitement des matériaux). Pour les risques
saisis à l’UPMC nous avons majoritairement des projections de matières par usinage (meuleuse,
perceuse, etc.), des projections de vapeurs (eau, huile, etc.), et des émanations de produits de
soudure.
Les actions de priorité 4 sont les plus importantes mais la part d’actions de priorité 2 n’est pas
négligeable. Ces actions peuvent être regroupées en trois familles :
- Risque incendie
Le risque incendie est le risque ayant le plus d’actions de priorité 1. Cela est dû au fait que
l’événement redouté d’un incendie est le décès et que la propagation d’un incendie peut
rapidement toucher l’ensemble du personnel d’une unité de travail.
Les 9 actions de priorité 1 sont détaillées dans le point « c. Analyse par priorité ». Un grand nombre
d’actions à mettre en place sont aussi de priorité 2 donc à mettre en place à court terme. L’envoi de
ces informations au Service de Sécurité Incendie permettra de cibler les zones à risques et de suivre la
mise en place des différentes actions.
4. Bilan des visites de prévention et des visites suite à un signalement incident / accident
Les visites des unités de travail réalisées en 2014 sont de deux types :
Des visites de prévention ainsi que des études de poste sont organisées périodiquement permettant
une analyse des risques professionnels au sein des unités et de dégager les mesures de prévention à
mettre en place.
Des visites sont réalisées suite à un signalement d’incident/accident dans le Registre de Santé et
Sécurité au Travail. L’analyse de chaque incident/accident de travail a donné suite à un compte-
rendu et a permis de dégager des actions de prévention permettant de prévenir d’éventuels
accidents similaires ou plus graves.
Ces visites sont organisées par le SHS avec participation des acteurs de prévention (Médecins de
prévention et/ou Ingénieur de prévention CNRS). Les visites sont organisées de manière à avoir un
échantillon représentatif des laboratoires de l’Université. En effet, l’ensemble des UFR ont fait l’objet
d’au moins une visite.
Visites faisant
suite à un
signalement
RSST
40%
Visites de
prévention
(dont 3 études
de poste)
60%
La coordination entre le SHS, SMP et Ingénieur de prévention CNRS est très positive car cette
complémentarité apporte une réelle valeur ajoutée lors des visites. Nous renforcerons cette
coordination pour 2015.
Remarque : Les visites du CHSCT ne sont pas prises en compte dans cette partie du bilan (Cf.
Membres du CHSCT)
Le tableau ci-dessous regroupe les visites de prévention (y compris les études de postes) ainsi que les visites réalisées suite à un signalement dans le Registre de Santé et Sécurité
au Travail.
Visites de prévention programmées
Date de visite Participation Nom du laboratoire Sigle Site Localisation Type de visite
à la visite
25/07/2013 SHS/CNRS/SMP Laboratoire Kastler Brossel UMR 8552 Jussieu Barre 23-33 : Sous-sol Visite de
(Compte-rendu (LKB) prévention
envoyé en Janvier
2014)
26/09/2013 SHS Département des Activités DAPS Jussieu Ateliers, vestiaires, locaux de stockage du DAPS Visite de
(Compte-rendu Physiques et Sportives prévention
envoyé en Janvier
2014)
19/11/2013 SHS/SMP Plateforme IFR 65 Saint- UFR de Médecine Etude de poste
(Compte-rendu Histomorphologie du petit Antoine
envoyé en Janvier animal
2014)
17/12/2013 SHS/CNRS/SMP Institut des Nanosciences de UMR 7588 Jussieu Barre 22-32 3, 4,5ème étages, sous-sol / Barre 22- Visite de
(Compte-rendu Paris 23 2,3ème étages / Barre 12-22 4,5ème étages prévention
envoyé en Janvier
2014)
12/02/2014 SHS/CNRS/SMP Laboratoire d’Electronique L2E Jussieu Barre 65/66 Niveau SB -1er et 2ième étage Visite de
et d’Electromagnétisme prévention
13/02/2014 (Jussieu) SHS/CNRS Laboratoire Interfaces et UMR 8235 Jussieu 13-23 SB 02 Visite de
25/02/2014 Systèmes Electrochimiques (réacteurs à plasma) prévention
(ENSCP) (LISE)
21/03/2014
(Jussieu)
20/05/2014 SHS/SMP Biologie du Développement UMR 7622 Jussieu Bâtiment C-6ième étage- Pièce 610 Etude de poste
Paris Seine
26/05/2014 SHS/CNRS Institut Parisien de Chimie UMR 8232 Jussieu Bâtiment F – 2ième et 4ième étages Visite de
Moléculaire prévention
04/06/2014 SHS/SMP Milieux environnementaux, UMR 7619 Jussieu Tour 46-56 – 3ième étage Etude de poste
transferts et interactions
dans les hydrosystèmes et
les sols (METIS)
10/06/2014 SHS/SMP Equipe du Pr ARLET – UMR 1135 Saint- IGH – 10ième étage Visite de
Antibiotique et Flore Antoine prévention
digestive
13/06/2014 SHS/SMP Centre d’immunologie et UMR 1135 AP HP Pitié- UFR de Médecine Visite de
des Maladies Infectieuses Salpêtrière prévention
(CIMI)
19/06/2014 SHS/CNRS Institut de Minéralogie, de UMR 7590 Jussieu Barre 23-24 :3ième et 5ième étages Visite de
Physique des Matériaux et Barre 23-33 : SB prévention
de Cosmochimie - IMPMC Barre 13-23 : SB et sous-sol
26/06/2014 SHS/CNRS/SMP Laboratoire Neurosciences UMR 8246 Jussieu Bâtiment A-3ième étage Visite de
Paris Seine Bâtiment B- 2,4, 5ième étages prévention
10/07/2014 SHS/CNRS Laboratoire Kastler Brossel UMR 8552 Jussieu Barre 12-13 : 2ième et 3ième étage Visite de
(LKB) Barre 13-23 : Sous-sol, RDC, 2ième étage prévention
Barre 23-33 : Sous-sol
06/11/2013 05/11/2013 UMR 7075- LADIR Jussieu SHS/CNRS/ Le sceau était tenu par l'agent à la main, sans Visite faisant
(Laboratoire dynamique, Directeur et gants. L'azote liquide a touché l'anse en métal du suite à un
interactions et réactivités) Cassan F AP de l’unité sceau qui a causé une brulure sur la main de signalement au
l'agent RSST
04/11/2013 02/12/2013 IPCM -Institut Parisien de Jussieu SHS, Coupure avec RMN en verre Visite faisant
Chimie Moléculaire Ingénieur de suite à un
Cassan F recherche signalement au
de l’unité RSST
29/11/2013 20/12/2013 TP de Chimie Générale Jussieu SHS, AP de Une étudiante s'est coupée à la main droite par Visite faisant
l’unité bris d'une pipette jaugée en verre lors de travaux suite à un
Cassan F pratique signalement au
RSST
25/11/2013 08/01/2014 Service d’enseignement Jussieu SHS, AP de Une étudiante s'est coupée avec un scalpel au Visite faisant
de Biologie Animale l’unité niveau de l'index de la main gauche suite à un
Bâtiment signalement au
A- 1er RSST
étage
17/01/2014 Faculté de Immunologie Intégrative : UMR 7211 AP HP Pitié- CERVI Réunion de suivi
Médecine Différenciation, Diversité, Salpêtrière signalement
Dynamique RSST
24/01/2014 27/02/2014 Plateforme de Cytométrie Pitié- SHS, Eclaboussure de solution contenant des cellules Visite faisant
de flux Salpêtrière Responsable infectées par le HIV sur le pantalon de l’agent suite à un
de la signalement au
Bâtiment Plateforme RSST
105
11/02/2014 25/03/2014 UMR 7574-Laboratoire de Jussieu SHS, AP de Erreur lors de la préparation des réactifs sous Visite faisant
Chimie de la matière l’unité sorbonne, contrainte temporelle de la personne suite à un
condensée de Paris Cassan F en stage il y a eu manipulation d'acide acétique signalement au
sous le PSM-II, erreur de manipulation lors de RSST
transvasement, le tube n'était pas placé dans le
porte échantillon lors du transvasement
02/04/2014 26/05/2014 LATMOS Laboratoire Jussieu SHS, AP de Agent blessé par une pièce plastique lors du Visite faisant
Atmosphères, Milieux, Barre 45- l’unité perçage suite à un
Observations Spatiales 46 signalement au
RSST
03/06/2014 30/09/2014 UMR 8246-Neurosciences Jussieu SHS/CNRS La victime a manipulé une solution contenant de Visite faisant
Paris Seine Bâtiment la roténone dans une pièce non ventilée, sans EPC suite à un
B ni EPI. signalement au
RSST
24/09/2014 SHS Bibliothèque MIR Jussieu Tour 46-56 Visite faisant
Mathématiques suite à un
Informatique Recherche signalement
RSST
Tableau regroupant les visites de prévention (y compris les études de poste) et visites réalisées suite à un signalement d’incident/accident.
La réglementation en termes de sécurité des installations de sorbonnes est étroitement liée à leur
date de mise en service. Ainsi, on distingue deux types de sorbonnes : celles installées avant 2005 et
celles installées après 2005
- Toutes les sorbonnes dont l’installation est antérieure à Janvier 2005 sont à considérer sous la
norme XPX 15-203
- A compter de janvier 2005, toutes les nouvelles installations doivent répondre à la norme NF
EN 14175 ainsi qu’à la norme XPX 15-206. L’installateur doit mettre en œuvre un essai de
réception afin de tester le confinement de la sorbonne installée (contrôle initial). Une
référence doit être établie. L’établissement de la référence consiste à consigner dans les
procès-verbaux des essais de réception les valeurs de vitesses d’air frontal en chaque point
permettant l’obtention du niveau de confinement satisfaisant. Ces procès-verbaux doivent
figurer dans la notice d’instructions établie en application de l’article R 4212-7 du Code du
Travail et de l’arrêté du 8 octobre 1987. Les bureaux de contrôles ne se prononcent sur la
conformité des sorbonnes qu’à partir du moment où les valeurs de références des installations,
au jour de leur installation sont connues.
Il est à noter que lors des contrôles périodiques annuels, la mesure de la vitesse d’air est comparée
aux valeurs de références établies lors du contrôle de réception des sorbonnes.
Les contrôles des sorbonnes du site de Jussieu sont pilotés par le Service Hygiène et Sécurité. Le SHS
est chargé de l’organisation et du suivi de ces contrôles. Ces contrôles réglementaires sont réalisés
par la société DANTEC.
Le SHS est chargé de l’organisation et du suivi des contrôles des sorbonnes du campus de Jussieu, des
sites d’Ivry, de Saint Cyr, de la pitié Salpêtrière ainsi que de Saint Antoine.
Après chaque campagne de contrôles le SHS procure la liste mise à jour des sorbonnes à consigner
à la direction du patrimoine immobilier (DPI).
En 2014 le parc des sorbonnes du campus de Jussieu s’est agrandi de 27 sorbonnes suite à l’ouverture
du secteur ouest centre.
160 160
146
88 88
58 58 60
55 55
46
42
34 34 34 34
31
28 28 272727
25 25 25 25 23
21 21
13 1311 13 13 151515
12 10
7 86 8
2 333 3 4 20 24 332 1
00 0 00 0 0 0 00 0 00
Secteur Esclangon Atrium Secteur 1 Cassan A Cassan B Cassan C Bâtiment F La pitié St Antoine Ivry CRC St Cyr secteur
ouest-nord centre ouest
Nombre de sorbonnes HS
Comme le montre le graphique 99,6% des sorbonnes des sites de Jussieu, Ivry, Saint Cyr, la Pitié, Saint
Antoine et le centre de recherche des Cordeliers ont été contrôlées. Les 0.4% non contrôlées étaient
inaccessibles (encombrement, déménagement,…).
Les sorbonnes des bâtiments Esclangon (3), Cassan A (25), secteur ouest centre (27), et du centre de
recherche des Cordeliers (15) ont toutes été déclarées conformes.
Suite à la campagne de travaux sur les sorbonnes du site de Jussieu, réalisé par la DPI en 2014, 82.6 %
des sorbonnes contrôlées ont été déclarées conformes, 17.4% ne sont pas conformes, dont 9.1% sont
hors service.
Pour les sorbonnes déclarées non conformes, 46 sont soumises à restriction d’utilisation.
Pour rappel, les sorbonnes dont la vitesse d’air moyenne est comprise entre 0,3m/s et 0,4m/s et dont
le test de confinement (et/ou test fumigène) est conforme font l’objet d’une restriction d’utilisation.
Pour ces sorbonnes, la manipulation d’agents chimiques classés CMR et/ou présentant un danger
particulier est strictement interdite
Le plan triennal de mise en conformité / sécurité des sorbonnes (2011 = sorbonnes prioritaires du
bâtiment Cassan F, 2012 -= secteur 1, 2013 = Cassan ABC) a été annualisé en 2014 pour traiter les
sorbonnes de Saint Antoine.
Au total 6 sorbonnes de Saint Antoine ont été identifiées par l’assistant de prévention pour être
traitées :
Les travaux ont portés sur le remplacement de moteurs installés dans les locaux afin de les déplacer
en terrasse, y créer les supports métalliques nécessaires aux conduits d’extraction remplacés, dévoyer
ces conduits et percer les dalles de couverture des édicules en terrasse.
En sus des travaux d’extraction, a été effectué la pose de contrôleurs de vitesse, de volets anti-
rétrodiffusion et le remplacement de protection électrique.
Le montant total des travaux s’est élevé à 47 391 € HT.
Du fait des économies réalisées sur les devis du programme 2014, d’autres travaux ont été lancés
pour des sorbonnes du site du campus Jussieu pour 34 864 € HT, à savoir :
DESIGNATION
Maintenance :
On dénombre au total actuellement 381 sorbonnes sur le campus Jussieu, qui font l’objet d’un
contrat de maintenance.
Certaines conformités de sorbonnes ont été obtenues après des opérations de maintenance.
Gestion :
La coordination interservices SHS / Service Technique a permis l’élaboration d’un logigramme de suivi
des sorbonnes visant les actions des 2 services en matière de contrôle et de travaux des sorbonnes
neuves ou en exploitation. La liste des sorbonnes mise à jour au 4ème trimestre 2014 se trouve en
annexe 3 de ce rapport.
72 fiches individuelles d’exposition aux agents chimiques dangereux ont été enregistrées au service
de médecine de prévention en 2014, ce qui est un nombre très insuffisant par rapport au nombre
d’agents qui sont exposés à ces risques. Une campagne va être menée en 2015 pour que ces
documents soient transmis.
99 certificats d’aptitude spécifiques ont été réalisés pour l’exposition aux agents chimiques
dangereux, l’exposition aux rayonnements ionisants et l’habilitation électrique.
La nouvelle stratégie de surveillance médicale des agents exposés à l’amiante a été mise en place
fin 2013. Elle a pleinement été mise en œuvre à partir de janvier 2014.
Tous les agents qui avaient répondu à l’enquête ministérielle (156) ont été recontactés pour le suivi
amiante. Tous ceux qui le désiraient ont bénéficié d’une consultation spécialisée dans le cadre du
suivi amiante.
En plus de ces agents, ont également été reçus en consultation spécialisée des agents adressés par
les médecins de prévention.
Au total, ce sont 86 agents qui ont été vus pour une première visite de cette nouvelle surveillance
cette année.
Un certain nombre de ces agents se sont vu prescrire un scanner thoracique dans le cadre du suivi.
Après le scanner est programmée une consultation pour rendre les conclusions de cet examen. 40
ont passé un scanner en 2014 et 24 ont eu leur consultation post-scanner en 2014 et les 16 autres
agents ont leur rendez-vous pour la visite post-scanner en 2015.
Dans le nouveau protocole de suivi des agents exposés à l’amiante, un questionnaire pour
l’évaluation de l’exposition est envoyé aux agents selon leur date de naissance. En novembre, 318
questionnaires ont été envoyés pour les agents âgés de 80 à 85 ans. Pour ceux qui font le souhait
d’un suivi, les rendez-vous sont programmés en 2015.
Pour 19 agents qui ont quitté l’établissement des attestations amiante ont été complétées.
Une démarche a alors été initiée pour repérer les situations à risque chez des agents de laboratoire.
Pour cela, il a été utilisé une grille d’aide au repérage des troubles musculo-squelettiques (grille
CRAMIF (DTE 228-2012) et a été réalisé des entretiens avec les agents lors des visites médicales.
Facteurs organisationnels :
o Restriction de personnel d’où augmentation des tâches, travail dans l’urgence, gestion de
plusieurs demandes en parallèles
o Plan quinquennal : réorganisations de certains laboratoires : fusions, éclatements,
disparitions qui impliquent des changements d’équipes, de thématiques, de techniques.
Périodes d’incertitude
o Evolutions techniques : utilisation de kits réduisant le temps de certaines étapes de manip
d’où une réduction de temps de pause.
