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Benoît XVI : les origines juives ?

Un dossier complet sur les origines de Evil Ben, alias Jozeph Ratzinger,
alias Benoît XVI par Laurent Glauzy.

Don Luigi Villa, fils spirituel de Padre Pio (sanctifié par Vatican II), est décédé
le 18 novembre 2012. Prêtre originaire du nord de l’Italie, docteur en théologie, il fut
directeur-fondateur du mensuel Chiesa Viva, qui parut pour la première fois en septembre
1971.

En 1956, l’abbé Villa rencontra pour la première fois Padre Pio à San Giovanni Rotondo.
Le « prêtre aux stigmates sur les mains », que l’on surnommait le « ressuscité de Jésus-Christ »,
lui demanda de dédier toute sa vie à la défense de l’Église du Christ contre la Franc-maçonnerie.
Le pape Pie XII approuva la mission confiée par Padre Pio à l’abbé Villa, qui fut tout de suite
placé sous la direction des cardinaux Alfredo Ottaviani, préfet du Saint-Office, Pietro Parente
et Pietro Palazzini.

Ces hommes d’Église de grande intégrité morale devaient guider et communiquer de nombreux
secrets à l’abbé Villa, remplissant ainsi la fonction d’agent de renseignement contre les loges.

En 1963, l’abbé Villa s’entretint pour la seconde fois avec Padre Pio, qui l’embrassa : « Ça fait
bien longtemps que je t’attendais ! Courage, courage, courage, parce que l’Église est déjà
envahie par la Franc-maçonnerie. La Franc-maçonnerie est déjà arrivée aux pantoufles du
Pape », lui affirma le vieux capucin.

Le 21 juin 1963, le cardinal Montini, contre lequel Padre Pio et le cardinal Ottaviani avaient mis
en garde l’abbé Villa, fut élu Pape, sous le nom de Paul VI. Luigi Villa échappa à six tentatives
d’attentat ! Seule une incroyable protection surnaturelle devait garder le valeureux prêtre qui,
dans ses écrits, dénonça plus tard les origines juives de ce pape. Il publia des photographies
inédites de la tombe de la mère de Paul VI, tombe sur laquelle étaient sculptées des
représentations maçonniques. La sépulture fut très rapidement murée, afin de cacher au public
les preuves des origines maternelles de l’occupant du siège de Saint-Pierre. Par ailleurs, Paul VI
figure sur la Porte du Bien et du Mal dans la basilique Saint-Pierre de Rome.
Les douze panneaux racontent des scènes de la lutte entre le bien et le mal. Sur le dos de la main
gauche du pape, vu de profil, est inscrit un pentagramme, symbole satanique. Don Luigi Villa
dénonça entre autres abominations l’assassinat de prêtres envoyés secrètement en Russie :
le cardinal Montini, le futur Paul VI, responsable des Affaires étrangères de Pie XII, informait
le Kremlin des plans du Vatican par l’intermédiaire du Parti communiste italien (Don Luigi
Villa, Paolo VI, beato ?: Paul VI, béatifié ? et Dr [théologie] Johannes Rothkranz, Vorsicht,
Wölfe im Schafspelz : Attention, des loups en peau de mouton).

Toujours avec sa publication qui avait de plus en plus de succès, et dérangeait les instances de
Vatican II, don Luigi Villa lutta contre le projet de béatification de Wojtyla, alias Jean-Paul II,
pape aux origines juives par sa mère, Emilia Kaczorowska (de la racine hébraïque Katz) (Chiesa
Viva de septembre 2010, Karol Wojtyla, beato ? Mai, KW, béatifié ? JamaisetDr J. Rothkranz,
Vorsicht, Wölfe im Schafspelz). Wojtyla était un protégé du POUP, le Parti communiste
polonais, qui appuya sa nomination comme archevêque auxiliaire de Cracovie en 1958
(Tad Szulc, Pope John Paul II : The biography). Le père Jerzy Popieluszko, véritable adversaire

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du communisme et admirable défenseur de l’Église, n’eut pas autant de chance. Il fut assassiné
à l’âge de 37 ans, le 19 octobre 1984, sur ordre du POUP.

Don Luigi Villa ne se contenta pas de traiter la question de l’Islam. Il concentra tous ses efforts
à dénoncer dans des documents inédits les causes insidieuses de la détérioration de l’Église
catholique, à savoir la secte maçonnique et sa sœur aînée talmudique.

Lecteur que je suis depuis plus de dix ans de Chiesa Viva, c’est en hommage à ce prêtre
intrépide et particulièrement chaleureux et aimable, don Luigi Villa, que je publie aujourd’hui
ce texte sur les origines cachées du pape Benoît XVI. Ces informations ont été publiées dans
le numéro de février 2013 de Chiesa Viva, trois mois après la mort de don Luigi Villa, sous
la direction de son assistant et successeur au poste de rédacteur en chef, le Pr Franco Adessa.
Aaron ben Gilad, juif converti au catholicisme, a contribué à ce vaste travail de recherche
et de compilation.

L’arrière-grand-mère de Benoît XVI, Maria Elisabeth (Betty) Tauber, juive née en Moravie en
1834, fut exclue de sa famille quand elle se convertit à la religion catholique. La Hongrie et
la Moravie constituaient des entités de l’Empire austro-hongrois, démantelé à la fin de la
Première Guerre mondiale par le traité maçonnique du Trianon. Les loges avaient échoué une
première fois en 1848, en exacerbant les nationalismes.

Betty se rendit dans le Sud du Tyrol, alors région de l’Autriche-Hongrie (faisant aujourd’hui
partie de l’Italie), où elle donna naissance à une fille, Maria, dans le village des montagnes de
Raas (Rasa en italien), en 1855. Le père, Anton Peter Peintner, épousa Betty trois ans après
la naissance de l’enfant.

Betty était le fruit de l’union entre Jacob Tauber (1811-1845) et Josefina Knopfelmacher
(1819-1886). Jacob Tauber était le fils de Jonas et de Rebecca Zerkowitz Tauber.

En remontant dans l’arbre généalogique des Ratzinger, Rieger, Tauber, Knopfelmacher, Shpitz,
Bachrach et Cohen, nous parvenons au rabbin Yehuda Loew ben Bezalel, qui était le MaHaral
de Prague.

Benoit XVI et ses 9 ancêtres rabbins

(1) Rabbi Yehuda Loew (Leib) ben Bezalel [le MaHaRal de Prague] (1512-1609) épousa Perla
Shmelkes-Reich(c.1516-1610).

(2) Vogele Loew (1556-1629) épousa Rabbi Isak Ha-Cohen (c.1550-1624).

(3) Chava [Eva] Ha-Cohen (1580-1651) épousa Rabbi Abraham Samuel Bachrach (1575-1615),
rabbin de Worms.

(4) Rabbi (Moses) Samson / Simson / Bachrach (1607-1670), rabbin de Goding, Leipnik,
Prague et Worms, épousa Dobrusch Phobus (vers 1610-1662).

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(5) Rabbi Jair Chayim Bachrach, dit « le Chavas Yoir » (1638-1702), rabbin de Worms, épousa
Sarah [Dinah Sorle] Brillin (1638-1703).

(6) Rabbi Samson / « Simson » / Bachrach (né 1657), dont l’épouse demeure inconnue.

(7) Malka Bachrach (née 1680) épousa Rabbi Zalman Shpitz, président du Beit Din
d’Eisenstadt.

(8) Sarl [Sarah] Shpitz (née en 1703) épousa Rabbi Jacob Knoepflmacher (né en 1700- mort
avant 1739), « le Maître », grand rabbin de Mehrin.

(9) Nissel Knoepflmacher (née en 1722) épousa le plus jeune frère de son père, Rabbi Moses
Knoepflmacher(1718-1798), rabbin d’Holesov.

(10) Jacob Knopfelmacher (né en 1739) épousa Katharina (née en 1740).

(11) Joachim Knopfelmacher (né en 1764) épousa Anna (née en 1764).

(12) Markus Knopfelmacher (né en 1786) épousa Betty.

(13) Josefina (Peppi/Josefa) Knopfelmacher (née en 1809) épousa Jacob Tauber (né en 1811).