Facteurs psychosociaux :
o Pression sur l’ensemble des chercheurs, se répercutant sur les agents techniques de
laboratoires : toujours plus de travaux, de publications, donc plus de manips.
o Manque de reconnaissance dans certains laboratoires
A la suite de ce travail doit être mis en place un plan de prévention des troubles musculo-
squelettiques sur l’ensemble de l’université dont les acteurs seront : l’employeur, les agents, les
responsables, les représentants du personnel, les médecins de prévention, les conseillers et des
assistants de prévention, les infirmières et les assistantes sociales. Un groupe de travail pourra être ainsi
formé en 2015. Il devra choisir des indicateurs pour suivre les actions : grilles de repérage, déclarations
de maladies professionnelles liées à des TMS, aménagements de poste pour TMS, etc…. Il devra pour
cela se former aux TMS et informer les agents de l’établissement de la démarche.
La prévention des risques psycho-sociaux est une obligation qui s’intègre à la démarche globale de
prévention de l’établissement.
- les indicateurs définis par le ministre de la fonction publique: taux d’absentéisme pour raisons de
santé, taux de rotation des agents, taux de visite sur demande au médecin de prévention, taux de
violences sur agents.
- les actions de prévention primaire (causes organisationnelles, afin de supprimer ou réduire les RPS),
secondaire (développement des connaissances des agents pour mieux faire face aux situations à
risque/ formation) et tertiaire (gestion des situations de crise).
Ce diagnostic servira de support aux actions de prévention et aux actions correctives à mettre en
place dans le cadre du plan de prévention des risques psycho-sociaux.
1) Les acteurs
l’employeur
les personnels
le CHSCT
les encadrants
les conseillers et des assistants de prévention
les médecins de prévention
les infirmières
la psychologue du travail
les assistantes sociales
l’inspecteur Hygiène et sécurité
2) Les modalités
un comité de pilotage
un diagnostic des facteurs de risques
une évaluation des RPS inscrite au DUERP
un plan de prévention des RPS
3) Les étapes
Etape n°3 – Présentation de la démarche de prévention des RPS au CHSCT du 11 juillet 2014
Missions :
définir le périmètre d’intervention du projet, les résultats et documents attendus, le calendrier
des phases intermédiaires
proposer les ressources nécessaires à l’élaboration du plan
assurer la coordination des acteurs du projet
instaurer si besoin des groupes de travail thématiques
valider l’ensemble des documents à présenter en CHSCT
présenter le plan RPS
Composition:
- DGS
- DGSA
- DRH, ou son représentant
- Chef du projet RPS
- Représentant du secteur recherche
- Représentant secteur formation
- Chef du service H&S, ou son représentant
- Assistante sociale du personnel
- Médecin de prévention
- Psychologue du travail
- Infirmière
- 7 représentants des OS
- Invités permanents: représentant CNRS, INSERM, APHP
Fonctionnement:
une réunion mensuelle
la possibilité de faire appel à des compétences externe
un secrétariat permanent assuré par l’administration
la mise en place d’une plateforme documentaire accessible aux représentants du CHSCT
1ère réunion le 7 novembre 2014
Une note relative à la prise en charge des signalements de situation de harcèlement est en cours de
réalisation dans le cadre d’un travail pluridisciplinaire incluant la Direction des ressources humaines, la
Direction des affaires générales, le Service hygiène et sécurité, le Service de médecine de
prévention, le service social des personnels et des responsables administratifs de composantes.
Elle sera présentée au CHSCT au cours du 1 er semestre 2015 et transmise aux agents par courrier avec
la fiche de paie.
En 2014, la DRH a mis en place la centralisation des situations signalées par les agents, les médecins
de prévention, la psychologue, les responsables de structure, les assistantes sociales, le service
hygiène et sécurité et les organisations syndicales.
Cette centralisation a permis d’assurer une prise en charge des situations individuelles plus cohérente
et de faire un meilleur retour aux auteurs des alertes.
Le dispositif n’étant pas encore abouti, son amélioration sera à l’ordre du jour du plan de prévention
2015
En 2014, la Direction des ressources humaines a organisé 8 réunions pluridisciplinaires avec des
structures. Ces réunions de travail ont associé le service de médecine de prévention et le Service
social des personnels.
Elles ont permis aux structures d’échanger sur les difficultés qu’elles rencontrent dans la prise en
charge d’agents en difficultés et dans la mise en œuvre des contre-indications formulées par les
médecins.
Les médecins et la psychologue ont pu donner des conseils aux structures sur ces 2 points et les
alerter sur les impacts de certaines situations sur la santé des agents.
La DRH a pu les conseiller en matière d’accompagnement et de prise en charge statutaire.
La formalisation d’une typologie des signalements n’a pas pu être mise en place en 2014. Cette
typologie doit être pensée et établie en collaboration avec les acteurs de la prévention et sera donc
à l’ordre du jour du plan de prévention 2015.
La notion de résolution d’une situation doit être définie en regard de l’objectif fixé avec l’agent. Pour
chaque situation, un plan d’action doit être établi, en lien avec les acteurs de la prévention, ce qui
permettra de mobiliser les ressources adaptées et d’évaluer sa mise en oeuvre. Si les situations sont
aujourd’hui recensées en DRH, en raison des indicateurs RH en cours de construction, ce dispositif
devra s’inscrire dans le cadre du futur plan de prévention des RPS.
Conformément aux dispositions de l’article R33 du règlement de sécurité contre l’incendie relatif aux
établissements recevant du public (modifié par l’arrêté du 13 janvier 2004), « des exercices pratiques
d'évacuation doivent avoir lieu au cours de l'année scolaire ou universitaire ; (…) le premier exercice doit se
dérouler durant le mois qui suit la rentrée. »
A ce titre, des exercices d’évacuation ont eu lieu à deux reprises en 2014 pour les 50 bâtiments classés ERP ou
IGH de l’UPMC à Paris. Cela représente au total environ 10 000 personnes évacuées pendant la campagne
d’avril et plus de 12 000 personnes en octobre.
3500
3000
2500
2000
1500
1000 Avril
500
Octobre
0
Pour l’année 2014, c’est près de 2000 rappels qui ont été effectués par les agents des services de sécurité
incendie de l’UPMC. Ces rappels concernent :
- les consignes d’évacuation ;
- les consignes d’alerte (appel d’urgence au 7 55 55) ;
- les comportements à risque ;
- le respect des dispositifs de sécurité et l’interdiction de leur détournement, blocage ou encombrement
(portes coupe-feu, extincteurs, RIA, trappes de désenfumage, etc.).
En 2014, les agents des services sécurité incendie ont réalisé près de 1000 interventions de différentes
natures :
assistance aux personnes (malaise, blessure, trauma, etc.) ;
désincarcérations de personnes bloquées dans les ascenseurs ;
incendie (levée de doute, extinction de départ de feu) ;
ouvertures de porte ;
inondations et dégâts des eaux.
Le graphique suivant vous donne la répartition de ces interventions selon leur nature :
Interventions
45 63 Assistance aux personnes
27
59
Désincarcérations
ascenceurs
Incendie
Inondations
160
140
120 Inondations
100
Ouvertures de porte
80
60 Incendie
40
20 Désincarcérations
ascenceurs
0
Assistance aux personnes
Un plan de prévention doit être établi lors d’intervention d’entreprises extérieures. Il doit définir les
conditions de mise en œuvre des dispositions relatives à la santé et sécurité des personnes clarifiant
ainsi les responsabilités de chacun dans la prévention des risques professionnels.
Les articles R. 4511-1 et suivants du code du travail viennent en complément pour aider à la
prévention des risques spécifiques liés aux interférences entre les activités, les installations et les
matériels des différentes entreprises présentes en un même lieu de travail.
Le Plan de Prévention est établi par écrit avant le commencement des travaux dans les deux cas
suivants:
► Dès lors que l'opération à réaliser par les entreprises extérieures, y compris les entreprises sous-
traitantes auxquelles elles peuvent faire appel, représente un nombre total d'heure de travail
prévisible égal au moins à 400 heures sur une période inférieure ou égale à douze mois.
► Quelle que soit la durée prévisible de l'opération, lorsque les travaux à accomplir sont au
nombre des travaux dangereux figurant sur une liste fixée (arrêté du 19 mars 1993).
Le service hygiène et sécurité, de par sa connaissance des risques, assiste et conseille les différentes
structures de l’Université dans la réalisation des plans de prévention. Sur l’année 2014, le service
hygiène et sécurité a aidé à rédiger 30 plans de préventions entre les différents sites du campus et
des prestataires de service.
La majorité des interventions qui ont nécessité l’élaboration d’un plan de prévention sont
essentiellement des opérations de maintenance, des interventions pour la gestion des déchets ou
encore des contrôles périodiques.
Les principales interventions des entreprises extérieures en 2014 sont indiquées dans le tableau ci-
dessous :
Interventions des entreprises extérieures ayant nécessité la rédaction d’un plan de prévention
8.2.1. Mise en place de la centralisation du suivi des marchés et des consignes générales de
sécurité qu’ils contiennent
ORGANISATION
Elaboration des listes inventaires des équipements
Mutualisation des marchés lors des remises en compétition
Respect des clauses contractuelles liées à la sécurité
Organisation du suivi périodique de l'exécution des contrats incluant les clauses sécuritaires
La mutualisation des contrats poursuit plusieurs objectifs parmi lesquels la sécurisation administrative
et juridique des marchés, la sécurisation des interventions des exécutants par la maîtrise des clauses
contractuelles, l'optimisation économique par un effet de masse, un gain de temps d'études pour les
différentes entités.
Les cahiers des charges mentionnent alors les responsabilités respectives exercées par les services
centraux (juridiques et administratives) et celle dévolues aux responsables des établissements distants
(techniques et comptables).
Les marchés de vérification technique réglementaire "VTR" remis en concurrence en 2014 inclus la
mutualisation de tous les sites de l’UPMC afin de garantir que les contrôles incombant aux services de
soutien soient régulièrement effectués.
- Le lot n°1 vise les contrôles des moyens de secours et installations de lutte contre l’incendie gérés
par le Service de Sécurité Incendie.
- Le lot n°2 vise les contrôles spécifiques aux Immeubles de Grande Hauteur, il est géré par le Service
de Sécurité Incendie.
- Le lot n°3 vise les contrôles des installations techniques de bâtiment, il est piloté par le Service
Technique de la DPI puis coordonné avec les chefs d'établissements des sites distants
Enfin le Service Hygiène et Sécurité dispose d'un marché pour les vérifications des sorbonnes.
La réglementation relative à la Sécurité Santé des Travailleurs comme le rappel des consignes
générales de sécurité sont systématiquement inclus dans les clauses contractuelles des marchés sous
une forme pédagogique afin d'être accessible aux exécutants comme aux superviseurs des
marchés. Les manquements aux obligations de sécurité sont sanctionnés par des pénalités
contractuelles.
Chaque marché est suivi par un responsable désigné.
A chaque réunion contractuelle : réunion de lancement, réunion périodique, réunions de bilan, un
point est consacré à l’examen des conditions de sécurité et aux éventuelles évolutions à reporter au
plan de prévention, par exemple lors de l'apparition de risques nouveaux où de l’évolution du
périmètre du contrat. La mise à jour annuelle des plans de prévention prend en compte également
ces évolutions.
Les prestataires de maintenance assurent eux aussi en interne l'analyse des risques professionnelles et
le contrôle des moyens de prévention de leurs agents au travers de journée de sensibilisation ou de
formation, de "point minute sécurité", de visites de terrain, d'affichage, etc. Lorsque les actions
nécessaires pour faire cesser le danger (collectif) sont du ressort de l'UPMC, les demandes sont
communiqués au Service Technique de l’UPMC qui met en œuvre les moyens de sécurisation (ex :
sécurisation des accès en toiture pour un entretien d’un système de climatisation).
ORGANISATION
Analyse des listes d'équipements soumis à vérification périodique
Choix des équipements soumis aux vérifications techniques réglementaires
Mutualisation des marchés de vérifications en 2014
Organisation déconcentrés des responsabilités et du suivi d'exécution
Les besoins sont examinés annuellement avec le bureau de contrôle afin d’identifier les contrôles
nécessaires, en prenant en compte l’évolution du patrimoine, des installations et des textes
réglementaires.
L’inventaire des équipements soumis à contrôle est mis à jour avec les responsables des pôles
techniques et les chefs d'établissements pour préparer les futurs contrôles.
Le cahier des charges du marché précise les responsabilités respectives des intervenants lorsqu'il
s'agit de sites distants : élaboration des commandes, organisation des visites, accompagnement du
contrôleur.
Une réunion annuelle permet d'élaborer le projet de planification des visites soumis aux chefs
d'établissements.
Les rapports de visites sont adressés aux responsables d’établissements, enregistrés et conservés
pendant trois ans dans une base de données informatique protégée.
Des réunions périodiques puis une réunion de bilan permet de vérifier le bon avancement des
missions et la production des rapports tels que prévus en début d’année afin d'en calculer le ratio
d'exécution valant indicateur.
9. Le management de la prévention
LE MANAGEMENT DE LA PRÉVENTION
9. Le management de la prévention
Des assistants de prévention sont nommés par les chefs de service concernés, sous l’autorité desquels ils
exercent leurs fonctions. Les assistants de prévention constituent le niveau de proximité du réseau des agents
de prévention (décret 82-453 du 28 mai 1982 modifié).
Bien qu’exerçant leurs missions dans des unités de travail de l’UPMC, les assistants de préventions ont
différents employeurs (UPMC, CNRS, INSERM).
Depuis plusieurs années, le SHS organise des réunions de réseaux des assistants de prévention (AP) de l’UPMC
(unités de l’UPMC et unités mixtes de recherche). Cette animation permet d’impliquer ces acteurs de
préventions de proximité dans une action coordonnée, pilotée et évaluée, destinée à maîtriser les risques
professionnels et à en réduire les conséquences.
Cette action collective s’inscrit dans le cadre de la démarche de prévention des risques professionnels établie
de longue date à l’UPMC et permet notamment d’informer les AP sur la veille réglementaire et sur les projets
du SHS, de transmettre des outils d’aide et prendre connaissance de leurs besoins, de faciliter les échanges
entre AP et avec le SHS et de croiser les bonnes pratiques mises en place au sein des unités de travail.
Cette réunion a eu lieu sur le Campus de Jussieu avec la présence de 96 assistants de prévention. L’ordre du
jour était le suivant :
o Travail isolé
Présentation du projet de la nouvelle procédure du travail isolé
Présentation du calendrier
Plans de prévention : interventions des prestataires externes au sein des unités de travail
(laboratoires/services)
o Rappel réglementaire
o Présentation du formulaire type de l’UPMC
Cette réunion a eu lieu sur le Campus de Jussieu avec la présence de 100 assistants de prévention. L’ordre du
jour était le suivant :
Les unités manipulant des radioéléments ou utilisant des appareils électriques émettant des
rayonnements ionisants sont dans l’obligation de désigner un PCR afin d’assurer la radioprotection au
sein de leur unité.
Ces personnels suivent une formation conduisant à l’obtention du diplôme de PCR. Une fois le
diplôme obtenu ils sont nommés PCR de l’Université par le Président après avis du CHSCT.
Le service hygiène et sécurité assure le suivi des formations des PCR directement avec les unités et en
collaboration avec le bureau de la formation des personnels de l’Université.
SHS 2
Total 42
Pour assurer le soutien vie courante des différents sites, la direction de la logistique et des campus
(DLC) dispose de chefs de site sur le campus Jussieu et de correspondants sur les sites Curie et Ivry-sur-
Seine.
Les chefs de site disposent d’un bureau situé au sein de leur secteur de compétence. De 09h00 à
17h00 ils effectuent des rondes dans leur zone afin de rendre compte des problèmes rencontrés par
les usagers et de mettre en œuvre, si possible, les premières mesures correctives.
Constitué de 9 chefs de site, 6 agents d’accueil / contrôle d’accès et de 2 chauffeurs, le « pôle chefs
de site » est placé sous l’autorité hiérarchique du chef du service soutien de la DLC.
Le chef de site est le représentant de proximité de la Direction Logistique des Campus (DLC) auprès
des usagers. Sa mission est de renseigner et de rendre compte des disfonctionnements techniques
et logistiques afin de faciliter la vie des usagers :
- il identifie et traduit les problèmes rencontrés par les usagers et les consigne dans le système
GMAO piloté par la Direction du Patrimoine Immobilier (DPI);
- il participe aux missions de sureté, d’hygiène et sécurité du site ;
- il entretient des relations privilégiées avec les directeurs des laboratoires et leurs
représentants ;
- il assure une communication aux usagers concernant les suites données aux problèmes
déclarés ;
- il participe au contrôle qualité du marché de nettoyage.
Mise à jour et suivi du plan d’occupation des bureaux de la Tour Zamansky / Mise à jour et suivi des
droits des clés kaba pour la TZ / Mise en place d’un inventaire du mobilier par bureau et suivi /
Gestion et entretien du parc automobile UPMC du site Jussieu / Gestion des attributions de salles de
la Tour Zamansky (1004, 1005, 1006 / 2300, 2302, 2304, 2307 / 2400, 2402) / Gestion de la flotte portable
de la Direction de la Logistique et des Campus / Planification et mise à disposition des salles de
réunion de la Tour (hors matériel audiovisuel) / Contrôle du nettoyage des locaux, mise à jour de la
signalétique des bureaux de la tour / Gestion du parc automobiles, suivi consommation et
maintenance du marché photocopieur, assurances et cartes essence / Participation à la navette
« courrier » et « personnels » du site Ivry / Réception et distribution des consommables et des produits
d’entretien / Approvisionnement du papier pour les photocopieurs de la TZ.