(14) Betty (Elisabeth Maria) Tauber (convertie au catholicisme) (née en 1834) épousa Anton
Peter Peintner.

(15) Maria Tauber Peintner (née en 1855) épousa Isidor Rieger.

(16) Maria Peinter Rieger (née en 1885) épousa Joseph Ratzinger (père).

(17) Joseph Alois Ratzinger (Benoît XVI).

La généalogie des Tauber

Aaron Tauber, l’aïeul d’Isabella Maria (Betty) Tauber, selon toute probabilité, venait de
la communauté israélite de la vallée de Tauber, en Bavière. Betty partit ensuite s’installer
en Moravie. Le blason de la famille Tauber est une colombe associée au nom de Jonas (nom qui
signifie en effet « colombe » en hébreu : Yonah). Le père d’Aaron s’appelait Jonas de Tauber,
descendant du rabbin Jonah Geronde. Lors des persécutions contre les juifs de Bavière, les aïeux
des Tauber prirent une identité et un nom catholique, puis retournèrent vers le judaïsme quand
ils s’installèrent en Moravie.

(1) Aaron Tauber de Leipnik, en Moravie (né en 1658), dont le père était Jonas Tauber,
descendant du rabbin Jonah Geronde.

(2) Isaac Tauber de Leipnik, en Moravie (né en 1690), frère aîné de Joachim Lobl (Leopold)
Tauber Holesov de Moravie.

(3) Jacob Tauber de Lepnik (né en 1715).

(4) Jonas Tauber de Mahr Weisskirchen, en Moravie (1739-1822), épousa en secondes noces

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Rebecca Zerkowitz (née en 1788)

(5) Jacob Tauber (né en 1811) épousa en secondes noces (Peppi/Josefa) Knopfelmacher.

(6) Elisabetta Maria (Betty) Tauber (née en 1834 à Mahr).

Les Tauber : une des plus importantes branches kabbalistes

Joseph Alois Ratzinger, alias Benoît XVI, descend d’une des branches kabbalistes les plus
influentes de la synagogue, liée au grand rabbin de Prague.

Déjà, il y a cinq cents ans, la tribu juive de Nephtali convoitait le siège de Pierre. Cette intention
est affirmée par John Tetcliffe, dans le livre Biarritz, chapitre intitulé Le cimetière hébraïque
de Prague et le Conseil des représentants des douze tribus d’Israël. Ce travail peut être consulté
dans la version complète des Protocoles des Sages de Sion.

Nous pouvons y lire que le rabbin El Shebet Nephtali de Prague ordonnait aux juifs de « ne
jamais accepter des positions de subordonnés et de prendre au sein des États les affaires de
la justice et de la défense, afin de connaître les intentions de leurs ennemis. Nous avons déjà
placé dans beaucoup d’États des ministres des Finances et de la Justice. Notre objectif est de
parvenir au ministère du Culte [le Pape]. Nous devons arriver à nos fins en exigeant tout
d’abord la parité et l’égalité civiles ». Telle s’exprimait aussi la volonté du rabbinat de Prague,
par l’expression d’El Shebet Nephtali, il y a 160 ans, comme l’atteste Chiesa Viva. Le mensuel
italien poursuit son analyse…

Le MaHaral de Prague, aïeul de Benoît XVI, et le Golem

Par ses aïeux, Joseph Alois Ratzinger provient de la lignée de neuf rabbins originaires
d’Allemagne et d’Autriche-Hongrie, et en particulier du Maharal de Prague, Yeudah Loew ben
Bezalel (1512-1609), considéré comme un des sages occultistes les plus importants de l’histoire
juive. Le MaHaral, célèbre parmi les kabbalistes lucifériens, acquit sa grande notoriété en tant
que représentant spirituel de la communauté israélite de Prague. Il y fonda une académie
talmudique.

Le mensuel catholique italien expose que le MaHaral, abréviation de Moreinu Harav Loew
de Prague, acquit une grande popularité parmi les non-juifs grâce à ses connaissances en
mathématiques, en astrologie et autres sciences (occultes)… Il était un éminent connaisseur
de la kabbale.