Relais entre l’administration centrale et les différents services de l’université : Hygiène et Sécurité,
Sécurité incendie, Direction du Patrimoine immobilier, Espaces Verts, Services généraux / Suivi des
marchés de gardiennage, nettoyage et déchet / Gestion de la Restauration UPMC et CNRS / Suivi
des travaux EPAURIF / Gestion du planning des salles / Diffusion des informations relatives au site aux
laboratoires et usagers / Gestion du contrôle d’accès et vidéosurveillance / Gestion des navettes
courrier et transports des personnels.
Campus Jussieu
- Barre 2526
- Barre 1626
- Barre 2600
Tour Zamansky
Bernard
Tour Zamansky 1er étage
POVIE
Bureau 109
Sites extérieurs
Le cadre de mission des médecins de prévention est défini par le décret du 28 mai 1982. L’article 10
rappelle que le service de médecine est destiné à prévenir toute altération de la santé des agents
du fait de leur travail et peut comprendre une équipe pluridisciplinaire.
Les structures de rattachement des agents sont réparties entre les médecins qui assurent le suivi
médical de ses agents, ainsi que l’action en milieu de travail. Toutefois, compte tenu de l’insuffisance
du nombre de médecins, une partie de la population n’a pas de médecin référent.
- 3 infirmières à temps plein, dont les activités sont réparties entre la médecine de prévention et
les soins infirmiers au sein de l’infirmerie.
- 1 psychologue à temps plein qui, d’une part, assure un suivi individuel des agents en
souffrance, en difficulté ou ayant subi un évènement traumatisant sur leur lieu de travail,
d’autre part, participe à des travaux, ou actions visant l’amélioration des conditions de
travail.
- 4 personnels administratifs, dont le responsable administratif et 3 secrétaires.
- 1 informaticien rattaché à la DSI et qui apporte son soutien technique à la gestion de
données, à l’utilisation et à l’évolution de l’outil 4D.
- 1 agent d’entretien rattaché à la DLC, chargé de l’entretien des locaux, des vêtements de
travail, de la collecte des déchets et de tâches administratives.
Dans le programme annuel 2014, afin de renforcer les capacités du SMP, il avait été identifié le
besoin de recruter 2 médecins de prévention et un ergonome.
Concernant les postes de médecin de prévention, malgré les annonces web passées sur le support
de recrutement (BIEP, annonces-médicales.com, UPMC), aucun candidat ne s’est présenté.
Dans cette attente, l’UPMC a sollicité des associations médicales afin de maintenir le suivi médical
des agents.
Quant au poste d’ergonome, suite à l’annonce passée, 7 candidats ont été reçus en entretien
d’embauche, mais aucun n’avait le profil requis.
Le recrutement sera relancé en 2015 sur un profil qui devra compléter celui de l’ingénieur en
organisation.
Dans cette attente, le service social des personnels poursuit la mise en œuvre de prestations
d’ergonome à la demande des structures ou des médecins de prévention.
Le suivi médical concerne non seulement les agents de l’UPMC mais aussi les agents d’organismes
de recherche (IPG, ENSCP, CNRS) avec lesquels des conventions ont été signées, pour un effectif
total d’environ 7500.
Le taux du nombre de visite par rapport aux convocations est resté stable par rapport à 2013 et
s’élève à 69%.
En 2014, 3 inspections ou missions, dont l’objectif visait l’amélioration des conditions de travail au sein
du SMP se sont déroulées. Elles ont conclu à la mise en œuvre de préconisations qui seront au cœur
du projet de service en 2015.
9.4.3. Modalités mises en place pour améliorer le suivi médical des agents
Un travail important a été engagé à partir d’octobre 2014, afin de fiabiliser la qualité des données
transmises par la DRH au SMP.
Ce transfert a débuté en novembre 2014 avec la transmission du fichier global et des fichiers
complémentaires. Ces transmissions se poursuivront en 2015.
Parallèlement, un rapprochement a eu lieu avec le CNRS et l’IPG afin de mettre en qualité les
données et leur format, de façon à assurer leur parfaite intégration dans le système 4D.
b) Accès à Harpège
En 2014, l’application Pollux permettant l’affichage des données issues d’Harpège en temps réel a
été développée par la DRH et mise à la disposition des chefs de service.
Ces données dynamiques donnent notamment des informations sur la situation administrative des
agents (carrière et contrat), l’affectation, la quotité de temps de travail, les périodes de congés.
Le Président a saisi l’inspection santé et sécurité au travail dans le cadre de sa mission conseil afin de
mettre fin aux difficultés rencontrées par le service de médecine de prévention. En outre, un
désaccord sérieux et persistant existe entre l’administration et le CHSCT sur le recours à un expert
agréé pour remédier au dysfonctionnement de ce service.
L’inspecteur santé et sécurité au travail a rendu son rapport daté du 10 mars 2014 en faisant un
certain nombre de préconisations tant pour le fonctionnement du service de médecine de
prévention que pour le fonctionnement du CHSCT.
Fonctionnement du CHSCT
Fonctionnement du SMP
Mettre en place un projet de service détaillé permettant de regrouper les agents autour d’un
travail commun :
• Désigner un référent médico-technique reconnu pour sa compétence sur le sujet.
• Repositionner l’activité du service sur l’aspect médico-technique, et sur son rôle
de conseiller de l’administration, des agents et de leurs représentants.
• Créer un comité technique médical, présidé par le référent médico-technique, interne
au service pour rédiger le projet de service, les procédures de travail, le règlement
intérieur, l’organigramme, les fiches de poste.
Recourir à un service interentreprises de façon transitoire pour le suivi de population
homogène relevant d’une activité tertiaire selon une logique de service.
S’assurer de la prise en charge de la prévention tertiaire des agents du service.
Mettre du cadre dans l’activité du service.
Repartir la population à suivre de manière équitable entre les différents médecins de
prévention.
Assurer au service un temps de sérénité afin d’évoluer.
Repenser les locaux pour une meilleure adaptation à l’usage. Dans ce cadre, le recours à un
ergonome extérieur nous paraît utile.
Monsieur Vignalou, médecin coordonnateur national du ministère des finances, et Président des
comités médicaux ministériels et d’organismes publics a été sollicité par courrier le 6 mai 2014 afin
d’effectuer une mission de médiation médico-technique au sens du rapport d’inspection remis au
CHSCT. Il a rendu son rapport au Président le 28 juin 2014.
Depuis le 1er octobre 2014, l’administration met en œuvre un plan d’action (qui a été communiqué
aux membres du CHSCT) pour le service de médecine de prévention fondé sur :
- le compte-rendu de la visite du CHSCT (21 juin 2013)
- le rapport de l’inspecteur santé et sécurité du travail (mars 2014)
- le rapport du Docteur Vignalou (28 juin 2015).
De nombreuses préconisations du rapport du Docteur Vignalou ont été prises en compte dans ce
plan d’action.
Lors de la séance du CHSCT du 26 juin 2014, les membres du CHSCT ont déclaré par avis que le
rapport de l’Inspecteur santé et sécurité au travail n’avait pas permis de lever le désaccord entre
l’administration et le CHSCT.
Suite à cet avis, l’inspection du travail a été saisie par courrier en date du 14 octobre 2014. Une
enquête a été menée pour comprendre la situation professionnelle du service de médecine de
prévention. Il a rendu son rapport le 16 décembre 2014 avec des préconisations différentes des deux
premiers rapports (M. Savy et Docteur Vignalou).
En effet, il préconise notamment l’individualisation des activités de chaque médecin, le rejet de tout
projet de standardisation des pratiques professionnelles, la mise en place d’un nouvel organigramme,
la séparation géographique de l’infirmerie et du SMP, se passer d’une coordination de médecins de
prévention. L’administration formulera sa réponse par courrier à l’inspecteur du travail pour signifier si
elle compte suivre ou non ses préconisations qui vont à l’encontre des deux précédents rapports qui
mettaient en évidence la nécessité de renforcer le collectif de travail.
L’inspection du travail a également été saisie par courrier le 23 octobre 2014 pour faire suite au vote
du maintien du désaccord sérieux et persistant au CHSCT du 21 octobre 2014 concernant la réalité
du danger du signalement du 3 septembre 2014 inscrit au registre des dangers graves et imminents.
Egalement, suite à la rénovation du campus Jussieu et la livraison de nombreux locaux, les membres
du CHSCT sensibilisent régulièrement l’administration sur les problématiques d’aménagements
pouvant avoir un impact sur les conditions de travail des services. Ainsi, plusieurs visites de services ont
été organisées, notamment sur le dernier trimestre 2014.
Enfin, chaque année le CHSCT examine et émet un avis sur le programme annuel de prévention et
sur le rapport annuel de prévention.
Afin de mieux traiter transversalement les sujets et de correspondre plus efficacement avec les
représentants au CHSCT, l’administration a recruté au mois de mai au sein de la Direction Générale
des Services une coordinatrice CHSCT chargée de la coordination du travail sur les questions relevant
des prérogatives du CHSCT.
Le CHSCT dispose d’un certain nombre de pouvoirs en matière d’observation de la mise en oeuvre
des dispositions relatives à l’hygiène et la sécurité et d’analyse des situations de travail. Le travail
entre l’administration et les représentants des personnels devra être amélioré en 2015 pour permettre
plus de propositions en matière de prévention collective. Pour cela, les représentants du personnel du
CHSCT souhaiteraient une meilleure cohérence des informations transmises et une meilleure qualité
des documents communiqués.
La démission de la secrétaire du CHSCT le 1er octobre 2014 a eu pour conséquence l’arrêt des
réunions de concertation avec celle-ci rendant pour l’administration plus difficile la préparation et le
suivi du travail du CHSCT dans sa globalité (définition de l’ordre du jour, traitement des questions
diverses, relecture des PV…) au lieu d’être renforcé comme il avait été souhaité. Dès janvier 2015,
l’administration proposera une procédure afin d’améliorer le fonctionnement du CHSCT en
proposant moins de séances dans l’année mais proposer un calendrier annuel avec des réunions
intermédiaires et régulières.
Les représentants de l’administration sont le Président de l’UPMC ayant l’autorité sur le comité et le
Directeur Général des Services ayant autorité en matière de gestion des ressources humaines.
Les représentants des personnels sont désignés sur la base des élections sur liste organisées pour la
mise en place des Comités techniques. En 2014, 6 organisations syndicales étaient présentes au
CHSCT :
- CGT : 4 sièges titulaires et 4 sièges suppléants
- FO : 1 siège titulaire et 1 siège suppléant
- FSU : 1 siège titulaire et 1 suppléant
- Indépendants : 1siège titulaire et 1 suppléant
- SGEN-CFDT : 1 siège titulaire et 1 siège suppléant
- UNSA : 1 siège titulaire et 1 siège suppléant
Le 4 décembre 2014 ont eu lieu les élections du comité technique entraînant un renouvellement pour
4 ans des représentants des personnels au CHSCT.
De plus, en fonction de l’ordre du jour, le président peut être assisté en tant que de besoin par le ou
les collaborateurs de son choix exerçant auprès de lui des fonctions de responsabilité et
particulièrement concernés par les questions/projets examinés ou soumis à l’avis du comité. Le plus
souvent, ce sont des collaborateurs provenant de la Direction des Ressources Humaines, de la
Direction du Patrimoine Immobilier et du Service Hygiène et Sécurité qui interviennent. La
coordinatrice du CHSCT est également invitée à chaque séance.
Au renouvellement du CHSCT, les élus du CHSCT se verront attribuer les décharges prévues par
l’arrêté du 27 octobre 2014 pris en application de l'article 75-1 du décret n° 82-453 du 28 mai 1982
soient 14 jours pour le secrétaire du CHSCT et 11 jours pour les titulaires et suppléants.
10
BILAN DU FONCTIONNEMENT DU
COMITÉ D’HYGIÈNE, DE SÉCURITÉ ET
DES CONDITIONS DE TRAVAIL
Au cours de l’année 2014, le CHSCT s’est réunis à 13 reprises. Un grand nombre de sujets ont été
évoqués dont certains ont fait l’objet d’un avis.
14 avis
- communication de documents, informations et plans d’actions.
6 avis
- modification de documents
6 avis
- amélioration de la qualité et du référencement des réponses, documents et informations
transmises.
5 avis
- consultation au préalable du CHSCT pour tout projet d’aménagement et de déménagement
5 avis
- missions du CHSCT (visites de service, enquêtes AT/MP)
4 avis
- de type « constats », portent sur les documents obligatoires : rapport annuel de prévention,
programme annuel de prévention, rapport d’activité du service de médecine de prévention.
4 avis
- demandes de recours à l’inspecteur santé et sécurité du travail, l’inspecteur du travail, une
expertise agréée ou à une intervention extérieure.
2 avis
- mise en place d’instances conjointes
1 avis
- les conclusions du groupe de travail RPS
- désaccord sérieux et persistant suite à un signalement DGI
- création de CHSCT spéciaux
- développement et déploiement de l’application RSST
Dans le graphique ci-dessous ont été comptabilisés seulement les avis qui évoquaient les conditions
de travail d’un service.
Les documents communiqués peuvent être de différents types : plans, notes d’explication d’un
service sur un sujet précis, suivi des avis, rapports d’inspection des services vétérinaires, rapport de la
commission de sécurité, rapports d’enquêtes, rapport de mission, lettre de mission… En tout ce sont
plus de 100 documents qui ont été mis sur E-partage cette année.
13 notes explicatives de service ont été communiquées en 2014. L’objectif pour 2015 est de rendre
plus systématique ces notes.
DATE DE MISE
TYPE DE LIVRABLE SITE DIRECTION/LIEU DOCUMENT
SUR E-PARTAGE
Photothèque - réponse de
07/04/2014 Note COM. + SHS tous tous
l'administration
Pitié Complément d'information
19/06/2014 Note SHS P3S UFR 967
Salpêtrière signalement 26-06-Med3
Maison de la Note explicative maison de la
25/06/2014 Note DGS Jussieu
pédagogie pédagogie
25/06/2014 Note DPI Jussieu Salle 110 Note explicative salle 110
Complément d'information
02/07/2014 Note SHS Jussieu DGRTT
signalement 26-06-J5
Note d'information - Calendrier des
18/07/2014 Note BUPMC Jussieu Bibliothèque MIE interventions Bibliothèque MIE et
mesures prises
17/09/2014 Note DSI Tous Tous Application RSST 1.2
17/09/2014 Note DPI Jussieu Note enlèvement laine de roche
Note d'information plan d'action au
16/10/2014 Note DGS Jussieu SMP
SMP - Octobre 2014
Note DLC_Nettoyage et sûreté - Projet
10/11/2014 Note DLC Jussieu BUPMC d'extension des horaires d'ouverture
des bibliothèques
Tableau d'avancement des
Restaurant
19/11/2014 Note DPI Jussieu interventions au 15.11.2014_restaurant
universitaire
universitaire
Note_DPI Inondation de la bibliothèque
20/11/2014 Note DPI Jussieu Bibliothèque MIR
MIR LE 10.09.2014
Bibliothèque Note BUPMC_Etat des travaux
21/11/2014 Note BUPMC Trousseau
Trousseau bibliothèque Trousseau
A chaque visite de service, le comité de visite a reçu selon leur disponibilité des documents : les fiches
de postes, l’effectif du service, le document unique, les plans des locaux, les documents techniques,
les attestations de conformité…
En dehors des séances du CHSCT, les membres du CHSCT ont été consultés à 6 reprises :
- 2 réunions sur la démarche de prévention des risques psychosociaux (22 mai et 5 juin 2014)
Résultats : Le CHSCT a rendu son avis lors de la séance du 11 juillet 2014
o mise en place d’un comité de pilotage RPS : 4 contre, 2 abstentions et 2 pour
o modalités de diagnostic des RPS : 6 abstentions et 2 pour
Le premier comité de pilotage s’est tenu le 7 novembre 2014 et un chef de projet RPS
a été nommé.
Pour remplir pleinement leur mission de consultation, les membres du CHSCT ont suivi une formation à
la prévention des risques psychosociaux et ont été accompagnés pour la prise en main de
l’application RSST version 1.2.
DATE SITE SERVICE / LOCAL OBJET Précisions LOCALISATION REPRESENTANT DU PRESIDENT REPRESENTANTS DES PERSONNELS Examiné au CHSCT
Impact des travaux de la future
Mme. HAMEL-DELLENBACH (FO) Non
Plateforme d’enseignement TP animalerie aquatique localisée au Bâtiment C - 1er étage
30/06/2014 JUSSIEU futurs locaux Mr. MELCZER (Directeur DPI) Mme. GAUDARD (CGT) (CR en attente de
Biologie Végétale bâtiment C – 1er étage sur la Bâtiment B - 2ème étage
Mme. PALIES (SGEN-CFDT) retours élus)
Plateforme de Biologie Végétale.
Risques liés à la dégradation du
Flocage et laine de roche (service Service courrier, secteur ouest Mr. RUBINSTEIN (CGT) 21/10/2014
03/07/2014 JUSSIEU Environnement flocage et présence de laine de Mr. MAGNIN (DPI)
courrier, secteur Ouest Nord et Sud) nord et sud Mr. MAILLARD (FSU) (annexe 4, a)
roche
Laverie
Mme. HAMEL-DELLENBACH (FO)
Local plongée
22/09/2014 Roscoff Station marine de Roscoff conditions de travail visite de service Mr. KLOAREG (Directeur de la station) Mme. GAUDARD (CGT)
Aquarium
Mme. PALIES (SGEN-CFDT)
Quelques services administratifs
Disposition des portes peut poser
Atelier de découpe des matières des problèmes de sécurité Mr. CARPENTIER (FSU) 16/12/2014
29/09/2014 JUSSIEU futurs locaux Niv. SB, tour 25 Mr. PRIEUR (DGS adjoint)
premières incendie et ne facilite pas la Mme.HAMEL-DELLENBACH (FO) (annexe 4, b)
livraison des matériaux
relogement du vestiaire des
salariées de ménage Derichebourg
Local pour le personnel d'entretien Local situé à l'arrière de Mme. GAUDARD (CGT) 16/12/2014
08/10/2014 JUSSIEU futurs locaux suite aux travaux du demi-couloir Mr. MICHEL (Directeur DLC)
féminin Derichebourg l'amphithéâtre A1 Mme. HAMEL-DELLENBACH (FO) (annexe 4, c)
bâtiment C – 1er étage (animalerie
aquatique)
ergonomie insatisfaisante
(luminosité insuffisante, pseudo- Mr. CARPENTIER (FSU) 16/12/2014
03/11/2014 JUSSIEU Bureau accueil et mobilité futurs locaux Niv. SB, patio 23-34, RC 28,29,30 Mr. PRIEUR (DGS adjoint)
fenêtre…) et impact sur le Mme. PALIES (SGEN-CFDT) (annexe 4, d)
fonctionnement du service
inondation du 10 septembre 2014 Mme. DIANOUX
CR en cours de
20/11/2014 JUSSIEU Bibliothèque MIR conditions de travail (inflitration) + chaleur (absence de Patio 15-26. Rez-de-Chaussée Mme. BLIN (Directrice BUPMC) Mr. DURPAIRE (FO)
rédaction par les élus
climatisation) + odeur Mr. CARPENTIER (FSU)
problème de ventilation et et
d'ergonomie du travail -
AP-HP projet Hôpital Trousseau, 26, av. du Dr A. Mme. GAUDARD (CGT) CR en cours de
04/12/2014 Bibliothèque Trousseau insonorisation (travaux Mme. BLIN (Directrice BUPMC)
Trousseau d'aménagement Netter, Pav. L. Chigot (entresol) Mr. DURPAIRE (FO) rédaction par les élus
d'électricité, cloison, CVC, stores,
peinture…)
Les membres du CHSCT ont réalisés deux enquêtes en 2014 suite à des signalements DGI.
La première enquête fait suite au signalement qui a été inscrit au registre des dangers graves et
imminents le 4 août 2014 car l’entreprise extérieure intervenant sur l’enlèvement de la laine de roche
n’a pas respecté les modalités du plan de prévention et le calendrier prévu.
La composition de la commission d’enquête était la suivante : Mme. Christien (DGS Adjointe,
représentante du président) et M. Carpentier (FSU). Les conseillers de la commission étaient Mme.
Stercks (SHS) et M. Gabet (DPI).
La commission d’enquête a rendu le 5 août 2014 ses conclusions dans un rapport entraînant l’arrêt
des travaux. Ces derniers devront être reprogrammés et respecter les normes de sécurité nécessaires.
Le rapport de la commission a été examiné à la séance du CHSCT du 21 octobre 2014. Le CHSCT est
d’accord pour dire que le danger grave et imminent n’existe plus.
La seconde enquête a été menée suite à un signalement inscrit au registre des dangers graves et
imminents le 3 septembre 2014. Il concerne un agent en situation de risques psychosociaux. Le même
agent avait déjà fait l’objet d’un signalement au registre des dangers graves et imminents en 2013.
La commission d’enquête était composée de M. Roques (DRH adjoint, représentant du président) et
de Mme. GAUDARD (CGT). Les conseillers de la commission étaient : Mme. Nebbache (conseiller de
prévention) et Mme. Martin-Sénéchal (Médecin de prévention). Le représentant du Président et la
représentante du personnel de la commission sont en désaccord sur la réalité du danger du
signalement. Chacun a réalisé un rapport, respectivement le 10 octobre (Mme. Gaudard) et le 14
octobre (M. Roques). Ces deux rapports ont été examinés à la séance du CHSCT du 2014. Lors de ce
CHSCT, les membres du CHSCT ont voté la poursuite du maintien du désaccord sérieux et persistant.
11. Bilan des actions de formation en matière de santé, sécurité et conditions de travail
11
11. Bilan des actions de formation en matière de santé, sécurité et conditions de travail
Plusieurs formations sur les domaines concernant la santé, la sécurité et les conditions de travail sont
organisées chaque année à l’UPMC. Un effort important de formations de toutes les catégories de
personnel et des étudiants s’est poursuivi durant l’année 2014.
A ce titre, la formation des agents de l’UPMC est assurée par le bureau de la formation des
personnels (BFP) et par le service hygiène et sécurité (SHS) de l’université. Certaines formations
assurées par les partenaires de l’UPMC (CNRS, INSERM…) sont également accessibles aux agents de
l’UPMC, principalement sous condition du nombre de places restées vacantes.
Comme chaque année, l’université s’est investie dans l’amélioration de l’offre de formation
professionnelle et a mis en place de nouvelles formations en prévention, santé et sécurité pour
répondre à la réglementation et aux attentes des laboratoires et services de l’établissement.
Chaque année le Service Hygiène et Sécurité organise des stages en Hygiène et sécurité ouvert aux
nouveaux entrants du campus Jussieu (personnels UPMC, CNRS, INSERM et stagiaires). Cette
formation est organisée 2 fois par an.
Suite à ces cessions de formation, les stagiaires reçoivent un certificat de participation au stage.
Annuellement, une formation initiale aux fonctions d’assistant de prévention est proposée par le
service hygiène et sécurité. 25 thèmes y sont proposés. Cette formation, répartie sur six jours
séquencés en deux fois trois jours avec des intervenants (internes et externes) spécialistes du thème
soutenu.
144
110
63
56
39
23 24 25 23
18 15 11
En 2014, deux nouvelles formations en prévention des risques professionnels ont été mises en place par le
Service Hygiène et Sécurité.
a) Le contexte
La prise en compte des RPS au travail est une priorité fixée par la présidence de l’université pour 2014-
2015.
Désormais, les formations inscrites au parcours management intègreront toutes un volet RPS (2 jours),
permettant ainsi l’inscription de cette problématique de manière pérenne dans le parcours de
professionnalisation des cadres ainsi que dans les formations des personnels en charge de missions
d’hygiène et sécurité. Ainsi, tous les niveaux d’encadrement seront formés à la prévention des RPS.
Si 2014 constitue une année de montée en puissance des formations, 2015 sera bien plus importante
en nombre de stagiaires formés et en dépenses engagées.
Groupe de travail
Formation : prise en compte des RPS 7/02/2014 84h 1 12 6405.50
administration
Membres du
Formation : prise en compte des RPS 13/05/2014 60h 1 10 5316.00
CHSCT
Equipe
Séminaire RPS mythe ou réalité 22/07/2014 32h 1 8 2005.33
présidentielle
Assistants de 25/11/2014
RPS pour les assistants de prévention 98h 2 14 6138.83
prévention 17/12/2014
Encadrants
opérationnels Module RPS complémentaire 4, 5/12/2014 84h 1 7 5838.00
déjà formés
20 au 12
Encadrants Encadrement opérationnel 633h 2 22 41406.00
déc.
4 Pers. De la DRH Reportée
Prévenir les RPS et réaliser son plan
+ médiatrice de 2015 par 1j
de prévention
l’UPMC l’AMUE
Ce sont 73 stagiaires qui ont été formés en matière de prévention des risques psychosociaux en 2014.
Programmation 2015
L’année 2014 est marquée par le déploiement du logiciel EvRP au sein des services centraux.
Pour cela le SHS a organisé, à l’image de 2013, 2 sessions de formation auprès des directeurs et des
Assistants de Prévention de ces services. Les formations permettent de donner les informations
nécessaires pour réaliser un document unique d’évaluation des risques via le logiciel.
Une formation s’est déroulée en mai et l’autre en novembre. Sur les 37 personnes conviées, 18 se sont
présentées. Sur les 19 absents, nous comptons 18 directeurs et 1 assistant de prévention.
L’article R4121-4 prévoit que le document unique d’évaluation des risques doit être tenu à la
disposition des membres du comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT).
L’application permet de répondre à cette exigence en donnant accès aux documents uniques
déclarés sous format PDF, mais permet aussi de réaliser des requêtes prenant en compte l’ensemble
des informations renseignées dans les documents uniques. Afin d’informer les représentants du
personnel au CHSCT de ces fonctionnalités et de leur utilité, le SHS a mis en place une formation
spécifique pour les membres du CHSCT. Celle-ci s’est déroulée le 24 juin en la présence de 7
représentants du personnel (seulement 3 ont suivi la formation en intégralité).
11.2.3. Formation continue des AP sur le risque lié à l’utilisation des Nanomatériaux
Le Service Hygiène et Sécurité a convié l’ensemble des assistants de prévention ainsi que les
médecins de prévention et Partenaires (CNRS et INSERM) à une formation continue sur la thématique
des « Nanomatériaux » (état des connaissances, risques et prévention). Cette formation, animée par
le chargé de mission « Nanomatériaux » CNRS, s’est déroulée le Lundi 13 Octobre 2014 après-midi sur
le site de Jussieu. Au total, 55 personnes étaient présentes. Le support de formation a par la suite été
diffusé sur le site intranet dans la rubrique « Hygiène et Sécurité » afin que les personnels n’ayant pas
pu assister à la session puissent en prendre connaissance.
12.
12
NOUVELLES PROCÉDURES EN
MATIÈRE DE SANTÉ, SÉCURITÉ ET
CONDITIONS DE TRAVAIL
12.1. Procédure de suivi des consignes contenues dans les plans de prévention
ORGANISATION
Identification des contrats de plus de 400 heures / travaux dangereux
Intégration des plans de prévention au tableau des contrats
Suivi régulier des dates de production / mise à jour des plans de prévention
Communication aux chefs de sites des plans de prévention via le système de Gestion de la
Maintenance Assistée par Ordinateur
Les Plans de Prévention sont établis en recherchant parmi les contrats ceux dont le volume annuel
dépasse 400 heures ou ceux dont les prestations sont inscrites sur la liste des travaux dangereux (art R.
4512-7 CT).
La rédaction des Plans de Prévention nouveaux débute avec la "réunion de lancement" du contrat,
laquelle comprends l'examen des conditions d'interventions et des conditions de sécurité pendant la
"période de préparation" destinée à cet effet.
La mise à jour des Plans de Prévention est effectuée annuellement lors de la reconduction du contrat
à l'aide de la liste des contrats.
Les Plans de Prévention coordonnées entre l'Entreprise extérieure et l'Entreprise Utilisatrice UPMC sont
soumis à la validation du SHS, signés par les parties, enregistrées au SHS qui les tiens à la disposition
des institutions.
Une copie numérique des Plans de Prévention est enregistrée dans le répertoire " Gestion
documentaire", rubrique " Sécurité Santé" / "Plan de prévention" du système de Gestion de la
Maintenance Assistée par Ordinateur afin d'être accessible à tout moment aux exécutants,
superviseurs et chefs de sites.
ORGANISATION
Examen des textes réglementaires en cas absence d'éclairage d'évacuation
Analyse et évaluation des mesures compensatoires
Replanification des coupures programmées de maintenance
Elaboration puis communication d'une fiche de procédure
Lors des coupures inopinées, le Service de Sécurité Incendie s'informe de l'état d'avancement des
travaux de rétablissement de l'alimentation électrique et si nécessaire procède à l’évacuation du
public et des travailleurs de la zone concernée peu avant la défaillance des blocs d’éclairage de
sécurité.
La périodicité annuelle devient triennale mais permet d'assurer le maintien des garanties des
constructeurs des matériels.
Selon les équipements des postes et la configuration des installations on distingue plusieurs
procédures :
- Deux coupures courtes de 5 minutes n'impactant pas les éclairages de sécurité lors du basculement
entre transformateurs
- Des coupures longues pendant lesquelles le bâtiment sera rendu inaccessible entre 7h30 et 12h00
environ.
La planification des coupures programmées fait l’objet d’un projet pluriannuel coordonné avec les
utilisateurs des appareils prioritaires de recherche.
Les dates de coupure sont ensuite communiquées par courriel via la "liste coupure" avec un préavis
minimum à J-15 puis un avis à J-7.
Le délai s'écoulant entre le préavis et l'avis permet aux composantes de faire remonter leurs
remarques au Service Technique. Après arbitrage portant sur les priorités à satisfaire vis à vis des
risques encourus l'avis de coupure est émis et le processus de maintenance engagé définitivement.
1) Objectifs
Un des objectifs du programme de prévention 2014 est d’établir des consignes en cas d’accident
pour différents types de risques. Ces consignes doivent être rédigées conjointement entre le Service
de Médecine de Prévention (SMP) et le Service Hygiène et Sécurité (SHS).
Le but est d’également de rendre uniforme la conduite à tenir en cas d’accident sur les sites UPMC.
Suite à un accident en 2013 sur une piqûre coupure, une première procédure avait été écrite
conjointement entre le SMP et le SHS sur ce sujet précis.
D’autres médecins ont écrits des procédures sur des sujets divers : projection de produits chimiques,
accident mettant en jeu des agents biologiques, contenu d’une trousse de secours et premiers
gestes de soin.
La première étape était de définir une liste de procédures à réaliser et d’en définir le contenu.
Plusieurs échanges ont eu lieu depuis juin 2014, entre le SHS et le SMP, notamment pour recueillir
toutes les procédures existantes.
Une première réunion de mise au point, le 2 décembre 2014, avec les participants suivants :
- Myriam CHRISTIEN, Directrice Générale des Services adjointe,
- Dr PARINGAUX, membre du Service de Médecine de Prévention,
- Dr BIE, membre du Service de Médecine de Prévention,
- Dr LACOSTE-RENARD, membre du Service de Médecine de Prévention,
- Soraya NEBBACHE, chef du Service Hygiène et Sécurité,
- Nicolas DIMET, ingénieur au Service Hygiène et Sécurité.
4) Suite de la démarche
Le contenu étant défini, Il faut établir une charte graphique et un modèle type.
Pour être percutante, lue et facilement affichable, il serait judicieux que chaque procédure tienne sur
une seule page (deux maximum), sans qu’elle soit trop surchargée, avec une charte graphique
« attrayante ».
Pour certaines procédures (accident exposant au sang et accident ophtalmique lié à l’utilisation de
laser), il sera bon de préciser le circuit particulier des urgences où le personnel doit se rendre, fonction
de son lieu de travail.
L’objectif est de pouvoir diffuser rapidement aux utilisateurs cet ensemble de procédures, pour le
premier semestre 2015.
Travailler de façon isolée, c’est réaliser seul une tâche dans un environnement de travail où l’on ne
peut être vu ou entendu directement par d’autres personnes et où la probabilité de visite est faible.
En cas d’accident, le travailleur isolé ne peut pas compter sur l’assistance de ses collègues et il peut
avoir des difficultés à être secouru. La vie de l’accidenté peut être mise en danger si aucun secours
n’est assuré rapidement.
Au sein de l’établissement on recense des situations très différentes que l’on peut regrouper en deux
grandes catégories :
- Celles où un travailleur est isolé du fait de son poste de travail. Ce sont généralement des
agents dont toute ou une partie de l’activité se déroule dans des locaux géographiquement
isolés et/ou dans lesquels ils sont seuls à travailler. (Ex : atelier de mécanique, locaux
d’animalerie, pièces de stockage, local en sous/sol, laboratoire de confinement L2…).
- Celles où un travailleur est présent sur son lieu de travail en dehors des plages horaires
habituelles de l’unité définies dans son règlement intérieur. Ces situations de travail ne
peuvent être qu’exceptionnelles.
Le code du travail n’édicte pas de règles spécifiques pour le travail isolé mais les principes généraux
de prévention s’appliquent pleinement. L’article L 4121 précise notamment qu’il appartient au chef
de service « d’assurer la sécurité et de protéger la santé des travailleurs après évaluation des risques
du poste de travail et de son environnement » mais également « de prendre en considération les
capacités de l’intéressé, lorsqu’il lui confie des tâches, à mettre en œuvre les précautions nécessaires
pour la sécurité et la santé ».