On attribue au MaHaral des pouvoirs particuliers, appelés L’Artifice des Miracles. L’histoire
la plus célèbre concernant cet aïeul du pape est celle du Golem, nom derrière lequel se cache
l’évocation du démon par des sorciers juifs. Après avoir suivi les rituels prescrits, le rabbin
donne vie au Golem par la récitation d’incantations en hébreu et du Nom divin.

Le Golem, qui signifie « cocon, masse informe », mais peut aussi vouloir dire « fou », serait,
pour les kabbalistes, un être humanoïde artificiel fait d’argile (imitation d’Adam), qui aurait pris
vie momentanément grâce à l’inscription sur son front du mot hébreu Émèt : « vérité ».
Dans la culture hébraïque. Le seul emploi du mot golem dans la Bible se trouve au Livre des
Psaumes : « Je n’étais qu’une masse informe (galemy) et tes yeux m’ont vu » (139, 16).

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Quand le Golem « créé » par le rabbin Loew se redressa et devint plus violent, il tua et répandit
la peur au sein de la communauté juive de Prague. Pour le détruire, le rabbin Loew élimina
la première lettre du mot Émèt, inscrit sur le front de cette monstrueuse « créature », afin de
former le mot Met qui, en hébreu, signifie « mort ».

Selon la légende, les restes du Golem de Prague sont conservés dans un cercueil, au tréfonds de
la synagogue Vieille-Nouvelle de Josefov (ghetto juif de la vieille ville de Prague), qui serait
d’ailleurs toujours scellée, restes qui pourraient revenir un jour à la vie.

Ces détails sur la généalogie de Benoît XVI pourraient expliquer, d’après Chiesa Viva, les
éléments judéo-ésotériques représentés sur la mitre d’intronisation, le 24 avril 2005. Don Luigi
Villa expose dans plusieurs numéros du périodique (notamment Chiesa Viva de février 2012 :
La mitra satanica di Benedetto XVI : la mitre satanique de B16), que cette mitre ne comporte
aucune représentation de la foi catholique, mais montre, au contraire, la très surprenante
illustration de Pan, divinité de la nature. Ce « démon » de la Grèce antique, également reproduit
sur un buste en bronze de Ratzinger figurant dans la cathédrale de Munich, est reconnaissable
grâce à sa flûte, à son aspect demi-nu et, selon les reproductions, à ses cornes et à ses pattes de
bouc. Pan était adoré par le très grand sataniste Aleister Crowley, l’« Antéchrist », l’« homme
le plus pervers du monde », franc-maçon du 33e degré qui, dans son livre Magick, au chapitre
intitulé On the Bloody Sacrifice (Sur le sacrifice du sang),se vantait d’avoir sacrifié, pour ses
rituels entre 1912 et 1928, plus de 150 enfants par an.

Le 29 juin 2009, Benoît XVI se présenta avec une mitre portant deux étoiles de David (Chiesa
Viva de mars 2012, Un altra mitra satanica di Benedetto XVI : une autre mitre satanique de
B16).

Laurent Glauzy

NB : En France, la question de l’hérésie de Vatican II est développée par l’Abbé Vincent Marie
Zins notamment dans son périodique trimestriel Sub Tuum Praesidium. En Allemagne, Pro Fide
Catholica (www.verlag-anton-schmid.de) fut attaqué pour ses positions contre Vatican II par
le diocèse d’Augsbourg dans un procès qui dura six ans. Cette Maison d’Edition a été attaquée
pour avoir édité un tract disant que le « 11-septembre, ce n’était pas Ben Laden mais M.
Silverstein ».

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Pentacle sur la main de Paul VI

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Signes maçonniques figurant sur la tombe de la mère de Paul VI, découverts par Don Luigi Villa
http://lavocedelrompiscatole.blogspot.fr/2012/11/in-memoria-di-don-luigi-villa.html

7
La statue monumentale de Rabbi Loew, l’aïeul de Benoît XVI, sur la façade de l’hôtel de ville
de Prague
http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Praha,_Mari%C3%A1nsk%C3%A9_n%C3%A1m%C
4%9Bst%C3%AD,_Maharal.jpg

8
Dessin de Chiesa Viva contre les forces des Ténèbres sur Terre
http://www.chiesaviva.com/

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