1) Déroulement du processus
Suite au CHSCT du 03 octobre 2013, un groupe de travail a été constitué sur ce thème. Les membres
ont été :
- Représentants du personnel au CHSCT :
o Chloé HAMEL-DELLENBACH
o Valérie MARVAUD
o Laurent NEAUPORT
o Christine VIGUIER
- Représentants de l’administration :
o Soraya NEBBACHE, Service Hygiène et Sécurité
o Jaouen MARY, Service Hygiène et Sécurité
o Nicolas PLAUDET, Service Sécurité Incendie
- Personne invitée :
o Frédérique MAZE-CORADIN, Ingénieure Régional de Prévention et de Sécurité du CNRS
délégation Paris B.
Ce groupe de travail s’est réuni à deux reprises (le mardi 19 Novembre 2013 et le mardi 29 Avril 2014)
et, à partir de documents existants, a créé 4 documents :
Le courrier qui sera signé par le président de l’UPMC et par la déléguée régionale de la
délégation Paris B du CNRS
Annexe 1 : note d’information relative au travail isolé
Annexe 2 : logigramme d’évaluation du travail isolé (format Visio + format PDF)
Annexe 3 : tableau de recensement des situations de travail isolé.
Un rendu au CHSCT du 26/06/2014 a été effectué, pour présenter le travail final. A l’issue de de ce
CHSCT, le courrier signé par la présidence a été envoyé fin juillet 2014 aux directeurs d’unités, de
composantes, de services, de structures, pour obtenir un état des lieux sur le travail isolé au sein de
l’UPMC. Une relance a été effectuée début novembre.
L’envoi du courrier a été effectué aux unités de travail définies par le document unique.
Le Service Hygiène et Sécurité a obtenu 77 (au 03/12/2014) réponses. Ces réponses ont été
disparates dans leur rendu : certaines unités ont répondu de façon unifiée, parfois par équipe, il en
est de même dans les services.
Si l’on regroupe les réponses issues d’une même unité de travail, on obtient 73 (au 03/12/2014)
réponses, dont 40 (au 03/12/2014) indiquent une absence de travail isolé.
Il est à noter que ce recensement a donné lieu à plus de réponses que celles fournies dans EVRP pour
le travail isolé. Cela a donc permis aux unités de réfléchir sur leur organisation vis-à-vis de ce risque.
Seules 3 unités de travail ont indiqué dans EVRP un risque lié au travail isolé, sans répondre au
recensement. Ces 3 unités de travail sont hébergées par des partenaires (Ecole Supérieure de
Physique et de Chimie de la Ville de Paris, Institut de Biologie Physico-Chimique de Paris, Institut
d’Astrophysique de Paris).
travail en dehors
isolement nombre de personnes chaine de secours
Unité de travail Site des heures DATI existant
géographique exposées vérifiée
classiques
travail en dehors
isolement nombre de personnes chaine de secours
Unité de travail Site des heures DATI existant
géographique exposées vérifiée
classiques
biologie computationnelle et
Cordeliers x x 10 non non
quantitative
laboratoire de biologie du
Jussieu x 40 non non
développement
139
laboratoire de météorologie dynamique Jussieu x non non
(occasionnalement)
oui (procédures
direction des services informatiques jussieu x x non estimé non
i nternes )
Cela peut donner une répartition géographique des unités présentant du travail isolé :
30
25
20
15
10
5
0
Certaines unités de travail, présentent sur plusieurs sites, indiquent donc plusieurs sites dans leur
réponse. Cela explique le nombre supérieur de situations de travail isolé par site par rapport aux
nombres d’unités de travail ayant répondu.
Il est à noter que certaines unités déclarent beaucoup de personnes en situation de travail isolé. Il se
pose la question de la réalité du travail isolé et si l’unité ne devrait pas entamer une réflexion sur son
fonctionnement. Le rôle du SHS va être de questionner ces unités sur leur organisation.
3) Suites à donner
- Continuer à obtenir les informations des unités de travail pour obtenir une cartographie totale
du travail isolé à l’UPMC, quel que soit le site.
- Intervenir auprès des unités de travail ayant déclaré du travail isolé pour les accompagner sur
une réflexion afin de plus être dans ces situations de travail isolé. Il faudra réfléchir à
l’organisation du travail, au règlement intérieur de ces unités et en dernier recours à l’achat et
au déploiement de système DATI.
Au vu des résultats, il est possible d’extrapoler un nombre provisoire (avec environ 40% de réponse)
de DATI à envisager :
- Jussieu : 35 DATI + la DPI qui peut intervenir en astreinte sur tous les sites.
- Cordeliers : les DATI existent, la procédure a été rappelée.
- Pitié Salpêtrière : 2 DATI + cas de l’unité UMR1135 (qui a répondu avoir près de 100 personnes
en situation de travail isolé)
- Saint Antoine : 4 DATI
- Institut d’Astrophysique de Paris (site non UPMC) : 1 DATI
- ENS (site non UPMC) : 1 DATI
- Hôpital Tenon : les DATI ont été achetés et sont en cours de déploiement en partenariat avec
le SSI de l’hôpital.
Le déploiement des systèmes DATI ne pourra se faire, sur les sites UPMC, qu’en partenariat avec le
service de sécurité incendie.
Il est remarquable également, pour le site des Cordeliers, qu’une procédure concernant le travail
isolé existe. Sur ce site, des DATI sont à disposition à l’accueil pour les personnes devant travailler seuls
après 19h ou le week-end et les jours fériés.
Sur les sites non UPMC, la réflexion devra impérativement passer par les hébergeurs et les systèmes
qu’ils auront pu déjà mettre en place.
Il proposera également une procédure (guide ou charte) relative aux réorganisations de service
basée sur le travail de terrain qu’il conduira avec les structures. Cette procédure sera présentée en
2015 au CHSCT.
13
La radioprotection est un pôle de dépenses important du service hygiène et sécurité avec le pôle de
gestion des déchets chimiques, biologiques et radioactifs.
Des sociétés agréées en liaison avec le service hygiène et sécurité assurent les contrôles
réglementaires des appareils utilisés en radioprotection au sein des unités de travail concernées.
Les contrôles externes en radioprotection sont réalisés annuellement par un organisme de contrôle
agrée. Ils prennent en compte le contrôle d’ambiance des pièces radioactives ainsi que le contrôle
technique en radioprotection.
Suivi dosimétrique
Le service hygiène et sécurité centralise la gestion de la dosimétrie d’un grand nombre d’unités
notamment les unités du campus de Jussieu, les unités localisées sur le site d’Ivry-sur-Seine, sur le site
Curie, sur le site du Collège de France ainsi que les unités de l’observatoire de Banyuls. Pour les autres
unités, la gestion de la dosimétrie est gérée en interne au niveau de chaque site.
Le suivi dosimétrique est réalisé par l’IRSN. Conformément à la réglementation, les dosimètres fournis
par l’IRSN, sont des dosimètres passifs trimestriels.
Trois types de dosimètre sont disponibles, le badge poitrine, le badge poitrine avec capteur neutrons
et la bague.
Coût de la dosimétrie
Année
(en euros HT)
Dosimétrie de 2013
10 446.14
Payée en 2014
Le SHS centralise la gestion des déchets radioactifs pour le campus Jussieu dans le cadre d’un plan
de gestion interne des déchets radioactifs. A ce titre, le SHS est titulaire d’une autorisation de détenir
des radioéléments afin d’assurer le stockage temporaire avant leur élimination définitive par
l’Agence Nationale pour la Gestion des Déchets Radioactifs (ANDRA).
Le SHS dispose de 3 soutes pour les déchets radioactifs.
Coût d’enlèvement des déchets par l’ANDRA en 2014 (en euros TTC)
Jussieu 27 917.28
St Antoine / 0
Pitié
Pour effectuer ces prestations, le SHS fait appel à des prestataires spécialisés choisis après une
procédure d’appel d’offres. Les sites concernés par ces prestations sont : Jussieu, Ivry, Les Cordeliers,
Saint-Cyr-L’école et l’UFR de médecine.
Le SHS assure la gestion au quotidien des sites suivants : Jussieu, Ivry et Saint-Cyr.
Les déchets générés par les Cordeliers et la Faculté de médecine sont centralisés en interne et gérés
en direct par les sites.
Sur le site de Jussieu, deux personnels du SHS sont chargés de réceptionner les déchets tous les lundis,
mardis et mercredis de 09h30 à 11h30. Ils s’occupent également de la soute située sur le site d’Ivry où
des passages réguliers du SHS ont été mis en place (au moins tous les 15 jours).
Pour les déchets biologiques, les prestataires SITA (Jussieu, Ivry et Cordeliers) et VEOLIA (Faculté de
médecine) sont titulaires du marché depuis Août 2013 renouvelable chaque année jusqu’en 2017.
Pour les déchets chimiques, le prestataire TRIADIS est titulaire du marché depuis Novembre 2012
renouvelable chaque année jusqu’en 2016 pour l’ensemble des sites (Jussieu, Ivry, Cordeliers et
Faculté de médecine).
Bilan de l’évacuation des déchets chimiques sur le campus de Jussieu (laboratoires de recherche)
RECHERCHE
Recherche
Poids en
Types de déchets
tonnes
Liquides organiques Liquides organiques… 17,63
17,63
halogénés ou non
Solutions acides 3,12
Solutions acides 3,12
Solutions basiques 1,2
Solutions basiques 1,2 Effluents spécifiques 2,08
Effluents spécifiques 2,08 Solides toxiques et… 0,97
Solides toxiques et 0,71
0,97 Solides Mineraux
genotoxiques
Verreries souillées 4,7
Solides Minéraux 0,71
Verreries souillées 4,7 Emballages souillés 1,14
Emballages souillés 1,14 Consommables… 3,21
Consommables
3,21 Piles 0,08
souillés
Piles 0,08 Huiles 0,24
Huiles 0,24 Tubes fluorescents 0,16
Tubes fluorescents 0,16 1,09
Produits chimiques…
Produits chimiques
1,09 Autres produits… 0,14
de laboratoire
Autres produits
0,14
chimiques
Poids en tonnes
TOTAL 36,47
Bilan de l’évacuation des déchets chimiques sur le campus de Jussieu (services d’enseignement)
ENSEIGNEMENT
Enseignement
Poids en
Types de déchets
tonnes
Liquides organiques Liquides organiques… 2,02
2,02
halogénés ou non 2,75
Solutions acides
Solutions acides 2,75
Solutions basiques 2,1
Solutions basiques 2,1
Effluents spécifiques 2,25
Effluents spécifiques 2,25
Solides toxiques et… 0,14
Solides toxiques et
0,14
genotoxiques Solides Mineraux 0,21
Le montant total de l’évacuation des déchets chimiques sur les sites de Jussieu, Ivry et Saint-Cyr
s’élève à 83 807.66 € TTC.
En vertu du principe « pollueur/payeur » énoncé dans le code de l’environnement, cette somme est
refacturée chaque année aux laboratoires à partir des fiches de «demande de prise en charge»
remplie par les unités et remis aux agents présents à la soute au moment du dépôt.
Il est à noter qu’une partie du coût de l’évacuation des déchets concernant notamment la TGAP
(Taxe Générale sur les Activités Polluantes), le prix d’achat de certains contenants (location de
caisses-palettes,…) n’est pas refacturée aux laboratoires. Elle est actuellement prise en charge par le
SHS.
Sur le site de la Pitié-Salpêtrière, les déchets chimiques sont évacués de façon ponctuelle et à la
demande.
Pitié-Salpêtrière
Pitié-Salpêtrière
Poids en
Types de déchets
tonnes
Liquides organiques 0,12
Liquides organiques halogénés ou non
0,12
halogénés ou non
Solutions acides 0,13
Solutions acides 0,13
Solutions basiques 0,11
Sur le site de Saint-Antoine, les déchets chimiques sont évacués de façon ponctuelle et à la
demande.
Saint-Antoine
Saint-Antoine
Poids en
Types de déchets
tonnes
Liquides organiques 0,14
Liquides halogénés ou non
organiques 0,14
0,01
halogénés ou non Solutions acides
Sur le site de Jussieu les déchets biologiques sont évacués deux fois par semaine les mardis et les
vendredis. Cette fréquence d’évacuation est imposée puisque le site est susceptible de recevoir plus
de 100 kg de DASRI (déchets d’activité de soin à risques infectieux) par semaine.
Pour cette quantité produite, la durée entre la production et l’incinération et/ou le prétraitement ne
doit pas dépasser 72H.
Sur le site d’Ivry, trois enlèvements ont eu lieu en 2014 pour le ramassage des « boites à pic »
contenant les matériels et matériaux piquants coupants (aiguilles, lames…) relevant de la catégorie
des DASRI même si il y a absence de risque infectieux.
Bilan de l’évacuation des déchets biologiques sur les sites de Jussieu et Ivry
Boite à
Fût 60 L Fût 30 L Fût 10 L Fût 5 L Fût 3 L
pics
Nombre de
conditionnements 843 506 103 42 71 17
RECHERCHE
Nombre de
conditionnements 150 148 43 69 5 16
ENSEIGNEMENT
Total
Enseignement + 993 654 146 111 76 33
Recherche
Coût de
l'enlèvement 5 221,18 €
par SITA
Le montant total de l’évacuation des déchets biologiques sur les sites de Jussieu et Ivry s’élève à
21924.79 € TTC.
Bilan de l’évacuation des déchets biologiques sur les sites de la Pitié-Salpêtrière et Saint-Antoine
Quantité
L’Université doit veiller à ce que l’ensemble des déchets générés par ses activités soit récupéré et
éliminé conformément à la réglementation en vigueur.
Le service Hygiène et Sécurité fait vérifier la potabilité de l’eau distribuée à l’UPMC. Les prélèvements
et les contrôles sont effectués par les Eaux de paris.
Le montant des contrôles des sorbonnes pour l’année 2014 est de 24 864.00 € HT.
Démarche environnementale
Dans une démarche écologique et économique, le SHS a mis en place en Janvier 2014 une filière
d’élimination de piles et batteries usagées sur le Campus Jussieu dont la collecte est centralisée à la
soute à déchets dangereux. Jusque-là, c’était l’entreprise TRIADIS qui assurait cette prestation de
façon payante. Désormais, avec l’éco-organisme SCRELEC, cette prestation est gratuite. Sur l’année
2014, nous avons éliminé 383 Kg de piles et batteries usagées. De plus, des mobiliers de collecte et
des outils pédagogiques de sensibilisation ont été mis à disposition des assistants de prévention et
chefs de site du Campus Jussieu.
Bac de comptoir
Mini Batribox
Batritube
(Localisé à la soute à
déchets)
Par ailleurs, les cartouches d’encres sont aussi éliminées gratuitement par l’association « LA GERBE ».
Sur l’année 2014, 520 Kg de cartouches d’encres ont été éliminées.
Sensibilisation au contenu PMS et sa mise en application selon les paramètres… 1 5 63,00 0,00 2 233,00
Technicien chargé de la sécurité dans les établissements d'ES 1 1 33,00 1 200,00 2 021,00
XXXèmes journées de l'ADHYS 1 1 10,75 320,00 812,71
Autres formations Les pros de la santé au travail et les expositions 1 1 6,00 396,00 671,00
Médecine de prévention 1 15 37,00 0,00 1 223,83
Assistant de Prévention 2 18 648,00 0,00 21 294,00
TOTAL 7,00 41,00 797,75 1916,00 28255,54
GLOBAL 65,00 795,00 4772,75 47828,42 211152,17
Sécurité
incendie Sécurité Sécurité
SITES Sorbonnes H et S générale Surêté Accessibilité
(hors électrique Générale
DLC )
Campus Jussieu 17 251 € 257 265 € 59 732 € 112 585 € 139 802 € 124 209 € 4 186 €
Cassan C1 30 010 €
animalerie désamiantage
aquatique dalles de sol
11 000 €
Institut Henri 1 170 € études en vue
Poincaré CSSI des travaux
d'accessibilité
Observatoire 32 000 €
Océanologique désamiantage
de Vilefranche Corderie
Totaux 18 421 € 257 265 € 59 732 € 112 585 € 201 812 € 124 209 € 15 186 €
TOTAL GENERAL 789 210 €
En matière de sécurité incendie, le bilan des dépenses pour 2014 est de 238 223 €.
Ces dépenses sont réparties comme suit :
- maintenance des systèmes de sécurité incendie (commandes centrales, détection, alarme,
compartimentage, désenfumage) ;
- maintenance des moyens de secours (extincteurs, robinets d’incendie armés, colonnes
sèches, systèmes d’extinction automatique) ;
- vérifications techniques réglementaires ;
- matériel de secours à victime ;
- vêtements professionnels et EPI ;
- formation du personnel SSI ;
- divers.
55 Maintenance moyens de
secours
849
Vérifications techniques
160 réglementaires
336
Matériel de secours à
victime
AXE 1 - DÉVELOPPER LES ACTIONS EN SANTÉ AU TRAVAIL ET LE SUIVI MÉDICAL DES AGENTS (Pilote SMP)
NIVEAU DE
OBJECTIFS ACTIONS DESCRIPTIF DES ACTIONS INDICATEURS / OBSERVATIONS
RÉALISATION
Objectif 1 1 - Recruter deux . Appel à candidature Nombre de personnes recrutées : 0
Renforcer les capacités médecins de
d’intervention du SMP prévention et un . Audition des candidats EN COURS
ergonome < 50 %
p.84 . Recrutement
Objectif 2 1 - Fiabiliser la liste des . Obtenir au moins deux fois par an des Nombre de listes transmises : 11
Améliorer le suivi des agents agents services RH des différents employeurs la Le service de médecine de prévention reçoit :
liste des agents - une mise à jour tous les 2 mois de la liste des agents à suivre pour
(orientations stratégiques l’UPMC
MESR) . Accéder à certaines données de la base - une mise à jour semestrielle pour le CNRS et l'IPGP
Harpège en mode consultation EN COURS > - une mise à jour annuelle pour l’INSERM, l'EPHE et l'ENSCP
P.85 50 %
. Augmenter le taux de réponses aux Pourcentage d’augmentation des réponses aux convocations par
convocations pour les visites médicales rapport à 2013 : stable, (69%)
obligatoires
2 - Suivi post- .Convoquer en 2014 les agents recensés Nombre de questionnaires envoyés : 53
p.63
professionnel et post- lors de l'enquête ministérielle pour la visite (Une vague d'envoi des questionnaires va être effectuée début
expositionnel des médicale et le scanner novembre).
agents exposés à
l’amiante . Envoyer les questionnaires pour Nombre de consultations effectuées : 73
l'évaluation de l'exposition par vagues Nombre d’attestations délivrées : 18
FAIT Nombre de consultations effectuées / nombre d’agents recensés et
. Signer des conventions avec les hôpitaux qui acceptent le suivi : Les questionnaires pour l'évaluation du suivi
de la Pitié Salpêtrière et de Tenon pour la n'ont été envoyés qu'en fin d'année 2014. Les consultations pour ces
réalisation des scanners agents vont débuter en 2015.
NIVEAU DE
OBJECTIF ACTIONS DESCRIPTIF DES ACTIONS INDICATEURS / OBSERVATIONS
RÉALISATION
Objectif 3 2 - Renforcer . Identifier les postes à risque et recueillir les Nombre de certificats pour restrictions d’aptitudes liées aux TMS : 17
Renforcer l’évaluation et la l’évaluation et la données concernant la santé Nombre de déclaration des maladies professionnelles liées aux TMS : 2
prévention des risques prévention des + 1 déclaration de maladie contractée en service + 1 reconnaissance
professionnels troubles musculo- . Aménager les postes de travail à risque en maladie professionnelle
squelettiques (TMS)
EN COURS <
p.63-65 . Présenter une fois par an au CHSCT un
bilan des aménagements des postes 50 %
potentiels
NIVEAU DE
OBJECTIFS ACTIONS DESCRIPTIF DES ACTIONS INDICATEURS / OBSERVATIONS
RÉALISATION
Objectif 1 1 - Former les membres Nombre de jours de formation : 2 jours de formation ont été
Prévention des risques du CHSCT et de organisés
psychosociaux l’administration à la
prévention des risques . Former les membres du CHSCT et de Nombre d'agents formés et fonctions occupées par ces agents :
(orientations stratégiques psychosociaux FAIT
l'administration à la prévention des RPS. - Administration: 07-02-2014 (1 journée, 12 pers.) = 3000€ TTC
MESR) - Membres du CHSCT : 13-05-2014 (1 journée, 10 pers.) = 3000€ TTC
p.66 - 68
NIVEAU DE
OBJECTIFS ACTIONS DESCRIPTIF DES ACTIONS INDICATEURS / OBSERVATIONS
RÉALISATION
Objectif 1 3 - Sensibiliser les . Informer (note de service) les personnels Une note est en cours de validation et sera présentée au CHSCT de
Prévention des risques services sur des des services et des composantes sur les mars 2015
psychosociaux problématiques relatives diverses formes de harcèlement et sur la
aux RPS réglementation en vigueur Nombre de sessions de formations mises en œuvre au cours de
(orientations stratégiques l'année 2014 : 7
MESR) . Mettre en place une formation de EN COURS Nombre d'agents formés : 64
l'encadrement, des assistants de > 50 % Fonctions occupées par ces agents : groupe de travail
prévention et des services associés à la administration (12), membres du CHSCT (10) équipe présidentielle
p.66-68 prévention des risques psychosociaux (8), assistants de prévention (14), encadrants opérationnels déjà
formés (10), encadrants opérationnels (10)
Objectif 2 1 - Associer le CHSCT à . Recruter un coordonnateur CHSCT La coordinatrice CHSCT a pris ses fonctions le 15 mai 2014.
Donner toute sa place au la définition de la
CHSCT politique de mise en . Doter le CHSCT de moyens nécessaires à La secrétaire du CHSCT ayant démissionné le 1er octobre 2014, des
œuvre en matière de l'accomplissement de ses missions rencontres régulières n'ont pu être mises en place sur le dernier
(orientations stratégiques prévention des risques (enquêtes en matière d'AT-MP, visites de semestre.
MESR) professionnels services…)
Nombre de procédures réalisées :
. Rencontrer régulièrement le secrétaire du - Présentation d'une procédure "fonctionnement du CHSCT" axé sur
p.87-97 CHSCT pour l'organisation du CHSCT le renforcement du travail avec le secrétaire du CHSCT : 1er
trimestre 2015. Volonté d'être dans une démarche d'amélioration
. Communiquer en temps utile tous les continue (communication des documents et respect des délais).
documents et informations nécessaires au - Présentation d'une procédure sur les visites CHSCT et enquêtes en
bon fonctionnement du CHSCT matière d'AT-MP : 1er semestre 2015.
. Proposer des formations aux En 2014, 8 visites de services CHSCT et 2 enquêtes DGI ont été
représentants des personnels en particulier réalisés.
EN COURS
aux nouvelles compétences dans le
> 50 %
champ des conditions de travail Les membres du CHSCT ont suivi deux formations :
- Formation à la prévention des RPS, 1 jour (13.05.2014)
. Diffuser et informer les composantes et les - Formation à l’utilisation du logiciel EvRP (24.06.2014)
unités de l'établissement des coordonnées
et missions du CHSCT
NIVEAU DE
OBJECTIFS ACTIONS DESCRIPTIF DES ACTIONS INDICATEURS / OBSERVATIONS
RÉALISATION
Objectif 3 1 - Améliorer la prise en .Afin d’améliorer la prise en charge - Nombre de situations centralisées à la DRH: 73 pour 2014 et 90 en
Suivi des agents et des charge des agents opérationnelle des agents, organiser des tout. Ces chiffres seront à mettre à jour car ils évoluent
services nécessitant un suivi réunions entre : quotidiennement.
pluridisciplinaire - les composantes ou les directions du ou - Nombre de situations résolues : en cours
(orientations stratégiques des agents concernés
MESR) - la DRH La formalisation d’une typologie des signalements n’a pas pu être
- le SMP mise en place en 2014. Cette typologie doit être établie en
- le service social des personnels (SSP) collaboration avec les acteurs de la prévention et sera donc à
l’ordre du jour du plan de prévention 2015.
. Coordonner les flux d’informations entre EN COURS
la DRH, le SMP, le SSP et les directions des > 50 %
agents concernés
p.110 2 - Accompagner les . Accompagner les services porteurs d'un Nombre de projets déclarés en DRH (état d'avancement
réorganisations des projet de réorganisation hétèrogènes) : 7
services
. Aider à l'identification des actions Nombre de projets de réorganisation examinés / nombre de projets
d'accompagnement à mettre en œuvre de réorganisation déclarés et connus : 1/7
dans le cadre de la réorganisation Ces projets seront proposés en 2015 par l'ingénieur en organisation
EN COURS recruté
> 50 %
Rédaction d'une procédure relative aux réorganisations de service
au sein de l'UPMC : sera proposé en 2015 par l'ingénieur en
organisation recruté
AXE 3 - AMÉLIORER LE NIVEAU DE PRÉVENTION, DE SENSIBILISATION ET D'INFORMATION DES AGENTS A LA SÉCURITÉ (Pilote SHS)
NIVEAU DE
OBJECTIFS ACTIONS DESCRIPTIF DES ACTIONS INDICATEURS / OBSERVATIONS
RÉALISATION
Objectif 1 1 - Relancer et . Relancer les unités n'ayant jamais réalisé En 2014 :
Rédiger et/ou mettre à jour accompagner les le document unique - 168 documents uniques ont été réalisés soit 98,82% (objectif =
les documents uniques unités pour la 100%)
d'évaluation des risques rédaction et/ou la . Relancer les unités pour la mise à jour - 140 documents uniques ont été mis à jour en 2014 soit 82,35%
professionnels dans les unités mise à jour des annuelle des documents unique FAIT (objectif = 80%)
documents uniques
(orientations stratégiques . Mettre en place une structure Une structure d'accompagnement est mise en place au SHS.
MESR) d'accompagnement à la réalisation des
documents unique
p.25-51
2 - Déployer . Déployer l'application au sein des sites Nombre et pourcentage d'unités utilisant l'application EVRP : 134
l'application EvRP au extérieurs unités utilisent l'application EvRP
sein des unités de
p.29-30 travail de l'UPMC . Déployer l'application au sein des Nombre de personnes formées par profil : 32
services centraux (Objectif = 100% AP, 40% directeurs d'unités, 100% membres CHSCT)
. Créer des profils d'utilisateurs Sessions de formation auprès des directeurs et des Assistants de
Prévention :
. Organiser les formations nécessaires à FAIT - Services centraux : 2 sessions de formation : 18 personnes
l'utilisation de l'application EvRP présentes
(directeurs, AP et membres du CHSCT) - Villefranche : 1 session de formation : 7 personnes présentes
- Membres du CHSCT : 1 session de formation, 7 personnes
.Assurer l'assistance technique et présentes
l'accompagnement opérationnel des
utilisateurs
Objectif 2 1 - Recensement des . Présenter les conclusions du groupe de Présentation faite lors du CHSCT du 26 juin 2014,
Mise en place et suivi de la situations de travail travail au CHSCT pour validation La procédure travail isolée a été envoyée aux unités le 22 juillet 2014.
procédure du travail isolé isolé par site
. Renseigner (par unités) le tableau de Nombre de réponses / nombre d'unités de travail : 73 retours soit un
signalement des postes qui se trouvent en taux de réponse de 41,7% (objectif = 100% de réponses)
p.105-109 situation d'isolement A ce jour, + 30 laboratoires ont répondu à cette demande.
. Traiter les réponses Nombre de situations d'isolement nécessitant des moyens d'alarme :
FAIT
Chiffre provisoire est de 43 situations d'isolement pourraient nécessiter
. Identifier les situations d'isolement des moyens d'alarme.
nécessitant des moyens d'alarme
Nombre de situations d'isolement nécessitant des moyens
. Identifier les situations d'isolement organisationnels : Aucun chiffre n’est recevable en l’état actuel.
nécessitant des mesures organisationnelles Le travail de recensement effectué en 2014 ne permet pas d’affirmer
que telle ou telle situation nécessite plutôt une solution technique ou
plutôt une solution organisationnelle.
NIVEAU DE
OBJECTIFS ACTIONS DESCRIPTIF DES ACTIONS INDICATEURS / OBSERVATIONS
RÉALISATION
Objectif 2 2 - Mise en place de . Etude de la faisabilité de moyens Nombre de moyens d'alarme installés / nombre d'unité concernées =
Mise en place et suivi de la moyens d'alarme d'alarme (DATI / PTI) - 3 unités équipées (2 à Jussieu et 1 au pavillon Curie) + le centre des
procédure du travail isolé - Réalisation d'essais techniques cordeliers
- Evaluation du coût total de l'opération - 2 unités sont en train de s’équiper (ou l’ont fait depuis fin 2014) (1 à
p.105-109 - Evaluation de la capacité d'intervention Jussieu + 1 à Tenon)
(absorption des appels)
PAS FAIT
. Vérification de la chaine de secours Nécessite l'action du service de sécurité incendie.
- Vérification périodique et maintenance Mise en œuvre possible après la fin de l'action 1.
technique des appareils
- Vérification du mode de transmission
Objectif 3 1 - Mise en place de . Procédure relative à la "conduite à tenir Toutes les fiches ont été réalisées et communiquées aux médecins de
Mise en place et suivi de plusieurs procédures en cas d'accident" lié aux risques prévention pour correction et validation.
procédures relatives à la chimiques. Procédure relative à la
conduite à tenir en cas "conduite à tenir en cas d'accident" lié Présentation des procédures en CHSCT : 1er semestre 2015
d'accident aux risques biologiques. Procédure relative
à la "conduite à tenir en cas d'accident" EN COURS > Nombre de procédures réalisées et diffusées : 10 Réalisées par le SHS,
p.104-105 lié aux risques radioactifs. Procédure 50 % attente validation du SMP.
relative à la "conduite à tenir en cas
d'accident" lié au risque laser. Procédure
relative à la "conduite à tenir en cas
d'accident" lié aux liquides cryogéniques
Objectif 4 1 - Reprise du cahier . Sélection d'un ensemble de Date de levée des blocages éventuels suite aux tests réalisés :
Développement et des charges et mise à fonctionnalités minimales pour la livraison La DSI a livré successivement 3 versions de l’application :
déploiement d'une jour des demandes au 1er trimestre 2014 d'une version 1 stable - Version 1.0 du 7 mars 2014
application RSST stable connues - Version 1.1 du 28 avril 2014
. Lotissement en versions successives FAIT - Version 1.2 du 15 septembre 2014
jusqu'à l'été 2014
p.20-24 2 ateliers RSST ont été organisés pour les membres du CHSCT afin de
tester l'application.
2 - Déployer . Validation de l'application par le CHSCT Lors du CHSCT du 02 octobre 2014, après présentation, le
l'application au sein déploiement de la version 1.2 a été décidé.
de l'établissement . Mise en place d'un guide d'utilisation de
l'application L’application RSST a été ouverte durant la deuxième quinzaine de
décembre 2014 aux acteurs de prévention de l’UPMC : SHS, médecins
. Communication et information sur la mise de prévention, membres de CHSCT, responsables d’unités et assistants
FAIT
en œuvre de l'application à l'ensemble de prévention.
des personnels et usagers de l'UPMC
Un guide utilisateur existe et est mis à jour à chaque ajout de
. Assistance technique par la DSI et fonctionnalité.
assistance métier par le SHS
AXE 4 - AMÉLIORER LA PRÉVENTION DU RISQUE INCENDIE ET L'ASSISTANCE AUX PERSONNES (Pilote DLC)
NIVEAU DE
OBJECTIFS ACTIONS DESCRIPTIF DES ACTIONS INDICATEURS / OBSERVATIONS
RÉALISATION
Objectif 1 1 - Diffusion des . Réalisation des supports de diffusion pour Nombre de fiches réflexes réalisées et affichées = 250
Améliorer les conditions consignes les consignes d'évacuation :
d'évacuation sur l'ensemble d'évacuation à - éditer une fiche réflexe incluant les
des campus l'ensemble du consignes d'évacuation et un plan
personnel détaillé
- produire un diaporama "marquant" pour
p.69-71 accompagner la fiche
réflexe
FAIT
. Diffusion des consignes d'évacuation :
- transmettre les supports par mail via une
liste de diffusion comprenant l'ensemble
du personnel
- afficher des fiches réflexes à des endroits
stratégiques via les réseaux des chefs de
site et des assistants de prévention
2 - Réalisation . Etablissement du calendrier d'évacuation Nombre d'exercices d'évacuation réalisés / nompbre de bâtiments
d'exercices 2014 : concernés = 49 / 49
d'évacuation - prise en compte des contraintes
particulières liées aux événements, à la
recherche, aux examens et aux
concours
NIVEAU DE
OBJECTIFS ACTIONS DESCRIPTIF DES ACTIONS INDICATEURS / OBJECTIFS
RÉALISATION
Objectif 2 1 - Rappels . Mettre à jour le programme de formation Nombre de rappels face aux comportements à risque = 63
Mener une campagne de pédagogiques en des équipiers de première intervention
prévention au risque matière de prévention (EPI) : 113 personnes ont été formées au risque incendie.
incendie contre l'incendie - nouveau contenu comprenant une
sensibilisation aux comportements à risque
p.69-71 - nouveau support pédagogique sous
FAIT
forme de document power point
NIVEAU DE
OBJECTIFS ACTIONS DESCRIPTIF DES ACTIONS INDICATEURS / OBSERVATIONS
RÉALISATION
Objectif 1 1 - Formalisation d'une . Elaborer un tableau des plans de Nb. de plans de prévention réalisés / nb. de contrats soumis au plan
Mise en place d'un suivi des procédure, de prévention des interventions de prévention = 10 / 11 soit 90 %
consignes contenues dans tableaux de suivi et Nombre d'intervention de prestataire : 12 557 interventions en 2014
les plans de prévention communication . Rédiger une fiche de procédure de suivi
établis lors des interventions auprès des chefs de des plans et de leurs consignes
des prestataires externes site
intervenant sur l'immobilier et . Formaliser le suivi de ces consignes dans
la logistique les documents de suivi d'éxécution des
contrats ainsi que dans tous les rapports et
comptes rendus de réunions périodiques
p.72-74 contractuelles
FAIT
. Rendre accessibles les plans de
prévention aux chefs de site via une
plateforme informatique
NIVEAU DE
OBJECTIFS ACTIONS DESCRIPTIF DES ACTIONS INDICATEURS / OBJECTIFS
RÉALISATION
Objectif 2 1 - Mise en place de . Organiser le suivi administratif, Nombre de marchés VTR mutualisés / nombre de marchés total VTR =
Mutualisation des marchés la centralisation du contractuel et technique, puis mutualiser 3 / 3 soit 100 %
de contrôles réglementaires suivi des marchés et les marchés de vérifications techniques (objectif fixé = 80 % fin 2014)
et de maintenance des des consignes réglementaires périodiques (VTR)
campus de l'université (hors générales Nombre de marchés de maintenance mutualisés / nombre total de
équipement des . Organiser le suivi administratif, FAIT marchés = 16 / 16 soit 100 %
laboratoires) contractuel et technique, puis mutualiser (objectif fixé = 20 % fin 2014)
les marchés de maintenance des Nota : sur 27 marchés au total, certains n'étant pas mutualisables par
p.75-76 installations nature, exemple : maintenance toitures coussins gonflables, unique
sur campus Jussieu
2 - Fiabiliser les . Identifier les obligations réglementaires et Nombre annuel de rapports enregistrés / nombre annuel de rapports
rapports de leur périodicité planifiés = non significatif, les nouveaux marchés ayant été notifiés en
vérifications octobre.
techniques . Elaborer les plannings des contrôles
réglementaires (VTR) réglementaires
établis par des
organismes agréés . Ajuster annuellement la programmation
FAIT
des contrôles
Objectif 3 1 - Formalisation d'une . Analyser et évaluer les mesures Production et diffusion de la procédure : Une fiche a été réalisée, elle
Mise en place d'une procédure et compensatoires sera communiquée au cours du premier semestre 2015.
procédure relative aux communication
modalités de auprès des utilisateurs . Rédiger une fiche de procédure à
fonctionnement en cas de valider par les différents intervenants
FAIT
coupure touchant un
bâtiment d'une durée . Communiquer la fiche de procédure et
supérieure à 1h. les consignes aux chefs de site et aux
utilisateurs
p.103-104
ANNEXES
ANNEXE 1
ANNEXE 2
Extrait du
programme
d’action
Page 1 - Extrait du programme d’action
Facteur de Carences/
Unité Ref. D Lieux/Postes Service P Modalités d'exposition Moyens de prévention Action Type Coût Fin Responsable T
risques Dysfonctionnements
Centre De
Recherche
Sur La
Paléobiodiversite
Et Les
Ambiances /
UMR Barre 46-56 / 5 / 533 - Paléoenvironnements L'accès au labo HF se fait par un sas dans 0 Service des
7207 R1/2014 Labo HF / Partout - Centre De Conditions de 1 lequel l'ampoule du plafonnier est HS. Changer l'ampoule Technique 0 31/10/2014 Travaux
Recherche travail
Sur La
Paléobiodiversite
Et Les
Paléoenvironnements
Institut Risque non négligeable pendant les trajets
Pierre des équipes qui travaillent entre deux sites Les gestionnaires s'assurent que les ordres
Simon voire trois (L'IPSL est sur 2 sites: de missions soient bien établis avant le
Barre 45 - 55 / 2 / Partout / Laplace - Guyancourt et Jussieu mais les 6 déplacement avec tous les descriptifs de Il reste un certain nombre de trajets Sensibiliser les nouveaux entrants à l'utilisation de
FR 636 R2/2013 Partout Institut Trajet 1 laboratoires qui sont rattachés à la trajet, pour les assurances. L'IPSL a investi incompressible. la visioconf et se faire établir un OM permanent Organisationnel 00 31/12/2014
Responsable
d'Equipe
Pierre fédération sont également sur Gif, dans un matériel de visioconférence pour pour les personnes les plus exposées
Simon Palaiseau, Créteil). Les transports créent limiter les trajets en faisant une partie des
Laplace des risques de stress et de fatigue. réunions à distance.
complément Réorganiser le stockage dans la pièce de 200 Assistant
stockage des produits chimiques Organisationnel 0 31/12/2014 Prévention
et maladies
Escalier E / 4 Droite / 00 - - Centre de
Couloir / Partout Recherche
des
UMRS Cordeliers Encombrement des couloirs et de certaines Rappel des consignes, mise en place de Zones de stockage trop petites pour tout
1138 R2/2014 complément Incendie 1 pièces zones de stockage, élimination des déchets stocker, élimination des encombrants pas Elimination des objets encombrants que l'on ne 0 Responsable
assez fréquent souhaite pas conserver (ancien container à azote, Humain 31/12/2014
et maladies 0 d'Equipe
Escalier E / 4 Droite / 11 - - Centre de ultracentrifugeuse)
Salle des congélateurs / Recherche
Partout des
Cordeliers
Absence de formation à l'utilisation Réaliser des exercice incendie sans que le service 0 Service des
d'extincteurs Exercice incendie réalisé dans technique soit prévenu Organisationnel 0 31/12/2014 Travaux
complément des conditions éloignées de la situation
réelle (les portes des issues de secours
et maladies Alarme Boitiers déclencheurs d'alarme habituellement verrouillées sont ouvertes le
UMRS Escalier E / 4 Droite / - Centre de Extincteurs, couverture anti feu Plans
1138 R4/2014 Partout / Partout Recherche Incendie 1 Risques d'incendie dans les locaux d'évacuation Nomination de guide file et jour de l'exercice) Porte coupe feu au milieu
0 Bureau
des serre file Exercice incendie Porte coupe-feu du couloir maintenue ouverte en temps Former à l'utilisation d'extincteurs Formation 0 31/12/2014 Formation du
Cordeliers normal pour ne pas gêner la circulation des Personnel
personnes (la porte est fermée
manuellement par les serre file en cas
d'alarme)
Institut
Pierre
Simon
Barre 45-46 / 5 / Partout / Laplace - La salle 505/507 est une salle informatique Système anti-incendie à Gaz Il n'y a pas tout le temps quelqu'un dans la 10000 Directeur d'Unit
FR 636 R5/2013 Partout Institut Incendie 1 avec beaucoup de serveurs heptafluoropropane (UN3296) salle machine Couloir froid Equipement 0 31/12/2014 é
Pierre
Simon
Laplace
complément
et maladies
UMRS Escalier E / 4 Droite / - Centre de Issues de secours maintenue fermées en Issue du 21 rue de l'école de médecine S'assurer que les portes des issues soient 0 Service des
1138 R5/2014 Partout / Partout Recherche Incendie 1 cas d'alerte incendie Aucun fermée en cas d'alarme incendie ouvertes en cas d'alarme Organisationnel 0 31/12/2014 Travaux
des
Cordeliers
Campus Campus Atex zone 2 Circuit de mélange et Aucun matériel de détection et de protection
Saint- R18/2014 BAT 4 / RDC / Cellule 2 / Saint-Cyr - Atmosphères d'évaporation de carburant étudié sur un ne se trouve à proximité. Vérifier la 0 Responsable
Partout Campus explosives 1 échantillon faible (200ml). Raccord Ventilation adaptée Explosimètre Equipement 0 01/12/2015 FRT
Cyr Saint-Cyr d'alimentation du brûleur compatibilité du matériel à proximité
Système basique de signalement sur un
panneau à l'étage du laboratoire (7ème)
avec le nom de la personne et la durée
UMR Equipe Laboratoire confiné et clos de type L2 approximative. Asservissement des portes
IGH St Antoine / terrasse / CAPEAU/FEVE géographiquement isolé (6 étages au pouvant être coupé à l'intérieur par un 0 Directeur
938 R19/2014 L2 - box culture / Partout - Equipe Autres risques 1 dessus du lieu principal) sur la terrasse du bouton d'urgence situé au dessus des En cas de malaise ou d'incident. Système DATI ou PTI Equipement 0 31/12/2015 d'UFR
FEVE FEVE bâtiment où il y a très peu de passage. interrupteurs ouverture de porte et lumière,
soit à hauteur d'homme. Double de la clé
d'accès au secrétariat du 7eme étage et au
PC sécurité au rdc.
ANNEXE 3
Liste des Sorbonnes du campus Jussieu - Bâtiment Atrium –MAJ suite aux contrôles du 4° trimestre 2014
Contrôle Contrôle
Contrôle Conformité Non-conformité de la
Localisation périodique périodique Conformité de Contrôle
Identifiant Référentiel Initial de la sorbonne Date de Date des
sorbonne normatif
2012 / 2013
sorbonne
2014 la sorbonne complémentaire
condamnation
Observations
N° 2014 2014 Rouge travaux
Site Bât. Etage Date Date 2013 Date Orange Rouge
local HS
201 At-201-01 XP X 15-206 16/04/2012 25/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
204 At-204-01 XP X 15-206 16/04/2012 25/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
At-207-01 XP X 15-206 20/02/2012 25/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
207
At-207-02 XP X 15-206 16/04/2012 25/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
At-208-01 (gauche) XP X 15-206 16/04/2012 26/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
2
208 At-208 (droite) XP X 15-206 16/04/2012 26/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
At-208-02 XP X 15-206 20/02/2012 26/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
At-223 XP X 15-206 16/04/2012 25/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
223 At-223-01 XP X 15-206 16/04/2012 25/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
At-223-02 XP X 15-206 16/04/2012 25/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
303 At-303-01 XP X 15-206 17/04/2012 26/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
314 At-314-01 XP X 15-206 17/04/2012 25/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
3
345 At-345-01 XP X 15-206 17/04/2012 25/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
353 At-353-01 XP X 15-206 17/04/2012 25/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
403 At-403-01 XP X 15-206 20/02/2012 25/03/2013 OUI 28/04/2014 OUI
At-404-01 XP X 15-206 17/04/2012 25/03/2013 OUI 28/04/2014 OUI
404
At-404-02 XP X 15-206 17/04/2012 25/03/2013 OUI 28/04/2014 OUI
Atrium
Atrium
Page 1 sur 18
Liste des Sorbonnes du campus Jussieu - Bâtiment Esclangon - MAJ suite aux contrôles du 4° trimestre 2014
Contrôle
Contrôle
Contrôle périodique Conformité Non-conformité de la
Localisation périodique Conformité Contrôle
Identifiant Référentiel Initial 2012 / de la de la sorbonne Date de Date des
2014 complémentaire Observations
sorbonne normatif 2013 sorbonne sorbonne condamnation travaux
2014
2013 2014
N° Rouge
Site Bât. Etage Date Date Date Orange Rouge
local HS
ESC 224-
XP X 15-203 SO 27/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
Esclangon
01
2 224
ESC 224-
ESC XP X 15-203 SO 27/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
02
ESC 322-
3 322 XP X 15-203 SO 27/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
01
Page 2 sur 18
Liste des Sorbonnes du campus Jussieu - Secteur 1 - MAJ suite aux contrôles du 4° trimestre 2014
Contrôle
Contrôle
Contrôle périodique Conformité Conformité Non-conformité de la
Localisation périodique Contrôle Date
Identifiant Référentiel Initial 2012 / de la de la sorbonne Date de
2014 complémentaire des Observations
sorbonne normatif 2013 sorbonne sorbonne condamnation
2014 travaux
2013 2014
N° Rouge
Site Bât. Etage Date Date Date Orange Rouge
local HS
4 403 45-46-04-03-01 XP X 15-203 SO 10/06/2013 OUI 23/06/2014 OUI
45-46 Travaux programmé
5 513 45-46-05-13-01 XP X 15-203 SO 05/11/2013 NON 23/06/2014 NON x 23/06/2014 2015
Page 3 sur 18
Contrôle
Contrôle
Contrôle périodique Conformité Non-conformité de la
Localisation périodique Conformité Contrôle
Identifiant Référentiel Initial 2012 / de la de la sorbonne Date de Date des
2014 complémentaire Observations
sorbonne normatif 2013 sorbonne sorbonne condamnation travaux
2014
2013 2014
N° Rouge
Site Bât. Etage Date Date Date Orange Rouge
local HS
401 46-56-04-01-01 XP X 15-203 SO 10/06/2013 OUI 19/06/2014 OUI
Page 4 sur 18
Contrôle
Contrôle
Contrôle périodique Conformité Conformité Non-conformité de la
Localisation périodique Contrôle Date
Identifiant Référentiel Initial 2012 / de la de la sorbonne Date de
2014 complémentai des Observations
sorbonne normatif 2013 sorbonne sorbonne condamnation
re 2014 travaux
2013 2014
N° Rouge
Site Bât. Etage Date Date Date Orange Rouge
local HS
Travaux programmé
512 55-56-05-12-01 XP X 15-203 SO 05/11/2013 NON - NON X 05/11/2013 2015
55-56-05-22-01 XP X 15-203 SO 05/11/2013 NON 19/06/2014 OUI
55-56-05-22-02 XP X 15-203 SO 05/11/2013 NON 19/06/2014 OUI
55-56 5
522 55-56-05-22-03 XP X 15-203 SO 05/11/2013 OUI 19/06/2014 OUI
55-56-05-22-04 XP X 15-203 SO 05/11/2013 OUI 19/06/2014 OUI
55-56-05-22-05 XP X 15-203 SO 05/11/2013 OUI 19/06/2014 OUI
505
56-66-05-05-02 XP X 15-203 SO 05/11/2013 OUI 20/06/2014 OUI
403 66-56-04-03-01 XP X 15-206 07/11/2012 05/11/2013 OUI 20/06/2014 OUI
56-66 403 66-56-04-03-02 XP X 15-206 07/11/2012 05/11/2013 OUI 20/06/2014 OUI
403 66-56-04-03-03 XP X 15-206 07/11/2012 05/11/2013 NON 20/06/2014 NON X 20/06/2014
4 403 66-56-04-03-04 XP X 15-206 07/11/2012 05/11/2013 NON 20/06/2014 NON X
412 66-56-04-12-01 XP X 15-203 SO 05/11/2013 OUI 20/06/2014 OUI
412 66-56-04-12-02 XP X 15-203 SO 05/11/2013 OUI 20/06/2014 OUI
412 66-56-04-12-03 XP X 15-203 SO 05/11/2013 OUI 20/06/2014 OUI
212-
65-66 2 65-66-02-12-S XP X 15-206 07/12/2012 05/11/2013 OUI 20/06/2014 OUI
S
Page 5 sur 18
Liste des Sorbonnes du campus Jussieu - Secteur ouest nord - MAJ suite aux contrôles du 4° trimestre 2014
Contrôle Contrôle
Contrôle Conformité Conformité Non-conformité de la
Localisation périodique périodique Contrôle
Identifiant Référentiel Initial de la de la sorbonne Date de Date des
2012 / 2013 2014 complémentaire Observations
sorbonne normatif sorbonne sorbonne condamnation travaux
N° 2014 Rouge
Site Bât. Etage Date Date 2013 Date 2014 Orange Rouge
local HS
SS 11 12-13-SS-11-01 XP X 15-206 28/11/2011 25/01/2013 NON - NON X 25/01/2013
12-13
3 7 12-13-03-07-01 XP X 15-206 28/11/2011 25/01/2013 OUI 27/01/2014 OUI
Travaux
SS 1 12-22-SS-01-01 XP X 15-206 21/01/2013 n.n. NON 27/01/2014 NON X programmé 2015
8 12-22-03-08-01 XP X 15-206 21/01/2013 n.n. OUI 27/01/2014 OUI
3 12 12-22-03-12-01 XP X 15-206 29/11/2011 25/01/2013 OUI 27/01/2014 OUI
26 12-22-03-26-01 XP X 15-206 21/01/2013 n.n. OUI 27/01/2014 OUI
12-22 4 12-22-04-04-01 XP X 15-206 29/11/2011 25/01/2013 OUI 27/01/2014 OUI
4
4 12-22-04-04-02 XP X 15-206 04/11/2013 04/11/2013 NON 27/01/2014 OUI
3 12-22-05-03-01 XP X 15-206 30/11/2011 25/01/2013 OUI 27/01/2014 OUI
5 12-22-05-32-01 XP X 15-206 21/01/2013 n.n. OUI 27/01/2014 OUI
32
Secteur Ouest Nord
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Contrôle Contrôle
Contrôle Conformité Conformité Non-conformité de la
Localisation périodique périodique Contrôle
Identifiant Référentiel Initial de la de la sorbonne Date de
2012 / 2013 2014 complémentaire Date des travaux Observations
sorbonne normatif sorbonne sorbonne condamnation
N° 2014 Rouge
Site Bât. Etage Date Date 2013 Date 2014 Orange Rouge
local HS
14 22-23-SB-14-01 XP X 15-206 07/12/2011 25/01/2013 NON 27/01/2014 OUI
SB
16 22-23-SB-16-01 XP X 15-206 25/01/2013 n.n. NON 27/01/2014 OUI
3 10 22-23-03-10-01 XP X 15-206 12/09/2014 25/01/2013 OUI 27/01/2014 OUI Juillet - Août 2014 Mise en conformité
22-23
12 22-23-05-12-01 XP X 15-206 30/11/2011 25/01/2013 OUI 27/01/2014 OUI
5 19 22-23-05-19-01 XP X 15-206 30/11/2011 25/01/2013 OUI 27/01/2014 OUI
23 22-23-05-23-01 XP X 15-206 30/11/2011 25/01/2013 OUI 27/01/2014 OUI
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Liste des Sorbonnes du campus Jussieu - Bâtiment Cassan A - MAJ suite aux contrôles du 4° trimestre 2014
Contrôle Contrôle
Contrôle Conformité Conformité Non-conformité de la
Localisation périodique périodique Contrôle
Identifiant Référentiel Initial de la de la sorbonne Date de
2012 / 2013 2014 complémentaire Date des travaux Observations
sorbonne normatif sorbonne sorbonne condamnation
N° 2014
Site Bât. Etage Date Date 2013 Date 2014 Orange Rouge Rouge HS
local
203 A 203-01 XP X 15-206 06/12/2012 06/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
213 A 213-01 XP X 15-206 06/12/2012 06/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
217 A 217-01 XP X 15-206 04/11/2013 n.n. OUI 12/09/2014 OUI
2 223 A 223-01 XP X 15-206 06/12/2012 06/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
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Liste des Sorbonnes du campus Jussieu - Bâtiment Cassan B - MAJ suite aux contrôles du 4° trimestre 2014
Contrôle Contrôle
Contrôle Conformité Conformité Non-conformité de la
Localisation périodique périodique Contrôle
Identifiant Référentiel Initial de la de la sorbonne Date de Date des
2012 / 2013 2014 complémentaire Observations
sorbonne normatif sorbonne sorbonne condamnation travaux
N° 2014 Rouge
Site Bât. Etage Date Date 2013 Date 2014 Orange Rouge
local HS
1 103 B 103-01 XP X 15-206 07/11/2012 07/11/2013 NON 17/06/2014 NON X
Travaux de mise en conformité en
2 207 B 207-S XP X 15-206 nov-10 07/11/2013 NON 17/06/2014 OUI 7/11/2013
2014
407 B 407-01 XP X 15-203 SO 07/11/2013 OUI 17/06/2014 NON X
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Liste des Sorbonnes du campus Jussieu - Bâtiment Cassan C - MAJ suite aux contrôles du 4° trimestre 2014
Contrôle Contrôle
Contrôle Conformité Conformité Non-conformité de la
Localisation périodique périodique Contrôle
Identifiant Référentiel Initial de la de la sorbonne Date de Date des
2012 / 2013 2014 complémentaire Observations
sorbonne normatif sorbonne sorbonne 2014 condamnation travaux
N° Rouge
Site Bât. Etage Date Date 2013 Date 2014 Orange Rouge
local HS
200 C 200-S XP X 15-206 nov-10 07/11/2013 OUI 17/06/2014 OUI
C 202-1-S XP X 15-206 nov-10 07/11/2013 OUI 17/06/2014 OUI
202
C 202-2-S XP X 15-206 nov-10 07/11/2013 OUI 17/06/2014 OUI
2
206 C 206-S XP X 15-206 nov-10 07/11/2013 OUI 17/06/2014 OUI
210 C 210-A-S XP X 15-206 nov-10 07/11/2013 OUI 17/06/2014 OUI
212 C 212-S XP X 15-206 nov-10 07/11/2013 NON - NON X 07/11/2013
302 C 302-1-S XP X 15-206 nov-10 07/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
302 C 302-2-S XP X 15-206 nov-10 07/11/2013 NON - NON X 07/11/2013
304 C 304-1-S XP X 15-206 nov-10 07/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
304 C 304-2-S XP X 15-206 nov-10 07/11/2013 NON 12/09/2014 OUI
308 C 308-1-S XP X 15-206 nov-10 07/11/2013 NON 12/09/2014 NON X
308 C 308-2-S XP X 15-206 nov-10 07/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
3 314 C 314-2-S XP X 15-206 nov-10 07/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
C 318-1-S XP X 15-206 nov-10 07/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
318 Travaux programmé
C 318-2-S XP X 15-206 nov-10 30/10/2012 NON - NON X 30/10/2012 2015
C 320-1-S XP X 15-206 nov-10 08/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
Cassan C
320
C 320-2-S XP X 15-206 nov-10 08/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
C
C 322-1-S XP X 15-206 nov-10 08/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
322
C 322-2-S XP X 15-206 nov-10 08/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
503 C 503-01 XP X 15-203 SO 08/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
504 C504-01 XP X 15-203 SO 08/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
505 C 505-01 XP X 15-203 SO 08/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
5 510 C 510-01 XP X 15-203 SO 08/11/2013 NON - NON X 08/11/2013
516 C 516-01 XP X 15-203 SO 08/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
528 C 528-01 XP X 15-203 SO 08/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
535 C 535-01 XP X 15-203 SO 08/11/2013 NON 12/09/2014 NON X
616 C 616-01 XP X 15-203 SO 08/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
620 C 620-01 XP X 15-203 SO 08/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
6
625 C 625-01 XP X 15-203 SO 08/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
631 C 631-01 XP X 15-203 SO 08/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
708 C 708-01 XP X 15-203 SO 08/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
7 714 C 714-01 XP X 15-203 SO 08/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
724 C 724-01 XP X 15-203 SO 08/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
728 C 728-01 XP X 15-203 SO 08/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
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Liste des Sorbonnes du campus Jussieu - Bâtiment F - MAJ suite aux contrôles du 4° trimestre 2014
Contrôle Contrôle
Contrôl Conformité Conformité Non-conformité de la
Localisation périodique périodique Contrôle Date
Identifiant Référentiel e Initial de la de la sorbonne Date de
2012 / 2013 2014 complémentaire des Observations
sorbonne normatif sorbonne sorbonne condamnation
N° 2014 Rouge travaux
Site Bât. Etage Date Date 2013 Date 2014 Orange Rouge
local HS
103 F 103-01 XP X 15-203 SO 04/11/2013 OUI 16/06/2014 OUI
104 F 104-01 XP X 15-203 SO 04/11/2013 OUI 16/06/2014 OUI
105 F 105-01 XP X 15-203 SO 04/11/2013 OUI 16/06/2014 OUI
106 F 106-01 XP X 15-203 SO 04/11/2013 OUI 16/06/2014 OUI
113 F 113-01 XP X 15-203 SO 04/11/2013 OUI 16/06/2014 OUI
1
135 F 135-01 XP X 15-203 SO 04/11/2013 NON 16/06/2014 OUI
137 F 137-01 XP X 15-203 SO 04/11/2013 NON 16/06/2014 OUI
F 144-01 XP X 15-203 SO 04/11/2013 OUI 16/06/2014 OUI
144
F 144-02 XP X 15-203 SO 04/11/2013 OUI 16/06/2014 OUI
150 F 150-01 XP X 15-203 SO 04/11/2013 OUI 16/06/2014 OUI
F 211-01 (2182) XP X 15-206 SO 28/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
F 211-02 (2184) XP X 15-206 SO 28/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
F 211-03 (2180) XP X 15-206 SO 28/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
211
F 211-04 (2183) XP X 15-206 SO 28/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI 20-juin
F 211-05 (2190) XP X 15-206 SO 28/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
F 211-06 (2191) XP X 15-206 SO 28/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
Cassan F
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Contrôle
Contrôle
Contrôle périodique Conformité Conformité Non-conformité de la
Localisation périodique Contrôle
Identifiant Référentiel Initial 2012 / de la de la sorbonne Date de Date des
2014 complémentaire Observations
sorbonne normatif 2013 sorbonne sorbonne condamnation travaux
2014
N° 2013 2014 Rouge
Site Bât. Etage Date Date Date Orange Rouge
local HS
F 223-01 (droite) XP X 15-206 SO 28/03/2013 NON 27/01/2014 OUI 20-juin
F 223-02 (2199) XP X 15-206 SO 28/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI 20-juin
F 223-03 (gauche) XP X 15-206 SO 28/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI 20-juin
223
F 223-04 (2187) XP X 15-206 SO 28/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI 20-juin
F 223-05 (2188) XP X 15-206 SO 28/03/2013 NON 27/01/2014 OUI 20-juin
F 223-06 (2179) XP X 15-206 SO 28/03/2013 NON 27/01/2014 OUI 20-juin
F 232-01 (2201) XP X 15-206 SO 29/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
F 232-02 (2172) XP X 15-206 SO 29/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
F 232-03 (2203) XP X 15-206 SO 29/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
232
F 232-04 (2200) XP X 15-206 SO 29/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
F 232-05 (2202) XP X 15-206 SO 29/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
F 232-06 (2198) XP X 15-206 17/01/2012 29/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
F 233-01 (2204) XP X 15-206 SO 29/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
F 233-02 (2208) XP X 15-206 SO 29/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
F 233-03 (2206) XP X 15-206 SO 29/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
233
F 233-04 (2209) XP X 15-206 SO 29/03/2013 OUI 27/01/2014 OUI
Cassan F
Page 12 sur 18
Contrôle Contrôle
Contrôle Conformité Conformité Non-conformité de la
Localisation périodique périodique Contrôle
Identifiant Référentiel Initial de la de la sorbonne Date de
2012 / 2013 2014 complémentaire Date des travaux Observations
sorbonne normatif sorbonne sorbonne condamnation
N° 2014 Rouge
Site Bât. Etage Date Date 2013 Date 2014 Orange Rouge
local HS
Sorbonne plus
301 F 301-01 XP X 15-203 SO 04/11/2013 OUI - SO
utilisée
303 F 303-01 XP X 15-203 SO 04/11/2013 OUI 20/06/2014 OUI
F 305-01 XP X 15-206 09/12/2011 04/11/2013 OUI 20/06/2014 OUI
305
F 305-02 XP X 15-206 09/12/2011 04/11/2013 NON 28/04/2014 Oui
305 F 305-03 XP X 15-203 SO 04/11/2013 OUI 20/06/2014 OUI
F 307-01 (15-2166) XP X 15-206 17/01/2012 04/11/2013 NON 28/04/014 Oui 20-juin
307
F 307-02 (15-2167) XP X 15-206 17/01/2012 04/11/2013 NON 28/04/2014 Oui 20-juin
F 310-01 XP X 15-206 04/11/2013 n.n. OUI 20/06/2014 OUI
310 F 310-02 XP X 15-206 09/12/2011 04/11/2013 OUI 20/06/2014 OUI
F 310-03 XP X 15-203 SO 04/11/2013 NON - NON X 04/11/2013
3
311 F 311-01 (12-2218) XP X 15-206 18/01/2012 04/11/2013 OUI 20/06/2014 OUI
F 313-01 (15-2164) XP X 15-206 18/01/2012 04/11/2013 OUI 20/06/2014 OUI
313
F 313-02 (15-2165) XP X 15-206 18/01/2012 04/11/2013 OUI 20/06/2014 OUI
F 317-01 (15-2162) XP X 15-206 18/01/2012 04/11/2013 OUI 20/06/2014 OUI
317
F 317-02 (15-2163) XP X 15-206 18/01/2012 04/11/2013 OUI 20/06/2014 OUI
F 323/325-01 XP X 15-206 07/11/2012 04/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
323 F 323/325-02 XP X 15-206 07/11/2012 04/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
F 323/325-03 XP X 15-206 07/11/2012 04/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
Cassan F
Page 13 sur 18
Contrôle Contrôle
Contrôle Non-conformité de la
Localisation périodique Conformité périodique Conformité Contrôle
Identifiant Référentiel Initial de la de la sorbonne Date de Date des
2012 / 2013 2014 complémentaire Observations
sorbonne normatif sorbonne sorbonne condamnation travaux
N° 2014 Rouge
Site Bât. Etage Date Date 2013 Date 2014 Orange Rouge
local HS
505 F 505-01 XP X 15-203 SO 06/11/2013 OUI 18/06/2014 OUI
507 F 507-01 XP X 15-203 SO 06/11/2013 OUI 18/06/2014 OUI
509 F 509-01 XP X 15-203 SO 06/11/2013 OUI 18/06/2014 OUI
511 F 511-01 XP X 15-203 SO 07/11/2013 OUI 18/06/2014 OUI
513 F 513-01 XP X 15-203 SO 07/11/2013 OUI 18/06/2014 NON X
515 F 515-01 XP X 15-203 SO 06/11/2013 OUI 18/06/2014 OUI
517 F 517-01 XP X 15-203 SO 06/11/2013 OUI 18/06/2014 OUI
519 F 519-01 XP X 15-203 SO 06/11/2013 OUI 18/06/2014 OUI
521 F 521-01 XP X 15-203 SO 06/11/2013 OUI 18/06/2014 OUI
523 F 523-01 XP X 15-203 SO 06/11/2013 OUI 18/06/2014 OUI
525 F 525-01 XP X 15-203 SO 06/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
Cassan F
Page 14 sur 18
Contrôle Contrôle
Contrôle Conformité Conformité Non-conformité de la
Localisation périodique périodique Contrôle
Identifiant Référentiel Initial de la de la sorbonne Date de Date des
2012 / 2013 2014 complémentaire Observations
sorbonne normatif sorbonne sorbonne condamnation travaux
N° 2014 Rouge
Site Bât. Etage Date Date 2013 Date 2014 Orange Rouge
local HS
612 F 612-01 XP X 15-203 SO 06/11/2013 OUI 18/06/2014 OUI
613 F 613-01 XP X 15-203 SO 06/11/2013 OUI 18/06/2014 OUI
617 F 617-01 XP X 15-203 SO 06/11/2013 OUI 18/06/2014 OUI
621 F 621-01 XP X 15-203 SO 06/11/2013 OUI 18/06/2014 OUI
631 F 631-01 XP X 15-203 SO 06/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
633 F 633-01 XP X 15-203 SO 06/11/2013 NON - NON X 06/11/2013
639 F 639-01 XP X 15-203 SO 07/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
641 F 641-01 XP X 15-203 SO 07/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
647 F 647-01 XP X 15-203 SO 07/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
6 F 649 Bis XP X 15-203 SO 07/11/2013 OUI 12/09/2014 NON X
649
F 649-01 XP X 15-203 SO 07/11/2013 NON 12/09/2014 NON X
652 F 652-01 XP X 15-203 SO 07/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
653 F 653-01 XP X 15-203 SO 07/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
F 654-01 XP X 15-203 SO 07/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
654bis
F 654-02 XP X 15-203 SO 07/11/2013 OUI 12/09/2014 OUI
Cassan f
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Liste des Sorbonnes du campus Jussieu - Site de Saint Cyr - MAJ suite aux contrôles du 4° trimestre 2014
Contrôle Contrôle
Contrôle Non-conformité de la
Localisation périodique Conformité périodique Conformité Contrôle Date
Identifiant Référentiel Initial de la de la sorbonne Date de
2012 / 2013 2014 complémentaire des Observations
sorbonne normatif sorbonne sorbonne condamnation
2014 travaux
2013 2014
N° Rouge
Site Bât. Etage Date Date Date Orange Rouge
local HS
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Liste des Sorbonnes du campus Jussieu - Site d'Ivry - MAJ suite aux contrôles du 4°
trimestre 2014
Contrôle Contrôle
Localisation Contrôle Initial périodique périodique
2013 2014 Conformité de
Identifiant Référentiel
la sorbonne
sorbonne normatif
(oui/non)
Site Bât. Etage N° local Dernière date Dernière date Dernière date
Page 17 sur 18
Contrôle Contrôle
Conformité de
Localisation Identifiant Référentiel Contrôle Initial périodique périodique
la sorbonne
sorbonne normatif 2013 2014
(oui/non)
Site Bât. Etage N° local Dernière date Dernière date Dernière date
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Ivry sur Seine
Raphaël
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Rapport annuel de prévention Année 2014
ANNEXE 4
ANNEXE 5
IMMEDIATEMENT
Projection cutanée
Retirer si possible les vêtements souillés,
Laver abondamment à l’eau courante pendant au moins 15 minutes,
Ne pas neutraliser, ne pas léser la peau en frottant, ne mettre aucune
crème après le lavage.
Projection oculaire
Rincer abondamment à l’eau courante à faible pression pendant 15
minutes, en écartant bien les paupières, tête inclinée et l’œil atteint
positionné vers le bas (se faire aider par un collègue).
En cas de port de lentilles, ne pas enlever et laver de la même façon.
Consulter un ophtamologue.
IMMEDIATEMENT
Laver au savon neutre ou au savon de Marseille pendant 3 minutes,
Rincer soigneusement,
Désinfecter pendant au moins 15 minutes avec de l’alcool à 70° ou du Dakin
stabilisée.
Projection oculaire
Laver abondamment avec de l’eau tiède en évitant l’écoulement de l’eau vers les
parties non atteintes,
Contrôler la zone avec l’appareil de détection adapté,
Sécher par compresse ou serviette à usage unique si la décontamination est
vérifiée.